2RDM TD1 21.06
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Le système présenté est un robot de soudage. Il permet de souder par points, 2 tôles. Le fonctionnement est
le suivant :
Le corps de vérin (2) est en liaison pivot autour du bâti (0) grâce à l’axe (8). La tige de vérin (1) pousse la pièce
(7) qui en pivotant autour de C « tire » la pièce (5). La pièce (5), pousse la pièce (4) fixée à (5), qui elle-même
pousse la buse (3) fixée à (4). C’est la buse (3) qui assure le maintien en position des 2 tôles et qui assure la
soudure.
4
3
𝑡ô𝑙𝑒 1 𝑡ô𝑙𝑒 2
𝐹 / ô
⃗
𝐴 /⃗
Buse (3)
Coude (4)
Axe (8)
Pour info :
Forme chape (0)
Résistance des matériaux GI FA
TD1 : Traction/compression – Cisaillement - Torsion G BOUCHER-O CONSTANT
La représentation d’une colonne de direction d’automobile est présentée ci-dessous. Après analyse du
fonctionnement de l’ensemble on vous demande d’indiquer les sollicitations et les sections sollicitées de la
colonne de direction, de la biellette et du porte fusée lorsqu’on tourne le volant vers la gauche.
éléments
grossis
Une pompe péristaltique permet de déplacer un fluide par une succession de contraction et décontraction
(capacité que possède un tube en matériau souple à se déformer, puis à reprendre sa forme initiale) après
avoir été écrasé par des galets. Les différents éléments de la pompe péristaltique sont : • un bâti ; • un
moteur ; • un réducteur ; • un porte-galets muni de deux galets ; • un tube déformable.
Une éprouvette de traction de longueur l=100mm, de diamètre d=10mm est en acier ayant pour
caractéristiques mécaniques :
1-1 calculer l’effort maximal Fe que l’on peut appliquer à l’éprouvette pour rester dans le domaine des
déformations élastiques.
1-2 Calculer l’allongement de l’éprouvette sous l’effort Fe.
1-3 Calculer l’effort nécessaire Fm pour atteindre la rupture de l’éprouvette
1-4
Une chaine de levage formée de maillons doit supporter une charge maximale F=40 000N.
arrivée/sortie d’huile
Exercice 7 : articulation
L’articulation cylindrique proposée sur la figure assure la liaison entre les solides 1 et 2 au moyen d’un axe 3
(articulation en chape). L’arrêt en translation de l’axe est assuré par 2 circlips 4.
1 : A quelle sollicitation est soumis l’axe (3). Identifier la ou les sections sollicitées.
2 : Déterminer le diamètre minimum de l’axe en prenant en compte les critères de résistance sachant que
L’effort maximum supporté par la liaison est de 11000 daN, le matériau de l’axe a une limite élastique Re =
34.5 daN/mm² et que l’on souhaite un coefficient de sécurité de 3.
On donne les relations entre Re et Rg :
Matériau Relation entre Re et Rg
Aciers doux, alliages d'alu (Re ≤ 270 MPa) Rg = 0,5 × Re
Aciers mi-durs (320≤Re ≤ 520 MPa) Rg = 0,7 × Re
Aciers durs, fontes (Re ≥ 600 MPa) Rg = 0,8 × Re
Exercice 8 : poinçon
z
F
(1)
(2) y O
l a
La barre (1) de section rectangulaire est assemblée au gousset (2) par deux cordons de soudure d’épaisseur
a=3mm et de longueur l. Sur la barre s’exerce une force F de support (o,x) telle que F=1.5.104N. On
considère que le métal d’apport utilisé pour la soudure est parfaitement homogène avec les tôles soudées.
de contrainte limite au cisaillement Rg=200MPa. On adopte un coefficient de sécurité s=4.
2 : identifier la surface sollicitée. Exprimer cette surface en fonction des données du problème.
3 En prenant en compte les critères de résistance, calculer la longueur minimale l des cordons de
soudure ?
4 Quel est le risque si le métal d’apport n’est plus tout à fait homogène avec les tôles.
Exercice 10 : accouplement
Les accouplements sont des moyeux de transmission de puissance entre un organe moteur et un autre
récepteur.
Soit à transmettre une puissance P=10 KW entre un moteur électrique 1, tournant à une fréquence N=1500
tr/min , et d’un récepteur 2 par l’intermédiaire d’un accouplement rigide 3.
On donne : D=30 mm - d= 0.8D=24 mm – L=100 mm - Rpg acier = 100 MPa - Gacier=80000 MPa
Résistance des matériaux GI FA
TD1 : Traction/compression – Cisaillement - Torsion G BOUCHER-O CONSTANT
L’accouplement étant modélisé comme étant une poutre rectiligne représentée par sa ligne moyenne Lm :
La figure ci-après représente un boîtier de direction pour automobile dans sa position “conduite en ligne
droite”. La manœuvre du volant, lié à l’extrémité de la colonne de direction (1) provoque le déplacement en
translation de l’écrou à billes (2). Suivant l’état de la route et la vitesse du véhicule, l’écrou (2) exerce sur la
colonne (1) un couple résistant plus ou moins important.
Hypothèses :
On suppose que la colonne (1) est assimilable à une poutre droite cylindrique pleine. Les dimensions de la
colonne de direction (1) sont les suivantes :
- Diamètre d, longueur entre le volant et la vis à billes L = OA = 780 mm
- La colonne (1) est en acier dont les caractéristiques sont :
*𝜏e= 300 N/mm2 et G = 8,4.104 N/mm2
* Couple résistant maximal exercé en O par l’écrou (2) sur la colonne (1) : C = 60 N.m.
* Coefficient de sécurité s = 5.
colonne de direction
2
Boîtier de direction
Boîtier de direction
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