Aroffe

commune française du département des Vosges

Aroffe Écouter (/a.ʁɔf/) est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.

Aroffe
Aroffe
L'église Saint-Sulpice à Aroffe.
Blason de Aroffe
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Neufchâteau
Intercommunalité Communauté de communes de l'Ouest Vosgien
Maire
Mandat
Agnès Foray
2020-2026
Code postal 88170
Code commune 88013
Démographie
Gentilé Aruffiens, Aruffiennes
Population
municipale
90 hab. (2021 en évolution de +4,65 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 24′ 06″ nord, 5° 54′ 00″ est
Altitude 370 m
Min. 347 m
Max. 460 m
Superficie 8,51 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Mirecourt
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Aroffe
Géolocalisation sur la carte : France
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Aroffe
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Aroffe
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Aroffe

Géographie

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Localisation

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Situation géographique d'Aroffe.
 
Légende

Située à la frontière des Vosges, Aroffe est facilement repérable sur une carte car son territoire dessine une hache (voir carte ci-dessus).

Géologie et relief

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La commune se compose de 571,93 hectares de territoires agricoles (66,97 %) et 282,27 hectares de forêts et milieux semi-naturels (33,05 %)[1].

Avec un climat semi-continental, les étés sont très chauds et les hivers très froids. Le village d'Aroffe se situe entre trois collines qui sont recouvertes de forêts et il est traversé par la rivière Aroffe. Celle-ci prend sa source à Trames fontaine sur le territoire de Beuvezin, en limite de Tramont-Lassus.

Hydrographie et les eaux souterraines

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Hydrogéologie et climatologie[2] : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

Communes limitrophes

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En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 986 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rollainville », sur la commune de Rollainville à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 860,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18,2 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Aroffe est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11] et hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (47,2 %), forêts (31,7 %), zones agricoles hétérogènes (16,4 %), terres arables (3,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports

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Voies routières

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  • A31 (aussi appelée autoroute de Lorraine-Bourgogne). Échangeur Châtenois, Colombey-les-Belldes, Bulgnéville.

Transports en commun

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Lignes SNCF

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Transports aériens

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À partir de l'été 2021, l’aéroport d’Épinal-Mirecourt est devenu le "pélicandrome"[15] de la Zone Est et servira ainsi de base de ravitaillement et d’intervention pour les avions bombardiers d’eau connus sous le nom de Dash 8.

Toponymie

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Le nom du village viendrait d'un énorme rocher situé a l'est du village en direction de Soncourt.

Arupea ; Aruffiam (735)  ; Arufie

Histoire

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L'histoire du village d'Aroffe se conjugue avec celle de la rivière éponyme au bord de laquelle il se situe[16]. Les incertitudes sont nombreuses quant à l'époque de création du village mais des vestiges découverts à proximité, sur le territoire de la commune de Gémonville, indique que cette région a bien été habitée par les Gaulois. L'âge des premières habitations remonterait ainsi aux alentours du Ier ou IIe siècle av. J.-C.. La Gaule belgique passe sous domination romaine au cours du Ier siècle av. J.-C. et cette longue époque gallo-romaine ne laissera aucun vestige à Aroffe, la plupart des pierres étant récupérées au cours des siècles comme matériaux de construction des maisons médiévales.

Le Moyen Âge, siècle de légendes à Aroffe

En 476 apr. J.-C., les hordes de barbares pillant tout envahissent la Gaule. Les Mérovingiens fondent une dynastie. Leur conversion au christianisme aura une conséquence sur la population et sur les légendes d'Aroffe. Très tôt commence dans le village d'Aouze la chasse aux sorcières. Et une légende en sortira, légende qui a sa part de vérité. Elle commence en pleine chasse de sorcières à Aouze. Un habitant d'Aroffe, paysan comme la plupart, après avoir assisté à un procès de sorcières, repartit dans son village. Mais au même moment, un sorcier qui avait échappé au massacre jeta un sort à l'habitant d'Aroffe. Celui-ci se retrouva suspendu dans les airs. À ce moment, il pria la sainte Vierge de le faire descendre en contrepartie de quoi il construirait une chapelle. Son vœu fut exaucé et il construisit la chapelle à l'endroit où il retomba, entre Aroffe et Soncourt, sur l'une des trois collines d'Aroffe : la colline de Chaplemont.

Une autre légende se racontait dans le village sous forme de leçon religieuse. Celle-ci se déroule un dimanche, jour de repos. Un paysan amenait du foin en haut de l'une des collines quand tout à coup la sainte Vierge lui apparut. Elle lui demanda de rentrer chez lui car le dimanche était jour de repos. Le paysan continua à monter alors la sainte vierge lui prophétisa qu’il ne pourrait pas monter cette colline avec ses deux ânes. Il fallut tous les chevaux et les ânes du village pour qu'il puisse monter la colline.

La période du Moyen Âge ne fut pas qu'une période de légende. Dans la seconde partie du XVIe siècle, une église fut édifiée alors que le village comptait déjà la présence d'une chapelle. Cette église fut achevée en 1528 avec la pose d'une verrière remarquable.

À l'instar des villages environnant, Aroffe relevait du diocèse de Toul et dépendait de Vicherey qui disposait d'un château autrefois visité par le roi Dagobert qui aimait s'y reposer.

La Révolution et le XIXe siècle

En 1793 : pendant la période de la Révolution, la chapelle est détruite et pillée ; les pierres serviront à construire le reste de l'église et les terres sont vendues. Au XIXe siècle commence la révolution industrielle. Une tuilerie est construite ; elle marchera à plein régime jusqu'au XXe siècle. Un moulin pour faire la farine est construit, il fonctionnera jusqu'à la mort du boulanger pendant la guerre 1939-1945.

 
Vue historique du café Croctaine.
XXe et XXIe siècles

Au début du siècle est construit un cinéma animé par un curé. La guerre 1914-1918 marque beaucoup Aroffe. Mais ce n'est rien comparé à la Seconde Guerre mondiale ; le village est occupé. L'abbé Mathis curé d'Hennezel sera torturé et ne survivra pas à son supplice. Le boulanger est déporté et ne reviendra pas. Des Polonais se réfugient dans les forêts. Maurice Gérard, un habitant, après avoir sauvé un parachutiste anglais et ayant manqué le couvre-feu, sera lui aussi déporté en camp de concentration ; il sera délivré par les Russes. Après la guerre, Le village subit un exode rural prononcé : le cinéma et le bar ferment et ne subsiste que le garage.

Politique et administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1864 Nicolas Victor Duval    
1865 1881 Victor Claude    
1881 1894 Joseph Gérard    
1894 1900 Anatole Didelot    
1900 après 1904 Émile Duval    
         
mars 2001 mars 2008 Michel Croctaine DVD  
mars 2008 octobre 2016 Claude Blain (°1930) DVD Retraité, démissionnaire
novembre 2016 En cours
(au 25 mai 2020)
Marie-Agnès Foray (°1934)[17]
Réélue pour le mandat 2020-2026
DVD Artisan, commerçant, chef d'entreprise retraitée[18]

Budget et fiscalité 2023

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La mairie.

En 2023, le budget de la commune était constitué ainsi[19] :

  • total des produits de fonctionnement : 139 000 , soit 1 562  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 106 000 , soit 1 193  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 1 000 , soit 9  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 34 000 , soit 385  par habitant ;
  • endettement : 0 , soit 4  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 11,28 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 37,03 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 20,95 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation[20].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Les habitants sont nommés les Aruffiens Écouter et les Aruffiennes Écouter[21].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 90 habitants[Note 2], en évolution de +4,65 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
250250287281308312315319309
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
298295258241239255236216226
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
214154148149156139139147118
1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020
989277829294998689
2021 - - - - - - - -
90--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Établissements d'enseignements[26] :

  • Écoles maternelles et primaires à Pleuvezain, Rainville, Favières, Martigny-les-Gerbonvaux.
  • Collèges à Châtenois, Colombey-les-Belles, Neufchâteau, Vézelise.
  • Lycées à Neufchâteau, Mandres-sur-Vair, Mirecourt.

Professionnels et établissements de santé[27] :

  • Médecins à Vicherey, Gironcourt-sur-Vraine, Châtenois, Colombey-les-Belles, Neufchâteau.
  • Pharmacies à Vicherey, Gironcourt-sur-Vraine, Châtenois, Colombey-les-Belles, Neufchâteau.
  • Hôpitaux à Neufchâteau, Mirecourt, Mattaincourt, Vittel.

Économie

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Entreprises et commerces

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Agriculture

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Tourisme

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Commerces

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  • Commerces et services de proximité[29].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Dans les forêts et sur les trois collines entourant le village, il est possible de trouver de petites étoiles minérales à l'instar de celles qui affleurent le sol de la colline de Sion.
  • Grotte du Haut-du-Mont : cette grotte, appelée Trou de la Graiotte ; d'une profondeur de 16 m, elle se situe à une altitude de 400 m et à une distance de 1 200 m de l'église[30].
  • Vieux moulin en bordure de village.
  • Lavoirs dont l'un demeure en état d'usage.
  • Église Saint-Sulpice[31].
Patrimoine mobilier[32] :
* Tableau et son cadre : Adoration des Bergers[33].
* Statue Ecce homo[34].
* Statue saint évêque[35].
* Fonts baptismaux[36].
* Statue Vierge de Pitié[37].
* Statue Saint Roch[38].
  • Croix et symboles religieux fréquents dans le village :
    • maison au Retable dont la façade est ornée d'une scène sculptée dans laquelle les douze apôtres entourent Jésus crucifié[39] ;
    • nombre de façades de maisons disposent également de niches abritant chacune une statue mariale ;
    • croix-calvaire de l'église[40] ;
    • croix de chemin en pierre du XVIe siècle qui a fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par arrêté du [41],[42].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blasonnement :
D'or à la bande ondée d'azur chargée d'un poisson d'argent entre deux feuilles de chêne du même, accompagnée en chef par un calvaire de gueules et en pointe par une roue de moulin du même.
Commentaires : La bande ondée et le poisson symbolisent l'Aroffe, rivière qui a donné son nom au village. Le calvaire et la roue de moulin indiquent des édifices de la localité. Les feuilles de chêne évoquent les forêts entourant Aroffe[44],[45].

Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

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Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr, IGN (consulté le ).

Références

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  1. Localisation de la commune, géographie et occupation des sols
  2. A - La vallée de l' Aroffe
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Aroffe et Rollainville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rollainville », sur la commune de Rollainville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Rollainville », sur la commune de Rollainville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Les pélicandromes
  16. Le ruisseau d'Aroffe et le village d'Aroffe.
  17. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  18. Mairie
  19. Les comptes de la commune
  20. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  21. Gentilé : Aruffiens, Aruffiennes
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Établissements d'enseignements
  27. Professionnels et établissements de santé
  28. Paroisse Saint-Jean-Baptiste-au-Pays-de-Châtenois
  29. Toutes les entreprises de la commune et celles proches
  30. La grotte du Haut-du-Mont.
  31. Église Saint Sulpice (XVIe – XIXe siècles)
  32. Les objets protégés au titre des monuments hitoriques dans les Vosges
  33. Notice no PM88002058, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Tableau et son cadre : Adoration des Bergers
  34. Notice no PM04000154, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture statue : Ecce homo
  35. Notice no PM88000012, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture Statue : saint évêque
  36. Notice no PM88000013, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche
  37. Notice no PM88000014, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture statue : Vierge de Pitié
  38. Notice no PM88000015, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture statue : Saint Roch
  39. Maison au Retable.
  40. Croix-calvaire de l'église.
  41. « Croix de chemin », notice no PA00107081, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. La Croix de chemin.
  43. Médaillés de Sainte-Hélène
  44. Blason
  45. L'Armorial des Villes et des Villages de France
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