Biophysique
Biophysique
Biophysique
L’osmolalité est le nombre d’unité cinétique par unité de masse (ou de volume) de
solvant :
L’équivalence est le nombre de charge par volume de solution :
Relation entre molalité et molarité :
Activité Métabolisme
dormir 35
Etre étendu 40
Etre debout 60
Marcher 140
Vélo 250
Courir 650
Grelotter 250
80% de l’énergie consommée est convertie sous forme de chaleur. La chaleur est défini comme
étant le degré d’agitation des molécules.
Le transfert de la chaleur s’opère selon trois mécanismes.
La conduction est de l’énergie cinétique transmise de molécule en molécule par des
chocs.
La convection est la diffusion de molécules de hautes énergie vers des zones de basses
énergies.
La radiation est un phénomène électromagnétique où les électrons émettent des photons.
Conduction :
On appelle flux de chaleur la quantité de chaleur transférée par unité de temps. Il est évident
que
par .
Transpiration :
Les glandes sudoripares eccrines sont responsables du contrôle de la régulation thermique. La
chaleur latente de vaporisation de l’eau à 100°C est . La chaleur relarguée par la
transpiration est de .
Grelottement :
La surface de la peau a besoin d’être à 30°C ou plus. En dessous de cette température critique, le
métabolisme augmente (tremblement) pour maintenir la température du corps.
Composition chimique et répartition dans l’organisme :
Concentration Plasma Copartiment Compartiment
interstitiel cellulaire
meq/Lplasma mmol/Lplasma mmol/Leau meq/L mmol/L meq/Leau mmol/Leau
Urée 5 5 5
Glucose 5 5 variable
La viscosité dans la membrane n’est pas bien connue : le coefficient de diffusion dans la
Débit volumique :
Mobilité ionique :
La migration fait migrer les charges vers des zones de basses énergies.
La conductivité molaire est liée à la mobilité ionique : où b est la mobilité
ionique en
Si les concentrations d’ions sont différents de part et d’autres de la membrane, il existe
alors une différence de potentiel au niveau de la membrane.
Dans la première figure, il y a équilibre de sorte qu’aucune diffusion n’a lieu. Dans la seconde
figure, la diffusion électrique l’emporte, il y a diffusion de droite à gauche tandis que dans la
figure 3, la diffusion mécanique l,emporte et il y a diffusion de gauche à droite.
Transporteurs et pompes
Les pompes et les transporteurs sont formés de plusieurs sous-unités protéiques dont certaines
sont plusieurs fois transmembranaires. Le passage nécessite un profond changement de la
configuration des protéines. Ces pompes et transporteurs obéissent à une cinétique enzymatique
mais ce ne sont pas des enzymes. Ils sont donc caractérisés par Vmax et Km. À la différence d’une
réaction enzymatique, le soluté transporté n’est pas modifié. Lorsque deux solutés sont présents
et s’ils vont dans la même direction on parle d’un symport ; quand ils vont dans des sens opposés,
c’est un antiport.
Symport glucose :
Équilibre de Donnan :
Effet qui en produit en raison de la présence d’unités chargées non diffusives (protéines) :
concentrations d’ions non égales de part et d’autre de la membrane, cations plus
concentrés en intracellulaire, anions plus concentrés en extracellulaire, pression
osmotique plus importante en intracellulaire ( eau diffuse de l’extracellulaire vers
l’intracellulaire).
Le sodium tend a diffusé créamt une ddp positive du coté 2 appelée potentiel de Donnan.
Mais, dans le cas de Na/K ATPase, Na diffuse si K passe de 2 à 1 (osmolarité constante)
ou si Cl diffuse avec Na (abaisse osmolarité). La ddp retient Na dans le compartiment 1 et
attire K de 2 vers 1 et Cl de 1 vers 2.
Les concentrations en Cl et K ne sont pas égales de part et d’autres de la membrane mais
diffusent librement. Chaque ion se distribue de manière à ce que son flux électrique soit
contrebalancé par sont flux diffusif à l’équilibre.
Ainsi,
Cette équation alliée aux équations de conservation de la masse permet de calculer les
concentrations des ions de part et d’autre des membranes à l’équilibre. Le potentiel de la
Équation de Goldman :
Les espèce qui diffusent rapidement, sont les espèces hydrophobes de petites tailles. Les
espèces qui diffusent lentement sont hydrophiles et de petites tailles. Les espèces de
grandes tailles ne diffusent pas du tout.
Membranes cellulaires :
Les membranes sont consituées de phospholipides. Ce sont des molécules amphiphiles : elles ont
une partie hydrophobe et une partie hydrophile. En présence d’eau, les molécules amphiphiles
s’autoassemblent pour former une bicouche lipidique, une monocouche, une micelle ou une
vésicule comme les liposomes.
Tensioactifs :
Les tensioactifs sont des molécules ayant une tête polaire, une queue hydrophobe et qui
forment des micelles. On les classe suivant la nature de la tête polaire : anionique,
cationique, neutre.
Si la concentration des tensioactifs est plus petite que la concentration micellaire critique,
les tensioactifs sont sous forme unimère. Dès que la concentration est égale ou plus
grande que la concentration micellaire critique, les tensioactifs sont sous forme de
micelle.
.
Un tensioactif diminue la tension de surface.
Les lipides dans la bicouche adoptent 2 conformations. Toutes les membranes biologiques
sont dans leur état cis.
Le cholestérol s’insère dans les membranes et les régidifie.
Les conformations des lipides sont des phénomènes de transitions de phases.
Les processus de fusion, division, endocytose et exocytose sont contrôlées par des
protéines mais nécessitent une rupture de l,arrangement en bicouche. Il existe des peptides
spécifiques (fusogènes) qui favorisent la fusion.
Dans les processus de fusion, la concentration en lipide est localement très haute et celle
de l’eau très faible. Si on augmente encore la concentration, la phase lamellaire se
transforme en phase hexagonale.
Certains lipides sont fusogènes. La composition de la membrane peut être très différente
de la zone de contact. Les lipides diffusant rapidement à la surface de la membrane : la
zone de contact contient une quantité plus importante de lipides favorisant la phase HII.
Microscopie
Profondeur de champ : distance verticale de part et d’autre du plan focal qui donne une
image acceptable.
Champ d’observation : région du specimen que l’on peut observer au microscope
Distance focale : distance caractéristique d’une lentille pour avoir une image en focus.
Plan focal : point où les rayons lumineux convergent
Ouverture numérique : mesure de la capacité d’une len tille à récolter les rayons
lumineux.
Résolution : la plus petite distance entre deux objets qui apparaissent distincts par
microscopie
L’image est 28 fois plus grande que l’objet. Si on utilise une loupe 10x, alors le
grossissement serait de 280 mais le champ d’observation serait divisé par un facteur 10.
p
p
Les microscopes sont sontitués de deux séries de lentilles : objectifs (10x, 40x et 100x) et
les oculaires (10x). Le grossissement est le produit des 2 grossissements.
Object to
Image
Distance
= 195 mm
L’émission des lampes au Tungstène, la plus courante, est contrôlée par le voltage
appliqué. Cela chauffe le filament de W à une température déterminée. Le bleu n’apparaît
Molécules fluorescentes :
Protéine GFP
Le rendement quantique est le rapport entre le nbr de photons émis par fluorescence et le
nbr de photons absorbés.
Microscopie confocale :