Arithmetic 2003 To 2023
Arithmetic 2003 To 2023
Arithmetic 2003 To 2023
AT
Exercice 1: Session Normale 2003
R
R ∗ 2
On considère dans (N ) , l’équation (E) suivante:
A
x2 (x2 + 7) = y(2x + y)
x = δa et y = δb
LO
2a + b = ka2 et δ 2 a2 + 7 = kb
a(ka − 2) = b
AT
(d) Comme a = 1, l’égalité (∗) devient:
δ 2 + 7 = b(2 + b) = b2 + 2b
Alors: b2 + 2b + 1 = δ 2 + 8. Finalemnt:
R
(b + 1)2 = δ 2 + 8
R
2. D’après la question précédente, on a (b + 1)2 − δ 2 = 8. Alors:
A
(b + 1 − δ)(b + 1 + δ) = 8
Ainsi:
U
(b + δ + 1, b − δ + 1) ∈ (1, 8); (2, 4); (4, 2); (8, 1); (−1, −8); (−2, −4); (−4, −2); (−8, −1)
LO
b=2 et δ=1
Donc: x = 1 et y = 2.
.E
Conclusion:
L’unique solution de l’équation (E) est donné par le singleton:
(1, 2)
H
2. (a) Par l’absurde, on suppose que: a2 + b2 + c2 est un carré parfait, alors il existe un
AT
entier naturel n tel que: a2 + b2 + c2 = n2 .
Comme a, b et c sont impairs, alors n2 est impair. Donc n est impair.
D’après la question précédente, on a:
R
C-à-d: n2 = a2 + b2 + c2 ≡ 3[8] et n2 ≡ 1[8].
R
Ainsi: 3 ≡ 1[8], puis 2 ≡ 0[8]. Absurde.
On conclut que a2 + b2 + c2 n’est pas un carré parfait.
A
(b) On a: a + b + c est impair, alors d’après la première question (a + b + c)2 ≡ 1[8].
Par conséquent:
U
(c) Par l’absurde, s’il existe un entier naturel n tel que: 2(ab + ac + bc) = n2 , alors
LO
(d) Par l’absurde, on suppose que (ab + ac + bc) est un carré parfait.
On a: ab + bc + ac est impair. Alors, il existe un entier n impair tel que:
ab + bc + ac = n2
H
3x − 2y = 1
2. Soit n ∈ N.
(a) Montrer que le couple (14n + 3, 21n + 4) est une solution de l’équation (E).
(b) En déduire que les deux nombres 14n + 3 et 21n + 4 sont premiers entre eux.
(a) Montrer que les deux nombres A et B sont divisible par le nombre n − 1 dans Z.
(b) Déterminer selon les valeurs de n, le plus grand commun diviseur de A et B.
AT
1. On a: 3 ∧ 2 = 1 | 1. Alors l’équation (E) admet au moins une solution dans Z2 .
On a: (1, 1) est une solution particulière de l’équation (E).
Soit (x, y) une solution de l’équation (E).
R
3(x − 1) = 2(y − 1) (∗)
R
Alors: 3 divise 2(y − 1) et 2 divise 3(x − 1).
Puisque 3 ∧ 2 = 1, alors d’après le théorème de Gauss, on a:
A
Il existe k ∈ Z, tel que: y = 1 + 3k et x = 1 + 2k
En remplaçant y dans (∗) on trouve qu’il s’agit bien du même k
U
(14n + 3) ∧ 21n + 4 = 1
d = 13 ⇐⇒ n ≡ 6[13]
4. (a) On a:
A= 21n2 − 17n − 4
= 17n(n − 1) + 4(n2 − 1)
= (n − 1)(17n + 4(n + 1))
= (n − 1)(21n + 4)
Et:
AT
= 8n2 (n − 1) + 20n3 − 17n − 3
2 2 3 3 2
= 8n (n − 1) + 17n(n − 1) + 3(n − 1) ; n − 1 = (n − 1)(1 + n + n )
R
= (n − 1)(28n2 + 20n + 3)
R= (n − 1)(2n + 1)(14n + 3)
Ainsi, n − 1 divise A et B.
(b) On a d’après la question 2.(b). (14n + 3) ∧ (21n + 4) = 1.
A
Alors: (21n + 4) ∧ (2n + 1)(14n + 3) = (21n + 4) ∧ (2n + 1) = d.
1er cas: Si d = 13.
U
n − 1; sinon
p2 − 1 = 4q(q + 1)
Partie II:
Soit a un entier naturel tel que: a ∧ 24 = 1.
p≡1 ou p ≡ 2[3]
Ainsi:
p − 1 ≡ 0[3] ou p + 1 ≡ 3 ≡ 0[3]
D’où: 3 divise (p − 1)(p + 1).
Donc: p2 ≡ 1[3].
AT
2. (a) On a p > 5, alors p est impair. D’où, il existe q ∈ N∗ tel que: p = 2q + 1.
Ainsi, p2 − 1 = (2q + 1)2 − 1 = (2q + 1 − 1)(2q + 1 + 1) = 4q(q + 1).
(b) On a: q et q + 1 sont deux entiers consécutifs, alors leur produit est pair.
R
Ainsi 2 divise q(q + 1). Par conséquent: 8 divise 4q(q + 1) = p2 − 1.
Finalement: p2 ≡ 1[8].
R
3. D’après ce qui précède, on a: 3 | (p2 − 1) et 8 | (p2 − 1). Comme 3 ∧ 8 = 1, on conclut
que: 3 × 8 divise p2 − 1.
A
Finalement: p2 ≡ 1[24]
Partie II:
U
1. On a: a ∧ 24 = 1 et 24 = 23 × 3. Alors a ∧ 3 = 1 et a ∧ 8 = 1.
Ainsi a2 ≡ 1[3] et a2 ≡ 1[8]. Comme 3 ∧ 8 = 1, on conclut que: a2 ≡ 1[24].
LO
a2k ≡ 1[24]
.E
Par conséquent:
a21 + a22 + · · · + a223 ≡ 1 + · · · + 1 ≡ 23[24]
H
(5k2 + 4k − 1) ∧ (5k + 1) = (k − 3) ∧ 8
AT
divise pas.
Si 5 divise x − 2, alors x ≡ 2[5].
Sinon, si 5 ne divise pas x − 2. Puisque 5 est premier alors 5 ∧ (x − 2) = 1. Par
le théorème de Gauss, on a: 5 divise x + 4.
R
Ainsi x ≡ −4 ≡ 1[5].
Conclusion:
R x ≡ 1[5] ou x ≡ 2[5]
A
(b) Si x ≡ 0[5], x ≡ 3[5] ou x ≡ 4[5], alors l’équation (E) n’admet pas de solution
dans Z2 .
U
Ainsi, l’équation (E) devient: 25k2 + 30k + 9 = 9 + 5y, alors y = 5k2 + 6k.
Conclusion:
L’ensemble S des solutions de l’équation (E) est donné par:
.E
2.
(x) (y)
3. On a: 121 = 1 + 2x + x2 = (1 + x)2 et 59 = 9 + 5y.
H
Alors, il s’agit de choisir parmi les solutions (x, y) de l’équation (E) celles vérifiant:
x∧y =8 et x ≡ 1[5]
k−3∧8=8
x2 (x + y) = y 2 (x − y)2
d=x∧y ; x = ad et y = bd
AT
1. (a) Vérifier que:
db2 (a − b)2 = (a + b)a2
(b) En déduire que: b = 1.
R
(c) Montrer que a 6= 1 et que le nombre a − 1 divise le nombre a + 1.
(d) En déduire que: a = 2 ou a = 3.
R
2. Résoudre dans N∗ × N∗ , l’équation (E).
A
Correction de l’Exercice 6 (Normale 2006)
1. (a) On remplace x et y dans l’équation (E), on trouve alors :
U
On simplifie par d 6= 0 :
D’où : b = 1.
(c) Par l’absurde, on suppose que a = 1, alors : x = y. Ainsi, l’équation (E) devient :
2x3 = x2 × 0 = 0
H
x = 2y ou x = 3y
y = 12 puis x = 24
AT
Si x = 3y, alors tout calcul fait, on arrive à :
y=9 puis x = 27
R
{(24, 12); (27, 9)}
R 2
Exercice 7: Session Normale 2007
On considère dans Z l’équation: (E) : 195x − 232y = 1
A
1. (a) Déterminer le plus grand diviseur commun des nombres 232 et 195.
U
AT
dans Z2 .
Méthode 1:
Cherchons une solution particulière. Par (∗), on a:
1= 7 − (10 − 7) × 2
R
= 3 × 7 − 2 × 10
R = 3 × (37 − 10 × 3) − 2 × 10
= 3 × 37 − 11 × 10
= 3 × 37 − 11 × (195 − 37 × 5)
A
= 58 × 37 − 11 × 195
= 58 × (232 − 195) − 11 × 195
U
= 58 × 232 − 69 × 195
= 195 × (−69) − 232 × (−58)
LO
AT
3. (a) Soit (a, b) ∈ A2 tel que f (a) = f (b).
On a, alors, a195 ≡ f (a)[233] et b195 ≡ f (b)[233].
D’où: a195 ≡ b195 [233].
Premier cas: Si a = 0.
Alors b195 ≡ 0[233]. Or 233 est premier, alors b ≡ 0[233]. Comme 0 6 b < 233,
R
on conclut que b = 0.
Puisque a et b joue des rôles symétrique, alors on peut conclure sans perte de
R
généralité que si b = 0 alors a = 0.
Deuxième cas: Si (a, b) ∈ A2 \{0}.
A
On a: a195 ≡ b195 [233]. Alors, a195×163 ≡ b195×163 [233].
Compte tenu de 195 × 163 = 232 × 137 + 1, on a:
U
En outre, puisque 233 est un nombre premier et a, b ∈ [1, 232]. Alors d’après le
petit théorème de Fermat:
Pour tout (a, b) ∈ A2 , si f (a) = f (b) alors a = b. Ceci est équivalent à f est
injective.
(b) Soit (a, b) ∈ A2 tel que f (a) = b.
Premier cas: Si b = 0, alors a = 0.
Deuxième cas: Si b 6= 0, alors d’après la question qui précède a 6= 0.
On a: a195 ≡ b[233]. Alors a195×163 ≡ b163 [233].
Comme précédemment, on a: 195 × 163 = 232 × 137 + 1.
Alors a × a232×137 ≡ b163 [233]. En utilisant le petit théorème de Fermat une autre
fois et a 6= 0, on a:
a232×137 ≡ 1[233]
Ainsi, a ≡ b163 [233]. D’où, il existe k ∈ Z tel que:
a = b163 + 232k
(c) D’après (a), f est injective et d’après (b) f est surjective. Ainsi f est une bijection.
Soit (a, b) ∈ A2 , on a: f −1 (b) = a ⇐⇒ b = f (a)
Compte tenu de ce qui précède on conclut que:
(
0 si b = 0
f −1 (b) = 163
b [233] si b 6= 0
Conclusion:
Pour tout a ∈ A, f −1 (a) ≡ a163 [233], c’est à dire f −1 (a) est le reste de la division
euclidienne de a163 par 233.
AT
x ≡ a[p]
avec a, b, p et q des entiers relatifs tels que p ∧ q = 1
x ≡ b[q]
R
(b) Montrer que x0 = bpu0 + aqv0 est une solution du système (S).
R
2. Soit x une solution du système (S), montrer que le nombre pq divise le nombre x − x0 .
3. Soit x un entier relatif tel que pq divise le nombre x − x0 , montrer que x est solution
A
du système (S).
x ≡ 3[13]
u0 p + v0 q = 1
Alors:
av0 q = a − au0 p ≡ a[p] et bu0 p = b − bv0 q ≡ b[q]
Ainsi:
x0 ≡ av0 q ≡ a[p] et x0 ≡ bu0 p ≡ b[q]
Donc, x0 est une solution du système (S).
x ≡ a ≡ x0 [p] et x ≡ b ≡ x0 [q]
D’où:
x ≡ x0 [p] et x ≡ x0 [q]
Ainsi p divise x − x0 et q divise x − x0 .
Puisque p et q sont premiers entre eux, alors pq divise x − x0 .
Et:
x = x0 + pqk = q(av0 + pk) + bu0 p ≡ bu0 p ≡ b[q]
Ainsi x est une solution du système (S).
{x0 + pqk/k ∈ Z}
AT
5. Il s’agit d’une application des résultats précédents où
a = 1, b = 3, p = 8 et q = 13
On a: 8 ∧ 13 = 1 et 5 × 8 + (−3) × 13 = 1.
R
Alors u0 = 5 et v0 = −3, par conséquent x0 = 3 × 8 × 5 + 1 × 13 × (−5) = 81.
R
Finalement, par la question 4., l’ensemble des solutions est donné par:
{81 + 104k/k ∈ Z}
A
Exercice 9: Session Normale 2008
U
Partie I:
On considère dans Z2 dans l’équation, (E) : 35u − 96v = 1
LO
1. Montrer que le couple (11, 4) est une solution particulière de l’équation (E).
Partie II:
On considère dans Z l’équation, (F ) : x35 ≡ 2[97].
.E
(a) Montrer que le nombre 97 est premier et que les nombres x et 97 sont premiers
entre eux.
H
2. Soit x ∈ Z. Montrer que si x ≡ 211 [97], alors x est une solution de l’équation (F ).
S = {11 + 97k/k ∈ N}
AT
u = 11 + 96k et v = 4 + 35k
On conclut, finalement que l’ensemble des solutions de l’équation (E) est donné par:
{(11 + 96k, 4 + 35k)}
R
Partie II:
1. Soit x une solution de l’équation (F ).
R
(a) Soit p ∈ {2, 3, 5, 7}, on a p ne divise pas 97. Alors 97 est un nombre premier.
En outre, on a 97 ne divise pas x35 , alors 97 ne divise pas x. En tenant compte de
A
la primalité de 97, on conclut que 97 et x sont premiers entre eux.
(b) On a: 97 ∧ x = 1, alors d’après le petit théorème de Fermat:
U
x96 ≡ 1[97]
LO
an ∧ q = q
m2 + 1 ≡ 0[5]
AT
2. Soit p un nombre premier tel que p = 4k + 3 où k ∈ N. Soit n un entier naturel tel
que n2 + 1 ≡ 0[p].
2k+1
(a) Vérifier que: (n2 ) ≡ −1[p].
R
(b) Montrer que n et p sont premiers entre eux.
R 2k+1
(c) En déduire que: (n2 ) ≡ 1[p].
3. Déduire de ce qui précède qu’il n’existe aucun entier naturel n vérifiant la relation:
A
n2 + 1 ≡ 0[p]
U
m2 ≡ −1 ≡ 4[5]
{2 + 5k/k ∈ Z} ∪ {3 + 5k/k ∈ Z}
2. (a) On a, n2 ≡ −1[p]. Alors (n2 )2k+1 ≡ (−1)2k+1 [p]. Puisque 2k + 1 est impair alors
H
np−1 ≡ 1[p]
3. Supposons, par l’absurde, qu’un tel n existe. Alors d’après ce qui précède, on a à la fois:
n2 + 1 ≡ 0[p]
N = 11 · · · 1}
| {z
2010 fois 1
AT
(c) En déduire que le nombre 2011 divise N .
R
1. 1ère Méthode:a
R 2009
X
On a: N = 10k , et 10 ≡ −1[11]. Alors, pour tout k ∈ J0, 2009K : 10k ≡ (−1)k [11].
k=0
A
D’où,
2009
X 2009
X
k
10 ≡ (−1)k [11]
U
k=0 k=0
Or,
LO
2009
X
k
1 − (−1)2010 0
(−1) = = =0
k=0
1 − (−1) 2
Ainsi,
N ≡ 0[11]
.E
2è Méthode:
Montrons, par récurrence sur n ∈ N∗ , que:
| {z |
2n fois 1 2n−1 chiffres
Pour n = 1, 11 = 11 × 1.
Pour n = 2, 1111 = 11 × 101.
Soit n ∈ N∗ ,
Supposons que:
A2n = 11 × 1010
| ·{z
· · 0101}
2n−1 chiffres
On a:
| · ·{z
A2n+2 = 11 · · · · 1}
2(n+1) fois 1
| · ·{z
= 11 11 · · · · 1}
2n fois 1
| · ·{z
= 11 00 · · · · 0} +A2n
2n fois 0
· · · · 0} +11 × 1010
= 11 × 1 |00 · ·{z | ·{z
· · 0101} (par hypothèse de récurrence)
2n fois 0 2n−1 chiffres
= 11 × 10
| · · ·{z
· · · 101}
2n+1 chiffres
√
2. (a) On a, 452 = 2025. Alors, 2011 < 45. Et pour tout nombre premier p < 45, on
a: p ne divise pas 2011. Ce qui prouve que 2011 est un nombre premier.
AT
En outre,
2009
X
k
102010 − 1 102010 − 1
N = 10 = =
k=0
10 − 1 9
R
D’où,
102010 − 1 = 9N
R
(b) On a, 2011 est un nombre premier et 2011 ∧ 10 = 1, alors d’après le petit théorème
de Fermat, on a:
102010 − 1 ≡ 0[2011]
A
D’où,
9N ≡ 0[2011]
U
N.
11 × 2011 divise N
Finalement,
N est divisible par 22121
H
a
En ce qui concerne l’arithmétique au national, l’exercice d’arithmétique 2011 est l’un des exercices les plus faciles
parmi les exercices d’arithmétique au national, même si la promotion bac 2011 ne sera pas d’accord.
d = 18u + (x + 1)v
Par la positivité de d et x + 1, on voit que u et v ne peuvent pas être tous les deux
négatifs. Alors on a 3 cas:
1er cas: Si u > 0 et v > 0
On a, 1018 ≡ 1[19], alors 1018u ≡ (1018 )u ≡ 1[19].
AT
De même, 10(x+1)v ≡ 1[19].
D’où,
10d = 1018u+(x+1)v = 1018 × 10(x+1)v ≡ 1 × 1 ≡ 1[19]
R
2è cas: Si u > 0 et v = −s 6 0
Alors d = 18u − (x + 1)s c-à-d, 18u = d + (x + 1)s.
R
Or, 1018u ≡ 1[19], alors 10d × 10(x+1)s ≡ 1[19].
Comme 10(x+1)s ≡ 1[19], on a: 10d ≡ 1[19].
A
3è cas: Si u = −t 6 0 et v > 0
On a d = (x + 1)v − 18t, alors (x + 1)v = d + 18t.
U
Conclusion:
On conclut, que dans tous les cas, on a:
10d ≡ 1[19]
.E
3. On a d divise 18, alors d ∈ {1, 2, 3, 6, 9, 18}. Par un calcul, sans difficulté, on montre
que pour tout i ∈ {1, 2, 3, 6, 9}, on a: 10i 6≡ 1[19].
On conclut, donc, que d = 18.
H
Conclusion:
On conclut de cet exerice, qu’on l’équivalence ci-dessous:
4. Soient x et y deux entiers naturels tels que (x, y) est une solution de l’équation (E).
Montrer que pour tout n ∈ N∗ , les deux nombres nx et ny ont le même chiffre d’unités
AT
dans l’écriture décimale.
R
On a, 195 = 143 × 1 + 52;a
R 143 = 52 × 2 + 39
52 = 39 × 1 + 13
39 = 13 × 3 + 0
A
Ainsi, 195 ∧ 143 = 13 et 52 = 4 × 13. D’où 195 ∧ 143 | 52. Aini, l’équation (E)
admet au moins une solution dans Z2 .
U
143 = 11 × 13 et 195 = 3 × 5 × 13
Alors, 143∧195 = 13, et 13 divise 52. Alors l’équation (E) a au moins une solution
dans Z2 .
(b) Soient (x, y) ∈ Z, une solution de l’équation (E).
.E
On a: (
(∗)143x − 195y = 52
(∗∗)143 · (−1) − 195 · (−1) = 52
Ainsi, la différence (∗) − (∗∗), donne 143(x + 1) = 195(y + 1). On simplifie par,
H
13. On a:
11(x + 1) = 15(y + 1)
Comme 11 et 15 sont premiers entre eux, alors d’après le théorème de Gauss, il
existe k ∈ Z tel que: y + 1 = 11k. En remplaçant dans l’équation ci-dessus et en
simplifiant par 11, on trouve: x + 1 = 15k.
Ainsi,
x = 15k − 1 et y = 11k − 1
En outre,
(
(( (
((
11(×
143×(15k−1)−195(11k−1) = ( ((13(×
( 15k−143− 13 ×
(((( 15(×
( 11k+195 = 52
n4 ≡ 1[5]
AT
On conclut, que dans tous les cas, on a:
nx ≡ ny [2]
R
C-à-d,
nx ≡ ny [10]
R
4. 1er cas: Si n est un multiple de 5, alors dans ce cas, nx et ny ont même chiffre d’unités
dans la base décimale à savoir 5.
A
2è cas: Si n n’est pas divisible par 5.
Puisque 5 est premier, alors n ∧ 5 = 1. Ainsi, d’après la question 3.(b), il suffit de
vérifier que x ≡ y[4].
U
On a, (x, y) ∈ N2 est une solution de l’équation (E), alors d’après 1.(b), il existe k ∈ N
tel que: x = 15k − 1 et y = 11k − 1.
LO
Or,
15k − 1 ≡ 3k + 3[4] et 11k − 1 ≡ 3k + 3[4]
Ainsi, x ≡ y[4].
Donc, nx ≡ ny [10].
.E
Finalement, les deux nombres nx et ny ont le même chiffre d’unités dans l’écriture
décimale.
Conclusion:
H
Dans tous les cas, on a pour tout n ∈ N∗ , nx et ny ont le même chiffre d’unités dans
l’écriture décimale, où (x, y) ∈ N2 est une solution de l’équation (E).
a
On peut déduire juste de cette égalité que (−1, −1) est une solution particulière de (E).
b
Le nombre 195 a été déja posé en session normale 2007, ce n’est en aucun cas un avantage même si les promotions
2011 et 2013 essaient d’altérer la vérité.
(E) : 49x − 6y = 1
2. Sachant que (1, 8) est une solution particulière de l’équation (E), résoudre dans (Z)2
en précisant les étapes de la résolution.
On pose: N = 1 + 7 + · · · + 72007 .
3. (a) Montrer que le couple (72006 , N ) est une solution de l’équation (E).
(b) Montrer que: N ≡ 0[4] et N ≡ 0[503].
(c) En déduire que N est divisible par le nombre 2012.
AT
On en déduit que,
72008 ≡ (7502 )4 ≡ 14 ≡ 1[503]
2. On a, 49 ∧ 6 = 1 | 1. Alors, l’équation (E) admet au moins une solution dans Z2 .
R
Soit (x, y) ∈ Z2 , une solution de l’équation (E). On a:
(
R 49x − 6y = 1
49 × 1 − 6 × 8 = 1
Ainsi, (”) : 49(x − 1) = 6(y − 8). Puisque 49 ∧ 6 = 1, alors d’après le théorème
A
de Gauss, il existe k ∈ Z, tel que: y − 8 = 49k. On remplace dans l’égalité (”) et on
simplifie par 49. Alors, x − 1 = 6k. D’où:
U
x = 6k + 1 et y = 49k + 8 avec k ∈ Z
3. (a) On a,
LO
2007
X 72008 − 1 72008 − 1
N = 7k = = . Autrement, 6N = 72008 − 1
k=0
7−1 6
Alors,
.E
D’où,
2007
X 2007
X
k
N = 7 ≡ (−1)k [4]
k=0 k=0
Or,
2007
X 1 − (−1)2008 0
(−1)k = = =0
k=0
1 − (−1) 2
Donc, N ≡ 0[4].
D’après la première question, 72008 − 1 ≡ 0[503]. C-à-d, 503 divise 6N.
Comme 503 ∧ 6 = 1, on a d’après le théorème de Gauss, 503 divise N.
Conclusion:
N ≡ 0[4] et N ≡ 0[503]
(c) Puisque 503 ∧ 4 = 1, alors 2012 = 4 × 503 divise N.
Exercice 16: Session Normale 2013
Le but de cet exercice est de déterminer les entiers naturels n > 1 et qui vérifient la propriété
(R) suivante:
(R) : 3n − 2n ≡ 0[n]
On suppose que n vérifie la propriété (R) et soit p le plus petit diviseur premier du nombre
n.
an − b(p − 1) = 1
AT
nombre a par le nombre p − 1.
Montrer qu’il existe un entier naturel non nul k tel que:
rn = 1 + k(p − 1)
R
2. En déduire de tout ce qui précède qu’il n’existe aucun entier naturel n > 1 vérifiant la
propriété (R).
R Correction de l’exercice 16(Normale 2013)
A
1. (a) On a, p divise n, et n | (3n − 2n ). Alors, 3n − 2n ≡ 0[p].
Puisque ni 2 ni 3 divise 3n − 2n , alors p > 5.
U
Or d divise n, ainsi q divise n. Ce qui contredit, le fait que p est le plus petit
diviseur premier de n.
Ainsi, d = 1. D’où, n et p − 1 sont premiers entre eux, alors d’après le théorème
de Bézout, il existe (a, b) ∈ Z tel que:
H
an − b(p − 1) = 1
(d) On a:
a = q(p − 1) + r; 06r <p−1
Alors, an = qn(p − 1) + rn. On remplace an par sa valeur dans l’égalité qui
précède.
Ainsi, 1 + b(p − 1) = qn(p − 1) + rn. C’est à dire, rn = 1 + (b − qn)(p − 1).
On pose, k = b − qn ∈ Z. Montrons que k > 0. Supposons, par absurde, que
k 6 0.
Alors, b 6 qn. Puis, b(p − 1) 6 qn(p − 1). C-à-d, an − 1 6 qn(p − 1).
D’où, qn(p − 1) + rn − 1 6 qn(p − 1). Alors,
rn 6 1 (?)
On a, alors, deux cas: r = 0 ou bien r > 1.
Si r = 0.
Alors, a = q(p − 1). D’où, an = qn(p − 1). Puis, 1 + b(p − 1) = qn(p − 1).
D’où, (p − 1)(qb − b) = 1. Alors, p − 1 divise 1. C-à-d, p − 1 = 1 ou p = 2. ce
qui n’est pas possible car p > 5. Reste alors le deuxième cas, à savoir r > 1.
Ainsi, l’inégalité (?) implique que n divise 1, puis n = 1. Absurde, avec n > 1.
Conclusion:
Il existe k ∈ N∗ , tel que:
rn = 1 + k(p − 1)
(e) Supposons, par l’absurde, qu’un tel n > 1 existe. On garde les mêmes notations
des questions précédentes.
Alors, d’après la première question, on a: 2p−1 ≡ 1[p] et 3p−1 ≡ 1[p].
D’où,
AT
21+k(p−1) ≡ 2[p] et 31+k(p−1) ≡ 3[p]
C’est à dire,
2rn ≡ 2[p] et 3rn ≡ 3[p]
Donc,
R
3rn − 2rn ≡ 1[p] (??)
Or,
R 3rn − 2rn = (3n )r − (2n )r
r−1
A
X
n n
= (3 − 2 ) (3n )k (2n )r−1−k
k=0
U
r−1
X
On a déjà montré que, r > 1, alors: (3n )k (2n )r−1−k > 1. Et d’après la question
LO
k=0
1.(a), p divise 3n − 2n .
D’où, p divise 3rn − 2rn . Absurde, avec (??).
Conclusion:
On conclut donc que le seul entier n ∈ N∗ vérifiant 3n − 2n ≡ 0[n], est n = 1.
.E
| {z
n fois
4. Montrer que: (∀k ∈ N), 3a30k+1 ≡ 0[31]. Puis déduire que le nombre 31 divise a30k+1 .
1. On a, a1 = 31 est un nombre premier. Alors il suffit de montrer que a2 = 331 n’est pas
un multiple de 31.
En effet,
31 × 10 = 310 6 331 6 341 = 31 × 11
Alors, 331 n’est pas un multiple de 331. On conclut donc que, a1 et a2 sont premiers
entre eux par primalité de 31.
On peut, aussi montrer ce résultat en utilisant l’algorithme d’Euclide.a
2. Soit n ∈ N∗ , on a:
n
!
X
3an + 7 = 3 1 + 3 10k +7
k=1
n
X
10k
AT
= 10 + 9
k=1
n
!
X
=1+9 1+ 10k
k=1
n
R
X
=1+9· 10k
k=0
R =1+9·
10n+1
10 − 1
−1
n+1
−
A
=
1 + 10 1
= 10n+1
U
31 ∧ an = 31 (∗)
bn = 2 · 10n + 1 et cn = 2 · 10n − 1
bn xn + cn yn = 1
1. Soit n ∈ N, on pose d = bn ∧ cn et d0 = cn ∧ 2.
On a, d | (bn − cn ) = 2 et d | cn alors d | d0 .
AT
De même, d0 | (cn + 2) = bn . Alors, d0 | d.
Ainsi,
d = d0
R
D’où,
R bn ∧ cn = 1
bn xn + cn yn = 1
U
b n = cn + 2
cn = 2 × (10n − 1) + 1
Ainsi,
.E
1 = cn − 2(10n − 1)
= cn − (bn − cn )(10n − 1)
= cn − (10n − bn − 10n cn + cn )
H
n n
= n − 10 + bn + 10 cn −
c c
n
n n
= (1 − 10 )bn + 10 cn
xn = 1 − 10n et yn = 10n
1. Sachant que 1436 × 1051 − 2015 × 749 = 1. Montrer que 1436 et 2015 sont premiers
entre eux.
4. Montrer que:
x ≡ 1051[2015]
1. Puisque 1436 × 1051 − 2015 × 749 = 1, alors, d’après le théorème de Bézout, 1436 et
AT
2015 sont premiers entre eux.
R
Ainsi, d divise 1436.
(b) D’après ce qui précède, d divise 1436 et 2015. Alors, d | 1436 ∧ 2015 = 1. Par
conséquent, d = 1.
R
Ainsi, le seul diviseur commun de x et 2015 est 1. On conclut, donc, que:
A
x ∧ 2015 = 1
(x4 )360 ≡ 1360 [5] ; (x12 )120 ≡ 1120 [13] et (x30 )48 ≡ 148 [31]
.E
En conséquence,
(b) On a: 5∧13 = 1, 5 | (x1440 −1) et 13 | (x1440 −1). Alors, 65 = 5×13 | (x1440 −1).
H
D’où:
x1440 ≡ 1[65]
De plus, 65 ∧ 31 = 1 et 31 | (x1440 − 1). On en déduit que: x1440 ≡ 1[31 × 65].
Ainsi,
x1440 ≡ 1[2015]
1. Soit a ∈ N∗ . Montrer que si a et 13 sont premiers entre eux, alors: a2016 ≡ 1[13].
S = {7 + 13k/k ∈ N}
AT
2è Partie:
Une urne contient 50 boules, non discernables au toucher, numérotées de 1 à 50.
1. On tire au hasard, une boule de l’urne. Quelle est la probabilité que la boule tirée porte
R
un numéro solution de l’équation (E)?
2. On tire, au hasard, une boule de l’urne. On note son numéro puis on la remet dansl’urne.
R
On répète 3 fois.
Quelle est la probabilité d’obtenir exactement deux fois une boule dont le numéro est
A
solution de l’équation (E)?
U
de l’équation (E).
Ainsi, x et 13 sont premiers entre eux.
(b) On a 13 ∧ x = 1. Alors, d’après la première question on a: x2016 ≡ 1[13].
De plus, x2015 ≡ 2[13], alors 2x ≡ x2016 ≡ 1[13].
Ainsi, x = 14x − 13x ≡ 7 − 0[13]. D’où,
x ≡ 7[13]
(c) D’après ce qui précède, si x est une solution de l’équation (E), alors x ≡ 7[13].
Vérifions, que si x ≡ 7[13] alors x2015 ≡ 2[13].
En effet, on a:
x ≡ 7[13] Alors:
2015 2015
x ≡7 [13]
On a, 13 est premier et 7 ∧ 13 = 1. Alors, d’après le petit théorème de Fermat, on
a:
712 ≡ 1[13] Alors: 712×167 ≡ 1[13]
Ainsi, x2004 ≡ 1[13]. Puis x2015 ≡ 711 [13].
Or, 73 ≡ 5[13] et 52 ≡ −1[13]. Alors, 79 ≡ 53 ≡ −5[13]. Ainsi,
S = {7 + 13k/k ∈ N}
2è Partie:
AT
1. Soit k ∈ N tel que:
1 6 7 + 13k 6 50
Alors, tout calcul fait, on trouve k ∈ {0, 1, 2, 3}.
Ainsi, les numéros solutions de l’équation (E) sont dans l’ensemle {7, 20, 33, 46}.
R
Ainsi, la probabilité p que la boule tirée porte un numéro solution de l’équation (E) est:
R p=
4
50
=
2
25
A
2
2. Soit X la variable aléatoire suivant la loi binomiale de paramètres n = 3 et p = .
25
U
P (X = 2) = p2 (1 − p) = 3 · 2
· =
2 25 25 253
2è Partie:
On considère dans N∗ × N∗ , l’équation suivante:
(E) : x3 + y 3 = 173(xy + 1)
1. On a, a3 ≡ −b3 [173].
Alors, (a3 )57 ≡ (−b3 )57 [173]. D’où,
2. Si 173 divise a, alors 173 divise a171 . D’après la première question, 173 divise −b171
d’où 173 divise b171 .
AT
Par primalité de 173, on a 173 divise b.
Comme a et b jouent des rôles symétriques, on montre sans difficulté que si 173 divise
b alors 173 divise a.
Donc,
173 | a ⇐⇒ 173 | b
R
3. D’après la question précédente, on a 173 divise aussi b. Alors, 173 divise a + b.
R
4. (a) On a, 173 est un nombre premier et 173 ne divise pas a. Alors 173 ∧ a = 1. Ainsi,
d’après le petit théorème de Fermat, on a:
A
a172 ≡ 1[173]
U
b172 ≡ 1[173]
Donc,
a172 ≡ b172 [173]
.E
(c) On a 173 est un nombre premier qui ne divise pas a. Alors, 173 ne divise pas a171 .
H
2è Partie:
1. La première partie, justifie l’existence d’un k ∈ N, tel que x + y = 173k. De plus, k est
non nul car sinon, xy = −1 ce qui contredit la positvité de x et y. Ainsi, k > 1.
1ère Méthode:
On a,
AT
Ainsi, d’après la question précédente, on a:
R
D’où,
R x = y et k − 1 = x = y = 1 ou k = (x − y)2 = 1 et k − 1 = 0
On a, alors: (
x + y = 173
(1)
x−y =1
LO
ou (
x + y = 173
(2)
x − y = −1
Le système (1) donne x = 87 et y = 86.
.E
px + y p−1 = 2017
2016
p6 6 2016 < 2017
x
(b) On suppose, par l’absurde, que p divise y. Alors, p divise y p−1 . C-à-d, il existe
k ∈ N, tel que: y p−1 = pk.
D’où, 2017 = p(x + k). Ce qui contredit la primalité de 2017. Vu que p < 2017.
Ainsi, p ne divise pas y.
AT
(c) On a, p est premier et d’après la question précédente, p ne divise pas y, alors
y ∧ p = 1. D’après le petit théorème de Fermat, on a:
y p−1 ≡ 1[p]
R
Or, px + y p−1 − 1 = 2017 − 1 = 2016. D’où, p(x + k) = 2016.
Par conséquent, p divise 2016.
R
(d) On a, p est un nombre premier supérieur à 5 et p | 2016. Alors, d’après la
décomposition en facteurs premiers de 2016 = 25 × 32 × 7. On a, p = 7.
A
2. D’après ce qui précède, si p > 7 alors d’après ce qui précède, l’équation n’a pas de
solution dans N∗ 2 .
U
1er cas: Si p = 2.
L’équation devient,
2x + y = 2017
Cette équation diophantienne est admet une solution car 2 ∧ 1 | 2017 et aisément
.E
2è cas: Si p = 3.
L’équation devient,
3x + y 2 = 2017
On a 452 > 2017. Alors, y ∈ {1, · · · , 44}. Cherchons alors, les valeurs de y et x qui
sont possibles. Pour ce faire, on execute le code python ci-dessous:
For y = 1, x = 672
For y = 2, x = 671
For y = 4, x = 667
For y = 5, x = 664
For y = 7, x = 656
For y = 8, x = 651
For y = 10, x = 639
For y = 11, x = 632
For y = 13, x = 616
For y = 14, x = 607
For y = 16, x = 587
For y = 17, x = 576
AT
For y = 19, x = 552
For y = 20, x = 539
For y = 22, x = 511
For y = 23, x = 496
For y = 25, x = 464
R
For y = 26, x = 447
For y = 28, x = 411
For
For
For
R
y
y
y
=
=
=
29, x = 392
31, x = 352
32, x = 331
A
For y = 34, x = 287
For y = 35, x = 264
For y = 37, x = 216
U
c
Ce qui donne 30 couples solutions de l’équation
.E
3è cas: Si p = 7.
l’équation devient:
7x + y 6 = 2017
H
AT
1. On a p − 5 = 4k − 2 = 2(2k − 1) et 2k − 1 > 1. Alors: (x2 )2k−1 ≡ 12k−1 ≡ 1[p].
D’où,
xp−5 ≡ 1[p]
2. (a) On a, p est un nombre premier, alors soit p divise x ou bien p ∧ x = 1. Or, si x est
R
divisible par p, on aura xp−5 ≡ 0[p]. Ce qui n’est pas le cas vu que xp−5 ≡ 1[p].
On constate, donc, que x et p sont premiers entre eux.
R
(b) Comme p est premier et x ∧ p = 1, on a par le petit théorème de Fermat:
xp−1 ≡ 1[p]
A
(c)
2 + (k − 1)(p − 1) = 2 + k(p − 1) − p + 1
U
= k(p − 5) + 4k − p + 3
= k(p − 5)
LO
Donc,
x2 ≡ 1[p]
Conclusion: On vient de montrer dans la question 1. et 2., l’équivalence ci-dessous:
xp−5 ≡ 1[p] ⇐⇒ x2 ≡ 1[p]
H
u × n ≡ 1[2969]
AT
(d) En déduire qu’on a aussi:
(u × m)2968 ≡ 1[2969]
R
(b) Montrer que:
R n8 + m8 ≡ 0[2969] ⇐⇒ n ≡ 0[2969] et m ≡ 0[2969]
A
Correction de l’exercice 24(Normale 2019)
1. (a) On a, 2969 est un nombre premier et 2969 ne divise pas n. Alors, 2969 ∧ n = 1.
U
Ainsi,
∃u ∈ Z, u × n ≡ 1[2969]
(b) D’après la question précédente, (u × n)8 ≡ 1[2969].
.E
Et, u8 × n8 + u8 × m8 ≡ 0[2969]
C-à-d,
(u × m)8 ≡ −(u × n)8 ≡ −1[2969] (1)
H
Par conséquent,
(c) Puisque 2969 ne divise pas (u × m)8 . Alors, 2969 ne divise pas u × m.a
(d) On a, 2969 est un nombre premier et 2969 ne divise pas (u × m). Alors, (u ×
m) ∧ 2969 = 1. D’où, par le petit théorème de Fermat, on a:
AT
1. Soit (x, y) ∈ Z2 une solution de l’équation (D).
R
x12 ≡ 1[13]
(c) Montrer que:
R x3 ≡ 10[13]
(d) En déduire que:
A
x12 ≡ 3[13]
2. Déduire des questions précédentes, que l’équation (D) n’admet pas de solutions dans
U
Z2 .
LO
(a) On a 13 est un nombre premier alors, on a deux cas: soit 13 divise x ou bien
13 ∧ x = 1.
.E
13(7k − y) = 5
x3 ≡ 10[13]
1 ≡ x12 ≡ 3[13]
AT
3. (a) En utilisant le petit théorème de Fermat, montrer que:
9q−1 ≡ 1[q]
R
(b) En déduire que, q = 5.
R Correction de l’exercice 26(Rattrapage 2020)
1. (a) On a, 9p+q−1 ≡ 1[pq]. Alors, il existe k ∈ Z tel que:
A
9p+q−1 − 1 = pqk (∗)
U
Ainsi,
9 × (9p+q−2 ) + p × (−kq) = 1
Remarquer que: p + q − 2 > 1 car p, q > 2
LO
p∧9=1
9p−1 ≡ 1[p]
En conséquence,
H
Or, 9p+q−1 − 1 est divisible par pq. Donc, aussi par p. Ainsi, 9p+q−1 ≡ 1[p]
On en déduit que
9q ≡ 1[p]
Ainsi,
9(p−1)u+qv ≡ 1[p]. D’où, 9 ≡ 1[p]
Donc, p | 8 = 23 . Puisque p est premier, alors p divise 2. Finalement,
p=2
AT
0
Et, 91+qv = 9(p−1)u ≡ 1[p]. D’où,
9 ≡ 1[p]
R
Ainsi, comme précédemment, p divise 2, puis p = 2.
3è cas: Si u = −u0 6 0 et v > 0
Alors,
R qv = 1 + (p − 1)u0
A
0 0
1 ≡ 9qv = 91+(p−1)u ≡ 9 × 9(p−1)u ≡ 9 × 1 ≡ 9[p]
On conclut, comme dans les cas précédents, que p divise 23 , puis que p = 2.
U
Conclusion:
Dans tous les cas, p = 2.
LO
9 × 9q + q × (−2k) = 1
.E
Ainsi, d’après le théorème de Bézout, 9 est premier avec le nombre premier q. Ainsi,
par le petit théorème de Fermat:
9q−1 ≡ 1[q]
H
(b) On a, l’égalité (∗) donne 9q+1 = 1 + 2qk et d’après la question précédente il existe
k0 ∈ Z tel que: 9q+1 = 92 + qk0 . Ainsi,
D’où, q divise 24 × 5.
On a q > 2, alors q ∧ 2 = 1. Ainsi, par le théorème de Gauss, on a: q divise 5.
Puisque les seuls diviseurs positifs de 5 sont 1 et 5.
Alors, on conclut finalement, que:
q=5
Exercice 27: Session Normale 2021
ère
1 Partie:
On considère dans Z2 , l’équation (E) ci-dessous:
1. Vérifier que le couple (11, 12) est une solution particulière de l’équation (E).
2è Partie:
On considère dans Z, l’équation F , telle que:
(F ) : x41 ≡ 4[43]
AT
(a) Montrer que x et 43 sont premiers entre eux, en déduire que:
x42 ≡ 1[43]
R
x ≡ 11[43]
R
2. Donner l’ensemble des solutions dans Z de l’équation (F ).
3è Partie:
A
On considère dans Z, le système à deux équations suivant:
(
x41 ≡ 4[43]
U
(S) :
x47 ≡ 10[47]
LO
x ≡ 10[47]
(b) En déduire que, x ≡ 527[2021]. On pourra utiliser la première partie
H
1. On a 11 × 47 − 43 × 12 = 517 − 516 = 1.
2. Soit (x, y) ∈ Z2 ,
D’après ce qui précède, 47(x − 11) = 43(y − 12). Comme 43 ∧ 47 = 1, d’après le
théorème de Gauss, 43 divise x − 11. Alors, il existe k ∈ Z tel que: x − 11 = 43k.
On remplace, puis on simplifie. Alors, y − 12 = 47k.
D’où, l’ensemble des solutions de l’équation (E) est:
1. (a) On a 43 est un nombre premier et 43 ne divise pas x41 . Alors, x n’est pas divisible
par 43. Par primalité de 43, x est premier avec 43.
Ainsi, par le petit théorème de Fermat:
x42 ≡ 1[43]
x × x41 ≡ 4x[43]
D’où,
4x ≡ x42 ≡ 1[43]
Donc,
AT
11 × 4x ≡ 1 × 11[43], Puis, x ≡ 11 − 43x[43]
Par conséquent,
x ≡ 11[43]
2. Reste à vérifier que si x ≡ 11[43], alors x est une solution de l’équation (F ). Soit
R
x ≡ 11[43]. On a:
R 112 ≡ −8[43]
≡ (−2)3
1140 ≡ (−2)6 0
A
Puisque, (−2)7 ≡ 1[43], alors:
U
1141 ≡ 4[43]
D’où, x ≡ 4[43].
D’après ce qui précède, on conclut que l’ensemble des solutions dans Z de l’équation
.E
(F ) est:
{11 + 43k/k ∈ Z}
3è Partie:
H
x46 ≡ 1[47]
x ≡ x47 ≡ 10[47]
x = 10 + 47x0 et x = 11 + 43y 0
Ainsi,
47x0 − 43y 0 = 1
Alors, d’après la première partie, il existe k ∈ Z tel que:
x0 = 11 + 43k et y 0 = 12 + 47k
D’où,
x = 10 + 47 × 11 + 47 × 43k = 527 + 2021k
Et,
x = 11 + 43 × 12 + 43 × 47k = 527 + 2021k
Par conséquent,
AT
x ≡ 527[2021]
x ≡ 527[2021]
R
Réciproquement, pour tout k ∈ Z, on a:
R 527 + 2021k = 11 + 43 × (12 + 47k) ≡ 11[43]
A
Et,
527 + 2021k = 10 + 47 × (11 + 43k) ≡ 10[47]
U
{527 + 2021k/k ∈ Z}
∀m ∈ N, a(p−1)m ≡ 1[p]
p=7 ou p ≡ 1[7]
Correction de l’exercice 28(Rattrapage 2021)
Soient a > 2 un entier naturel et
6
X
A= ak = 1 + a + a2 + · · · + a6
k=0
1. (a) On a:
(a − 1)A = a7 − 1
Puisque p divise A, alors p divise a7 − 1. C-à-d, a7 ≡ 1[p].
Ainsi, ∀n ∈ N, a7n = (a7 )n ≡ 1n ≡ 1[p].
(b) Comme p ne divise pas a7 , alors p ne divise pas a. Ainsi, par primalité de p, on a:
p ∧ a = 1. Par le petit théorème de Fermat, on a alors:
AT
ap−1 ≡ 1[p]
R
par le théorème de Bézout, on a:
R ∃u, v ∈ Z, 7u + (p − 1)v = 1
a
Comme on l’a déjà fait, On suppose que u ∈ N et v ∈ N. Alors, d’après la
question 1. on a:
A
a = a7u+(p−1)v = a7u × a(p−1)v ≡ 1 × 1 ≡ 1[p]
U
Donc,
a ≡ 1[p]
LO
que:
p=7
On a, deux cas:
1er cas: Si 7 ne divise pas p − 1
Alors, d’après ce qui précède p = 7.
2è cas: Si 7 divise p − 1, alors p ≡ 1[7].
Dans tous les cas, on a si p est un nombre premier impair tel que p divise A, alors:
p=7 ou p ≡ 1[7]
a
Il faut distinguer les cas suivant le signe de u et v. Voir Correction de la session rattrapage 2011 et 2020.
Exercice 29: Session Normale 2022
Soit n > 1 un entier naturel.
On considère dans N2 , l’équation (En ) ci-dessous:
(En ) : (x + 1)n − xn = ny
Soit (x, y) une solution de l’équation (En ) dans N2 et soit p le plus petit diviseur premier de
n.
2. Montrer que si n est pair, alors l’équation (En ) n’admet pas de solution dans N2 .
AT
3. On suppose que n est impair.
R
nu + (p − 1)v = 1
ROn rappelle que p est le plus petit diviseur premier de n
(b) Soient q et r respectivement le quotient et le reste dans la division euclidienne de
u par (p − 1). Vérifier que:
A
nr = 1 − (p − 1)(v + nq)
U
nu + (p − 1)v = 1
nr = 1 − (p − 1)(v + nq)
AT
Puisque, p − 1 > 0, alors: p − 1 = 1 et v + nq = 1. C’à-d, p = 2 ce qui contredit
le fait que n est impair. Ainsi ce cas n’est pas envisageable.
Ainsi, (p − 1)(v + nq) < 1. D’où, v + nq < 1, car p − 1 > 1. Par conséquent,
v + nq 6 0. Donc,
R
v 0 = −(v + nq) > 0
(d) Par l’absurde, si l’équation (En ) admet une solution (x, y) ∈ N2 , alors d’après ce
R 0 0
qui précède, on a: (x + 1)nr ≡ xnr [p], c-à-d, (x + 1)1+v (p−1) ≡ x1+v (p−1) [p].
D’après la question 1, on a:
A
0 0 0
(x + 1)v (p−1) ≡ 1v ≡ 1[p] et xv (p−1) ≡ 1[p]
U
Alors,
0 0
(x + 1) ≡ (x + 1) × (x + 1)v (p−1) ≡ x × xv (p−1) ≡ x[p]
Ainsi, x + 1 ≡ x[p]. D’où, 1 ≡ 0[p], puis p = 1. Absurde.
LO
On conclut, donc que l’équation (En ) n’admet pas de solution si n est impair.
Conclusion:
D’après ce qui précède, (En ) n’est pas résoluible dans N2 dans les deux cas suivant
la parité de n.
.E
38u + 136v = 2
x19 ≡ 1[137]
2. On a,
136 = 3 × 38 + 22
38 = 22 + 16
22 = 16 + 6
AT
16 = 2×6+4
6 = 4+2
Ainsi,
R
2= 6−4
R = 6 − (16 − 2 × 6)
= 3 × 6 − 16
= 3 × (22 − 16) − 16
A
= 3 × 22 − 4 × 16
= 3 × 22 − 4 × (38 − 22)
U
= 3 × 22 − 4 × 38 + 4 × 22 = 7 × 22 − 4 × 38
= 7 × (136 − 3 × 38) − 4 × 38
LO
= 7 × 136 − 25 × 38
3. (a) On a, 137 ne divise pas x38 , alors il ne divise pas x. Puisque 137 est premier, alors
.E
x ∧ 137 = 1
x136 ≡ 1[137]
H
2 + 38u0 = 136v
Et,
0 0 0
x38u ≡ (x38 )u ≡ 1u ≡ 1[137] et x136v ≡ (x136 )v ≡ 1v ≡ 1[137]
Ainsi, d’une part, on a:
0 0
x2+38u ≡ x2 × x38u ≡ x2 × 1 ≡ x2 [137]
D’autre part,
0
x2+38u ≡ x136v ≡ 1[137]
En conséquence,
x2 ≡ 1[137]
4. Soit x ∈ Z, tel que: x19 ≡ 1[137]. Alors,
x38 ≡ 1[137]
x2 ≡ 1[137]
D’où,
x2 − 1 ≡ 0[137]
Alors, 137 divise (x − 1)(x + 1). Par primalité de p, on a:
p divise x − 1 ou p divise x + 1.
Ainsi,
AT
x ≡ 1[137] ou x ≡ −1[137]
R
est:
R {1 + 137k/k ∈ Z}
a
On n’a pas unicité de ce couple. En effet on a une infinité de couples convenables.
A
Exercice 31: Session Normale 2023
Soit p un nombre premier impair. On considère dans Z, l’équation (E) ci-dessous:
U
(E) : x2 ≡ 2[p]
1. (a) Montrer que:
LO
2p−1 ≡ 1[p]
(b) En déduire que:
p−1 p−1
2 ≡ 1[p] ou 2 2 ≡ −1[p]
2
.E
p−1 p−1
p−1
On remarque que: 2 2 −1 2 2 +1 =2 −1
Montrer que:
! !
p π p π
2 cos p ·
2 ∈Z et 2 cos p ·
2 ≡ 1[p]
4 4
5. En déduire que si p ≡ 5[8], alors l’équation (E) n’admet pas de solution dans Z.
AT
D’après le théorème de Fermat :
2p−1 ≡ 1[p]
(b) On a :
R
2p−1 − 1 ≡ 0[p]
R p−1 p−1
Et p est premier et imapir alors p > 3, puis ∈ N et > 1.
2 2
p−1 2 p−1 p−1
Comme 2p−1 − 1 = 2 2 − 12 = 2 2 − 1 2 2 + 1
A
Ainsi : p−1
p−1
p divise 2 2 −1 2 2 +1
U
p−1 p−1
p divise 2 2 − 1 ou p divise 2 2 +1
p!
Cpk =
k!(p − k)!
p(p − 1)!
=
k(k − 1)!(p − 1 + 1 − k)!
p (p − 1)!
= ×
k (k − 1)!((p − 1) − (k − 1)!)
p k−1
= × Cp−1
k
k−1
Alors : kCpk = pCp−1 c’est à dire p divise kCpk . p étant premier entraı̂ne p ∧ k = 1.
D’après le théorème de Gauss, on a :
AT
p | Cpk
4. (a)
√ √ !!p
√ 2 2
R
(1 + i)p = 2 + i
2 2
!p
R √ p π π
= 2 cos + i sin
4 4
A
! !!
p pπ pπ
=2 2 cos + i sin (par la formule de Moivre)
4 4
U
! !
p pπ p pπ
= 2 cos
2 + i2 sin 2
4 4
LO
(b) D’après la question précédente, par unicité de la partie réelle d’un complexe, on
trouve :
! p−1 p−1
2 2
p pπ X
k 2k
X
2 cos
2 = (−1) Cp = 1 + (−1)k Cp2k ∈ Z
4
.E
k=0 k=1
p−1
Pour tout : 1 6 k 6 , on a : 2 6 2k 6 p − 1. D’après la question 3), on a:
2
p divise Cp2k
H
Par conséquent :
p−1
2
X
(−1)k Cp2k ≡ 0[p]
k=1
Finalement : !
p pπ
2 cos
2 ≡ 1[p]
4
5. Par l’absurde, supposons que l’équation (E) ademt une solution dans Z. On a : p ≡ 5[8],
alors il existe k ∈ Z tel que : p = 8k + 5. En outre :
! !
p pπ p (8k + 5)π
2 2 cos = 2 2 cos
4 4
!
p 5π
= 2 2 cos 2kπ +
4
!
p 5π
= 2 2 cos
4
!
p π
= 2 2 cos π +
4
!
p π
= −2 2 cos
4
AT
p 1
= −2 2 × √
2
p −1
= −2 2 × 2 2
p−1
= −2
R
2
p−1 p−1
D’après la question précédente, on a : −2
R 2 ≡ 1[p]. C-à-d : 2 2 ≡ −1[p]
Puisque (E) admet une solution entière, la question 2.b) donne :
A
p−1
2 2 ≡ 1[p]
Conclusion :
Si p ≡ 5[p] alors l’équation (E) n’admet pas de solutions dans Z.
LO
p−1
X
S= pk = 1 + p + · · · + pp−1
k=0
Soit q un nombre premier qui divise S.
1. (a) Montrer que p et q sont premiers entre eux.
H
pq−1 ≡ 1[q]
(c) On a:
p−1
X
(p − 1)S = (p − 1) pk
AT
k=0
p−1 p−1
X X
=p pk − pk
k=0 k=0
R
p−1 p−1
X X
k+1
= p − pk
R k=0 k=0
p p−1
X X
= pi − pi (les indices sont muets!)
LO
i=1 i=0
p−1 p−1
X X
p i pi − 1
=p + p −
i=1
i=1
= pp − 1
.E
pp ≡ 1[q]
H
D’où,
p = ppu+(q−1)v ≡ 1 × 1 ≡ 1[q]
2è cas: Si u > 0 et v = −v 0 6 0.
Alors,
pu = 1 + (q − 1)v 0
0
D’une part, p1+(q−1)v ≡ p × 1 ≡ p[q].
0
D’autre part, p1+(q−1)v = ppu ≡ 1[q].
D’où,
p ≡ 1[q]
3è cas: Si u = −u0 6 0 et v > 0.
On refait la même démarcheb du cas précédent, on arrive sans difficulté à p ≡ 1[p].
Conclusion:
Dans tous les cas, on a:
p ≡ 1[q]
(b) D’après la question précédente, on a: pk ≡ 1[q] pour tout entier naturel k. Ainsi,
p p
X X
k
S= p ≡ 1 = p ≡ 1[q]
k=0 k=0
AT
3. On a, q divise S. Ceci contredit 2.(b), alors l’hypothèse de la question 2. est faux. Ainsi,
p et q − 1 ne sont pas premiers entre eux.
Compte tenu de la primalité de p on a, p divise q − 1.
R
On a utilisé ce résultat plusieurs fois, on le démontre dans la remarque ci-dessous:
D’où, R q ≡ 1[p]
A
Remarque:
Montrons le résultat suivant:
U
p ∧ a = 1 ou bien p divise a.
LO