Rapport de Stage
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Remerciements
Au terme de ce travail, je tiens à exprimer mes sincères remerciements et ma profonde
gratitude à toutes les personnes ayant contribué de près ou de loin au bon déroulement de
mon stage.
l’équipe qui en mettant à ma disposition certains documents, leurs temps et leur savoir-
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Sommaire
Rappels anatomiques :....................................................................................6
Les surfaces articulaires :...................................................................................6
Rappels biomécaniques :...................................................................................6
Biomécanique du genou :..................................................................................6
Biomécanique du genou arthrosique :...............................................................7
La gonarthrose :...............................................................................................8
Physiopathologie :..............................................................................................8
Les facteurs de risques :...................................................................................9
Les facteurs systémiques :.................................................................................9
Les facteurs biomécaniques :...........................................................................10
Les moyens d’évaluations :............................................................................11
Les signes cliniques :........................................................................................11
Les signes biologiques :....................................................................................11
Le traitement kinésithérapique de la gonarthrose :.......................................11
Le massage :.....................................................................................................11
Les agents physiques :......................................................................................12
Les mobilisations passives :..............................................................................12
Les postures :...................................................................................................12
Les étirements :................................................................................................13
Le renforcement musculaire :..........................................................................13
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Introduction
Arthrose est une des affections rhumatologiques les plus répandues chez la population âgée
(supérieure à 60 ans). Selon Claude Le Pen, elle toucherait une dizaine de millions de
personnes en France, soit 17 % de la population nationale. L’arthrose peut concerner de
nombreuses articulations, cependant certaines sont davantage touchées que d’autres. Au
niveau des membres supérieurs les articulations les plus sujettes à l’arthrose sont les
articulations métacarpo-phalangiennes, inter-phalangiennes ou encore les articulations
uncovertébrales . Tandis qu’au niveau du membre inférieur, l’arthrose peut atteindre des
articulations comme la hanche, mais celle qui est la plus sensible à cette dégénérescence
cartilagineuse est l’articulation du genou avec 24 % de la population arthrosique touchée.
Avec le vieillissement de la population, ces données risquent encore de croître dans les années
à venir. Cette pathologie grandement invalidante entraîne, à partir d’un certain stade de
développement, de nombreuses dépenses. En effet, les coûts financiers liés à la prise en
charge de l’arthrose ne cessent d’augmenter depuis quelques années . Parmi ces dépenses une
grande part est accordée aux traitements curatifs tels que l‘injection d’acide hyaluronique, les
médicaments ou encore la chirurgie lorsque la pathologie est trop évoluée. Ainsi avec toutes
ces sommes dépensées, l’arthrose se présente comme un problème de santé publique
important, c’est pourquoi il me semble intéressant d’essayer d’agir le plus tôt possible afin
d’éviter toutes complications liées à la pathologie et donc de limiter les coûts. Une prise en
charge kinésithérapique précoce et préventive axée sur des paramètres bien précis pourrait
permettre cela. C’est à mon sens dans cette dynamique là qu’il faut se tourner pour pouvoir
agir sur l’arthrose : une prise en charge préventive et pluridisciplinaire de l’arthrose avec
l’intervention de médecin généraliste, rhumatologue, kinésithérapeute, diététicien ... Ce
raisonnement m’a permis d’élaborer la problématique suivante : « Quel est l’intérêt de mettre
en place un protocole kinésithérapique préventif chez des patients souffrant de gonarthrose ? »
Ainsi, ce travail portera sur l’élaboration d’un protocole kinésithérapique préventif chez des
patients présentant une arthrose au niveau du genou. Ce protocole sera axé sur plusieurs
paramètres tels que la notion de douleur, de fonte musculaire, de perte d’amplitude articulaire
et de qualité de vie. Dans un premier temps, une revue de littérature sur le sujet a été
effectuée. Puis dans une deuxième partie, j’ai tenté de répondre à ma problématique en
construisant et en expérimentant un protocole. Enfin, dans un troisième et dernier temps, une
discussion sur les résultats et les limites de cette expérimentation a été effectuée.
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Rappels anatomiques :
Le genou est composé de 2 articulations : la fémoro-tibiale et la fémoropatellaire. Elles
sont en relation constante tant sur le plan anatomique que sur le plan biomécanique
Les ménisques, quant à eux, sont des fibro-cartilages, déformables au cours des mouvements.
Ils ont une forme apparentée à un croissant et sont placés sur les bords périphériques des
condyles tibiaux et sont solidement amarrés à cet os et à d’autres structures, comme la
capsule, par des attaches méniscales. Le ménisque médial est plus long et plus étroit et
présente une forme de « C » tandis que le ménisque latéral est plus large et moins long et a
une forme de « O ».
Rappels biomécaniques :
Le genou est une articulation portante. Elle se retrouve dans une position intermédiaire
entre le tronc et le sol. Ainsi un simple déséquilibre entre ces deux interfaces, retentit
directement sur le genou . Il faut savoir que la portance et les déviations orthopédiques sont
signes d’arthrose, c’est pourquoi des stratégies biomécaniques devraient permettre de
maintenir cet équilibre.
Biomécanique du genou :
D’un point de vue statique, nous pouvons remarquer que la résultante du poids du corps
se projette en dedans de l’articulation du genou. Le fémur va donc s’incliner médialement et
mettre en léger varus le genou. Ainsi le compartiment médial de l’articulation fémoro-tibiale
va être comprimé et une grande partie des contraintes va-y être retranscrite. Pour parer à ce
déséquilibre, le hauban latéral, constitué du tenseur du fascia lata et du biceps fémoral, va
exercer une action anti-varisante. Ainsi, avec des forces de compression compensées entre le
poids du corps et le hauban latéral, on va retrouver un parfait équilibre entre la répartition des
charges sur les compartiments médial et latéral du genou. C’est ce qu’on appelle la balance de
Maquet. Concernant la cinématique du genou, on observe, selon Kapandji , sur le plan
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sagittal dans les premiers degrés un léger roulement des condyles fémoraux sur les plateaux
tibiaux. Il s’ensuit, ensuite, un glissement de ces mêmes condyles par rapport aux plateaux
tibiaux jusqu’à la fin de la flexion qui est de l’ordre de 140°. Pendant ce même temps, on va
retrouver une rotation axiale du tibia autour d’un axe proche de celui de l’axe anatomique.
Enfin, toujours simultanément à ces différentes séquences , nous pouvons remarquer un
mouvement de varus-valgus du tibia dû notamment aux formes des surfaces articulaires. Ce
mouvement fémoro-tibial est rendu possible, par l’appui et le glissement de la patella sur la
trochlée fémorale. Ce mouvement assure une certaine stabilité antéropostérieure par l’action
des forces exercées par le quadriceps. De plus, ce glissement est réalisé sans frottement grâce
aux cartilages articulaires lubrifiés par la synoviale.
D’autres études ont permis de déterminer à quel degré de flexion, la force de compression
femoro-patellaire et donc les contraintes sur ce même cartilage étaient portées à leur
maximum. Cet angle serait de 90° de flexion du genou. Le cartilage fémoro-tibial va
également être soumis à des contraintes importantes. En effet, ces forces de compression
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soumis au cartilage articulaire vont être importantes en chaîne fermée du fait que le genou
supporte le poids du corps. Ainsi, lorsque l’on proposera des exercices de renforcement
musculaire à nos patients, il faudra être vigilant et progressif concernant l’introduction du
travail en chaîne cinétique fermée. Les déformations orthopédiques peuvent également être
contraignantes pour le cartilage fémoro-patellaire. L’une d’entre elles, le flexum, est un
facteur aggravant d’arthrose du genou. Cette attitude vicieuse correspond à un déficit
d’extension passive du genou par un blocage en légère flexion. Or, lors d’une flexion du
genou la patella se retrouve « impactée » sur la trochlée fémorale avec une liberté quasi
inexistante. De plus, l’épaisseur du cartilage articulaire est moins importante en flexion qu’en
extension complète . Ainsi le flexum de genou augmente les contraintes fémoro-patellaires sur
un cartilage étroit et a également des conséquences fonctionnelles (ex : la marche), c’est
pourquoi il faut prévenir cette attitude vicieuse. Enfin, la notion d’axe mécanique est
également importante lorsqu’on aborde la biomécanique du genou pathologique. En effet
celui-ci, qui unit le centre de la tête fémoral au milieu de l’articulation talo-crurale en passant
par le centre du genou, va déterminer si un genou présente un valgus ou un varus Si l’axe
mécanique passe en dedans de l’articulation du genou, celui-ci est dit varum et alors les
contraintes sur le compartiment médial sont majorés au fil du temps. C’est pourquoi un genou
varum est facteur aggravant d’arthrose du genou. Si l’axe mécanique passe en dehors de
l’articulation du genou, celui-ci est dit valgum et alors le poids du corps va être porter
davantage vers le compartiment latéral de l’articulation fémoro-tibiale, ce qui va avoir
tendance à relâcher le hauban latéral. Le genou valgum est moins pathogène que le genou
varum .
La gonarthrose :
Physiopathologie :
Historiquement la gonarthrose serait due à une dégénérescence du cartilage qui résulterait
d’un « déséquilibre entre, d’une part, les forces mécaniques imposées à l’articulation et le
processus métabolique du cartilage, et d’autre part, la capacité du cartilage à résister et à
réparer les dommages ». Ainsi on retrouverait deux types d’arthrose du genou : la gonarthrose
primaire dont l’origine n’est pas encore déterminée et la gonarthrose secondaire dont
l’étiologie pourrait être liée à un traumatisme articulaire, à des pathologies endocriniennes ou
encore génétiques . L’arthrose ne se résumerait pas seulement à une dysfonction du cartilage
mais plutôt à une dysfonction de l’articulation synoviale dans son ensemble. En effet, il y
aurait bien un déséquilibre entre la réparation et la destruction du cartilage . Cette dysfonction
débuterait avec une malfonction des chondrocytes qui sont les cellules permettant la synthèse
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du tissu cartilagineux. En outre, une diminution de protéoglycanes et donc une diminution de
l’hydratation du cartilage serait observée. C’est pour cela que le cartilage se rigidifierait et
perdrait ses qualités d’amortissement et d’élasticité. Ce changement de propriété du cartilage
rendrait sa surface rugueuse. Ainsi, des débris cartilagineux pourraient se créer et venir se
loger dans le liquide synovial et donc entraîner une inflammation qui serait source de douleur.
C’est pourquoi on retrouverait des poussées inflammatoires dans la gonarthrose. En effet le
cartilage ne serait pas lui-même capable de provoquer une telle réaction, car il est n’est pas
vascularisé. Alors que la membrane synoviale, elle, est richement vascularisée. De plus, cette
intrusion dans l’articulation pourrait créer de la fibrose et des adhérences capsulaires nuisibles
à la mobilité de l’articulation. L’arthrose entraînerait également de nombreuses modifications
au niveau de l’os sous chondral. En effet, la naissance d’excroissances osseuses (ostéophytes),
la sclérose de l’os sous chondral ainsi que l’apparition de géodes sont divers phénomènes
observables au niveau microscopique. A long terme, ces modifications osseuses seraient à
l’origine de déformations articulaires, le plus souvent en varus (Cf « rappels biomécaniques
»pour les conséquences du varus.) Ces déformations de l’articulation du genou auraient de
multiples conséquences tant au niveau ligamentaire que musculaire. Effectivement, une
faiblesse musculaire des stabilisateurs du genou et notamment du quadriceps serait observée,
ainsi qu’une laxité ligamentaire. Un renforcement musculaire précoce pourrait ainsi éviter une
atrophie du quadriceps et par conséquent une instabilité naissante au niveau du genou.
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de réduction de risque d’avoir une arthrose de genou. De plus cette œstrogénothérapie
pourrait également freiner l’évolution de la gonarthrose. Enfin, au niveau métabolique,
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Les signes cliniques :
La gonarthrose s’exprime en premier lieu par une douleur qui augmente au fur et à mesure de
l’évolution de la pathologie. Cette douleur se trouve généralement au pourtour de
l’articulation et est de type mécanique, ainsi elle diminue au repos et est majorée à la mise à
contribution de l’articulation . Une douleur permanente serait signe d’inflammation chronique
et ferait l’objet d’un mauvais pronostic. Lors des phases de poussées inflammatoires, on peut
noter une augmentation locale de la température cutanée, ainsi qu’une rougeur et un « signe
du glaçon positif ». Le thérapeute devra donc se montrer attentif à ces différents phénomènes
inflammatoires lors de sa prise en charge. En plus de cette douleur, se manifeste également
une raideur souvent matinale qui disparaît après la mise en route de l’articulation. Cette
raideur est associée à une faiblesse musculaire que l’on retrouve principalement au niveau du
quadriceps. Un déficit proprioceptif est aussi observé, tout comme un crépitement osseux lors
de la mobilisation de l’articulation.
Le massage :
Le massage a totalement sa place dans la prise en charge du kinésithérapeute dans le cas
d’une gonarthrose. Il aurait plusieurs objectifs. Le premier d’entre eux serait qu’il participe à
l’étirement des muscles polyarticulaires tels que les ischio-jambiers ou encore le gracile. Il
pourrait se faire à l’aide de techniques de pétrissage profond ou de décordage dans différentes
courses musculaires. Le massage peut également avoir un rôle favorisant dans le retour
veinolymphatique par l’intermédiaire de manœuvres douces et superficielles au niveau du
creux poplité, où sont localisés les nœuds lymphatiques poplités. Enfin le massage peut
également être réalisé à visée antalgique pour soulager une douleur au niveau du genou.
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Les agents physiques :
Plusieurs études se sont intéressées à l’effet des ultrasons et du TENS dans la prise en charge
d’une gonarthrose. Il en est ressorti que seul le TENS peut jouer un rôle antalgique.
Concernant le froid, le massage à la glace semble pertinent pour la récupération d’amplitudes
articulaires. La vessie de glace, quant à elle, semble plus appropriée en cas de poussées
inflammatoires pour réduire la chaleur et la douleur occasionnée. 11 La chaleur, elle, va jouer
un rôle de décontracturant, de relaxant musculaire en dehors des poussées inflammatoires. La
balnéothérapie, si elle est possible, aura un effet positif sur la diminution des douleurs en
raison de ses propriétés physiques. La poussée d’Archimède permettra une décharge partielle
en fonction de la profondeur à laquelle se trouve le patient.
Les postures :
Les postures en extension permettent de lutter contre le flexum qui peut s’installer au cours de
la pathologie. Ces postures jouent sur la position intermédiaire du genou qui peut ainsi être
mis en porte-à-faux. Elles peuvent se faire de différentes manières, soit avec l’aide du
kinésithérapeute qui majore l’extension par un appui vertical, soit en auto posture dans un
programme d’auto-rééducation. A noter qu’on peut également réaliser des postures en flexion
de la même façon avec un patient présentant un déficit de flexion et qu’on souhaite voir
gagner en amplitude articulaire.
Les étirements :
Plusieurs groupes musculaires peuvent être étirés afin de gagner en amplitude.
C’est notamment le cas des ischio-jambiers ou des muscles de la patte d’oie si on observe un
déficit d’extension du genou ou encore du droit fémoral si on retrouve un déficit de flexion du
genou.
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De la même façon que les postures, les étirements peuvent se faire de manière passive à l’aide
d’un kinésithérapeute ou bien en auto-étirement dans un programme d’auto-rééducation. Le
patient doit ressentir une douleur supportable proche de la tension musculaire dans la région
du muscle étiré. Le fait de diversifier les positions d’étirements peut permettre de les majorer.
(Exemple : le droit fémoral s’étire en réalisant une flexion du genou, cet étirement peut être
augmenté en ajoutant une extension de hanche.)
Le renforcement musculaire :
Comme il a été énoncé auparavant, les déformations articulaires engendrées par l’arthrose
contribuent à une certaine faiblesse musculaire des muscles stabilisateurs de genou comme le
quadriceps. Il en est de même pour les ischiojambiers. C’est pourquoi un renforcement
musculaire de ces deux groupes musculaires est nécessaire. Selon les différentes études qui
ont été menées sur les types de renforcement musculaire, il en ressort deux grandes tendances.
En France le renforcement isométrique contre résistance dans différentes courses musculaires
reste privilégié, tandis que dans les pays anglo-saxons, le renforcement dynamique contre
faible ou sans résistance est possible ainsi que le travail en endurance. En revanche, elles
s’accordent toutes sur le fait qu’une progression doit être appliquée au niveau des charges
imposées pour éviter tous phénomènes douloureux. De plus, le travail en co-contraction de ce
couple musculaire semble approprié à leur fonction stabilisatrice de l’articulation du genou.
Le cycloergomètre est, quant à lui, recommandé car il permet d’entretenir une trophicité
musculaire sans forcément augmenter la charge. Qui plus est, il permet d’entretenir une
mobilité articulaire en décharge. Nous pouvons varier les différents secteurs de mobilité en
abaissant ou en réhaussant la selle.
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Conclusion
Comme nous l’avons vu dans ce travail, la gonarthrose
est une pathologie dégénérative affectant l’articulation du
genou dans sa globalité. En effet les cartilages articulaires ne
sont pas les seules structures affectées, la synovie est elle aussi
impliquée dans le processus d’altération de l’articulation. Une
fois ces phénomènes dégénératifs installés, les conséquences
sur l’articulation du genou peuvent être multiples. Celles-ci
peuvent se manifester par une augmentation de la douleur, une
diminution de la mobilité du genou, une faiblesse musculaire
aux niveaux des stabilisateurs de l’articulation ou encore une
baisse de la qualité de vie. C’est pourquoi une réflexion a été
menée sur l’élaboration d’un protocole kinésithérapique axé
sur la prévention de ces éventuelles complications de la
pathologie. L’objectif étant de maintenir, voir d’améliorer les
capacités du patient.
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