كتاب النفيس العلوم شعبة العلوم
كتاب النفيس العلوم شعبة العلوم
كتاب النفيس العلوم شعبة العلوم
l
Sahel(SWEDD) (ﺱ.ﺩ.ﻉ.ﻡ.ﺕ.ﻓﻲ ﺍﻟﺴﺎﺣﻞ )ﻡ
na
io
at
N
Enneviss en iq
ue
Sciences Naturelles
og
ag
7D
éd
tP
itu
Réalisépar:
- Isselmou Ould Demine, Professeur de Sciences Naturelles
- Aïchétou Mint Ahmed Miské ,Professeur Sciences Naturelles
st
In
l
Remerciements : …………………………………………………………………………….. 7
na
Première Partie :
io
Reproduction et Génétique :
at
A - Résumé de cours…………………………………………………………………….....11-19
N
B - Exercices :………………………………………………………………………..……20-36
ue
Deuxième partie : iq
Système nerveux - Activité musculaire- Activité cardiaque :
A - Résumé de cours……………………………………………………………………….65-74
og
Troisième partie :
éd
Immunité – glycémie :
tP
A - Résumé de cours…………………………………………………………...………105-109
B - Exercices……………………………………………………..……………………..110-116
itu
Quatrième partie :
st
Exercices de synthèse……………………………………………………………...…..125-140
In
l
cours de sciences naturelles. Ce recueil est conforme aux nouveaux programmes
na
de la réforme de 1999 ;
io
La méthodologie adoptée pour l’élaboration du recueil est la suivante :
at
- Rappel de cours
N
- Exercices corrigés
- Sujets de synthèse
ue
Nous espérons que ce recueil permettra aux filles en classe d’examen dans
iq
les wilayas ciblées de bien préparer le Brevet.
og
Nous remercions le projet SWEDD et en particulier le coordinateur du
projet Mr Med Melainine O Eyih et l’ensemble du personnel de l’UGP pour
ag
l
d’indicateurs démographique, d’éducation et de santé. La Mauritanie a décidé d’orienter
na
l’intervention de ce projet sur 4 wilayas (le Hodh El Chargui, le Hodh El Gharbi, l’Assaba et le
Guidimagha).
io
Dans ce cadre et en collaboration avec le Ministère de l’Education Nationale, la
composante du projet SWEDD dénommée : « Amélioration de l’Accès et de la Rétention des
at
Filles au Secondaire » a prévu une activité dénommée « Supports Pédagogiques » relative à
l’élaboration, la reprographie et la distribution de 7 brochures dans les disciplines suivantes :
Mathématiques, Physique - Chimie , Sciences Naturelles , Arabe et Français (4 pour la 4ème AS
N
et 3 pour la 7ème D).
ue
La présente brochure concerne la discipline de Sciences Naturelles en 7D.
Elle comprend 4 parties :les 3 premières parties couvrent l’ensemble du programme ; chaque
iq
partie renferme un résumé de cours accompagné d’une banque d’exercices corrigés ; la
quatrième partie représente une série d’exercices de synthèse avec leurs corrections .
og
Au terme de ce travail, et bien qu’il soit difficile d’apprécier, à leur juste valeur, les
contributions que les uns et les autres ont apportées à la production de l’ouvrage, nous tenons à
remercier la Direction de l’Enseignement Secondaire, en particulier Messieurs :
ag
la validation de ce document.
Enfin, que les producteurs trouvent ici l’expression de notre profonde gratitude pour les
efforts louables qu’ils ont déployés pour l’élaboration de ce fascicule.
itu
Qu’il nous soit permis ici d’adresser nos vifs remerciements à la Banque Mondiale,
l’UNFPA et les autres partenaires du SWEDD pour leurs appréciables appuis Techniques et
st
Financiers.
In
- GENETIQUE
ag
éd
tP
itu
st
In
l
Phases Spermatogenèse Ovogenèse
na
- Permet l’augmentation du - Permet l’augmentation du
nombre de spermatogonies nombre d’ovogonies par des
Multiplication par des mitoses mitoses successives
io
successives - Nombre limité
- Nombre illimité - Commence et s’achève avant la
at
- Commence à la puberté et naissance
se poursuit jusqu'à la mort
N
-accumulation de peu de - accumulation de beaucoup de
réserves réserves
Accroissement - Commence à la puberté - Commence avant la naissance et
ue
se poursuit à partir de la puberté
Chaque spermatocyte I Chaque ovocyte 1 donne deux
donne deux cellules de cellules très inégales
iq
Maturation •DR même taille appelées • Un ovocyte II de grande
Spermatocytes II taille.
og
• Un 1er globule de très
petite taille
Chaque spermatocyte 11 Chaque ovocyte II donne deux
ag
spermatozoïdes
l’achèvement de la - Ne dépend pas de la - Son achèvement dépend de la
gamétogenèse fécondation fécondation
st
l
na
2-2 Conditions de la fécondation
- Sperme normal (volume – nombre- mobilité)
io
- Spermatozoïdes capables de féconder
at
- Présence des spermatozoïdes dans les voies génitales femelles pendant la période
ovulatoire
N
- Présence d’un ovocyte II bloqué en métaphase II dans les voies génitales femelles
spermatogenèse (CHH)
Rétrocontrôle
In
l
na
Œstradiol Cellules Thèque - développement des - Organes de
folliculaires interne du organes génitaux l’appareil génital
Ou corps Début de
io
femelle
(granulosa) et jaune développement de
thèque interne l’endomètre - Cellules utérines
at
du follicule - début de formation - Cellules du CHH
des glandes en tube
N
- contraction du
myomètre
- légère diminution de
ue
la température
corporelle
- synthèse des
iq
récepteurs de la
progestérone sur
og
l’utérus.
- un rétrocontrôle
ag
- sécrétion du mucus et
de glycogène
- légère augmentation
itu
de la température
corporelle
- un sur FSH et LH
st
NB : les hormones ovariennes sont éliminées dans les urines sous forme
In
l
na
Le cycle sexuel comprend:
- Le cycle ovarien
io
- Le cycle utérin
at
- Le cycle de la glaire cervicale
- Le cycle des hormones ovariennes
N
- Le cycle de la température
- Le cycle des hormones hypophysaires
5- Régulation de l'activité sexuelle
ue
5.1 Régulation de l'activité sexuelle mâle
iq
og
RC-
ag
RC-
éd
RC-
tP
itu
st
In
l
na
io
at
N
ue
iq
og
ag
éd
tP
itu
st
In
l
na
H- C- G Trophoblaste Maintenir le corps jaune gestatif et le stimuler à
secréter l'œstradiol et la progestérone
io
Développement des glandes mammaires en
HPL Placenta synergie avec l’œstradiol et la progestérone
at
N
7- L'allaitement ou lactation :
ue
A sa naissance le petit suce le mamelon de sa mère d'où la naissance
d'un message nerveux qui est à l'origine de la sécrétion de la prolactine et l'ocytocine.
La prolactine stimule la production du lait, l’ocytocine provoque l'éjection du lait d’où
iq
la sécrétion lactée qui est donc un phénomène neuro-hormonal (voir schéma explicatif)
og
ag
éd
tP
itu
st
In
l
II- Génétique
na
1-Génétique formelle :
io
Pour résoudre un exercice de génétique il faut répondre à 5 questions
at
- Nombre de gènes (mono ou di hybridisme)
N
- Localisation du ou des gènes (autosomal ou gonosomal)
- Pureté des parents (parents purs ou hybrides)
ue
- Relation entre les allèles du gène (indépendants ou liés)
Mono hybridisme : Croisement de 2 individus de la même espèce différents par un
iq
seul caractère (gène)
og
3 1 1 1
Gène autosomal avec dominance : F2 :4 + 4
Test-cross 2 + 2
1 2 1 1 1
Gène autosomal avec codominance : F2 :4 + 4 +4 Test-cross2 + 2
ag
2 1
Double dominance avec un gène létal: (3/4 + 1/4) ( 3 + 3) = 6;3;2;1
itu
Règle 1 Règle 2
éd
2 parents sains ayant un enfant Si l’allèle de la maladie est récessif :un père
malade l’allèle de la maladie sain ayant une fille malade ou une mère malade
tP
Règle 4
st
Règle 3
In
2 parents malades ayant un enfant sain Si l’allèle de la maladie est dominant un père malade
l’allèle de la maladie est dominant ayant une fille saine ou une mère saine ayant un fils
malade la maladie est autosomale
l
na
2-2 Les génotypes possibles
io
6 Génotypes possibles dans le cas de gène autosomal
at
- 3 Si la maladie est dominante (2 sûrs et 1 probable)
N
- 3 Si la maladie est récessive (2 sûrs et 1 probable )
Exemples
ue
a A
( )( )
2 sûrs 𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒𝑒 a ; a iq et 1 probable exemple ( A ou A ) : cas de maladie
A a
récessive
og
10 Génotypes possibles dans le cas de gène gonosomique porté par X
- 5 si la maladie est dominante (4 sûrs et 1 probable)
- 5 si la maladie est récessive (4sûrs et 1 probable )
ag
Exemples
4 génotypes sûrs( ) ( ) ( )( )
XA Xa Xa XA
éd
; ; ;
Y Y Xa Xa Cas de maladie récessive
tP
XA XA
et un probable ou
XA Xa
itu
st
In
l
A- Le document 1 représente une coupe partielle schématique du testicule de
na
mammifère.
1/a- Annotez ce document
io
b- Faites deux schémas soignés des cellules 4 et 5 en considérant que dans la cellule 7
il y a 4 chromosomes.
at
2-a- Dégagez à partir de l’analyse de ce document les 2 fonctions des testicules.
b- Proposez deux expériences qui confirment ces 2 fonctions.
N
Document 1
ue
iq
og
et 3.
Dégagez de l’interprétation de ces expériences les relations entre l’hypophyse et le
éd
testicule.
tP
itu
st
In
C- En utilisant vos connaissances et en vous aidant des informations apportées par les
questions précédentes, présentez un schéma bilan qui illustre la régulation de la
sécrétion de la testostérone chez l’homme.
Sciences Naturelles 7D SWEDD-Mauritanie 20
Exercice 2
Pour étudier les relations fonctionnelles entre l’hypophyse et les testicules, on réalise une
série d’expériences sur des rats mâles désignés par les lettres A et B.
l
l'expérience l'injection réalisée
na
io
Chez le rat A Chez le rat B Chez le rat A Chez le rat B
1 Ablation de Arrêt de la spermatogenèse
at
l'hypophyse spermatogenès normale
2 castration Hypertrophie de
N
l’hypophyse
3 Mise en Mise en Testicules de laé sécrétion
éi d
de FSH
ue
circulation circulation croisée nouveau actifs et de LH est
croisée (parabiose) avec corrigée
(parabiose) le rat A
avec le rat B
iq
4 Circulation Diminution de la
og
croisée supprimée sécrétion de LH et
puis injection FSH
d’extraits
ag
testiculaires
Exercice 3:
Pour préciser les relations entre l'hypothalamus, l'hypophyse et le testicule, on réalise
itu
Exercice 4
tP
de la femme.
1. Précisez, en justifiant votre réponse,
In
l
na
le 14ème jour, pour un cycle de 28 jours.
6. Identifiez les périodes A, B et C.
io
7. Au cours de la période C, il y a évolution de la structure g en h. expliquez les
conséquences de cette évolution sur :
at
a) L’état de l’endomètre.
b) Le complexe hypothalamo- hypophysaire.
N
c) Le cycle sexuel.
8. Peut-on observer dans un ovaire actif :
ue
a) simultanément des structures de type b et c. Justifier votre réponse.
b) simultanément plusieurs structures de type e et f. Justifier votre réponse.
iq
9. Sachant que la quantité d’ADN dans la cellule folliculaire est égale à 7,3pg,
Identifiez la quantité d’ADN dans :
og
a) Le gamète X.
b) Le gamète Y.
ag
Exercice 5:
Le document 1 représente des schémas de trois structures ovariennes observées au
cours d’un cycle sexuel.
itu
st
In
l
na
b) lors d’une grossesse?
6. Préciser les rôles physiologiques des éléments 5, 8, 10 et 11.
io
7. Identifier le nombre et l’état chromosomique des cellules 5, 6, 8, 10 et 11
8. Dans certaines structures du document, il y a reprise d’une division, appartenant à
at
l’ovogenèse, qui est bloquée au cours de la vie fœtale.
a) Préciser le nom de la cellule concernée
N
b) Préciser le type de division et l’étape de l’ovogenèse correspondants.
c) Préciser le résultat de cette reprise.
ue
9. Le document suivant montre l’évolution du
taux de deux hormones H1 et H2, l’une secrétée
iq
par les structures du document 1 et l’autre
d’origine hypophysaire.
og
a) Identifier les hormones H1 et H2.
Justifier votre réponse.
ag
Exercice 6
Partie A
itu
Au cours de la vie
génitale de la femme, les
st
structures A, B et C du Document-
1
In
l
na
B et C dans l'ordre
chronologique de leur
io
apparition au niveau de
Document-2
l'appareil génital de la
at
femme,
4-Indiquez, pour chaque structure, le phénomène physiologique à l’origine de sa
N
formation.
Le document 2 représente deux coupes réalisées au niveau de l'utérus à deux moments
ue
différents du cycle sexuel chez la femme.
5-Complétez la légende de ce document
iq
6- Faites correspondre chacune de ces deux coupes (a) et (b) à l'une des phases du cycle
utérin.
og
Décrivez les transformations subies par la muqueuse utérine au cours du cycle sexuel.
7- Indiquez les hormones ovariennes contrôlant ces transformations.
ag
Partie B
On se propose d’étudier les cycles ovarien et utérin, par expérimentation sur des
éd
guenons (femelle du singe) dont le cycle sexuel est semblable à celui de la femme.
Pour cela on réalise les expériences suivantes :
tP
Expérience 1 : l’ablation de l’utérus d’une guenon n’est suivie d’aucune variation des
fonctions ovariennes.
itu
ovaires et de l’utérus, alors que la greffe d’une hypophyse à cette même femelle la
ramène à un état normal.
l
na
1. Tirez une ou plusieurs conclusions de chaque expérience (présentez votre résultats
sous forme d’un tableau : N° de l’expérience + conclusion(s)).
io
Expérience 6 : une guenon ovariectomisée reçoit pendant 4 périodes de 15 jours
chacune, des injections d’hormones ovariennes selon des dosages et compositions
at
différentes.
Pour chaque période le taux moyen de FSH et de LH est mesuré. Le tableau suivant
N
représente les résultats obtenus :
2. Analysez les résultats expérimentaux de l’expérience 6 afin de tirer des
ue
conclusions.
iq
Hormones injectées Hormones Dosées en
ng.l-1
og
Période Injections Taux FSH LH
N° plasmatique en
ag
pg.ml-1
1 Œstrogènes 0 > 15 > 50
éd
Progestérone 0
2 Œstrogènes 70 6 4
tP
Progestérone 0
3 Œstrogènes 300 12 40
itu
Progestérone 0
4 Œstrogènes 300 <4 <3
st
Progestérone 4
In
l
na
io
at
1. Légendez ces figures en reproduisant sur votre copie les chiffres.
N
2. Donnez un titre à chacune des figures.
3. Donnez l’ordre chronologique de ces figures.
Exercice 7
ue
iq
On se propose d’étudier la succession des mécanismes hormonaux à l’origine de
og
l’absence des règles lors de la grossesse.
A- Chez des femelles de primates (singes) ayant un cycle sexuel analogue à celui de la
ag
l
na
io
at
N
ue
iq
Faites une analyse comparative des deux graphiques A et B. Qu’en déduisez- vous ?
og
B- Le document suivant représente les résultats du dosage des hormones ovariennes dans
l’urine d’une femme X durant 73jours.
ag
On signale que dans l’urine la progestérone est éliminée sous forme de prégnandiol et les
œstrogènes sous forme de Phenolstroide.
éd
tP
itu
st
In
l
na
la femme X, à partir du 21 octobre.
-Un événement s’est produit le 21 octobre.
io
1- Identifiez-le
2-Pour préciser l’action de HCG, on réalise les
at
expériences suivantes :
N
Exp 1 : l’injection de HCG à une guenon non gestante en fin de la phase lutéale provoque
une augmentation transitoire de la production des substances dosées en B.
ue
Exp 2 : l’injection de HCG à une guenon ovariéctomisée n’a pas d’effet sur
l’endomètre.
iq
A partir de l’exploitation de ces résultats, tirez le rôle et le mode d’action de l’hormone
HCG.
og
ag
Exercice 8
La contraception
éd
ces méthodes, la
contraception
itu
chimique :
l’utilisation de la
pilule contraceptive
st
différentes formes.
l
ces deux types de pilules contraceptives.
na
Doc 1 : Variation des concentrations plasmatiques en hormones ovariennes et
hypophysaires au cours d'un cycle avec et sans pilule combinée.
io
at
N
ue
iq
og
ag
éd
tP
itu
st
In
l
fleurs blanches de la même espèce. Le tableau suivant donne les résultats de ces
na
croisements.
io
Croisement AxD BxD CxD
Résultats 100% tiges 50% tiges naines et 25% tiges longues et fleurs
at
longues et fleurs rouges 50% rouges. 25% tiges naines et
fleurs rouges tiges longues et fleurs fleurs rouges. 25% tiges
N
rouges longues et fleurs blanches
25% tiges naines et fleurs
blanches
ue
A partir de l’analyse des résultats obtenus, précisez tout en justifiant
iq
a- La relation de dominance entre les phénotypes des caractères étudiés.
b- La relation d’indépendance ou de liaison entre les gènes contrôlant les caractères
og
étudiés.
2) Déterminez les génotypes des parents A, B et C en précisant votre démarche.
ag
EXERCICE 2
tP
2ème croisement : un mâle à corps gris et aux yeux rouges avec une femelle à corps
noir et aux yeux blancs. La F1 obtenue est entièrement à corps gris mais les mâles ont
st
l
na
on obtient deux sortes de mouches :
495 drosophiles de type sauvage,
508 drosophiles aux ailes vestigiales et aux yeux bruns.
io
Si on croise des femelles de la F1 avec des mâles aux ailes vestigiales et aux yeux bruns
at
on obtient 4 sortes de mouches :
712 drosophiles de type sauvage.
N
298 drosophiles aux ailes normales et aux yeux bruns.
300 drosophiles aux ailes vestigiales et aux yeux normaux.
ue
699 drosophiles aux ailes vestigiales et aux yeux bruns.
1-Interpréter ces résultats. Quelle est la localisation relative des gènes étudiés.
2-Expliquer, en faisant des schémas, les phénomènes qui ont permis l'obtention de
iq
drosophiles de types minoritaires.
og
3-Indiquer quelle serait la composition de la descendance obtenue en croisant les
individus de la Fl entre eux.
4-Etablir la carte factorielle.
ag
Exercice 4
éd
l
3- En exploitant les résultats du deuxième croisement, précisez si les gènes contrôlant
na
les caractères étudiés sont indépendants ou liés.
io
Troisième femelle de FI X mâle à ailes vestigiales et yeux bruns
croisement :
at
Résultat : 35%de drosophiles à ailes longues et yeux bruns
N
4- En se basant sur le résultat obtenu du troisième croisement discutez les deux
hypothèses suivantes:
ue
Hypothèse 1 : les deux couples d’allèles sont liés et la liaison est partielle.
Hypothèse 2 : les deux couples d’allèles sont liés et la liaison est absolue.
5 a. Etablissez le tableau de rencontre au hasard des gamètes produits par les individus
iq
de la F1 pour expliquer la répartition phénotypique de la descendance du deuxième
og
croisement.
b. prévoyez la composition phénotypique de la descendance issue du troisième
ag
l
na
récessif ou dominant ? ADN anormal - + + - -
b- Si le gène est porté par un autosome ou un
io
chromosome sexuel. Discutezchaque éventualité.
2) Déterminez les génotypes d’II3, Il5, II6 et des fœtus.
at
3) On réalise les caryotypes des fœtus A et B.
N
ue
iq
og
ag
éd
l
na
io
at
1. A partir d’une analyse de ce document :
N
a) Associer les fragments A1 et A2 aux différents allèles du gène
b) Préciser la localisation chromosomique du gène en question.
ue
c) Attribuer à chaque parent l’électrophorèse qui lui appartient en précisant son
génotype.
iq
d) Le médecin a rassuré la mère que son futur enfant sera sain. L’allèle de la maladie
est-il dominant ou récessif ? Justifiez votre réponse.
og
e) Préciser le génotype de chaque enfant (E l, E2 et E3).
2. Dresser l’arbre généalogique de cette famille.
ag
Exercice 6
L’arbre généalogique ci-dessous est celui d’une famille dont certains individus sont
éd
l
na
gène en question, chez certains individus de cette famille
io
at
N
Doc 1
ue
Quelle est l’hypothèse confirmée par ces données ?
3. En vous basant toujours sur l’analyse de l’arbre généalogique et sur le document l,
iq
justifier si le fœtus III2 est :
a) Une fille ou un garçon.
og
Eexercice 7:
Ce document représente le pedigree d’une famille concernant les phénotypes du groupe
éd
Génération I
tP
Génération II
Génération III
itu
Génération IV
st
Grâce à vos connaissances sur la transmission des caractères héréditaires, montrez s’il
In
1)
s’agit d’un cas de dominance absolue ou intermédiaire.
2) Préciser ensuite le génotype de chaque individu appartenant aux générations I, II, III et
IV. Justifier.
Exercice 1
A/ 1 spermatogonie en mitose 2- spermatogonie 3- spermatocyte I
l
na
4- spermatocyte I en division réductionnelle (anaphase I)
5- spermatocyte II en division équationnelle (anaphase II)
6- spermatocyte II 7- spermatide 8- cellule de Sertoli 9- spermatozoïde
io
10- cellule de Leydig (ou interstitielle) 11- capillaire sanguin
at
b- La cellule 7 (spermatide) est une cellule haploïde.
Si on considère que dans la cellule 7 il y a 4 chromosomes, on trouve dans le
N
spermatocyte I, 2n = 8 chromosomes.
Schémas des cellules 4 et 5 :
ue
Membrane cytoplasmique
n chromosomes fissurées
n chromosomes simples
l
iq i
og
ag
éd
a- Le contact direct des cellules de Leydig avec les capillaires sanguins, indique leur
fonction endocrine.
tP
- Dans la paroi du tube séminifère, on observe divers aspects cellulaires traduisant une
spermatogénèse orientée dans un sens centripète vers la lumière du tube, ce qui indique
la fonction exocrine de la paroi du tube séminifère.
itu
Des injections régulières d’extraits de cellules de Leydig, à cet animal castré, entraînent
un rétablissement des caractères sexuels.
In
—► Conclusion : les cellules de Leydig assurent le maintien des caractères sexuels par
voie hormonale (testostérone).
l
Le document 2 montre que :
na
-1
- Avant la castration le taux de LH est maintenu constant à 1 ng.ml et le taux de
-1
testostérone est maintenu constant à 1 ng.ml .
io
-Après la castration le taux de testostérone chute progressivement de 11 à 1 ng.ml-1 en
8 jours. Parallèlement, on note une augmentation progressive du taux de LH à 21
at
ng.ml-1.
N
Conclusion: le testicule freine, par rétrocontrôle négatif, la sécrétion hypophysaire de
LH.
Le document 3 montre que
ue
L’injection de testostérone chez un homme normal entraîne une chute provisoire du taux
de LH.
iq
Conclusion: la testostérone est une hormone qui freine la sécrétion hypophysaire de
LH.
og
• En mettant en relation les résultats des deux documents, on déduit que le testicule
inhibe la sécrétion hypophysaire de LH par l’intermédiaire de la testostérone.
ag
C/
éd
tP
itu
st
In
l
na
l’hypophyse ; ce mécanisme est désigné sous le nom de feed-back négatif ou
rétrocontrôle négatif.
Expérience 3: La parabiose provoque la restauration du fonctionnement
io
testiculaire et hypophysaire, donc les testicules agissent sur l’hypophyse, par
at
l’intermédiaire d’hormone transportée par le sang, de même l’hypophyse contrôle
les testicules par la voie sanguine.
N
Expérience 4: L‘élimination de la parabiose et l’injection d’extraits testiculaires
provoquent la diminution de la sécrétion de FSH et LH. Donc les testicules exercent
ue
un rétrocontrôle négatif sur l’hypophyse.
2-
iq
og
ag
éd
tP
Exercice 3
Analyse du document 1 : Les graphes présentent l'évolution de la concentration de LH
après différentes expériences réalisées chez des rats adultes .
itu
taux de LH chute de 2.9 ng/ml à 0.26ng/ml en 20j après l'ablation -» l'hypophyse est
responsable de la sécrétion de la LH .
-
l
Expérience 4: le rat subit une ablation de l'hypophyse, puis une greffe d'une
na
-
hypophyse au contact de la tige pituitaire- : ce qui a entrainé une légère chute du taux
de LH de 2.9ng/ml à 2.33ng/ml jusqu'au 5imc jour, puis on note un retour au taux initial
io
vers le 10ème jour suite à la greffe qui est au contact de la tige pituitaire.
at
-
- Expérience 5 : le rat subit une ablation de l'hypophyse, puis une greffe d'une
N
hypophyse dans un endroit différent de son emplacement d'origine - On constate une
chute du taux de LH comme dans l'expérience 2.
- La greffe de l'hypophyse dans la chambre antérieure de l'œil ne permet pas le retour au
ue
taux initial de LH.
Donc l'hypothalamus agit sur l'hypophyse par voie neuro hormonale (la GnRH secrétée
iq
par des neurones hypothalamiques stimule la sécrétion de la LH).
og
Analyse du document 2 :
- Pour les rats témoins : on observe un pulse de LH toutes les 3 heures avec des pics de
ag
fréquence des pulses par rapport aux rats témoins : un pulse par heure, on note aussi
l'augmentation de la sécrétion de LH avec des variations d'environ 20 à 45 ng/ml. Les
testicules diminuent donc le taux de LH plasmatique et la fréquence des pulses.
tP
- Pour les rats castrés puis perfusés par de la testostérone, on observe que le taux de la
sécrétion de LH et la fréquence des pulses sont identiques à ceux des rats témoins la
itu
Conclusion :
st
la LH est une hormone secrétée par l'hypophyse de façon pulsatile sous le contrôle d'une
In
l
na
io
at
Exercice 4
N
1. Ce document montre un ovaire d’une femme après la puberté car on observe
l’expulsion de l’élément X (ovulation).
ue
2. l’identification des structures suivantes :
a = follicules primordiaux ; b= follicules primaires ; c = follicules secondaires ; d=
iq
follicules tertiaires on cavitaires ; e = follicule mûr ou de De Graaf ; f = follicule
rompu; g= corps jaune ; h= corps blanc
og
2 : Cytoplasme
3 : Espace péri-ovocytaire
itu
4 : Membrane cytoplasmique
5 : Granules corticaux
6 : Cellules folliculaires
st
(Corona radiata)
In
l
na
dupliqués et places au milieu du fuseau achromatique
6. Les périodes sont : A= 3 à 4 mois avant le début du cycle ; B.= phase pré-ovulatoire
io
C = phase post - ovulatoire ou phase lutéale.
7. a) Au cours de la phase C, l’épaisseur de l’endomètre a augmenté considérablement
at
(g) puis à la fin elle diminue (h).
N
b) Les ovaires agissent par un rétrocontrôle négatif sur le complexe hypothalamo-
hypophysaire en bloquant la sécrétion de GnRh ,FSH et LH.
ue
c) Conséquence sur le cycle sexuel : menstruation.
8. Dans un ovaire actif
iq
a) On peut observer simultanément des structures de types b et c.
og
Justification : les ovaires sont le lieu de stockage des follicules dans la partie
Périphérique appelée cortex ovarien.
ag
b) on ne peut pas observer simultanément des structures de types (e) et (f) car la
structure(f) provient de l’éclatement du follicule mûr (e).
éd
l
na
io
Exercice 5
at
1. Structure A = follicule cavitaire ou tertiaire ; Structure B = follicule mûr ; Structure
N
c = corps jaune
2. légendes : 1 = Cavite folliculaire ; 2= zone de pellucide ; 3 =cumulus oophorus ;
ue
4 = thèque externe ; 5 = thèque interne ; 6= ovocyte II ; 7 = Antrum ; 8= granulosa ;
iq
9 = thèque externe ; 10= thèque interne ; 11= cellules lutéiniques
3. Structure A - Structure B - Structure C
og
4. Les structures A et B correspondent à la phase Post menstruelle et la Structure C
correspond à la phase pré menstruelle
ag
11 Sécrétion de la progestérone
7.
itu
6 2n Dupliqué
In
8 2n Simple
10 2n Simple
11 2n Simple
l
na
élevé d’œstradiol qui, par un rétrocontrôle positif sur le complexe hypothalamus-
hypophysaire, engendre un pic de FSH et surtout de LH qui détermine l’ovulation.
io
Exercice 6
at
Partie A
N
1-Nom des Structures
Structure A = ovocyte II bloqué en métaphase II
ue
Structure B = Zygote
Structure C = Follicule tertiaire ou cavitaire
iq
2. Nombre de chromosomes
C1 = n chromosome
og
C2 = 2n chromosome.
C3 = 2n chromosome
ag
3- l'ordre chronologique
C3 C1 C2
éd
Structure B: Fécondation
Structure C: Folliculogenése
1-Glande en tube
itu
2-Capillaire sanguin
3-Endomètre
st
6- Correspondance :
Coupe a correspond à la phase post-menstruelle
Coupe b correspond à la phase prémenstruelle
l
- important développement de l'endomètre : d’où la formation d'une dentelle utérine
na
(Spiralisation).
7. L'œstradiol et la progestérone sont à l’origine de ces modifications.
io
Partie B
at
1-
N
Experience Conclusion
ue
1 L’utérus n’a pas d’effet sur le fonctionnement des ovaires
2 Les ovaires agissent sur l’utérus et les caractères sexuels
secondaires.
iq
3 L’hypophyse contrôle la fonction de reproduction par voie
og
hormonale.
4 L’hypophyse agit sur l’ovaire par voie hormonale.
ag
Conclusion :
Les ovaires diminuent la sécrétion de FSH et LH.
itu
Période 2 : l’injection d’une guenon ovariectomisée par une faible dose de l’œstradiol
seul entraine une diminution de la sécrétion de FSH et LH.
st
Conclusion :
L’œstradiol seul, à faible dose, exerce un rétrocontrôle négatif sur la sécrétion de FSH
In
et LH.
Période 3 : l’injection d’une forte dose de l’œstradiol seul chez une guenon
ovariectomisée entraine une augmentation de la sécrétion de FSH et LH.
l
na
FSH et LH.
1- schéma de
io
synthèse
at
N
ue
iq
og
ag
éd
Partie C
1) Légendes
tP
1 : cytoplasme du zygote
2 : zone pellucide
itu
3 : Spermatozoïdes
4 : noyau de l’ovocyte II bloqué en MII
st
5 : cellules folliculaires
6 : pronucléus mâle
In
7 : pronucléus femelle
8 et 9 : globules polaires
10 : cytoplasme de l’ovocyte II
l
na
B D C A
Exercice 7
io
A- La comparaison du graphique A et B .
Le graphique A (cycle normal) montre qu’il existe une corrélation entre l’arrêt de la
at
sécrétion de progestérone et l’apparition des règles.
Le graphique B montre que lorsqu’on inhibe artificiellement les mécanismes assurant
N
la sécrétion de la progestérone les règles apparaissent prématurément et ont lieu
5jours avant leur délai normal (sans aucun traitement).
ue
Conclusion: La sécrétion de progestérone assure le maintien fonctionnel de la
muqueuse utérine, l’arrêt de sa sécrétion déclenche l’apparition des règles.
iq
La chute du taux sanguin de progestérone entraîne la menstruation.
B- Chez cette femme et durant 73 jours on distingue deux types de cycles sexuels.
og
1er cycle (entre 2 sep - 30 sep) c’est un cycle sans fécondation caractérisé par deux
phases :
ag
La phase folliculaire (2 sep - 17sep) qui est marquée par l’absence de prégnandiol
dans les urines ; ce qui reflète l’absence de sécrétion de progestérone et la présence
éd
de taux élevé de phénol stéroïdes dans les urines (un pic vers le 16 sep) reflète
l’augmentation de la sécrétion importante de l’œstradiol.
La phase lutéale (18 sep - 30sep) qui est marquée par un pic important de prégnandiol
tP
et un autre pic moins important de phénol stéroïdes dans les urines ; ce qui reflète
l’augmentation de la sécrétion de l’œstradiol et surtout la sécrétion de progestérone.
itu
l
na
C:
1-Le 21 octobre appartient au cycle fécond pendant la phase lutéale, avant 7 jours
io
c'est-à-dire le 14 octobre correspond au jour de l’ovulation puis fécondation donc
l’événement qui s’est produit 7 jours après la fécondation est la nidation :
at
l’implantation d’un embryon dans l’endomètre de la femme.
N
2-D’après l’expérience 1 : on conclut que l’hormone HCG assure le maintien du
corps jaune. D’où l’augmentation de la production d’œstradiol et de progestérone par
ue
ce dernier et donc maintien de l’endomètre très développé ce qui indique que la HCG
a le même rôle que la LH.
iq
D’après l’expérience 2 : si la guenon est castrée, l’injection de l’hormone HCG n’a
og
pas d’effet, donc l’endomètre n’est pas un organe cible de cette hormone.
Conclusion : l’hormone HCG agit au niveau de l’ovaire où elle assure le maintien du
ag
corps jaune, ce dernier se développe et donne un corps jaune gestatif qui sécrète un
taux élevé d’œstradiol et de progestérone ; ce qui empêche la destruction de la
dentelle utérine ; d’où l’absence des règles.
éd
Exercice 8
tP
La pilule combinée
st
l
na
rétroaction négative sur la sécrétion d'hormones FSH et LH par l'hypophyse.
Lorsque la femme prend la pilule, on observe une faible sécrétion d'œstradiol et une
io
absence de sécrétion de progestérone, quelle que soit la phase du cycle. De même, le
taux de sécrétion des hormones hypophysaires reste faible et constant.
at
Les molécules contenues dans la pilule, ayant les mêmes effets que l'œstradiol et la
N
progestérone, exercent une inhibition constante sur la sécrétion des hormones
hypophysaires. Le faible taux de FSH et LH ne permet pas de stimuler la croissance
ue
folliculaire, ni la sélection d'un follicule dominant. Ce follicule ne peut donc pas
secréter d’œstrogènes. Le pic de LH ne peut donc pas avoir lieu. L'ovulation devient
iq
impossible. La contraception est ainsi assurée.
og
La pilule micro-dosée
Cette pilule ne contient qu'un progestatif de synthèse et à faible dose.
ag
On observe que sous l'action de cette pilule, la glaire cervicale ne présente pas de
variations de volume, ni de nature. Son volume reste constant et elle est
constamment dense. Ceci est confirmé par les photographies qui montrent que la
éd
glaire cervicale garde des mailles nombreuses et serrées aux alentours de l'ovulation,
tandis que lors d'un cycle sans pilule, ses mailles se relâchent au voisinage de
tP
l'ovulation.
On sait que pour aller à la rencontre du gamète femelle les spermatozoïdes doivent
itu
franchir cette glaire. Si celle-ci reste dense, ils ne pourront pas la traverser et la
rencontre devient impossible.
st
un aspect aussi «préparé » lors d'un cycle avec prise de pilule par rapport à un cycle
sans prise de pilule. Notamment, les glandes en tube sont moins développées. On
peut ainsi penser que ce développement anormal de la muqueuse utérine ne serait
Cependant, on peut penser que le faible dosage de cette pilule n'est pas suffisant
pour exercer une inhibition de la sécrétion des hormones hypophysaires, et
n'empêche pas l'ovulation de se produire. Cette pilule présente donc une action tout
l
na
à fait différente de la première.
io
De même, il est probable que la pilule combinée empêche la préparation de la
muqueuse utérine en maintenant un taux constant d'œstradiol et de progestérone en
at
continu sur pratiquement tout le cycle. Mais cet effet n'est pas le principal recherché
car de toute façon il ne peut y avoir de fécondation, et donc pas de nidation.
N
Ces deux pilules agissent donc à différents niveaux. La première agit principalement
sur l'hypophyse en maintenant une inhibition des sécrétions de FSH et LH, et ainsi
ue
empêche l'ovulation (contraception)
iq
La seconde empêche la rencontre des gamètes en bloquant les spermatozoïdes au
niveau du col de l'utérus, et au cas où cela ne serait pas suffisant, rend impropre la
og
muqueuse utérine à la nidation (contra gestation)
ag
éd
tP
itu
st
In
Eexercice 1 :
Les plantes croisées différentes par deux caractères : la taille de la tige (longue ou
l
naine) et la couleur de la fleur (blanche ou rouge) ;
na
Il s’agit d’un cas de di hybridisme où chaque caractère est contrôlé par un gène
(couple d’allèles).
io
Le premier croisement A x D donne une descendance homogène à tiges longues et à
at
fleurs rouges correspondant au phénotype de l’un des deux parents —> Il s’agit d’un
N
cas de dominance absolue pour les deux caractères.
Soit les deux couples d’allèles (R, b) et (L, n) avec :
L : allèle dominant qui contrôle la taille longue. L domine n
ue
n : allèle récessif qui contrôle la taille naine
R : allèle dominant qui contrôle la couleur rouge R domine b
iq
b : allèle récessif qui contrôle la couleur blanche
og
D est birécessif.
• Le croisement B x D donne 50% [nR] et 50% [LR].
Ce résultat montre que B est hétérozygote seulement pour la taille de la tige. Son
itu
• Le croisement C x D donne 25% [LR], 25% [Lb], 25% [nR] et 25% [nb],
L R
In
l
na
io
at
N
ue
iq
og
ag
éd
tP
itu
st
In
l
résultats ; donc le gène est autosomal.
na
Pour le caractère : couleur des yeux, le sens du croisement modifie les résultats ; donc
io
le gène est gonosomal.
Les gènes sont indépendants car l’un est autosomal, l’autre est gonosomal.
at
Les parents sont purs d’après l’énonce.
N
Double dominance Gris (G) domine noir (n) rouge (R) domine blanc (b)
ue
1er croisement
Parents: mâle ( )
n Xb
n Y
iq femelle
G XR
( )
G XR
Gamètes: nxb ny GXR
og
G XR G XR
( )
n Xb ( )
n Y
ag
1 1
[GR] [GR]
2 2
éd
100% [GR]
tP
2e croisement :
G XR n Xb
Parents: mâle femelle
G Y n Xb
itu
F1
n Xb n Y
In
1 1
2 [GR] 2 [Gb]
G XR
mâle G R
X
Femelle n Xb n Y
l
na
Les gènes sont indépendants la 3e loi de Mendel s’applique (Brassage inter
chromosomique) chaque di hybride fournit 4 types de gamètes de proportions égales
1 1 1 1
.4 .4.4
io
4
at
Mâle
GXR Gy nXR ny [GR]
N
Femelle
6
[GR]
GXR G XR G XR G XR GX 16
ue
3
R
1
nXb G Xb n XR n Xb 2
mâle
G XR
n Xb [nR ] 1
n Xb[GR] n Y [Gb] n Y [nb] femelle
éd
2
tP
itu
st
In
G XR G Xb
n Xb n Y
1 1 1 1
Chaque di hybride fournit 4 types de gamètes de proportions égales 4 . 4 . 4 . 4
l
na
Mâle
GXb Gy nXb ny
Femelle
io
3
[GR]16
GXR G XR G XR GX G XR
at
R
N
[Gb]16
3 16 4
G Xb GX b
G Xb G Xb
G Xb [Gb] G Y [Gb] n Xb[Gb] n Y [Gb]
GXb [Gb]16
3
nXR
G XR G XR
ue n XR n XR
[nR]16
1 4
16
1
= 4[n]
iq
n Y [GR] n Xb[nR] n Y [nR] 1
n Xb [GR] [nR]16
og
1
nXb G Xb G Xb n Xb n Xb [nb]16
1 mâle
2
n Xb [Gb] n Y [Gb] n Xb[nb] n Y [nb]
ag
1 1
[nb]
16
femelle
2
éd
Exercice 3
tP
1- Les parents diffèrents par deux caractères qui sont la forme des ailes et la couleur des
yeux : c'est un di hybridisme.
itu
Soit le premier couple d'allèle (L, vg) avec L : l'allèle contrôlant les ailes longues, vg :
In
l
na
Premier Croisement:
io
Parents de races pures : PI X P2
at
Génotypes LR vgb
LR vgb
N
Gamètes LR vgb
( )
ue
LR
Fl vgb
Phénotype : [LR] 100% double hétérozygote
iq
Deuxième croisement : c'est un test cross
og
vgb Vgb
Gamètes : × Vgb
éd
LR Vgb
tP
( ) LR
vgb ( )
vgb
vgb
itu
1 1 [vgb]
[LR]
2 2
st
3ème croisement :
In
1−p 1−p p p
l
Gamète
na
2 2 2 2
LR vgb Lb vgR
vgb 1 vgb vgb vgb vgb
io
p
1−p
[ LR ]
1−p
[ vbb]
p
[ Lb] [ vgR ]
2
at
2 2 2
N
2- L’apparition de ces 4 phénotypes s'explique par un brassage intra chromosomique ou
crossing-over qui a lieu au cours de la prophase I de la méiose d'où la formation de 4
ue
types de gamètes de proportions inégales chez la femelle 1−p 1−p p p
2 2 2 2
iq
og
double hétérozygote qui est responsable de ce phénomène alors que le mâle double
homozygote ne donne qu'un seul type de gamète.
Le schéma ci- dessous illustre le phénomène de crossing-over chez une femelle de F1
ag
1−p 1−p p p 1 1
2 2 2 2 2 2
l
Gamètes : LR ; vgb ; Lb ; vgR ; + LR ; vgb
na
Gamètes femelles
io
𝟏𝟏−𝑷𝑷 𝟏𝟏−𝑷𝑷 𝑷𝑷 𝑷𝑷
LR vgb [Lb] [vg R]
𝟐𝟐 𝟐𝟐 𝟐𝟐 𝟐𝟐
Gamète mâle
at
LR LR LR Lb
LR
N
Lb VgR
1
LR 1−p
vgb
1−p p
2 [ LR ] [ LR ] [ LR ] p
[ LR ]
4 4 4 4
ue
1 LR vgb LR
2
vgb vgR
vgb vgb vgb vgR
1−p
iq
[ LR ] 1−p p p
[ vgR ]
4 [ vgb] [ Lb] 4
4 4
og
=
4 4 4 4 4
67,5% 17,5% 7,5% 7,5%
éd
tP
itu
Exercice 4
st
1
In
- 2 gènes autosomaux
- Double dominance L > v R > b L : longue v : vestigiale
- F1homogène donc les parents sont purs R : Rouge b : blanc
l
L R
na
Génotypes de F1 : v b 100% [LR]
io
Cas de gènes liés
Lb vR
at
Génotypes des parents
Lb vR
N
Gamètes des parents Lb vR
ue
Lb
Génotypes F1
vR
iq
2- Les résultats de F2 sont différents de 9-3-3-1 ; donc les gènes ne sont pas
og
indépendants.
ag
Hypothèse1 : les 2 couples d’allèles sont liés et la liaison est partielle : cette hypothèse
est confirmée car l’un des phénotypes parentaux a une proportion de 35 . D’où 65
tP
11
proportions égales 2 2.
1−𝑃𝑃 1−𝑃𝑃 𝑃𝑃 𝑃𝑃
La femelle fournit 4 types de gamètes de proportions inégales 2
, 2
, 2
,2
Parents Lb vR
Lb vR
Gamètes Lb vR
l
na
Génotypes F1 Lb
100%[LR]
vR
io
F1 X F1
at
Gamètes
N
1−𝑃𝑃 1−𝑃𝑃 𝑃𝑃 𝑃𝑃
Gamètes Lb 2
vR 2
LR 2
Vb 2
ue
Lb
1
LB Lb
2 Lb Lb
1− p vR 1− p LR p [ LR ] vb p [ Lb]
Lb [ LB ] [ LR ]
iq 4
4 4 4
og
Lb vR VR vR
1 vR 1− p vR 1− p LR p [ LR ] vb p [ vR ]
vR
2
[ LR ] [ vR ] 4
4 4 4
ag
éd
1 2 1
[Lb] = 400 [LR] = 800 [vR] = 400
4 4 4
1−𝑃𝑃 1000×35
[vR] 2
= 35% = 100
= 350
In
𝑃𝑃 1000 ×15
[LR] 2 = 15% = 100
= 150
𝑃𝑃 1000 ×15
[vb]2 = 15% = 100
= 150
l
na
-hypothèse 1 : le gène est gonosomal porté par Y : rejetée car il ya des femmes malades.
-hypothèse 2 : Le gène est gonosomal porté par X : possible (à retenir) car le pedigree ne
montre pas de père malade ayant une fille saine ni de mère saine ayant un garçon malade.
io
-hypothèse 3 :II4 est malade selon le pedigree et homozygote selon le tableau d’ADN, son
père est sain selon le pedigree donc homozygote ce qui n’est pas compatible ;
at
Donchypothèse à rejeter.
N
L’hypothèse 2est retenue
(gène gonosomal porté par X ) M = malade ; m = sain.
ue
2) Génotypes de II3, II5, II6 et des fœtus :
X X
II = m ; II = M ; II = m (D’après le document1)
X
3 5
Xm Xm Y
iq
Pour les fœtus les génotypes sont déterminés d’après le document 2 : chacun d’eux peut
être de génotype Xm ou Xm vu la présence de l’ADN normal uniquement.
og
Xm Y
* Conclusions :
- Il s’agit d’un caryotype femelle de formule chromosomique 22 paires d’autosomes +
XX.
tP
Xm
- Elle serait de génotype
ème
Xm donc saine.
* Le 2 caryotype (du fœtus B) montre la présence de 47 chromosomes fissurés dont 42
itu
sont rangés par paires et par ordre décroissant de taille. Cependant on note la présence du
chromosome 21 en trois exemplaires et deux chromosomes de taille inégale (paire de
st
* Conclusions :
- Il s’agit d’un caryotype présentant une aberration chromosomique de type trisomie 21
de formule chromosomique 2n + l = 45 autosomes +XY.
l
na
II.
La trisomie 21 chez le fœtus B résulte alors d’un accident survenu au cours de la méiose
io
chez le père II6.
1er cas : non séparation des deux chromosomes 21 au cours de l’anaphase1 et la paire 21
at
passe avec le chromosome sexuel Y dans un même pôle à l’origine du 2ème gamète.
2emecas : non séparation des deux chromatides 21 au cours de l’anaphase2 et les deux
N
chromatides sœurs 21 passent avec la chromatide sexuel Y dans un même pôle à l’origine
du 2ème gamète.
ue
n chromosomes fissurés n chromosomes simples
Membrane
iq
Fuseaux achromatiques
og
Aster
ag
éd
Anaphase I Anaphase II
tP
B/ 1. a) D’après le document, la fille E3 montre une seule bande foncée en A1, de plus
cette fille est malade, donc, le fragment Al correspond à l’allèle de la maladie et le
itu
sain pour
In
E2). La maladie est liée au sexe portée par X car si la maladie est autosomale chaque
individu doit porter obligatoirement deux allèles identiques ou différents.
d) Le fœtus renferme deux allèles différents (allèle sain et allèle malade) et le médecin a
l
na
rassuré la mère que son futur enfant sera sain, donc l’allèle sain est exprimé. Alors
l’allèle de la maladie est récessif.
io
e) Soit le couple d’allèle (N, m) avec N = allèle sain et m = allèle malade :
X.m
at
E1= Xm , E2 = XN et E3 =
Y Y Xm
N
2. L’arbre généalogique de cette famille
ue
Exercice 6
1)
iq
- Hypothèse 1 : allèle dominant autosomal
s
og
Dans ce cas le garçon II-2 sain serait de génotype s , donc il a hérité s de son père qui
est sain et il doit hériter s de sa mère qui doit être hétérozygote, donc cette hypothèse est
ag
possible
- Hypothèse 2 : allèle dominant porté par X
éd
X
Le garçon II-2, sain, serait de génotype s donc il a hérité Xs de sa mère I2 qui doit être
Y
hétérozygote (ce qui est possible) et il doit hériter Y de son père, donc cette hypothèse
tP
est possible.
Hypothèse 3 : allèle récessif porté par X
Le garçon II-2, sain, serait de génotype Xs donc il a hérité X de sa mère qui doit être
itu
Y
hétérozygote (ce qui n’est pas possible car sa mère 12 est malade donc elle est de
génotype obligatoirement
st
l
généalogique II-3 est malade, donc le fragment d’ADN (A2) correspond à l’allèle
na
malade.
Si la maladie est autosomale, II-3 serait de génotype M//M, donc il doit hériter
io
obligatoirement M de son père qui doit être malade, ce qui n’est pas le cas.
Conclusion : l’allèle de la maladie est dominant gonosomal, porté par X.
at
3) a- Le fœtus III-2 possède 2 allèles différents (allèle malade et allèle sain) portés
N
par 2 exemplaires de chromosomes sexués X , donc le fœtus III-2 est une Fille.
b- Le fœtus III-2 possède 2 allèles différents ( allèle malade et allèle sain ) et la
ue
maladie est dominante donc le fœtus est malade
Exercice 7 iq
1-l’apparition d’une fille III1 de phénotype intermédiaire [AB] issue de deux parents de
phénotypes [A] et [B], montre qu’il s’agit d’un cas de codominance entre les deux allèles
og
A et B (A = B).
- La présence d’un père I2, également de phénotype [AB], montre une localisation
ag
autosomale du gène.
- L’apparition d’un individu (III6) de phénotype [O] à partir d’une mère [B] et d’un père
éd
[A], montre que l’allèle O est récessif devant l’allèle A et l’allèle B (A > O et B > O).
2- Pour les sujets de groupe [O] et qui sont I1, II6, III3 , III4, III6, III8, IV1 et IV2, le
génotype est car OO O est récessif,
tP
- Pour les sujets de groupe [AB] et qui sont I2 et III1 , le génotype est,
A ou B
B A
- Pour les sujets de groupe [A] provenant d’un parent [O], ou donnant un enfant [O] et qui
itu
A
sont II2, II4 et II7. Le génotype est O
Pour le sujet III2 de groupe [A], le génotype est A et non A car son père est [B].
st
O A
-Pour les sujets de groupe [B] provenant d’un parent [O], ou donnant un enfant [O] et qui
sont II1, II3, II5 et II7. Le génotype est B
In
O
B
Pour le sujet III5 de groupe [B], le génotype est et non Bcar son père II4 est de
O B
génotype : A
O
- ACTIVITE MUSCULAIRE
ag
- ACTIVITE CARDIAQUE
éd
tP
itu
st
In
l
na
1-2 Définition : C’est l’unité structurale et fonctionnelle du système
nerveux-
io
1-2 Structure d’un neurone (voir schéma ci-contre)
at
N
ue
iq
og
ag
l
Potentiel d’action monophasique (simple et complexe)
na
• PA monophasique précédé par un potentiel de repos et suivi
par une hyper polarisation
io
at
N
a : potentiel de repos
b : Artefact de stimulation
ue
bc : temps de latence
cd : dépolarisation
de : repolarisation
iq
ef : hyperpolarisation
g : retour au potentiel de repos
og
ag
a : Artefact de stimulation
ab : temps de latence
tP
bc :dépolarisation
cd :repolarisation
itu
st
2-Temps de latence
l
na
3 -Dépolarisation en R1
4-Répolarisation en R1
io
at
5-Dépolarisation en R2
N
6-Répolarisation en
ue
Une fibre nerveuse excitée par plusieurs excitations d’intensités croissantes
La fibre nerveuse
ag
obéit à la loi de
tout ou rien
éd
Le nerf obéit à la
st
loi de sommation
ou de recrutement
In
l
na
3-2 Synapses neuro-neuronique
3-2-1 Types de synapses neuro-neuronique
io
Synapse axo -somatique ; Synapse axo–dendritique ; Synapse axo- axonique
at
N
Synapse
ue Synapse
iq
Synapse
og
Elément post
ag
Elément pré
éd
Elément post
4- Reflexe
Exemple reflexe myotatique
In
l
Fibres motrices (message nerveux efférent)
na
- Muscle (organe effecteur)
io
at
N
ue
iq
og
ag
éd
tP
itu
st
Trajet
In
1- Réponses
musculaires
l
na
1-1 Réponse à une seule
excitation efficace :
io
Secousse musculaire
at
isolée :
N
1.1- Réponse à 2 ou plusieurs stimulations efficaces
l
stimulation. Le tissu nodal est le siège de cet automatisme cardiaque (voir schéma ci-
na
dessous)
io
at
N
ue
iq
og
ag
AB : systole auriculaire
itu
BC : diastole auriculaire
CD : systole ventriculaire
st
DE : diastole général
In
l
na
io
at
N
ue
iq
og
ag
éd
tP
itu
st
In
l
na
io
at
a- Nommez le phénomène observé et dégagez ses caractéristiques
N
b- Que peut-on conclure sur l’état de l’axone au repos ?
c- Représentez sur le schéma de l’axone (ci-dessus), la position des électrodes
ue
réceptrices permettant d’obtenir cet enregistrement.
Les résultats de mesures des concentrations ioniques, effectuées sur le calmar, sont
donnés par le tableau suivant :
iq
og
Ions Dans l’ax-oplasme Dans le sang (en millimoles L'1)
)
(en millimolesL -1
ag
Na+ 50 460
K+ 400 10
éd
l
dessous de S2) ou M2 (placée à distance de S2).Le document II (suivant) représente les
na
phénomènes électriques enregistrés au niveau de la membrane de l’axone de la fibre
nerveuse dans ces conditions expérimentales. (voir doc 1).
io
at
N
ue
iq
og
ag
2) A partir de la
comparaison des
tP
enregistrements obtenus
en O1 et O2, dégagez les
itu
caractéristiques de ces
st
différents phénomènes
électriques (a, b et c)
In
l
dispositif expérimental; représenté par le
na
document 1.
io
at
On réalise des expériences de stimulations sur les fibres nerveuses des neurones A, B et
N
C du document 1 puis on enregistre leurs réponses à l’aide des oscilloscopes O1, 02, et 03.
ue
Les expériences réalisées et les enregistrements obtenus sont représentés dans le tableau
du document 2.
iq
1-A Partir des informations de l’expérience1 et du tracé A1, dégagez une propriété de la
og
fibre nerveuse.
2-Analysez les résultats des expériences 1 et 2 en vue de déduire :
ag
Exercice 3
ag
l
na
io
at
1- faites correspondre chacun des tracés a, b, c, d et e aux oscilloscopes O1, O2, O3, O4
et 05. Justifiez votre réponse.
N
2. En exploitant les données précédentes (document 1 et 2), expliquez la
coordination de l’activité des deux muscles antagonistes M1et M2 lors de ce
ue
réflexe de flexion.
Exercice 4
iq
A - Chez l’homme, la percussion du tendon du muscle antérieur de la cuisse au-
og
dessous de la rotule entraîne toujours l’extension de la jambe (voir document 1).
Dans les muscles squelettiques, il existe des récepteurs sensoriels appelés fuseaux
ag
neuromusculaires (doc.2)
éd
tP
itu
st
2- faites un schéma simple de l’arc réflexe, montrant les éléments mis en jeu dans
cette réaction.
3- Quels sont les rôles respectifs des muscles M1 et M2 ?
l
na
io
at
4° Analyser les enregistrements présentés par le document 4.
5° Le doc.5 est obtenu lorsqu’on enregistre l’activité de la fibre N1 pendant les phases de
N
repos, d’étirement et de raccourcissement du muscle M1 :
ue
iq
og
ag
Analysez les résultats de cette expérience. Comment l’information est-elle codée dans la
fibre nerveuse ?
6°- A partir des résultats des expériences décrites en 4e et 5° de B, indiquez quel est1e
éd
autres, les fibres N1 N2 et N3 (document 3). Pour chacune de ces sections correspond une
dégénérescence des fibres nerveuses dans les zones hachurées du document 6.
itu
l
na
nerveux.
Identifiez cette structure.
io
10° Donnez une légende à cette structure en
utilisant les chiffres indiqués.
at
D- On stimule électriquement la fibre N1 et on enregistre l’activité électrique des corps
cellulaires des fibres N2 et N3 à l’aide de microélectrodes intracellulaires (voir le
N
montage représenté sur le document 8). Les résultats obtenus sont présentés dans le
document 9.
ue
. iq
og
ag
12° Quel rapport pouvez-vous établir entre les phénomènes électriques enregistrés en N2
ou N3 et l'activité des muscles M1 et M2 au cours du mouvement d’extension de la
tP
jambe?
13°-En vous appuyant sur le document 8, précisez comment sont les circuits neuroniques
qui parviennent à N2 et à N3.
itu
14° Quelle(s) hypothèse(s) pouvez-vous formuler pour expliquer les réponses différentes
en N2 et N3 suite à la stimulation en N1 ?
st
Les expériences suivantes sont réalisées sur le muscle gastrocnémien d’une grenouille,
préparé pour un enregistrement myographique:
1. On envoie deux stimulations S1 et S2 sur le nerf sciatique qui innerve ce muscle et on
l
obtient le mécanomyogramme « a ».
na
io
at
N
ue
a) Analysez les enregistrements obtenus en précisant:
- les modifications observées au niveau de la réponse du muscle.
iq
- les renseignements que vous pouvez recueillir sur ces documents concernant les
mécanomyogrammes?
b) Donnez la forme théorique de l’un de ces électromyogrammes et justifiez- la.
st
l
na
de la zone X, l'un correspondant à l'état (a),
l'autre à l'état (b).
io
2. Indiquer pourquoi les structures représentées
sont dites striées.
at
3. La cellule musculaire est un véritable «
moteur mécano-chimique».
N
Expliquer ce qui autorise cette expression, en indiquant dans quelles conditions et
comment l'énergie chimique est utilisée pour permettre le passage de l'état (a) à
ue
l'état (b). Illustrer votre réponse par un schéma.
iq
Exercice 7 Document1
og
Le document 1 représente l’ultrastructure de la
zone de contact de deux éléments À et B
ag
l
na
1-Expliquez ce qui autorise l’expression :
«Molécule véhiculant une réserve d’énergie et jouant le rôle de batterie».
2-Précisez les voies de recharge de cette batterie dans la cellule.
io
3-Précisez les différents niveaux où peut intervenir cette molécule.
at
Exercice 9
N
L’étude histologique du cœur de mammifère montre
qu’il est constitué de deux sortes d’éléments :
ue
-Les fibres myocardiques, riches en myofibrilles qui
constituent l’essentiel du tissu cardiaque;
-Des cellules pauvres en myofibrilles groupées en
iq
amas : c’est le tissu nodal (doc.1)
og
Afin de préciser le rôle du tissu nodal, les expériences
suivantes sont réalisées sur un cœur isolé de chien,
maintenu en survie par perfusion. Ce cœur bat alors au
ag
en même temps.
2) la destruction des nœuds sinusal a) arrêt des contractions auriculaires;
et septal b) les ventricules continuent à battre, mais à un
itu
Interprétez ces expériences et précisez le rôle respectif des différentes parties du tissu
nodal dans les conditions physiologiques normales.
l
l’horizontale) ou à une position inclinée la tête vers le bas (- 60° par rapport à
na
l’horizontale).
On enregistre pendant toutes ces variations de position la fréquence cardiaque du sujet.
io
Les résultats ont donné le graphique du document 1.
at
N
ue
iq
og
ag
a(voir document2).
Avec des électrodes réceptrices placées sur le
st
nerf de Herring.
In
l
na
expériences 1 et 2.
Quelles conclusions tirez-vous
quant au mécanisme de
io
régulation de la pression
at
artérielle et quant aux rôles du nerf de Herring.
Expérience 3. La section et les excitations faites sur le nerf X d’un chat ont donné les
N
résultats exprimés dans le tableau suivant.
ue
iq
c- Que peut-on déduire de l’analyse de cette expérience ? Document 5
og
3-En utilisant les données des expériences précédentes complétées par vos connaissances,
expliquez comment la variation de la pression artérielle fait la régulation de la pression
ag
artérielle.
éd
tP
itu
st
In
l
na
1 : a) Le phénomène enregistré : potentiel de repos (ou transmembranaire)
Caractéristiques:
io
- négatif (: -70mv)
- constant
at
b) Au repos la membrane de l’axone est polarisée négativement à l’intérieur par rapport à
l’extérieur.
N
ue
iq
og
2 : Analyse du tableau :
ag
On constate une répartition inégale des ions Na+K+ de part et d’autre de la membrane
: c’est une répartition contre les lois physiques.
[Na+]e> [Na+ ]i [K+]I >[K+]e
éd
disparition des différences de concentrations des ions Na+ et K+ et par suite entraîne
l’isotonie et donc annulation du potentiel de repos.
l
na
pompe Na+/ K+).
* de la plus grande perméabilité aux ions K+ qu’aux ions Na+ (liée à l’existence des
protéines canaux : canaux de fuite plus efficaces et plus denses pour les ions K+).
io
at
II)
1 ) Identification des tracés :
N
a : potentiel de repos
b : potentiel local
ue
c : potentiel d’action
2) Comparaison des enregistrements:iq
a : potentiel de repos de valeur -70 mv et qui est enregistré sans excitation : fibre à l’état
de repos,
og
b : potentiel local.
-La membrane réagit même pour des faibles stimulations : le potentiel local ne nécessite
ag
réponse de type « tout ou rien » mais sa réponse présente une amplitude graduable avec
l’intensité de la stimulation.
tP
-Entre O1 et O2, on remarque que l’amplitude des réponses aux stimulations I1 , I2 et I3,
diminue avec la distance jusqu’à être nulle en O 2.
c : potentiel d’action.
itu
lorsque la membrane est assez dépolarisée c’est à dire à partir d’un seuil : -50 mv.
In
-Dans les trois cas, l’amplitude est indépendante de l’intensité de stimulation : la réponse
est de type « tout ou rien ».
l
na
stimulation l’intensité de stimulation : - réponse de type « tout ou rien
-non propageable ».propageable.
io
Exercice 2
at
1° La stimulation du neurone A entraîné une dépolarisation de 15mv
N
Propriété : La fibre nerveuse répond à une stimulation, elle est excitable.
2°/ Analyse
ue
Exp.l La stimulation d’intensité I1 portée sur le neurone A permet l’enregistrement :
■ d’une dépolarisation en O1 n’atteignant pas le seuil de -50 mv.
iq
■ d’un potentiel de repos en 02 et un potentiel de repos en 03.
Exp.2 : La stimulation d'intensité I2> I1 portée en A permet d’enregistrer :
og
- une dépolarisation en O1 qui atteint le seuil de -50 mv et déclenche un potentiel
d'action.
ag
Déductions
- Propriété de la fibre nerveuse : Elle a un seuil de potentiel nécessaire pour le
déclenchement d'un potentiel d'action.
tP
-
sommation temporelle des 2 PPSE successifs ; ce PPSE est à l’origine du
In
potentiel d'action.
- Le tracé C3 obtenu en O3 représente un PPSE d’amplitude 13 mv environ.
Déduction : La synapse S2 est excitatrice.
l
na
La synapse S3 est inhibitrice,
5°/ Dans les conditions expérimentales (expérience 4 les messages nerveux se propage
io
dans les deux sens d’où l'obtention du tracé D3.
Exercice 3
at
1)
N
Tracé
Oscilloscope Justification
Obtenu
ue
Plusieurs excitations efficaces rapprochées en déclenchent un
O1 d
train de PA propageables qui seraient enregistrés en O1.
iq
Les PA atteignant l’interneurone inhibiteur I2 sont à
l’origine de PPSI successifs qui s’additionnent et
og
O2 b engendrent au niveau du cône axonique du motoneurone
du muscle extenseur M2 un PPSI global qui éloigne le
potentiel membranaire du seuil.
ag
l
na
Exercice 4
A- 1° La percussion du tendon du muscle antérieur de la jambe entraîne l’extension de
io
celle-ci.
at
Comme cette réaction est innée, involontaire et stéréotypée, il s’agit donc- d’un réflexe
nommé réflexe rotulien,(réflexe myotatique).
N
Ce réflexe nécessite l’intégrité des nerfs sensoriel et moteur ainsi que celle de la moelle :
c’est un réflexe médullaire.
ue
2° Comme tout réflexe, il repose sur l’organisation fonctionnelle suivante :
iq
og
ag
éd
B-
4° Les figures du document 4 montrent que les potentiels d’action enregistrés sur la fibre
st
l
na
longueur est traduite en fréquence de PA. Cette fréquence augmente avec l’étirement et
diminue avec le raccourcissement.(le message nerveux est codé en modulation de
io
fréquence )
at
6° Lorsque la longueur du muscle varie, cela provoque une modification de l’activité du
fuseau neuromusculaire. Le stimulus physique du fuseau neuromusculaire est donc la
N
variation naturelle ou artificielle de la longueur du muscle; quant au stimulus
physiologique du fuseau neuromusculaire, c’est tout ce qui déclenche naturellement la
ue
variation de la longueur du muscle.
iq
Ainsi, pour un muscle squelettique donné M1,
*sa contraction, en provoquant son propre raccourcissement, peut être un stimulus de son
og
fuseau neuromusculaire.
* la contraction du muscle antagoniste M2 provoque son étirement, lequel étirement est
ag
C-
éd
Cela veut dire que les corps cellulaires des neurones sensitifs (ou neurones en T) existent
dans le ganglion spinal de la racine dorsale.
st
aux effecteurs. Cela veut dire que les corps cellulaires des neurones se trouvent dans la
moelle épinière (il s’agit des motoneurones ou neurones multipolaires de la corne
antérieure de la substance grise).
l
na
io
at
N
9° Le document 7 présente une synapse neuro- neuronique ou zone de connexion
entre 2 neurones voisins.
ue
10° 1. Cytoplasme du neurone présynaptique 2. Vésicule synaptique
3. vésicule synaptique en exocytose (■) 4. Membrane présynaptique
iq
5. membrane postsynaptique 6- espace synaptique
og
D-
11° La stimulation électrique de la fibre N1 entraîne 2 effets différents :
ag
dépolarisation, C’est le temps que met le potentiel d’action pour franchir la synapse i-
N3.
st
contracte et que le muscle fléchisseur M2 se relâche en même temps. Dans notre exemple
du réflexe rotulien, l’activation de la fibre N1, en réponse à l’excitation provoquée, a
également un double effet :
l
na
13° Le document 8 montre que la fibre N1
-établit un contact direct avec le neurone N2; la chaîne neuronique est donc
io
monosynaptique.
at
- n’établit pas de contact direct avec le neurone N3 mais fait plutôt une synapse avec un
interneurone qui, à son tour, fait une autre synapse avec N3. La chaîne neuronique est
N
ici bisynaptique.
14°. On peut donc supposer que la fibre N1 libère un médiateur excitateur du type
ue
acétylcholine qui détermine l’apparition de PPSE dans les neurones postsynaptiques (N2
ou/et l’inter- neurone i), ce qui explique la courbe N2 du document 9.
iq
Quant à l’interneurone i, lorsqu’il est activité, il libère un neuromédiateur inhibiteur du
type GABA qui détermine l’apparition d’un PPSI dans le neurone postsynaptique (N3),
og
ce qui explique la courbe N3 du document 9.
15°.
ag
éd
tP
itu
st
In
l
na
- en b, deux secousses complètement fusionnées avec la même augmentation
d’amplitude pour la deuxième secousse.
- le délai séparant les stimulations est plus petit en b qu’en a, S2 tombant pendant la
io
phase de relâchement en a et pendant la phase de contraction en b.
at
b- L’augmentation d’amplitude peut s’expliquer soit par :
- le phénomène de recrutement de nouvelles fibres musculaires si l’intensité de S2 est
N
supérieur à celle de S1.
- le phénomène de sommation si S1 et S2 ont des intensités inferieures à l’intensité
ue
maximale.
2.a) Chaque électromyogramme se situera avant le mécanomyogramme provoqué
par chacune des stimulations.(le phénomène électrique se situe dans le temps de latence
iq
du phénomène mécanique)
og
b) Chaque électromyogrammeaura une forme classique d’un potentiel d’action (doc.
A), puisque l’une des électrodes est placée à l’extérieur du muscle et plus précisément à
sa surface, alors que la 2ème est une électrode de référence.
ag
éd
tP
itu
l
na
1-
io
at
2 - Le muscle possède 2 striations
N
-Une striation longitudinale due au fait que les myofibrilles sont disposées
parallèlement.
ue
- Une striation transversale due à l'alternance des disques clairs et des disques
sombres le long des myofibrilles.
iq
3-
og
- Arrivée du potentiel
d'action.
ag
- Libération des
ions Ca2+ à partir
des citernes
éd
- Le Ca2+-
démasque les sites
tP
de fixation de la Relâchement
myosine situés sur
l'actine ce qui permet la formation du complexe acto-myosine d’où
itu
L'hydrolyse de l'ATP portée par les têtes de myosine qui libère l'énergie permettant le
pivotement des têtes de myosine, d'où le glissement des filaments d'actine et le
st
Exercice 7
1-Titre et légendes
Titre : plaque motrice (synapse neuromusculaire)
l
na
3: mitochondrie
4: sarcomère
io
2- Particularités structurales de la plaque motrice :
- présence des replis (appareil sous neural) dans la membrane postsynaptique.
at
- présence des canaux ioniques voltages dépendants dans la membrane postsynaptique.
Particularités fonctionnelles :
N
-Nature de la synapse : toujours excitatrice
-Nature du neurotransmetteur : 1 seul neurotransmetteur excitateur = l’acétylcholine.
ue
3- a) légendes
1 : myogramme d’une secousse musculaire isolée
iq
2 : signal de stimulation
3 : électromyogramme (potentiel d’action musculaire)
og
4 : courbe thermique (de chaleur)
b) *Pendant la phase I :
ag
endoplasmique.
Formation d’un complexe ATP-myosine-Actine ; d’où l’augmentation de l’activité ATP
tP
asique de la myosine.
ATPase
ATP + H2O ADP + P + énergie.
itu
- Une partie de cette énergie est dissipée sous forme de chaleur initiale de contraction
(première variation du tracé 4).
st
- La partie la plus importante est convertie en énergie mécanique (pivotement des têtes
des molécules de myosine) qui assure le glissement des filaments d’actine : c’est la
In
l
na
dégagement de chaleur retardée (phase II du tracé 4) :
- C’est la respiration cellulaire qui se déroule selon la réaction :
io
2 acides pyruviques +02 H20 +C02 +ATP + chaleur.
3
at
Exercice 8
N
1- Cette molécule d’ATP possède une énergie potentielle au niveau de ses liaisons
phosphatées et la rupture de ces liaisons par hydrolyse fournit l’énergie utilisée par la
cellule pour réaliser les phénomènes vitaux.
ue
2- La recharge de la batterie correspond à la régénération d’ATP
• Les voies de la régénération d’ATP
iq
- Les voies rapides
og
Enzyme
Phosphocréatine+ADP ATP+créatine+chaleur initiale
Myokinase
ag
ADP+ADP ATP+AMP
- Les voies lentes : Glycogène +P Glucose-P
éd
l
na
-L’ATP est utilisée pour la réabsorption des ions Ca2+ dans les citernes
endoplasmiques de la fibre musculaire pour permettre le relâchement musculaire.
io
-L’ATP est utilisée au cours de la contraction musculaire dont une partie de l’énergie
libérée de son hydrolyse est convertie en énergie mécanique (glissement des filaments
at
d’actine).
Exercice 9 :
N
Le myocarde à l’état embryonnaire, est formé de cellules se contractant
ue
spontanément et rythmiquement. Il en est de même du 'tissu nodal qui est constitué
de fibres cardiaques ayant conservé leur structure et leur caractère embryonnaire ;
elles sont douées d'automatisme. Ainsi, le cœur des mammifères peut battre en
iq
dehors de toute innervation. Son automatisme est dû au tissu nodal. On peut penser
og
que ce sont les potentiels d’action nés dans le tissu nodal qui, en se propageant dans
l’ensemble du myocarde, déterminent la contraction de celui-ci.
1er expérience; Lorsque le nœud-sinusal est détruit, le nœud septal prend sa relève et
ag
impose au cœur un rythme plus lent. Le nœud septal étant situé au contact du
myocarde auriculaire et relié au myocarde ventriculaire par le faisceau de His (trajet
éd
court, conduction rapide) les contractions des oreillettes et des ventricules sont
pratiquement simultanées.
tP
2ème expérience : La destruction du nœud sinusal et du nœud septal supprime tout tissu
nodal au niveau des oreillettes. Celles-ci cessent donc de se contracter, tandis que les
ventricules, commandés par les faisceaux de His, se contractent à un rythme plus lent
itu
caractéristique de ce dernier.
3èmeexpérience : La section du faisceau de His près de son origine supprime toute
st
l
na
stimulateur électrique chargé de le remplacer en cas de déficience.
Ainsi le nœud septal ne peut se manifester que si le nœud sinusal est écarté.
io
Exercice 10:
at
A 1) Le document 1 montre que la fréquence cardiaque est en moyenne de 54
battements par minute lorsque le sujet est en position horizontale.
N
Lorsque le sujet est basculé à +60°, on constate une augmentation de la fréquence
cardiaque qui passe environ à 75 battements par minute. Inversement un basculement à -
ue
60° induit une baisse de la fréquence cardiaque à environ 40 battements /mn.
Conclusions : Les variations de la fréquence cardiaque semblent être liées aux variations
de pression artérielle dans le sinus carotidien provoquées par les changements de
iq
position : lorsque la pression artérielle augmente (position -60°), la fréquence cardiaque
og
diminue pour corriger cette hypertension.
- lorsque la pression artérielle diminue (position +60°), la fréquence cardiaque
augmente pour corriger cette hypotension.
ag
2) a- légendes
1 : nerf de Herring 2 : sinus carotidien 3 : artère carotide
éd
afférents transmis par le nerf de Herring augmente avec la pression intra- sinusale de
50/s lorsque la pression est égale à 50 mm de mercure, la fréquence des potentiels
d’action atteint environ 280/s pour une pression de 250 mm de mercure.
itu
Conclusions :
- Il y a donc au niveau du sinus carotidien des récepteurs qui captent les variations de
st
l
maintient constante entre deux valeurs : valeur minimale 100 mm de Hg et valeur
na
maximale 130 mm de Hg. NB : Hg = mercure
- Lorsqu’on excite électriquement le nerf de Herring, on constate une baisse rapide de
io
la pression artérielle (hypotension) jusqu’à 50 mm de Hg, mais on constate que cette
pression revient rapidement à sa valeur initiale (au bout de 10 mn) malgré que les
at
excitations se poursuivent.
N
Conclusions :
- Le nerf de Herring est donc dépresseur.
ue
Il y a présence d’un mécanisme réflexe qui corrige rapidement l’hypotension créée par
l’excitation du nerf de Herring.
iq
Expérience 3.(document 5)
La section des nerfs pneumogastriques provoque une augmentation de la pression
og
artérielle. La stimulation du bout périphérique entraîne une diminution de la pression
artérielle alors que la stimulation du bout centrale n’a aucun effet.
ag
Conclusion :
Les nerfs pneumogastriques sont donc efférents et dépresseurs.
éd
3) Bilan
Une boucle réflexe nerveuse permet d’amortir les variations brusques de la pression
artérielle induites par les brusques changements de position de la tête.
tP
* Une augmentation de la pression au niveau des sinus carotidiens (tête basculée vers le
bas : -60°) donne naissance à des messages nerveux qui parcourent les nerfs de Herring
itu
et dont les potentiels ont une fréquence d’autant plus grande que la pression est élevée.
Ces messages provoquent une baisse de la pression artérielle d’autant plus importante
que la pression est forte. Cette baisse est due à la stimulation de plus en plus forte des
st
fibres des nerfs pneumogastriques et une inhibition de plus en plus forte des fibres
In
l
na
Il en résulte une augmentation de la fréquence des battements cardiaques et une
vasoconstriction d’où l’augmentation de la pression artérielle. Ainsi l’autorégulation est
le mécanisme prépondérant qui permet de maintenir la pression artérielle constante au
io
niveau du cerveau et par suite d’adapter la circulation cérébrale à ses besoins.
at
N
ue
iq
og
ag
éd
tP
itu
st
In
- GLYCEMIE
ag
éd
tP
itu
st
In
l
na
− Glycémie : C’est le taux de glucose dans le sang
La glycémie à jeûn normale est comprise entre 0.70 et 1.10g /litre
− Glucoserie : taux de glucose dans les urines
io
la glucoserie normale est égale à 0g/litre
at
2- Rôle du foie dans la régulation de la glycémie
N
a) Glycogénogenèse
ue
En cas d’hyperglycémie le foie stocke le glucose sous forme de glycogène : c’est la
glycogénogenèse iq
b) Glycogénolyse
En cas d’hypoglycémie le foie libère du glucose : c’est la glycogénolyse
og
c) Néoglucogenèse
ag
Lorsque les sources et les réserves s’épuisent ; le foie est capable de synthétiser du
glucose à partir de composés non glucidiques et protéger ainsi l’organisme et surtout le
système nerveux central contre les effets de l’hypoglycémie.
éd
Ces composés sont : le glycérol, les acides aminés et l’acide lactique en provenance des
muscles.
tP
c’est la lipogenèse
st
glucose
l
na
− Les ilots de Langerhans qui
renferment deux types de cellules
sécrétrices d’hormones
io
pancréatiques (fonction endocrine)
• Cellules α à la périphérie
at
• Cellules β au centre
N
Les hormones pancréatiques:
- Insuline : hormone hypoglycémiante secrétée par les cellules β
ue
- Glucagon : hormone hyperglycémiante secrétée par les cellules α
iq
og
4-Régulation de la glycémie
ag
éd
tP
itu
st
In
l
- Immunologie : science qui s’intéresse à l’étude de l’immunité
na
2 -Notions fondamentales
io
at
- Antigène : tout corps étranger qui peut déclencher une réaction immunitaire
- complexe majeur d’histocompatibilité (CMH) : ce sont les glycoprotéines, situes sur
N
la membrane plasmique de toutes les cellules sauf les hématies
On distingue deux sortes de CMH : CMHI et CMHII :
ue
• CMHI : se situe sur la membrane de toutes les cellules nucléées.
• CMHII : se situe sur la membrane de quelques cellules immunitaire (leucocytes)
iq
- Les anticorps : sont des protéines appelées immunoglobulines (Ig) sécrétées par les
plasmocytes.
og
Rôles de l’anticorps :
• La neutralisation de l’antigène par la formation du complexe immun : Ag-Ac
• Active le complément
ag
• Aide à la phagocytose
éd
La moelle osseuse est le lieu de naissance de toutes les cellules immunitaires ; elle est
aussi le lieu de maturation de macrophages et LB.
Le thymus est le lieu de maturation de LT.
l
na
et LT8
Les LT8 se différencient en LTm (qui mémorisent l’antigène) et LTc qui produisent
io
les substances toxiques (perforine) effecteurs de la RIMC
at
5-Les réponses immunitaires
On distique deux types de réponses immunitaires :
N
Une réponse immunitaire non spécifique et une réponse immunitaire spécifique
ue
5-1 Réponse immunitaire non
spécifique
iq
• Elle est dirigée contre n’importe quel
og
antigène
• se répété de la même manière vis-à-
vis de tous les corps étrangers
ag
Le schéma du document1montre un
exemple de réponse immunitaire non spécifique (la phagocytose)
tP
RIMH et RIMC
RIMH : Réponse immunitaire à médiation humorale
In
l
na
Les caractéristiques de la RIMC
- Acquise
io
- Spécifique
- Transférable à l’aide de cellules
at
Dysfonctionnement du système immunitaire
N
ue
SIDA : (syndrome d’immunodéficience Acquise)
Maladie infectieuse due à un virus appelé VIH.
Le VIH est un retro virus (qui possède l’ARN seulement)
iq
Les cellules cibles du VIH sont : les LT4 essentiellement
og
Mode de transmission : le VIH se transmet par :
- voie sanguine ;
- voie sexuelle
ag
Prévention :
- Utiliser des objets tranchant à usage unique.
tP
l
na
membrane semi- perméable (perméable
aux molécules mais non aux cellules).
io
Le tableau ci-après résume les
expériences pratiquées dans ce dispositif
at
et l’existence ou non d’une réponse
immunitaire (production d’anticorps).
N
N° expériences Nature des lymphocytes sensibilisés à l'antigène Ag Production
ue
et placés simultanément d'anticorps
Dans la chambre Dans la chambre
iq
inférieure supérieure
1 - T+B +++
og
2 - B -
ag
3 T B +++
Interprétez les résultats de ces expériences.
éd
Exercice 2
tP
Une blessure peu profonde et mal soignée peut s'infecter rapidement. Du pus suinte de
la plaie : il contient des bactéries telles que des streptocoques et des staphylocoques. La
blessure non soignée évolue. L'organisme est alors envahi par les streptocoques, comme
itu
1. Expliquez les
l
na
résultats de
chacune des
expériences de ce
io
document.
2. Quelles
at
informations vous
apportent-ils sur
N
le pouvoir
pathogène du
ue
filtrat de ces bactéries et sur la nature de la substance A ?
B. Deuxième
iq
série
d'expériences
og
La même
technique
ag
expérimentale
est utilisée,
mais cette fois
éd
on fait
intervenir du
tP
filtrat de culture
d'une autre
bactérie
itu
Le
staphylocoque
Les expériences
st
sont décrites
In
dans le
document 2 ci-
contre.
l
na
5. Identifiez et légendez cette cellule.
io
6. Relevez les différentes preuves
observables sur ce document vous
at
permettant de confirmer la pleine
N
activité de cette cellule. Précisez
succinctement le rôle des structures
ue
mise en évidence.
iq
Exercice 3
og
Afin d’étudier les caractéristiques de la réponse immunitaire, on réalise plusieurs
expériences sur des souris de même souche :
ag
-première injection : même dose de l’antigène «X» que celle utilisée pour les
souris A. Les résultats obtenus ont les mêmes caractéristiques que ceux observés
st
l
na
io
at
N
ue
iq
3eme expérietnce : deux semaines après la deuxième injection d’antigène, on prélève
og
antigène « X » antigène « Y »
sérum des souris du lot A agglutination pas d’agglutination
tP
immunitaire.
2) Quelle autre conclusion pouvez-vous dégager des résultats proposés par le
In
tableau (doc.2)?
l
na
io
at
N
1) Rappelez ce qu’est un plasmocyte
ue
2) Dans quelles conditions les plasmocytes sont-ils produits ?
3) Dégagez les mécanismes de coopération entre les différentes cellules immunitaires.
iq
og
Exercice 5 :
Le VIH est un virus responsable, chez les séropositifs, d'une maladie mortelle : le sida.
ag
5- Citer les moyens de la transmission du VIH, et en déduire pour chaque cas, les moyens
permettant d’éviter la contamination par ce virus.
itu
Exercice 6
st
Vous nommez les vaisseaux impliqués et vous indiquez le sens de circulation du sang
par des flèches, en utilisant les couleurs conventionnelles.
at
glycémie en fonction du temps. Les résultats des mesures sont traduits en une courbe
document 2.
N
Analyser
cette
ue
courbe ;
en
iq
déduire
le rôle du
og
foie dans
la
ag
éd
régulation de la glycémie
3° On recherche le glucose dans différents vaisseaux sanguins de chiens normaux ayant
tP
hépatique
In
l
na
Expériences résultats
1- ablation du pancréas * hyperglycémie, glycosurie et polyurie
io
2- injection intraveineuse * glycémie normale
at
d’extraits pancréatiques à un *disparition de la glycosurie et de la polyurie
N
chien pancréatectomies
ue
Déduire de ces expériences le mode d’action du pancréas sur la glycémie.
6° Citer les deux hormones antagonistes sécrétées par le pancréas. Quel est le rôle de
chacune d’entre elles dans la régulation de la glycémie.
iq
Exercice 7
og
et de glucagon. L’évolution conjointe de ces 3 variables est représentée par les courbes
du document suivant :
éd
régulation de la glycémie.
2) Comparez l’évolution conjointe
de la glycémie, de l’insuline et du
st
repas glucidique.
En vous aidant de cette étude comparative et de vos connaissances, donnez un aperçu
général du mode d’action des deux hormones pancréatiques
l
na
*Expérience 1 : la présence simultanée de lymphocytes B et T permet la production
d’anticorps.
*Expérience 2 : la présence des lymphocytes B seuls ne permet pas la production
io
d’anticorps, même si les lymphocytes B sont les seuls à produire ces substances. Une
at
coopération cellulaire (entre les LB et les LT) est donc nécessaire.
*Expérience 3 : La séparation des lymphocytes B et T par une membrane perméable
N
aux molécules ne gêne en rien la production d’anticorps. La coopération cellulaire se
réalise non pas par contact direct entre les LB et les LT mais par un (des) médiateur(s)
ue
chimique(s).
Exercice 2 iq
A1
La destruction des hématies matérialisée par l’auréole décolorée s’explique par le fait
og
que les streptocoques ont libéré dans le milieu une toxine à l’origine de la destruction
des hématies.
ag
Boite b
La substance A extraite du sérum d’un malade atteint par les mêmes streptocoques a
éd
antitoxique.
B3
itu
Boite c
La destruction des hématies matérialisée par l’auréole décolorée s’explique également
par la libération par les staphylocoques dans le milieu de culture d’une toxine
st
hémolytique.
In
Boite d
La substance A ne peut pas neutraliser la toxine sécrétée par les staphylocoques d’où la
présence de l’auréole décolorée.
l
na
Légende de la cellule : 1 = mitochondrie ; 2 = dictyosome ; 3 = REG* ; 4 = noyau.
B.6Plusieurs éléments observables sur le schéma peuvent confirmer la pleine activité
io
de cette cellule. Il s’agit de l’abondance des mitochondries, des REG, et des ribosomes.
Citons le rôle de ces structures :
at
- les mitochondries sont le siège de la respiration cellulaire donc de la production
d’énergie ;
N
- les ribosomes sont le siège de la synthèse des protéines :
- les REG assurent la maturation des protéines synthétisées, leur stockage et leur
ue
transport
Exercice 3
iq
1° Expérience 1 : Suite à la 1iere injection de l’antigène «X », il y’a une réponse
og
immunitaire, c’est à dire la production d’anticorps anti- X ne commence qu’au bout
d’une semaine (temps de latence).
Après 4 semaines, la quantité d’anticorps atteint un maximum (plus de 100 g par ml
ag
atteint une semaine après l’injection et il est plus durable puisque 7 semaines après, on
dose encore plus de 500 g d’anticorps par ml de sérum : c’est la réponse secondaire.
tP
Ainsi, la 2ieme injection d’un même antigène « X » entraîne une réponse immunitaire
plus rapide et plus importante. Cela permet de dire que la 2ème réponse immunitaire est
due à une mémoire immunitaire
itu
Expérience 2 : elle montre que l’injection d’un antigène «Y» différent du premier
antigène «X» provoque une réponse immunitaire qui a les caractéristiques d’une
st
réponse primaire : délai d’une semaine, amplitude et durée limitées (courbe 3). Le
phénomène de mémoire ne se manifeste donc pas ici.
In
l
na
agglutination qu’avec des antigènes « Y ».
Les anticorps présents dans le sérum sont donc bien spécifiques de l’antigène injecté (et
io
non du nombre d’injections). De même, la réponse immunitaire n’est dite «secondaire »
que si la 2ieme injection introduit dans l’organisme le même antigène que la 1iere
at
injection: la mémoire immunitaire est elle-même spécifique.
Exercice 4
N
1- Les plasmocytes sont des cellules sécrétrices d’anticorps issues de la différenciation
ue
des LB.
2) Le tableau montre qu’il n’y a production de plasmocytes qu’en présence dans le
milieu de LB, LT et de macrophages issus de l’individu infecté.
iq
3) La coopération se fait par contact direct et/ou par l’intermédiaire de cytokine.
og
Exercice 5 :
l- Les particularités structurales du VIH :
ag
VIH.
3- Schéma :
itu
st
In
l
na
- Les moyens de prevention :
io
- Contrôler le sang à transfuser et éviter l'échange de seringues entre toxicomanes
- Eviter les grossesses pour les femmes séropositives.
at
Exercice 6
N
1° Vascularisation du foie
ue
et de l’intestin :
2° L’hépatectomie d’un
animal entraîne des
iq
troubles très graves, liés à
og
la chute brutale de la
glycémie ( en 10 heures, sa
valeur chute de moitié, ce
ag
qui est incompatible avec la vie.). Cette observation montre que le foie est le seul
organe générateur de glucose et que les autres organes du corps sont incapables de
éd
glucose varie avec le type de repas ingéré et qu’elle est relativement élevée
après un repas riche en glucides (++).
st
• dans le sang de la veine sus-hépatique, c’est à dire qui quitte le foie en direction de la
veine cave inférieure (puis vers le cœur), la teneur en glucose est constante quel
In
que soit le type de repas ingéré. Ces résultats indiquent que le foie intervient aussi
dans la lutte contre l'hyperglycémie postprandiale : il stocke le glucose
excédentaire qu’il reçoit par la veine porte, après l’ingestion d’un repas riche en
l
na
contient du glucose. Il poursuit la perfusion jusqu’à ce que le liquide sortant du foie
n’en contienne plus. Le foie est ainsi «lavé». Après 24 heures de repos à.
Température ambiante, il recommence la perfusion sur le même foie et constate, à
io
sa grande surprise, que l’eau qui traverse le foie est de nouveau chargée de glucose. Il
at
conclut qu’il existe dans le foie une substance génératrice de glucose, incorporée dans
les cellules hépatiques et qu’il appelle glycogène. Ainsi, l’expérience célèbre du
N
foie lavé montre que le foie renferme une substance de réserve, le glycogène,
capable de se transformer graduellement en glucose, selon les besoins de
ue
l’organisme. La libération de glucose est appelée fonction glycogénique du
foie. Le processus de libération exige des conditions particulières (température,
délai..).
iq
Notons que l’expérience du foie lavé fut une découverte extrêmement prodigieuse qui
og
a ouvert les portes à la recherche médicale sur les causes des maladies métaboliques
(diabète en particulier...).
ag
glycémie.
-La correction des troubles mentionnés se fait grâce à l’injection intraveineuse
tP
d’extraits pancréatiques. Cela montre que l’action du pancréas s’exerce par voie
sanguine, par l’intermédiaire de substance hormonale.
Conclusion : le pancréas est une glande endocrine ; il sécrète une hormone
itu
hypoglycémiante.
6° Le pancréas sécrète deux hormones antagonistes intervenant dans la régulation de
st
la glycémie l’insuline :
- L’insuline, unique hormone hypoglycémiante de l’organisme,
In
l
de l’évolution de la glycémie montre que cette dernière ne dépasse guère
na
l, 40g/l, Cette valeur réelle n’est pas en adéquation avec la valeur théorique de 6 g/l.
Cela fait penser qu'il existe chez les sujets sains un mécanisme régulateur
empêchant la glycémie de dépasser une certaine valeur limite.
io
2° Evolution simultanée des 3 paramètres, à la suite de l’ingestion d’un repas
at
glucidique, et en fonction du temps :
■ Au cours de la première heure, l’insuline connaît une hausse sensible, parallèle
N
g/l). En même temps, la teneur en glucagon chute (passant de 125 pg/ml à 95 pg/ml
environ).
ue
■ Après une heure, le taux d’insuline décroît ; il en est de même de la teneur en glucose
sanguin.
L’hyperglycémie agit directement sur les cellules des îlots de
iq
Langerhans et stimule la fabrication d’insuline par les cellules 𝛽𝛽tout en inhibant
la production de glucagon par les cellules a, d’où la chute de la concentration
og
production d’insuline diminue alors que la synthèse, de glucagon est stimulée. Les
effets sur les organes cibles et par conséquent dans la régulation de la glycémie sont
itu
circulant.
NB: L’augmentation plus lente du glucagon confirme l'action prédominante
de l’insuline dans la régulation de la glycémie.
l
na
Monsieur Y.
io
Document 1 - Spermogramme de Document 2- Spermogramme de
Monsieur X : Monsieur Y
at
VOLUME d'un éjaculat : 4,2 ml pH VOLUME d'un éjaculat : 0,8 ml pH
: 7,8 VISCOSITE : normale 7,6 VISCOSITE : normale
N
NUMERATION: Spermatozoïdes après 1 après 4
NUMERATION: Spermatozoïdes après 1 après 4
2.10 6 /ml MOBILITE heure heures
ue
53.10 6 /ml MOBILITE heure heures
% à mobilité normale 1 0
% à mobilité normale 55 45
% à mobilité diminuée 6 0
% à mobilité diminuée 5 5
iq
% de formes immobiles 93 100
% de formes immobiles 40 50
og
3/Afin de vérifier les hypothèses émises, on vous propose les études suivantes :
Des protéines sont extraites de la zone pellucide d'ovocytes des souris fertiles et sont
tP
l
na
L’observation microscopique des ovaires ne montre que les structures ci-contre :
1/ Identifiez les éléments désignés par les numéros.
io
Document 2 : dosage hormonaux durant 28 jours
at
Dans le sang de Dans le sang d'une femme normale
la patiente
N
FSH en UI/L < 0,5 Phase folliculaire : 2-17 Phase ovulatoire :
9- 26 Phase lutéale : 2 - 8
ue
Œstrogènes en 24 -26 Phase folliculaire : 30-90 Phase ovulatoire :
pg/ml 90- 400 Phase lutéale : 20- 50
iq
og
2-Analyser sommairement le tableau que peut- on déduire
3-/Mettre en relation les données fournies par les documents 1 et 2 pour proposer une
ag
Exercice 2
Différentes expériences sont réalisées chez la rate en vue de rechercher l'un des facteurs
st
A - Expérimentation in vivo
Chaque jour du cycle, à 16 heures, on injecte à des rates une même dose de
gonadolibérine d'origine hypothalamique (encore appelée Gonadotrophine Releasing
Hormone = GnRH).
Sciences Naturelles 7D SWEDD-Mauritanie 126
On mesure la concentration plasmatique de LH immédiatement avant, puis dix minutes
après l'injection de GnRH. Les résultats obtenus sont reportés sur le tableau de la figure
-1.
B -Experimentation in vitro
Figure- Concentration de LH dans le plasma
On effectue différentes incubations
l
1 Avant Après injection de in vitro d'un même nombre de
na
injection de GnRH cellules hypophysaires sécrétrices de
LH, prélevées sur des rates le matin
io
GnRH
de J-1. Les incubations se déroulent
J-2 2,1 4,2
at
en deux phases successives. Les
J-1 2,0 4,2 cellules sont d'abord incubées
N
J 21,2 110,2 pendant 36 heures dans un milieu A
contenant ou non de I’ œstradiol.
J+1 2,0 5,8
ue
Après élimination du milieu A, les
cellules sont ensuite incubées durant
5 heures dans un milieu B contenant ou non du GnRH (0,2 ng.ml-1).
iq
A la fin de l'incubation, on
og
mesure la quantité de LH
contenue dans le milieu B.
Le schéma du protocole
ag
1° Quelles informations
sur la « sensibilité » de
l'hypophyse au GnRH
itu
déterminez quelles sont les « conditions » du déclenchement du pic de LH qui sont ici
mises en évidence !?
In
3-On mesure la quantité d'ARN messager codant pour la caséine (une protéine
essentielle du lait) dans des cellules acineuses de glande mammaire de rate mises en
culture :
l
na
• les lots C et D sont incubés avec des extraits hypophysaires de femelles post-
io
parturientes antéhypophysectomisées pour le lot C et neurohypophysectomisées pour
le lot D ;
at
• les lots E et F sont incubés avec des extraits hypophysaires de femelles post-
parturientes allaitantes pour le lot E et privées de leurs petits pour le lot F.
N
Analysez ces données. Que pouvez-vous en conclure ?
ue
Exercice 3
Les quatre parties sont dépendantes :
iq
Première partie :
og
1) A partir des données fournis par ce croisement, tirez cinq conclusions qui vous
paraissent logiques et qui méritent d’être mentionnées.
st
2)
a. Proposez deux hypothèses quant à la localisation des gènes en question.
In
Phenotypes 1 2 3 4
Effectifs 900 300 300 100
l
na
1) Analysez et interprétez ces résultats.
2) Quelle hypothèse retenez-vous parmi celles proposez dans la question 2/a ? (première
io
partie).
at
a-Déduire la valeur de « p ».
b-Déduire les génotypes des parents.
N
3) Faire une interprétation génotypique du croisement afin de retrouver ces
résultats.
Troisième partie :
ue
iq
Sachant que lors de la gamétogenèse, les allèles d’un même gène se séparent lors de
l’anaphase II de la méiose.
og
1)
a- Définir la méiose. Donner deux conséquences majeures.
ag
l
Rouge Marron
na
Allèle du gène contrôlant la Longue >0 0
taille des ailes Court 0 >0
io
a- Quel renseignement fournis ces résultats ?
at
b- Quelle hypothèse retenez-vous quant au génotype des males ?
N
2)
a. Exprimer la répartition phénotypique de G1 en fonction de « p ». Envisager et
ue
expliquer chaque cas.
b. Déduire alors le génotype des femelles.
iq
c. Faire une interprétation génotypique et chromosomique du croisement étudié.
og
Dresser, en justifiant votre démarche, la carte factorielle des deux gènes en question
ag
Exercice 4
On croise deux lignées de Drosophiles, l’une à ailes longues (vg+) et corps noir (b),
éd
l’autre à ailes vestigiales (vg) et cors gris (b+).Tous les individus de la F1 ont les ailes
tP
longues et le corps gris. Quant à la F1, obtenue par croisement F1x F1, elle comprend :
1160 Drosophiles à ailes longues et corps gris, 578 Drosophiles à ailes longues et corps
itu
2-On croise entre eux 2 individus de la F2 : un mâle A à ailes longues et corps noir et
In
l
na
Exercice 5
A- Des souris à pelage long sont croisées entre elles. On obtient 75%de souris à pelage
io
long et 25% de souris à pelage court. Interprétez ce résultat
at
B- Des souris jaunes à pelage long sont croisées entre elles. La descendance obtenue est
N
composée de :
18 souris jaunes à pelage long 9 souris noires à pelage long
ue
6 souris jaunes à pelage court 3 souris noires à pelage court
Interprétez ces résultats en donnant les génotypes des parents et de la descendance.
iq
og
Exercice 6 :
Les deux systèmes de groupes sanguins les plus importants pour les transfusions
ag
Pour le. Système ABO on connait trois allèles A, B et 0 d’un même gène situé sur le
chromosome N° 9. Quant au système Rhésus on connait deux, allèles Rh+// Rh- (notés
tP
l
3) Indiquez le (ou les) génotype(s) possible (s) du père, de la mère et de leurs
na
quatre enfants (1ère génération), localisez schématiquement les allèles sur les
chromosomes des parents.
io
4) En suivant le comportement des allèles portes par les deux paires de
at
chromosomes1et 9 vous montrerez :
N
- la diversité génétique des gamètes produits par le père et la mère (schéma à
l’appui).
ue
- la formation de génotypes nouveaux au cours de la fécondation (échiquier de
croisement à l’appui).
iq
En fait, la fille 𝐵𝐵 − de la famille X) mariée à l’homme A+ a eu lors de grossesses
og
6-Que s’est-il passé pour le deuxième enfant et les suivants ? Quelle(s) propriété(s)
du système immunitaire est (ou sont) ainsi mise(s) en évidence ?
itu
du sang d’une mère Rhésus négatif ayant été sensibilisée par des hématies
In
Rhésus positif.
Expliquez l'intérêt de ce traitement en indiquant pourquoi les hématies de l'enfant
Rhésus positif ne seront pas détruites par la mère Rhésus négatif.
l
*Cône axonique :
na
*Influx nerveux = message nerveux :
io
*Myéline :
*Potentiel d'action :
at
*Potentiel de repos :
N
*Synapse :
II. Dans le cadre de l’étude des propriétés d’une fibre nerveuse, on place un axone géant
ue
de calmar dans une cuve contenant l’eau de mer (Voir document 1).
iq
og
ag
éd
tP
itu
4. Analyser 1’ enregistrera en b
5. Le tableau suivant représente le nombre de certains types de canaux ioniques ouverts
en point d'une fibre nerveuse en fonction des différentes phases de l'enregistrement b'
l
na
l’enregistrement b’.
b) En utilisant vos connaissances, déduire la nature des deux types de canaux et la
conséquence de leur ouverture sur l’état ionique du milieu intracellulaire.
io
Représentez convenablement et à l’échelle, les enregistrements b et c du trace n°l
at
obtenus avec les stimulations S2 et S3.
7. Comparez ces deux enregistrements b et b ’ et expliquer (la ou les) cause (s) des
N
différences.
8. Précisez les propriétés de la fibre nerveuse que peuvent fournir les enregistrements a,
ue
b et c et la partie CD.
9. Expliquer le principe de calcul de la vitesse de propagation du phénomène électrique
b’ enregistre dans les deux oscilloscopes.
iq
10. On a place un 3eme oscilloscope O3 éloigne de 20mm du 2ème oscilloscope O2, sur
og
l’écran l’oscillographe O3 on a observé l’enregistrement b ” et c ” du trace n°3 avec les
stimulations S2 et S3 (Voir tracé).
ag
éd
tP
itu
st
In
l
Exercice 8
na
La contraction des cellules musculaires est une activité qui consomme de I'ATP. L’ATP
io
n'étant pas stocké dans les cellules, il doit être régénéré en permanence.
at
Exploitez les informations apportées par l'étude des documents pour montrer quelles
sont les voies métaboliques utilisées et quel est l'effet de l'entraînement dans la
N
production d'ATP par la cellule musculaire.
ue
Document I : Les mitochondries des cellules musculaires
Electronographie d'une coupe transversale partielle d'une fibre musculaire (x 16000)
iq
og
ag
éd
tP
itu
Informations complémentaires
st
plus, l’activité des enzymes mitochondriales est plus importante chez un individu
entraîné que chez un individu non entraîné.
l
na
io
at
L'acide lactique est un produit de la fermentation lactique dont l'équation bilan est la
N
suivante.
ue
iq
og
l
na
qu’on isole celui-ci du reste du vaisseau (schéma. A), puis on injecte un certain volume
d’une solution isotonique de sérum physiologique. On observe un ralentissement
cardiaque.
io
- Expérience 2: On pince les deux carotides primitives comme le montre le schéma B.
at
Une accélération cardiaque se produit dans ce cas.
N
ue
iq
og
ag
2- Donner, pour chacune de ces situations, la succession des différents événements qui se
sont produits et qui ont abouti aux réponses observées.
tP
II- Les tracés 1, 2 et 3 sont obtenus par excitations prolongées du nerf cardiaque* d’une
grenouille anesthésiée.
itu
N
Chez l’Homme, il existe plusieurs
ue
maladies affectant le système immunitaire.
Quand on dose la quantité
iq
d’immunoglobulines G (anticorps de
og
type gamma) présentes dans le sang d’un
fœtus et d’un nouveau-né, on obtient le
ag
l
na
Une analyse précise montre que le taux de cellules immunitaires est déprimé.
Quelle(s) catégorie(s) de lymphocytes est-il possible de mettre en cause ?
io
at
N
ue
iq
og
ag
éd
tP
itu
st
In
l
na
Exercice 1 :
1° En comparant les spermogrammes on constate que chez Y :
io
- le nombre de spermatozoïdes est beaucoup moins important que chez X.
at
- le % de mobilité normale est très faible voir nul / à X
N
- le % de formes immobiles est plus élevé que chez X.
De ce qui précède on déduit que c’est Monsieur Y qui est stérile.
ue
2° causes possible
- causes cliniques (hormonales – problèmes d’attraction : (ZP3-récepteur).
iq
- Causes mécaniques (obstruction des voies génitales).
og
3° On déduit de ces expériences que sur la face externe de la membrane plasmique de la
tête des spermatozoïdes se trouvent des récepteurs de protéines se trouvant sur la zone
ag
pellucide des ovocytes (ZP3). C’est pourquoi, il n’y a pas eu Fécondation dans le 1er cas
car les récepteurs ZP3 sont occupés, alors que dans le 2° cas les récepteurs n’étaient pas
éd
occupés
I-
tP
2 : follicule primaire
st
3 : Follicule secondaire
4 : Zone corticale
In
5 : Zone modulaire
l
d’évolution des follicules (doc 2) d’où une faible quantité d’œstradiol (doc 1).
na
On déduit alors que ces symptômes sont dû à une insuffisance au niveau de la sécrétion
de F.S.H.
io
4-Le document 3 montre qu’avant l’injection de GnRH la quantité de FSH secrétée est
at
très faible.
N
A partir de l’injection de GnRH, FSH commence à augmenter dans le sang.
On déduit alors que la faible quantité de FSH est due à une absence de stimulation par
ue
GnRH
2 hypotheses proposées
iq
- Absence de GnRH (quantité)
og
- GnRH inactive (mute) (qualité)
Exercice 2
ag
La figure (1) montre que l’injection du GnRH est suivie toujours d’une sécrétion de LH,
mais la quantité de LH varie d’un jour à l’autre, donc la sensibilité de l’hypophyse à
éd
petits (tété).
Donc la synthèse de la caséine est un phénomène neuro-hormonal :
Exercice 3
l
na
1
* di hybridisme (gènes étudiés)
io
* Transmission autosomique
at
* Parents doubles hybrides
* L’allèle rouge domine Marion et l’allèle long domine l’allèle court
N
* L’un des parents au moins a formé 4 types de gamètes différents
ue
2° a) Les 2 gènes peuvent être indépendants ou liés
6
Si les gènes sont indépendants P = (50%) pour les gamètes
iq 16
Si les gènes sont liés P < 50%
og
3° si les gènes sont indépendants les génotypes seraient L mR pour les deux parents.
C
Si les gènes sont liés les génotypes seraient : LR pour les deux parents ou cL m pour les
ag
Cm R
LR Lm
deux parents ou pour l’un cR et pour l’autre.
Cm
éd
PARTIE 2 :
tP
a) P sera
(50%) de gamètes
16
In
b) Genotypes L R L R
c R c m
l
L R L m c R c m 16
na
L R [LR] L m [Lm] L R [LR] L m [Lm] 3
[𝐿𝐿𝐿𝐿] = 300
io
Lm L m L m c m c m 16
at
cR L R [LR] L R [LR] c R [ cR] c R [ cR] 3
[𝑐𝑐𝑐𝑐] = 300
c R c m c R c m 16
N
cR L R [LR] L m [Lm] c R [ cR] c R [ cR] 1
[cm=] 100 → résultats conformes
ue
c m c m c R c m 16
iq
PARTIE 3 :
og
à n chromosomes simples
b) L’anaphase I sépare les chromosomes homologues de chaque paire tandis que
éd
liés.
b) On déduit que les gènes ne sont pas indépendants, donc liés
In
l
2° a) répartition phénotypique
na
3− p 1− p p p
Femelle
Lm
male
LR → [ LR ] + [Cm ] + [ Lm ] + [CR ]
4 4 4 4
cR cm
io
Si la femelle : Lm LR 2+p 1− p 1− p p
male → [ LR ] + [ Lm ] + [CR ] + [Cm ]
cR cm 4 4 4 4
at
c) les femelles sont alors de génotypes Lm et le male a pour génotype LR
N
cR cm
♀ (1 − P)
( Lm)
(1 − P )
(cR)
P
( LR )
P
(cm)
ue
2 2 2 2
♂
iq
1 LR 1 − p LR 1 − p LR p [ LR ] LR p
[ LR ]
[ LR ]
Lm 4 [ ]
( LR ) LR LR 4 cm 4
og
2 cR 4
1
(cm)
Lm 1− p 1− p LR p cm p
[cm ]
cR [ LR ]
ag
2 [ Lm ] [CR ] cm 4 cm 4
cm 4 cm 4
éd
(1 − P) (1 − P) P P P (2 + P)
[𝑳𝑳𝑳𝑳] = + + + + = = 900
4 4 4 4 4 4
tP
(1 − P)
[𝑳𝑳𝑳𝑳] = = 300
4
(1 − P)
itu
[𝒄𝒄𝒄𝒄] = = 300
4
st
P
[𝒄𝒄𝒄𝒄] = = 100
4
In
100
[𝒄𝒄𝒄𝒄] = = 1/16 = 6,25% donc P/4 = 6,25% donc P = 25%
1600
Exercice 4
l
na
1- Il s’agit de la transmission de 2 gènes autosomaux chez la drosophile (taille des ailes
et couleur du corps)
- Double dominance Vg+ = long>Vg=vestigiale ; b+=gris>b= noir.
io
- La descendance est homogène ce qui indique que les parents sont purs
at
21 1
- Les proportions de F2 montrent donc les gênes sont liés.
44 4
N
+
Vg+b Vgb
Parents : +
Vg b Vgb
+
ue
Gamètes iq Vg+b Vgb+
og
+
F1 Vg b
+
Vgb
100% [Vg+b+]
ag
2- F2 = F1 x F1
Chez la drosophile le ♂ di hybride fournit 2 types de gamètes de proportions égales :
1 1
−
éd
2 2
La femelle di hybride responsable du phénomène de crossing-over fournit 4 types de
tP
Vg + b
2 +
vg b 4 vgb+ 4 vgb+ 4
vgb 4
In
+ + +
Vgb+
1 vgb 1 − p + +
vgb+ 1 − p Vgb +
vgb vgb p [ Vgb]
2 vg b 4 + + p
vg b Vg + b+ vgb 4
vg+b 4 vgb+ 4
Exercice 5
l
A : Il s’agit de l’étude d’un seul gène chez la sourie (aspect du pelage)
na
- autosomal
- avec dominance car l’apparition du pelage court dans la descendance de deux souris
io
à pelage long
- parents hybrides car descendance hétérogène.
at
(L): long domine court (c)
N
Parents L L
c c
ue
gametes
L C
iq
L L
L 3
[L]25%
og
c [L] c [L] 4
L c
C 1
[C ]25%
ag
c [L] c 4
éd
Les proportions sont de types 6-3-2-1 (sur 12) donc les gènes sont indépendants. Parents
L J L J
st
c n c n
In
l
3
na
n [Ln] [𝐿𝐿𝐿𝐿]
Ln L n [LJ] L c n [LR] c n [Ln] 16
cJ L J L J c J c J 3
c J [LJ] c n [LJ] c [𝑐𝑐𝑐𝑐]
io
J [cJ] c n [cJ]
16
cn L J L n c J c n 1
at
c n [LJ] c n [cJ] c n [𝑐𝑐𝑐𝑐]
c n [Ln] [cn] 16
N
Les résultats ne peuvent s’expliquer que si on considère que le gène couleur du corps est
ue
6 3 3 1
létal à l’état homozygote dominant d’où [L J] [L n] [c J] [c n]
12 12 12 12
iq
og
Exercice 6
ag
Dans l'analyse de cet arbre généalogique des systèmes ABO et Rhésus des groupes
sanguins, on considérera séparément les gènes des systèmes ABO et Rhésus
In
l
na
• Système Rhésus
Les parents 1 et 2 de phénotype [Rh+] ont eu des enfants de phénotype [Rh-] ; ils
io
ont nécessairement transmis l’allèle Rh-.
Chez eux l'allèle Rh- est présent mais non exprimé, il est récessif : Rh+ > Rh-
at
N
ue
iq
og
ag
notamment ceux
portant les gènes
tP
étudiés.
Ce brassage inter
chromosomique est à
itu
l’origine de la
diversité génétique
st
des gamètes,
représentée par la
In
l
na
rencontre des gamètes se fait au hasard : chacun des 4 types de spermatozoïdes peut
s'unir de façon aléatoire à l'un des 4 types d'ovocytes possibles, c’est ce que traduit
io
l'échiquier suivant :
5-
at
Les hématies du fœtus peuvent passer accidentellement dans l’organisme maternel
au moment de l’accouchement, lors de l’expulsion du placenta ou, au plus tôt, à la
N
fin de la grossesse.
ue
Une mère de
phénotype [Rh-]
développera ainsi,
iq
au contact des
og
hématies d’un
premier fœtus
ag
incompatible
[Rh+], une réponse
immunitaire à
éd
médiation
humorale : il y aura
tP
reconnaissance de
l’antigène Rhésus
par les
itu
lymphocytes B mémoire.
Remarque: cette réponse primaire est tardive et peu importante. La naissance a lieu
In
avant que la quantité d'anticorps maternels soit suffisante pour provoquer des
troubles importants, ce qui explique pourquoi ce premier enfant n’est pratiquement
jamais atteint.
l
na
immunitaire), avec une production d’anticorps anti-Rh plus abondante. Grâce à leur
capacité de traverser le placenta, ces anticorps vont se fixer sur les hématies
io
fœtales, provoquant leur lyse et, en fonction du nombre d’hématies détruites,
déterminer des désordres métaboliques divers, soit pendant la grossesse, soit
at
immédiatement après la naissance.
On comprend que les troubles occasionnés soient d’autant plus graves pour un
N
troisième enfant [Rh-] et les suivants.
7-
ue
La substance, extraite du sang d’une mère Rhésus négatif sensibilisée (immunisée)
par des hématies Rhésus positif, est l’anticorps anti-Rh.
iq
L’injection de cet anticorps, à toute femme [Rh-] non immunisée, dans les 72
heures qui suivent la naissance d’un premier enfant [Rh+] (et non pas au cours de la
og
grossesse, comme il est dit dans le sujet, ce qui déterminerait inéluctablement la
maladie chez le fœtus I), constitue une sérothérapie préventive qui permettra à cette
ag
femme d’avoir un second enfant [Rh+] sans risque d'accident hémolytique pour lui.
En effet, les IgG anti-Rh injectées vont se fixer sur les hématies fœtales, présentes
éventuellement dans l'organisme maternel à la suite de l'accouchement, ce qui
éd
l
na
l’influx nerveux se fait par la fréquence avec laquelle les potentiels d’action
parcourent la fibre.
io
*Myéline : gaine de lipides formée par des empilements de membrane plasmique
(enroulement de cellules de Schwann) enveloppant la plupart des fibres nerveuses.
at
Cette gaine assure un isolement électrique et permet une conduction plus rapide de
l'influx qui peut ainsi atteindre chez l’homme 120m/sec. Elle s’interrompt
N
régulièrement au niveau des étranglements de Ranvier. La conduction saltatoire de
l’influx permet une plus grande vitesse.
ue
*Potentiel d'action : Signal de nature électrique, il correspond à un changement de
polarisation au niveau de la membrane de l'axone. Très transitoirement, l'intérieur
iq
du neurone devient positif par rapport à l'extérieur du neurone. L'amplitude des
potentiels d'action est constante de l'ordre de 100mV. L'intensité de la stimulation
og
est codée en fréquence des potentiels d'action.
*Potentiel de repos : C’est la différence de potentiel entre les 2 faces de la membrane
ag
franchir que dans un seul sens. Pour la franchir, il doit changer de nature, le signal
électrique devient message chimique (libération du neurotransmetteur) et peut
redevenir électrique dans la cellule postsynaptique. Selon la nature du
itu
l
na
io
3- Comparaison entre le potentiel local (PL) et le (PA)
at
N
ue
La ressemblance entre un potentiel d’action et un potentiel local : La variation de la
différence de potentiel membranaire.
iq
4. Analyse de l’enregistrement b ’ = potentiel d’action,
70mv à +30mv : c’est la phase de dépolarisation (phase ascendante)
og
5. a)
- Les canaux de type 1 s’ouvrent quand la ddp atteint la valeur -50mv ; le nombre de ces
canaux augmente et atteint un maximum à ddp = +30mv. Donc le fonctionnement de
éd
s’agit de CVD à Na+.Dès que la ddp atteint le seuil (-50mv), les CVD à Na+ s’ouvrent
L’entrée massive et passive des ions Na+ : c’est La phase de dépolarisation.
In
l
na
7.
io
L’enregistrement b correspond à un potentiel local qui atteint le seuil (-50mv) et un
potentiel d’action d’amplitude l00mv, par contre l’enregistrement b ’ correspond à un
at
potentiel d’action d’amplitude l00mv. Cette différence est expliquée par la propagation
N
d’un PA à longue distance d’où leur enregistrement par les deux oscilloscopes ; mais le
potentiel local est non propageable donc il ne peut être enregistré que près des
ue
électrodes réceptrices c’est pour cela il est enregistré seulement par l’oscilloscope O1
8. La partie CD : en absence de toute stimulation la ddp de la fibre = -70mv ■=>. La
iq
fibre nerveuse est polarisée.
L’enregistrement a : lorsque la fibre est excitée par une stimulation de faible intensité,
og
elle répond par une faible dépolarisation (absence de PA) donc La fibre nerveuse obéit à
la loi de seuil.
ag
∆𝑡𝑡
Prenons, par exemple la distance qui sépare les deux microélectrodes R1R2 et le temps
qui sépare la naissance des deux potentiels d'actions b et b ’ ou c et c ’
itu
11. d= 10mm
12. Dans le cas d’une fibre myélinisée, la gaine de myéline est un isolant électrique, ce
In
qui impose la conduction saltatoire des charges d’un nœud de Ranvier à un autre (seul
lieu où sont localisés les canaux ioniques voltages dépendants).
at
Informations extraites du document Exploitation
Doc1 : Les cellules musculaires ont des Les mitochondries servent à réaliser la respiration
N
mitochondries. qui permet la synthèse d'ATP.
Chez un sujet entraîné, les mitochondries Les cellules musculaires utilisent donc la
ue
sont plus abondantes et plus actives que respiration pour régénérer leur ATP et
chez un sujet non entraîné. iq l'entraînement augmente les capacités
respiratoires des cellules musculaires
Doc2 : Les muscles consomment de l’o2 et La respiration consomme du glucose et de l’ 02 et
og
du glucose et libèrent du CO2 et de l'acide produit du CO2. Les cellules musculaires réalisent
lactique. donc la respiration.
ag
fermentation.
itu
Doc3 : Un individu entraîné produit moins Les cellules de l'individu entraîné respirent plus et
d'acide lactique et consomme plus de O2 fermentent moins.
st
l
na
2.* En A. il y a les phénomènes suivants :
- une augmentation de la pression sanguine stimule les barorécepteurs existant au niveau
io
des sinus carotidiens, ce qui augmente la fréquence des potentiels d’actionémis par ces
barorécepteurs et conduits par les nerfs de Herring jusqu’au centre bulbaire.
at
- une stimulation importante des neurones parasympathiques situés dans le noyau moteur
N
du nerf pneumogastrique.
- une action renforcée du nerf parasympathique (ou nerf vague ou nerf X) sur le tissu
ue
nodal il y a ralentissement cardiaque.
iq
- une stimulation plus importante des neurones inhibiteurs bulbaires et une inhibition
accentuée des neurones orthosympathiques provoquent une diminution de la force des
og
- la baisse de la pression fait que les barorécepteurs sont moins excités et émettent moins
de potentiels d’action (étapes 1 et 2 du schéma).
tP
N
*Les tracés (1) et (2) : des stimulations rapprochées du parasympathique avec une
intensité moyenne provoquent un ralentissement du cœur. Des excitations répétées avec
ue
une fréquence élevée (tracé 2) un arrêt du cœur en diastole, malgré la persistance du
stimulus, il y a reprise des battements, d’abord faibles et espacés puis normaux : c’est le
iq
phénomène d’échappement. Le cœur échappe à l’action modératrice du
og
parasympathique.
Le parasympathique a donc un effet cardiomodérateur. Il agit en diminuant la fréquence
ag
que si l’intensité de l’excitant est forte et répétée à une fréquence élevée la fréquence
tP
cardiaque augmente.
Après un certain temps de latence on observe une accélération du rythme cardiaque et
itu
Exercice 10
l
1. Les anticorps du fœtus et du nouveau-né : Document 1
na
• Le fœtus, incapable de synthétiser les anticorps, en possède pourtant une dose à
la naissance : ces IgG ne peuvent provenir que de la mère ; en effet ces anticorps
io
ont une taille suffisamment petite pour traverser la barrière du placenta.
Ainsi la mère immunise, involontairement, le fœtus qu'elle porte grâce à ses
at
propres anticorps ; à noter que cette immunité n’est valable que pour les antigènes
(maladies, vaccinations) qu’elle a pu rencontrés.
N
Cette immunité passive acquise par le fœtus régresse rapidement après la
naissance.
ue
Au-delà de 3 mois, le taux d’IgG remonte lentement : le nourrisson commence à
fabriquer ses propres anticorps en réponse à la rencontre de divers antigènes
iq
(infections ou vaccinations obligatoires).
2. Document 2 :
og
*Le début du graphe est identique à celui du document 1 : il y a transfert
d’anticorps à travers le placenta.
ag
*En revanche, à partir de l'âge de 3 mois, une fois les anticorps maternels disparus,
l'enfant ne peut guère se défendre contre diverses agressions microbiennes
puisqu'il ne fabrique pas ses propres anticorps : il est atteint
éd
d’agammaglobulinémie.
On peut supposer que cette grave déficience est due à une carence en lymphocytes
tP