Au moins 5.601 personnes ont été tuées en Haïti l’année dernière en raison de la violence des gangs, soit une hausse de plus de 1.000 personnes par rapport au nombre total de tués en 2023, selon des chiffres vérifiés par le Bureau des droits de l’homme des Nations Unies.

Encore tout récemment, les enfants réfugiés et migrants vénézuéliens à Trinité-et-Tobago n'avaient pas accès aux écoles publiques. Cette année, une modification de la loi soutenue par les Nations Unies a permis à plusieurs dizaines d'entre eux de bénéficier d'une éducation formelle.

L’accès aux soins médicaux et la vie de travailleurs de la santé sont clairement menacés à Haïti, a alerté vendredi un expert indépendant des Nations Unies, qui s’est dit profondément préoccupé par les attaques « scandaleuses » perpétrées par des gangs contre des hôpitaux, des cliniques et des travailleurs de la santé en Haïti en décembre.

Le Secrétaire général de l’ONU et le Président de l’Assemblée générale des Nations Unies ont exprimé dimanche leur tristesse à l’annonce du décès de l’ancien Président américain Jimmy Carter.

Offrir aux jeunes Haïtiens des alternatives à la vie dans les gangs et renforcer les institutions locales est essentiel pour que la nation caribéenne « reprenne sa position de symbole d'espoir », selon une haute fonctionnaire de l'ONU dans le pays.

Un peu plus de deux semaines après une flambée de violence dans la commune de Cité Soleil de la capitale haïtienne, Port-au-Prince, un rapport de l'ONU a conclu que plus de 207 personnes ont été exécutées par le gang de Wharf Jérémie.

Le Conseil de sécurité a réitéré lundi sa profonde préoccupation face à la persistance et à la détérioration de la crise multiforme en Haïti, ainsi que les restrictions de l'accès humanitaire, appelant à redoubler les efforts pour mettre fin à la violence et continuer de soutenir les Haïtiens.

Alors que la situation de la grippe aviaire en Amérique du Nord continue de susciter l’inquiétude des épidémiologistes, l’agence sanitaire mondiale de l’ONU (OMS) juge « faible » le risque global pour la santé publique posé par ce virus.

La situation humanitaire ne cesse de se dégrader à Haïti où plus de 60 % des ménages ne prennent qu’un repas par jour dans la zone métropolitaine de la capitale Port-au-Prince, voire sautent des journées entières sans manger, a indiqué vendredi une agence des Nations Unies, relevant que cette proportion dépasse les 80 % chez les personnes déplacées internes.

Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a condamné lundi la violence continue des gangs et les pertes en vies humaines en Haïti, où un gang armé aurait tué au moins 184 personnes, dont 127 hommes et femmes âgés, entre le 6 et le 8 décembre dans le quartier de Wharf Jérémie à Cité Soleil, dans l’agglomération de Port-au-Prince.