MEMOIRES Final Tchassem

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REPUBLIQUE DU CAMEROUN REPUBLIC OF CAMEROON

Paix – Travail – Patrie Peace – Work – Fatherland


s MINISTERE DE MINISTRY OF HIGHER
L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR EDUCATION
UNIVERSITE DE NGAOUNDERE UNIVERSITY OF NGAOUNDERE

ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE DES SCIENCES


AGRO-INDUSTRIELLES
NATIONAL SCHOOL OF AGRO-INDUSTRIAL SCIENCES
Service des Stages et de la Formation Continue
B.P. :455 – Ngaoundéré, CAMEROUN.
Tel : 699 871 266 / 675 856 487 / 242 155 510 / 679 828 800
ensaistages@yahoo.fr http://www.ensai.univ-ndere.cm

MEMOIRES DE FIN D’ETUDES


En vue de l’obtention du diplôme d’Ingénieur de Conception en
Maintenance Industrielle et Productique
SUR LE THEME

CONCEPTION ET REALISATION DE DEUX CLAMPS ET


UN PORTE MEULE.

Stage effectué du 06 Juin au 14 Octobre 2022 À BETECH

Parcours : Maintenance Industrielle et Productique


Rédiger par :
TCHASSEM SIMEU Kevin Nelson (19M092EN)
Licence en Génie Mécanique et Productique

Encadreur Industriel : Encadreur Académique :


Dr FTATSI MBETMI Guy de Patience Pr KAMLA Vivient Corneille, Maître de Conférence
Promoteur de la Startup BETECH Dr FTATSI MBETMI Guy de Patience, Chargé de Cours

ANNEE ACADEMIQUE 2021-2022


Dédicace
Je dédie ce modeste travail à :

- Mon Papa M. SIMEU


Michel
- Ma Maman Mboukem
Rosine

i
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
REMERCIEMENTS

Au terme de ce travail, nous tenons à exprimer notre profonde gratitude envers tous ceux qui
ont contribué à sa réalisation. Nos remerciements vont à l’encontre de :

• Pr NSO Emmanuel et Pr FOMBANG Edith, respectivement ancien et nouveau Directeur


de l’Ecole Nationale Supérieure des Sciences Agro-Industrielles de Ngaoundéré pour tout
le travail effectué au sein de cette école ;
• Dr FTATSI MBETMI Guy-de-Patience promoteur de la StartUp BETECH et encadreur,
pour l’opportunité de stage qu’il nous a offerte, pour sa disponibilité et son sens de
l’encouragement ;
• L’ensemble des enseignants responsables de notre formation, en particulier les enseignants
du départements GEEA, GMP et Maths Infos de l’ENSAI de Ngaoundéré ;
• Pr KUITCHE Alexis, Pr NDJIYA Ngassop, Pr BOUKAR Ousman, Pr NZIE Wolfgang, Pr
KAMKANG JC., Pr KAMLA et des Dr NDIBI Mbozo’o, Dr SAMON Jean B, Dr TETANG
Abraham, Dr FOTSA MBOGNE David J. et des autres enseignants et le personnel d’appui
de l’ENSAI de Ngaoundéré pour la formation qu’il nous offrent ;
• Mes frères et sœurs : Simeu Muriel, Simeu Stephanie, Simeu Bill, Simeu Paule, Tameu
Junior, Temateu Leonnel, Meyou Hulk pour le Soutient, la bonne humeur qu’ils m’ont
apporté durant ma vie ;
• Mes amis proches qui ont toujours été là pour m’encourager, NDJIP Gaelle, Djamadjeu
Bonaventure, Ali Bachir, Poungoue Orchelle, Ngo Batadjam, Tassu, Ndinga Aristide,
Ndjayig, Monde
• Les membres de la Team C.A.R.T.E.L
• Mes camarades stagiaires à BETECH et en particulier TAMO et NEOSSI
• Camarades, collègues, ami(e)s et frères de la promotion MIP 20 et ceux des autres filières.

ii
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Avant-Propos
Née de la réforme universitaire de 1993, l’Ecole Nationale Supérieure des Sciences
Agro-industrielles (ENSAI) de l’Université de Ngaoundéré est devenue un pôle de
formation technologique dans la sous-région. Le décret N°95/061 du 03 avril 1995 portant
organisation de ladite école stipule en ses articles 2 et 3 que :

Article 2 : (1) L’ENSAI est un établissement de l’Université de Ngaoundéré

(2) Elle a pour mission :

• La formation des ingénieurs de haut niveau dans les techniques industrielles, notamment
les procédés et la maintenance industrielle ;
• La spécialisation des ingénieurs en industrie agro-alimentaires ;

• La formation doctorale en génie des procédés et en sciences alimentaires/nutrition ;

• L’appui au développement, en particulier sous forme de service de consultant ;

• La promotion de la recherche dans les techniques industrielles et les industries


agroalimentaires ;
• Le recyclage et le perfectionnement des cadres.

Article 3 : Dans la cadre de ses missions, l’ENSAI :

• Entretient des relations avec des milieux socio-professionnels. A cet effet, elle peut créer
des commissions mixtes pour promouvoir de telles relations et permettre son insertion dans
le milieu socio-professionnel ;

• Peut conclure des accords de coopération avec les institutions nationales ou étrangères,
conformément aux lois et règlements en vigueur.

Au terme des programmes de formation actuellement en vigueur, l’ENSAI de l’Université de


Ngaoundéré forme des ingénieurs dans les trois filières suivantes :

• Maintenance Industrielle et Productique (MIP) ;


iii
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
• Industries Agricoles et Alimentaires (IAA) ;

• Chimie Industrielle et Génie de l’Environnement (CIGE).

La formation est de 3 ans (36 mois), chaque année se clôturant par un stage académique :

• Stage ouvrier de 1 à 2 mois au niveau I ;

• Stage agent de maitrise de 1 à 2 mois au niveau II ;

• Le stage Ingénieur ou stage projet fin d’études dont l’objectif essentiel est de résoudre un
problème réel soumis par une entreprise (3 à 4 mois).
C’est dans cette optique que nous avons effectué notre stage de fin d’études à
BETECH du 06 Juin au 0 Octobre 2021. Le travail a porté sur le « Conception et réalisation
De Quelques Outils en Fabrication Mécanique ». Afin de faciliter le temps de travail et
augmenter la précision de coupe dans un atelier de fabrication.

iv
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
PRESENTATION DE L’ENTREPRISE
Historique de l’entreprise BETECH
BETECH (Building and Engineering TECHnologies) est une startup en gestation depuis 2019
dans son siège installé au quartier MANWI dans la ville de NGAOUNDERE.

BETECH est spécialisée dans la conception, la réalisation et la vente des machines destinées à la
production pour des petites et moyennes entreprises.

Les objectifs de l’entreprise BETECH


La mission principale de BETECH est la contribution au développement du tissu industriel
camerounais et africain à travers la maîtrise des technologies des outils de production. La mise en
œuvre de cette mission passe par des études, développements et réalisations locales d’équipements,
ainsi que par la formation dans les domaines connexes.

Fiche d’identification de l’entreprise


Le tableau ci-dessous présente la fiche d’identification de l’entreprise BETECH.
Tableau 1 : Fiche d'identification de l'entreprise BETECH

Identifiant BETECH
Logo

Situation géographique Manwi


Ville Ngaoundéré
Secteur d’activité Montage des pompes à cordes, formation en CNC,
conception 3D, usinage des pièces mécanique,
moulage des pièces
Siège social Manwi - Ngaoundéré 3ème
Téléphone (+237) 675520567
Courriel b_e_tech_cm@gmail.com

v
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Situation géographique de l’entreprise BETECH
L’entreprise BETECH est située dans l’arrondissement de Ngaoundéré 3ème, quartier Manwi à
150m en face de la station CONFEX OIL, tel que présenté sur la figure ci-après.

STATION
CONFEX OIL

BETECH

Figure 1 : Situation géographique de l’entreprise BETECH

vi
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
RESUME

La gestion de temps de maintien des pièces lors de l’assemblage et le problème de


précision lors du processus de réalisation en production mécanique est une priorité majeure. Dans
le but d’améliorer les phases de coupe et d’assemblage en atelier de fabrication mécanique le
promoteur de la startup BETECH nous a demandé de Concevoir et réaliser deux clamps et un
porte meule. Pour ce faire, une analyse du besoin de BETECH a été réalisée à travers les
diagrammes bête à cornes et pieuvre débouchant sur les fonctions de service à assurer. Ensuite, des
solutions à ces fonctions ont été déterminées par les méthodes TRIZ et AZIOMATIQUE. Après
les dimensionnements (statique, dynamique et en fatigue), les dessins sur Solidworks ont été
réalisés. Plus loin, après des analyses de fabrication, les tâches de réalisation ont été planifiées et
les coûts évalués. Enfin, deux clamps et un porte meule ont été fabriqués à l’aide de divers
équipements (meule, fraiseuse, poste à souder), pour des dépenses en consommables d’une
cinquantaine de mille.

1
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
ABSTRACT

The management of parts holding time during assembly and the problem of precision
during the production process in mechanical production is a major priority. In order to improve the
cutting and assembly phases in the mechanical manufacturing workshop, the promoter of the start-
up BETECH asked us to design and manufacture two clamps and a grinding wheel holder. To do
this, an analysis of BETECH's needs was carried out through the horned beast and octopus
diagrams leading to the service functions to be provided. Then, solutions to these functions were
determined by the TRIZ and AZIOMATIC methods. After the sizing (static, dynamic and fatigue),
the drawings on Solidworks were made. Further on, after manufacturing analyses, the production
tasks were planned and the costs assessed. Finally, two clamps and a grinding wheel holder were
manufactured using various equipment (grinding wheel, milling machine, welding machine), for
expenditure on consumables of around fifty thousand.

2
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Table des Matières
Dédicace ......................................................................................................................................................... i
REMERCIEMENTS ...........................................................................................................................................ii
PRESENTATION DE L’ENTREPRISE...................................................................................................................v
Historique de l’entreprise BETECH ............................................................................................................v
Les objectifs de l’entreprise BETECH .........................................................................................................v
Fiche d’identification de l’entreprise ........................................................................................................v
Situation géographique de l’entreprise BETECH ..................................................................................... vi
RESUME ......................................................................................................................................................... 1
ABSTRACT ...................................................................................................................................................... 2
Listes des Figures ........................................................................................................................................... 6
Liste des tableaux .......................................................................................................................................... 8
Liste des Abréviations.................................................................................................................................... 9
INTRODUCTION ........................................................................................................................................... 10
CHAPIPTRE 1 : GENERALITES SUR LA FABRICATION MECANIQUE [1] ......................................................... 11
I. La Fabrication Mécanique ............................................................................................................... 11
i. Obtention par enlèvement de matière ....................................................................................... 11
i. Forgeage .................................................................................................................................. 12
ii. Obtention par fusion ............................................................................................................... 13
iii. Obtention par assemblage ...................................................................................................... 14
II. Les outils spécifiques ....................................................................................................................... 14
II.1. GENERALITES SUR LES CLAMPS ....................................................................................................... 18
Introduction............................................................................................................................................. 18
Définition ............................................................................................................................................. 18
II.1.1 Différents types de Clamps/ Pince ................................................................................................. 18
1. Clamp – C ..................................................................................................................................... 18
2. Clamp à Chaine de Verrouillage .................................................................................................. 19
II.2 GENERALITES SUR LES MEULES ............................................................................................................. 20
Introduction............................................................................................................................................. 20
Définition ............................................................................................................................................. 20
II.2.1 Différents Types de Meuleuse........................................................................................................ 20
1. Meuleuse Électrique.................................................................................................................... 20

3
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
3.1. Meuleuses sur Bati .............................................................................................................. 20
3.2. Meuleuse Portative .............................................................................................................. 21
3.3. Meuleuse Pneumatique ....................................................................................................... 21
II.3. GENERALITES SUR SCIE OU LES MACHINES A COUPES......................................................................... 22
Introduction............................................................................................................................................. 22
Définition ............................................................................................................................................. 22
II.3.1 Les différents types de scies / machine à découper ...................................................................... 23
1. Scies Stationnaires....................................................................................................................... 23
2. Scie Portatives ............................................................................................................................. 24
3. Scie Plongeante ........................................................................................................................... 24
II.4 GENERALITES SUR LES ETABLI ............................................................................................................... 25
Introduction............................................................................................................................................. 25
Définition ............................................................................................................................................. 25
II.4.1 Généralités sur les différents modèles établi................................................................................. 26
1. Etabli Fixe en Bois Massif ............................................................................................................ 26
2. L’Etabli Fixe En Métal .................................................................................................................. 26
3. Etabli Roulant .............................................................................................................................. 27
4. Etabli Pliant.................................................................................................................................. 28
5. Etabli Multifonction ..................................................................................................................... 28
II.5. Généralité sur la conception ............................................................................................................ 29
Définition et présentation ................................................................................................................... 29
CHAPITRE 2 : MATERIEL ET METHODES ...................................................................................................... 31
I. Méthodologie de travail .............................................................................................................. 31
I.1 Ressource Matérielle .......................................................................................................................... 33
Cahier des charges............................................................................................................................... 33
II. Méthodes ............................................................................................................................................ 34
II.2 Outils de conception.......................................................................................................................... 35
1. Outils logiciel ............................................................................................................................... 35
1.1. SolidWorks ........................................................................................................................... 35
1.2. CES EduPack ......................................................................................................................... 36
1.3. RDM7 ................................................................................................................................... 37
II.3 Méthode de conception ................................................................................................................ 38
II.3.1 L’analyse fonctionnelle du besoin .............................................................................................. 38

4
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
II.3.2 Le diagramme bête à cornes ...................................................................................................... 38
II.3.3 Le diagramme pieuvre (Graphe des interactions) ...................................................................... 39
II.3.4 Le Cahier des Charges Fonctionnelles ........................................................................................ 40
II.3.5 Le cycle de vie d’un produit........................................................................................................ 41
II.3.6 Approche axiomatique ............................................................................................................... 42
II.3.7 TRIZ (Theory of Inventive Problem Solving ................................................................................ 43
L’idéalité .............................................................................................................................................. 43
Les contradictions ................................................................................................................................ 44
II.4 Analyse et Optimisation en Conception ............................................................................................ 45
II.4.1 Types d’analyses dans la conception [5] .................................................................................... 45
1. Optimisation en Conception Technique .................................................................................. 45
2. Contraintes, Déformation, et Déplacement............................................................................. 45
3. Analyse vibratoire .................................................................................................................... 50
4. Analyse de fatigue.................................................................................................................... 51
5. Dimensionnement et Choix D’un Ressort ................................................................................ 55
6. Gamme de Fabrication............................................................................................................. 57
CHAPITRE 3 : RESULTATS ET DISCUSSION ................................................................................................... 58
I. Résultats sur L’Analyse fonctionnelle du besoin ............................................................................. 58
1. Diagramme bête à cornes ........................................................................................................... 58
2. Diagramme pieuvre ..................................................................................................................... 59
3. Le cycle de vie d’un produit..................................................................................................... 62
4. Approche axiomatique ............................................................................................................ 62
5. TRIZ .......................................................................................................................................... 64
II. Résultats Analyse et Optimisation en Conception .......................................................................... 65
II.1 Types d’analyses dans la conception............................................................................................. 65
1. Optimisation en Conception Technique .................................................................................. 65
2. Contraintes, Déformation, et Déplacement ............................................................................ 77
7. Analyse de fatigue ................................................................................................................... 81
III.1 ESTIMATION DU COUT DE RÉALISATION DE L’ETABLI DE TRAVAIL ................................................ 100
CONCLUSION ET PERSPECTIVES ................................................................................................................ 101
BIBLIOGRAPHIE ......................................................................................................................................... vii
ANNEXE ................................................................................................................................................... viii

5
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Listes des Figures
Figure 1 : Situation géographique de l’entreprise BETECH ........................................................................... vi
Figure 2 : Outils d’obtention par enlèvement de matière .......................................................................... 12
Figure 3 : Obtention par Moulage ............................................................................................................... 13
Figure 4 : Pièce Fritter ................................................................................................................................. 13
Figure 5 : Outils de Mesures ........................................................................................................................ 14
Figure 6 : Les Outils de Frappe .................................................................................................................... 15
Figure 7 : Outils de Découpe ....................................................................................................................... 16
Figure 8 : Les Outils Spécifique .................................................................................................................... 17
Figure 9 : Clamp en C ................................................................................................................................... 19
Figure 10 : Clamp à Verrouillage ................................................................................................................. 19
Figure 11 : Meuleuse sur Bati ...................................................................................................................... 21
Figure 12 : Meuleuse Portative ................................................................................................................... 21
Figure 13 : Meuleuse Pneumatique ............................................................................................................ 22
Figure 14 : Scie Stationnaires ...................................................................................................................... 23
Figure 15 : Scie Portative ............................................................................................................................. 24
Figure 16 : Scie Plongeante ......................................................................................................................... 25
Figure 17 : Etabli à Bois Massif .................................................................................................................... 26
Figure 18 : Etabli en Métal .......................................................................................................................... 27
Figure 19 : Etabli Roulant ............................................................................................................................ 27
Figure 20 : Etabli Pliant ................................................................................................................................ 28
Figure 21 : Etabli Multifonction ................................................................................................................... 28
Figure 22 : Chronogramme des activités .................................................................................................... 32
Figure 23 : Spécifications de la machine ..................................................................................................... 33
Figure 24 : Interface Solidworks .................................................................................................................. 36
Figure 25 : Interface CES EduPack ............................................................................................................... 36
Figure 26 : Interface RDM 7......................................................................................................................... 37
Figure 27 : Interface MATLAB ...................................................................................................................... 38
Figure 28 : Principe de la bête à cornes ...................................................................................................... 39
Figure 29 : Principe du diagramme pieuvre ................................................................................................ 39
Figure 30 : Cycle de vie d’un Produit [2] ..................................................................................................... 41

6
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Figure 31 : Approche Axiomatique, Concept des Domaines dans un Système de Conception [3] ............. 43
Figure 32 : Processus de conceptualisation mis en œuvre avec TRIZ [4] .................................................... 44
Figure 33 : résultat du diagramme bête à cornes ....................................................................................... 58
Figure 34 : résultat du diagramme bête à cornes ....................................................................................... 59
Figure 35 : résultat du diagramme bête à cornes ....................................................................................... 59
Figure 36 : résultat du diagramme pieuvre ................................................................................................. 60
Figure 37 : résultat du diagramme pieuvre Clamps .................................................................................... 60
Figure 38 : résultat du diagramme pieuvre Clamps .................................................................................... 61
Figure 39 : Cycle de Vie d’un Produit .......................................................................................................... 62
Figure 40 : Approche Axiomatique, Concept des Domaines dans un Système de Conception .................. 63
Figure 41 : Processus de conceptualisation mis en œuvre avec TRIZ ......................................................... 64
Figure 42 : Vue de Droite............................................................................................................................. 65
Figure 43 : Chaine Ouverte .......................................................................................................................... 66
Figure 44 : Vue de Dessus............................................................................................................................ 68
Figure 45 : Chaine Ouverte .......................................................................................................................... 68
Figure 46 : Vue de Droite............................................................................................................................. 71
Figure 47 : Chaine Fermer ........................................................................................................................... 71
Figure 48 : Résultat SolidWorks Déplacement ............................................................................................ 79
Figure 49 : Résultat SolidWorks Contrainte ................................................................................................ 81
Figure 50 : Effort Tranchant Clamp1 ........................................................................................................... 83
Figure 51 : Moment Fléchissant Clamp1 ..................................................................................................... 83
Figure 52 : Effort Tranchant Clamp2 ........................................................................................................... 85
Figure 53 : Moment Fléchissant Clamp2 ..................................................................................................... 85

7
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Liste des tableaux

Tableau 1 : Fiche d'identification de l'entreprise BETECH .............................................................................v


Tableau 2 : Matériel nécessaire à la réalisation .......................................................................................... 33
Tableau 3 : Outils de fabrication ................................................................................................................. 34
Tableau 4 : Méthode d'élaboration du Cahier de charge fonctionnelle ..................................................... 40
Tableau 5 : Gamme de Fabrication ............................................................................................................. 57
Tableau 6 : Fonction Principal et Complémentaire ..................................................................................... 61
Tableau 7 : Fonction Principal et Complémentaire ..................................................................................... 61
Tableau 8 : Gamme de Fabrication ............................................................................................................. 88
Tableau 9 : Coûts de réalisation .................................................................................................................. 99
Tableau 10 : Devis Estimatif de l’établi de travail ..................................................................................... 100
Tableau 11 : Gamme de fabrication ............................................................................................................ viii

8
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Liste des Abréviations
• ν : Coefficient de Poisson
• E : Module de Young
• F : Force
• m : Masse
• l : Longueur
• L : Largeur
• e : Epaisseur
• Δ : Delta
• ω:
• T : Effort Tranchant
• Mf : Moment Fléchissant
• RA et RB et Rc : Reaction en A,B,C
• 𝑇𝑧𝑢𝑙 : Tension admissible
• 𝐹𝑜 : Force Initial
• 𝑅 : Raideur
• 𝜎 : Contrainte de Torsion
• 𝜏𝑀𝑎𝑥 : Contrainte d’élasticité Max
• 𝜏𝑀𝑎𝑥 : Contrainte de Cisaillement
• S : Suspension
• n : Nombre de spire
• d : Diamètre
• D : Diamètre

9
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
INTRODUCTION

La fabrication mécanique est un secteur d’activité qui vient ressourdre les problèmes de
disponibilité de certaines pièces de rechange, le temps de livraisons, qui sont des éléments majeurs
à la baisse du rendement de la plupart des entreprises de production. C’est entre autres pour
apporter une contribution dans ce secteur que la Startup BETECH fût créée. Ainsi, dans l’optique
d’augmenter l’usage, la précision et l’optimisation du temps de fabrication, BETECH nous a
demandé d’effectuer, dans un premier temps la réalisation de deux clamps, et d’un porte meule et
dans un second temps modéliser un espace de travail ou seront disposer tous les outils utiliser en
atelier dans le but d’augmenter la précision, la rapidité et la rentabilité, afin d’avoir un espace de
travail propre et moins en encombré pour diminuer la fatigue, le désordre et la saleté habituel. D’où
le thème « Conception et réalisation de Deux Clamps et Un Porte Meule ». Ils permettront
d’optimiser les travaux faites en atelier.
Pour mener à bien cet objectif, nous allons procédés de la manière suivante :
- Tous d’abord nous présentons en quelques pages, les différentes formes des Clamps, les formes
des machines à couper, et des machines à percer.
- Le chapitre deux quant à lui fait une présentation du matériel et des méthodes utiliser pour ce
travail. Nous présenterons les méthodes d’analyse fonctionnelle, la méthode de
dimensionnement choisit et de modélisation ainsi que les outils nécessaires à la réalisation ;
- Le dernier chapitre, sera dédié aux résultats obtenus, notamment l’expression du besoin et des
fonction techniques au travers d’un cahier de charges, du dimensionnement des différents
éléments et des modèle 2D et 3D du système en question. Enfin les résultats de l’analyse de
fabrication et l’étude financière.

10
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
CHAPIPTRE 1 : GENERALITES SUR LA
FABRICATION MECANIQUE [1]
La fabrication mécanique est un secteur qui regroupe des travailleurs polyvalents qui s'affairent à
la conception, à la fabrication, au réglage, à la réparation ou à l'assemblage d'une multitude de
pièces, d'outils, d'accessoires et de produits métalliques.

Nous listons ici une large sélection d'outils qui seront utiles à tous les mécaniciens ! Nous
les avons regroupés par famille d’outillage afin de vous donner une explication claire de chaque
usage.

I. La Fabrication Mécanique
Ensemble de techniques visant l'obtention d'une pièce ou d'un objet par transformation de matière
brute. Obtenir la pièce désirée nécessite parfois l'utilisation successive de différents procédés de
fabrication. Ces procédés de fabrication font partie de la Construction mécanique. Les techniques
d'assemblage ne font pas partie des procédés de fabrication, elles interviennent une fois que les
différentes pièces ont été fabriquées.

i. Obtention par enlèvement de matière : elle consiste à obtenir la forme finale par
arrachements de petits morceaux de matière (copeaux). De manière générale on appelle usinage
ces procédés. On y distingue : -Le Tournage, Le Fraisage, La Rectification, L'électroérosion, Les
découpages (L'oxycoupage, Le Découpage laser, Le Découpage jet d'eau, Le Découpage plasma)
Exemples :

Perçage : permet de percer une pièce à l’aide d’une perceuse

Tournage : permet d’obtenir des pièces de révolution (cylindriques) à l’aide d’un tour

Fraisage : permet d’obtenir des pièces prismatiques (formes carrées) à l’aide d’une fraiseuse

11
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Figure 2 : Outils d’obtention par enlèvement de matière

b) Obtention par déformation : elle consiste à déformer plastiquement le matériau


jusqu'à obtention de la forme désirée.

- Estampage, Matriçage, Tréfilage, Forgeage, Laminage, Filage, Hydroformage, Cintrage,


Emboutissage, Pliage, Thermo-pliage, Thermoformage, Extrusion.

Exemples :

Emboutissage : est un terme qui définit une technique de fabrication permettant d’obtenir, à partir
d’une feuille de tôle plane et mince, un objet dont la forme n’est pas développable.

i. Forgeage : Le forgeage est l'ensemble des techniques permettant d'obtenir une pièce
mécanique en appliquant une force importante sur une barre de métal, à froid ou à chaud, afin de
la contraindre à épouser la forme voulue.

12
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Figure 3 : Obtention par Moulage

ii. Obtention par fusion

- Frittage

- Moulage

Exemples :

- Le frittage est un procédé de fabrication de pièces consistant à chauffer une poudre sans la mener
jusqu’à la fusion. Sous l'effet de la chaleur, les grains se soudent entre eux, ce qui forme la cohésion
de la pièce. Le cas le plus connu est celui de la cuisson des poteries.

- Le moulage permet de réaliser des pièces pleines ou creuses, pouvant présenter des formes très
compliquées, en remplissant de métal liquide ou de polymère pâteux une empreinte appelée moule.
On réalise ainsi une sensible économie de matière et on réduit considérablement voire totalement
les usinages d’où une économie substantielle (moyenne et grande série)

Figure 4 : Pièce Fritter

13
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
iii. Obtention par assemblage
• Soudage
• Collage
• Boulonnage
• Rivetage
• Agrafage

II. Les outils spécifiques


En plus des outils de base présentés ci-dessus, le mécanicien se doit de posséder les outils suivants
afin de pouvoir intervenir dans des cas particuliers.

a) Les outils de mesure

Equerre de Jauges
Réglet
mécanicien d'épaisseur

Figure 5 : Outils de Mesures

Pour pouvoir réaliser des travaux de précision, le mécanicien doit avoir dans sa caisse à outils les
instruments de mesure suivants :

L’équerre de mécanicien (ou « équerre à chapeau ») qui sert à la vérification de la planéité d’une
surface et au traçage des angles droits

La jauge d’épaisseur qui permet de mesurer l’espacement entre deux pièces mécaniques

14
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Le réglet qui réalise des mesures très précises avant travail de la pièce et des opérations de contrôle
après travail de la pièce

b) Les outils de frappe

Chasse-
Bédane Burin Maillet Marteau
goupilles

Figure 6 : Les Outils de Frappe

Pour travailler correctement, il faut parfois user de force (mais pas trop !) pour obtenir la pièce
mécanique que l’on souhaite. Il faut donc avoir sous la main :

Un bédane qui sert à modeler les aciers et les tôles avec l’aide d’un maillet

Un burin qui est généralement utilisé pour cisailler, couper ou marquer l’acier et les tôles

Un chasse-goupille qui permet d’extraire une goupille fendue d’un trou débouchant en association
avec un marteau ou maillet

Un maillet qui permet de frapper un bédane ou un burin sans provoquer d’onde de choc
perturbatrice

Un marteau de mécanicien qui sert aux petits travaux de retapage

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Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
c) Les outils de découpe

Cisaille
Cutter Emporte-pièces Scie à métaux
à levier

Figure 7 : Outils de Découpe

Afin de réaliser des coupes parfaites quel que soit la matière, tout bon mécanicien doit s’équiper
des outils suivants :

Une cisaille à levier qui découpe des plaques de tôle, des tiges rondes ou carrées, des fers à béton
ou des profils en L/en T

Un cutter pour des découpes de matériaux fins et peu résistants

Un emporte-pièce (ou « découpe-joint ») qui sert à découper des matières souples ou peu rigides
comme de l’aluminium, l’acier doux, une tôle d’acier mince ou bien servir à la fabrication de joints
d’étanchéité

Une scie à métaux pour découper tous types de métaux en tube, plaque ou barre mais aussi d’autres
matériaux durs comme le plastique PVC

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Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
d) Autres outils spécifiques

Extracteur de
Doigt
Etaux vis Pointe à tracer Pointeau
magnétique
et de goujons

Figure 8 : Les Outils Spécifique

Enfin, il est nécessaire d’avoir le matériel spécifique suivant pour avoir une boite à outils de
mécanicien complète :

Un doigt magnétique pour ramasser les petites pièces métalliques comme une vis ou un boulon

Un étau pour maintenir en place des pièces métalliques à retravailler

Un extracteur de vis (ou « extracteur de goujon ») pour extraire les vis et les goujons cassés

Une lampe torche pour éclairer les recoins sombres

Un miroir pour avoir une vue sur les endroits inaccessibles

Une pointe à tracer pour le traçage sur les métaux durs

Un pointeau pour effectuer un marquage précis, un alésage ou un perçage d’une pièce mécanique

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Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
II.1. GENERALITES SUR LES CLAMPS
Introduction
Dans le domaine de la fabrication mécanique, il existe plus de trente (30) différents types de clamps
et nous allons ici présenter quelques-uns.

Définition
Un clamp est désigné comme un dispositif qui est particulièrement utilisé pour maintenir ou fixer
fermement tout objet afin d'empêcher le mouvement ou la séparation par l'application d'une
pression vers l'intérieur. Le terme clamp est couramment utilisé chaque fois que l'outil est destiné
à un usage temporaire afin de positionner les composants pendant les projets de construction ou de
menuiserie.

II.1.1 Différents types de Clamps/ Pince


Il existe différents types de pinces dont il faut connaître l'application. Alors plongeons pour en
savoir plus.

1. Clamp – C
Ces types de clamps sont très populaires et constituent les clamps standards pour divers travaux. La
meilleure partie est que sa simplicité et sa disponibilité sont inégalées, ce qui signifie que la plupart
de la collection de pinces commence avec quelques tailles de pinces en C. En ce qui concerne la
popularité du C-Clamp, il existe différentes conceptions disponibles pour différents types
d'exigences de travail.

• Les clamps en C standard sont l'une des pinces les plus connues.
• Clamp en C à double enclume pour une répartition uniforme de la charge
• Clamp en C à dégagement rapide pour une action rapide
• Les clamps en C recouvertes de cuivre sont utilisés pour empêcher l'accumulation de
projections de soudure.
• Clamp en C à portée profonde utilisées pour une longue portée

Ces clamps en C sont idéalement utilisés pour certains travaux mentionnés ci-dessous :

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Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Travail du bois, Travail des métaux, Faible coût…

Figure 9 : Clamp en C

2. Clamp à Chaine de Verrouillage


Les colliers de serrage à chaîne de verrouillage sont les dispositifs mécaniques utilisés pour
appliquer une charge de serrage dans des espaces restreints ou autour d'un tuyau ou à proximité de
toute autre surface. La chaîne est utilisée pour serrer une variété de formes en s'enroulant autour de
l'objet afin d'appliquer une pression chaque fois que la chaîne est serrée.

Ces pinces à chaîne de verrouillage sont idéalement utilisées pour certains travaux
mentionnés ci-dessous :

Travail des métaux, Accélérer le travail, une main, Formes variées…

Figure 10 : Clamp à Verrouillage

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Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Les brides de bordure sont désignées comme celles qui peuvent contrôler sa position dans deux
axes à l'aide des trois vis séparées. Cela rend la pince idéale pour maintenir des pièces de soudure
bout à bout ou pour coller un assemblage.

II.2 GENERALITES SUR LES MEULES


Introduction
Avant que l’industrialisation ne simplifie la production d’outils, la meule était un bloc de grès taillé
dans la masse et était destinée à être utilisée avec de l’eau par des rémouleurs. De nos jours, la
meule est fabriquée de façon industrielle par moulage sous pression d’un agglomérat de millions
de grains abrasifs et de colle (liant) placés sur un support.

Définition
Une Meuleuse est une machine entrainante en rotation un outil meule pour usiner par tronçonnage,
ébavurage, meulage, surfaçage une pièce dans divers matériaux. (Métal, pierre, béton…)

II.2.1 Différents Types de Meuleuse


1. Meuleuse Électrique
Nous distinguons deux types de meuleuses électriques.

3.1. Meuleuses sur Bati


Mue par un moteur électrique, elle apparaît dans les ateliers montés sur un bâti de fonte avec axe
monté sur les paliers supportant une ou deux meules selon les usages. Un support réglable permet
de maintenir la pièce à meuler et un écran translucide protège l’opérateur des poussières abrasives.
Une deuxième génération plus petite est montée directement sur une table ou un établi.

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Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Figure 11 : Meuleuse sur Bati

3.2. Meuleuse Portative


Destinée en premier lieu aux chantiers, elle devient peu à peu tout public, plus légère et adopte des
meules plus fines et plus résistances aux chocs (disque abrasif).

Figure 12 : Meuleuse Portative

NB : On note que pour ce type de meule, il en existe une très grande variété, et est capable
d’effectuer des taches nécessitant des inclinaisons a certains angles et la particularité de certains
d’entre elles sont rechargeable.

3.3. Meuleuse Pneumatique


Elles sont généralement plus à l’usage des ateliers et des chantiers, de par la simplicité du moteur
pneumatique, la meuleuse devient plus petite, plus légère et maniable. Pouvant tourner à très grande
vitesse, la broche est munie d’une pince qui accepte de petites meules de différentes qualités
d’émeris serties sur un axe.

21
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Figure 13 : Meuleuse Pneumatique

Cas d’utilisations des différents types de meule existant

• Ébarbage dans le domaine du parachèvement,


• Aiguisage et affûtage d’outil,
• Découpage par tronçonnage de matières diverses (métaux, béton, etc.)
• Finition de pièces usinées sur une rectifieuse,
• Lapidaire dans le domaine de la bijouterie,

II.3. GENERALITES SUR SCIE OU LES


MACHINES A COUPES
Introduction
À l'origine, les premières scies, scies circulaires, ne coupaient que le bois. Maintenant, elles
peuvent aussi découper d'autres matières en changeant de type de lame, et en ajoutant un système
motorisé.

Définition
Une machine à découper est un système muni d'une petite scie mobile. On l'utilise pour découper
le bois, le métal, les imprimés...

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Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Une scie est une lame de fer dentée conçue pour couper des matériaux tels que le bois, la pierre,
les métaux… Elle est actionnée par divers moyens tels que la main, l’électricité ou même encore
de l’eau.

II.3.1 Les différents types de scies / machine à découper


1. Scies Stationnaires
Dans une scie circulaire stationnaire (ou scie à format), la lame est encastrée dans une table et passe
à travers une fente prévue à cet effet. Un mécanisme est prévu pour régler la hauteur de la lame qui
dépasse au-dessus du plan de travail, ainsi que son inclinaison pour permettre des coupes de biais
(entre 0° et 45°). La scie circulaire stationnaire permet de faire des coupes régulières et très
précises. Il existe plusieurs types de lames se différenciant par leur diamètre ou leur nombre de
dents, adaptées à des opérations de coupes spécifiques sur le bois. La lame à débiter ou à tronçonner
sert à couper en travers des fibres et possède généralement une quarantaine de dents pour garantir
une coupe de qualité, pratiquement sans éclats de bois. Le bois offrant moins de résistance à la
coupe longitudinale, la lame à refendre est utilisée pour couper dans le sens des fibres et possède
16 ou 18 dents, suffisantes pour une bonne finition.

Figure 14 : Scie Stationnaires

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Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
2. Scie Portatives
Il s'agit d'un outil portatif très maniable : contrairement aux scies fixes, la scie portative est amenée
vers l'objet à découper (et non l'inverse). Elle possède une surface d'appui à travers laquelle passe
la lame, et un guide permettant de faire des découpes relativement précises. La lame est en général
directement fixée sur l'axe du moteur. Il est bien de noter qu’il existe différents types de scies
portatives à savoir ; scie sauteuse, Scie Circulaire, Scie alternatives, scie à main…

Figure 15 : Scie Portative

3. Scie Plongeante
Les scies plongeantes sont des scies portatives particulières ou le moteur et la lame sont montés
sur système permettant de cacher la lame dans un carter en dehors du temps d'utilisation de la
machine. Un ressort agit de manière à faire remonter la lame et il est nécessaire d’appuyer sur la
poignée pour effectuer une découpe. En plus d'une sécurité accrue, ce dispositif, accompagné d'un
rail de guidage, permet des découpes de meilleure précision et de faire des coupes en plein panneau.
De plus, la profondeur de coupe peut être finement réglée à l'aide d'une butée réglable.

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Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Figure 16 : Scie Plongeante

II.4 GENERALITES SUR LES ETABLI


Introduction
Pour tout technicien ou encore ingénieur, l’établi est sans nul doute, le cœur de son atelier. Et pour
cause, il lui permet de ranger à portée de main ses outils essentiels et de disposer d’un espace de
travail. S’il est possible de se contenter d’une table ou d’un plateau épais installé sur des tréteaux,
l’idéal est bien sûr de bénéficier d’un véritable établi avec tout ce qu’il peut comporter pour une
plus grande efficacité.

Définition
L’établi est une table de travail massive sur laquelle on dispose et/ou on fixe les différentes pièces
à travailler. Elle est et peut être utilisée pour diverses opérations, notamment l’ajustage, et sur
laquelle est généralement monter ou fixe un étau.

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Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
II.4.1 Généralités sur les différents modèles établi
Il existe différents types d'établis qui répondent aux différents besoins.

1. Etabli Fixe en Bois Massif


L’établi est aussi connu sous l’appellation d’établi de menuisier, est très lourd du fait de son
matériau de base. Il profite ainsi d'une très bonne stabilité. Il intègre des tiroirs et des placards en
bois ou en métal sous le plateau. Ce type d’établi fixe est parfaitement adapté aux bricoleurs
confirmés. Il supporte une charge allant jusqu’à 300 kg.

Figure 17 : Etabli à Bois Massif

2. L’Etabli Fixe En Métal


Encore connu sur le nom d’établi de mécanicien, est équipé d’un plan de travail soit en bois, soit
en acier. Généralement, ses pieds sont réglables pour s’adapter au sol qui, parfois, peut ne pas être
parfaitement plat. Il intègre des rangements au-dessus et au-dessous du plan de travail. Il supporte
une charge jusqu’à 250 kg.

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Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Figure 18 : Etabli en Métal

3. Etabli Roulant
Elle se caractérise par un plateau fixé sur une structure en métal équipée de roues munies de
systèmes de freinage. La stabilité est moins importante qu’avec un établi fixe.

Figure 19 : Etabli Roulant

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Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
4. Etabli Pliant
Elle est la solution idéale lorsque l’on ne dispose pas de la place nécessaire pour installer un établi
fixe ou lorsque l’on veut pouvoir l’emporter sur différents chantiers. Il est alors facile à ranger. De
plus, il se plie et se déplie au gré de vos besoins. Les modèles hauts de gamme peuvent supporter
une charge jusqu’à 250 kg. Niveau dimension, il doit au moins mesurer 85 cm de long pour 40 cm
de profondeur afin de vous offrir l’espace nécessaire pour bricoler.

Figure 20 : Etabli Pliant

5. Etabli Multifonction
L’établi multifonction peut être pliant ou fixe. Il est parfaitement adapté pour les bricoleurs
amateurs. Dans tous les cas, il permet d’optimiser l’espace. En effet c’est une solution compacte et
fonctionnelle qui peut intégrer des éléments comme la table de sciage ou la presse à bois, par
exemple.

Figure 21 : Etabli Multifonction

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Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
II.5. Généralité sur la conception

Définition et présentation
La définition du mot « conception » varie selon les auteurs et ce conçoit différemment selon
les domaines. Ainsi :

Selon AFNOR, la conception est « l’activité créative qui, partant des besoins exprimés et
des connaissances existantes, aboutit à la définition d’un produit satisfaisant à ces besoins et
industriellement réalisables » (AFNOR, 1998).

D’après SEVILLA, la conception est « l’ensemble des actes professionnels (génération des
concepts, globaux ou de détails, pratiques ou théoriques), qui permettent le développement d’un
produit nouveau depuis l’élaboration de son cahier de charges jusqu’à la définition des conditions
de son usage et de sa maintenance chez l’utilisateur, en passant par ses méthodes de production et
de sa mise sur le marché » La conception peut également être définie par la créativité dont on fait
preuve lors de la mise sur pied d’un produit répondant au besoin d’un utilisateur. Il ressort de cette
dernière définition quatre concepts principaux de conception à savoir : le besoin, le produit,
l’utilisateur et la créativité.

Besoin : le besoin est d’après la norme NF-EN 1325-1, « ce qui est nécessaire à l’utilisateur
ou désiré par lui ». Le besoin concerne la nature des attentes de l’utilisateur ce dernier peut être un
individu, une collectivité, une entreprise.

Produit : le produit est d’après la norme NF-EN 1325-1, « ce qui est le résultat d’activités
ou de processus ». Un produit peut être un matériel, un processus, un service.

Utilisateur : le petit Larousse défini l’utilisateur comme une personne qui fait l’usage d’un
bien ou d’un service. L’utilisateur est celui qui, se servant d’un produit, satisfait son besoin
fondamental ; celui qu’il faut considérer plus pratiquement au moment de la conception.

Créativité : la créativité est la capacité d’imagination, d’invention, de création. C’est une


phase du processus de conception d’un nouveau produit.

On distingue trois types de conception, à savoir :

• La conception innovante où l’on part de nulle part ;

29
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
• La conception routinière où l’on part d’un prototype qu’on améliore ;
• La conception par similitude où l’on s’inspire d’un objet ou d’un phénomène existant.

De ce fait, la conception est un processus qui peut être représenté suivant deux types de modèles
qui se déploient par des méthodes : les modèles descriptifs et les modèles prescriptifs. Cross
propose une synthèse qui regroupe ces modèles en deux classes :

• Les modèles descriptifs : ils se contentent de décrire les séquences d’activités du processus
de conception.
• Les modèles prescriptifs : ils encouragent les concepteurs à suivre des procédures et des
méthodes pour rendre leur conception plus efficace.

Il existe plusieurs méthodes de conceptions parmi celle-ci, nous pouvons présenter quelques-unes.

Quelques méthodes de conception

II.7.1 Quelques outils méthodes de conception


Dans cette section, nous listerons que quelques des méthodologies de conception de produit et
d’amélioration de concept les plus couramment utilisées. Dans la suite de ce travail, nous choisirons
quelques de ses méthodes pour analyse et leur adaptation à notre conception. Nous distinguons
alors ;
• La méthode de CESAM
• L ’analyse de la valeur (AV)
• L’analyse fonctionnelle
• L’analyse Multicritère (AMC)
• Cycle de vie d’un produit
• La Méthode Design for Assembly
• La Méthode Design for Manufacturing
• La Méthode de Conception d’Elément Mécanique
• La Méthode TRIZ
• La Méthode Axiomatique

II.7.2 Les Environnements de Simulation


Lorsque nous referons ici aux environnements de simulation, il s’agit ici de tous les
logiciels de CAO /DAO qui sont utiliser pour la conception d’un outil, produit… et nous
distinguons une très grande variété de ces logiciels, à savoir ; AUTOCAD, FUSION360,
SOLIDWORKS, INVENTOR, EASEL, EAGEL…

30
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
CHAPITRE 2 : MATERIEL ET METHODES
Dans cette partie nous présentons les différents matériaux et méthodes que nous avons utilisées
pour aboutir à notre conception, puis notre réalisation. Nous allons vous présenter les outils de
conception utilisés, toutes les méthodes de conception utilisée pour obtenir nos résultats et notre
réalisation.

I. Méthodologie de travail
Pour mieux appréhender toutes les parties de notre étude, nous allons suivre le chronogramme
des activités suivant :

31
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
OUTILS ETAPES RESULTATS

Diagramme Analyse du besoin Besoin validé


Bête à corne s

Fonction de
Diagramme Etude de Services
Pieuvre Faisabilité
CdCF

Méthodes de
Dimensionnement
Cycle de vie d’un produit

Du Ressort de Traction

Logiciel de Choix de la Technologie


Dessin
Conception
Système Dimensionné
RDM6 ; SOLIDWORKS ; ANSYS
Dessins d’ensembles
Analyse de
Fabrication Dessins de Définitions

Gamme de Fabrication

Bilan financier Etude Coût de la


Financière Machine

Efficacité
Test de Test de
L’équipement Fonctionnement Machine

Figure 22 : Chronogramme des activités

32
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
I.1 Ressource Matérielle
Cahier des charges
L’une des grosses difficultés d’un problème de conception c’est le fait que le cahier
des charges n’est pas clairement établi au départ. Le demandeur ajuste son besoin au fur et à mesure
de l’évolution du projet et nous les concepteur et réalisateur le modifions en fonctions des réalités
rencontrer.

Spécification Spécification Spécification


technique économique opérationnelle

- Surface de travail ne dépasse - Coût minimum ; - Montage et démontage


pas les 5 m2 - Utilisation de pièces facile ;
- Pouvoir disposer des différents fabriquées ou disponibles - Manipulation facile ;
postes de travail sans aucune localement. - Maintenance facile ;
gêne. A savoir ; Support porte - Grande Précision
meule, support porte
perceuses, poste à souder..

Figure 23 : Spécifications de la machine

Matériel nécessaire à la réalisation


Tableau 2 : Matériel nécessaire à la réalisation

No Désignation Caractéristique
01 Boulons M16, M10 x 110 mm
02 Tube carrée et 35 x 35 x 1.4 mm
Rectangulaire
03 Feuille de Tôle 2 mm, 6 mm d’épaisseur

33
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
II. Méthodes
II.1 Outils nécessaires pour la réalisation
Le tableau suivant répertorie une liste des matériaux et équipements utilisés pour la réalisation de
ce projet.
Tableau 3 : Outils de fabrication

N° Désignation Fonction Caractéristiques Aperçu


1 Perceuse Une perceuse ou 220V
foreuse est un outil qui
sert à percer ou
tarauder des trous dans
différents matériaux à
l'aide de forêts.
2 Meuleuse Machine entrainant en 220V
rotation un outil meule
pour usiner une pièce
dans divers matériaux.

3 Pied à Mesurer les longueurs Longueur : 300mm


coulisse au millimètre près
Précision :
0.01mm

4 Equerre Se rassurer des angles Longueur : 35 cm


(avec niveau droits et de la planéité
d’eau) des surfaces

34
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
5 Mètre Mesurer les longues Longueur : 5m
distances

6 Tournevis Insérer et retirer les vis Tète : plate et


dans le bois cruciforme

7 Poste a Soudé Elle sert à allier entre


elle des pièces dont le
matériau est soit du fer,
de l’inox ou encore de
l’aluminium

II.2 Outils de conception


1. Outils logiciel
1.1. SolidWorks
SolidWorks (SW) est un logiciel de conception 3D paramétrique. Il permet de modéliser des
pièces et des mécanismes, aussi complexes soient-ils. Dans SW, les mécanismes sont issus
d’assemblage de pièces par ajout de contraintes d’assemblage entre les points, les arêtes, les
surfaces ou les plans des pièces. Les pièces quant à elles sont obtenues par combinaisons des
différentes fonctions de base (extrusion, balayage, révolution, enlèvement de matière, congé…)
qui reposent sur les esquisses. SW gère trois modèles de document :

• Document de type pièce pour la conception des pièces ;

• Document de type assemblage pour la réalisation des assemblages ;


• Document de mise en plan pour convertir un modèle 3D en 2D.

35
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Figure 24 : Interface Solidworks

1.2. CES EduPack


Encore connue sur son nouveau nom ANSYS, c’est la principale ressource
pédagogique mondiale pour les matériaux en ingénierie, science, traitement et
conception. C’est un logiciel avec une très grande base de données matériaux. Cet outil
est un logiciel permettant d'effectuer des choix de matériau par comparaison en fonction
du cahier des charges fonctionnel et des contraintes de fabrication.

Figure 25 : Interface CES EduPack

36
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
1.3. RDM7
RDM7 est un logiciel destiné à l'enseignement des calculs de structures par la
méthode des éléments finis. On note que ce logiciel comprend des modules
suivants ;
• RDM7_Flexion : Calcul et optimisation des poutres droites sollicitées en flexion
• RDM7_Ossature : Analyse statique et dynamique des ossatures plane ou
tridimensionnel
• RDM7_Element Fini : Modélisation et maillage d’une surface plane

Figure 26 : Interface RDM 7

MATLAB (« Matrix Laboratry »)


C’est un langage de script émulé par un environnement de développement du
même nom. Il est surtout utilisé à des fins de calcul numérique. Développé par la société
The MathWorks, MATLAB permet de manipuler des matrices, d’afficher des courbes et
des données, de mettre en œuvre des algorithmes, de créer des interfaces utilisateurs, et
peut s’interfacer avec d’autres langages comme le C, C++, Java, et Fortran. On note que
les utilisateurs de MATLAB ne vienne pas que du domaine de la Mathématique on les
trouve généralement dans divers domaines tel que l’ingénierie, les sciences et
l’économie, dans un contexte aussi bien industriel que pour la recherche. Matlab peut
s’utiliser seul ou avec des toolbox.
37
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Figure 27 : Interface MATLAB

II.3 Méthode de conception


Après avoir effectué une analyse bibliographique, notre démarche de travail a consisté à
effectuer des analyses techniques de certains clamps et étudier les différentes formes de machines
à couper, nous avons adopté la méthode de conception par analyse fonctionnelle puisqu’elle
exprime, non seulement les besoins sous forme de fonction, mais présente également le point de
vue de l’utilisateur. Cette méthode permet d’analyser la constitution, l’organisation et les fonctions
internes du produit afin de mieux l’adapter. Elle permet, à travers ses différents outils (diagrammes
bêtes à cornes, pieuvre…), de mieux cerner le problème à résoudre, de déterminer les fonctions à
remplir, ainsi que les solutions technologiques appropriées.

II.3.1 L’analyse fonctionnelle du besoin


Elle exprime les besoins sous forme de fonctions en termes de services rendus ou attendus.

Une fonction est une action d’un produit exprimée en termes de finalité. Cette analyse présente
donc le point de vue de l’utilisateur.

II.3.2 Le diagramme bête à cornes


Cet outil définit le besoin auquel répond le système. Il s’agit en fait d’une disposition
graphique qui permet de répondre aux trois questions suivantes :

• A qui ou quoi le système rend-il service ?

38
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
• Sur qui ou quoi agit-il ?

• Dans quel but ?

Figure 28 : Principe de la bête à cornes

II.3.3 Le diagramme pieuvre (Graphe des interactions)


C’est un outil qui permet d’identifier les fonctions de service du produit à concevoir. Ce
diagramme est constitué du produit placé au centre, et autour, des éléments de son environnement
(milieu extérieur). On fait apparaître les relations (fonctions) entre le produit et le milieu extérieur
(figure). Ces relations correspondent au service rendu par le produit et permettent d'élaborer un
cahier des charges.

Figure 29 : Principe du diagramme pieuvre

39
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Il peut être réalisé en suivant les trois étapes suivantes :

• Identifier les milieux extérieurs et l’environnement avec lequel le système est en


relation et les désigner par des mots simples.
• Déterminer les relations entre le système et les couples d’éléments du milieu
extérieur. Ce sont les fonctions principales (FP) et elles s’écrivent sous la forme
d'un verbe à l'infinitif, suivi d'un ou plusieurs compléments.
• Déterminer les relations entre le système et chaque élément du milieu extérieur. Ce
sont les fonctions contraintes (FC) et elles s’écrivent aussi sous la forme d'un verbe
à l’infinitif, suivi d'un ou plusieurs compléments.

II.3.4 Le Cahier des Charges Fonctionnelles


Pour développer un produit, chaque concepteur doit tenir compte des exigences du demandeur,
généralement exprimées en termes de fonctions de service dans un document appelé cahier des
charges fonctionnelles. Le CdCF est un outil méthodologique rigoureux, nécessaire pour détecter,
formuler le besoin et justifier, en aval, les exigences techniques contenues dans un marché, un
contrat d'étude ou un appel d'offres. C’est à ce stade que les fonctions de service identifiées, sont
caractérisées par les critères d’appréciation suivant une échelle préalablement adoptée et assortie
de contraintes tel que présente le tableau suivant.

Tableau 4 : Méthode d'élaboration du Cahier de charge fonctionnelle

Fonctions de service Caractéristiques Contraintes

Critères Niveaux
FP : fonction principale

FC1 : fonction contrainte

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Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
II.3.5 Le cycle de vie d’un produit
Il est intéressant de rappeler le cycle de vie de produit qui peut être schématisée comme le montre
la figure 33 (schéma proposé par K. ISHII [ISH 96]). D’une manière très succincte, les différentes
étapes sont :

Fin de Garantie Fin de Vie


Expédition
Besoin
Maintenance
Conception Fabrication & Service Recyclage

Figure 30 : Cycle de vie d’un Produit [2]

La formulation du besoin (User Needs) : souvent très générale, textuelle et accompagnée de


schémas (très imprécis du point de vue technologique) ainsi que des hypothèses et autres
informations (tel que : puissance, efforts développés, environnement dimensionnel et physico-
chimique, coûts…). Un schéma de principe est établi par l’ingénieur pour mieux cerner le problème
posé.

La phase de conception (Design) : regroupe la décomposition des contraintes et exigences du cahier


des charges en des solutions technologiques approchant le résultat (le mécanisme) à obtenir. Des
solutions fonctionnelles sont donc développées en dessins d’ensemble (en 2D). La réalisabilité des
formes des pièces et des calculs préliminaires de résistance sont entreprises assurant une cohérence
du mécanisme étudié avec son environnement. Les dessins des pièces composant l’ensemble
(Dessins de définitions) sont réalisés avec le respect des conditions et contraintes de
fonctionnement (jeux, contraintes ou ajustements).

La phase de fabrication (Manufacturing) peut être lancée et les éléments standards commandés si
la réalisation du produit est décidée. Elle peut concerner la réalisation d’un prototype de la machine
comme celle d’une série.

La « Maintenance et Service » permettent d’assurer la commercialisation, la fidélité client, le


service après-vente, un historique du produit pour une amélioration future …

41
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Ces dernières années, le recyclage (Recycling) est un problème qui est posé aux ingénieurs et
chercheurs à cause du rythme de consommation effréné et d'une production toujours croissante.
L’impact est très grand dans le sens où il est généralement suivi de la réduction du prix de produit
et incite le client à acquérir un nouveau produit au lieu de réparer …

II.3.6 Approche axiomatique


L’approche axiomatique est très utilisée en mathématique et en logique et est fondée sur des
propositions admises sans démonstration, nettement formulées et avec des raisonnements
rigoureux.

Un certain nombre d’axiomes sont émis pour qu’une bonne construction soit souscrite. Un de ces
axiomes est l’indépendance fonctionnelle. Chaque fonction élémentaire doit être traduite par ses
organes propres. Cette approche peut être un outil très puissant dans la phase d’analyse. La
méthodologie de l’approche axiomatique consiste à :

- Etablir les buts du concept pour satisfaire une série de besoins ;

- Analyser la solution proposée ;

- Sélectionner le meilleur concept parmi les concepts proposés ;

- Implémenter le concept.

Proposée par SUH, cette approche est basée sur une méthodologie de décomposition par domaines
d’applications et est donnée en figure 1.

Le domaine utilisateur (en anglais : consumer domain) est celui dans lequel on indique les besoins
du consommateur de produit.

42
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Figure 31 : Approche Axiomatique, Concept des Domaines dans un Système de Conception [3]

Ces besoins seront organisés dans un domaine physique sous forme d’une série d’exigences
fonctionnelles (FRs : functionnal requirements). Ces FRs seront organisés dans un autre domaine
appelé domaine physique (physical domain) dans lequel les paramètres de conception (DPs :
Design parameters) seront choisis et contrôlés pour satisfaire les FRs.

Enfin, les DPs seront organisés dans le domaine processeur en termes de variables du
processus (PVs : Process variables). Le domaine processeur sera constitué à partir de sous
programmes qui traitent des PVs. Il peut être partagé en plusieurs sous domaines qui constituent
un espace de travail. La relation entre les domaines est que le domaine « consommateur » est
l’expression de ‘ce que nous voulons’ (en anglais, « what we want ?») ; et le domaine « processeur
» représente ‘comment y satisfaire ce que nous voulons’ (ou « how we will satisfy we want).

II.3.7 TRIZ (Theory of Inventive Problem Solving)


TRIZ est une méthode de résolution des problèmes "inventifs". TRIZ a 02 concepts de base
à savoir « l’idealité » et « les contradiction »

L’idéalité
L’outil utilisé - Résultat Ultime Idéal - exprime le résultat idéal vers lequel doit tendre le
concepteur. Le résultat ultime idéal serait celui pour lequel toutes les fonctions utiles sont assurées
et tous les inconvénients éliminés. Un système idéal est un système qui n’existe pas tout en
remplissant la fonction désirée.

43
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Les contradictions
Il faut note qu’une invention est la résolution d’une contradiction. L’identification, la
formulation, puis la levée des contradictions est la voie principale –mais non unique- de résoudre
le problème.

Deux types de contradictions sont utiles :

1. Contradiction technique : c’est un type de contradiction où l’amélioration d’une


caractéristique utile A conduit à la dégradation d’une autre caractéristique, elle aussi utile
B (et réciproquement). Les contradictions techniques sont résolues en utilisant la matrice
de résolution et les 40 principes.
2. Contradiction physique : c’est un type de contradiction où une caractéristique d’un élément
d’un système doit présenter deux modalités contradictoires à la fois - forte et faible, dur et
mou, lisse et rugueux… Les contradictions physiques sont résolues en utilisant des
principes de séparation.

Démarche de résolution des problèmes d’innovation

Figure 32 : Processus de conceptualisation mis en œuvre avec TRIZ [4]

44
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
II.4 Analyse et Optimisation en Conception
II.4.1 Types d’analyses dans la conception [5]
1. Optimisation en Conception Technique
Les études d’optimisation pour la conception consistent à améliorer les performances de vos
systèmes tout en respectant les contraintes fixées par votre cahier des charges en termes de sécurité,
de coût… Les études portent sur des problèmes de tailles très variées allant de quelques facteurs
de conception à plusieurs centaines. La plupart du temps, les études d’optimisation par plan
d’expériences concernent des calculs de simulation numérique (par exemple de type éléments
finis) mais elles sont tout à fait applicables à des essais réels (soufflerie, banc moteur, etc.) ou à des
simulations à événements discrets.

2. Contraintes, Déformation, et Déplacement


Dans le but de sélectionner le matériau approprié pour le produit conçu, une analyse par
éléments finis des pièces individuelles peut être effectuée avec divers matériaux candidats affectés
au modèle. L'analyse par éléments finis vous permet également de réduire les concentrations de
contraintes. Connaissant les résultats de la simulation de distribution des contraintes, vous pouvez
reconcevoir les sections critiques, par exemple, ajouter des congés pour éviter les concentrations
de contraintes dans les angles vifs. Dans la figure suivante, les distributions de déplacement, de
déformation et de contrainte de Von Mises dans la pièce sont illustrées. L'utilisation de la FEA
pour une telle analyse garantit que dans la conception finale, la limite d'élasticité maximale n'est
pas dépassée, ce qui empêchera la déformation permanente et garantira que toutes les déformations
sont élastiques.

Cas des outils réaliser, calcul fait à la main


Méthode de Modélisation par Elément Fini [6]
En analyse numérique et en physique, la méthode des éléments finis est utilisée pour résoudre
numériquement des équations aux dérivées partielles ou matriciel. Celles-ci peuvent par exemple
représenter analytiquement le comportement dynamique de certains systèmes physiques
(mécaniques, thermodynamiques, acoustiques, etc.).

Cette méthode permet par exemple de calculer numériquement le comportement d'objets même
très complexes, à condition qu'ils soient continus et décrits par une équation aux dérivées partielles

45
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
linéaire ou par des matrices : mouvement d'une corde secouée par l'un de ses bouts, comportement
d'un fluide arrivant à grande vitesse sur un obstacle, déformation d'une structure métallique, etc.

• Cas du Support Porte Meule


Pour les calculs fait sur ce support ; nous voulons déterminer les contraintes (qui est sa limite
d’élasticité), les déformations et les déplacements faite par le support conçus …
Vue la complexité de la forme nous nous sommes penchées vers la méthode de modélisation
par élément fini et avons considéré uniquement certain en nous admettant une supposition (à savoir,
ou est-ce que le support pourra exercer le maximum de forces ou de charges, une réponse obtenue
uniquement sur des bases hypothétiquement logiques nous a donc permis d’avoir) ;
➢ Calcul de la Matrice de Déplacement
𝑈𝐴 1 𝑥𝐴 𝑦𝐴 𝑧𝐴 0 0 0 0 0 0 0 0 𝐴0
𝑉𝐴 0 0 0 0 1 𝑥𝐴 𝑦𝐴 𝑧𝐴 0 0 0 0 𝐴1
𝑊𝐴 0 0 0 0 0 0 0 0 1 𝐴𝑥 𝑦𝐴 𝑍𝐴 𝐴 2
𝑈𝐵 1 𝑥𝐵 𝑦𝐵 𝑧𝐵 0 0 0 0 0 0 0 0 𝐴3
𝑉𝐵 0 0 0 0 1 𝑥𝐵 𝑦𝐵 𝑧𝐵 0 0 0 0 𝐵0
𝑊𝐵 0 0 0 0 0 0 0 0 1 𝑥𝐵 𝑦𝐵 𝑧𝐵 𝐵1
=
𝑈𝐶 1 𝑥𝐶 𝑦𝐶 𝑧𝐶 0 0 0 0 0 0 0 0 𝐵2
𝑉𝐶 0 0 0 0 1 𝑥𝐶 𝑦𝐶 𝑧𝐶 0 0 0 0 𝐵3
𝑊𝐶 0 0 0 0 0 0 0 0 1 𝑥𝐶 𝑦𝐶 𝑧𝐶 𝐶0
𝑈𝐷 1 𝑥𝐷 𝑦𝐷 𝑧𝐷 0 0 0 0 0 0 0 0 𝐶1
𝑉𝐷 0 0 0 0 1 𝑥𝐷 𝑦𝐷 𝑧𝐷 0 0 0 0 𝐶2
[𝑊𝐷 ] (0 0 0 0 0 0 0 0 1 𝑥𝐷 𝑦𝐷 𝑧𝐷 ) ( 𝐶3 )
Cette relation peut encore se mettre sur la forme suivante
[𝐴] = [𝑃−1 ]𝑈

[𝐴] = [𝐴0 𝐴1 𝐴2 𝐴3 𝐵0 𝐵1 𝐵2 𝐵3 𝐶0 𝐶1 𝐶2 𝐶3 ]𝑇

[𝑈] = [𝑢𝐴 𝑣𝐴 𝑤𝐴 𝑢𝐵 𝑣𝐵 𝑤𝐵 𝑢𝐶 𝑣𝐶 𝑤𝐶 𝑢𝐷 𝑣𝐷 𝑤𝐷 ]𝑇

Les Déplacement avec des nœuds peuvent s’écrire sous la forme suivante ;
𝑢(𝑥,𝑦,𝑧) = 𝐴0 + 𝐴1 𝑥 + 𝐴2 𝑦 + 𝐴3 𝑧

𝑣(𝑥,𝑦,𝑧) = 𝐵0 + 𝐵1 𝑥 + 𝐵2 𝑦 + 𝐵3 𝑧

𝑤(𝑥,𝑦,𝑧) = 𝐶0 + 𝐶1 𝑥 + 𝐶2 𝑦 + 𝐶3 𝑧

46
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
𝐴0
𝐴1
𝐴2
𝐴3
𝑢(𝑥,𝑦,𝑧) 𝐵0
1 𝑥 𝑦 𝑧 0 0 0 0 0 0 0 0
𝐵
[ 𝑣(𝑥,𝑦,𝑧) ] = (0 0 0 0 1 𝑥 𝑦 𝑧 0 0 0 0) 𝐵1
𝑤(𝑥,𝑦,𝑧) 0 0 0 0 0 0 0 0 1 𝑥 𝑦 𝑧 2
𝐵3
𝐶0
𝐶1
𝐶2
( 𝐶3 )
Or
[𝐴] = [𝑃−1 ]𝑈-------- (1)
Alors nous aurons
𝑢(𝑥,𝑦,𝑧) 1 𝑥 𝑦 𝑧 0 0 0 0 0 0 0 0
[ 𝑣(𝑥,𝑦,𝑧) ] = (0 0 0 0 1 𝑥 𝑦 𝑧 0 0 0 0) [𝑃 −1 ]𝑈
𝑤(𝑥,𝑦,𝑧) 0 0 0 0 0 0 0 0 1 𝑥 𝑦 𝑧
On pose que
1 𝑥 𝑦 𝑧 0 0 0 0 0 0 0 0
𝑁(𝑥,𝑦,𝑧) = (0 0 0 0 1 𝑥 𝑦 𝑧 0 0 0 0) [𝑃−1 ]
0 0 0 0 0 0 0 0 1 𝑥 𝑦 𝑧
Avec 𝑁(𝑥,𝑦,𝑧), connu comme la fonction de forme

❖ Le Déplacement
Alors le déplacement sera ;
𝑢(𝑥,𝑦,𝑧)
[ 𝑣(𝑥,𝑦,𝑧) ] = 𝑁(𝑥,𝑦,𝑧) [𝑈] ------------- (2)
𝑤(𝑥,𝑦,𝑧)

➢ Calcul de la Matrice de Déformation


Pour les petites déformations nous avons ;
1
𝜀𝑖,𝑗 = (𝑈 + 𝑈𝑗,𝑖 )
2 𝑖,𝑗

47
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
𝜕𝑢
𝜀𝑥,𝑥 = 𝑈𝑥 = 𝜕𝑥
| 𝜀𝑦,𝑦 = 𝑉𝑦 = 𝜕𝑦
𝜕𝑣

𝜕𝑤
𝜀𝑧,𝑧 = 𝑊𝑧 = 𝜕𝑧
𝜀𝑖,𝑗 = | 𝜕𝑢 𝜕𝑣
2𝜀𝑥,𝑦 = 𝑈𝑦 + 𝑉𝑥 = 𝜕𝑦 + 𝜕𝑥
𝜕𝑢 𝜕𝑤
|2𝜀𝑥,𝑧 = 𝑈𝑧 + 𝑊𝑥 = 𝜕𝑧 + 𝜕𝑥
𝜕𝑣 𝜕𝑤
2𝜀𝑦,𝑧 = 𝑉𝑧 + 𝑊𝑦 = 𝜕𝑧 + 𝜕𝑦

𝜀𝑥,𝑥
0 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
𝜀𝑦,𝑦
0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0
𝜀𝑧,𝑧
0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 [𝑃 −1 ]𝑈
2𝜀𝑥,𝑦 = 0 0 1 0 0 1 0 0 0 0 0 0
2𝜀𝑥,𝑧 0 0 0 1 0 0 0 0 0 1 0 0
[2𝜀𝑦,𝑧 ] ( 0 0 0 0 0 0 0 1 0 0 1 0)

Alors que
[𝜀] = [𝐵]𝑈 --------- (3)
Avec
[𝐵] ; la matrice de Déformation
Elle est donnée par
0 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0
[𝐵] = 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 [𝑃−1 ] ------------- (4)
0 0 1 0 0 1 0 0 0 0 0 0
0 0 0 1 0 0 0 0 0 1 0 0
(0 0 0 0 0 0 0 1 0 0 1 0)

48
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
➢ Déterminons la Matrice de Raideur
La Matrice de Rigidité [𝐶]
𝐶11 𝐶12 𝐶13 0 0 0
𝐶12 𝐶22 𝐶23 0 0 0
𝐶23 𝐶33 0 0 0
[𝐶] = 𝐶13 -------------- (5)
0 0 0 𝐶44 0 0
0 0 0 0 𝐶55 0
[ 0 0 0 0 0 𝐶66 ]
NB ; La Matrice est Orthotrope, car elle admet deux plans de symétrie orthogonaux.

L’expression des Ci,j en fonction de E et ν


𝐸 𝐸
𝐶11 = (1 − 𝜈 2 ) 𝐶22 = (1 − 𝜈 2 ) 𝐶44 = 0.5𝐸
𝛥 𝛥
𝐸 𝐸𝜈
𝐶12 = (𝜈 + 𝜈 2 ) 𝐶23 = (1 + 𝜈) 𝐶55 = 0.5𝐸
𝛥 𝛥
𝐸𝜈 𝐸
𝐶13 = (1 + 𝜈) 𝐶33 = (1 − 𝜈 2 ) 𝐶66 = 0.2𝐸
𝛥 𝛥


ν = Coefficient de Poisson et E = Module de Young
Avec
𝛥 = 1 − 3𝜈 2 − 2𝜈 3
➢ Déterminons la Matrice de Raideur
𝐾 = [𝐵 𝑇 ]. [𝐶]. [𝐵]-------- (6)

[𝐵 𝑇 ] ;
[𝐶] ;
[𝐵] ;

➢ Déterminons les Déplacements aux Nœuds


𝐾𝑈 = 𝐹
𝑈 = 𝐾 −1 . 𝐹---------- (7)

49
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
➢ Déterminons la contrainte
𝜎 = [𝐶]𝜀 ------- (8)
3. Analyse vibratoire
De nombreuses sources majeures de vibrations peuvent se produire dans un système. Certaines
fréquences, dites naturelles, sont intrinsèques à tous les objets, d'autres peuvent apparaître en raison
de particularités spécifiques d'un objet, par exemple, le tourbillon. Diverses causes de vibration
peuvent être traitées lors de la conception mécanique, d'autres nécessitent une sélection appropriée
des composants et des modes de fonctionnement.

Le type de vibration le plus important est probablement la vibration de résonance qui dépend
de la fréquence naturelle du système. La fréquence propre, également appelée fréquence propre,
est la fréquence à laquelle un système a tendance à osciller en l'absence de toute force motrice ou
d'amortissement. Tous les objets et systèmes mécaniques stables, non forcés vibrent
harmoniquement à certaines fréquences discrètes, et ces fréquences sont les fréquences naturelles
de l'objet/système. Si une force externe agit sur un objet avec une fréquence égale à l'une des
fréquences naturelles de l'objet, une résonance vibratoire se produit. Des amplitudes de vibration
excessives peuvent raccourcir considérablement la durée de vie de l'objet et même l'endommager
ou le détruire.

Pour éviter les vibrations du système, vous devez vous assurer que toutes ses fréquences
naturelles sont bien supérieures à la fréquence attendue des forces agissantes. Pour une plate-forme
d'isolation des vibrations, il est préférable de rendre sa fréquence propre bien inférieure à la
fréquence de vibration transmise par le sol sur lequel repose la plate-forme.

➢ Déterminons L’analyse vibratoire du Support Porte Meule


Dans le cas dynamique, KU = F devient (K - ω2.M) U = F, qui est l’équation de vibration en
supposant que les solution sont Harmonique (U.eiωt).
M ; Matrice de Masse ω ; Fréquence propre de la structure

50
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
𝑚 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
0 𝑚 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
0 0 𝑚 0 0 0 0 0 0 0 0 0
0 0 0 𝑚 0 0 0 0 0 0 0 0
0 0 0 0 𝑚 0 0 0 0 0 0 0
𝑀= 0 0 0 0 0 𝑚 0 0 0 0 0 0
0 0 0 0 0 0 𝑚 0 0 0 0 0
0 0 0 0 0 0 0 𝑚 0 0 0 0
0 0 0 0 0 0 0 0 𝑚 0 0 0
0 0 0 0 0 0 0 0 0 𝑚 0 0
0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 𝑚 0
( 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 𝑚)

En vibration libre (F = 0 12 X 1),


L’équation de vibration devient (K - ω2.M) U = 0, cette équation admet des solutions non
triviales si et seulement si
Det(K - ω2.M) = 0 ------- (9) (qui est l’équation de fréquence)
4. Analyse de fatigue
La fatigue est un processus d'accumulation cycle par cycle de dommages dans un matériau
soumis à des contraintes et des déformations fluctuantes. La rupture par fatigue est caractérisée par
les deux étapes : l'initiation des fissures par fatigue qui commence à partir de la surface d'un
composant, où les dommages par fatigue commencent sous forme de fissures de cisaillement ; la
croissance de la fissure dans une direction normale à la contrainte appliquée.

En général, il existe deux approches distinctes dans l'analyse de la fatigue :

1. Approche T–N ou S–N. Ici, des modèles de dommages cumulés contrainte-vie sont utilisés
pour prédire la durée de vie en tenant compte des dommages de fatigue cumulés, où une
défaillance se produit après un certain nombre de cycles de chargement N, à une plage de
tension particulière T ou une plage de contraintes S.

2. Approche mécanique de la rupture. Dans cette approche, les modèles de croissance des
fissures de fatigue sont utilisés pour examiner le comportement à la rupture des éléments
mécaniques sous chargement dynamique, où des défaillances se produisent si les fissures
dominantes ont atteint une longueur critique où la résistance restante du composant est
insuffisante.

51
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Déterminons les Réaction, Effort et Moment Fléchissant des Outils Réaliser

Cas 1 : Clamp_1 𝑗̅
⃗⃗⃗⃗
𝑅𝐴 Q = qL ⃗⃗⃗⃗
𝑅𝐶
𝑖̅
𝑘̅
B
A C

∑ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐹𝐸𝑥𝑡 = 0

⃗⃗⃗⃗
𝑅𝐴 + ⃗⃗⃗⃗ ⃗ = 0 ------------ *
𝑅𝐶 + 𝑄

⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
∑ 𝑀𝐴 (𝐹 𝐸𝑥𝑡 )

⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 ∧ 𝑄⃗ + ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 ∧ ⃗⃗⃗⃗
𝑅𝐶 = 0 ----- +

Calcul de Réaction au point C

𝐴𝐵𝑖 ∧ (−𝑄𝑗) + 𝐴𝐶𝑖 ∧ (𝑅𝐶 𝑗) = 0

−𝐴𝐵𝑄(𝑖 ∧ 𝑗) ∧ (𝑄𝑗) + 𝐴𝐶𝑅𝐶 ( 𝑖 ∧ 𝑗) = 0

(𝐴𝐵𝑄 + 𝐴𝐶𝑅𝐶 ) 𝑥 2 = 0

𝐴𝐵𝑄 = 𝐴𝐶𝑅𝐶

𝐴𝐵
𝑅𝐶 = 𝑄 -------- (10)
𝐴𝐶

Calcul de Réaction au point A

𝑅𝐴 + 𝑅𝐶 − 𝑄 = 0

𝐴𝐵
𝑅𝐴 + 𝑅𝐶 𝐴𝐶 𝑄 − 𝑄 = 0

𝐴𝐵𝑄−𝐴𝐶𝑄
𝑅𝐴 + =0
𝐴𝐶

𝐴𝐶𝑄−𝐴𝐵𝑄
𝑅𝐴 = ------ (11)
𝐴𝐶

52
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Calcul des Efforts Tranchant et Moment Fléchissant ; Tronçons [A, B]

⃗⃗⃗⃗ 𝑞. 𝑥 𝑗̅
𝑅𝐴

𝑇 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝑓
M 𝐴1 𝑘̅ 𝑖̅
A x

𝑅𝐴 − 𝑞. 𝑥 − 𝑇 = 0

𝑇 = 𝑅𝐴 − 𝑞. 𝑥 ------ (12)

⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑅𝐴 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴1 𝐴 ∧ ⃗⃗⃗⃗ 𝐴1 𝑀 ∧ (−𝑞𝑥𝑗) + 𝑀𝑓 = 0

𝑥
−𝑥𝑅𝐴 − 2(-q.x) + 𝑀𝑓 = 0

𝑥2
𝑀𝑓 = 𝑥𝑅𝐴 − 𝑞 ------- (13)
2

Calcul des Effort Tranchent et Moment Fléchissant ; Tronçon [B, C] 𝑗̅


𝑞(𝐿 − 𝑥) ⃗⃗⃗⃗
𝑅𝐶
⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝑓 ⃗
𝑇
𝑘̅ 𝑖̅
N
1 C
𝐶 (𝐿 − 𝑥)

𝑇 + 𝑅𝐶 − 𝑞(𝐿 − 𝑥) = 0

𝑇 = 𝑞(𝐿 − 𝑥) − 𝑅𝐶 ----- 14

𝐴𝐵
𝑇 = 𝑞𝑙 − 𝑞𝑥 − 𝐴𝐶 𝑄 ------- (15)

⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
∑ 𝑀𝐶 1 (𝐹 𝐸𝑥𝑡 ) = 0

⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑅𝐶 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐶 1 𝐶 ∧ ⃗⃗⃗⃗ 𝐶 1 𝑁 ∧ 𝑞 - 𝑀𝑓 = 0

𝑙−𝑥
(𝑙 − 𝑥)𝑅𝐶 − ( ) 𝑞(𝑙 − 𝑥) − 𝑀𝑓 = 0
2

𝑙−𝑥
(𝑙 − 𝑥)𝑅𝐶 − ( ) 𝑞(𝑙 − 𝑥) = 𝑀𝑓
2

53
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
𝑙−𝑥
(𝑙 − 𝑥) [𝑅𝐶 − ( ) 𝑞(𝑙 − 𝑥)] = 𝑀𝑓
2

𝐴𝐵 𝑙−𝑥
(𝑙 − 𝑥) [ 𝑄−( ) 𝑞(𝑙 − 𝑥)] = 𝑀𝑓
𝐴𝐶 2

−𝑞(𝑙−𝑥)2 (𝑙−𝑥)𝐴𝐵
𝑀𝑓 = + 𝑄 ----- (16)
2 𝐴𝐶

Déterminons les Réaction, Effort et Moment Fléchissant des Outils Réaliser

Cas 2 : Clamp_2

RAB Q

MAB

A B C

∑ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐹𝐸𝑥𝑡 = 0

⃗⃗⃗⃗ ⃗ = 0 ------------ *
𝑅𝐴 − 𝑄

⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
∑ 𝑀𝐴 (𝐹 𝐸𝑥𝑡 )

⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 ∧ 𝑄⃗ + MA= 0 ----- +

Calcul de Réaction au point A

𝑅𝐴𝑦 = 𝑄 ------ (17)

Calcul du Moment d’encastrement en A

−𝐴𝐵𝑄 + 𝑀𝐴 = 0

𝑀𝐴 = 𝐴𝐵𝑄 -------- (18)

54
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Calcul des Efforts Tranchant et Moment Fléchissant ; Tronçons [A, B]

RA ⃗
𝑇
Mf

A A1
A
𝑇 = 𝑅𝐴𝑦 = 𝑄-------- (19)

𝑀𝑓 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐴1 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑅𝐴𝑦 + 𝑀𝐴 = 0

𝑀𝑓 − 𝑥𝑅𝐴𝑦 + 𝑀𝐴 = 0

𝑀𝑓 = 𝑄𝑥 − 𝑀𝐴

𝑀𝑓 = 𝑄𝑥 − 𝐴𝐵𝑄------- (20)

Calcul des Efforts Tranchant et Moment Fléchissant ; Tronçons [B, C]

Q

𝑇
Mf
A1 B C

T = Q ------- (21)

−𝑀𝑓 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴1 𝐶 ∧ 𝑄⃗ =0

−𝑀𝑓 − 𝐴1 𝐶𝑄 = 0
𝑙
−𝑀𝑓 − (2 − 𝑥) 𝑄 = 0
𝑙
𝑀𝑓 = (𝑥 − 2) 𝑄-------- (22)

5. Dimensionnement et Choix D’un Ressort


Un ressort a plusieurs rôles, à savoir ; Augmenter la longueur, Diminuer la longueur, hauteur,
ou même encore largeur pour des cas de ressort de traction et de compression. Grace a ses spires,
il est possible de l’étirer ou même encore de le compresser afin de retenir des charges.

55
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Contrainte d’élasticité maximum

8𝐹𝐷
𝜏𝑀𝑎𝑥 = 𝐾𝑏 𝜋𝑑3 ---------- (23)

Contrainte de Torsion

8𝐹𝐷 4
𝜎 = 𝐹 [𝐾𝑏 𝜋𝑑3 + ] --------- (24)
𝜋𝑑2

Déterminons la Raideur

𝐺𝑑4 𝐹−𝐹0
𝑅= = ----------- (25)
8𝑛𝐷 3 𝑠

Déterminons Fo

𝑅. 𝑠 = 𝐹 − 𝐹𝑜 => 𝐹𝑜 = 𝐹 − 𝑅. 𝑠 -------- (26)

Déterminons F

𝐺𝑠𝑑4
𝐹= -------- (27)
8𝑛𝐷 3

Contrainte de Cisaillement

8𝐹𝐷
𝜏= -------- (28)
𝜋𝑑3

Tension Admissible

𝑇𝑧𝑢𝑙 = 0.45 . 𝑅 ------ (29)

Course de Suspension

8𝑁𝑎 𝐷 3 (𝐹− 𝐹𝑜 )
𝑠= -------- (30)
𝐺𝑑4

Pour le choix du ressort, il est en fonctions des dimensions et doit se faire convenablement.
Pour bien sélectionner le ressort, il est bon de le faire sur la base des mesures. Et ces mesures sont
faites en fonction de ; la largeur, l’épaisseur, diamètre, longueur de spires. De ce fait, selon la
charge pour laquelle elle sera utilisée, il convient alors de faire attention à ses élément-là.
56
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
6. Gamme de Fabrication
Une gamme de fabrication est le mode opératoire décrivant la succession des étapes
nécessaires à la réalisation d’un produit. Elle est liée à la nomenclature, qui est la liste et la quantité
des composants à mettre en œuvre aux différentes étapes de la gamme.

Tableau 5 : Gamme de Fabrication

Contrôle de Phase Ensemble : Feuille :


Etablie le : Elément rep : Matière : Nb :
Ph S/ph Op DESIGNATION M.O Outillage CROQUIS Contrôle
Paramètre

57
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
CHAPITRE 3 : RESULTATS ET DISCUSSION
Nous arrivons ou les résultats de notre travail seront présenter à l’aide des méthodes
énumérer dans le chapitre 1 nous allons montrer les résultats obtenus lors pendant toute la période
de se travail et nous allons faire des commentaires de chaque.

I. Résultats sur L’Analyse fonctionnelle du besoin


1. Diagramme bête à cornes
✓ Cas de L’établie

Le diagramme bête à cornes nous donne le résultat suivant :

A qui rend-Il service ? Sur quoi agit-Il ?


« L’opérateur » « Des Matériaux a Usiner »

Système :
Etablit Portant les postes de travail

Dans quel but ?


« Optimiser les Travaux en Atelier de Fabrication »

Figure 33 : résultat du diagramme bête à cornes

Discussion

L’établi à une forme en T et est repartie en 02 parties, partie 1 et 2.

Partie 1 : C’est la partie ou son disposer les éléments d’usinage. Sur cette partie nous trouvons
03 postes de travail ;

Poste 1_ Support porte Meule pour la coupe des pièces à travailler

Poste2_ Support porte Perceuse, pour le perçage des pièces à travailler

Poste3_ Machine a Meule, pour nettoyer les bavures présentes sur les pièces

Partie 2 : C’est ou son disposer des éléments d’assemblages. A savoir

Poste4_ Etau, sur lequel certaines pièces peuvent être fixer pour le pliage...

58
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Poste5_ Clamp avec angle, sur lequel des assemblages entre différents tubes ou
pièces sont faites

✓ Cas du Support Porte Meule

Le diagramme bête à cornes nous donne le résultat suivant :

A qui rend-Il service ? Sur quoi agit-Il ?


« L’opérateur » Des Matériaux à Couper

Système :
Support Porte Meule

Dans quel but ?


« Augmenter la précision de coupe »

Figure 34 : résultat du diagramme bête à cornes

✓ Cas des Clamps

Le diagramme bête à cornes nous donne le résultat suivant :

A qui rend-Il service ? Sur quoi agit-Il ?


« L’opérateur » « Les éléments d’assemblage »

Système :
Clamps

Dans quel but ?


« Faciliter les assemblages à angle ou non ; 150,300,450,900 »

Figure 35 : résultat du diagramme bête à cornes

2. Diagramme pieuvre
Sur cette partie sera détaillé le cahier des charges de notre mini imprimante 3D. le besoin sera
exprimé de manière fonctionnelle.

La figure suivante illustre le diagramme pieuvre de notre machine.

59
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
✓ Cas de L’établi

Usiner les pièces


Operateur

FC1 FP1
FC2
Couper
Maintenance Etabli de travail FC3
FC8

FC7 FC4 Percer


Cout FC5
FC6

Assembler (étau, Meuler


soudage)
Figure 36 : résultat du diagramme pieuvre

Les fonctions de services qui ressortent de ce diagramme sont les suivantes :

✓ Cas Support Porte Meule

Maintenir et donner
un angle pour Opérateur
assemblage
FP1
FC1 FC2

Clamps

FC3

Elément de
serrage

Figure 37 : résultat du diagramme pieuvre Clamps

60
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Tableau 6 : Fonction Principal et Complémentaire

FONCTION PRINCIPAL (FP) et FONCTION COMPLÉMENTAIRE (FC)

FP1 Faciliter l’assemblage avec ou sans angle de deux pièces métalliques par soudage

FC1

FC2 Assembler les deux pièces par soudage

FC3 Serrer les pièces monter sur les clamps à l’aide des éléments de serrage mise en place

✓ Cas des Clamps

Couper les Pièces


avec précision Opérateur

FP1
FC1 FC2

Support Porte Meule

FC3

Meule

Figure 38 : résultat du diagramme pieuvre Clamps

Tableau 7 : Fonction Principal et Complémentaire

FONCTION PRINCIPAL (FP) et FONCTION COMPLÉMENTAIRE (FC)

FP1 Plus de précision lors des opérations de découpage

FC1 Effectuer des découpages avec angle

FC2 Serrer la pièce monter sur le support, donner l’angle et donner les mouvements à la
meule monter pour effectuer la coupe

FC3 Meuler ou ébavurer les résidus de copeau or pour les opérations de nettoyage

61
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
3. Le cycle de vie d’un produit
Le cycle de vie d'un produit est l'ensemble de toutes les phases qu'il traverse, de sa conception
jusqu'à son extraction du marché.

Fin de Garantie Fin de Vie


Expédition
Besoin
Maintenance
Conception Fabrication & Service Recyclage

Figure 39 : Cycle de Vie d’un Produit

Discussion

Besoin : le besoin primaire ici était la modélisation et la réalisation de certains outils


mécanique à savoir 02 Clamps, un Support porte meule. Tous ceci était dans le but de faciliter le
travail des opérateurs en atelier, et d’optimiser leur précision lors d’une coupe, ou encore d’un
assemblage par soudage.

Conception : après avoir fait une étude du besoin souhaiter, nous avons mis en place une
conception sur laquelle pouvait être monter la meule pour des opérations de coupes, et certaines
pièces pour des opérations d’assemblage.

Fabrication : à cette phase nous avons réalisé nos outils souhaités mais nous avons fait face à
quelques contraintes d’aspect financière, expérience et réalités du terrain.

Maintenance : La maintenance des outils utilisés seront assure par la Startup BETECH

Recyclage : compte tenu que nous somme en quête perpétuel d’améliorer tous ce qui nous
entourent, au terme du cycle de vie de nos différentes réalisations nous pourrions recycler certains
éléments de nos outils pour contribuer à la lutte contre la pollution.

4. Approche axiomatique
Cette méthode consiste à déclarer les définitions et propositions de manière à ce que chaque
nouveau terme puisse être formellement éliminé par les termes qui nécessitent des notions
primitives (axiomes) précédemment introduites pour éviter une régression à l'infini.

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Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Figure 40 : Approche Axiomatique, Concept des Domaines dans un Système de Conception

Discussion

Besoin : Elles sont organisées sous forme d’une série d’exigences fonctionnelle

Exemple : Dans le cadre de notre projet, une exigence fonctionnelle du poste de travail numéro 1,2
et 3 sur notre établi pourrait être « La Précision, ce support devrait permettre à l’opérateur
d’effectuer des opérations avec plus de précision et moins d’effort ».

Les exigences non fonctionnelles ici pourraient être «la rapidité avec laquelle il effectue plusieurs
opérations de coupe ».

Exigence Fonctionnel, FR : elles sont organisées dans un domaine physique ou les


paramètres de conceptions sont choisis

Les paramètres physiques de conception ici sont ; le choix de matériaux, le moyen d’assemblage…

Variable du processus, PV : elles seront constituées des sous-programmes qui traite le PV


à savoir plusieurs sous domaine constituant l’espace de travail.

• Domaine Consommateur ; besoins des outils mécaniques qui l’aide à faciliter ces taches et
à minimiser des erreurs durant ses opérations
• Domaine Processeur : pour satisfaire se besoin nous concevons un établi en forme de T sur
lequel pourront être effectuer plusieurs différentes opérations qui respecterons le besoin du
consommateur.

63
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
5. TRIZ
A partir du problème spécifique, on formule un problème "standard" ou général, puis on utilise
TRIZ pour déterminer les solutions génériques, et enfin interpréter ces solutions génériques pour
en tirer des solutions spécifiques.

Discussion

TRIZ
Problème standard Solution standard
Travaux en atelier trop Optimiser l’espace de
travail pour que tous
Difficile et très fatiguant
soient fait dans 4m2

Problème spécifique Solution spécifique


Augmenter la précision de Support d’aide à la
travail pour couper, et précision pour meule et
assembler dans un perceuse. Puis clamp avec
premier temps angle

Figure 41 : Processus de conceptualisation mis en œuvre avec TRIZ

64
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
II. Résultats Analyse et Optimisation en Conception
II.1 Types d’analyses dans la conception
1. Optimisation en Conception Technique
Cas des Clamps
Discussion :

Le rôle de nos clamps ici c’est pour faciliter les opérations d’assemblages. Et nous
proposons deux clamps dont une amovible (c’est-à-dire une qui peut être varier en fonction de
l’angle voulu). Nous pouvons alors voir leur conception proposer (dessin d’ensemble et de
définition avec leur nomenclature) et des images de leur réalisation.
Schéma Cinématique Clamp

3 Liaison
2 Hélicoïdale

Figure 42 : Vue de Droite

65
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Graph de Cotation

3
2

Figure 43 : Chaine Ouverte

66
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
67
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Schéma Cinématique Clamp 2

Liaison Hélicoïdale

Liaison Pivot

1
Figure 44 : Vue de Dessus

Graph de Cotation

2
3

Figure 45 : Chaine Ouverte

68
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
69
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
70
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Cas du Support Porte Meule
Discussion :

Ce support a pour rôles d’augmenter la précision lors des opérations de coupe, de faciliter l’usage
de la meule et de minimiser les risques d’accidents. Leurs conceptions sont alors ainsi présentées,
suivi de l’image de sa réalisation
Schéma Cinématique Support Porte Meule

Liaison
3
Pivot

Ressort

1
Figure 46 : Vue de Droite

Graph de Cotation

Figure 47 : Chaine Fermer


3
71
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
72
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
73
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Proposition
Discussion :

Apres avoir pensées, conçus et réaliser nos différents outils à savoir deux clamps et un support
porte meule, pour palier a un problème de précision en atelier de fabrication mécanique, nous
sommes allés plus loin dans notre réflexion pour trouver des solutions aux problèmes de :

- Mauvaise organisation dans la plupart de nos ateliers


- Atelier salle et mal organiser
- Beaucoup d’effort fourni, pour un petit rendement

Alors, contre-tenu de ces quelques problèmes lister ci-dessus rencontrer dans nos ateliers, c’est
ainsi que pour parlier à ce problème nous proposons un établi en forme de T, qui occupera un
espace de travail de pas plus de 4 m2 et de 5 m2 lorsque l’opérateur effectuera des opérations de
travail déçus.

Lors de cette conception nous avons réfléchi sur le meilleur moyen de disposer nos différents
postes de travail. Et la disposition de ses postes sur l’établi est faite de manière logique pour rendre
le travail de l’opérateur facile, moins fatiguant et précis. Nous pouvons voir cette disposition sur la
figure suivante.

74
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
75
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Faudrait qu’on note que le logiciel de CAO ANSYS, nous permet d’obtenir les différents ou groupes de matériaux qui nous permettrons de pouvoir faire un meilleur choix par rapport aux différentes contraintes.
(Résultat a ajouté du logiciel ANSYS)

76
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
2. Contraintes, Déformation, et Déplacement
Données ; ν = 0.28 E = 210000 Nmm2 F = -400 N m = 17 Kg l = 440 mm
L = 110 mm e = 80 mm
Le vecteur force et la matrice de masse sont donnés respectivement par :
0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
17 0
−400 0 17 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
0 0 0 17 0 0 0 0 0 0 0 0 0
0 0
0 0 0 0 17 0 0 0 0 0 0
0 0 0 0
−400 0 0 0 0 17 0 0 0
0 0 0 0
𝐹= 0 𝑀=
0 0 0 0 0 17 0 0
0 0
0 0 0 0 0 0 17 0 0 0
0
0 0 0 0 0 0 0 17 0 0 0 0
−400 0 0 0 0 17 0 0 0
0 0 0 0
0
0 0 0 0 0 0 0 0 0 17 0 0
0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 17 0
−400 [ 0 0 0 17 ]
0 0 0 0 0 0 0 0
[ 0 ]
- La matrice de déformation est :
0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000
0.0005 1.6709 0.0278 0.0005 1.6667 0.0277 −0.0005 −1.6709 −0.0278 −0.0005 −1.6667 −0.0277
[𝐵] = 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000
1.6667 −0.0278 −0.0005 1.6624 −0.0278 −0.0005 −1.6667 0.0278 0.0005 −1.6624 0.0278 0.0005
0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000
( 0.0005 1.6709 0.0278 0.0005 1.6667 0.0277 −0.0005 −1.6709 −0.0278 −0.0005 −1.6667 −0.0277)

- La matrice de raideur est :


1.3680 − 0.0217 −0.0004 1.3646 −0.0217 −0.0004 −1.3680 0.0217 0.0004 −1.3646 0.0217 0.0004
−0.0217 4.0659 0.0676 −0.0217 4.0556 0.0674 0.0217 −4.0659 −0.0676 0.0217 −4.0556 −0.0674
−0.0004 0.0676 0.0011 −0.0004 0.0674 0.0011 0.0004 −0.0676 −0.0011 0.0004 −0.0674 −0.0011
1.3646 −0.0217 −0.0004 1.3611 −0.0216 −0.0004 −1.3646 0.0217 0.0004 −1.3611 0.0216 0.0004
−0.0217 4.0556 0.0674 −0.0216 4.0454 0.0673 0.0217 −4.0556 −0.0674 0.0216 −4.0454 −0.0673
−0.0004 0.0674 0.0011 −0.0004 0.0673 0.0011 0.0004 −0.0674 −0.0011 0.0004 −0.0673 −0.0011
𝐾 = −1.3680 0.0217 0.0004 −1.3646 0.0217 0.0004 1.3680 −0.0217 −0.0004 1.3646 −0.0217 −0.0004
0.0217 −4.0659 −0.0676 0.0217 −4.0556 −0.0674 −0.0217 4.0659 0.0676 −0.0217 4.0556 0.0674
0.0004 −0.0676 −0.0011 0.0004 −0.0674 −0.0011 −0.0004 0.0676 0.0011 −0.0004 0.0674 0.0011
−1.3646 0.0217 0.0004 −1.3611 0.0216 0.0004 1.3646 −0.0217 −0.0004 1.3611 −0.0216 −0.0004
0.0217 −4.0556 −0.0674 0.0216 −4.0454 −0.0673 −0.0217 4.0556 0.0674 −0.0216 4.0454 0.0673
[ 0.0004 −0.0674 −0.0674 0.0004 −0.0673 −0.0011 −0.0004 0.0674 0.0011 −0.0004 0.0673 0.0011 ]

- La matrice de rigidité est :


268464,4194 104402.8298 104402.8298 0.000000000 0.000000000 0.000000000
104402.8298 268464,4194 104402.8298 0.000000000 0.000000000 0.000000000
268464,4194 0.000000000 0.000000000 0.000000000
[𝐶] = 104402.8298 104402.8298
0.000000000 0.000000000 0.000000000 105000.0000 0.000000000 0.000000000
0.000000000 0.000000000 0.000000000 0.000000000 105000.0000 0.000000000
[ 0.000000000 0.000000000 0.000000000 0.000000000 0.000000000 42000.00000]

77
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Les matrices de Déformation, Raideurs, et Rigidité avec nos données lister ci-dessus ont été
nécessaire pour le calcul, l’obtention de ses matrices et seront nécessaire lors de nos calculs ci-
dessous

➢ Déterminons les Déplacements aux Nœuds


0
1.3680 − 0.0217 −0.0004 1.3646 −0.0217 −0.0004 −1.3680 0.0217 0.0004 −1.3646 0.0217 0.0004 −400
−0.0217 4.0659 0.0676 −0.0217 4.0556 0.0674 0.0217 −4.0659 −0.0676 0.0217 −4.0556 −0.0674 0
−0.0004 0.0676 0.0011 −0.0004
1.3646 −0.0217 −0.0004
0.0674 0.0011
1.3611 −0.0216 −0.0004
0.0004
−1.3646
−0.0676
0.0217
−0.0011 0.0004 −0.0674 −0.0011
0.0004 −1.3611 0.0216 0.0004
0
−0.0217 4.0556 0.0674 −0.0216 4.0454 0.0673 0.0217 −4.0556 −0.0674 0.0216 −4.0454 −0.0673 −400
−0.0004
𝑈 = −1.3680
0.0674 0.0011 −0.0004 0.0673 0.0011 0.0004 −0.0674 −0.0011 0.0004 −0.0673 −0.0011
𝑋 0
0.0217 0.0004
0.0217 −4.0659 −0.0676
−1.3646 0.0217 0.0004
0.0217 −4.0556 −0.0674
1.3680
−0.0217
−0.0217
4.0659
−0.0004 1.3646 −0.0217 −0.0004
0.0676 −0.0217 4.0556 0.0674
0
0.0004 −0.0676 −0.0011 0.0004 −0.0674 −0.0011 −0.0004 0.0676 0.0011 −0.0004 0.0674 0.0011 −400
−1.3646 0.0217 0.0004 −1.3611 0.0216 0.0004 1.3646 −0.0217 −0.0004 1.3611 −0.0216 −0.0004 0
0.0217 −4.0556 −0.0674
[ 0.0004 −0.0674 −0.0674
0.0216 −4.0454 −0.0673
0.0004 −0.0673 −0.0011
−0.0217
−0.0004
4.0556
0.0674
0.0674 −0.0216
0.0011 −0.0004
4.0454
0.0673
0.0673
0.0011 ]
0
−400
[ 0 ]

𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎
−𝟎. 𝟎𝟎𝟐𝟑
𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎
𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎
−𝟎. 𝟎𝟎𝟐𝟑
𝑼 = 𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟏
𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎
−𝟎. 𝟎𝟎𝟏𝟓
𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎
𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎
−𝟎. 𝟎𝟎𝟐𝟑
[ 𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎 ]
Commentaire
Les déplacements obtenus en utilisant la méthode de modélisation par élément fini sont en accord
avec les résultats obtenu avec le logiciel SolidWorks. Nous pouvons constater que pour une charge
de 400 N sur la structure le déplacement est de l’ordre du mm. (On note que le signe moins ici est
à titre indicatif, il nous indique le sens de la déformer)

78
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Résultat Logiciel

Figure 48 : Résultat SolidWorks Déplacement

Commentaire
Ici nous constatons que le déplacement est plus élevé sur la zone en rouge, comme la simulation
nous permet de voir.
➢ Calcul de la Matrice de Déformation
(Cette méthode est utilisée pour le cas des petites déformation)

79
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
[𝜀]
0.0000
−0.0023
0.0000
0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000
0.0005 1.6709 0.0278 0.0005 1.6667 0.0277 −0.0005 −1.6709 −0.0278 −0.0005 −1.6667 −0.0277 −0.0023
=
0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000
𝑋
0.0001
−1.6624 0.0278
1.6667 −0.0278 −0.0005 1.6624 −0.0278 −0.0005 −1.6667 0.0278 0.0005 0.0005 0.0000
0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000 0.0000
−0.0015
( 0.0005 1.6709 0.0278 0.0005 1.6667 0.0277 −0.0005 −1.6709 −0.0278 −0.0005 −1.6667 −0.0277)
0.0000
0.0000
−0.0023
[ 0.0000 ]

𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎
𝟎. 𝟎𝟎𝟏𝟐
[𝜺] = 𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎
𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎𝟐𝟏
𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎
[ 𝟎. 𝟎𝟎𝟏𝟐 ]
(A commenter)

➢ Déterminons la contrainte

𝜎=
268464,4194 104402.8298 104402.8298 0.000000000 0.000000000 0.000000000 𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎
104402.8298 268464,4194 104402.8298 0.000000000 0.000000000 0.000000000 𝟎. 𝟎𝟎𝟏𝟐
104402.8298 104402.8298 268464,4194 0.000000000 0.000000000 0.000000000 𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎
0.000000000 𝑋
0.000000000 0.000000000 105000.0000 0.000000000 0.000000000 𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎𝟐𝟏
0.000000000 0.000000000 0.000000000 0.000000000 105000.0000 0.000000000 𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎
[ 0.000000000 0.000000000 0.000000000 0.000000000 0.000000000 42000.00000] [ 𝟎. 𝟎𝟎𝟏𝟐 ]

𝟏𝟐𝟓. 𝟐𝟖𝟑𝟑
𝟑𝟐𝟐. 𝟏𝟐𝟕𝟑
𝟏𝟐𝟓. 𝟐𝟖𝟑𝟑
𝝈=
𝟐. 𝟐𝟎𝟓𝟎
𝟎. 𝟎𝟎𝟎𝟎
[ 𝟓𝟎. 𝟒𝟎𝟎𝟎 ]
Commentaire
Pour les résultats de contrainte obtenues ici on note que son unité ici est en Nmm-2 on note
également que les résultats obtenus n’excèdent pas la limite d’élasticité qui est de 6.204 X 108
Résultat Logiciel ;

80
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Figure 49 : Résultat SolidWorks Contrainte

Commentaire
La simulation de la structure nous a permis d’obtenir sa limite élastique qui est 620.4 MPa et
comme stipuler plus haut nos résultats n’excède pas cette dernière. Les résultats obtenus par le
calcul par la méthode de modélisation par élément fini sont identiques à quelques virgules prêtes.
6. Analyse Vibratoire

(K - ω2.M). U = 0
Cette équation admet des solutions non triviales si et seulement si :
det (K - ω2.M)=0
La résolution de cette équation (équation aux fréquences) donne les fréquences de vibration
suivante :
ω = 𝟒. 𝟐𝟗𝟓𝟎, 𝟑𝟐. 𝟓𝟓𝟕, 𝟐𝟓𝟗. 𝟓𝟕𝟒𝟐, 𝟕𝟐𝟔. 𝟐𝟑𝟗𝟒, 𝟑𝟐𝟐𝟖. 𝟒𝟓𝟗𝟏,
𝟒𝟑𝟏𝟎. 𝟑𝟔𝟕𝟑, 𝟓𝟔𝟔𝟓𝟗𝟕𝟏𝟎𝟏𝟔𝟓. 𝟏𝟔𝟐𝟔, 𝟗𝟕𝟕𝟎𝟐𝟑𝟔𝟓𝟔𝟐𝟏. 𝟕𝟖𝟒𝟖,
𝟐𝟏𝟖. 𝟗𝟎𝟏𝟗, 𝟐𝟗𝟖. 𝟏𝟏𝟓𝟐, 𝟔𝟏𝟕. 𝟔𝟔𝟐𝟖, 𝟐𝟏𝟖. 𝟗𝟎𝟏𝟗
Les fréquences admissibles de vibration de notre structure sont 4.2950 et 32557
-1
rads
7. Analyse de fatigue
Discussion
On note que pour ce calcul, nous supposons que les charges qui seront appliquées aux
deux systèmes seront uniformément repartis.

Cas de Clamp 1

Données ;

81
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
AB = 50 mm l=2m q = 10 Nm-1

AC = 100 mm Q = 200 N

Calcul de Réaction au point C

0.05
𝑅𝐶 = (200) = 𝟏𝟎𝟎 𝑵
0.1

Calcul de Réaction en A

(0.1−0.05)
𝑅𝐶 = (200) = 𝟏𝟎𝟎 𝑵
0.1

Calcul des Efforts Tranchant et Moment Fléchissant ; Tronçons [A, B]

𝑇 = 𝟓𝟎 − 𝒙

𝑀𝑓 = 𝟐𝟎𝒙 − 𝒙𝟐

Calcul des Efforts Tranchant et Moment Fléchissant ; Tronçons [B, C]

𝑇 = −𝟏𝟎𝒙 − 𝟖𝟎

𝑀𝑓 = 𝒙𝟐 + 𝟒𝟒𝒙 + 𝟑𝟔

Représentation Graphique Effort Tranchant et Moment Fléchissant

Discussion

Dans le cas du tronçon [A, B], on pose que x = de 0 à 0.05, et dans le tronçon [B, C], x = de 0.05
à 0.1. Alors nous aurons ;

82
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Figure 50 : Effort Tranchant Clamp1

Figure 51 : Moment Fléchissant Clamp1

Commentaire
Les résultats graphiques obtenu lors de la simulation dans le logiciel RDM7 sont similaire à ceux
obtenu dessiner graphiquement
Cas de Clamp 2

Données ;

83
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
AB = 50 mm l = 1.5 m q = 10 Nm-1

AC = 100 mm Q = 200 N

Calcul de Réaction au point A

𝑅𝐴𝑦 = 𝑄 = 𝟐𝟎𝟎 𝑵

Moment d’encastrement en A

𝑀𝐴 = (0.05). 200 = 𝟏𝟎 𝑵𝒎

Calcul des Efforts Tranchant et Moment Fléchissant ; Tronçons [A, B]

𝑇 = 𝟐𝟎𝟎 𝑵

𝑀𝑓 = 𝟐𝟎𝟎𝒙 − 𝟎. 𝟎𝟓

Calcul des Efforts Tranchant et Moment Fléchissant ; Tronçons [B, C]

𝑇 = 𝟐𝟎𝟎 𝑵

𝑀𝑓 = 𝟐𝟎𝒙 − 15

Représentation Graphique Effort Tranchant et Moment Fléchissant

Discussion

Dans le cas du tronçon [A, B], on pose que x = de 0 à 0.05, et dans le tronçon [B, C], x = de 0.05
à 0.1. Alors nous aurons ;

84
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Figure 52 : Effort Tranchant Clamp2

Figure 53 : Moment Fléchissant Clamp2

Commentaire

Les résultats graphiques obtenu lors de la simulation dans le logiciel RDM7 sont similaire à ceux
obtenu dessiner graphiquement.

85
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II.2 Résultats Dimensionnement et Choix D’un Ressort

Commentaire

Pour le choix du ressort, il est en fonctions des dimensions et doit se faire convenablement. Pour
bien sélectionner le ressort, il est bon de le faire sur la base des mesures. Et ces mesures sont faites
en fonction de ; la largeur, l’épaisseur, diamètre, longueur de spires. De ce fait, selon la charge
pour laquelle elle sera utilisée, il convient alors de faire attention à ses élément-là.

Données :

𝐾𝑏 = 4.38 d = 2 mm D = (De +Di) = 8.25 mm n = 53 G = 80000 Nmm-2

Course de Suspension

𝐬 = 𝟏𝟒. 𝟗𝟖 𝐦𝐦

Déterminons F

𝐅 = 80.64 N

Contrainte de Cisaillement

𝝉 = 𝟐𝟏𝟏. 𝟕𝟕 Nmm-2

Contrainte d’élasticité maximum

𝝉𝑴𝒂𝒙 = 𝟗𝟐𝟕. 𝟓𝟓 Nmm-2

Contrainte de Torsion

𝛔 = 𝟖𝟕𝟐. 𝟎𝟔 𝐍

Déterminons la Raideur

𝐑 = 𝟓. 𝟑𝟕 Nmm-1

Déterminons Fo

86
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
𝐅𝐨 = 𝟔𝟗. 𝟒𝟓 𝐍

Tension Admissible

𝑻𝒛𝒖𝒍 = 𝟐. 𝟒𝟓 Nmm-2

II.3 Gamme de Fabrication


Nous allons élaborer la gamme de fabrication des trois outils que nous avons réalisé dans
le cadre de notre projet de fin d’études.

87
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Tableau 8 : Gamme de Fabrication

CONTRAT DE PHASE Ensemble : Support Porte Meule Feuille : 1/6


Etablie le : Elément rep : Matière : Acier Nb : 00
Tube carrée 30 x 30 x 1.2 mm ; Tube carrée 80 x 40 x 2 mm ; Tube rectangulaire 60 x 20 x 2 mm ; Feuille de Tôle e = 2 et 8 mm
Pièce N° de Désignation Machine- Outillages Croquis/ Image De Réalisation Nombre
Phase Outil de pièce
Tube Carrée 10 Control du Mètre et 01
30 x 30 Brut Réglet

Longueur = 6000 mm
20 Traçage et Meule Mètre et 02
Découpage Réglet

Longueur = 540 mm
21 Traçage et Meule Mètre et 02
Découpage Réglet

Longueur = 360 mm
22 Traçage et Meule Mètre et 07
Découpage Réglet

Longueur = 440 mm
23 Traçage et Meule Mètre et 01
Découpage Réglet

Longueur = 130 mm

88
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Tube Carrée 30 Control du 01
80 x 40 Brut

Longueur = 500 mm
31 Traçage et Meule Mètre et 02
Découpage Réglet

Longueur = 130 mm
Tube 40 Control du 01
Rectangulaire Brut
60 x 20

Longueur = 500 mm
41 Traçage et Meule Mètre et 02
Découpage Réglet

Longueur = 130 mm

89
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Feuille de Tôle 50 Control du 01
(e= 8 mm) Brut

Largeur = 80 mm ; Longueur = 500 mm


51 Traçage et Meule Mètre et 01
Découpage Réglet

Largeur = 80 mm ; Longueur = 180 mm

90
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52 Perçage Fraiseuse Pied à
Coulisse

ᴓ = 12 mm
53 Traçage et Meule Mètre et 02
Découpage Réglet

Largeur = 80 mm ; Longueur = 100 mm


54 Perçage Fraiseuse Pied à 02
Coulisse

ᴓ = 12 mm

91
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55 Pliage Etau Rapporteur 02

900
Feuille de Tôle 60 Contrôle du 01
(e= 2 mm) Brut

Largeur = 400mm ; Longueur = 1500 mm

92
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
61 Traçage et Meule Mètre et 02
Découpage Réglet

Largeur = 380mm ; Longueur = 540 mm


62 Traçage et Meule Mètre et 01
Découpage Réglet

Largeur = 380mm ; Longueur = 265 mm

93
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63 Traçage et Meule Mètre et 01
Découpage Réglet

Largeur = 380mm ; Longueur = 265 mm


Support 70 Assemblage Poste à Niveau 01
souder, d’eau
Boulon,

94
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
CONTRAT DE PHASE Ensemble : Clamp Feuille : 2/6
Etablie le : Elément rep : Matière : Acier Nb : 00
Tube carrée 30 x 30 x 1.2 mm ; Feuille de Tôle e = 2 mm
Tube Carrée 10 Control du Mètre et 01
Brut Réglet

Largeur = 30 mm ; Longueur = 400 mm


11 Traçage et Meule Mètre et 04
Découpage Réglet

Largeur = 30 mm ; Longueur = 120 mm


Feuille de Tôle 20 Control du Mètre et 01
(e = 2 mm) Brut Réglet

Largeur = 380mm ; Longueur = 540 mm

95
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
21 Traçage et Meule Mètre et 01
Découpage Réglet

Clamp_1 30 Assemblage Poste à Niveau 01


Souder et d’eau
Boulon

CONTRAT DE PHASE Ensemble : Clamp Amovible Feuille : 3/6


Etablie le : Elément rep : Matière : Acier Nb : 00
Tube carrée 30 x 30 x 1.2 mm ; Feuille de Tôle e = 2 mm ; Cornière 30 x 30 x 6 mm
Cornière 10 Control du Mètre et 01
Brut Réglet

Longueur = 800 mm

96
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
11 Traçage et Meule Mètre et 03
Découpage Réglet

Longueur = 205 mm
12 Traçage et Meule Mètre et 02
Découpage Réglet

450
13 Perçage Fraiseuse Pied à 03
Coulisse

ᴓ = 12 mm

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Clamp_2 20 Assemblage Poste à 01
Souder et
Boulon

98
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
IV. Couts de Réalisation des Outils Réaliser
C’est le cout des achats que nous avons effectué pour la réalisation de nos outils fabriquer.
Elle est établie pour que nous puissions avoir le montant estimatif ou net pour le cadre d’un autre
projet identique ou similaire à celui-ci. Elle est faite sous la forme du tableau suivant ;
Tableau 9 : Coûts de réalisation

Désignation Caractéristiques Prix unitaire Qté Prix total


(F CFA) (F CFA)
Tube Carrée 30 x 30 x 1.2 mm 6 700 01 6 700
L=6m
Tube carrée 80 x 40 x 2 mm 1 000
L = 500 mm
Tube Rectangulaire 60 x 20 x 2 mm 1 000
L = 500 mm
Paumelle à Souder 01 1 000
Disque à couper Large 1 500 01 1 500
Feuille de Tôle 2 mm 1 500
Feuille de Tôle 8 mm 1 500
Boulon M 10; M16 ; 500 10 5 000
Rondelle ∅𝒊𝒏 = 𝟏𝟐𝒎𝒎 100 02 200
Peinture / Antirouille 2 500

Coût (en F CFA) 21 900 F CFA


Main d’œuvre 30% du coût 6 570 F CFA
Coût total (en F CFA) 28 500 F CFA

NB ; Nous notons que certains éléments acheter plus haut on été acheter en casse (parce que
le cout aurait été trop élevé et n’allait pas nous être utile plus tard).
On note également que la structure possédait déjà quelques éléments qui nous avons
trouvé sur site et qui nous ont été utile mais dont nous n’avons pas fait allusion dans notre
devis.

99
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
III.1 ESTIMATION DU COUT DE RÉALISATION DE
L’ETABLI DE TRAVAIL
C’est un devis estimatif, qui est fait pour avoir une idée du cout de la réalisation de notre
système. Elle est faite sous forme du tableau qui suit ;
Tableau 10 : Devis Estimatif de l’établi de travail

Désignation Caractéristiques Prix unitaire Qté Prix total


(F CFA) (F CFA)
Cornière 35 x 35 x 6 mm 9 000 03 27 000
L=6m
Planche en Bois (de 3000 x 2000 x 35 mm 12 000 02 24 000
type Hêtre)
Tube Rectangulaire 50 x 30 x 2 mm 10 000 02 20 000
L=6m
Electrode ordinaire 8 000 01 8 000
Peinture / antirouille 5 000
Boulon M6 500 06 3 000

Coût (en F CFA) 87 000 F CFA


Main d’œuvre 30% du coût 26 100 F CFA
Coût total (en F CFA) 113 000 F CFA

100
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
CONCLUSION ET PERSPECTIVES

Les problèmes rencontrés en atelier de fabrication mécanique ont souvent trait avec la
précision lors de certaines opérations de coupe et d’assemblage. L’objectif de ce mémoire était de
réaliser trois outils de fabrication mécanique nécessaire pour les opérations de coupe et
d’assemblage. Pour atteindre notre objectif, nous avons suivi une démarche constituée de cinq
grandes phases, à savoir ; la conception, le dimensionnement, l’évaluation du coût, la fabrication
et les tests de fonctionnement. Pour ce faire, après une phase de conception, des outils d’analyses
de conception ont été utilisés pour le dimensionnement. Nous avons poursuivi avec l’analyse du
coût, et les outils de réalisation. Lors de la conception les méthodes utilisés sont l’analyse
fonctionnelle, TRIZ, AZIOMATIQUE, durée de vie des produits. Nous avons ensuite poursuivi
avec le dimensionnement par les calculs des grandeurs tel que la contrainte, la déformation, le
déplacement, l’analyse vibratoire, l’analyse de la fatigue. Les outils nécessaires à cette réalisation
était la meule, une fraiseuse, les boulons et un poste à souder. Enfin, une évaluation des coûts du
matériel nécessaire à la réalisation de deux clamps et d’un support porte meule a été faite. Nous
avons fait une comparaison de résultats lors du dimensionnement manuel avec ceux obtenus grâce
aux logiciels RDM 6 et Solidworks. Nous pouvons dire que ces divers résultats concordent. Au
bout de notre réalisation, le but de ce travail était de rendre les outils réaliser opérationnel, ce qui a
été confirmer avec le test effectuer. L’ensemble de ce projet a nécessité l’utilisation de tubes carrés,
rectangulaires, d’un ressort de traction, paumelle et feuille de tôle pour une cinquantaine de mille
de coût de la fabrication.

En guise de perspectives, on pourrait réaliser les autres éléments de l’établi en veillant toujours
à ce que la précision soit de mise.

101
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
BIBLIOGRAPHIE

[1] NZIE W.,2021, cours de Conception Assistée par Ordinateur, cycle INGENIEUR en
Maintenance Industrielle et Productique, Niveau III, ENSAI, Université de Ngaoundéré ;
[2] Fath-Eddine Semmoud, Abderrahmane Belaidi, Idir Belaidi LEMM – Faculté des Sciences
de l’Ingénieur Université M’HAMED BOUGARA BOUMERDES [2]
[3] Fath-Eddine Semmoud, Abderrahmane Belaidi, Idir Belaidi LEMM – Faculté des Sciences
de l’Ingénieur Université M’HAMED BOUGARA BOUMERDES [3]
[4] Denis Choulier - Université de Technologie de Belfort Montbéliard, M3M CID [4]
[4] George Drãghici - Université Polytechnique de Timiºoara [4]
[5] S. Dominique, «Formulation préalable d’un problème de conception, pour l’aide à la décision
en conception préliminaire,» Ecole nationale supérieure d’arts et métiers - ENSAM, Centre de
Bordeaux , 2004.
[6] Catalogue Ressort de Traction : Boucles ALLEMANDES- www.VANEL.com
[7] TCHOUANKAM, CONCEPTION D’UNE FRAISEUSE CNC, Mémoire de fin d’études
d’Ingénieur de conception, 2021
[8] MOMO, CONCEPTION ET REALISATION D’UNE PETITE UNITE DE
CONDITIONNEMENT DE LIQUIDES, Mémoire de fin d’études d’Ingénieur de conception,
2021
[9] Catalogue Viserie et fixation – Mabeo Industries

vii
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
ANNEXE
Tableau 11 : Gamme de fabrication

CONTRAT DE PHASE Ensemble : Etabli Feuille : 4/6


Etablie le : Elément rep : Matière : Acier Nb : 00
Cornière 35 x 35 x 6 mm
Cornière 10 Control du Mètre et 03
Brut Réglet

Longueur = 6000 mm
11 Traçage et Meule Mètre et 06
Découpage Réglet

Longueur = 1100 mm

viii
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
12 Traçage et Meule Mètre et 07
Découpage Réglet

Longueur = 800 mm
13 Traçage et Meule Mètre et 04
Découpage Réglet

Longueur = 1500 mm

ix
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Etabli 20 Assemblage Poste à Souder Niveau 01
d’eau

CONTRAT DE PHASE Ensemble : Etabli Complet Feuille : 5/6


Etablie le : Elément rep : Matière : Acier et Bois (Hêtre) Nb : 00
Planche en Bois 3000 x 2000 x 30 mm
Planche 10 Contrôle du Mètre et 02
Brut Réglet

x
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Largeur = 2000 mm ; Longueur = 3000 mm ;
20 Traçage et Scie Sauteuse Mètre et 02
Découpage Réglet

Largeur = 780 mm ; Longueur = 1490 mm ;


21 Traçage et Scie Sauteuse Mètre et 02
Découpage Réglet

Hauteur = 365 mm ; Longueur = 780 mm ;

xi
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
22 Traçage et Scie Sauteuse Mètre et 01
Découpage Réglet

Largeur = 780 mm ; Longueur = 800 mm ;


Etabli de 30 Assemblage 01
Travail

xii
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
CONTRAT DE PHASE Ensemble : Chariot Pour Soudure Feuille : 6/6
Etablie le : Elément rep : Matière : Acier et Bois (Hêtre) Nb : 00
Tube Rectangulaire ; 50 x 30 x 2 mm Tube Carrée ; 20 x 20 x 1.2 mm
Tube 10 Contrôle du Mètre et 02
Rectangulaire Brut Réglet

Longueur = 6000 mm
20 Traçage et Meule Mètre et 02
Découpage Réglet

Longueur = 1010 mm
21 Traçage et Meule Mètre et 03
Découpage Réglet

Longueur = 1160 mm
22 Traçage et Meule Mètre et 03
Découpage Réglet

Longueur = 440 mm
23 Traçage et Meule Mètre et 02
Découpage Réglet

Longueur = 309 mm
24 Traçage et Meule Mètre et 01
Découpage Réglet

Longueur = 235 mm
25 Traçage et Meule Mètre et 02
Découpage Réglet

Longueur = 221 mm
26 Traçage et Meule Mètre et 03
Découpage Réglet

xiii
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
Longueur = 188 mm
27 Traçage et Meule Mètre et 03
Découpage Réglet

Longueur = 190 mm
28 Traçage et Meule Mètre et 03
Découpage Réglet

Longueur = 140 mm
29 Traçage et Meule Mètre et 01
Découpage Réglet

Longueur = 235 mm
30 Traçage et Meule Mètre et 02
Découpage Réglet

Longueur = 105 mm
31 Traçage et Meule Mètre et 01
Découpage Réglet

Longueur = 420 mm
32 Traçage et Meule Mètre et 01
Découpage Réglet

Longueur = 240 mm
Tube Carrée 10 Contrôle du Mètre et 01
Brut Réglet

Longueur = 6000 mm
20 Traçage et Meule Mètre et 01
Découpage Réglet
Longueur = 360 mm

xiv
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
21 Traçage et Meule Mètre et 03
Découpage Réglet
Longueur = 170 mm
22 Traçage et Meule Mètre et 08
Découpage Réglet
Longueur = 70 mm
Chariot à 30 Assemblage Poste à Niveau 01
Souder Souder, d’eau
Roue(x4)

xv
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson
vi
Rédigé par : Tchassem Simeu Kevin Nelson

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