4eme - Mai - Francais
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Résumé : deux histoires qui se rejoignent : celle de Jean Valjean, ancien forçat, qui
devient un honnête homme après s’être rendu compte qu’il ne pouvait plus faire le mal. Et
celle de Cosette, petite fille dont la mère, pauvre et malade, meurt en la laissant à un
couple d’horribles aubergistes, les Thénardier, qui la laissent mourir de faim et de mauvais
traitements. Jean Valjean promet à la mère mourante d’aller chercher sa fille, ce qu’il fait.
Poursuivi par un policier, Valjean, sous un faux nom, s’installe avec Cosette dans un
couvent où il se fait passer pour un jardinier…
1 Cosette était laide. Heureuse, elle eût peut-être été jolie. Nous avons déjà
esquissé cette petite figure sombre. Cosette était maigre et blême. Elle avait près de huit
ans, on lui en eût donné à peine six. Ses grands yeux enfoncés dans une sorte d'ombre
profonde étaient presque éteints à force d'avoir pleuré. Les coins de sa bouche avaient cette
courbe de l'angoisse habituelle, qu'on observe chez les condamnés et chez les malades
désespérés. Ses mains étaient, comme sa mère l'avait deviné, "perdues d'engelures". Le feu
5 qui l'éclairait en ce moment faisait saillir les angles de ses os et rendait sa maigreur
affreusement visible. Comme elle grelottait toujours, elle avait pris l'habitude de serrer ses
deux genoux l'un contre l'autre.
Tout son vêtement n'était qu'un haillon qui eût fait pitié l'été et qui faisait horreur l'hiver. Elle
n'avait sur elle que de la toile trouée; pas un chiffon de laine. On voyait sa peau çà et là, et
l'on y distinguait partout des taches bleues ou noires qui indiquaient les endroits où la
Thénardier l'avait touchée. Ses jambes nues étaient rouges et grêles. Le creux de ses
10
clavicules était à faire pleurer.
Toute la personne de cette enfant, son allure, son attitude, le son de sa voix, ses intervalles
entre un mot et l'autre, son regard, son silence, son moindre geste, exprimaient et
traduisaient une seule idée : la crainte. La crainte était répandue sur elle; elle en était pour
ainsi dire couverte; la crainte ramenait ses coudes contre ses hanches, retirait ses talons
sous ses jupes, lui faisait tenir le moins de place possible, ne lui laissait de souffle que le
15 nécessaire, et était devenue ce qu'on pourrait appeler son habitude de corps, sans variation
possible que d'augmenter. Il y avait au fond de sa prunelle un coin étonné où était la terreur.
Victor Hugo, Les Misérables, 2e partie, III, 8
Questions
1) Donnez la nature du mot « nous » l.1, et de « on » l.2. A qui ces deux mots font-ils
référence ?
2) Donnez trois mots qui résument le personnage de Cosette d’après ce portrait.
3) Sur quelles parties du corps de Cosette se porte successivement le regard du
narrateur dans le premier paragraphe ? Quelle progression suit donc ce portrait ?
4) Quel est le temps le plus utilisé dans ce portrait Justifiez son emploi.
5) Relevez mots qui montrent les sentiments du narrateur qui observe la fillette.
6) Relevez les détails qui évoquent 1) la souffrance physique 2) la souffrance morale
de l’enfant.
Leçon
Cas particuliers :
a. Le verbe a pour sujet une énumération de plusieurs mots :
La ville, l’ambiance, les gens ne lui plaisaient pas dans ce pays.
Mais si un mot singulier comme « tout », « rien », « cela », « personne » reprend
l’ensemble des sujets, le verbe s’accorde avec ce mot.
La ville, l’ambiance, les gens, rien ne lui plaisait pas dans ce pays.
e. Lorsque les sujet sont reliés par « ou » ou « ni », le verbe se met au pluriel si les deux
sujets s’opposent (Ni l’un, ni l’autre n’est responsable), ou s’additionnent (Ni la musique ni
le piano ne me plaisent. »)
Séance 3 – Lecture – Le portrait de Julien et Mme de Rênal : le point de vue
descriptif.
Support : Stendhal, Le Rouge et le noir, 1830.
Résumé : Julien Sorel est le fils d’un charpentier brutal. Ambitieux, il rêve de gloire et
s’évade dans la littérature. Il hésite entre une carrière militaire (le rouge) et une carrière
ecclésiastique (le noir). Il est embauché chez le maire, M. de Rênal, comme précepteur.
D’abord timide, il tombe sous le charme de Mme de Rênal et devient son amant…
1 Avec la vivacité et la grâce qui lui étaient naturelles quand elle était loin des
regards des hommes, Mme de Rênal sortait par la porte-fenêtre du salon qui donnait
sur le jardin, quand elle aperçut, près de la porte d’entrée la figure d’un jeune paysan
presque encore enfant, extrêmement pâle et qui venait de pleurer. Il était en chemise
bien blanche, et avait sous le bras une veste fort propre de ratine (1) violette.
Le teint de ce petit paysan était si blanc, ses yeux si doux, que l’esprit un peu
5 romanesque de Mme de Rênal eut d’abord l’idée que ce pouvait être une jeune fille
déguisée, qui venait demander quelque grâce à M. le maire (2). Elle eut pitié de cette
pauvre créature, arrêtée à la porte d’entrée, et qui évidemment n’osait pas lever la
main jusqu’à la sonnette. Mme de Rênal s’approcha, distraite un instant de l’amer
chagrin que lui donnait l’arrivée du précepteur. Julien, tourné vers la porte, ne la
voyait pas s’avancer. Il tressaillit quand il entendit une voix douce dire tout près de
son oreille :
10 - Que voulez-vous ici, mon enfant ?
Julien se tourna vivement, et, frappé du regard si rempli de grâce de Mme de
Rênal, il oublia une partie de sa timidité. Bientôt, étonné de sa beauté, il oublia tout,
même ce qu’il venait faire. Mme de Rênal avait répété sa question.
- Je viens pour être précepteur (3), madame, lui dit-il enfin, tout honteux de ses
larmes qu’il essuyait de son mieux.
Mme de Rênal resta interdite (4), ils étaient fort près l’un de l’autre à se regarder.
15 Julien n’avait jamais vu un être aussi bien vêtu et surtout une femme avec un teint si
éblouissant, lui parler d’un air si doux. Mme de Rênal regardait les grosses larmes qui
s’étaient arrêtées sur les joues si pâles d’abord et maintenant si roses de ce jeune
paysan. Bientôt elle se mit à rire, avec toute la gaieté folle d’une jeune fille, elle se
moquait d’elle-même et ne pouvait se figurer tout son bonheur. Quoi, c’était là ce
précepteur qu’elle s’était figuré comme un prêtre sale et mal vêtu, qui viendrait
gronder et fouetter ses enfants.
20 - Quoi, Monsieur, lui dit-elle enfin, vous savez le latin ?
Ce mot de Monsieur étonna si fort Julien qu’il réfléchit un instant.
- Oui, Madame, dit-il timidement.
Madame de Rênal était si heureuse, qu’elle osa dire à Julien :
- Vous ne gronderez pas trop ces pauvres enfants ?
25 - Moi, les gronder, dit Julien étonné, et pourquoi ?
- N’est-ce pas, Monsieur, ajouta-t-elle après un petit silence et d’une voix dont
chaque instant augmentait l’émotion, vous serez bon pour eux, vous me le
promettez ?
S’entendre appeler de nouveau Monsieur, bien sérieusement, et par une dame si
bien vêtue, était au dessus de toutes les prévisions de Julien […]. Madame de
30 Rênal, de son côté, et à sa grande joie, trouvait l’air timide à ce fatal précepteur ,
dont elle avait tant redouté pour ses enfants la dureté et l’air rébarbatif (5).
Questions :
Hier, à la maison, Caroline a fait avec gentillesse un gâteau pour me faire plaisir, si bien
que je me suis régalé.
I) DEFINITION
EXEMPLE : Quels groupes de mots peut-on supprimer dans la phrase suivante ? Ecrivez
la phrase transformée.
Hier, Caroline a fait un gâteau avec gentillesse pour me faire plaisir.
=>
EXEMPLE : Quels sont les groupes que vous pouvez déplacer dans cette phrase ?
Ecrivez la phrase transformée.
Hier, Caroline a fait un gâteau à la maison pour me faire plaisir.
=>
à la maison. =>LIEU
Devant moi se tient un grand vieillard inquiétant avec une longue moustache blanche, vêtu
de noir des pieds à la tête. Il a le front haut, les cheveux rares aux tempes, mais
abondants sur le reste de la tête ; les sourcils broussailleux se rejoignent presque au-
dessus du nez et leurs poils, aussi longs que touffus, donnent l'impression de boucler.
Plus bas, son nez aquilin lui donne véritablement un profil d'aigle. Plus bas encore, la
bouche, ou du moins ce que j'en vois sous l'énorme moustache, a une expression cruelle,
et les dents, éclatantes de blancheur, sont pointues comme des épines ; elles avancent
au-dessus des lèvres dont le rouge vif annonce une vitalité extraordinaire chez un homme
de cet âge avancé. Mais les oreilles sont pâles et vers le haut se terminent en pointe ; le
menton, large, annonce lui aussi de la force, et les joues, quoique creuses, sont fermes.
Une pâleur étonnante, voilà l'impression fascinante que laisse le visage de Dracula.
2) Le comte Dracula est-il déjà intervenu dans le récit ? A quoi sert donc le portrait ici ?
4) Relevez les éléments du portrait qui construisent progressivement l’image d’un vampire.
(vous pouvez présenter os réponses sous forme d’un tableau : dents, teint…)
Nez
Front
Cheveux
Sourcils
Bouche
Oreilles
Menton
Joues
5) Commentez l’ordre adopté pour le portrait.
6) Qu’est-ce qu’un nez aquilin ? Un front bombé ? des sourcils denses ? Donnez une courte
définition ou un synonyme.
8) Relevez les mots et expressions qui montrent l’étonnement, voire la peur du personnage face
au comte Dracula. Quel sentiment veut éveiller ce portrait chez le lecteur ?
- Le portrait est avant tout destiné à donner une réalité, une existence aux
personnages de roman.
- Il peut servir à :
- présenter un personnage qui joue un rôle important dans l’intrigue.
- expliquer le passé d’un personnage, son origine, pour expliquer son
comportement futur.
- donner une image méliorative ou péjorative d’un personnage, susciter des
sentiments et émotions chez le lecteur (pitié, peur, rire, admiration…).
Séance 6 – Vocabulaire – Le vocabulaire du portrait.
Leçon : Pour décrire un personnage, il faut utiliser le vocabulaire du corps et des adjectifs
objectifs (forme, couleur, état…) ou subjectifs (mélioratifs ou péjoratifs) selon l’impression
générale qu’on veut donner.
Le personnage doit dégager une impression générale que vous aurez choisie, et qui en
fera un être unique et intéressant.
A/ Décrire le visage
1.Dans les listes suivantes, définissez les mots dont vous ne connaissez pas le sens. Puis
soulignez en vert les mots mélioratifs (qui sont positifs, qui améliorent), en rouge
les mots péjoratifs (qui sont négatifs).
Le visage : rond, triangulaire, empâté, lourd, bouffi, joufflu, maigre, creux, anguleux,
osseux, émacié, ridé, parcheminé, poupin, gracieux, hautain, noble…
Les Yeux : globuleux, ronds, en amande, étirés, bridés, petits, enfoncés, profonds,
glauques, fuyants, vifs, brillants, ternes, éteints, vitreux.
Le nez : droit, long, saillant, proéminent, aquilin (en bec d'aigle), camus (plat et comme
écrasé), busqué (d'une courbure accentuée), crochu, écrasé, pointu, en trompette.
Le teint : pâle, blême, blafard, livide, terreux, cireux, jaunâtre, coloré, frais, rose, clair,
éclatant, lumineux, rougeaud, congestionné, cramoisi, rubicond, bronzé, bruni, hâlé,
basané.
Les cheveux : rares, clairsemés, fournis, gras, épais, frisés, ondulés, bouclés, crépus,
hérissés, plats, bien peignés, en brosse, noirs, bruns, châtains, roux, blonds, gris,
grisonnants, blancs, auburn (châtain roux aux reflets cuivrés), longs, courts, en désordre,
emmêlés, ébouriffés, hirsutes (hérissés et mêlés).
La barbe : la barbiche, le collier, les favoris, la moustache, imberbe (qui n'a pas de barbe),
glabre (naturellement dépourvu de poils), une barbe courte, taillée, longue, épaisse, en
broussaille.
EXPRESSION ECRITE :
- En vous aidant du dictionnaire, dites si les termes suivants sont neutres, péjoratifs
ou mélioratifs.
La tenue – les haillons – la toilette – les affaires – les frusques – les fripes – les vêtements
– les guenilles – l’habillement – la parure – les loques – l’accoutrement – les atours.
D/ Décrire le caractère.
Remplissez les blancs et précisez entre parenthèses s’il s’agit d’une qualité ou d’un
défaut.
Fourbe – égoïste – tolérant - courageux – compréhensive – avare – honnête – envieux –
médisant.
– En se battant contre ce fauve, il s’est montré très _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
_ . (_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ )
3- Dans les textes suivants, dites s’il s’agit d’une comparaison ou d’une métaphore
en cherchant les deux éléments comparés et l’outil de comparaison.
a - Il était maigre comme un oiseau déplumé et tout son dos était strié de marques
sanglantes.
b - Aussitôt une face rougeaude sortit de l’écoutille de la cambuse, comme un diable qui
sort d’une boîte.
d - Cette histoire d’amour a été un feu de paille, partie d’un coup de foudre !
e - Le jeune Rouget était un gros garçon d’une douzaine d’années, fort comme un bœuf,
dévoué comme un chien, bête comme une oie, et( remarquable surtout par une chevelure
rouge à laquelle il devait son surnom de Rouget.
4 – Pour qu’il y ait métaphore, il faut que les deux éléments aient quelque chose en
commun.
Ex : Alexandre est un âne. Point commun : l’âne est bête / Alexandre est bête.
Dans les métaphores suivantes, trouvez le point commun entre les deux éléments
comparés.
1- Elle a tellement maigri qu’elle n’est plus que l’ombre d’elle-même.
2- Notre bateau n’était qu’une coquille de noix.
3- La flèche de la passion transperça son cœur.
4 – Les vagues déchaînées arrivent au galop sur la plage.
Séance 8 – Lecture
1 On n'a encore aperçu dans ce livre les Thénardier que de profil; le moment est
venu de tourner autour de ce couple et de le regarder sous toutes ses faces.
Thénardier venait de dépasser ses cinquante ans ; madame Thénardier
touchait à la quarantaine, qui est la cinquantaine de la femme; de façon qu'il y avait
5 équilibre d'âge entre la femme et le mari.
Les lecteurs ont peut-être, dès sa première apparition, conservé quelque
souvenir de cette Thénardier grande, blonde, rouge, grasse, charnue, carrée, énorme
et agile; elle tenait, nous l'avons dit, de la race de ces sauvagesses colosses qui se
cambrent dans les foires avec des pavés pendus à leur chevelure. Elle faisait tout
10 dans le logis, les lits, les chambres, la lessive, la cuisine, la pluie, le beau temps, le
diable. Elle avait pour tout domestique Cosette; une souris au service d'un éléphant.
Tout tremblait au son de sa voix, les vitres, les meubles et les gens. Son large visage,
criblé de taches de rousseur, avait l'aspect d'une écumoire. Elle avait de la barbe.
C'était l'idéal d'un fort de la halle(1) habillé en fille. Elle jurait splendidement; elle se
15 vantait de casser une noix d'un coup de poing. Sans les romans qu'elle avait lus, et
qui, par moments, faisaient bizarrement reparaître la mijaurée(2) sous l'ogresse,
jamais l'idée ne fût venue à personne de dire d'elle: c'est une femme. Cette
Thénardier était comme le produit de la greffe d'une donzelle (3) sur une poissarde
(4). Quand on l'entendait parler, on disait : C'est un gendarme; quand on la regardait
20 boire, on disait: C'est un charretier; quand on la voyait manier Cosette, on disait: C'est
le bourreau. Au repos, il lui sortait de la bouche une dent.
Le Thénardier était un homme petit, maigre, blême, anguleux, osseux, chétif(5),
qui avait l'air malade et qui se portait à merveille, sa fourberie commençait là. Il
souriait habituellement par précaution, et était poli à peu près avec tout le monde,
25 même avec le mendiant auquel il refusait un liard(6). Il avait le regard d'une fouine et
la mine d'un homme de lettres. Sa coquetterie consistait à boire avec les roulier(7).
Personne n'avait jamais pu le griser(8). Il fumait dans une grosse pipe. Il portait une
blouse et sous sa blouse un vieil habit noir. Il avait des prétentions à la littérature et
au matérialisme(9). Il y avait des noms qu'il prononçait souvent, pour appuyer les
choses quelconques qu'il disait, Voltaire, Raynal, Parny(10), et chose bizarre, saint
Augustin (11). Il affirmait avoir “ un système ”. Du reste fort escroc. Un filousophe.
Cette nuance existe.
Cet homme et cette femme, c’était ruse et rage mariés ensemble, attelage
hideux et terrible.
51. Fort de la halle : employé qui manipule les marchandises des halles. 2. Mijaurée:
jeune femme maniérée. 3. donzelle : fille ou femme capricieuse, maniérée. 4.
poissarde : femme de la Halle, vendant du poisson, assez grossière et vulagire.
5.Chétif: maigre. 6. Liard: ancienne monnaie de cuivre, le quart d'un sou. 7.
Roulier : autrefois, voiturier. 8. Griser: enivrer.9. Matérialisme : doctrine qui affirme
que rien n'existe en dehors de la matière. 10. Voltaire, Raynal, Parny: écrivains du
XVIIIème siècle. 11. Saint Augustin: théologien du IVème siècle.
1) Délimitez le texte précisément : ou débute et ou finit à proprement parler le portrait
de La Thénardier ? Du Thénardier ?
3) Quel est le point de vue adopté dans ce portrait (= qui regarde) ? Justifiez.
3) Ce portrait des Thénardier n’est pas le premier dans le roman. Quels passages le
prouvent ?
4) Dites pour chaque personnage quelles caractéristiques physiques sont les plus
marquantes. Que remarque-t-on ?
8) « Sans les romans qu'elle avait lus, et qui, par moments, faisaient bizarrement
reparaître la mijaurée sous l'ogresse, jamais l'idée ne fût venue à personne de dire d'elle:
c'est une femme ». (ligne 11-13)
a) Justifiez l’accord du verbe souligné.
b) Expliquez le sens de la phrase.
9) «Elle jurait splendidement » (ligne 11) : donnez le sens du verbe « jurer » dans
cette phrase et employez-le dans une autre phrase où il aura un sens clairement différent.