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Guimbarde (instrument)

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Guimbardes modernes.

La guimbarde est un instrument de musique utilisant une lamelle actionnée par le doigt comme élément vibrant et la bouche du musicien comme cavité de résonance.

On en a trouvé des traces au IIIe siècle av. J.-C. au nord-ouest de la Chine. C'est un instrument répandu chez les peuples nomades d'Eurasie, de la Finlande, au nord du Japon, en Asie et en Mélanésie. Elle existe en Europe depuis au moins l'époque gallo-romaine.

Description

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Du point de vue de l'organologie, la guimbarde se classe comme un idiophone actionné par pincement[1].

Éléments d'une guimbarde.

La guimbarde est composée de deux éléments :

  1. une armature, d'une forme quelconque, qui comprend invariablement deux barres parallèles assez rapprochées ;
  2. une languette fine, haute de quelques millimètres, fixée à l'armature par l'une de ses extrémités, libre de l'autre côté et qui passe entre les deux barres.

Selon que cette languette est du même matériau ou non, selon qu'elle est découpée ou non dans son propre cadre, on parle savamment de guimbarde idioglotte et de guimbarde hétéroglotte.

Les guimbardes occidentales sont généralement en métal et le timbre du son généré peut varier selon leur taille. Il existe aussi des guimbardes en bois et en bambou, en Asie et en Océanie.

La languette peut être ébranlée autrement que par son extrémité recourbée : par une ficelle liée au cadre, un marteau, etc. Le nombre de languettes peut aller jusqu'à cinq.

La languette de la guimbarde est, du point de vue mécanique, une lame vibrante, sans résonateur, sous de nombreux modes, avec une décroissance assez rapide, qui peut être de 20 décibels par seconde, et des partiels non harmoniques à des fréquences jusqu'à quelques centaines de hertz. La bouche forme un résonateur dont la forme privilégie certaines fréquences ; les différences d'impédance acoustique réagissent sur la vibration de la languette, changeant ses modes, et produisant des sons approximativement harmoniques[2].

L'étude acoustique de la guimbarde et de son résonateur buccal est très complexe ; mais l'instrumentiste n'a nul besoin de l'entreprendre[3] : il modifie, d'oreille, la forme de la cavité de sorte que les sons qu'il entend correspondent à ceux qu'il veut produire ; c'est un apprentissage pratique, qui peut dans certaines techniques, faire intervenir le souffle, auquel cas la languette se comporte comme une anche flottante[4]. L'étude acoustique met en évidence l'importance de l'interprétation des sons par l'auditeur en fonction du contexte musical[5].

Fichier audio
Échantillon
noicon

Un joueur de guimbarde place l'instrument devant la bouche d'une main, en le tenant par l'armature (à l'opposé des branches parallèles). Les guimbardes occidentales en métal sont posées fermement contre les dents entrouvertes (l'instrumentiste ne doit pas enserrer les branches parallèles avec les dents, ce qui bloquerait le passage de la lamelle). Les guimbardes orientales en bambou ou en laiton (guimbardes hmong du Viêt Nam) se posent sur les lèvres. L'autre main permet d'actionner la languette (le plus souvent de l'extérieur vers l'intérieur).

Certains joueurs font vibrer la lamelle avec un doigt, d'autres avec plusieurs, d'autres avec leur main. L'action sur la languette détermine le rythme.

La languette vibre à une fréquence basse à peu près fixe. La bouche sert de cavité résonante. On modifie le son en changeant la position de la langue, des lèvres et des joues, ce qui sélectionne des séries de partiels différentes selon la forme de la cavité, comme dans le chant diphonique. Ces partiels suivant une série approximativement harmonique, on les appelle harmoniques.

On peut aussi « chanter » tout en jouant.

Guimbardes en bambou.

La guimbarde est réputée être l'un des instruments de musique les plus anciens du monde, dont la plus ancienne trace écrite remonte au IIIe siècle av. J.-C., en Chine[6]. Elle est utilisée par les peuples turcophones, mongols, et plus généralement des langues ouralo-altaïques, notamment par les chamans, et est ainsi répandu en Mongolie, au nord de la Chine, en Sibérie, au Kazakhstan, au Kirghizistan, au nord du Japon chez le peuple sibérien des Aïnous[7],[8]) et à l'Ouest en Finlande (Finlande)[Où ?]. Au sud du continent il est présent au Vietnam sous deux formes au moins[9].

Dumont d'Urville note au début du XIXe siècle à propos des Papous « Leurs instrumens de musique sont le tam-tam, (...) une guimbarde grossière faite avec une lame de bambou[10] ».

La guimbarde existe en Europe occidentale depuis au moins l'époque gallo-romaine (-52 – 486)[réf. souhaitée]. Elle est attestée à Bâle au XIVe siècle[11] ; une gravure de Pieter Brueghel l'Ancien montre que la guimbarde, déjà dans sa forme actuelle, était un objet de commerce en Hollande au XVIe siècle. Un tableau de Dirck van Baburen représente un siècle plus tard un jeune homme jouant de la guimbarde[12].

En Afrique de nombreux types d'arcs musicaux utilisent comme la guimbarde la bouche comme cavité résonante[13]. La guimbarde proprement dite a été remarquée, au XIXe siècle, chez les Peuhls.

En 1824, le luthier Scheibler, de Leipzig, tenta de perfectionner la guimbarde sous le nom d'Aura, qui était un ensemble de 22 guimbardes accordées réunies sur deux barres d'acier, un mécanisme permettant de substituer les lamelles[14].

Utilisée dans la musique populaire et folklorique, elle est dans certains pays un instrument de musique savante. Les groupes de folk metal s'en servent pour apporter une touche festive à cette musique[réf. souhaitée].

Musique populaire et folklorique

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Collection de guimbardes avec leurs boîtes.

Europe de l'Ouest

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En Autriche, elle permettait aux jeunes prétendants de faire la cour à leur belle ; petit et pratique, elle était également un compagnon de voyage idéal pour la noblesse qui formait ainsi sa jeunesse[réf. souhaitée].

En France, La Borde décrit la guimbarde en 1780 : « Nommée par les Italiens Sassa penziero, est un instrument de fer, de la longueur de cinq pouces environ, dont la forme est un triangle arrondi. On le pose sur ses lèvres, et avec une main on fait aller une petite languette de fer qui est attaché à l'endroit le plus large de la Guimbarde, et qui étant comme un ressort, et ne touchant à aucune partie de la bouche, résonne entre les dents, et rend des sons assez agréables. On appelait aussi cet instrument Rebube, Rebute, Epinette ou Trompe[15] ». L’Encyclopédie, quelques années plus tard, la cite en exemple pour expliquer la résonance des cavités buccales[16]. Selon Madame Campan, Adélaïde de France, fille de Louis XV, « apprit à jouer de tous les instruments, depuis le cor – me croira-t-on ? – jusqu'à la guimbarde[17] ».

En Italie, la guimbarde est appelée génériquement scacciapensieri. Elle présente dans de nombreuses régions de la péninsule, comme en Sardaigne où on l'appelle Sa Trunfa[18], en Calabre, en Campanie, en Piémont où on l'appelle Ribeba[19] et enfin en Sicile, où elle est connue principalement sous le nom de Marranzano[20].

Extrême-Orient

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Instrument de la musique mongole traditionnelle. Une variante appelée kouxian comporte plusieurs lamelles de tons différents.

Au nord du Japon, sur l'île d'Hokkaidō, la minorité aïnou, à la culture proche des peuples toungouses et mongols utilise la guimbarde.

Asie centrale

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Au Kazakhstan, elle est nommée shankobyz (шаңқобыз) et est joué dans la musique folklorique traditionnelle.

Au Kirghizstan, elle est appelée temir komuz et utilisé dans la musique folklorique traditionnelle.

Ton amour, ma Catherine (1930), chanson comique avec musique à bouche et guitare interprétée par La Bolduc. Le refrain est turluté et joué à la guimbarde.

Au Québec, la présence de la guimbarde est attestée depuis le XVIIe siècle sous les noms de trompe (dans la région de Montréal), bombarde, guitare de bouche au début du XXe siècle[21], et autrefois, rebuth et gronde[22].

Les premiers instruments arrivent de France, puis d’Angleterre[réf. nécessaire]. Dans les colonies américaines, les guimbardes sont offertes comme cadeau lors de négociations avec les amérindiens. En 1708, on en dénombre 120 à la maison Chauvin de Tadoussac qui est le premier poste de traite de fourrure[réf. nécessaire].

Au début du XIXe siècle s'importent des bombardes autrichiennes arrivant de Molln[réf. nécessaire]. Les instruments fabriqués aux États-Unis seront disponibles à partir du XXe siècle. Il existe une possibilité que certains autres instruments soient venus du Massachusetts car en 1650 la Saugus Iron Works voit le jour et on y fabrique de ces instruments[réf. nécessaire].

Au Brésil, la guimbarde, importée d'Europe et connue sous son nom portugais de berimbau était assez peu courante au début du XXe siècle, et le terme berimbau désignait plus couramment dans l'État de Bahia un arc musical, apporté par les esclaves origenaires du Sud de l'Afrique, décrit autrefois par les voyageurs sous le nom d'urucongo. Pour distinguer les deux instruments, on pouvait dire berimbau de boca (guimbarde de bouche), pour l'instrument dont il est question ici, opposé à berimbau de barriga (guimbarde de ventre), pour celui d'origene africaine[23].

Au Chili, la guimbarde aurait été amène en un premier moment par des colonisateurs espagnols[24]. À cause des échanges culturels et commerciaux produits entre les colons espagnols et les communautés mapuches pendant et après la Guerre d'Arauco, cet instrument a été adopté par ce peuple autochtone et renommé trompe. L’arrivée des immigrants européens en Araucanie au cours de la deuxième moitié du XIXe siècle, dans le contexte d’un nouvel essai de recolonisation de la zone après une campagne militaire d’expansion conduite par l’État chilien, aurait élargi son utilisation parmi les Mapuches[25],[26]. Chez ce peuple, il est joué par les hommes dans un contexte domestique[27]. Le trompe a pris la place du pawpaweñ o künkülkawe (espèce d’arc musical traditionnel mapuche) à cause de sa sonorité et utilisation similaire.

Musique savante

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La guimbarde, en tant qu'instrument populaire, figure dans une longue liste de films, depuis 1931. Elle participe à la caractérisation des personnages ou de l'action dans tous les genres de film. Dans les films américains, un nom populaire de la guimbarde, Jew's harp, sert souvent de support à des commentaires ou à de l'humour juif[29].

John Ford montre Henry Fonda, incarnant le rôle de Lincoln jeune dans un film de 1939 intitulé Vers sa destinée, jouant Dixie sur une guimbarde, dans un jeu compliqué de références historiques, auxquelles se joignent des références bibliques, lorsqu'on demande à Lincoln pourquoi appelle-t-on son instrument jew's harp, ce à quoi il répond : « À cause de la harpe de David ».

Le son de la guimbarde figure largement parmi les effets du dessin animé des années 1930 et 1940, et à l'occasion figure dans les scènes. Plus tard, le chien Snoopy des Peanuts joue à l'occasion de la guimbarde.

Le compositeur Ennio Morricone a utilisé la guimbarde, comme musique convenant à des personnages de western spaghetti sans attaches ni bagages (Et pour quelques dollars de plus, Le Bon, la Brute et le Truand), puis, après le succès de ces compositions, pour Le Clan des Siciliens.

Le début du thème composé par François de Roubaix pour La Scoumoune (1972), correspond à quelques notes jouées sur une guimbarde.

Le film Chamane (1995) de Bartabas rend hommage aux origenes chamaniques de la guimbarde dans la scène d'apprivoisement d'un cheval sauvage à 12'54" du film. Les vibrations de la guimbarde sont spécifiquement utilisées pour calmer le cheval, établir un lien, et le rendre réceptif aux intentions du chaman yakoute de Sibérie. La République Sakha (Iakoutie), fait référence au mot sakha désignant la guimbarde, khomus, aurait rapport à la fois avec les roseaux (khomus, probablement lié au russe kamysh) et la magie (khomuhun). Les Sakhas distinguent les khomus « parlants », plus rythmés, des khomus « chantants », plus mélodieux. En Iakoutie, autrefois, il arrivait que les chamanes utilisent des guimbardes dans des rituels collectifs à visée purificatrice ou pour établir un lien avec la nature et les esprits[30].

Dans le film Scoop de Woody Allen, le personnage interprété par Woody Allen donne cette réplique : « Je joue de la guimbarde. C'est une languette métallique qu'on met dans la bouche et qui produit un son de corde pincée très musical. On l'appelait aussi harpe du Juif mais ces gens, vous savez comment ils sont, à la moindre allusion d'antisémitisme, ils déposent une plainte. »

Noms des guimbardes

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La guimbarde est un instrument populaire, ainsi que l'indiquent les nombreux termes, souvent moqueurs, pour la désigner. en France par exemple : Guimbarde, Harpe à bouche, Trompette tsigane, Trompe-laquais, Trompe de Béarn, Hanche-en-ruban, Campurgne, Citaro. Aux États-Unis, elle est aussi connue sous le nom de Jew's Harp[31] qui pourrait être une déformation du français jeu[32]. Les dérivés de « trompe » (en tr- ou dr- s'avèrent nombreux dans les langues latines. Les mots kobuz, komuz, kobyz et analogues (sorte de luth, entre autres) se retrouvent dans différentes langues turques.

Dans de nombreux pays d'Asie, elle est désignée sous différents noms suivant sa forme, le matériau utilisé pour sa fabrication voire selon l'usage.

Bibliographie

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  • (en) Michael Wright, he Jews-Harp in Britain and Ireland, Ashgate, coll. « SOAS musicology series », (présentation en ligne)

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. « La classification organologique Sachs/Hornbostel », sur ethnomusicologie.net (consulté le ).
  2. Émile Leipp, « Étude acoustique de la guimbarde », Acta Acustica - Acustica, vol. 13, no 6,‎ , p. 382-396 (lire en ligne).
  3. Leipp 1963, p. 395 « Conclusions » 2°.
  4. Leipp 1963, p. 393.
  5. Michèle Castellengo (préf. Jean-Sylvain Liénard et Georges Bloch), Écoute musicale et acoustique : avec 420 sons et leurs sonagrammes décryptés, Paris, Eyrolles, , 541, + DVD-rom (ISBN 9782212138726, présentation en ligne), p. 400.
  6. « The Search for the Origins of the Jew’s Harp » (consulté le )
  7. « Les Esprits écoutent — Musique et Chamanisme en Sibérie », Musée su quai Branly (consulté le )
  8. Charles Stépanoff, « La figure mythique du chamane dans ses représentations audiovisuelles occidentales — Le philosophe du dualisme et de la pluralité des mondes », Études mongoles et sibériennes, centrasiatiques et tibétaines, CEMS / EPHE (via revues.org) (consulté le )
  9. Wright 2015, p. 5.
  10. Dumont d'Urville Voyage autour du monde, t. 4, 1832-34, p. 611 apud ATILF.
  11. « Hybride jouant de la guimbarde », sur musiconis (Représentations du son et de la musique au Moyen Âge) (consulté le ).
  12. Gallica
  13. Angeline Gninwoyo Yegnan-Toure, Les arcs musicaux d'Afrique dans quelques musées d'Europe, Université Paris-Sorbonne, , 526 p.
  14. Escudier, Dictionnaire de la musique, 1872, p. 65.
  15. Jean-Benjamin de Borde, Essai sur la musique ancienne et moderne, t. 1, Paris, (lire en ligne), p. 282-283. Auparavant, Jacques Savary Des Bruslons, Dictionnaire universel de commerce, contenant tout ce qui concerne le commerce qui se fait dans les quatre parties du monde, t. 2, Amsterdam, 1726-1732 (lire en ligne), p. 297 décrit sous le nom de « Guimbardes (…) que l'on donne du côté de Lyon à certaines espèces de longs chariots à quatre roues (…) » en usage à Lyon.
  16. Denis Diderot et Jean Le Rond d'Alembert, Encyclopédie ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers, t. 14, Paris, 1751-1765 (lire en ligne), p. 181.
  17. Madame Campan, Mémoires sur la vie de Marie-Antoinette, reine de France et de Navarre : suivis de souvenirs et anecdotes historiques sur les règnes de Louis XIV, de Louis XV et de Louis XVI, Paris, (lire en ligne), p. 52.
  18. (it) « Sa Trunfa », sur Orosei.it, (consulté le )
  19. « Glocalità dello scacciapensieri, la ribeba in Valsesia », sur Blogfoolk (consulté le )
  20. Instruments traditionnels de Sicile
  21. « Depuis quelques années déjà, un nouvel amusement anime les soirées dans la belle province; la guitare de bouche. Il s’agit, pour le joueur de guitare de bouche, d’imiter avec des sons le bruit d’une guitare. À loisir, les autres personnes présentes peuvent lui demander d’interpréter différents morceaux de musique. Questionné sur la moralité d’un tel divertissement, Mgr Bruchési a déclaré à notre journaliste que rien dans les enseignements de notre Sainte-Mère l’Église ne s’oppose à un tel spectacle. » La Patrie, 10 janvier 1898 apud Stanley Bréhaut Ryerson, Le Canada français, sa tradition, son avenir, 19xx (1re éd. 1943) [source insuffisante]
  22. Marius Barbeau, Les veillées du bon vieux temps à la bibliothèque Saint-Sulpice à Montréal les 18 mars et 24 avril 1919, 2010 (conférences de 1919), introduit le terme guimbarde [source insuffisante] Selon certains, on peut lui appliquer aussi le surnom de ruine-babines, qui désigne couramment aussi un harmonica[réf. nécessaire]
  23. (pt) Albano Marinho de Oliveira, « Berimbau, o arco musical da capoeira », Revista do Instituto Geográfico Histórico da Bahia, Salvador, Instituto Geográfico Histórico da Bahia, no °80,‎ , p. 229-264, notamment p. 232-233, et réponse de Octávio Torres p. 261-262.
  24. (es) González Greenhill, E. et Oyarce Pisani, A., « El Trompe Mapuche: Nuevos usos para un antiguo instrumento mapuche », Revista Musical Chilena, vol. 40, no 166,‎ , p. 53-67 (lire en ligne Accès libre [PDF])
  25. (es) Merino Montero, L., « Instrumentos musicales. Cultura mapuche y el Cautiverio feliz del Maestre de Campo Francisco Núñez y Bascuñán », Revista Musical Chilena, vol. 28, no 128,‎ , p. 56-95 (lire en ligne Accès libre [PDF])
  26. (en) Edmon Reuel Smith, The Araucanians; or, Notes of a tour among the Indian tribes of Southern Chili, New York, Harper & Brothers, , 335 p. (lire en ligne), p. 169-170
  27. (es) Claro, S. et Urrutia Blondel, J., Historia de la música en Chile, Santiago de Chile, Orbe, , 192 p. (lire en ligne), p. 27-33
  28. vedette Bibliothèque nationale de France.
  29. (en) Frederick Crane, Trumpov at the movies, 2011, examine les films produits ou connus aux États-Unis.
  30. « Guimbardes - Jew's harp Sibérie », sur www.galerie-hozho.ch (consulté le )
  31. Comme indiqué dans l'histoire de la guimbarde de la Jew's Harp Guild, une réinterprétation moderne de la dénomination jew's harp voudrait que le mot jew (juif) ait été une déformation de jaw (mâchoire) ou juice (jus), en réalité l'orthographe jew's harp est la plus ancienne avérée en anglais, quand les deux autres ne sont que des constructions plus récentes qui n'apparaissent qu'à la fin du XIXe siècle et aux débuts du XXe siècle.
  32. Théorie évoquée sur le site de Pat Missin.








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