Pathologie Des Ouvrages en Béton Armé Fini
Pathologie Des Ouvrages en Béton Armé Fini
Pathologie Des Ouvrages en Béton Armé Fini
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Projet bibliographique
Préparé par
Ahmed Ellouze
Haythem Miled
Encadré par
Safa Mhadhbi
2017/2018
Dédicaces
Nos enseignants.
Nos remerciements les plus sincères s’adressent à toutes les personnes qui nous ont
Nous tenons aussi à remercier Mme. Safa Mhadhbi, notre encadreur pour sa patience,
son dévouement, ses efforts et ses encouragements qui nous sont très chers et qui nous
Nous tenons aussi à remercier les membres de jury qui nous font un grand honneur en
béton armé par l’exploration des causes d’apparition des anomalies au niveau d’une
structure en béton armé et par l’assemblage des désordres les plus rencontrés dans un
Introduction générale................................................................................................................. 1
Définition : .................................................................................................................................. 2
1. Causes d’apparition d’anomalies au niveau des ouvrages en béton armé ........................ 2
2. Pathologies du béton armé ................................................................................................. 3
2.1 Dégradations mécaniques ............................................................................................ 3
2.2 Dégradations chimiques .............................................................................................. 4
a. Attaque des ions de chlorure : .................................................................................... 4
b. Attaque par acide : ...................................................................................................... 4
c. Réaction alcali-granulats ou alcali-réaction :............................................................... 4
d. Réaction sulfatique interne ......................................................................................... 5
e. La carbonatation .......................................................................................................... 6
f. Corrosion des armatures ............................................................................................. 8
2.3. Dégradation physiques .............................................................................................. 10
a. Le ressuage ................................................................................................................ 10
b. Le retrait : .................................................................................................................. 11
c. Gel/dégel : ................................................................................................................. 13
d. L’épaufrure : .............................................................................................................. 14
e. Les fissures : ............................................................................................................... 14
f. La ségrégation du béton ............................................................................................ 17
3. Traitements des anomalies ................................................................................................ 17
3.1. Traitement des dégradations chimiques ................................................................... 17
a. L’attaque des ions de chlorure .................................................................................. 17
b. L’attaque par acide .................................................................................................... 17
c. Les alcali-réaction ...................................................................................................... 18
d. Réaction sulfatique interne ....................................................................................... 18
e. La carbonatation ........................................................................................................ 18
f. La corrosion des armatures ....................................................................................... 18
3.2. Traitement des dégradations physiques ................................................................... 19
a. Le retrait .................................................................................................................... 19
b. Gel/dégel ................................................................................................................... 19
c. Fissuration ................................................................................................................. 20
d. L’épaufrure ................................................................................................................ 20
e. La ségrégation du béton : .......................................................................................... 20
4. Tableau récapitulatif ......................................................................................................... 21
Liste des figures
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Définition :
La pathologie est la science qui a pour objet l'étude des maladies et notamment leurs
causes. Cela comprend principalement la recherche de leurs causes, leurs facteurs déclenchant
ou favorisants, leur mode d'évolution et leur pronostic, avec pour objectif final de comprendre
comment les traiter au mieux et éventuellement aussi les prévenir. Dans le domaine de génie
civil, la pathologie est la science qui étudie les anomalies et les désordres qui sont les
modifications qui apparaisse au niveau d’un ouvrage.
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2. Pathologies du béton armé
Dans cette partie, nous nous intéresserons aux principales pathologies apparaissant
dans le béton armé. Ces pathologies ont des causes et conséquences variables. Elles sont
décrites dans ce qui suit : dégradations mécaniques, chimiques, est physiques.
Défauts dans le
béton
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2.2 Dégradations chimiques
a. Attaque des ions de chlorure :
Les ions chlorures (présents dans l’eau de mer, l’eau des piscines, certains sols et certains
granulats) peuvent pénétrer par les fissures ou le réseau poreux du béton pour aller corroder
les aciers.
Risques : Fissuration du béton, réduction de la section des aciers résistants, éclatement local
du béton, apparition de rouille à la surface du béton sous forme de taches non esthétiques.
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La RAG entraîne la formation de produits expansifs et notamment d’un gel d’alcalis-silice
capable d’attirer l’eau et donc de gonfler. Il en résulte des contraintes de traction internes au
béton qui conduisent à une fissuration de ce dernier et, parfois, à la rupture des armatures.
Risque : Apparitions de réseaux de fissures profondes qui entrainent des désordres structurels
dans les années qui suivent et éclatement de béton.
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Figure 3: Attaque sulfatiques
e. La carbonatation
La carbonatation du béton est un phénomène indissociable de ce matériau de
construction. Pendant la durée de vie de l’ouvrage, le dioxyde de carbone présent dans
l’atmosphère pénètre dans le béton à partir de la surface du matériau.
Le dioxyde de carbone peut alors réagir avec les produits résultant de l’hydratation du ciment.
La carbonatation modifie progressivement la composition chimique et la microstructure
interne du béton, en effet Ilya diminution de ph donc transformation de milieu acide à milieu
basique.
Risque : De gros désordres structurels se présentent, les aciers perdent beaucoup en résistance
et le béton risque de rompre.
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Diagnostic :
Test à la carbonatation :
Le principe du test à la carbonatation repose sur le fait que le pH du béton carbonaté
est plus faible que celui du béton sain. Pour déterminer la zone carbonatée, il est généralement
utilisé un indicateur coloré tel que la phénolphtaléine.
La phénolphtaléine est un composé organique de formule C20H14O4. L’utilité de ce composé
est qu’il change de couleur selon le pH de l’élément avec lequel il entre en contact. Il fait
partie des indicateurs de pH ou indicateur coloré. Ce changement de couleur est dû à une
modification de la structure chimique de la molécule lors du passage de la forme protonée
(milieu acide) à la forme déprotonnée (milieu basique).
La couleur que prend la phénolphtaléine dépend du pH. Elle sera rose pour un pH compris
entre 8,2et 12 et incolore au-delà et au-deçà de cette zone de virage
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L’intersection de la courbe d’enrobage (courbe bleu foncé) avec celle de carbonatation
(courbe rose) donne le pourcentage des armatures qui ne sont plus protégées.
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Figure 7 : Déroulement du processus de corrosion
Risque : Les conséquences de cette corrosion sont la modification du comportement de
l’acier et la dégradation de l’interface acier béton.
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Par le Radar
Le principe de cette technique en génie civil est basé sur la réflexion et l’atténuation d’ondes
électromagnétiques dans le milieu du matériau. La propagation d’ondes électromagnétiques
dépend de la permittivité diélectrique, de la conductivité et de la perméabilité du matériau
ausculté.
Elle peut être caractérisée par les quatre équations de Maxwell. Le système radar permet
d’émettre une impulsion électromagnétique haute fréquente entre 100 et 3000 MHz à la
surface du matériau qui se propage, se réfléchit en partie à chaque interface entre deux
milieux électromagnétiques différents. Les échos successifs sont enregistrés dans un signal
temporel. La juxtaposition des signaux temporels enregistrés lors du déplacement de l’antenne
radar permet d’obtenir une coupe-temps.
Dans une structure en béton armé, il existe différentes interfaces de types
air/béton, béton/acier, béton/sol pour l’élément posé sur le sol, et béton/air pour l’élément en
élévation.
Ces interfaces sont susceptibles de présenter des contrastes de propriétés électromagnétiques
suffisamment forts pour être détectés par le radar. C’est pourquoi, le technique radar permet
de localiser rapidement des cavités dans les chaussés (Steinway 1982), détecter des armatures,
des câbles précontraints, des défauts (vides, fissures, délaminages) dans le béton.
Figure 9: Le radar
2.3. Dégradation physiques
a. Le ressuage
Le ressuage est un type spécial de ségrégation où les particules solides ont un mouvement
général inverse à celui du liquide. En fait, pendant la période dormante du béton, les
particules solides qui sont plus denses que l’eau sédimentent. L’eau est ainsi chassée vers le
haut dans le cas de coffrages imperméables. Pratiquement, tout béton fraîchement mis en
place ressue. Les bétons avec une teneur en eau élevée rapport e/c) sont davantage sujets au
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ressuage que les bétons dont le rapport e/c est bas. Et plus le pourcentage de fines dans le
béton est élevé, plus la tendance au ressuage diminue.
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Figure 11 : Retrait du béton
Risque : Cette réduction de volume va alors craqueler la surface du béton surtout si elle est
empêchée par frottement, Faïençage des enduits, microfissuration du béton.
Diagnostic :
Carottage d’éléments en béton armé
Le recours au carottage du béton armé peut avoir plusieurs objectifs.
- Tout d’abord dans un dallage afin de permettre la réalisation d’essais géotechniques sur le
sol en place tel que des pénétromètres dynamiques ou des tarières. Ceci pour caractériser le
sol sous la structure dans le cadre d’une rénovation ou d’une restructuration de l’ouvrage.
- Afin de pouvoir déterminer les caractéristiques chimiques et mécaniques d’un élément en
béton de la structure, en effectuant des essais de compressions sur les carottes prélevées, mais
aussi des analyses chimiques et microscopiques afin de déterminer les différents constituants
et leur quantité. Cela permet de déterminer quel type de ciment a été utilisé ainsi que le
rapport E/C.
- Déterminer les caractéristiques des couches constituantes de l’élément (épaisseur du
revêtement, de la chape, du béton,…)
La norme NF EN 13791 de septembre 2007 indique deux méthodes pour l’évaluation de la
résistance à la compression sur site des structures et des éléments préfabriqués en béton. La
méthode à utiliser varie selon le nombre d’éléments carottés dans la structure concernée, mais
dans tous les cas, elle permet d'estimer la classe de résistance du béton. Cette méthode
nécessite le recours à une carotteuse et il peut être nécessaire de déterminer préalablement le
ferraillage de l’élément afin d’éviter d’avoir des aciers dans la carotte. Ceci pour deux raisons:
d'une part, cela fragilise plus la structure si les aciers prélevés ont un rôle important, d’autre
part les résistances à la compression obtenue, sur une carotte dans laquelle il y a présence
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d’acier, sont faussées. Pour les mêmes raisons, il faut éviter de carotter un élément sur une
fissure.
c. Gel/dégel :
En l’absence de mesures appropriées, le bétonnage en période hivernale peut donner
lieu à des dégâts de gel. La formation de glace conduit en effet à la dilatation de l’eau présente
dans le béton frais.
Dans un béton encore plastique, ce gonflement s’opère librement; une fois durci, le béton ne
présentera aucun dégât apparent, mais sera de mauvaise qualité. Dans un béton jeune déjà
durci, le gonflement est entravé et des tensions internes apparaissent. Si le matériau n’a pas
développé de résistance suffisante, les dégâts se manifesteront par un écaillage de la surface
(le plus souvent en plusieurs couches)
Un béton durci peut, lui aussi, être endommagé par le gel : en se dilatant sous l’action du gel,
l’eau présente dans les pores et les fissures crée des tensions susceptibles de provoquer ou
d’aggraver des fissures. La sensibilité au gel du béton durci dépend dans une large mesure de
sa structure poreuse et des dimensions des fissures. Le risque de dégâts de gel est plus
important sur des dalles ou des plans horizontaux que sur des surfaces verticales, les pores
étant davantage saturés en eau.
Risques : Fissuration interne par gonflement du béton à cœur, écaillage du béton à sa surface
sous l’effet des sels de déverglaçage.
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d. L’épaufrure :
Désigné aussi comme un éclatement localisé du béton, il s’agit d’un défaut de surface dû à
un choc ou à des intempéries sur le parement ou l’arête d’un élément de béton durci ou d’un
bloc de pierre, dans une construction
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- Les causes externes indirectes, à savoir les répercussions sur certaines structures d'actions
provenant d'autres éléments tels que les tassements différentiels des fondations.
- Les causes dues à un phénomène de corrosion des armatures, les armatures corrodées ayant
un volume plus important que les aciers en bon état, l'état de contrainte du béton au droit
d'une armature corrodée est plus important et la fissuration s'enclenche.
Parmi les différents types de fissures, on distingue principalement trois catégories :
A- Le faïençage, c'est un réseau caractéristique de microfissures qui affecte principalement la
couche superficielle du béton.
B- Les microfissures, ce sont des fissures très fines dont la largeur est inférieure à 0,2 mm.
C- Les fissures, ce sont des ouvertures linéaires au tracé plus ou moins régulier dont la
largeur est d'au moins 0,2 mm.
Classification : Il est important lors du processus de réhabilitation d'un ouvrage, de
s'intéresser à l'évolution de la largeur d'une fissure. Il est possible de classer les fissures en
trois catégories selon leur évolution :
- Les fissures passives ou mortes, pour les fissures dont les ouvertures ne varient plus dans le
temps, quelles que soient les conditions de température, d'hygrométrie ou de sollicitation
de l'ouvrage. Cependant, elles sont rares, car les matériaux alentour à la fissure varient
selon la température, c'est le phénomène de dilatation thermique.
- Les fissures actives, lorsque leur ouverture varie dans le temps en fonction de la
température.
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Diagnostic :
Par SCLÉROMÈTRE
Le principe de l’essai sclérométrique repose sur la corrélation entre la dureté d’un matériau et
sa résistance à la compression. Pour une sonde en contact avec l’ouvrage à inspecter, Lors de son
rebond, la bille entraine un index coulissant sur une règle de mesure, plus le rebond sera
important, plus le matériau sera dur.
Il convient de réaliser un certain nombre d’essais sur l’élément à ausculter, vingt-sept dans la
norme actuelle, afin d’obtenir un résultat cohérent. L’indice sclérométrique Is d’élément
diagnostiqué est la médiane de 27 mesures effectuées sur la zone d’ouvrage testé. Par report de
l’indice sclérométrique sur un abaque, on obtient la résistance à la compression estimée de
l’élément considéré.
Il est important de savoir que différents paramètres peuvent influer sur les résultats, tels que
l’inclinaison du scléromètre ou encore l’homogénéité du béton. Il peut être intéressant de coupler
ces résultats avec des essais de résistance à la compression sur des prélèvements de la zone
étudiée.
Figure 15 : Le scléromètre
Par radar
Par auscultation sonique
Connu sous le nom d’essai aux ultrasons, cet essai permet de déterminer la vitesse de
propagation d’ondes longitudinales (de compression) à travers un élément en béton.
Le principe de la méthode :
Le principe de la méthode consiste à mesurer le temps mis par une onde à parcourir une
distance donnée, l’état du béton totalement inconnu peut se déterminer approximativement
selon la vitesse mesurée.
La relation entre la vitesse de propagation des ondes ultrasonique et la résistance à la
compression est affectée par un nombre de variables tels que l'âge du béton, les conditions
d'humidité, le rapport entre les granulats et le ciment, le type des granulats et la localisation
des aciers et les fissures. La technique ne peut pas être employée pour la détermination de la
résistance de béton fabriqué par différents matériaux dont on ne connaît pas les proportions.
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Figure 16: auscultation sonique
f. La ségrégation du béton
C’est une anomalie courante qui affecte le béton suite à différents défauts d’exécution
comme l’absence des fenêtres dans le coffrage ou une mauvaise vibration du béton (manque
ou excès) en effet, les grains présentent au cours du temps un mouvement relatif entre eux.
Certains (les plus denses ou les plus volumineux) tombent alors que les autres (les fins ou
ceux ayant une masse volumique réduite) remontent vers la surface
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c. Les alcali-réaction
Les granulats potentiellement réactifs sont signalés par les abréviations PR et PRP.
Prenez des granulats NR (non réactifs) pour éviter les problèmes.
d. Réaction sulfatique interne
Prendre garde à la classe d’exposition aux sulfates et s’ils sont très importants se tourner
alors vers un béton moins alcalin. Ne coulez pas le béton par des températures trop élevées, en
plein été. Utiliser des bétons ayant une faible réaction exothermique. Pour des ouvrages
conséquents, il est possible de prévoir des coffrages avec liquide de refroidissement. Aussi il
faut utiliser des ciments en faible teneur en C3A.
e. La carbonatation
Il faudra penser à utiliser des bétons peu poreux et composé de ciment avec un minimum
de portlandite pour réduire la réaction avec le CO2. Attention ce sont les zones couvertes et
cachées de la pluie qui seront les plus touchées, car la carbonatation est maximale à 60 %
d’humidité. En cas de forte probabilité d’apparition de la maladie, il est possible de brumiser
régulièrement votre béton. Pour la prévention contre cette attaque on peut augmenter la valeur
d’enrobage ou encore protéger le béton par une couche d’enduit
f. La corrosion des armatures
Pour la prévention contre ce désordre, on procède généralement à l’utilisation des produits
anti rouille sur les armatures pour la protection contre la corrosion. Cependant après la
manifestation de cette anomalie il faut suivre les actions suivantes :
Préparation du support
sonder les surfaces à réparer pour détecter les zones sonnant creuses, peu résistantes ou
non adhérentes
éliminer les parties défectueuses
laisser des arêtes franches pour éviter la fissuration sur le pourtour de la réparation
dégager complètement les armatures oxydées
éliminer la rouille par brossage (avec une brosse métallique) ou mieux, par sablage
dépoussiérer soigneusement pour assurer une bonne adhérence du mortier de réparation
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Figure 18: Préparation du support
Application du revêtement anticorrosion
appliquer avec un petit pinceau une couche épaisse d’un revêtement anti corrosion sans
déborder sur le béton
humidifier abondamment les parties à réparer. Laisser ressuyer : le béton doit être humide
mais non ruisselant
pour une bonne adhérence, appliquer le mortier en le serrant fortement sur tout le pourtour
de la zone à réparer
dès raidissement du mortier, réaliser la finition à l’aide d’une taloche polystyrène ou
d’une taloche éponge
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c. Fissuration
Pour corriger les fissurations, on procède à l’injection de différentes résines qui est une
technique utilisée pour rétablir l’intégrité structurale ou l’étanchéité des ouvrages comportant
des fissures, le produit le plus utilisé est :
Résine époxydique d’injection qui permet la reconstitution rapide du monolithisme initial
d’une structure de bâtiment ou de génie civil, l’injection des fissures inertes, le soudage des
microfissures d’une poutre en béton ayant subi un flambage, la resolidarisation d’une chape
fissurée avec son support béton et l’injection d’une dalle (toit-terrasse) ou d’un plancher en
béton présentant des microfissures de retrait.
d. L’épaufrure
Pour corriger cette anomalie, on procède au nettoyage de la surface endommagée puis
l’application du ciment avec une résine d’accrochage ajouté directement à l’eau de gâchage
du mortier à appliquer
e. La ségrégation du béton : Même traitement que pour l’épaufrure
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4. Tableau récapitulatif
Le tableau suivons présente une récapitulation de quelque anomalies rencontrée :
Anomalies Origine Analyses/Diagnostic Traitement
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Conclusion générale
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Bibliographie
Cours de pathologie des ouvrages en béton armé 3ème année ISET SFAX (Mr.
Omrane ben jedou)
Webographie
http://www.guidebeton.com/pathologies-beton
https://www.weber.fr/gros-oeuvre-et-tp/solution/solutions-chantiers/la-reparation-des-
betons-degrades.html
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