La Réalité de Pratiquer Des Soins: République Algérienne Démocratique Et Populaire
La Réalité de Pratiquer Des Soins: République Algérienne Démocratique Et Populaire
La Réalité de Pratiquer Des Soins: République Algérienne Démocratique Et Populaire
Populaire
POPULAIREMINISTÈRE DE LA SANTE
Présenté par :
RAMDANI HIBAT ALLAH FATIMA
CHERIF AYA
Dirigé par :
M elle
; MITALCI PEPM
Le choix du thème
Problématique
Hypothèse
Objectifs
Palliatifs
1) Quelques Définition
Histoire des soins palliatif 1
2 Définition des soins palliatifs
3 Objectifs et but soins palliatifs
4 Les bénéficiers des soins palliatifs
5 Les dimensions du soin palliatif
5.1soins de confort ou de « nursing »,
5.2traitements antidouleur
5.3 accompagnement,
5.4 la prise en charge psychologique
5.5 démarche d’accompagnement des proches,
5.6 « projet de vie » mis en place par les centres sociaux-
médicaux.
Organisation du système en algeria.6
6.1 Les prestataires de ces soins :
*En institution
*A domicile
*les réseaux de maintien à domicile
II. Chapitre03 rôle de l’ISP dans une unité de soins
2) Quelques Définition
3) Objectifs
4) Classifications de soins infirmier
5) Le role de l infirmier on oncologie
Partie 02 : partie pratique
A. Méthodologie de la recherche
I. Choie de la méthode
II. Description de l’ outil
III. Population d’étude
IV. Limite spatio-temporel
V. Échantillonnage
VI. Le dépouillement et l’ analyse des données
B. Analyse des données
C. Analyse Globale
D. suggestions
E. CONCLUSION
F. Bibliographie .
G.ANNEXES
H.lexique
Problématique
Hypothèses
Les objectifs
Être bien formés aux soins palliatifs. Cela signifie avoir des
connaissances et des compétences spécifiques pour soulager
la douleur et les autres symptômes physiques, répondre aux
besoins psychologiques et sociaux des patients, et soutenir la
communication et la prise de décision.
Broncho-
Masculin 28,2
pulmonaire
3. Classification TNM :
Classification du cancer : TNM, grade, stade Apprenez-en plus sur les divers systèmes de
classification des cancers.https://cancerquebec.ca/information-sur-le-cancer/le-cancer/
classification-cancer
Facteurs de risque
Les facteurs de risque de développer un cancer sont nombreux.
Certains facteurs de risque sont modifiables, tandis que d'autres
ne le sont pas.
Facteurs nutritionnels :
https://www.e-cancer.fr/Comprendre-prevenir-depister/Qu-est-ce-qu-un-cancer/Facteurs-de-
risque
Le diagnostic
Le diagnostic d’un cancer nécessite la réalisation de plusieurs examens
cliniques, biologiques et d’imagerie. L’ensemble de ces examens permet
de proposer au patient la stratégie thérapeutique la plus adaptée à son
cas.
L’examen clinique :
L’examen clinique est une étape indispensable. Le médecin examine
le patient : il mesure son pouls, sa tension, il écoute sa respiration...
Un examen spécifique de la région potentiellement atteinte est aussi
conduit : examen
des seins, examen gynécologique, examen de la bouche ou de la
gorge…
L’imagerie médicale
La radiographie
L'échographie
Le scanner
L'IRM
La scintigraphie
Le PET-scan
Les biopsies
La biopsie est un examen incontournable lors d’un diagnostic de
cancer. Elle seule permet de confirmer le diagnostic et de préciser la
nature de la lésion cancéreuse. En pratique, la biopsie consiste à
prélever un échantillon de tissu suspect pour l’examiner par
microscopie.
L’analyse des tissus est effectuée par un anatomo-pathologiste. Elle
est parfois complétée par une caractérisation moléculaire qui vise à
rechercher les spécificités des cellules (dont les marqueurs tumoraux)
qui forment la tumeur et à orienter le pronostic et/ou le traitement.
Le bilan d'extension
Lorsqu’un cancer est diagnostiqué, il est indispensable de connaître
son état d’avancement. Il est notamment crucial de savoir si la
maladie s’est propagée à d’autres organes. Le bilan d’extension a
pour objet de répondre
à ces questions. Il est établi à partir des résultats des examens
diagnostiques, parfois complétés par un ou deux examens
complémentaires.
In fine, ce bilan permet à l’équipe médicale d’évaluer le stade de la
maladie selon la classification TNM et ainsi de déterminer la stratégie
thérapeutique la plus adaptée.
Quelques précisions
Possible lorsque le patient est valide ou semi-valide, mais nécessite une aide
partielle pour se déplacer et se laver.
DOUCHE Certains aménagements pourront alors être proposés par un ergothérapeute afin
de maximiser l’autonomie du patient et de réduire les risques de chute : siège de
douche, barre d’appui, planche ou siège de bain…
TOILETTE Ce type de toilette est réalisé lorsque le patient est dépendant et ne parvient pas à
AU LIT se mobiliser. Dans ce cas, le choix d’un lit médicalisé s’impose afin de faciliter le
travail de l’infirmier et d’assurer le confort du patient.
5.2/Définition de la douleur
Selon l’International Association for the Study of Pain (IASP), la douleur est définie comme
étant « une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée à des lésions
tissulaires réelles ou potentielles, ou décrites en des termes évoquant de telles lésions »
https://www.chuv.ch/fileadmin/sites/pha/documents/mup_severine_chavaillaz_final.pdf
Traitements analgésiques
Les guidelines précédentes préconisent l’emploi de différentes sortes d’antalgique que l’on
peut séparer grossièrement en 3 classes :
Les analgésiques non opioïdes
Les analgésiques opioïdes
Les adjuvants (co-analgésiques)
https://www.chuv.ch/fileadmin/sites/pha/documents/
mup_severine_chavaillaz_final.pdf
5.3/accompagnement
Selon Virginia Henderson : « le rôle essentiel de l’infirmière consiste à aider
l’individu malade au maintien ou au recouvrement de la santé ».
L’accompagnement se définit comme l’action d’être et de cheminer avec une
personne, de l’entourer, de la soutenir physiquement et moralement. On
parle de soins d’accompagnement ou de soins relationnels. Ils ont pour
objectif d’aider une personne à traverser une période néfaste avec le
minimum de difficultés.
Cette compétence tournée vers l’infirmière et qui devrait l’aider à rester au lit
du malade, du patient, du soigné, du client, bref de la personne que l’on
soigne.
C’est dans ce cadre et afin d’établir un continuum entre l’accompagnement du
soigné, que nous connaissons tous et le nécessaire accompagnement du
soignant, que nous connaissons moins, que je me suis penché sur le terme :
accompagnement. Voilà où j’en suis de ma réflexion.
Le temps d’accompagnement n’est pas défini au préalable, il est modifié,
rallongé en fonction de l’état du patient. Par conséquent personne ne peux
prédire si t’elle ou telle patiente aura besoin de plus ou moins de temps
d’accompagnement.
L’accompagnement fait partie des soins relationnels pratiqué par une
infirmière. Ce temps
commence dès la consultation d’annonce et continue jusqu'à la fin de la
maladie.
Afin que celui-ci soit entièrement efficace, le soignant doit porter une
attention à la personne entière dans tous ce qui la caractérise.
https://paramedz.com/infirmier-memoire/memoire-infirmier-laccompagnement-dune-
patiente-atteinte-dune-alopecie-post-chimiotherapie/
La psychoéducation :
La psychothérapie
Le soin de support