Commerce A4 Escom
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Les difficultés que les personnes pratiquant le troc rencontraient étaient de divers ordres,
notamment :
Face à toutes ces difficultés, certains pays ont institué des « biens » comme instrument
d’échange tels que :
III. LE COMMERCE
a- DEFINITION
Le commerce peut être définit comme étant l’activité qui a pour objet d’acheminer les
produits naturels ou manufacturés des centres de productions ou de collectes vers le
consommateur final. En plus des opérations d’achat-ventes, le commerce englobe toutes les
activités auxiliaires à la distribution des marchandises telles que :
b- UTILITE DU COMMERCE
Au vue de la définition qui précède, on peut relever les utilités suivantes pour le commerce :
c- CLASSIFICATION DU COMMERCE
Le critère géographique ;
Le critère nature de l’activité.
a- Le critère géographique
On distingue :
Le commerce intérieur ;
Le commerce extérieur.
Le commerce extérieur est celui qui va au-delà des frontières nationales : il comprend les
importations, les exportations et le transit.
Les opérations d’achats – ventes décrivent le processus par lequel l’entreprise acquière
et redistribue les biens ou les services qui font l’objet de son activité commerciale. En effet,
l’entreprise se doit de s’appliquer avec minutie dans l’exécution de cette tache qui constitue
l’élément fondamental de la satisfaction des besoins de ses clients. Pour se faire, nous allons
nous attarder tout au long de ce chapitre sur l’étude de la documentation liée à la commande,
la documentation liée à la facturation, et enfin à la documentation liée aux règlements.
1) LA PREPARATION DE LA COMMANDE
La demande d’achat ;
La demande de renseignement ;
L’appel d’offre.
C’est un document qui informe le service des achats des différents besoins des autres services
de l’entreprise. Elle est établie à partir du niveau de stock en magasin.
b) La demande de renseignement
Encore appelée demande de documentation, c’est une lettre par laquelle une personne qui a
besoin des biens ou des services demande à un fournisseur éventuel quelles sont les
conditions de son offre.
c)L’appel d’offre
C’est une sollicitation publique par laquelle l’acheteur invite les fournisseurs potentiels à
présenter leurs offres de produits ou de services.
d) APPLICATION
Pour l’exécution de cette commande, MR ARNAULD précise qu’il souhaite avoir pour
fournisseur les magasins TSEKENIS Yaoundé, et être livré le 30/10/2012 au plus tard.
SOLUTION
Demande de renseignement
2) LA PASSATION DE LA COMMANDE
Une fois l’entreprise a choisit le fournisseur, elle doit passer commande ou informer le dit
fournisseur du choix qu’elle a porté sur lui, et par la même occasion elle doit décrire à son
fournisseur avec détails et précisions les articles dont elle a besoin.
Pour passer commander l’entreprise peut utiliser un certain nombre de documents à savoir :
La lettre de commande ;
Le bon de commande ;
Le bulletin de commande
C’est une simple lettre par laquelle le client passe commande à son fournisseur. Elle est
utilisée pour confirmer une commande passée oralement, ou par les petits commerçants qui
ne disposent pas d’imprimés pré – conçus.
Les inconvénients relatives à l’utilisation de cette lettre peuvent être le fait qu’elle est une
perte de temps, et qu’il ya risque d’oubli d’oublie de certaines mentions importantes.
b) Le bon de commande
C’est un imprimé portant l’entête de l’acheteur utilisé pour passer commande. Il faut relever
que la conception de cet imprimé varie d’une entreprise à une autre, néanmoins, il existe
certaines mentions qu’on devrait obligatoirement retrouver dans celui – ci.
C’est un imprimé que le fournisseur conçoit avec son entête, et met à la disposition de ses
clients afin de lui passer commande. Généralement, il est inséré dans les catalogues, les
journaux etc … Il est conçu de manière à faciliter au maximum son utilisation par le client,
ainsi, la liste des produits vendus par le fournisseur y est dressée, un espace laissé permettra
au client d’indiquer uniquement les quantités désirés, et éventuellement les montants.
APPLICATION
SOLUTION
BP : 33959
TEL : 22 23 36 26
TSEKENIS
BP: 022 YAOUNDE
TEL: 99 26 59 90
BON DE COMMANDE N0 133
YAOUNDE LE 05/10/2012
DESIGNATIONS UNITES QUANTITES OBSERVATIONS
Stylo à bille bleu Paquet 50
Rame de format A4 Rame 100
Stylo à bille rouge paquet 25
Règlement contre SIGNATURE
facture LE CHEF DU SERVICE DES ACHATS
Lorsque le client passe commande, son souhait est que le fournisseur l’ait reçu et qu’il soit
d’accord avec les termes de son ordre d’achat. Il souhaite aussi que les marchandises
parviennent à temps. Ainsi, pour que le fournisseur informe son client de sa position sur la
commande, il retourne un document appelé « bon de commande ou accusé de réception ».
Parfois ce document est inséré par le client sur le bon de commande, sous forme de coupon
détachable vierge, que le fournisseur retournera après l’avoir rempli, s’il se sent capable
d’exécuter la commande. Ce document se présente ainsi :
Quand le client et le fournisseur son entièrement d’accord sur la livraison des marchandises,
le vendeur remplir dont son obligation qui est la livraison des marchandises. Les différents
documents que l’on peut rencontrer lors de la livraison des marchandises sont :
Le bon de livraison ;
Le bon de sortie ;
L’avis d’expédition.
LE BON DE SORTIE : C’est un document qui est établie par le magasinier du fournisseur
lorsque celui-ci se doit de mettre à la disposition d’un autre service les marchandises
commandées.
Lorsque le livreur arrive chez le client, ce dernier doit lui indiquer le magasin pour le
déchargement, et recevoir les deux copies du bon de livraison. Il doit comparer le double du
bon de commande au document reçu, puis payer le transporteur si la livraison est à sa charge.
Après que les marchandises soient livrées, le bon de réception sera remit au fournisseur. Ce
document servira de preuve de la réception des marchandises par le client.
Le stock est géré sur les fiches ou encore sur ordinateur. Les méthodes de gestion des stocks
sont les suivantes :
Après qu’une commande ait été exécutée, le fournisseur se doit de présenter les détail chiffrés
de la dite commande. Ces détails sont fournis dans un document appelé « facture ».
1) Définition
La facture est un document établit par le fournisseur, précisant le détail des marchandises
achetées, leurs prix, le montant net à payer, et éventuellement les conditions de livraison et de
règlement.
2) Etablissement de la facture
Pour établir soigneusement une facture, on a besoin d’un certain nombre de document à
savoir :
Il existe plusieurs types de facture qu’on peut regrouper en deux catégories à savoir :
Il s’agit des factures utilisées régulièrement dans le processus d’achat vente. Il s’agit de :
La facture simple ou facture doit qui est généralement établie lorsque le client et son
fournisseur sont dans la même ville ;
La facture d’envoi qui est toujours une facture doit, mais ici les parties sont dans des
villes différentes
La facture d’avoir ou note de crédit : elle constate la dette du fournisseur vis-à-vis
de son client, à l’occasion soit d’un retour au fournisseur des marchandises non
conformes, soit des réductions accordées hors factures ;
Le relevé de facture qui est utilisé pour les clients qui font plusieurs achats
journaliers ou hebdomadaires chez le même fournisseur. Ce document regroupe toutes
ces transactions pendant une période précise, et fait l’objet d’un règlement unique.
LA facture pro forma : il présente le montant net d’un futur achat. Utilisée dans le
commerce international, elle permet de trouver l’origine des marchandises.
La facture conditionnelle : dans le commerce international, elle permet au
fournisseur qui ne dispose pas de tous les éléments nécessaires pour constituer une
facture, de donner une idée estimative du prix à son client.
La facture consulaire: c’est une facture utilisée dans le commerce international pour
prouver l’origine des marchandises. Elle préfigure les marchandises.
La facture à la commission: C’est une facture établie par les auxiliaires du
commerce.
La facture protestable: c’est une facture assortie d’une procédure de recouvrement
par l’intermédiaire d’une banque ou d’un établissement financier assimilé.
La facture acquittée: c’est une facture payée en espèce et sur laquelle le fournisseur a
mentionné l’acquittement. Exemple d’acquit de facture : pour acquit ; reçu la somme
de …
APPLICATION
Le 1er décembre 2012, le super marché SNOB BAZAR BP 112 Yaoundé, téléphone 24 25 45
13 situé au carrefour EMIA se fait livré les marchandises ci-après par les ETS NZIKO BP
1423 Yaoundé tél 28 43 33 12 :
SNOB BAZAR bénéficie souvent d’une remise de 5% et d’un escompte de 2%. Etablir la
facture doit N0 120 qui accompagne les marchandises.
Les opérations d’achat ventes de marchandises font naitre les règlements. Le règlement
consiste pour l’acheteur de payer au vendeur le prix qui est porté sur la facture. Il existe deux
types de règlements à savoir :
Le règlement en espèce ;
Le règlement par chèque bancaire ;
Le règlement par chèque postal ;
Le règlement par virement bancaire.
1) Le règlement en espèce
a) définition
Le règlement en espèce est le fait pour le client de payer son fournisseur à l’aide de la
monnaie (billets de banque, et pièces d’argent).
b) Principe
le règlement en espèce est régulier dans le commerce en détail. Ici, l’acheteur utilise les billets
de banque ou les pièces.
le reçu ;
la quittance ;
le ticket de caisse.
LE RECU est un écrit qui constate la remise d’une somme d’argent, d’un chèque ou d’un
objet quel conque. Il se présente ainsi :
SOLUTION
Dans les opérations d’achats – ventes, l’acheteur peut aussi régler sa facture par un chèque
bancaire. Ce cheque permet au fournisseur d’entrer en possession de son argent.
i) définition
Le chèque bancaire est un écrit par lequel une personne appelée tireur quia constitué des fonds
chez une personne appelée tiré, donne l’ordre à cette personne de payer une somme
déterminée à elle même ou à une troisième personne appelée bénéficiaire.
EXEMPLE : BOUBA émet un chèque à l’ordre de MESSI d’un montant de 500 000F payable
à la BICEC agence centrale. TAF : Etablir le chèque
Les commerçants peuvent passer par les postes et télécommunication pour effectuer des
recouvrements ou paiement par mandat poste, chèque et virement postal.
i) Le mandat poste
Définition
Le mandat poste est un document utilisé pour transférer des fonds d’un bureau de poste à un
autre, pour le compte du bénéficiaire.
Le mandat lettre : on parle de mandat lettre lorsque le titre du mandat est envoyé au
bénéficiaire par l’expéditeur ;
Le mandat carte : on parle de mandat carte lorsque la poste se charge d’envoyer le titre
de mandat au bénéficiaire ou destinataire ;
Le mandat télégraphique : dans le cas du mandat télégraphique, la somme et les
adresses sont transmises au bénéficiaire sous forme de message télégraphique.
Le chèque postal est un écrit par lequel une personne appelée tireur quia constitué des fonds
dans un centre de chèques postaux appelé tiré, donne l’ordre à cette personne de payer une
somme déterminée à elle même ou à une troisième personne appelée bénéficiaire. Quand le
bénéficiaire du chèque postal n’est pas titulaire d’un compte courant bancaire ou d’un compte
courant postal, ou s’il préfère encaisser le montant du chèque en espèce, le chèque prend le
nom de chèque d’assignation ; dans le cas contraire il porte le nom de chèque de virement.
1) DEFINITION
Un effet de commerce est un moyen de paiement utilisé dans le commerce pour les moyens de
règlement des créances. Ou encore ce sont des titres négociables, permettant la réalisation
d’un paiement ou la mobilisation d’une créance. On dit qu’une créance est mobilisable
lorsqu’elle est matérialisée sous forme d’un effet de commerce négociable, c'est-à-dire
vendable ou escomptable. Il existe deux types d’effet de commerce :
LA LETTRE DE CHANGE OU TRAITE qui est un écrit par lequel une personne appelée
tireur donne l’ordre à une autre personne appelée tiré de payer une somme déterminée à une
certaine échéance, à quelqu’un qui peut être le tireur lui-même ou un tiers.
LE BILLET A ORDRE qui est un écrit par lequel une personne appelée souscripteur
s’engage à payer une somme déterminée à une certaine échéance, à l’ordre d’un bénéficiaire.
I.DEFINITION
Dans le domaine du commerce, la définition du terme crédit peut se faire sous deux volets :
Accorder un crédit à une personne signifie lui vendre des marchandises en contre partie d’un
engagement écrit ou oral selon lequel il paiera ultérieurement ;
Accorder un crédit à une personne consiste à lui prêter de l’argent pour un remboursement
ultérieur. Ainsi, cette opération de prêt peut se faire entre deux personnes ou entre un
établissement de crédit et son client.
En effet, le mot crédit dérive du vocable CREDERE qui signifie croire ou faire confiance.
Ce qui signifie une prise importante de risque pour le vendeur qui peut ne jamais être payé, ou
pour le prêteur qui peut ne jamais être remboursé. A cet effet, certaines précautions sont prises
pour éviter ce type de désagrément, notamment :
Il existe plusieurs types de crédit, mais classifiés selon des critères précis à savoir :
Le crédit commercial : il est accordé par le commerçant vendeur, à son client, qui
peut être un commerçant ou un particulier ;
Le crédit bancaire : il est accordé par les établissements de crédit agrées, soit aux
particuliers, soit aux commerçants.
Le crédit à court terme : c’est celui dont la durée est inférieur à 4 ans ;
Le crédit à moyen terme : c’est celui dont la durée est compris entre 4 et 7 ans ;
Le crédit à long terme : c’est celui dont la durée est supérieure à 7 ans.
I.DEFINITION
Les intermédiaires de commerce sont des personnes qui mettent en rapport deux autres
personnes en vue de la conclusion d’un contrat.
Ils sont aussi des personnes qui posent des actes pour le compte d’autres personnes appelées
commettant, et de qui elles reçoivent une rémunération.
Les coursiers ;
Les commissionnaires
Les agents commerciaux ;
Les représentants ;
Les conseillers.
1) LES COURSIERS
Le coursier est un intermédiaire qui rapproche deux personnes pour faciliter la conclusion
d’un contrat entre elles.
N’agissant pas en son propre nom, le coursier reçoit une rémunération appelée « courtage »,
qui est un pourcentage de la valeur de l’opération réalisée. La dite rémunération est supportée
par les deux parties contractantes. Exemple les opérations d’achats – ventes de
marchandises, de fond de commerce, contrat publicitaire, les assurances terrestres et
maritimes. A cet effet on distingue plusieurs types de coursiers à savoir :
2) LES COMMISSIONNAIRES
Il agit en son nom propre, et perçoit une rémunération appelée « commission ». A cet effet, le
commissionnaire est tenu d’une part d’exécuter l’ordre du commettant, aux conditions que ce
dernier fixe ; il doit rendre compte au commettant du déroulement de l’opération, et il ne peut
se porter contre partie du commettant, sans l’en prévenir.
D’autres parts le commettant est tenu d’exécuter les engagements pris en son nom par le
commissionnaire, puis il doit payer la commission convenue et rembourser les frais engagés.
On distingue plusieurs types de commissionnaires à savoir :
Le représentant est un intermédiaire non – commerçant qui vend ou achète pour le compte du
commettant auquel il est lié par un contrat de travail. Son salaire est généralement mixte, on y
retrouve un salaire fixe, plus une commission sur les ventes réalisées. Il peut être attaché à
une ou plusieurs maisons commettants.
On parle de placier lorsqu’il est attaché à une seule entreprise et visite la clientèle
locale ;
On parle de représentant lorsqu’il visite la clientèle dans un secteur déterminé, à
l’exemple d’une région ;
On parle de voyageur lorsqu’il visite une clientèle repartie sur plusieurs régions, ou
plusieurs secteurs déterminés.
L’agent commercial est un mandataire qui achète ou vend pour le compte d’un ou de plusieurs
mandants auxquels le lie un contrat à durée déterminée ou nom.
L’agent commercial reçoit de son mandant une carte lui permettant d’opérer dans une région
déterminée ou il peut éventuellement bénéficier de l’exclusivité qu’il facture au nom de ses
mandants, et perçoit un pourcentage sur les opérations réalisées. Il doit être immatriculé au
registre du commerce, et peut exercer une activité commerciale en son propre nom.
5) LES CONSEILLERS
Ce sont des spécialistes qui aident le commerçant à prendre certaines décisions et à remplir
certaines formalités. On distingue :
La banque est une entreprise ou un établissement qui fait profession habituelle de recevoir des
fonds du public, qu’elle emploi pour son propre compte.
Le banquier est un commerçant qui vend des capitaux à travers des opérations d’escompte, de
crédits, des opérations financières ou de placement. Ainsi, le rôle de la banque se résume en
deux principaux aspects :
Le rôle d’intermédiaire entre ceux qui possèdent des capitaux excédentaires et ceux
qui en ont besoin pour leur investissement ;
Le rôle de caissier déposant qui peut effectuer des paiements et des recouvrements
face à elle.
De ce fait, les bénéfices de la banque résultent d’une part de la différence entre l’intérêt versé
aux déposants et celui reçu des emprunteurs, d’autres parts les commissions reçues pour les
services qu’elle rend, notamment le recouvrement, le paiement pour le compte de ses clients,
la garde des objets précieux …
Pour permettre que la profession bancaire soit assainit dans l’intérêt du public et de
l’économie nationale, certaines règles sont à respecter telles que :
Les interdits bancaires : ce sont des personnes auxquelles il n’est pas permit d’exercer la
profession bancaire, ou encore d’effectuer certaines opérations à la banque. C’est le cas des
personnes frappées de condamnation (vol, abus de confiance, escroquerie, émission de
chèques sans provision …), les gérants et administrateurs des sociétés tombées en faillite ;
Les règles selon lesquelles seules les établissements qui figurent sur une liste officielle des
banquiers ont le droit d’exercer la dites profession ;
La constitution juridiques des banques se fait sous des formes biens précises, notamment les
SA, les SNC, les SCS, les sociétés coopératives etc …
Le capital minimum des banques est fixé suivant leur forme juridique, leur classification, et le
nombre de leur siège d’exploitation.
Les institutions financières peuvent être classées en deux principales catégories à savoir :
Les banques d’émission : encore appelée banque centrale, qui détient le privilège au sein d’un
territoire précis, d’émettre de la monnaie fiduciaire. En Afrique centrale, ce rôle est assuré par
la BEAC ;
Les banques commerciales : qui sont des établissements financiers chargés de la collecte des
fonds du public et des opérations financières à court, moyen et long termes. Exemple La
SGBC, la BICEC.
Par ailleurs, il existe une catégorie d’établissement qui, sans émettre, ni créer de la monnaie
jouent un rôle dans la collecte et la circulation de la monnaie. Ce sont :
Le marché est un lieu de rencontre entre les offreurs et les demandeurs d’un produit ou d’un
bien ou service.
Etudier un marché c’est donc d’abord repérer, puis caractériser les acteurs de la demande,
ensuite c’est étudier l’offre (concurrents et distributeurs) et également s’intéresser à
l’environnement de l’entreprise.
Le marché peut aussi être définit selon PHILIPPE COTLER comme « l’ensemble des
clients capables et désireux de procéder à un échange leur permettant de satisfaire un
besoin ou un désir ».
Dans un marché, l’offre est considérée comme la quantité d’un bien ou d’un service qui peut
être vendu sur un marché, à un prix donné. La demande quand à elle est la quantité de biens
ou de services que les consommateurs sont disposés à acquérir à un prix donné. Ainsi, la loi
de l’offre et de la demande est une loi économique qui permet de déterminer un prix selon que
le volume de l’offre d’un produit ou d’un service soit égal au volume de sa demande.
II.ETUDE DU MARCHE
La technique de l’entretien ;
La technique du test.
a) La technique de l’entretien
b) La technique du test
Ici on retrouve :
Les tests projectifs et associatifs : il permet à une personne de projeter ses motivations
et ses besoins à partir d’une photo ou d’une description par exemple ;
Les tests expérimentaux : ils permettent de mesurer l’intérêt manifesté par une
personne, pour un emballage, un produit, une publicité, etc…
Ces études ont pour but de permettre à l’entreprise d’obtenir des informations chiffrées et
d’apporter des réponses à certaines questions. A cet effet, on utilise les techniques telles que :
Les enquêtes ;
Le sondage ;
Le recensement.
Le marché d’une entreprise étant vaste et évolutif, elle se doit de mettre en place un marketing
de ciblage pour bien vendre ses produits et services. C’est dans cette logique que s’inscrit la
politique de la « segmentation du marché ».