Le Cloud Computing.
Le Cloud Computing.
Le Cloud Computing.
Remerciements
Nous souhaite avant tout remercier notre directeur de projet, NINDJIN
MANLAN, pour le temps qu’il a consacré à nous apporter les outils
méthodologiques indispensables à la conduite de cette recherche. Son exigence
nous a grandement stimulés.
L’enseignement de qualité dispensé par le Département « ITER » a également su
nourrir nos réflexions et a représenté une profonde satisfaction intellectuelle,
merci donc aux enseignants-chercheurs. Je désire aussi remercier les professeurs
de l’UTT LOKO, qui continuent de nous fournir les outils nécessaires à la
réussite de nos études universitaires.
Enfin nous voudrons exprimer notre reconnaissance envers les amis et collègues
qui nous ont apporté leur soutien moral et intellectuel tout au long de notre
démarche.
Explication des mots difficile
Mainframe : sont des ordinateurs hautes performances dotés de grandes
quantités de mémoire et de processeurs qui traitent des milliards de calculs et de
transactions simples en temps réel.
Le CRM ou gestion de la relation client (Customer Relationship
Management) est une stratégie de gestion des relations et interactions d'une
entreprise avec ses clients ou clients potentiels.
ASP : est un framework permettant de générer à la demande des pages web,
lancés par Microsoft en juillet 2000.
NIST : National Institute of Standards and Technology
Un pare-feu : est un logiciel et/ou un matériel permettant de faire respecter la
politique de sécurité du réseau,
Bare-metal : un système informatique matériel utilisé sans système
d'exploitation complexe mais directement par un programme, généralement à
l'aide d'une bibliothèque spécialisée.
OpenStack : est un ensemble de logiciels open source permettant de déployer
des infrastructures de cloud computing
Stateful : est un pare-feu qui garde en mémoire l'état de connexions réseau
(comme les flux TCP, les communications UDP) qui le traversent
Stateless : Un processus ou une application sans état est indépendant. Il ne
stocke pas de données et ne fait référence à aucune transaction passée. Chaque
transaction est effectuée à partir de rien, comme si c'était la première fois.
Le big data : les mégadonnées ou les données massives, désigne les ressources
d’informations dont les caractéristiques en termes de volume, de vélocité et de
variété imposent l’utilisation de technologies et de méthodes analytiques
particulières pour créer de la valeur.
Ceph : est une solution libre de stockage distribué.
Data lakes : Un lac de données est une méthode de stockage de données
massives utilisée par le big data.
Middleware ou intergicie :l est un logiciel tiers qui crée un réseau d'échange
d'informations entre différentes applications informatiques.
VPN : est un système permettant de créer un lien direct entre des ordinateurs
distants, qui isole leurs échanges du reste du trafic se déroulant sur des réseaux
de télécommunication publics.
API : une interface de programmation d’applications
VoIP : signifie Voice Over Internet Protocol, c'est-à-dire transmission de la voix
par Internet. C'est une technologie qui permet la communication par la voix ou
multimédia, vidéo ou flux audio, par le réseau Internet (IP).
Un PBX : (Private Branch Exchange), ou autocommutateur téléphonique privé,
HPPT : L’Hypertext Transfer Protocol est un protocole de communication
client-serveur développé pour le World Wide Web
Historique
Pour localiser du cloud, nous devons remonter depuis les années 1950.
(Longtemps avant que ne naisse l'expression « cloud computing »). À cette
époque, les utilisateurs accédaient depuis leurs terminaux à des applications
fonctionnant sur des systèmes centraux partagés (les mainframes), ancêtres des
serveurs du cloud. L'idée qu'on puisse s'abstraire du mainframe et juste accéder à
ses services est alors proposée par John Mc Carthy en 1961 :
« L'informatique pourrait un jour être organisée comme un service public, tout
comme le système téléphonique l'est. Le service public de l'informatique
pourrait devenir la base d'une nouvelle et importante industrie»
Les architectes de réseaux (ceux qui conçoivent les réseaux intra- et inter-
entreprises) schématisaient cet accès par un nuage dans leurs croquis. En
anglais, on parlait alors de « the cloud ». Après l'apparition d'Internet (vers
1980), ce mode d'accès a été supposé par défaut.
La popularisation d'Internet grâce aux navigateurs (1994) amena des cadres
de Compaq et Sean O'Sullivan (en) à proposer le concept et le terme « cloud
computing », mais l'idée ne rencontra pas de succès à l'époque. En effet le terme
« cloud » a été utilisé pour la première fois au sein de l’environnement
académique en 1997 par le professeur Ramnath Chellappa, qui l’a défini comme
un « nouveau paradigme informatique »
Au début des années 2000 sont apparus des hébergeurs web capables d'héberger
des applications dans leurs locaux informatiques. En
particulier, Google et Amazon ont simultanément repris le terme « cloud
computing » en 2006. Dans ce contexte, l'ancêtre du SaaS correspondait au ASP.
Les premières applications Web 2.0, qui ont été déployées en cloud computing,
sont le courrier électronique, les outils collaboratifs, le CRM(Customer
Relationship Management), les environnements de développement et de test
(informatique).
La promotion du cloud computing public a été rendue possible par la
généralisation des accès à Internet des particuliers (avec 75 % des ménages
français équipés d'Internet à domicile, selon les données de 2011 du Crédoc) et
des entreprises. Le phénomène a aussi bénéficié de l'augmentation considérable
de la puissance des équipements informatiques qui ont permis aux hébergeurs de
proposer des tarifs de plus en plus intéressants. En ce sens, la mode du cloud
computing tire parti : de l'augmentation considérable de puissance des serveurs
(la fréquence de fonctionnement des serveurs a été multipliée par un facteur 10,
entre 1998 et 2008, les processeurs comportent entre quatre et dix cœurs); et de
la baisse des coûts de stockage (pour le prix d'un disque dur de 1,2 Go en 2000,
on a, en 2013, un disque de 1 000 Go).
En cloud computing, les entreprises ne se servent plus de leurs serveurs
informatiques, mais accèdent à des services en ligne d'une infrastructure gérée
par le fournisseur. Les applications et les données ne se trouvent plus sur
l'ordinateur local, mais dans un nuage composé de serveurs distants
interconnectés. Compte tenu de la complexité des liaisons réseau et de la
multiplicité des intervenants (fournisseur d'accès à Internet, hébergeur, éditeur,
distributeur, revendeur), le fonctionnement en cloud diminue la continuité et
la qualité du service par rapport à celle d'une application de qualité
professionnelle hébergée en interne. En 2009, moins de 10 % des entreprises
interrogées mentionnaient recourir à des services de cloud computing dans le
domaine de l’hébergement de leurs infrastructures et applications informatiques.
Ce concept est présenté comme une évolution majeure par certains analystes très
connus, comme le Gartner Group, et comme une mode correspondant à des
motivations commerciales, par d'autres spécialistes.
On peut considérer que le cloud computing, associé à une disponibilité des accès
au réseau internet en haut débit et en très haut débit interconnectés, a fait
émerger tout un secteur d'activité, des entités qui, de manière transverse, offrent
des services Web à destination du grand public sous forme d'applications
Web ou, plus spécifiquement, à destination du secteur professionnel, nécessitant
une approche orientée services et des prestations productives
(dématérialisation, gestion de contenus), architecturés sur mesure. Les solutions
Open Source Cloud entrent également sur le marché avec des exigences de plus
en plus complexes des entreprises.
Introduction
Le cloud est une infrastructure de stockage de données gérer par des serveurs
distant accessibles uniquement via une liaison internet sécurisée. Cette
technologie est une nouvelle "tendance" qui a fait son apparition dans le monde
de l'IT (information Technologies : Technologies de l'information et de la
communication). Elle s'appuie sur le WEB 2.0, offre des occasions aux sociétés
de réduire les coûts d'exploitation des logiciels par leurs utilisations directement
en ligne.
Dans ce document nous allons présenter d’abord les éléments constitutifs du
Cloud Computing, ses enjeux, ses évolutions et son utilité ainsi que la
technologie qui la constitue et les différents acteurs du secteur. Tout en faisant
ressortir ses avantages et ses limites.
1- La virtualisation
La virtualisation se définit comme l'ensemble des techniques matérielles et/ou
logiciels qui permettent de faire fonctionner sur une seule machine, plusieurs
systèmes d'exploitation (appelées machines virtuelles (VM), ou encore OS
invitée) car la grande majorité des environnements cloud performants sont basés
sur une infrastructure virtualisée. Cela fait déjà plusieurs années que la
virtualisation est utilisée avec succès dans les centres de données en tant que
stratégie de consolidation des serveurs. Utilisée de façon plus large pour mettre
en commun les ressources d’infrastructure, la virtualisation peut également
fournir les éléments constitutifs élémentaires requis pour améliorer l’agilité et la
flexibilité de votre environnement cloud. Actuellement, la virtualisation
continue à porter essentiellement sur les serveurs. On observe toutefois
l’émergence d’une stratégie globale de virtualisation des ressources de stockage
et de gestion réseau. Dans une enquête internationale menée auprès de 505
responsables de centres de données, Gartner a établi que le taux de
virtualisation des charges de travail d’infrastructure (effectives ou planifiées)
allait passer d’environ 60 % en 2012 à près de 90 % en 2014.
La virtualisation des serveurs permet aussi une plus grande modularité dans la
répartition des charges et la reconfiguration des serveurs en cas d'évolution ou
de défaillance momentanée. Les intérêts de la virtualisation sont multiples, on
peut citer :
L'utilisation optimale des ressources d'un parc de machines (répartition
des machines virtuelles sur les machines physiques en fonction des
charges respectives).
L'économie sur le matériel (consommation électrique, entretien physique,
surveillance).
L'installation, tests, développements sans endommager le système hôte.
2- Le Datacenter
Un centre de traitement de données (data center en anglais) est un site physique
sur lequel se trouvent regroupés des équipements constituants le système
d'information de l'entreprise (mainframes, serveurs, baies de stockage,
équipements réseaux et de télécommunications, etc.). Il peut être interne et/ou
externe à l'entreprise, exploité ou non avec le soutien des prestataires. Il
comprend en général un contrôle sur l'environnement (climatisation, système
de prévention contre l'incendie, etc.), une alimentation d'urgence et
redondante, ainsi qu'une sécurité physique élevée.
Cette infrastructure peut être propre à une entreprise et utilisée par elle seule ou
à des fins commerciales. Ainsi, des particuliers ou des entreprises peuvent venir
y stocker leurs données suivant des modalités bien définies.
3- La plateforme collaborative
Une plate-forme de travail collaborative est un espace de travail virtuel. C'est un
site qui centralise tous les outils liés à la conduite d'un projet et les met à
disposition des acteurs.
L'objectif du travail collaboratif est de faciliter et d'optimiser la communication
entre les individus dans le cadre du travail ou d'une tâche.
Les plates-formes collaboratives intègrent généralement les éléments suivants :
Des outils informatiques.
Des guides ou méthodes de travail en groupe, pour améliorer la
communication, la production, la coordination.
Un service de messagerie.
Un système de partage des ressources et des fichiers.
Des outils de type forum, pages de discussions
Un trombinoscope, ou annuaire des profils des utilisateurs.
Des groupes, par projet ou par thématique.
UN calendrier.
Un cloud hybride bien conçu, bien intégré et bien géré peut être aussi sûr qu'une
architecture informatique traditionnelle sur site. Bien qu'il existe
quelques problèmes de sécurité spécifiques du cloud hybride (comme la
migration des données, l'accroissement de la complexité et l'élargissement de la
surface attaquable), la présence de plusieurs environnements constitue une
barrière solide contre les risques de sécurité. Tous ces environnements
étroitement liés permettent aux entreprises de choisir où placer les données
sensibles en fonction des exigences. De leur côté, les équipes chargées de la
sécurité peuvent standardiser les systèmes redondants de stockage dans le
cloud qui facilitent la récupération après sinistre.
4- Le Cloud communauté
L'architecture cloud peut varier selon ce que vous essayez de faire, cependant, la
plupart des clouds nécessitent du matériel, des solutions de middleware, des
solutions de gestion et des logiciels d'automatisation. La plupart des clouds font
appel à la virtualisation pour extraire les ressources matérielles et les transférer
dans des data lakes gérés de façon centralisée, alors que d'autres clouds, les
« clouds nus », connectent directement les clients au matériel.
2- Les types de Cloud et leurs architectures
a- Infrastructure as a Service(IAAS)
A partir de ce moment-là, lorsque vous optez pour ce type de service vous devez
gérer l’intégralité du serveur c’est-à-dire de la couche système d’exploitation à
la couche applicative. On vous fournit de la puissance de calcul, de l’espace
de stockage et une connectivité réseau.
En clair, on vous fournit les ressources matérielles et le serveur virtuel puis vous
vous débrouillez.
b- Plateform as a Service(PAAS)
Le sigle « PaaS » signifie quant à lui « Plateform as a Service » c’est-à-dire
qu’on vous met à disposition un serveur virtuel avec un système d’exploitation
installé et configuré. Ainsi, vous pouvez déployer vos applications sur le
serveur, comme des applications métiers que vous devez configurer vous-
mêmes.
c- Software as a Service
Ce service est encore à l’heure actuelle une pièce émergente du puzzle Cloud,
mais une partie intégrante pour l’avenir. De la même manière que les entreprises
ont réalisée que leur infrastructure et leurs applications clés nécessitaient des
outils de surveillance qui garantiraient l’élimination proactive de tout risque de
temps d’arrêt, la surveillance en tant que service offre la possibilité de décharger
une grande majorité de ces coûts en la faisant fonctionner en tant que service
plutôt qu’en un outil entièrement investi dans l’interne. Ainsi, par exemple, en
se connectant à un client léger ou à un tableau de bord Web central hébergé par
le fournisseur de services, le consommateur peut surveiller l’état de ses
applications clés, quel que soit son emplacement. Ajoutez les avantages d’un
processus de configuration et d’achat facile et le MaaS pourrait être un paiement
clé lorsque vous utilisez un modèle pour la réduction des risques des
applications qui sont initialement migrées vers le Cloud.
Les données en tant que service sont similaires au SaaS, elles peuvent même être
considérées comme un sous-ensemble du SaaS. Plus précisément, il s’agit d’une
API (généralement HTTP), qui renvoie certaines données, par exemple les taux
de change, les résultats sportifs ou les prévisions météorologiques.
Le Function as a Service est encore plus simple que PaaS. Comme son nom
l'indique, elle est basée sur les fonctions qui peuvent être déclenchées par un
événement donné, il s'agit donc d'une architecture basée sur les événements. Le
niveau de simplicité est si élevé qu'on l'appelle une architecture sans serveur. Le
développeur écrit simplement une fonction et n'a pas à se préoccuper de sujets
tels que le déploiement, les ressources du serveur, l'évolutivité... C'est parce que
FaaS est auto-évolutif. Par conséquent, la facturation est basée sur la
consommation réelle, et non sur les besoins en ressources déclarés.
XaaS exploite l’informatique dans le cloud au lieu de logiciels locaux sur site
pour fournir divers services et atteindre les clients. Cela vous donne plus de
flexibilité pour gérer votre entreprise sur des serveurs hébergés dans un entrepôt
ou même sur site.
Après avoir apporté des modifications ou téléchargé des données à partir de cet
espace de travail, le navigateur envoie la demande à la plate-forme. En général,
la plate-forme fonctionne sur des serveurs sur site, chez un fournisseur de
services de cloud ou sur un réseau web.
Avec une plateforme XaaS, il n’est pas nécessaire de se préoccuper de la mise
en place d’un stockage sur site, de services web, de matériel ou de logiciels
personnalisés. Tout dépend du service proposé par la société XaaS.
Au lieu de tout construire en interne, les entreprises peuvent acheter une licence
de produit XaaS pour une période prolongée et profiter de son infrastructure
étendue.
Tant que le produit XaaS est disponible, cela peut être lucratif.
Mais « tout » est une catégorie très large, ce qui peut parfois rendre le concept
d’entreprise XaaS difficile à appréhender.
L’un des grands avantages du cloud est sa flexibilité. En effet, il est possible de
faire évoluer une infrastructure cloud en fonction des besoins de l’entreprise.
Les capacités souscrites dans le cadre de son abonnement sont ajustables pour
faire face aux pics d’activités. Le cloud permet d’accompagner le
développement d’une activité. L’entreprise est libérée des contraintes liées à son
parc informatique, notamment en termes de puissance de calcul, d’espace de
stockage ou encore de nombre d’utilisateurs. Le Cloud Computing peut
permettre d'effectuer des économies, notamment grâce à la mutualisation des
services sur un grand nombre de clients. Certains analystes indiquent que 20 à
25 % d'économies pourraient être réalisées par les gouvernements sur leur
budget informatique s'ils migraient vers le Cloud Computing. Comme pour la
virtualisation, l'informatique dans le Cloud peut être aussi intéressante pour le
client grâce à son évolutivité. En effet, le coût est fonction de la durée de
l'utilisation du service rendu et ne nécessite aucun investissement préalable
(homme ou machine). L'« élasticité » du nuage permet de fournir des services
évolutifs et peut permettre de supporter des montées en charge. Inversement, le
fournisseur a la maîtrise sur les investissements, est maître des tarifs et du
catalogue des offres, et peut se rémunérer d'autant plus facilement que les clients
sont captifs. L'abonnement à des services de Cloud Computing peut permettre à
l'entreprise de ne plus avoir à acquérir des actifs informatiques et nécessitant une
durée d'amortissement. Les dépenses informatiques peuvent être comptabilisées
en tant que dépenses de fonctionnement.
Agilité et accessibilité
Rapidité et simplicité
En effet le fait que l'on ne peut pas toujours exporter les données d'un service
cloud, la réversibilité (ou les coûts de sortie associés) n'est pas toujours prise en
compte dans le cadre du projet. Le client se trouve souvent « piégé » par son
prestataire, et c'est seulement lorsqu'il y a des problèmes (changement des
termes du contrat ou des conditions générales d'utilisation, augmentation du prix
du service, besoin d'accéder à ses données en local, etc.) qu'il se rend compte de
l'enfermement propriétaire (vendor lock-in) dans lequel il se trouve.
L'utilisation des réseaux publics, dans le cas du cloud public, entraîne des
risques liés à la sécurité du cloud. En effet, la connexion entre les postes et les
serveurs applicatifs passe par le réseau Internet et expose à des risques
supplémentaires de cyberattaques et de violation de confidentialité. Le risque
existe pour les particuliers, mais aussi pour les grandes et moyennes entreprises,
qui ont depuis longtemps protégé leurs serveurs et leurs applications des
attaques venues de l'extérieur, grâce à des réseaux internes cloisonnés ;
Des questions juridiques sont posées par l'absence de localisation précise des
données du cloud computing. Les lois en vigueur s'appliquent, mais pour quel
serveur, quel centre de données et, surtout, quel pays ? ;
V- Le futur du cloud
Le cloud computing est devenu l'un des rouages les plus essentiels pour faire
fonctionner les entreprises et les institutions gouvernementales au cours de la
dernière décennie. En effet, elles l'ont adopté dans la mesure où celui-ci est
fondamental pour le fonctionnement d'une économie moderne. Le cloud computing
a permis la création très rapide de nouvelles entreprises et leur a permis de se
développer à travers le monde à un rythme sans précédent.
Effectivement des grands noms comme Google, IBM, Amazon, Microsoft et
bien d’autres sont de gros acteurs sur le marché du cloud computing mais ils
favorisent l’arrivée d’innovations et d’améliorations dans le secteur du cloud.
Une véritable démocratisation et simplification des usages a lieu grâce à eux.
Des évolutions importantes sont encore à prévoir : les serveurs sont
devenus virtuels tout comme le stockage, les programmes et le réseau.
Dans les années à venir on pourrait voir des évolutions qui répondraient
aux attentes des DSI qui ont besoin d’une infrastructure
scalable automatiquement, d’une agilité optimale, de temps de réponse
très courts et bien sûr tout en respectant un budget serré.
Le nomadisme au travail est aussi un facteur qui a favorisé le développement
massif du stockage de données et de programmes. La mobilité des entreprises et
leur internationalisation favorise le télétravail. L’accès à des logiciels,
programmes et données est donc un enjeu majeur dans l’entreprise actuelle et
future.
La loi sur la protection des données personnelles, le RGPD (ou GDPR en
anglais) demande de prendre les mesures nécessaires pour se mettre en
conformité. Cela implique pour certains secteurs comme l’assurance, la santé,
les avocats, la médecine, les hôpitaux … de mettre leurs données en lieu sûr
avec un hébergement dédié.
Conclusion
En guise de conclusion nous pouvons affirmer que malgré beaucoup de
réticences à son utilisation lié à la sécurité des données, le Cloud est un outils
informatiques le plus sécurisé car chaque jour des ingénieurs s’y mettent pour le
rendre plus fiable et moins complexe à l’utilisation et en plus. En effet les
avantages qu’il possède font de lui un outil indispensable que ce soit pour les
petites ou grandes entreprises.
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