Cours de Psychologie Clinique Et Pathologique
Cours de Psychologie Clinique Et Pathologique
Cours de Psychologie Clinique Et Pathologique
Licence 1- Cours 1
Reportage M6 Sur l’inceste Dimanche soir
Le métier de psychologue c’est comprendre comment fonctionne l’autre,
comprendre pourquoi elle dysfonctionne.
La psychologie est une science
Une science c’est une discipline qui est faite de théorie
Théorie = corpus de connaissances
Mais une théorie est une hypothèse qu’on essaient d’invalidé la théorie pour
passer à la théorie suivante. Une science c’est un ensemble de discipline avec
des corpus de connaissances qui sont transitoires. La science se sont des savoir
transitoires que l’on confronte au réel et non une réalité infaillible. Il n’y a
aucunes certitudes. Le dogme l’emporte, ce sont des idées, des convictions qui
ne sont pas véritable. La psychologie humaine c’est un corpus de connaissance
qui va souvent à l’inverse de ce que l’on pensait que la personne était.
Expérience de Mill gram : comment des personnes lambdas peuvent devenir en
quelques secondes un criminel ? l’élève se trompe et une décharge lui est
envoyée de 5 jusqu’à 450 volt. Ce sont des fausses décharges, le compère jouant
le rôle de l’élève ne reçoit jamais une seul décharge. Le sens commun pensait
que personne ne lancerait de décharge. Le sens commun c’est ce qui nous fait
croire que les monde est ce que l’on veut qu’il soit et non ce qu’il est réellement.
Peut être qu’à l’intérieur de nous quelque chose pourrait nous faire dérailler.
Pendant des dizaines d’années les spécialistes pensait que l’inceste ne pouvait
pas être une réalité mais simplement un fantasme. Le rapport aux femmes est un
problème dans la société, les évènements de balance ton porc permettent au
monde de se rendre compte que la société ne va pas bien. Faire de la
psychologie c’est faire de la politique, c’est contribué à soigner les gens, c’est
aussi réparer bout à bout une société en morceaux. Il y a une raison à chaque
comportement, chaque trouble. C’est la seule solution que nous ayons trouvé
pour ne pas se noyer. Ce qui nous intéresse c’est de réparer. Notre discipline
n’est pas un dogme. On ne fait pas que de la psycho, avant de choisir, donnez
vous au moins le temps de regarder ce qui existe. Soyez curieux.
1. Introduction à la psychologie clinique
La psychologie clinique c’est une approche qui s’occupe des individus on
y introduit la psychopathologie = psy des troubles pathologies cliniques.
Pathologie mentales se sont des troubles qui organise un rapport a soi
même et au monde désordonné= rapport altéré au monde. Le rapport a
dieu peut être pathologique par ailleurs.
Le terme psychopathologie est ancien, il est apparu en Allemagne à la fin
du XVIIe siècle (1783)
La psychologie clinique est un rapport à l’état émotionnel centré sur les
patients.
La psychologie clinique est différente de la psychanalyse.
Le mot clinique vient du grec Klinô que l’on peut traduire par incliner ou
encore faire pencher
Dogme= religion, dogme politique sans discussions sur le plan scientifique.
Toute les approches nous constitue en tant que disciplines.
On convoque plusieurs intelligence pour saisir le même phénomène
L’objectif de la clinique, du médecin c’est de toucher le malade, on va avec
d’autres indicateur s’inscrire dans la relation. Aujourd’hui, avec la caméra,
on est capable d’avoir des indicateur sur l’état émotionnel des patients grâce
aux variations des couleurs du visages, grâce au rythme cardiaque. Grâce à ce
rythme cardiaque on est capable de décomposer le système nerveux
sympathique qui s’active lorsque vous êtes stressé et le parasympathique
s’active lorsque vous êtes en relaxation. Le clinicien s’intéresse à ce qu’il se
passe il s’interesse à ce qui se dit et ne se dit pas
‘’les chats, qui aiment les souris, sont affectueux »
‘’les chats qui aiment les souris, sont affectueux »
Le langage n’est pas simple, on ne parle jamais sur un pôle explicite on parle
toujours sur un pôle implicite ce n’est jamais ce que les gens disent qui
compte c’est ce que les gens vous disent. Il faut comprendre implicitement ce
que les gens veulent nous dire. Dans la relation thérapeutique c’est
extrêmement compliqué qu’est ce qu’il veut me dire ? qu’est ce qu’il ne me
dit pas ? Qu’est-ce qu’il veut exprimer ? Qu’est-ce qu’il dit avec ces
symptômes ? qu’est ce que je peux décrypter ? La clinique dépasse toujours
la théorie, les patients nous mettent en difficulté mais cela nous fait avancer.
Il y a quelque chose d’un rapport à l’autre. Il faut une ecoute et une mise en
perspective permanente de ce qui a été dit, une référence au contexte de la
relation thérapeutique. La psychothérapie c’est une tango à deux. Il n’y a rien
de systématique, plus on est bon plus on nous envoient les cas lourds. Parfois
la discipline n’a pas les réponses. C’est un métier ou il faut s’interroger sur
soi – même, c’est un travail qui questionne sur ce que l’on est. Avoir une
structure du moi assez solide pour ne pas se laisser démonter. Il faut prendre
du recul, il faut une épaisseur du moi solide. Il ne faut pas être séduits par des
patients qui sont dans la séduction, ce qui se joue dans nos cabinets est
important pour eux.
Il vaut mieux ramper que de ne pas marcher, plus on est confronté a des
évènements traumatiques plus il y a de problèmes d’addiction.
4. l’Etiologie
Peut être il faut inscrire les evenements dans nos histoire, notre vie n’est pas
un long fleuve tranquille, notre cerveau enregistre tout. Comment est ce que
l’on vas inscrire les choses dans une démarche qui est à la fois psychogenèse,
l’orgagenèse et la sociogenèse. Notre rapport aux choses n’est pas le même.
Nos environnements sociaux joue aussi un rôle nous ne sommes pas égaux
d’un point de vue psychosocial.
4.2 le cas de la dépression
On sait qu’il existerait des prédispositions. La famille ne peut pas être un
élément explicatif seulement au sens de l’hérédité. Ne surtout pas sur
protéger les enfants, cela peut créer un état anxieux à l’âge adulte.
L’insécurité est alors transmise, car indirectement on dit à l’enfant « le
monde est dangereux, il faut avoir peur ». si on vous implante en mémoire
l’idée que le monde est dangereux, l’idée que les filles c’est des commère
qu’on peut faire confiance à personne… à un moment donné si on commence
à l’intégrer on verra le monde comme ça. A un moment donné le rapport au
monde devient alors anxiogène. La dépression n’est pas simplement une
composante psychologique, la dépression c’est aussi un disfonctionnement
cérébral, quoi qu’il en soit la dépression comme toute les pathologies
s’inscrit au niveau cérébral. La dépression c’est un défaut de sérotonine, les
anti dépresseurs facilite donc la création de ces neuro transmetteurs. Soit on
fait de la psycho thérapie soit on prend des médicaments en parallèles. Le
travaille du thérapeute c’est de comprendre pourquoi on en est arrivés là.
Plusieurs familles d’anti dépresseur qui agissent à plusieurs niveaux.
Il se peut qu’au bout d’un certain temps les molécules ne suffisent plus. Y a
encore un tabou au niveau des psychotrope
Neurone presynaptique ?
Partie du cerveau qui dysfonctionne
Modèle neurologique et cérébral
Montrer par des méthodes que quelque chose dysfonctionne
Modif électro encephalogrammes, elles mettent en évidence le fait qu’il y a
une plus faible activité du cortex près frontal.
Dysfonctionnement lié au cortex près frontal.
Ça veut dire que la psychologie clinique n’est pas que de l’affecte.
Le trouble du sommeil par exemple caractérise la dépression.
Sommeil paradoxal = sommeil profond / rêves.
Dysfonctionnement du sommeil
Perte de neurones
Ce qui conduit à la baisse de l’épaisseur du cerveau.
On peut agir sur nos états émotionnels avec nos régimes alimentaires
Fruit = réduction de la dépression et du stress
Sémiologie et psychopathologie de l’adulte
études des signes cliniques
tt manifs spont d’une maladie (voir diapo)
il faut bien poser ces questions afin d’avoir toutes les réponses car nous
n’avons pas de symptômes manifeste
Sémiologie = étude des signes
Tableau clinique complet = partiel.
Symptômes A-B
Diagnostic différentielle = alternatif = qui vient concurrencer le 1 er
diagnostic.
Phénomène pathologique à une valeur d’adaptation reflet d’un processus
défensif
Inscription dans une histoire de vie
Ce qui compte c’est la singularité de la personne en face de nous.
Il faut dstinguer deux niveau d’analyse
- Sémiologie
- Processus psycho pathologique
Sémio = attraper un ensemble d’éléments = possibilité de poser un diagnostique
Diagnostique relève d’une démarche diagnostique =tjrs transitoire
Diagnostique en constante évolution
On peut avoir des couches sucessive d’éléments diagnostics
Trouble = dimension diacronique = conséquence d’une réactivité à une situation
Synchronie = inscription des trouble dans une histoire de vie, familiale , social
…
Ne pas confondre déclencheur et traumatisme
Diagnostics = développer le diagnostic psychothérapeutique
Analyse psychopathologique = comprendre la manière du patient d’organiser
son rapport au monde
Cela consiste à nous sauver
Défensive = utile , fondé…
Déni = escamoter la maladie (ex = déni de grossesse, cancer…)
On met souvent tout de coté en déployant des stratégies. On projette beaucoup
sur les personnes en face de nous.
Agression sexuel = acte abusif qui vise a soumettre une personne à ses propres
désirs.
On peut se dire que les gens sont beaux, qu’il est agréable à l’œil mais il y a une
différence entre le penser et ne pas passer à l’acte. Il faut du fantasme mais qui a
dit qu’il fallait assouvir ces fantasme ? Quand on le fait dans la réalité on est
toujours déçue sachez le bien parce que le fantasme est au-dessus de la réalité.
Les femmes, les Hommes ne sont pas des objets. La normalité c’est d’avoir des
désirs , mais de ne pas user de la violence, de ne pas user de pouvoir pour faire
du mal et obtenir ce que je veux moi. Si on réaliser tous nos rêves au moment ou
on les a sans travailler juste en volant ou brisant des vies, nous ne serions que les
dépositaires du mal, on redeviendrais à nos instinct les plus primaires, on
VIOLE toutes les lois. Si on prends des signes pour des consentements alors que
se n’en sont pas, c’est nous le problème. Des l’enfance on dit aux enfants quand
ils veulent quelque chose, on ne peut pas leur donné tout de suite tout ce qu’ils
veulent sinon ils penseront qu’ils peuvent tout faire sans efforts. On lui explique
qu’on ne peut pas tout avoir toute suite, que la vie ce n’est pas ça. Faire ça c’est
faire rentrer l’enfant dans une pensée qu’il aura adulte afin de gérer sa
frustration.
On ne peut pas juste se focaliser sur ce qu’est la personnalité, la conception que
l’on a de la personnalité est un peu insuffisante. L’environnement joue beaucoup
sur l’enfant, sa stabilité familiale lui apprendra donc a gérer sa colères, ces
tristesses, ces frustrations dans le cas inverses l’enfant sera livré à lui-même une
fois à l’age adulte.