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Correction du devoir de SVT d’octobre 2017

Plan

Les réponses aux questions sont dans le blog page 2

Aide apportée par le professeur page 3

Orthographe et grammaire page 3

Reproduction des documents page 4

Correction de la 1ère partie page 5

Correction de la 2ème partie page 6

Correction de la 3ème partie page 7

Correction de la 4ème partie page 9

Dans vos réponses, merci d’éviter les formules du style « tout simplement »…
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Les remarques et corrections sont rédigées en bleu. Beaucoup d’élèves n’ont pas bien
lu l’énoncé, beaucoup par manque d’intérêt pour le travail à fournir, hélas…
La lecture de la phrase suivante leur aurait beaucoup apporté :
« Lisez attentivement les questions, tout ce qui est demandé a été vu à un moment donné dans
le cours. »
En effet, sauf la 2e partie, toutes les autres sont abordées et corrigées dans le blog, je ne
parle pas de la 3e partie qui a été traitée en classe (avec, d’ailleurs, pendant le cours, projection
de la partie du blog où elle se trouve). Il suffisait de chercher, c’est l’un des objectifs de ce
devoir maison : l’an passé des élèves avaient été chercher sur Internet, sans penser au cours
sur mon blog créé pour eux et les personnes qui s’occupent d’eux (puisque – bien sûr – on peut
– et on doit – se faire aider lors d’un devoir maison).

Ainsi, la 1ère partie se trouve

- dans le cours de 3ème « clone et clonage » pages 4 et 5
(http://lewebpedagogique.com/svttuileriemp/2017/07/13/2017-2018-les-cours-de-3e/cours-
clone-clonage-2017-2018-2/) ; à propos : l’algue n’est pas une plante (elle ne se plante pas) ;
- dans le DST corrigé donné en novembre 2016 (page 7)
(http://lewebpedagogique.com/svttuileriemp/correction-dst-novembre-2016-2-3/).

La 3ème partie se trouve :

- - dans le cours de 3ème « clone et clonage » pages 6 à 9 et page 22 ;
- dans la correction du devoir à faire à la maison en janvier 2017 (pages 5, 6, 16 et 17)
(http://lewebpedagogique.com/svttuileriemp/2017/07/15/informations-generales/correction-
devoir-maison-janvier-2017-1/).

La 4ème partie se trouve aussi dans le DST corrigé donné en novembre 2016 (page 10 !)

Ce n’est pas « tricher » que de rechercher les bonnes réponses là où elles se trouvent, je
rappelle que c’était l’objectif de ce devoir que d’apprendre cela. Avant on allait les chercher
dans les livres, aujourd’hui c’est sur Internet (l’un n’empêchant pas l’autre).

La 2ème partie est une nouveauté, elle n’a pas été traitée l’an passé, mais – au départ –
c’est la question qui est censée faire la différence entre les élèves qui ont trouvé la bonne
réponse dans le blog, et ceux qui savent réfléchir par eux-mêmes. La réponse est sur Internet,
mais écrite en anglais, et il ne faut bien sûr qu’utiliser le texte correspondant à la question
posée dans le devoir. Rajouter la manière dont se reproduit cette algue n’est pas le sujet ici.
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Autre aide apportée :
« A tout moment vous pouvez rendre une partie de ce devoir sur feuille libre, ou me l’envoyer
par courriel ».

Un peu plus loin dans le texte de présentation j’insiste :

« A tout moment vous pouvez consulter les cours qui sont sur mon blog, ou me posez des
questions, après les cours, ou par courriel. »
« Rappel : vous pouvez m’envoyer vos réponses scannées par courriel à tout moment. Vous
pouvez m’envoyer les réponses à une seule partie indépendamment des autres. »
« Bien sûr vous avez le droit à toute aide extérieure puisque c’est un devoir à faire chez vous. »

Point positif cette année, beaucoup d’élèves ont utilisé cette possibilité, certaines plusieurs fois
(et cela rapportait 2/2 dans la moyenne à chaque fois, car tout travail permettant de progresser
mérite d’être encouragé (selon moi).

Orthographe et grammaire, ça compte !

Et dans ce cas sur deux points, c’est écrit (et en gras) :

« La propreté, l’orthographe et la grammaire sont prises en compte ! (2 points) »

Les fautes les plus vues pour ce devoir :

- « on n’a » au lieu « on a », si on n’a alors on n’a pas…
- « on transfert » au lieu de « on transfère » (le noyau). Il s’agit du verbe « transférer » qui se
conjugue comme le verbe du premier groupe « chanter ».

Il y a écrit aussi cela :

Vous avez le droit d’utiliser un correcteur d’orthographe et/ou quelqu’un qui vous relit.

Quelques rares élèves ont rédigé leur copie avec un traitement de texte (et me l’ont envoyée à
mon adresse mail, ce n’était bien sûr pas interdit) MAIS le correcteur d’orthographe n’a pas été
utilisé.
Ne faites pas le même « oubli » pour la rédaction du rapport de votre stage en milieu
professionnel, chaque année beaucoup de ceux que je lis sont bourrés (sic !) de fautes
d’orthographe et de grammaire évitables grâce au correcteur fourni par le traitement de texte.
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Reproduction des documents.

Il est écrit :
« Vous avez le droit de reproduire les documents, de les découper pour écrire à l’intérieur ou
autour. Vous pouvez numéroter vos pages et prendre toute initiative utile. »

Cela concerne surtout le document de la 4ème partie, le caryotype de la trisomie 10.

On a étudié en classe deux autres exemples à partir de documents présentant des caryotypes
humains : la trisomie 18 et la trisomie 21.
Il fallait utiliser ces deux exemples pour rédiger sa réponse après avoir découpé le document de
la 4ème partie.
Pour ce qui est de ce que désignent les encadrés A et B, la réponse est aussi dans le cours, et
elle a été montrée en classe comme exercice type brevet « chromosome et caryotype », page
17 (http://lewebpedagogique.com/svttuileriemp/2017/07/13/2017-2018-les-cours-de-3e/cours-
chromosome-caryotype-2017-2018-4/).

Logique de déroulement des trois premières parties :

La 1ère montre que le noyau contient le programme génétique.

La 2ème qu’il contrôle la réalisation du programme génétique, que le cytoplasme et la membrane
ne le contrôlent pas.
La 3ème que le programme génétique d’un individu pluricellulaire est le même dans toutes ses
cellules, même les cellules spécialisées.
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ère
1 partie. L’acétabulaire est une algue unicellulaire. On recherche dans quelle partie de cette
cellule se trouve son programme génétique. Pour cela, on réalise l’expérience suivante :

Expérience de section et de régénération de l’acétabulaire

Question : Dans quelle partie de la cellule se localise son programme génétique ? (2)
Trois hypothèses sur la localisation du programme génétique : dans la membrane, dans
le cytoplasme, dans le noyau.
L’acétabulaire est capable de régénération. S’il y a régénération de la cellule le
programme génétique se trouve dans la partie de la cellule qui a régénéré.
Les parties 3 et 2 de l’acétabulaire ne sont constituées que de la membrane et du
cytoplasme. Si l’un de ces deux constituants de la cellule contient le programme génétique
alors ces parties devraient régénérer.
Ces deux parties isolées ne régénèrent pas : aucune d’entre elles ne contient le programme
génétique.
Donc la membrane ou le cytoplasme ne contiennent pas le Programme Génétique = PG.
La partie 1 régénère et la seule différence entre cette partie et les deux autres c’est la
présence du noyau.
C’est cette différence qui explique la régénération, donc le noyau contient le programme
génétique.
Remarques de correction : Cette algue n’est pas une plante, elle ne se plante pas !
Beaucoup lisent mal ou incomplètement l’énoncé. Au lieu de lire : « Dans quelle partie de la
cellule se localise son programme génétique », beaucoup ont lu « Dans quelle partie de l’algue
se localise le programme génétique ». De ce fait ils ont écrit à propos du pied, de la hampe,…
mais pas de la membrane, du cytoplasme et du noyau.
La conclusion de cet exercice devait être utilisée pour les 2ème et 3ème parties.
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ème
2 partie.
Il existe plusieurs espèces d’acétabulaire. Vers 1930, le biologiste Hammerling réalise les
expériences suivantes :

Question : interpréter les résultats de cette expérience et en tirer les conclusions. Vous pouvez
vous aider de la première partie et des autres questions suivantes : quel programme génétique
contient le noyau de chacune de ces algues ? Qu’est ce qui le prouve ? (6)

Interprétation.

Comme dans la première partie, on sectionne le pied des algues puis on transfère le
noyau d’une acétabulaire crénelée à la place de celui d’une acétabulaire de méditerranée et
réciproquement.

On observe que le programme génétique qui est réalisé est celui contenu dans le noyau
transféré : mis dans le cytoplasme de l’acétabulaire crénelée, le noyau de l’acétabulaire de
méditerranée réalise la construction et le fonctionnement de l’acétabulaire de méditerranée (et
réciproquement).
On observe qu’aucunes parties du cytoplasme et de la membrane régénérée ne
rappellent l’acétabulaire à laquelle ils appartenaient initialement.

Conclusion.

C’est le programme génétique que contient le noyau qui est réalisé, le cytoplasme et la
membrane n’ont pas d’influence.
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ème
3 partie.
En 1960, le biologiste Gurdon réalise l’expérience de transfert de noyau cellulaire suivante :

Question : interpréter les résultats de cette expérience et en tirer les conclusions.

Vous pouvez vous aider de la première et de la deuxième parties et des autres questions
suivantes : quel programme génétique contient le noyau de l’intestin de têtard ? Qu’est ce qui le
prouve ? (6)

Interprétation :
L’expérience de la 1ère partie montre que le noyau contient le programme génétique.
L’expérience de la 2ème partie montre que la réalisation du programme génétique ne dépend
pas du cytoplasme mais du programme génétique contenu dans le noyau.
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Ces expériences se font sur des êtres vivants unicellulaires (constitués d’une seule cellule).
Question : quel est le programme génétique que contient le noyau d’une cellule d’un être vivant
pluricellulaire (constitué de plusieurs cellules la plupart du temps spécialisées) ?
Par exemple, quel programme génétique contient et réalise le noyau d’une cellule intestinale ?

Je copie ici le texte du cours du blog (repris en classe).

La cellule intestinale est une cellule spécialisée : sa construction et son fonctionnement sont
précis, donc son programme génétique l’est aussi par hypothèse.

Cette cellule intestinale, quel programme génétique contient-elle ?

Plusieurs hypothèses possibles.
Uniquement celui qui permet de construire et faire fonctionner un intestin ?
Un programme génétique complet d’un individu ? si oui cet individu sera-t-il albinos, vert ou
tâcheté ?
Le résultat de l’expérience aboutit à construire et faire fonctionner un xénope albinos.
Cette expérience confirme les deux premières : c’est le noyau qui contient le programme
génétique car – si on ne considère que la fabrication de mélanine, le cytoplasme d’ovule vert
n’a joué aucun rôle.

Conclusions.

Le noyau de la cellule d’intestin permet de construire et faire fonctionner un individu

complet.

Le noyau de la cellule d’intestin contient le programme génétique entier d’un individu.

Chaque cellule ne réalise qu’une partie du programme génétique.

Par exemple la cellule intestinale ne réalise que la partie de programme génétique permettant
de construire et faire fonctionner un intestin, tout en contenant le programme génétique complet.
Cela veut dire qu’il y a des mécanismes empêchant ou permettant de réaliser certaines
parties du programme génétique dans chaque cellule.
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ème
4 partie.
Questions : 1- Qu’indiquent les encadrés désignés par les lettres A et B ? (2)
2- Après avoir écrit ce que représente ce document, vous justifierez à quel sexe appartient
l’individu et de quelle anomalie il est atteint. (2)

On pouvait découper le document et suivre le modèle fait en classe avec les trisomies 18 et 21.

Remarquer qu’il n’y a pas de chromosome Y même si la lettre est écrite.