Automate Partie Analogique
Automate Partie Analogique
Automate Partie Analogique
Conduite de liquide
SLC 5/03 CPU OUTPUT INPUT
ANALOG ANALOG
AB ALLEN-BRADLEY
Électrovalve
Bassin
Transmetteur de niveau
Entrée Analogique
FIGURE 1- 1 : A P P L I C AT I O N AN AL O G I Q U E
T AB L E AU 1- 1
Description Spécification
Résolution du convertisseur 16 bits
Emplacement du LSB dans un mot 0000 0000 0000 0001
Code pour l’entrée (-10V à +10V -1 LSB) -32 768 à +32 767
Code pour l’entrée -20 mA à +20 mA -16 384 à + 16 384
T AB L E AU 1- 2
Description Spécification
Plage en entrée (opération normale) -20mA à +20 mA
Courant maximum -30mA à +30 mA
Tension maximum +/- 7.5VCC ou 7.5VCA
Impédance à l’entrée 250 Ω (interne)
Résolution (40mA / 32768) = 1.22070 µA / LSB
Full Scale 20 mA
T AB L E AU 1- 3
Description Spécification
Plage en entrée (opération normale) -10V to +10VCC - 1 LSB
Impédance à l’entrée 1 MΩ
Résolution (20V / 65536) = 305.176 µV / LSB
Full Scale 10 VCC
T AB L E AU 1- 4
Description Spécification
Résolution du convertisseur 14 bits
Emplacement du LSB dans un mot 0000 0000 0000 01xx
Charge possible 0 à 500Ω
Plage d’opération 0 à 20 mA
Code de sortie (O à +21 mA - 1 LSB) 0 à +32767
Résolution (21mA / 16384 * 4) = 2.56348 µA / LSB
Full Scale 21 mA
T AB L E AU 1- 5
Description Spécification
Résolution du convertisseur 14 bits
Emplacement du LSB dans un mot 0000 0000 0000 01xx
Charge possible 1kΩ à α Ohms
Plage d’opération -10V à +10V - 1LSB
Code de sortie (-10V à +10V - 1 LSB) -32 768 à +32 764
Résolution (20V / 65536 * 4) = 1.22070 mV / LSB
Full Scale 10 VCC
Prenez soin d’installer le module le plus loin possible du module d’alimentation de l’automate
ainsi que des modules utilisant des tensions élevées. Ainsi, le module est protégé contre les
interférence pouvant provenir des autres modules.
Current La configuration des canaux en entrées ou en sorties s’effectue à l’aide
de mini-interrupteurs placés directement sur le module. Lorsque
1 2 3 4 l’interrupteur est en position ON, i.e. vers le haut, le canal est configuré
O
N en courant. Si l’interrupteur est vers le bas, le canal est configuré en
tension.
Dans l’exemple ci-contre, les canaux 1 et 3 sont en courant et les deux
Voltage
autres en tension.
Fil noir
Fil de drainage
Shield d'aluminium
FIGURE 1- 3 : C ÂB L E B E L D E N #8761
FIGURE 1- 4 : E N T R É E S AN AL O G I Q U E S NI4 E N C O U R AN T
Les entrées non utilisées peuvent générer des bruits indésirables à travers le module et se
répercuter sur les autres entrées. Alors, il est recommandé de court-circuiter les entrées non
utilisées afin de minimiser les effets.
+
0 IN 0+
1 IN 0-
2 ANL COM
-
3 IN 1+
Non-utilisé 4 IN 1-
5 ANL COM
6 not used
Charge
7 OUT 0
8 ANL COM
F I G U R E 1- 5 : E N T R É E S S É L E C T I O N N AB L E S ( C O U R AN T / T E N S I O N ) E T
S O R T I E S AN AL O G I Q U E S NIO 4I C O U R AN T & NIO 4V T E N S I O N
0 +24V dc
+24Vdc 1 dc COM
Charge 0 OUT 0
1 ANL COM
2 OUT 1
3 ANL COM
4 OUT 2
Charge
5 ANL COM
6 OUT 3
Ne pas court- 7 ANL COM
circuiter la sortie
• NI4
Le module d’entrée NI4 utilise un mot de 16 bits pour chacun des canaux. Si, par exemple, le
module est placé dans l’espace 3 et que vous désirez adresser le canal 2, l’adresse sera alors
I:3.2.
MSB LSB
I:3.2 CH 2 input
15 14 13 12 11 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1 0
* 0 0 1 1 0 1 0 1 1 1 0 0 1 1 0 1
• NO4x
Les modules de sortie NO4x utilise un mot de 16 bits pour chacun des canaux. Si, par exemple,
le module est placé dans l’espace 2 et que vous désirez adresser le canal 2, l’adresse serait alors
O:2.2.
MSB LSB
O:2.2 CH 2 Output X X
15 14 13 12 11 10 9 8 7 6 5 4 3 2 1 0
* 0 0 1 1 0 1 0 1 1 1 0 0 1 1 0 1
Les deux premiers bits (1 et 0) ne sont pas utilisés dans le calcul de la résolution des canaux en
sorties. Vous pouvez placer le code que vous voulez dans ces deux cases puisqu’il n’aura aucun
effet sur le résultat de la sortie.
1
Un canal, un point, une entrée, une sortie, un segment: tous ces mots sont synonymes.
Par contre, il faut faire attention. Pour calculer le résultat à la sortie il s’agit de partir au bit 2 en
lui assignant le poids 20 et faire suite jusqu’au bit14 qui sera de 212 . Le bit 15 est utilisé pour
représenter les nombres négatifs. Dans l’exemple ci-haut, le poids du nombre est de:
Même si le poids est de 3443, ce qui entraînera une tension de sortie de 3443 x 1.2207mV =
4.2V, le code que l’on place dans la case mémoire doit être de 13772, 13773, 13774 ou 13775.
T AB L E AU 1- 7 : C O D E S À L ’ E N T R É E
Étendue de Représentation Nombre de Résolution / LSB
Tension /Courant décimale bit significatif
-10V à +10V -1 LSB -32 768 à +32 767 16 bits
0 à +10V -1LSB 0 à +32 767 15 bits 20V/65536 =
0 à 5V 0 à 16 384 14 bits 305.176 µV
1 à 5V 3 277 à 16 384 13.67 bits
-20mA à +20 mA -16 384 à + 16 384 15 bits 40mA/32768 =
0 à +20 mA 0 à + 16 384 14 bits 1.22070 µA
4 à +20 mA 3 277 à 16 384 13.67 bits
Pour déterminer le voltage ou le courant approximatif à une entrée analogique, utilisez une des
formules suivantes:
10V
× valeur en decimal dans le registre = tension
32 768
20mA
× valeur en decimal dans le registre = courant
16384
É Q U AT I O N S 1- 1 : C O N V E R S I O N D ’ U N E V AL E U R D AN S L E R E G I S T R E E N C O U R AN T / T E N S I O N
2
le signe % signifie un nombre binaire tandis que le $ ou le &H représente un nombre hexadécimal.
3
le signe % signifie un nombre binaire tandis que le $ représente un nombre hexadécimal.
T AB L E AU 1- 8 : C O D E S D E S O R T I E
Étendue de Représentation Nombre de Résolution / LSB
Tension /Courant décimale bit significatif
-10V à +10V -1 LSB -32 768 à +32 764 14 bits
0 à +10V -1LSB 0 à +32 764 13 bits 1.22070 mV
0 à 5V 0 à 16 384 12 bits
1 à 5V 3 277 à 16 384 11.67 bits
0 à +21 mA -1 LSB 0 + 32 764 13 bits
0 à +20 mA 0 à + 31 208 12.92 bits 2.56348 µA
4 à +20 mA 6 242 à 31 208 12.6 bits
Le calcul de la résolution est effectué sur 14 bits plutôt que sur 16 puisque les deux premiers bits
(bit 0 et bit 1) ne sont pas utilisés. Le bit le moins significatif (20) devient alors le bit 22 tandis
que le bit 215 représente toujours une valeur négative.
Pour déterminer le courant ou le voltage approximatif à une sortie analogique, utilisez une des
formules suivantes:
32768
× Courant de sortie = Valeur en decimal
21mA
32768
× Tension de sortie = Valeur en decimal
10Vdc
É Q U AT I O N S 1- 2 : C O N V E R S I O N C O U R AN T / T E N S I O N E N V AL E U R D AN S L E R E G I S T R E D E S O R T I E
ATTENTION : N’oubliez pas que la conversion de sortie est sur 14 bits et que cela
implique qu’une valeur de sortie ne peut pas être calculée directement à
partir de la résolution.
Par exemple : le code nécessaire pour que le courant de sortie soit de 10 mA est :
Une des équations 1-2 permet de calculer directement le code : 10mA x 32768 = 15 604
21mA
La différence est un multiple de 4 puisque les deux premiers bits, même s’il ne sont pas
utilisés, sont quand même significatifs.
Lorsque le contact I:1/0 est en fonction, le transfert de l’information se fait de la source vers la
destination. À la fin du cycle de scrutation du programme, donc au début de l’écriture/lecture des
entrées/sorties, le code 21537 est dirigé vers une sortie en courant ou en tension selon le module.
Lorsque l’entrée de l’instruction MOVE devient fausse, le déplacement de l’information ne se
produit plus. À moins qu’un autre transfert s’effectue à la même adresse plus loin dans le
programme, le registre image conserve l’information transférée, i.e. 21537.
Ainsi, puisque la valeur reste dans le registre image de O:6.1, l’information est transférée à
chaque fin de cycle vers le module de sortie. Évidemment, lors d’une coupure d’alimentation, la
sortie passera à 00000 faute de courant. Lors de la reprise, la sortie passera à 21537 dès la
première scrutation puisque les registres images sont sauvegardés dans la NVRAM de
l’automate.
Lorsque vous basculez du mode « RUN » au mode « PROGRAM », la sortie reste active puisque
aucune remise à zéro n’a été effectuée des registres images. Si vous passez du mode
« PROGRAM » au mode « RUN », aucune initialisation des registres n’a été effectuée, et donc la
sortie garde le contenu du registre interne.
Il faut donc porter une attention particulière au traitement des sorties analogiques.
Œ ňLESņņņņņņņņņņņņņņņʼn B3 Œ
ŠņōINFERIEUR A Ōņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņ(L)ņņţ
Œ ŇSource A I:5.0Ň 0 Œ Dépassement bas
Œ Ň 0Ň Œ
Œ ŇSource B 0Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Œ ňGRTņņņņņņņņņņņņņņņʼn B3 Œ
ŠņōPLUS GRAND QUE Ōņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņ(L)ņņţ
Œ ŇSource A I:5.0Ň 0 Œ Dépassement haut
Œ Ň 0Ň Œ
Œ ŇSource B 16384Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
FIGURE 1- 9 : P R O G R AM M AT I O N D ’ U N B I T D E D É P AS S E M E N T D ’ É T E N D U E
T (Celsius)
500 max
Valeur
graduée
300 Température d'opération
275
du procédé
100 min
Valeur à l'entrée
FIGURE 1- 10 : E X E M P L E D E M I S E À L ' É C H E L L E
La mise à l’échelle, ou graduation, des éléments de l’exemple est représentée sur le graphe ci-
haut. Ce dernier montre la relation linéaire entre la valeur de l’entrée et celle de la température.
Une fois que vous avez calculé la relation linéaire et les valeurs de limite, il est possible dans cet
exemple de:
• Actionner, ou non, un ventilateur ou un élément chauffant afin de garder le procédé en dedans
des limites d’opération.
• Visualiser les informations en utilisant la table d’accès de l’automate programmable.
• Afficher la température sur un dispositif numérique en utilisant les instructions de conversion
BCD.
20mA = 31208
max.
Valeur
graduée
4mA=6242
(min.)
0% 100%
(input min.) input(max.)
Valeur à l'entrée
FIGURE 1- 11 : C AL C U L D E L A R E L AT I O N L I N É AI R E
215
214 16 384
213 8 192
212 4 096
211 2 048
210 1 024
29 512
28 256
27 128
26 64
25 32
24 16
23 8
22 4
21 2
20 1
0 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 32767
Le dernier bit est à 0 pour des nombres positifs et à 1 pour les nombres négatifs
Lorsque le bit 15 est à 1, il s’agit d’un nombre négatif. L’équivalent décimal du nombre est
obtenu en soustrayant 32768 du reste de la représentation. Par exemple:
1111 1000 0010 0011 =
(214 + 213 + 212 + 211 + 25 + 21 + 20) - 215 =
(16384 + 8192 + 4096 + 2048 + 32 + 2 + 1) - 32768 =
30755 - 32768 = - 2013
Si vous désirez représenter un nombre décimal négatif en complément à 2, vous devez effectuer
la procédure inverse.
Par exemple, vous devez coder le nombre -13107,
1. Additionnez le nombre 32768 (ce qui donne 19661)
2. Faites la conversion binaire de l’addition (%0100 1100 1100 1101)
3. Placez le dernier bit à 1 (%1100 1100 1100 1101)
− Les instructions logiques n'affectent pas les registres mathématiques S13 et S14.
TRANSDUCTEUR
DE COUPLE
DÉTECTEUR DE
PROXIMITÉ INDUCTIF
MODULE D'ENTRÉE
ANALOGIQUE NI4
POWER 0 4 8 12 0 4 8 12
POWER
1 5 9 13 1 5 9 13
2 6 10 14 2 6 10 14
3 7 11 15 3 7 11 15 ANALOG
AB ALLEN-BRADLEY Triac/100-240V
480VCA
3 phases
FIGURE 2- 1 : B AN C D E T E S T S P O U R M O T E U R C.A.
Les sorties des transducteurs de couple, de tension et de courant possèdent des sorties linéaires.
Ce système permet de mesurer les caractéristiques des moteurs sur un banc d’essai. Dans
l’exemple qui suit, nous voulons mesurer la puissance fournie au moteur et nous ne nous
préoccuperons pas du couple de ce dernier. Chaque sortie de transducteur alimente une entrée du
module analogique et doit être graduée pour obtenir les valeurs suivantes:
• Tension = 0-10V : canal 0 pour 500 Vca résolution 1 V
• Courant = 4-20mA : canal 1 pour 30.00 A résolution 0.01 A
• Couple = 4-20mA : canal 3 pour 100.0 pi*lb/s
À chaque détection du capteur de proximité inductif, les valeurs doivent être graduées et la
puissance doit être évaluée. Cette puissance doit être représentée sur un afficheur 3½ «digits»
dont la valeur maximale a été calibrée à 1.999V.
PROGRAMME:
• Mise à l’échelle de la tension de 0-500Vca -> 0-10V -> 0-32767 -> 0-500
Cette première section du programme permet la mise à l’échelle de la tension de ligne. Si l’on
désire obtenir une valeur de 0 à 500Vca avec une résolution de 1V, le code résultant doit être
entre 0 et 500. Pour ce faire, nous devons exécuter les calculs suivants :
code à l’entrée = 0-500Vca = 0 à 10V = 0 à 32767 code dans un registre N7 :1 = 0-500
Il faut donc diminuer de 32767 à 500 la valeur à l’entrée. Une division de 65.534 est alors de
mise. Puisqu’on travaille avec des nombres entiers, il est impossible de diviser par un nombre tel
65.54. La solution est simple, multiplions d’abord par 100 pour ensuite diviser par 6553.
Mathématiquement, nous arriverons au même résultat, i.e. une division par 65.53.
Un problème surgit par contre lorsque le résultat d’une multiplication dépasse +32767, une faute
mineure se produit et le résultat est faussé. Heureusement, le manufacturier a prévu cette
éventualité. Lorsqu’une multiplication dépasse +32767, le résultat se retrouve dans le registre
mathématique à 32 bits, S13 et S14, sinon le résultats se trouve là où l’on désire l’envoyer.
Par l’utilisation du bit de dépassement («overflow» S :0/1), nous pouvons décider d’utiliser une
division simple DIV, si le résultat de la multiplication est <+32767, ou une division double DDV
si le résultat est >+32767. Cette division double agit directement sur le registre mathématique, il
est donc superflu d’indiquer la source A qui est par défaut S13 et S14.
Ligne 2:0
Œ INDUCTIF Œ
Œ I:2 ňMULņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
Šņņņ] [ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōMULTIPLICATION Ōņţ
Œ 1 ŇSource A VOLT_BITŇ Œ
Œ Ň 32767Ň Œ
Œ ŇSource B 100Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ ŇDest X_100Ň Œ
Œ Ň 32767Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:1
Œ INDUCTIF OVERFLOW Œ
Œ I:2 S:0 ňDIVņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
Šņņņ] [ņņņņņņ]/[ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōDIVISION Ōņţ
Œ 1 1 ŇSource A X_100Ň Œ
Œ Ň 32767Ň Œ
Œ ŇSource B 6553Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ ŇDest VOLT_CAŇ Œ
Œ Ň 500Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:2
Œ INDUCTIF OVERFLOW Œ
Œ I:2 S:0 ňDDVņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
Šņņņ] [ņņņņņņ] [ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōDIVISION 32 BITS Ōņţ
Œ 1 1 ŇSource 6553Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ ŇDest VOLT_CAŇ Œ
Œ Ň 500Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
FIGURE 2- 2 : M I S E À L ' É C H E L L E D E L A T E N S I O N D E L I G N E
Dans la section d’imprimé représentée par la figure 2-2, la valeur à l’entrée est maximum 32767
(10V). On peut remarquer la valeur dans la variable N7 :1 (VOLT_CA) qui indique 500. La
destination de la multiplication (X_100) indique 32767 puisqu’elle est en dépassement. Le
résultat de la multiplication est alors dans les registres mathématiques S13 et S14.
• Mise à l’échelle du courant de ligne 0-30.00Ac.a. -> 4-20mA ->3277-16384 -> 0-3000
Cette deuxième section du programme permet la mise à l’échelle du courant de ligne. Puisqu’on
désire obtenir une valeur de 0 à 30.00 Aca avec une résolution de 0.01A, le code résultant doit
être entre 0 et 3000. Pour ce faire, nous devons exécuter les calculs suivants :
code à l’entrée = 0-30.00Aca = 4-20mA = 3277à 16384 code dans un registre N7 :3 = 0-3000
La première opération consiste à éliminer le décalage de 3277 à l’entrée. Pour ce faire, une
opération de soustraction est utilisée. Par la suite, le même processus que la tension de ligne est
utilisé pour le courant, i.e. une multiplication avant la division afin d’obtenir une division plus
précise par 4.379. L’entrée est multipliée par 1000 pour ensuite être divisée par 4379.
Ligne 2:3
Œ INDUCTIF Œ
Œ I:2 ňSUBņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
Šņņņ] [ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōSOUSTRACTION Ōņţ
Œ 1 ŇSource A AMP_BITŇ Œ
Œ Ň 16384Ň Œ
Œ ŇSource B 3277Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ ŇDest SUB_OFSSETŇ Œ
Œ Ň 13107Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:4
Œ INDUCTIF Œ
Œ I:2 ňMULņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
Šņņņ] [ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōMULTIPLICATION Ōņţ
Œ 1 ŇSource A SUB_OFSSETŇ Œ
Œ Ň 13107Ň Œ
Œ ŇSource B 1000Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ ŇDest X_1000Ň Œ
Œ Ň 32767Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:5
Œ INDUCTIF OVERFLOW Œ
Œ I:2 S:0 ňDIVņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
Šņņņ] [ņņņņņņ]/[ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōDIVISION Ōņţ
Œ 1 1 ŇSource A X_1000Ň Œ
Œ Ň 32767Ň Œ
Œ ŇSource B 4379Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ ŇDest AMP_CAŇ Œ
Œ Ň 2993Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:6
Œ INDUCTIF OVERFLOW Œ
Œ I:2 S:0 ňDDVņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
Šņņņ] [ņņņņņņ] [ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōDIVISION 32 BITS Ōņţ
Œ 1 1 ŇSource 4379Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ ŇDest AMP_CAŇ Œ
Œ Ň 2993Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
FIGURE 2- 3 : M I S E À L ' É C H E L L E D U C O U R AN T D E L I G N E
Dans la section d’imprimé représentée par la figure 2-3, la valeur à l’entrée est maximum 16384
20mA). On peut remarquer la valeur dans la variable N7:4 (AMP_CA) qui indique 2993, ce qui
signifie un courant de 29.93 ampères. La destination de la multiplication (X_1000) indique
32767 puisqu’elle est en dépassement. Le résultat de la multiplication est alors dans les registres
mathématiques S13 et S14.
Dans la section d’imprimé représentée par la figure 2-4, la valeur de 500 multiplié par 2993
donne un résultat dans le registre mathématique de 1 496 500. Une fois divisé par 305, le code
résultant est de 4907. Ce code permet une sortie de 1.4974 V, ce qui représente une puissance de
14974 VA.
La ligne 2 :10 de l’imprimé permet la remise à zéro du bit de faute mineure avant chaque fin de
cycle. Si cette ligne n’est pas présente, le programme ne fonctionne pas correctement.
FIGURE 2- 5 : A F F I C H AG E D E L A P U I S S AN C E L O R S D U T E S T D U M O T E U R
Ligne 2:1
Œ I:2 ňCTDņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
Šņņ] [ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōDECOMPTAGE Ōņ(CD)ņţ
Œ 3 ŇCompteur C5:1Ōņ(DN) Œ
Œ ŇPrésélection 300Ň Œ
Œ ŇVal. Cumulée 0Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
FIGURE 2- 6 : P R O G R AM M E D E T E S T P O U R T R AN S F E R T D ’ U N E V AL E U R
Les lignes ci-haut ne représentent qu’un compteur (C5 :1) et un décompteur de la même adresse
permettant ainsi d’agir sur la même variable accumulée.
En utilisant des instructions de transferts, il est possible de modifier la valeur accumulée et la
valeur de présélection. Pour ce faire, il s’agit d’adresser les variables appropriées.
Ainsi, lorsqu’on initialise un compteur/décompteur, on réserve trois adresses dans la mémoire du
fichier C5. Lorsque l’adresse est C5 :1 on peut répartir les adresses selon :
C5 :1.0 = code de contrôle
C5 :1.1 ou C5 :1.PRE = valeur de présélection
C5 :1.2 ou C5 :1.ACC = valeur accumulée.
Les lignes qui suivent permettent le transfert de la valeur de présélection lorsque la logique est
telle que la ligne 2 :2 ou 2 :3 devient valide. La ligne 2 :4 permet la remise à zéro de la valeur
accumulé. N’oubliez pas que si deux ou les trois instructions de transfert deviennent valides dans
le même cycle de scrutation, la dernière ligne l’emporte toujours. Dans ce cas-ci, puisque la ligne
de présélection à 100 se trouve la dernière rencontrée par le processeur, c’est cette valeur qui
sera placée dans la variable C5 :1.1.
Ligne 2:2
Œ I:2 ňMOVņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
Šņņ] [ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōTRANSFERT Ōņţ
Œ 5 ŇSource 200Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ ŇDest C5:1.PREŇ Œ
Œ Ň 300Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:3
Œ I:2 ňMOVņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
Šņņ] [ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōTRANSFERT Ōņţ
Œ 7 ŇSource 300Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ ŇDest C5:1.PREŇ Œ
Œ Ň 300Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:4
Œ I:2 ňMOVņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
Šņņ] [ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŎņōTRANSFERT ŌņŎņţ
Œ 0 Ň ŇSource 100Ň Ň Œ
Œ Ň Ň Ň Ň Œ
Œ Ň ŇDest C5:1.PREŇ Ň Œ
Œ Ň Ň 300Ň Ň Œ
Œ Ň Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Ň Œ
Œ Ň C5:1 Ň Œ
Œ Ŋņņ(RES)ņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Œ Œ
Ligne 2:5
Œ Œ
ŠņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōENDŌņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņţ
Œ Œ
FIGURE 2- 7 : S U I T E E T F I N D U P R O G R AM M E D E T R AN S F E R T D AN S U N C O M P T E U R / D É C O M P T E U R
est alimentée par un sélecteur à deux positions. AB ALLEN-BRADLEY Triac/100-240V 10/50Vcc-PNP 200/240Vca
Machine #2
Machine #3
Ligne 2:0
Œ I:3 I:3 I:3 Œ
Šņņ] [ņņņ]/[ņņņ]/[ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņ(MCR)ņņţ
Œ 1 2 3 Œ
Œ I:1 O:2 Œ
Šņņ] [ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņ( )ņņţ
Œ 1 1 Œ
Œ Œ
Šņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņ(MCR)ņņţ
Œ Œ
FIGURE 3- 2 : P R O G R AM M E U T I L I S AN T M CR P O U R S E L E C T I O N N E R D E S M AC H I N E S
Σ
«Set Point» «Error»
Σ ÉQUATION
PID
Débit d'entrée
«Flow rate»
Variable de procédé
«Process variable»
Sortie de contrôle
«Control output»
NIVEAU
Détecteur de niveau
«Level detector»
Valve de contrôle
«Control valve»
FIGURE 3- 3 : E X E M P L E D E C O N T R Ô L E PID
Une valeur supplémentaire (anticipation ou écart) peut être ajoutée à la sortie de contrôle pour
produire un décalage. Le résultat des calculs PID (variable de contrôle) dirige la variable du
procédé que vous contrôlez en direction de la consigne.
FIGURE 3- 4 : P R O G R AM M E P E R M E T T AN T L A S AI S I E D E S P AR AM È T R E S D E PID
Bloc de contrôle
Le bloc de contrôle est un fichier qui stocke les données nécessaires au fonctionnement de
l'instruction. La longueur du fichier est fixée à 23 mots et doit être saisie comme une adresse de
fichier de nombres entiers.
• Par exemple, une entrée de N7:2 réserve les éléments N7:2 à N7:24.
Il est désirable d’utiliser un fichier unique de données pour contenir vos blocs de contrôle PID.
• Par exemple N10:0.
Cela évite une réutilisation accidentelle des adresses de blocs de contrôle PID par d'autres
instructions de votre programme.
La variable de procédé PV
La variable de procédé PV est une adresse d'élément qui stocke la valeur d'entrée du procédé.
Cette adresse peut être l'emplacement d'un mot d'entrée analogique où la valeur de l'entrée A/D
est stockée. Cette valeur peut également être une valeur de nombre entier si vous choisissez de
préalablement mettre à l'échelle la valeur de vos entrées dans la plage 0-16383.
La variable de contrôle CV
La variable de contrôle CV est une adresse d'élément qui stocke la sortie de votre instruction
PID. La valeur de sortie se situe entre 0 et 16 383, 16833 étant la valeur « active » à 100%. Il
s'agit normalement d'une valeur de nombre entier, de sorte que vous pouvez mettre à l'échelle la
plage de sortie PID selon la plage analogique particulière requise par votre application.
FIGURE 3- 5 : É C R AN D E S AI S I E D E S P AR AM È T R E S
La consigne SP (mot 2)
Ce paramètre est le point de contrôle désiré de la variable de procédé. Entrez la valeur désirée et
appuyez sur [ENTER]. Vous pouvez changer cette valeur avec les instructions de votre
programme à relais. Écrivez la valeur au troisième mot du bloc de contrôle (par exemple, écrivez
la valeur à N7:4 si votre bloc de contrôle est N7:2). Sans mise à l'échelle, la plage de cette valeur
est 0-16383. Autrement, la plage va de l'échelle minimale (mot 8) à l'échelle maximale (mot 7).
Le gain Kc (mot 3)
Le gain proportionnel va de 0,1 à 25,5. La plage correcte est de 1 à 3276,7.
Le reset Ti (mot 4)
Le gain intégral va de 0,1 à 25,5 minutes par répétition. La plage correcte va de 1 à 3276,7
minutes/répétition. Notez que la valeur 3276,7 ajoute le terme intégral minimum possible.
La vitesse Td (mot 5) est le terme dérivé
La plage de réglage se situe entre 0,01 et 2,55 minutes. La plage correcte va de 1 à 327,67
minutes.
Échelle maximale Smax (mot 7)
Si la consigne est de lire dans les unités de fabrication, ce paramètre correspond alors à la valeur
de la consigne des unités de fabrication quand l'entrée de contrôle est 16.383. La plage correcte
est entre -16.383 et +16.383 (cas particulier du 5/03 : -32.768 à +32.767).
Échelle minimale Smin (mot 8)
Si la consigne est de lire dans des unités de fabrication, le paramètre correspond alors à la valeur
de la consigne des unités de fabrication quand l'entrée de contrôle est zéro. La plage correcte est
entre -16.383 et +16.383 (cas particulier du 5/03 : -32.768 à +32.767).
Important : Les mises à l'échelle Smin - Smax permettent d'entrer la consigne dans les unités de
fabrication. La zone morte, l'erreur et PV sont affichées dans les unités de fabrication. La
variable de procédé PV est toujours censée se trouver dans la plage 0 à 16.383. L'utilisation de
Smin - Smax ne minimise pas la sensibilité de la PV de PID.
La zone morte DB (mot 9)
Valeur non négative, la zone morte s'étend au-dessus et au-dessous de la consigne selon la valeur
entrée. La zone morte est saisie au passage par zéro de la variable de procédé PV et de la
consigne SP. Cela signifie que la zone morte est active seulement après l'entrée de la variable de
procédé PV dans la zone morte et son passage par la consigne SP. Plage: de 0 au maxi. à
l'échelle, ou de 0 à 16383 quand il n'y a pas de mise à l'échelle.
La mise à jour de la boucle (mot 13)
L'intervalle de temps entre les calculs PID. L'entrée se fait par intervalle de 0,01 seconde. La
règle d'or est d'entrer un temps de mise à jour de la boucle cinq à dix fois plus rapide que la
période naturelle de la charge.
1
Lecture/Écriture
ALLEN-BRADLEY
partie d’automatisme.
FIGURE 3- 7 : L U M I È R E E T AL AR M E
Ligne 2:0
Œ T_640MS FORCE LUMIERE Œ
Œ S:4 S:1 O:3 Œ
Šņņņ] [ņņņņņņņ] [ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŎņņņ( )ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŎņţ
Œ 6 5 Ň 1 Ň Œ
Œ Ň ňTONņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņʼn Ň Œ
Œ ŊņōTEMPO AU TRAVAIL Ōņ(EN)ņŋ Œ
Œ ŇTemporisation VERIF_1Ōņ(DN) Œ
Œ ŇBase de Temps 0.01Ň Œ
Œ ŇPrésélection 64Ň Œ
Œ ŇVal. Cumulée 0Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:1
Œ T_10240MS FORCE ALARME Œ
Œ S:4 S:1 O:3 Œ
Šņņņņ] [ņņņņņņ] [ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŎņņ( )ņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŎņţ
Œ 10 5 Ň 2 Ň Œ
Œ Ň ňTONņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņʼn Ň Œ
Œ ŊņōTEMPO AU TRAVAIL Ōņ(EN)ņŋ Œ
Œ ŇTemporisation VERIF_2Ōņ(DN) Œ
Œ ŇBase de Temps 0.01Ň Œ
Œ ŇPrésélection 1024Ň Œ
Œ ŇVal. Cumulée 0Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:2
Œ Œ
ŠņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōENDŌņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņţ
Œ Œ
FIGURE 3- 8 : P R O G R AM M E U T I L I S AN T L E S B I T S D E B AS E D E T E M P S
Dans l’imprimé ci-haut, le bit S1 :1/5 détecte l’action de forçage tandis que les bits S:4/6
et S:4/10 clignotent à intervalle de 640 msec. et 10.24 secondes respectivement. Les
temporisateurs sont placés uniquement à titre indicatif.
FIGURE 3- 10 : P R O G R AM M E U T I L I S AN T L E S B I T S D E L ' H O R O D AT E U R
Les instructions AND situées aux lignes 2:1, 2:2, 2:5 et 2:6 agissent comme masque de
l’information présente à la roue codeuse afin d’isoler les dizaines d’heures, les unités d’heures,
les dizaines de minutes et les minutes. Par exemple, le cas des dizaines de minutes demande que
l’on isole les bits 23, 24, 25, et 26. Pour ce faire, une opération logique ET entre les 16 entrées de
la roue codeuse et le code &H00F0 permet de garder uniquement les 1 et les 0 des dizaines de
minutes. Il en est de même pour les autres éléments formant l’heure de la roue codeuse. Ainsi,
quatre variables sont créées :
• ROUE_DIZ_H
• ROUE_UNI_H
• ROUE_DIZ_M
• ROUE_UNI_M
2n 28 27 26 25 24 23 22 21 20
x x x x UNITÉS MINUTES
0 0 1 1 1 1 0 0 0 0
Ligne 2:1
Œ ňANDņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
ŠņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōET SUR BIT Ōņţ
Œ ŇSource A ROUE_CODEŇ Œ
Œ Ň 516Ň Œ
Œ ŇSource B 28672Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ ŇDest ROUE_DIZ_HŇ Œ
Œ Ň 0Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:2
Œ ňANDņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
ŠņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōET SUR BIT Ōņţ
Œ ŇSource A ROUE_CODEŇ Œ
Œ Ň 516Ň Œ
Œ ŇSource B 3840Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ ŇDest ROUE_UNI_HŇ Œ
Œ Ň 512Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:5
Œ ňANDņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
ŠņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōET SUR BIT Ōņţ
Œ ŇSource A ROUE_CODEŇ Œ
Œ Ň 516Ň Œ
Œ ŇSource B 240Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ ŇDest ROUE_DIZ_MŇ Œ
Œ Ň 0Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:6
Œ ňANDņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
ŠņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōET SUR BIT Ōņţ
Œ ŇSource A ROUE_CODEŇ Œ
Œ Ň 516Ň Œ
Œ ŇSource B 15Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ ŇDest ROUE_UNI_MŇ Œ
Œ Ň 4Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
FIGURE 3- 11 : M AS Q U E P O U R L E S B I T S D U P R O G R AM M E D ' H O R O D AT E U R
Après avoir isolé chaque valeur de la roue codeuse, nous formons deux autres variables qui
contiendront les heures et les minutes. Par exemple, pour les heures, nous devons additionner les
dizaines d’heures avec les heures pour former une variable contenant de 0 à 23 heures. La même
opération devra être réalisée pour les minutes et dizaines de minutes. Avant de pouvoir effectuer
cette addition, il faudra rendre unitaire les quatre variables de départ.
Ligne 2:3
Œ ňDIVņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
ŠņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŎņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōDIVISION ŌņŎņţ
Œ Ň ŇSource A ROUE_DIZ_HŇ Ň Œ
Œ Ň Ň 0Ň Ň Œ
Œ Ň ŇSource B 4096Ň Ň Œ
Œ Ň Ň Ň Ň Œ
Œ Ň ŇDest N7:10Ň Ň Œ
Œ Ň Ň 0Ň Ň Œ
Œ Ň Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Ň Œ
Œ Ň ňMULņņņņņņņņņņņņņņņʼn Ň Œ
Œ ŊņŎņōMULTIPLICATION ŌņņņņņņŎņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Œ Ň ŇSource A N7:10Ň Ň Œ
Œ Ň Ň 0Ň Ň Œ
Œ Ň ŇSource B 10Ň Ň Œ
Œ Ň Ň Ň Ň Œ
Œ Ň ŇDest N7:10Ň Ň Œ
Œ Ň Ň 0Ň Ň Œ
Œ Ň Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Ň Œ
Œ Ň ňDIVņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņʼn Ň Œ
Œ ŌņōDIVISION Ōņō Œ
Œ Ň ŇSource A ROUE_UNI_HŇ Ň Œ
Œ Ň Ň 512Ň Ň Œ
Œ Ň ŇSource B 256Ň Ň Œ
Œ Ň Ň Ň Ň Œ
Œ Ň ŇDest N7:11Ň Ň Œ
Œ Ň Ň 2Ň Ň Œ
Œ Ň Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Ň Œ
Œ Ň ňADDņņņņņņņņņņņņņņņʼn Ň Œ
Œ ŊņōADD Ōņņņņņņŋ Œ
Œ ŇSource A N7:10Ň Œ
Œ Ň 0Ň Œ
Œ ŇSource B N7:11Ň Œ
Œ Ň 2Ň Œ
Œ ŇDest COMP_HEUREŇ Œ
Œ Ň 2Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:7
Œ ňDIVņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
ŠņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŎņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōDIVISION ŌņŎņţ
Œ Ň ŇSource A ROUE_DIZ_MŇ Ň Œ
Œ Ň Ň 0Ň Ň Œ
Œ Ň ŇSource B 16Ň Ň Œ
Œ Ň Ň Ň Ň Œ
Œ Ň ŇDest N7:20Ň Ň Œ
Œ Ň Ň 0Ň Ň Œ
Œ Ň Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Ň Œ
Œ Ň ňMULņņņņņņņņņņņņņņņʼn Ň Œ
Œ ŊņŎņōMULTIPLICATION ŌņņņņņņŎņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Œ Ň ŇSource A N7:20Ň Ň Œ
Œ Ň Ň 0Ň Ň Œ
Œ Ň ŇSource B 10Ň Ň Œ
Œ Ň Ň Ň Ň Œ
Œ Ň ŇDest N7:20Ň Ň Œ
Œ Ň Ň 0Ň Ň Œ
Œ Ň Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Ň Œ
Œ Ň ňADDņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņʼn Ň Œ
Œ ŊņōADD Ōņŋ Œ
Œ ŇSource A N7:20Ň Œ
Œ Ň 0Ň Œ
Œ ŇSource B ROUE_UNI_MŇ Œ
Œ Ň 4Ň Œ
Œ ŇDest COMP_MINŇ Œ
Œ Ň 4Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
FIGURE 3- 12 : O P É R AT I O N P O U R R E N D R E L E S V AR I AB L E S U N I T AI R E S
Après le traitement de l’information, il ne reste plus qu’à effectuer des comparaisons avec les
registres de l’horodateur.
Ligne 2:4
Œ HEURES Œ
Œ ňGRTņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņʼn B3 Œ
ŠņōPLUS GRAND QUE Ōņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņ( )ņņņţ
Œ ŇSource A COMP_HEUREŇ 10 Œ
Œ Ň 2Ň Œ
Œ ŇSource B 23Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:8
Œ MINUTES Œ
Œ ňGRTņņņņņņņņņņņņņņņʼn B3 Œ
ŠņōPLUS GRAND QUE Ōņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņ( )ņņņţ
Œ ŇSource A COMP_MINŇ 11 Œ
Œ Ň 4Ň Œ
Œ ŇSource B 59Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:9
Œ ňSUBņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņʼn Œ
ŠņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōSOUSTRACTION Ōņţ
Œ ŇSource A COMP_HEUREŇ Œ
Œ Ň 2Ň Œ
Œ ŇSource B S:40Ň Œ
Œ Ň 2Ň Œ
Œ ŇDest VER_8_HEURŇ Œ
Œ Ň 0Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:10
Œ PLUS_8 Œ
Œ ňGRTņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņʼn B3 Œ
ŠņōPLUS GRAND QUE Ōņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņ( )ņņņţ
Œ ŇSource A VER_8_HEURŇ 9 Œ
Œ Ň 0Ň Œ
Œ ŇSource B 8Ň Œ
Œ Ň Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:11
Œ OFF Œ
Œ ňEQUņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņʼn ňEQUņņņņņņņņņņņņņņņʼn B3 Œ
ŠņōEGAL ŌņōEGAL Ōņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņ( )ņņţ
Œ ŇSource A S:40Ň ŇSource A S:41Ň 1 Œ
Œ Ň 2Ň Ň 6Ň Œ
Œ ŇSource B COMP_HEUREŇ ŇSource B COMP_MINŇ Œ
Œ Ň 2Ň Ň 4Ň Œ
Œ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ Œ
Ligne 2:12
Œ Œ
ŠņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņōENDŌņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņţ
Œ Œ
FIGURE 3- 13 : C O M P AR AI S O N S AV E C L E S R E G I S T R E S D E L ' H O R O D AT E U R
T AB L E AU 4- 1 : A U T O M AT I S M E D U “ P O I N Ç O N H Y D R AU L I Q U E ”
ENT RÉES
GRAFCET / @PUNCH.IO FONCTION AUTOMATE
Étiquette Simulation Adresse N.O. N.F. Étiquette
auto m Sélecteur Automatique/Manuel auto/man
bas Interrupteur de limite basse 9 ls_bas
cen Interrupteur de limite centre 9 ls_cen
haut Interrupteur de limite haute 9 ls_haut
bp Présence du bloc 9 ls_in
br Bloc en retrait 9 ls_out
go g Départ cycle 9 dep_cyc
ar a Bouton poussoir d’arrêts 9 arret
rem r Remonte le poinçon 9 rem
des d Descend le poinçon 9 des
in_b I Rentre le bloc 9 bloc_in
out_b o Sort le bloc 9 bloc_out
un u Sélecteur de séquence unique un/cont
pas s Séquence pas-à-pas 9 pas
urg p Contact de l’interrupteur d’urgence 9 9 urg
SO RT IES
Étiquette / Simulation Adresse C.C. C.A. Étiquette
LUMA Lumière d’arrêt 220 LUMA
LUMB Lumière du bloc 220 LUMB
LUMF Lumière des fonctions 220 LUMF
DEPO Dépose un bloc 220 DEPO
ENLE Enlève un bloc 220 ENLE
DESC Contacteur poinçon vers le bas 220 DESC
MONT Contacteur poinçon vers le haut 220 MONT
Continu
semi-auto <1>
Ň
Un cycle débute par ŕőŨőŘ
une pression sur l’interrupteur de départ Œ1Œ
śőťőŞ
(go). À ce moment, une lumière LUMB Ň
s’allume indiquant à l’opérateur que le bloc 1ņŐņ ↑go&&(haut&&!bp)
est en voie de chargement. Lorsque ce Ň
ňņŏņʼn ňņņņņņʼn
dernier est bien positionné, la séquence de Ň 2 ŌņōDEPO;Ň
poinçonnage débute. ŊņŎņŋ ŇLUMB;Ň
Ň Ŋņņņņņŋ
Une fois le bloc en place, la lumière LUMB 2ņŐņ bp
Ň
clignote rapidement afin d’indiquer à ňņŏņʼn ňņņņņņʼn
l’opérateur que le poinçon est en action. Le Ň 3 ŌņōDESC;Ň
clignotement de la lumière s’effectue tant ŊņŎņŋ Ŋņņņņņŋ
Ň
que le poinçon n’est pas de retour en 3ņŐņ bas
position haute. Ň
ňņŏņʼn ňņņņņņʼn
Pendant ce temps, le solénoïde DESC est Ň 4 ŌņōMONT;Ň
ŊņŎņŋ Ŋņņņņņŋ
activé afin de descendre le poinçon et de Ň
compléter un trou. Une fois que le vérin est 4ņŐņ ! cen
remonté (MONT) plus haut que le niveau du Ň
ūőőőőőőőőőőőőť
détecteur central, le bloc débute sa séquence ňņŏņʼn ňņņņņņʼnňņŏņʼn ňņņņņņʼn
de sortie (ENLE). Ň 5 ŌņōMONT;ŇŇ 6 ŌņōENLE;Ň
ŊņŎņŋ ŊņņņņņŋŊņŎņŋ Ŋņņņņņŋ
Une nouvelle pression sur l’interrupteur de Ň Ň
départ de cycle (go) permet de débuter le 7ņŐņ haut 6ņŐņ br
Ň Ň
poinçonnage d’un nouveau bloc. ňņŏņʼn ňņŏņʼn
Ň7Ň Ň8Ň
ŊņŎņŋ ŊņŎņŋ
ūőőőőőőőőőőőőŨ
Remarquez ici que rien ne change par Ň
rapport à un GRAFCET ordinaire. Si nous 8ņŐņ 1
Ň
arrêtons l’analyse de l’automatisme à cet Ň
endroit, rien de nouveau n’est introduit. <1>
< 10>
Continu <1>
Ň
semi-auto ŕőŨőŘ
Œ1Œ
śőťőŞ
Ň
<2> 1ņŐņ ↑go&&(haut&&!bp)
Le mode de sélection de séquence permet à Ň Ň
l’opérateur d’effectuer des opérations cycle Ŋņņņņņņņņņņņņō
pas cycle ou en mode continu. Remarquez, ňņŏņʼn ňņņņņņʼn
Ň 2 ŌņōDEPO;Ň
sur le panneau de contrôle de la figure 4-1, le ŊņŎņŋ ŇLUMB;Ň
sélecteur semi-auto/continu. Selon la position Ň Ŋņņņņņŋ
2ņŐņ bp
de ce dernier, le GRAFCET boucle Ň
continuellement ou il attend la commande de ňņŏņʼn ňņņņņņʼn
l’opérateur après chaque cycle. Ň 3 ŌņōDESC;Ň
ŊņŎņŋ Ŋņņņņņŋ
Remarquez que la décision de boucler ou non Ň
3ņŐņ bas
se prend à la fin du cycle (zone encadrée). Ň
Donc, peu importe cette décision, même si la ňņŏņʼn ňņņņņņʼn
position du sélecteur est modifiée en cours de Ň 4 ŌņōMONT;Ň
ŊņŎņŋ Ŋņņņņņŋ
route, au moins un cycle sera complété. La Ň
représentation d’une sélection de séquence 4ņŐņ ↓cen
peut vous être familière. En effet, il s’agit de Ň
ūőőőőőőőőőőőőť
la même configuration que lorsqu’un ňņŏņʼn ňņņņņņʼnňņŏņʼn ňņņņņņʼn
compteur est utilisé. Ň 5 ŌņōMONT;ŇŇ 6 ŌņōENLE;Ň
ŊņŎņŋ ŊņņņņņŋŊņŎņŋ Ŋņņņņņŋ
Ci-contre, vous pouvez constater la Ň Ň
7ņŐņ haut 6ņŐņ br
simplicité de ce type de GRAFCET. Si le Ň Ň
sélecteur est en position semi-auto (un), le ňņŏņʼn ňņŏņʼn
GRAFCET retourne à l’étape initiale (X1) Ň7Ň Ň8Ň
ŊņŎņŋ ŊņŎņŋ
après avoir complété un cycle, via la ūőőőőőőőőőőőőŨ
transition TR9. À cette étape, il est nécessaire Ň
8ņŐņ 1
que l’opérateur appuie de nouveau sur ňņŏņʼn
l’interrupteur de départ de cycle (go) afin de Ň9Ň
débuter une séquence de poinçon. ŊņŎņŋ
Ōņņņņņņņņņņņņʼn
Par contre, si le sélecteur est en position Ň Ň
continue (!un), le GRAFCET boucle vers 9ņŐņ un 10ņŐņ !un
l’étape X2 (via TR10) et un nouveau bloc est
Ň Ň
positionné sans l’intervention de l’opérateur.
Ň Ň
<1> <2>
Ň
101ņŐņ T/0.5s/X101
Ň
Ň
< 10>
PAS <1>
Ň
ŕőŨőŘ
Œ1Œ
La séquence pas-à-pas est peu śőťőŞ
Ň
commune et elle existe surtout lors de la mise
1ņŐņ ↑go&&(haut&&!bp) < 2 >
en route d’un nouvel équipement. Elle peut Ň Ň
s’asservir au mode de production lorsqu’une Ōņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ
ňņŏņʼn ňņņņņņņņņņņņņņņʼn
position manuelle est désirée plus loin dans Ň 2 Ōņōif (!bp) DEPO;Ň
la séquence. À ce moment, l’opérateur peut ŊņŎņŋ ŇLUMB; Ň
effectuer la mise en marche en étant certain Ň Ŋņņņņņņņņņņņņņņŋ
2ņŐņ bp && !pas
de ne pas sauter d’étape dans la séquence. Par Ň
exemple, il serait fâcheux d’avancer trop ňņŏņʼn ňņņņņņņņņņņņņņņņʼn
Ň 3 Ōņōif (!bas) DESC;Ň
rapidement dans une séquence qui remplit un ŊņŎņŋ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņŋ
contenant, sans même avoir placé ce dernier Ň
sur la chaîne de montage. 3ņŐņ bas && !pas
Ň
Remarquez le GRAFCET ci-contre et en ňņŏņʼn ňņņņņņņņņņņņņņņņʼn
Ň 4 Ōņōif (!cen) MONT;Ň
particulier l’étape X3. Règle générale, le ŊņŎņŋ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņŋ
bouton poussoir « pas » n’est pas appuyé et Ň
l’automatisme évolue. Lorsqu’on désire 4ņŐņ cen && !pas
Ň
effectuer la séquence pas-à-pas, l’opérateur ūőőőőőőőőőőőőőőőőőőőőőőőőőť
appuie en permanence sur l’interrupteur ňņŏņʼn ňņņņņņņņņņņņņņņņņʼn ňņŏņʼn ňņņņņņņņņņņņņņņʼn
Ň 5 Ōņōif (!haut) MONT;Ň Ň 6 Ōņōif (!br) ENLE;Ň
« pas ». Appuyez sur ce bouton fait en sorte ŊņŎņŋ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņŋ ŊņŎņŋ Ŋņņņņņņņņņņņņņņŋ
que la prochaine transition est fausse et que Ň Ň
l’étape précédente reste valide. Afin 7ņŐņ haut && !pas 6ņŐņ br && !pas
Ň Ň
d’évoluer jusqu’à la prochaine étape, ňņŏņʼn ňņŏņʼn
l’opérateur n’a qu’à relâcher momentanément Ň7Ň Ň8Ň
ŊņŎņŋ ŊņŎņŋ
le bouton poussoir. ūőőőőőőőőőőőőőőőőőőőőőőőőőŨ
Ň
La réceptivité « !pas » à TR3 empêche 8ņŐņ 1
l’automatisme de sortir de l’étape X3, même Ň
si le poinçon est complètement en bas. ňņŏņʼn
Ň9Ň
Si une condition n’est pas ajoutée à l’action ŊņŎņŋ
Ōņņņņņņņņņņņņʼn
DESC, il en résulte un dépassement de la Ň Ň
course maximale du poinçon. Donc, il faut 9ņŐņ un 10ņŐņ !un
prévoir ajouter des conditions à chaque Ň Ň
<1> <2>
sortie.
en mode manuel, l’étape X32 devient valide renvoyant l’automatisme de base à son étape
initiale. Ceci est fait à l’aide d’une commande de forçage.
Les étapes X40, X50, X60 et X70 forment le contrôle du mode manuel. Remarquez que l’étape
X70 permet d’enlever la pièce se trouvant sur le socle de poinçonnage. Cette étape ne peut
devenir valide que lorsque le mode manuel est utilisé (!am), et que le bouton out_b est appuyé. Il
faut également que le poinçon se trouve en position haute (haut) ou au centre (cen) afin
d’enclencher la sortie ENLE. Dès l’instant que le mode automatique redevient valide, l’étape
X70, elle, ne l’est plus.
Comme vous avez été à même de le constater, nous nous sommes pas préoccupés
jusqu’à présent des moyens utilisés pour stopper les divers automatismes. Il en est ainsi parce
qu’il faut obligatoirement utiliser les notions de forçage, de GRAFCET auxiliaire et de sous-
GRAFCET. Ces notions terminant notre étude du GRAFCET, il était difficile d’aborder le sujet
plus tôt.
Il existe donc quatre différents types d’arrêts. L’arrêt de cycle, l’arrêt momentané, l’arrêt complet
et finalement l’arrêt d’urgence. Le plus important est évidemment l’arrêt d’urgence et nous
l’abordons immédiatement puisqu’il fait souvent force d’ambiguïté.
4.4.2 L’arrêt d’urgence
Arrêt d'urgence
u
Comme la plupart des utilisateurs d’ordinateurs, vous avez probablement tous eu la
malchance de voir “planter” ce dernier. “Planter” signifie que vous avez perdu le contrôle ou
devrions-nous dire, que l’ordinateur vous l’a enlevé. Les raisons de cette perte de contrôle
restent généralement inexpliquées et inexplicables. Un bon matin, l’ordinateur décide de prendre
une pause café au beau milieu de votre travail et hop, une demi-heure d’ouvrage qui s’envole.
Pourquoi faire ressortir ces mauvais souvenirs, eh! bien, uniquement pour vous rappeler qu’un
automate, un tour numérique ou un ordinateur sont tous des éléments à base de microprocesseurs
et, peu importe la qualité des appareils, une panne peut se produire à n’importe quel moment.
Pour cette raison, l’arrêt d’urgence ne doit jamais être de type logiciel. Celui-ci est électrique et
doit immédiatement couper l’alimentation sur les sorties afin d’empêcher la destruction de bien
matériel ou, pire encore, de blessures corporelles. Si l’ordinateur est encore en fonction, nous
pouvons alors utiliser un contact auxiliaire du bouton d’arrêt d’urgence afin de faire clignoter
une lumière ou d’indiquer à l’automatisme de se rendre à l’étape initiale pour un forçage d’étape.
En aucun temps, l’arrêt d’urgence doit se fier uniquement sur le GRAFCET. Lorsque vous
verrez des fonctions d’arrêt d’urgence dans un GRAFCET, dites-vous bien ou assurez-
vous bien qu’il s’agit là d’une fonction secondaire et que l’action primaire est réalisée
électriquement.
Généralement, l’arrêt d’urgence est conçu à l’aide d’un gros bouton poussoir rouge surnommé
“champignon”, permettant à l’opérateur, ou à tout intervenant, de le repérer rapidement sur la
console ou le panneau électrique. Pour plus de détails sur l’arrêt d’urgence, consultez le
document portant sur les automates programmables industriels.
<2>
Ň
ŕőŨőŘ ňņņņņņņņņņņņņņņņņʼn
Œ 20ŠņōF/base:(1); Ň
śőťőŞ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņŋ
Ň
20ņŐņ !ar
Ň
ňņŏņʼn ňņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņʼn
Ň 21Ōņō//Marche automatiqueŇ
ŊņŎņŋ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ
Ň
21ņŐņ ar
Ň
Ň
<2>
<2>
Ň
ŕőŨőŘ ňņņņņņņņņņņņņņņņņʼn
Œ 20Šņō//Arret de cycleŇ
śőťőŞ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņŋ
Ň
20ņŐņ ↑go&&!ar&&(haut&&!bp)
Ň
ňņŏņʼn ňņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņʼn
Ň 21Ōņō//Marche automatiqueŇ
ŊņŎņŋ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ
Ň
21ņŐņ ar
Ň
Ň
<2>
<2>
Ň
ŕőŨőŘ ňņņņņņņņņņņņņņņņʼn
Œ 20Šņō//Arret moment.Ň
śőťőŞ Ŋņņņņņņņņņņņņņņņŋ
Ň
20ņŐņ !ar
Ň
ňņŏņʼn ňņņņņņņņņʼn
Ň 21Ōņō//MarcheŇ
ŊņŎņŋ Ŋņņņņņņņņŋ
Ň
21ņŐņ ar
Ň
Ň
<2>
T AB L E AU 4- 2 : A U T O M AT I S M E D E S “ B I D O N S ”
ENT RÉES
GRAFCET / @BIDONS.IO FONCTION AUTOMATE
Étiquette Simulation Adresse N.O. N.F. Étiquette
pas_c p Détection d’avancement du convoyeur 9 pas_conv
bid_r r Bidon au poste de remplissage 9 bid_r
bid_b b Bidon au poste de capsulage 9 bid_b
n_eau e Niveau de l’eau dans le réservoir 9 niv_eau
n_conc c Niveau de concentré dans le réservoir 9 niv_conc
vol_eau >=85 Volume d’eau dans le bidon analogique vol_eau
vol_conc>=15 Volume de concentré dans le bidon analogique vol_conc
capsule f Capsule dans l’alimenteur 9 bouchon
pb_haut h Position haute de l’équipement à capsuler 9 pb_haut
pb_bas d Position basse de l’équipement à capsuler 9 pb_bas
am m bouton de marche 9 marche
urg u Contact aux. du bouton d’arrêt d’urgence 9 ar_urg
arrêt a bouton d’arrêt de production 9 arrêt
SO RT IES
GRAFCET FONCTION AUTOMATE
Étiquette / Simulation Adresse C.C. C.A. Étiquette
MARCHE Lumière de marche 24 MARCHE
ARRET Lumière d’arrêt 24 ARRET
VERIF Lumière indicatrice 24 VERIF
A_URG Lumière d’arrêt d’urgence 24 A_URG
CONV Convoyeur 220 CONV
V_EAU Vanne de remplissage d’eau 24 V_EAU
V_CONV Vanne de remplissage de concentré 24 V_CONC
DESCEN Descente pour capsuler 220 DESCEN
MONTE Montée pour capsuler 220 MONTE
VISSE Permet de visser la capsule 220 VISSE
ňņņņņņņņņņņņņʼn ňņņņņņņņņņņņņʼn
Ň ŕőŨőŘ ňņņņņņņʼn Ň ŕőŨőŘ
Ň Œ 1 Šņō Ň Ň Œ 33Œ
Ň śőťőŞ Ŋņņņņņņŋ Ň śőťőŞ
Ň Ň Ň Ň
Ň 2ņŐņ Ň 34ņŐņ
Ň Ň Ň Ň
Ň ňņŏņʼn ňņņņņņņņʼn Ň ňņŏņʼn ňņņņņņņņņņņņņʼn
Ň Ň 2 Ōņō Ň Ň Ň 34Ōņō Ň
Ň ŊņŎņŋ Ŋņņņņņņņŋ Ň ŊņŎņŋ Ň Ň
Ň Ň Ň Ň Ŋņņņņņņņņņņņņŋ
Ň 3ņŐņ Ň 40ņŐņ
Ň Ň Ň Ň
Ŋņņņņņņņņņņņņŋ Ŋņņņņņņņņņņņņŋ
T AB L E AU4- 3 : A U T O M AT I S M E “ P O M P E S A L T E R N AT I V E S ”
ENT RÉES
GRAFCET / @POMPES.IO FONCTION AUTOMATE
Étiquette Simulation Adresse N.O. N.F. Étiquette
n_bas Flotte basse x n_bas
n_moyen Flotte centrale x n_moy
n_haut Flotte haute x n_cen
raz r Bouton poussoir de remise-à-zéro x raz
mom m Bouton poussoir d’arrêt momentané x mom
urg u Contact aux, arrêt d’urgence x urg
sel s Sélecteur auto/manuel man auto sel
SO RT IES
Étiquette / Simulation Adresse C.C. C.A. Étiquette
P1 Pompe 1 220 P1
P2 Pompe 2 220 P2
L1 Lumière de la pompe 1 220 L1
L2 Lumière de la pompe 2 220 L2
ALARME Alarme 24 ALARME
MAINT Lumière indicatrice pour la maintenance 24 MAINT
4.6.3 Exercices
Terminez l’automatisme des pompes alternatives par l’ajout des modes de marches et d’arrêts.
Débutez par une révision de votre automatisme et ajoutez-y un à un les différentes modes de
marches et d’arrêts qui suivent. Discutez de votre solution avec vos confrères.
1
Master Control Reset ou Relay.
2
Consulter la documentation de votre automate afin d’utiliser des adresses des sorties internes non retentive.
<3>
<1> Ň
Ň ŕőŨőŘ
base ŕőŨőŘ Œ 30Œ
Œ1Œ śőťőŞ
śőťőŞ Ōņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņʼn
Ň Ň Ň
1ņŐņ ↑go&&(haut&&!bp) 30ņŐņ am 32ņŐņ !am
Ň Ň Ň
ňņŏņʼn ňņņņņņʼn ňņŏņʼn ňņŏņʼn ňņņņņņņņņņņņņņņņʼn
Ň 2 ŌņōDEPO;Ň Ň 31Ň //Automatique Ň 32ŌņōF/base:(1); Ň
ŊņŎņŋ ŇLUMB;Ň ŊņŎņŋ ŊņŎņŋ Ňif (X100) LUMF;Ň
Ň Ŋņņņņņŋ Ň Ň Ŋņņņņņņņņņņņņņņņŋ
2ņŐņ bp 31ņŐņ !am 33ņŐņ am && haut && br
Ň Ň Ň
ňņŏņʼn ňņņņņņʼn Ōņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņņŋ
Ň 3 ŌņōDESC;Ň Ň
ŊņŎņŋ Ŋņņņņņŋ <3>
Ň
3ņŐņ bas
Ň Ň Ň
ňņŏņʼn ňņņņņņʼn 40ņŐņ !am && !haut 60ņŐņ !am && !bas && ↑des
Ň 4 ŌņōMONT;Ň Ň && ↑rem && !des Ň && bp && !rem
ŊņŎņŋ Ŋņņņņņŋ ňņŏņʼn ňņņņņņʼn ňņŏņʼn ňņņņņņʼn
Ň Ň 40ŌņōMONT;Ň Ň 60ŌņōDESC;Ň
4ņŐņ ! cen ŊņŎņŋ Ŋņņņņņŋ ŊņŎņŋ Ŋņņņņņŋ
Ň Ň Ň
ūőőőőőőőőőőőőť 41ņŐņ am||haut 61ņŐņ am||bas||↓des||!bp
ňņŏņʼn ňņņņņņʼnňņŏņʼn ňņņņņņʼn Ň ||↓rem Ň
Ň 5 ŌņōMONT;ŇŇ 6 ŌņōENLE;Ň
ŊņŎņŋ ŊņņņņņŋŊņŎņŋ Ŋņņņņņŋ Ň Ň
Ň Ň 50ņŐņ !am && !bp && ↑in_b 70ņŐņ !am && !br && ↑out_b
7ņŐņ haut 6ņŐņ br Ň &&(haut||cen) && !out_b Ň &&(haut||cen) && !in_b
Ň Ň ňņŏņʼn ňņņņņņʼn ňņŏņʼn ňņņņņņʼn
ňņŏņʼn ňņŏņʼn Ň 50ŌņōDEPO;Ň Ň 70ŌņōENLE;Ň
Ň7Ň Ň8Ň ŊņŎņŋ Ŋņņņņņŋ ŊņŎņŋ Ŋņņņņņŋ
ŊņŎņŋ ŊņŎņŋ
Ň Ň
ūőőőőőőőőőőőőŨ
Ň 51ņŐņ (am||bp||↓in_b)&& 71ņŐņ am||br||↓out_b
8ņŐņ 1 Ň (!haut||!cen) Ň &&(!haut||!cen)
Ň
Ň
<1>
Les étapes X40, X50, X60 et X70 forment le contrôle du mode manuel.
| |
1+---$$$$$$$$$$$$$$$$ SECTION DE TRADUCTION DES ETAPES $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$--+
| |
| X32 |
+--] [--------+ |
| | |
| TR8 | X1 |
2+--] [--------+-------------------------------------------------------( )----+
| | |
| X1 X2 | |
+--] [---]/[--+ |
| |
| |
| AUTO |
| X31 |
3+--] [----------------------------------------------------------------(MCR)----+
| |
| |
4+--**************** TOUTES LES ETAPES DU MODE AUTOMATIQUE *****************--+
| SAUF L'ETAPE INITIALE X1 |
| |
5+---------------------------------------------------------------------(MCR)----+
| |
| MANUEL |
| X32 |
6+--] [----------------------------------------------------------------(MCR)----+
| |
| |
7+---############### TOUTES LES ETAPES DU MODE MANUEL ######################--+
| |
| |
8+---------------------------------------------------------------------(MCR)----+
| |
| |
9+---%%%%%%%%%%%%%%% LE RESTE DES BARREAUX DE TRADUCTION %%%%%%%%%%%%%%%%%%%--+
| COMPRENANT LE GRAFCET AUXILIAIRE DU |
| MODE MANUEL X30, X31 et X32 |
FIGURE 5- 1 : V U E G É N É R AL E D ' U N E T R AD U C T I O N AU T O M AT I Q U E / M AN U E L
Il s’agit ici qu’un diagramme de principe, mais il n’en faut pas plus pour comprendre.
En mode automatique, l’étape X31 est valide et la X32 ne l’est pas. Ainsi, lorque le mode
automatique est sélectionné, le MCR contrôlé par X32 (ligne 7) bloque toutes les étapes du
mode manuel.
Lors du passage en mode manuel, l’étape X32 devient valide, la ligne du MCR est alors vrai et
permet le fonctionnement des éléments compris entre les lignes 7 et 9. Par le fait même, l’étape
X31 est maintenant hors-fonction, ce qui désactive le MCR de la ligne 3 et toutes les étapes entre
la ligne 3 et 5.
Finalement, puisque la conception du GRAFCET nous oblige à forcer le GRAFCET de base à
l’étape 1, nous avons sorti cette étape de l’emprise du MCR, afin de pouvoir y mettre un contact
X32 en parallèle. Ce contact force l’étape X1 à rester valide tant que X32 l’est également.
Lorsque X32 deviendra inactive, l’étape X1, elle, le restera grâce à son contact de maintien X1.
Il faut faire très attention lorsqu’on utilise les MCR dans la traduction d’un GRAFCET. Il ne
faut jamais oublier que cette instruction désactive toutes les sorties et que aucune étape ne reste
mémorisée y compris les étapes initiales. Il faudra prévoir une façon de réinitialiser les étapes
initiales ou les sortir de l’emprise des MCR si l’on veut que les GRAFCET compris dans un
MCR puissent repartir.
Dans l’exemple en cours, il n’est pas nécessaire de se préoccuper de cette particularité puisque
aucune étape initiale n’est utilisée. Voici donc une grande utilité des GRAFCET auxiliaires ne
possédant pas d’étape initiale.
Dans l’éventualité où l’on désire repartir un GRAFCET là où il était rendu, il faudrait traduire
les étapes à l’aide de relais de contrôle à rétention. Les barreaux devant être mémorisés
prendraient alors l’allure suivante:
| |
| TR2 X3 |
+--] [--------+-------------------------------------------------------( )----+
| | |
| X3 X4 | |
+--] [---]/[--+ |
FIGURE 5- 2 : B AR R E AU N O R M AL D ' U N E É T AP E ( S AN S R É T E N T I O N )
| |
| TR2 X3 |
+--] [----------------------------------------------------------------( L )----+
| |
| |
| X4 X3 |
+--] [--- ------------------------------------------------------------( U )----+
FIGURE 5- 3 : B AR R E AU À R E T E N T I O N AV E C L AT C H - U N L AT C H
| |
1+---$$$$$$$$$$$$$$$$ SECTION DE TRADUCTION DES ETAPES $$$$$$$$$$$$$$$$$$--+
| |
| X20 |
+--] [--------+ |
| | |
| TR8 | X1 |
2+--] [--------+-------------------------------------------------------( )----+
| | |
| X1 X2 | |
+--] [---]/[--+ |
| |
| TR1 X20 X2 |
3+--] [--------+---]/[-------------------------------------------------( )----+
| | |
| X2 X3 | |
+--] [---]/[--+ |
F I G U R E 5- 4 : M É T H O D E 1 D E T R AD U C T I O N D E S F O R Ç AG E S
L’autre méthode, déjà discutée auparavant, est l’utilisation de l’instruction MCR. Pour traduire
correctement un forçage, il faut inclure, à l’intérieur de deux instructions de MCR, toutes les
étapes du sous-GRAFCET, hormis l’étape forcée. Ici, comme dans la plupart des cas, l’étape
forcée est l’étape initiale. Par contre, l’étape forcée peut très bien être une étape au beau milieu
du sous-GRAFCET. À ce moment, il faudrait sortir cette étape de l’emprise du MCR.
| |
1+---$$$$$$$$$$$$$$$$ SECTION DE TRADUCTION DES ETAPES $$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$$--+
| ARRET |
| X20 |
+--] [--------+ |
| | |
| TR8 | X1 |
2+--] [--------+-------------------------------------------------------( )----+
| | |
| X1 X2 | |
+--] [---]/[--+ |
| |
| |
| ARRET |
| X20 |
3+--]/[----------------------------------------------------------------(MCR)----+
| |
| |
4+--**************** TOUTES LES ETAPES DU GRAFCET BASE ******************--+
| SAUF L'ETAPE INITIALE X1 |
| |
5+---------------------------------------------------------------------(MCR)----+
| |
| |
| |
6+---%%%%%%%%%%%%%%% LE RESTE DES BARREAUX DE TRADUCTION %%%%%%%%%%%%%%%%%%%--+
| COMPRENANT LE GRAFCET AUXILIAIRE DU |
| MODE D'ARRET X20 et X21 |
F I G U R E 5- 5 : M É T H O D E 2 D E T R AD U C T I O N D ' U N F O R Ç AG E
Remarquez, à la figure 5-5, que le contact qui contrôle le MCR est à ouverture. Lors d’un arrêt
complet, l’étape X20 devient valide. Son contact ouvre et le MCR désactive toutes les étapes
comprises entre cette ligne et le prochain MCR inconditionnel.
À la figure 5-5 nous avons seulement représenté le forçage par l’arrêt complet. Il est possible, tel
notre exemple, que différents GRAFCET auxiliaires doivent forcer le même sous-GRAFCET.
Dans cette éventualité, il s’agit de placer autant de contacts en série sur la ligne de MCR et
autant en parallèle avec la ligne de l’étape qui est forcée.
6. Méthode de dépannage
Ce document présente les divers modes et fonctions pour mettre en marche un système, pour
dépanner lors d’un bris matériel ou pour modifier le logiciel.
T AB L E AU 6- 1 : M O D E S D E C O N T R Ô L E À D I S T AN C E
Ligne de statut Mode du processeur Type de processeur
REM PROG Programme SLC 5/01, SLC 5/02
REM RUN Exécution « RUN » SLC 5/01, SLC 5/02
REM SRG Test en pas simple SLC 5/01
REM SSN Test en cycle unique SLC 5/01, SLC 5/02
REM CSN Test en cycle continue SLC 5/01, SLC 5/02
FAULT XXX Faute SLC 5/01, SLC 5/02
REM SUSP Exécution ou Test SLC 5/01, SLC 5/02
1
Considérer un changement de mode par l’ordinateur comme étant un changement à distance.
2
En anglais le terme utilisé est «monitoring».
La figure 6-2 présente le même tableau mais, cette fois-ci, en décimale plutôt qu’en binaire. La
fonction CHANGE BASE permet d’afficher les tableaux O, I, B et N sous diverses formes. Vous
pouvez remarquer, au bas de la figure, les types d’affichages possibles. Ce changement permet
d’effectuer rapidement une conversion sans avoir accès à une calculatrice. Ceci est très utile
surtout lorsque les valeurs sont négatives.
adresse donn adresse donn adresse donn adresse donn
O:1 0
O:3 38
O:6 0
O:6.1 -13764
O:6.2 0
O:6.3 106
Appuyer sur une touche pr choisir la Base
O:6.1 =
hors ligne pas de forçage donn décimal adresse déci FichiPOMPES
DONNEES DONNEES DONNEES DONNEES
BINAIRE DECIMAL HEX/DCB ASCII
F1 F3 F4 F5
FIGURE 6- 2 : T AB L E AU D E S S O R T I E S AV E C U N C H AN G E M E N T D E B AS E
Lorsque la console est En-Ligne, ces fichiers présentent l’état des différents bits. Dans le cas du
module 3 (figure 6-1), les bits à 1 représentent des sorties actives tandis que celles à 0, des
sorties inactives. Les valeurs combinées de l’adresse O:6.3 désignent la valeur décimale 106 à la
sortie 3 d’un module analogique.
Le tableau de la figure 6-3 présente le fichier d’état. Utilisez exclusivement En-Ligne avec le
processeur, ce fichier permet, entre autres, de visualiser le temps de la dernière scrutation, les
registres d’état arithmétiques, les fautes, l’état du processeur et beaucoup d’autres informations
pertinentes. De plus, ce fichier contient quatre pages.
Presser une touche ou entrer une valeur, presser Alt-H pour l'aide
S:28/15 =
hors ligne pas de forçage formatée adresse déci FichiPOMPES
PAGE PAGE PRECISE FICHIER FICHIER
PRECEDT SUIVNTE ADRESSE SUIVANT PRECEDT
F1 F2 F5 F7 F8
FIGURE 6- 4 : P AG E 2 D U T AB L E AU D E S D O N N É E S D U F I C H I E R D ’ É T AT
Le tableau qui suit présente les données des temporisateurs. Il est très important d’utiliser ces
tableaux puisqu’ils offrent de la versatilité au niveau du dépannage et des tests. Prenez l’exemple
du temporisateur T4:1, il est fâcheux d’attendre à tout moment ce délai (30 min) pour
s’apercevoir que la fonction suivante est défectueuse. Il est donc possible de modifier la valeur
accumulée pendant l’exécution du programme et ainsi passer outre les longs délais.
Un problème survient après le passage de la 80e caisse de lait. Allons-nous faire passer 79
caisses sur la chaîne de montage à chaque fois que l’on teste une hypothèse? Il est plus simple de
visualiser le fichier des compteurs, changer la valeur accumulée pour 78 ou 79 et attendre
seulement le passage de une ou deux caisses.
6.2.3 Récupération lors d’une faute
Il est possible de récupérer l’automate après une faute mineure ou majeure en accédant aux
menus F9 et F10 de la figure 6-3. L’action d’effacer une faute majeure replace les mots S:1/13,
S:5 et S6 à l’état initial, i.e. 0.
FIN DE
L'ÉDITION
FIGURE 6- 8 : O R D I N O G R AM M E D E L ' É D I T I O N E N L I G N E
Le même principe est utilisé pour ce qui est des sorties. Encore-ici la prudence est de mise.
adresse 15 donn 0 adresse 15 donn 0
O:1 .... .... .... ....
O:3 .... .... .... ....
O:6 .... .... .... ....
O:6.1 .... .... .... ....
O:6.2 .... .... .... ....
O:6.3 .... .... .... ....
Comme vous pouvez le remarquer à la figure 6-11, le logiciel APS indique, par l’entremise des
indications «OFF» ou «ON», le fait qu’un bit soit forcé à 0 ou à 1.
¦ F1 F2 Z2 Z3 Z1 ¦
¦ I:2 I:2 B3 B3 B3 ¦
+--] [-+-] [---]/[---]/[-+------------------------------------------------( )--+
¦ OFF ¦ 2 2 3¦ 1 ¦
¦ ¦ M1 ¦ ¦
¦ ¦ O:3 ¦ ¦
¦ +--] [------------+ ¦
¦ ¦ON 1¦ ¦
¦ ¦ R2 ¦ ¦
¦ ¦ O:3 ¦ ¦
¦ +-]/[-+ ¦
¦ 5 ¦
¦ Z1 M1 ¦
¦ B3 O:3 ¦
+--] [--------------------------------------------------------------------( )--+
¦ 1 ON 1 ¦
FIGURE 6- 11 : D I AG R AM M E E N É C H E L L E AV E C É L É M E N T S F O R C É S
1
Informatique faisant appel à des moyens de transmission à distance.
Le deuxième avantage est la diversité des éléments matériels ou logiciels pouvant être utilisés.
En effet, deux systèmes étant constitués d’éléments matériels et logiciels provenant de fabricants
différents peuvent communiquer de façon fiable et sans difficulté pourvu que chacun des
éléments des différents niveaux respectent les mêmes protocoles de communication et les
mêmes formats de données. Ces deux avantages rendent plus aisée l’insertion de composant
ayant les mêmes fonctions, mais provenant de fabricants différents.
Application Application
Interface
Présentation Présentation
Session Session
Transport Transport
Réseau Réseau
Liaison Liaison
Physique Physique
La figure 7-2 présente deux systèmes reliés physiquement par un médium quelconque. Dans ce
scénario, le médium, qui constitue la connexion physique existant entre le système A et le
système B, est représenté par le trait gras. Il peut s’agir d’un câble torsadé, d’un «coax», d’une
fibre optique, d’un signal micro-onde ou de tout autre moyen permettant de véhiculer de
l’information.
L’information, qui doit être expédiée à l’extérieur du système A, passe de façon successive de la
couche supérieure (Application) vers la couche inférieure (Physique). Dans ce déplacement,
l’information subit différents traitements. Les liens, qui relient les différentes couches d’un
système donné, sont nommés interfaces. Une interface est un ensemble de règle s’appliquant à la
communication physique entre deux couches adjacentes et non similaires. Ces interfaces sont
bidirectionnelles et elles sont représentées par les flèches verticales entre les couches.
Chaque couche du système A communique avec une couche de même niveau dans un système B
en respectant un protocole bien déterminé. Un protocole est un ensemble de règle s’appliquant à
la communication virtuelle entre des processus similaires. Le protocole de la communication
existante entre deux couches identiques des systèmes séparés physiquement est représenté par les
flèches horizontales en pointillé. Il s’agit de communications virtuelles, car chaque couche, à
l’exception de la couche physique, a besoin des couches inférieures de son système pour accéder
au monde extérieur et pour atteindre la couche appartenant au système destination.
La figure 7-3 montre deux logiciels échangeant des données. Les flèches montrent le chemin que
doivent emprunter les données transmises du logiciel X si elles sont acheminées vers le logiciel
Y. Dans le système A, le logiciel X est à l'origine des données qui doivent être transmises vers le
logiciel Y. Ces données sont transférées du logiciel X vers la couche application. Ainsi, la
couche application reçoit les données du logiciel X et effectue un traitement en ajoutant une en-
tête contenant certaines informations, représentées par la lettre A. Cette en-tête fait partie d'un
protocole existant entre les couches applications des systèmes A et B. Une fois ce traitement
terminé, les données résultantes sont acheminées vers la couche présentation.
La couche présentation reçoit donc l’information de la couche application, qui contient les
données d’origine et l’entête de la couche application, et lui ajoute une nouvelle en-tête
correspondant au protocole établi entre les couches «présentation» des systèmes A et B. Les 6
couches supérieures du système A effectuent, à tour de rôle, le transfert des donnés vers une
couche inférieure.
La couche physique du système A reçoit donc les données accompagnées de l’en-tête des 6
couches précédantes et transmet celles-ci vers le système B. L'information ainsi générée est
reçue par la couche physique du système B. Le paquet effectue alors le chemin inverse à sa
construction et effectue, étape par étape, son retour vers la couche application du système B.
Lorsque les données ont récupéré leur format d’origine, elles sont rendues disponibles pour le
logiciel Y.
Système A Système B
FIGURE 7- 3 : R E P R É S E N T AT I O N D U T R AV AI L E F F E C T U É P AR L E S 7 C O U C H E S D U M O D È L E O SI
FIGURE 7- 4 : S T R U C T U R E O SI U T I L I S AN T L E S É Q U I P E M E N T S D E T É L É M É C AN I Q U E
Dans le cas du réseau DH-485, le coupleur de liaison isolé 1747-AIC sert à connecter des
appareils de la famille SLC 500 tel que représenté à la figure 7-5. Ce coupleur possède un boîtier
amovible à 6 positions pour la connexion au câble de communication du DH-485.
Pour protéger les appareils connectés, le coupleur offre une isolation électrique de 1500Vcc
entre le câble de communication et ses automates SLC 500 et appareils périphériques. Le câble
permet une distance comprise entre 1,8 mètre et 1219 mètres. Que l’ordinateur personnel
permettant de programmer se trouve à 6 pieds de l’automate ou dans le bureau de l’ingénieur à
plus de 1000 mètre de l’automate, cela ne fait aucune différence.
7.4.1 La couche réseau
Elle assure le routage des informations et le choix d’un chemin enre deux équipements. Le
mécanisme d’adressage permet l’acheminement des données entre les produits et assure le
routage automatique des messages d’une manière totalement transparente.
7.4.2 La couche application
Elle concerne les programmes d’applications avec leurs conventions d’échange et de
coopération. Parmi cette couche, on retrouve tous les programmes permettant la gérance et la
supervision, utilisant les points d’entrées/sorties numériques et analogiques des automates
programmables. Ces logiciels sont multiples et, selon leur complexité, ils peuvent demander des
équipements ordinés de plus grande envergure que des simples ordinateurs portables. Certains de
ces logiciels nécessiteront des «minis» ou «Main-Frame» pour gérer une pleine chaîne de
montage.
Acheminez le câble dans un conduite pour lui assurer une protection supplémentaire contre les
dommages physiques et les interférences électriques.
• Utilisez une conduite ferromagnétique à proximité des sources critiques
d’interférences électriques. Pour les autres zones, moins critiques, vous pouvez
utiliser des conduites d’aluminium.
• Utilisez des coupleurs plastiques pour connecter les conduites entre elles.
• Effectuez correctement les mises à la terre.
• La conduite ne doit contenir que des câbles de communication série.
Nombre de stations
Le nombre de stations sur le réseau affecte directement le temps de transfert des données entre
les stations. Les stations superflus (un second terminal de programmation) ralentissent la vitesse
de transmission. Le nombre maximal de stations est de 32.
Définition des adresses de stations
Pour un fonctionnement optimal du réseau, les adresses de stations doivent commencer par 0 et
être affectées selon un ordre séquentiel. L’adresse des stations par défaut d’un processeur est 1.
Les adresses de stations sont enregistrées dans le fichier d’état du processeur (S:15L). 0 n’est
pas une adresse de station valide. Par ailleurs, les initiateurs, tels les ordinateurs personnels,
doivent être affectés aux numéros les plus bas pour limiter le temps d’initialisation du réseau.
Réglage de la vitesse de transmission du processeur
Pour un fonctionnement optimal du réseau, la vitesse de transmission du réseau doit être aussi
élevée que possible, soit 19200 bauds. Tous les appareils doivent fonctionner avec la même
vitesse de transmission. La vitesse de transmission est enregistrée dans le fichier d’état du
processeur (S15:H).
Adresse de la dernière station
Le paramètre «adresse maximal» doit être défini aussi bas que possible. Si le nombre de stations
est minimisé par une configuration adéquate de la dernière adresse, le jeton prendra moins de
temps à parcourir les diverses stations et améliorera ainsi la performance du réseau.
FIGURE 7- 8 C O N N E X I O N D U C ÂB L E V E R S L E C O U P L E U R
Le tableau 7-1 indique les connexions des fils et des bornes pour les connecteurs DH-485 et les
nouveaux fils Belden no. 9842.
T AB L E AU 7- 1 : C O N N E X I O N S F I L S - B O R N E S
Pour le fil ou la paire Connectez le fil À la borne
Blindage / Drain Non gainé Borne 2 - blindage
Bleu / Blanc Blanc avec bande bleu Coupez - pas de connexion
Bleu avec bande blanche Borne 3 - (Commun)
Blanc / Orange Blanc avec bande orange Borne 4 - (Données B)
Orange avec bande blanche Borne 5 - (Données A)
FIGURE 7- 9 : T E R M I N AI S O N D E L I G N E
1. Allen-Bradley Américain
2. Alspa Français
3. Foxboro Américain
4. GE Fanuc Américain
5. Gould
6. Mitsubishi Japonais
7. Modicon Français
8. Omron Japonais
9. Siemens Allemand
10. Square D Américain (Division de Télémécanique)
11. Télémécanique Français
12. Texas Instruments Américain (division de Siemens)
Cette liste n’est que partielle puisque beaucoup de petites compagnies, moins connues, offrent
également des modèles d’API.
10. Console de programmation : Selon leur envergure, certaines entreprises préféreront utiliser
encore le programmeur de poche pour dépanner les systèmes. D’autres, préférant
automatiser elles-mêmes les équipements, nécessiteront presque obligatoirement un
ordinateur de table ou préférablement un ordinateur portatif. La plupart des logiciels
d’automate encore sur le marché au milieu des années 90 peuvent fonctionner sur des
ordinateurs de type AT, voire même XT. Seuls les logiciels plus spécialisés utilisant le
mode graphique nécessitent des système plus puissants.
• De poche («Pocket»)
• Moniteur portable
• PC ou compatible
− RAM, disque dur, interfaces, systèmes d’exploitation
11. Réseau : Cette décision vise plutôt les hautes instances de la compagnie puisque le
branchement de seulement un automate en réseau n’est pas vraiment utile. Si l’entreprise
utilise déjà un réseau ou si elle désire en implanter un, alors le choix de l’automate devra
prendre en compte la compatibilité de l’API vers le réseau déjà existant ou futur.
• Marques, capacité d’adressage
• protocole, topologie
• norme (RS232, RS485, ...)
• Vitesse de transmission
• Média (paire torsadée, fibre optique, ...)
• Distance de liaisons
12. Date de commercialisation : La date de commercialisation permet de juger du support et
du développement futur de l’automate préconisé.
13. Documentation (française, allemande, ou autre): Ce critère est important puisqu’ici il
s’agit de s’informer si les représentants, la documentation et la formation éventuelle sont
disponibles dans la langue d’origine. Au Québec, cela peut causer des problèmes puisque
certains individus sont unilingues français et la majorité des distributeurs n’ont que la
documentation en anglais. Dans les pays où la prédominance de la langue est sans
ambiguïté, les manufacturiers d’automates peuvent généralement fournir la documentation
sans problème. Les langues les plus courantes sont évidemment; l’anglais (de l’Amérique),
l’allemand, le japonais et le français puisqu’il s’agit là des principaux pays manufacturiers
d’automates.
8- 1 : D E S C R I P T I O N D ’ U N API AL SPA
T AB L E AU
• Marque ALSPA • Modèle C150
• Constitution : • Langage de programmation
− Modulaire ; 9 − LADDER et blocs de fonctions 9
− Monobloc ; − liste d’instruction 9
• # Entrées/sorties : − logigramme ; 9
− discrètes (tout-ou-rien) ; 784 − GRAFCET. 9
− analogiques ; 64/32 • Jeu d’instructions
− déportées. Non − Nombre d’instructions 100
T AB L E AU 8- 2 : P R O J E T D ’ AU T O M AT I S AT I O N D ’ U N M O N T E - C H AR G E Q U AT R E É T AG E S
• Marque • Modèle
• Constitution : • Langage de programmation
− Modulaire ; 9 − LADDER et blocs de fonctions 9
− Monobloc ; − liste d’instructions
• # Entrées/sorties : − logigramme ;
− discrètes (tout-ou-rien) ; 12E / 8S − GRAFCET. Si possible
− analogiques ; 2E /2S • Jeu d’instructions
− déportées. Non − Nombre d’instructions
• Capacité mémoire en kmots : − nombre de sous-programmes
− programme ; − BCD /DCB 9 + PID
− mots de données ; • Console de programmation
− bits internes ; − De poche
− temporisateur / compteur. − Moniteur portable
• Type mémoire programme : • PC ou compatible
− RAM − RAM nécessaire <2 MB
− EPROM − disque dur <80 MB
− EEPROM 9 − interfaces RS 232C
8.5.2 Applications
8.5.3 Caractéristiques
8.5.4 Références
8.6.2 Fonctions
8.6.4 Références