Maths Important (Mixte) .Ts

MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE
INSPECTION D’ACADEMIE DE DAKAR

LYCEE YOFF VILLAGE
TS2
BAC BLANC 2017

EPREUVE DE MATHEMATIQUES
Exercice 1
PARTIE A (3pts)
1) Résoudre dans ℂ, l’équation sachant qu’elle

admet une solution imaginaire pur .
2) Soit dans le plan complexe muni d’un repère orthonormé direct les points ,
, et .
a) Déterminer la nature exacte du triangle .
b) Déterminer les coordonnées de G barycentre du système , et .
PARTIE B (3pts)
Dans cette partie on pose
1) Exprimer en fonction de et de .
2) En déduire l’ensemble des points M pour que Z soit réel positif.
3)
a) Interpréter géométriquement et .
b) En déduire l’ensemble des points pour que Z soit imaginaire pur.
c) En déduire l’ensemble des points pour que
Exercice 2 : (3points)
Soit la suite géométrique de 1er terme u0=4 et de raison ; la suite arithmétique

er
de 1 terme et de raison et le nombre complexe de module et d’argument .
1)
a) Exprimer et en fonction de n.
b) En déduire fonction de n.
2) Démontrer que est une suite géométrique de raison et de 1er terme .
Exercice (3points)
1) Une urne A contient 2 boules rouges et 3 boules noires, une urne B contient 3 boules rouges et deux
boules noires. On tire au hasard une boule de l’urne A : si elle est noire, on la place dans l’urne B,
sinon, on l’écarte du jeu. On tire au hasard ensuite une boule de l’urne B. On considère les
événements suivants:
« La boule tirée de A est rouge»
« La boule tirée de A est noire »
« La boule tirée de B est rouge »
« La boule tirée de B est noire »
a) Calculer les probabilités des événements et .
b) Calculer les probabilités des événements « sachant »et « sachant ».
c) En déduire que la probabilité de est .
d) Calculer la probabilité de .
2) On répète n fois l’épreuve précédente (tirage d’une boule de A, suivie du tirage d’une boule de B dans
les mêmes conditions initiales indiquées ci-dessus), en supposant les différentes épreuves
indépendantes.
Quel nombre minimum d’essais doit-on effectuer pour que la probabilité d’obtenir au moins une fois
une boule rouge ?
Problème 8 points
Soit la fonction numérique à variable réelle définie par : et sa

courbe représentative dans le plan muni d’un repère orthonormé d’unité 1,5cm.
1) Déterminer et les limites aux bornes de .

2) Etudier la continuité et la dérivabilité de en O.
3) Etudier les variations de f.
4) Déterminer les branches paraboliques de
5) Déterminer l’aire du domaine limité par les droites d’équations , , la courbe
et l’axe des abscisses.
6) Montrer que f admet une bijection réciproque de vers un intervalle J à
déterminer.
7) Tracer et .
I.A Dakar Année scolaire 2016/2017
Classe : TS2 Durée : 04h
Examen baccalauréat blanc
Exercice 1 : 9pts
Dans le plan muni d’un repère orthonormal direct ,on considère l’application f du plan dans le plan
qui a tout point M d’affixe z associe le point M’ d’affixe z’ = .
1.Montre que f est une similitude directe dont on précisera le centre Ω ,le rapport k et l’angle
θ.(0.25+1.5pt )
2. Soit M0 le point d’affixe 1 4√3 3i . Pour tout entier naturel n , Mn+1= f(Mn).
a) En utilisant la première question , calcule ΩMnen fonction de n .(0.75pt )
b) Place les points M0,M1, M2, M3et M4. (1.25pt)
c) A partir de quel rang n0a -t-on : « pour tout n ≥n0 ,Mn appartient au disque de centre Ω et de
rayon r = 0.05 ».(0.5pt )
3.a) Calcule M0M1 .(1pt )
b) Pour tout entier naturel n , on note dn = MnMn+1. Montre que ( dn )est une suite géomètrique
dont on précisera la raison et le premier terme .(1pt )
c) On note ln = d0 +d1 +d2 ………………..dn-1 + dn. Calcule ln en fonction de n .Déduis-en la limite
de ln en ∞ . (0.75pt +0.25pt)
4. Pour tout entier naturel non nul n ,on note Gn l’isobarycentre des points M0,M1,M2, ……,Mn-1,Mn.
a) Montre que pour tout entier naturel non nul n ,ΩGn≤ . (1pt )
b) Déduis-en la position limite du point Gn lorsque n tend vers ∞. (0.75pt )

Problème :11pts
Parti A : On considère la fonction f définie sur lR par f(x) = ln 1 et ( C ) sa courbe
représentative de f dans un repère orthonormé unité graphique 3cm.
1. On considère la fonction g définie sur , ∞ par g(t)= ln 1 .

a) Etudie le sens de variation de g et calcule g( ) pour tout réel x.(0.5pt+0.5pt+0.5pt )
b) Détermine le signe g(t) pour tout t∈ , ∞ .(0.5pt)
2-a) Calcule f ‘ x ,la fonction dérivée de f et montre que f ‘ x = ln 1 .

(0.5pt+0.25pt )
b)En utilisant 1°) étudie le sens de variation de f. (0.5 pt)
3-a) Montre que pour tout réel , f(x)=x ln 1 .Déduis-en lim .
(0.5pt+0.25pt)
b)Détermine lim . (0.5pt )
c) Trace la courbe ( C ) et ses asymptotes (0.5pt+0.25pt )
Parti B
1.a) Etudie les variations de la fonction h définie par h(x) = f(x)-x.(0.5pt+0.25pt)
b) Déduis-en que f x =x admet une unique solution α∈ , , .(0.5pt)
2.Démontre que pour tout réel x tel que :0,5≤ ≤ , ,ona :
a , ≤f x ≤ , ;(0.75pt )
b)- ,2 ≤f ‘ x ≤ . (0.5pt )
c) Déduis-en que ≤ ,2 . (0.25pt )
= ,
3.On considère la suite (Un ) définie par :
=
a) Etudie le sens de variation de la suite (Un) . (0.75pt)
b)Démontre que pour tout entier n , ≤ ,2 . (0.75pt )
c)Montre que ≤ ,1 ,2 . (0.75pt)
d) Déduis-en la limite de la suite ( . (0.5pt )
e) Détermine le plus petit entier n0 tel que pour tout entier naturel n ≥n0, ≤ .1
(0.5 pt )
CLASSE : TS2 BAC BLANC 2016/2017
IA dakar/LYCEE BLAISE DIAGNE Epreuve : Mathématiques Durée : 04h
EXERCICE 01 : 03pts
On considère la suite (U n ) définie par : U 0 = e et, pour tout entier naturel n , U n1  U n
On pose, pour tout entier naturel n , V n = ln ( U n ).
1
1. a: Montrer que, pour tout entier naturel n , Vn1  Vn .En déduire la nature de la suite ( V n ). 0,5pt
2
b: Donner l'expression de V n en fonction de n. En déduire l'expression de U n en fonction de n. 0,5pt
2. Pour tout entier naturel n, on pose S n = V 0 + V 1 + V 2 + ...+ V n et P n = U 0 .U 1 ....U n.

a: Montrer que Pn  e Sn 01pt
b: Exprimer S n en fonction de n. 0,5pt
c: En déduire l'expression de Pn en fonction n. 0,5pt
EXERCICE 02 : 05pts
Dans l’ensembe des nombres complexes on considère l’équation
E  : z 3  3  2i z 2  1  4i z  1  2i  0 .
1) a) Montrer que E  admet une solution réelle que l’on précisera. 0,25pt
b) Résoudre E  . 0,5pt
2) dans le plan complexe, on désigne par, A, B, C les points d’affixes respectives

a  1, b  2  i, c  i .
ba
a) Déterminer le module et un argument de . 0,5pt
ca
b) En déduire la nature du triangle ABC. 0,25pt
c) Donner le centre et le rapport de la similitude plane directe f qui laisse invariant A et transforme B en C.
0,5pt
d) Donner l’expression analytique de f puis déterminer la nature et l’image de l’ensemble des points
M x; y  tels que : x 2  y 2  2 x  6 y  4  0 . 0,75pt
 z 0  1 et z1  i
3) Soit  z n  la suite définie par  R  .
 z n  2  2 z n 1  2 z n
a) Résoudre dans l’ensemble des nombres complexes l’équation définie par : q

2
2q  2  0 . 0,5pt
b) Donner la forme algébrique de z 2; ; z 3 . 0,5pt

a et b pour que la suite u n  définie par un  a1  i   b1  i 
n n
c) Déterminer les réels vérifié la
relation R  . 0,5pt
n 1
4) soit n un entier supérieur ou égale à 2.On pose S n   v j  v0  v1  ..........  vn1 . Avec
j 0
vn  1  i   1  i 
n n
.
a)calculer v0 ; v1 v3
0,5pt
b) Déterminer S n en fonction de n 0,25pt
PROBLEME 12pts
Partie A
Soit U la fonction définie sur 0;   par U x   1  ln x  e  x .
1) Etudier les variations de U x . 01pt

2) Montrer que l’équation U x   0 admet une solution unique   0,6; 0,7 . 0,5pt
3) En déduire le signe de U x  . 0,5pt
Partie B
 f x   x ln x  e  x si x  0
 1
Soit la fonction f définie par : 
f x   2
1 x
e 2 si x  0
 x 1

1)a) Déterminer le domaine de définition de f . 0,5pt
b) Etudier la continuité de f en 0. 0,5pt
c) Etudier la dérivabilité de f en 0.Interpréter graphiquement les résultats obtenus. 0,75pt
2)a) Montrer que  x  0;   on a f x   U x  . 0,5pt
b) Pour x0 écrire f x  sans la valeur absolue et calculer f x . 01pt
3) Dresser le tableau de variation de f et montrer que f    1    1ln . 01,5pt
4) Etudier la nature de la branche infinie de C  en   .

f 0,5pt
Partie C
Soit h la restriction de f a l’intervalle I   ;   .
1) Montrer que h admet une bijection réciproque h 1 définie sur un intervalle J a précisé. 0,75pt
2) h 1 est elle dérivable sur J . 0,25pt

3) Calculer h1 puis en déduire une équation de la tangente T  a Ch 1  au point d’abscisse 1e . 0,75pt
4) Tracer C  et C  et T  dans un repère orthonormé 0; i; j  unité2cm , prendre   0,6 . 02pts
f h 1
5) Calculer l’aire du domaine D délimité par C  par l’axe des abscisses et les droites d’équations x  1 et
f
x  2. 01pt
FIN
Bonne chance !
Exercice 3 (6points)
On se propose d’étudier la convergence de la suite u définie par :
1 e un
u 0  et, pour tout n de  , u n1  .
2 un  2
ex
1) Soit f la fonction définie pour x de l’intervalle 0; 1 par f x   .
x2
a) Déterminez f x  et f x  .En déduire les variations de f  puis le signe de f   x  sur
0;1 .
b) Etudiez le sens de variation de f .Déduisez –en l’image de 0; 1 par f .
2) Démontrez que, pour tout nombre x de l’intervalle 0;1 1

 f x   .
2
4 3
3) Démontrez que l’équation f x   x admet une solution unique l ,dans l’intervalle 0; 1 .
n
2  2
4) Démontrez que pour tout n de  : u n 1  l  u n  l puis que u n  l    .
3  3
5) Déduisez-en la convergence de la suite u .
Exercice : 4 (4points)
1)  E0  désigne l’équation différentielle : y  2 y  y  0 .Déterminer les solutions générales

de  E0  .
2)  E  est l’équation différentielle : y  2 y  y  2e x .

Vérifier que la fonction h définie sur IR par h  x   x e est une solution particulière de
2 x
a)
E.
b) Démontrer que  est une solution de  E  si et seulement si g    h est solution de  E0 
.
c) Déterminer toutes les solutions de  E  .
d) Déterminer la solution f0 de  E  satisfaisant les conditions initiales :

f0  0  4 et f0  0  0 .
B
- UNIVERSITE CHEIKH ANTA DIOP DE DAKAR 1/2 2023GS26NA0132
rrurr Durée : 4 heures
OFFICE DU BACCALAUREAT Séries: S2-S2A-S4-S5 – Coef. 5
E.mail :office@ucad.sn
siteweb :officedubac.sn Epreuve du 1er groupe
MATHEMATIQUES
Les calculatrices électroniques non imprimantes avec entrée unique par clavier sont autorisées. Les
calculatrices permettant d’afficher des formulaires ou des tracés de courbe sont interdites. Leur
utilisation sera considérée comme une fraude (Cf. Circulaire n° 5990/OB/DIR. du 12 08 1998).
EXERCICE 1 (03 points)
1) Soit 𝑎 un nombre rationnel strictement positif et 𝑛 un entier naturel. Donner les limites suivantes :
$%(!'() * ! +(
a) lim !
b) lim !
. (1,5 pt)
!→# !→#
2) Donner les primitives des fonctions suivantes :
-"
a) (𝑒𝑥𝑝 ∘ 𝑓)𝑓 , b) . (1,5 pt)
-

Un jeune agriculteur décide de pratiquer de la culture sous serre dans son champ. A cet effet, il choisit dans son
plan de représentation un repère orthonormal (𝑂; 𝑢 0⃗, 𝑣⃗). Il place dans ce repère deux points 𝐴 et 𝐵 dont les affixes
respectives 𝑧. et 𝑧/ sont des racines du polynôme 𝑃 défini par :
𝑃(𝑧) = 2 𝑧 0 − 3 (1 + 𝑖) 𝑧 1 + 4𝑖 𝑧 + 1 − 𝑖, où 𝑧 ∈ ℂ.
Son objectif est de pratiquer sa culture sous serre dans l’ensemble (𝐸) des points 𝑀 de son plan de représentation
tels que F𝑀𝐴 000000⃗ + 𝑀𝐵
000000⃗ + 2 000000⃗
𝑀𝑂F ≤ 2, qui contient un point du segment [𝐴𝐵].
1) Vérifier que 1 et 𝑖 sont des racines de 𝑃. (0,5 pt)
2) Déterminer le polynôme 𝑔 tel que 𝑃(𝑧) = (𝑧 − 1) (𝑧 − 𝑖) 𝑔(𝑧) ∙ (0,5 pt)
3) Résoudre dans ℂ l’équation 𝑃(𝑧) = 0. (0,5 pt)
( (
4) On pose 𝑧. = 1, 𝑧/ = 𝑖 et 𝑧2 = + 𝑖.
1 1
a) Placer les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶 d’affixes respectives 𝑧. , 𝑧/ et 𝑧2 dans le repère orthonormal (𝑂; 𝑢 0⃗, 𝑣⃗) en
choisissant comme unité graphique 4 𝑐𝑚. (0,75 pt)
b) Démontrer que 𝐶 est le milieu de [𝐴𝐵], puis que 𝐶 appartient à l’ensemble (𝐸). (0,5 pt)
c) Déterminer l’affixe 𝑧3 du point 𝐺 barycentre du système {(𝐴, 1) ; (𝐵, 1) ; (𝑂, 2)} , puis placer 𝐺. (0,5 pt)
5) Déterminer puis construire l’ensemble (𝐸) des points 𝑀 du plan tels que
000000⃗ + 000000⃗
F𝑀𝐴 𝑀𝐵 + 2 𝑀𝑂 000000⃗F ≤ 2. (0,5 pt)
6) Le jeune agriculteur atteindra-t-il son objectif ? (0,25 pt)

𝑈# = 6
On considère la suite numérique (𝑈4 )4 ∈ ℕ définie par : T𝑈 = 8 + 9 𝑈4 , 𝑛 ∈ ℕ.
( 0
4'(
#
1) Déterminer 𝑈( et 𝑈1 . (0,5 pt)
2) Démontrer par récurrence que : ∀ 𝑛 ∈ ℕ, 𝑈4 ≥ √3. (01 pt)
( 0
3) Soit 𝑓 la fonction définie sur ]0, +∞[ par 𝑓(𝑥) = ! + 9 𝑥.
a) Etudier le sens de variations de 𝑓. (01 pt)
b) En déduire par récurrence que (𝑈4 )4 ∈ℕ est strictement décroissante. (0,5 pt)
4) Démontrer que (𝑈4 )4 ∈ℕ est convergente et déterminer sa limite. (01pt)
PROBLEME (09 pts)

PARTIE A (02 pts)
( ,
On considère l’équation différentielle (𝐸) : 1 𝑦 + 𝑦 = 3 𝑒 +1! + 2.
(
1) Résoudre l’équation différentielle (𝐸′) ∶ 1 𝑦 , + 𝑦 = 0. (0,25 pt)
2) Soit ℎ une fonction définie sur ℝ par ℎ(𝑥) = 𝑎𝑥 𝑒 +1! + 𝑏 𝑜ù 𝑎 et 𝑏 sont des réels.
Déterminer 𝑎 et 𝑏 pour que ℎ soit une solution de (𝐸). (0,5 pt)
3) a) Soit 𝑔 une fonction dérivable sur ℝ. Posons 𝑎 = 6 et 𝑏 = 2.
Démontrer que 𝑔 est solution de (𝐸) si et seulement si 𝑔 − ℎ est solution de (𝐸′). (0,5 pt)
…/… 2
MATHEMATIQUES 2/2 2023GS26NA0132
Séries: S2-S2A-S4-S5
Epreuve du 1er groupe
b) En déduire l’ensemble des solutions de (𝐸). (0,5 pt)

4) Déterminer la solution k de (𝐸) dont la courbe représentative (𝐶: ) dans un repère orthonormal (𝑂; 𝚤⃗, 𝚥⃗)
passe par le point 𝑂. (0,25 pt)
PARTIE B (07 pts)
Soient 𝑓 la fonction définie par :

(6𝑥 − 2)𝑒 +1! + 2 si 𝑥 ≤ 0
𝑓(𝑥) = e𝑥 + ln|1 − 𝑥|
si 𝑥 > 0
1−𝑥
et l𝐶- m sa courbe représentative dans un repère orthonormé d’unité graphique 2𝑐𝑚.
1) Justifier que l’ensemble de définition 𝐷- de 𝑓 est égal à ℝ\{1}. (0,5 pt)
2) Etudier les limites aux bornes de 𝐷- et interpréter graphiquement, si possible, les résultats obtenus. (01,5 pt)
-(!)
3) Déterminer lim et interpréter graphiquement le résultat. (0,5 pt)
!→+; !
4) Etudier la continuité de 𝑓 en 0. (0,5 pt)
5) Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 0 et interpréter géométriquement les résultats obtenus. (01 pt)
6) Calculer 𝑓′(𝑥) puis étudier son signe sur ]−∞, 0[ et sur ]0, +∞[\{1}. (0,75 pt)
7) Dresser le tableau de variations de 𝑓. (0,5 pt)
8) Montrer sur l’intervalle ]1 , 2[ que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une unique solution 𝛼 et que
1, 2 < 𝛼 < 1, 3. (0,5 pt)
9) Construire l𝐶- m et ses asymptotes. (0,75 pt)
10) Calculer en 𝑐𝑚1 l’aire 𝐴(𝐸) de la partie 𝐸 du plan comprise entre les droites d’équations 𝑥 = 2, 𝑥 = 3,
𝑦 = −1 et la courbe l𝐶- m de 𝑓. (0,5 pt)
Grille de correction des copies des élèves
Pour la correction des copies, il faudra tenir compte, pour chaque réponse à une question de l’épreuve
de :
ü La justesse du raisonnement pour 50% de la note. Si le raisonnement est acceptable mais
insuffisant, on donne 25% de la note.
ü L’exactitude des résultats attendus et qui sont en adéquation avec le raisonnement pour 50% de
la note.
CORRIGE
EXERCICE 1
1) Le nombre rationnel strictement positif 𝑎 et l’entier naturel 𝑛 sont des données inutiles. Pour le
calcul de limite, on a d’après les limites usuelles :
$%(!'() * ! +(
a) lim !
=1 b) lim !
= 1. (0,75+0,75 pt)
!→# !→#
2) Une primitive de la fonction :
a) (𝒆𝒙𝒑 ∘ 𝒇)𝒇, .
On sait que la dérivée de la composée 𝑒𝑥𝑝 ∘ 𝑓 est la fonction (𝑒𝑥𝑝 ∘ 𝑓)𝑓 , . Donc une primitive de la
fonction 𝑥 ↦ (𝑒𝑥𝑝 ∘ 𝑓(𝑥))𝑓 , (𝑥) est la fonction 𝑥 ↦ 𝑒𝑥𝑝 ∘ 𝑓(𝑥) + 𝑐, avec 𝑐 une constante. (0,75 pt)
𝒇"
b) 𝒇
.
."
On sait que si 𝑓est non nulle alors la dérivée de la composée ln (|𝑓|) est la fonction . .
. " (!)
Donc une primitive de la fonction 𝑥 ↦ .(!)
si 𝑓est non nulle, est la fonction 𝑥 ↦ ln (|𝑓(𝑥)| + 𝑘
avec 𝑓(𝑥) ≠ 0 e𝑡 𝑘 une constante. (0,75 pt)
EXERCICE 2
1) 𝑝(1) = 2(1)/ − 3(1 + 𝑖) (1)0 + 4𝑖 (1) + 1 − 𝑖.

𝑃(1) = 2 − 3 − 3𝑖 + 4𝑖 + 1 − 𝑖 = 0 , donc 1 est une racine de 𝑃. (0,25 pt)
/ 0
𝑃(𝑖) = 2𝑖 − 3(1 + 𝑖) 𝑖 + 4𝑖 (𝑖) + 1 − 𝑖 = −2𝑖 + 3(1 + 𝑖) − 4 + 1 − 𝑖
𝑃(𝑖) = −2𝑖 + 3 + 3𝑖 − 4 + 1 − 𝑖 = 0, donc 𝑖 est une racine de 𝑃. (0,25 pt)
2) L’élève pourra déterminer 𝑔(𝑧) par division euclidienne, par la méthode d’identification des coefficients ou par
la méthode de Hörner.
Utilisons dans ce tableau deux fois la méthode de Hörner
2
− 3 − 3𝑖 4𝑖 1 − 𝑖
1 2 −1 − 3𝑖 −1 + 𝑖
2 −1 − 3𝑖 −1 + 𝑖 0
𝑖 2𝑖 −𝑖 + 1
2 −1 − 𝑖 0
D’où 𝑔(𝑧) = 2𝑧 − 1 − 𝑖 et 𝑃(𝑧) = (𝑧 − 1) (𝑧 − 𝑖) (2𝑧 − 1 − 𝑖). (0,5 pt)
3) Les solutions dans ℂ de l’équation 𝑃(𝑧) = 0 sont 1, 𝑖 et la racine de 𝑔.
( (
𝑔(𝑧) = 0 ⇔ 2𝑧 − 1 − 𝑖 = 0 ⇔ 2𝑧 = 1 + 𝑖 ⇔ 𝑧 = 0 + 0 𝑖.
( (
𝑆 = T1, 𝑖, 0
+ 0
𝑖U. (0,5 pt)
…/… 2
4) a)
b) L’élève pourra démontrer que 𝐶 est le milieu de [𝐴𝐵] en utilisant les affixes respectives des points
𝐴, 𝐵 et 𝐶 ou en utilisant leurs coordonnées respectives.
! "! %"& % %
En utilisant les affixes respectives des points A, B et C on a ! " = = $ + $ 𝑖 = 𝑧' donc 𝐶 est
$ $
le milieu de [𝐴𝐵]. (0,25 pt)
Démontrons que 𝐶 appartient à l’ensemble (𝐸).
00000⃗ + 𝐶𝐵
On a F𝐶𝐴 00000⃗ + 2 𝐶𝑂
00000⃗F = F2 𝐶𝑂
00000⃗F = 2|𝑧𝐶| = √2. Ce qui implique que F𝐶𝐴
00000⃗ + 00000⃗ 00000⃗F ≤ 2.
𝐶𝐵 + 2 𝐶𝑂
D’où 𝐶 appartient à l’ensemble (𝐸). (0,25 pt)
c) Déterminer l’affixe 𝑧3 du point 𝐺 barycentre du système {(𝐴, 1) ; (𝐵, 1) ; (𝑂, 2)}.
!! " !" "$!# %"& % %
On a : 𝑧) = = = + 𝑖. (0,25 pt)
%"%"$ * * *
Voir figure pour le placement du point 𝐺 dans le repère. (0,25 pt)
5) Comme G est le barycentre de {(𝐴, 1) ; (𝐵, 1) ; (𝑂, 2)} , donc pour tout point M du plan, on a :
``````⃗
𝑀𝐴 + ``````⃗ 𝑀𝐵 + 2 ``````⃗
𝑀𝑂 = (1 + 1 + 2) 𝑀𝐺 ``````⃗ ⟹ 𝑀𝐴 ``````⃗ + ``````⃗
𝑀𝐵 + 2 ``````⃗
𝑀𝑂 = 4 ``````⃗
𝑀𝐺 .
(
``````⃗ + 𝑀𝐵
d𝑀𝐴 ``````⃗ + 2 𝑀𝑂 ``````⃗d ≤ 2 ⇔ d4 𝑀𝐺``````⃗ d ≤ 2 ⇔ 4d𝑀𝐺 ``````⃗ d ≤ 2 ⇔ 𝑀𝐺 ≤ ⇔ 𝑀 appartient au disque
0
( (
de centre G et de rayon 0 ∙ D’où (𝐸) est le disque de centre G et de rayon 0 ∙ (0,25 pt)
Pour la construction de (𝐸) voir figure. (0,25 pt)
6) Oui le jeune agriculteur atteindra son objectif s’il choisit les deux points 𝐴 et 𝐵 d’affixes respectives
𝑧1 = 1 et 𝑧2 = 𝑖. Il pourra pratiquer sa culture sous serre dans la partie de son champ (𝐸) sous forme
( (
de disque qui contient au moins le point 𝐶 milieu de [𝐴𝐵 ], d’affixe 𝑧3 = 0 + 0 𝑖. (0,25 pt)
Les élèves pourront donner d’autres réponses possibles. A savoir :
ü Oui le jeune agriculteur atteindra son objectif s’il choisit deux points A et B d’affixes respectives
z4 = 𝑖 et z5 = 1. Il pourra pratiquer sa culture sous serre dans la partie de son champ (𝐸) sous
( (
forme de disque qui contient au moins le point C milieu de [AB], d’affixe z6 = 0 + 0 𝑖.
ü Oui le jeune agriculteur atteindra son objectif s’il choisit deux points 𝐴 et 𝐵 d’affixes respectives
( (
𝑧1 = 1 et 𝑧2 = 0 + 0 𝑖. Il pourra pratiquer sa culture sous serre dans la partie de son champ
(𝐸) sous forme de disque qui contient au moins le point 𝐵.
( (
𝑧1 = 0 + 0 𝑖 et 𝑧2 = 1). Il pourra pratiquer sa culture sous serre dans la partie de son champ
(𝐸) sous forme de disque qui contient au moins le point 𝐴.
ü Oui le jeune agriculteur atteindra son objectif s’il choisit deux points 𝐴 et 𝐵 d’affixes
( (
respectives 𝑧1 = 𝑖 et 𝑧2 = 0 + 0 𝑖. Il pourra pratiquer sa culture sous serre dans la partie de
son champ (𝐸) sous forme de disque qui contient au moins le point 𝐵.
…/… 3
( (
𝑧1 = 0 + 0 𝑖 et 𝑧2 = 𝑖). Il pourra pratiquer sa culture sous serre dans la partie de son champ
(E) sous forme de disque qui contient au moins le point 𝐴.
EXERCICE 3
1) Déterminons 𝑈( et 𝑈1
( / ( / ( : ( 0; 0< (8
𝑈( = 7 + 8 𝑈# = 9 + (6) = + = + = = . (0,25 pt)
# 8 9 0 9 9 9 /
( / ( / (8 / ; / 8: =0 09
𝑈0 = 7$
+ 8
𝑈( = $% + 8
× /
= (8
+ 0
= (8
+ (8
= (8
= ;
. (0,25 pt)
&
2) Démontrons par récurrence que : ∀ 𝑛 ∈ ℕ, 𝑈4 ≥ √3.
• Vérifions que 𝑈# ≥ √3.
On a 𝑈# = 6. Or 6 ≥ √3, donc 𝑈# ≥ √3.
• Démontrons que si 𝑈> ≥ √3 alors 𝑈>'( ≥ √3.
Supposons que 𝑈> ≥ √3 et montrons que 𝑈>'( ≥ √3.
( / 8'/ 7'( +8 √/ 7'
𝑈>'( − √3 = 7'
+ 8
𝑈> − √3 = 8 7'
.
(
/ 7'( +8 √/ 7' ' 8 A√/ 7' +0B
𝑈>'( − √3 = 8 7'
= 8 7'
.
0
Or 𝑈> ≥ √3 implique que t√3 𝑈> − 2u ≥ 0 et 𝑈> > 0.
(
A√/ 7' +0B
Ce qui donne 8 7'
≥ 0 ⟹ 𝑈>'( − √3 ≥ 0 ⟹ 𝑈>'( ≥ √3.
• Donc ∀ 𝑛 ∈ ℕ, 𝑈> ≥ √3. (01 pt)
3) a) 𝑓 est une fonction rationnelle, donc 𝑓 est dérivable en tout point de son ensemble de définition.
Par conséquent 𝑓 est dérivable sur ]0, +∞[. (0,25 pt)
( / + 8'/! ( / ! ( +8
∀ 𝑥 ∈ ]0, +∞[, 𝑓 , (𝑥) = − !(
+ 8
= 8 !(
= 8 !(
.
A√/ !'0B A√/ !+0B
𝑓 , (𝑥) = 8 !(
. (0,25 pt)
∀𝑥 ∈ ]0, +∞[, √3𝑥 + 2 > 0 et 4 𝑥 0 > 0, donc 𝑓 , (𝑥) est du signe de √3𝑥 − 2.
0 0√/
√3𝑥 − 2 = 0 ⟺ √3𝑥 = 2 ⟺ 𝑥 = √/ = /
0√/ 2√3
𝑥 0 /
+∞ 𝑓 + (𝑥) = 0 ⟺ 𝑥 =
3
2√ 3
𝑓 , (𝑥) − 0 + 𝑓 + (𝑥) > 0 ⟺ 𝑥 ∈ . , +∞2
3
2√3
𝑓 + (𝑥) < 0 ⟺ 𝑥 ∈ .0, 2
3
(0,25 pt)
2√3 2√3
𝑓 est strictement croissante sur | , +∞| et strictement décroissante sur }0, }. (0,25 pt)
3 3
b) Déduisons-en par récurrence que (𝑈4 )4 ∈ℕ est strictement décroissante.
• Vérifions que 𝑈( < 𝑈# .
(8 (8
𝑈# = 6 𝑒𝑡 𝑈( = / . Or / < 6, donc 𝑈( < 𝑈# .
• Supposons que 𝑈>'( < 𝑈> et montrons que 𝑈>'0 < 𝑈>'( .
2√3 2√3
On sait que ∀ 𝑛 ∈ ℕ, 𝑈> ≥ √3. Or √3 > 3
, donc 𝑈> > 3
∙
2√3 2√3
⟹ 𝑈> ∈ | 3
, +∞| ∙ De même 𝑈>'( ∈ | 3
, +∞|.
…/… 4
2√3 2√3 2√3

On a 𝑈> ∈ | 3 , +∞| et 𝑈>'( ∈ | 3 , +∞|. 𝑓 étant strictement croissante sur | 3 , +∞|, donc si
𝑈>'( < 𝑈> alors 𝑓(𝑈>'( ) < 𝑓(𝑈> ) ∙
Or 𝑓(𝑈>'( ) = 𝑈>'0 et 𝑓(𝑈> ) = 𝑈>'( , donc 𝑈>'0 < 𝑈>'( .
• Donc ∀ 𝑛 ∈ ℕ, 𝑈>'( < 𝑈> . D’où (𝑈> )> ∈ℕ est strictement décroissante. (0,5 pt)
4) D’après la question 2), ∀ 𝑛 ∈ ℕ on a 𝑈> ≥ √3. Donc la suite (𝑈> )> ∈ℕ est minorée par √3 ∙ Or
(𝑈> )> ∈ℕ est décroissante, donc (𝑈> )> ∈ℕ est convergente. (0,5 pt)
Posons ! = lim U n .
n ® +¥
2√ 3
∀ 𝑛 ∈ ℕ, 𝑈> ≥ √3 ⟹ lim 𝑈> ≥ √3 ⟹ ℓ ≥ √3 ⟹ ℓ ∈ | , +∞| ∙
> → 'E 3
2√3
Or 𝑓 est continue sur | 3 , +∞|, donc 𝑓 est continue en ℓ ∙
Par hypothèse, 𝑈# = 6 et 𝑈>'( = 𝑓(𝑈> ). On a aussi, lim 𝑈> = ℓ et 𝑓 est continue en ℓ, donc ℓ
> → 'E
est solution de l’équation 𝑓(𝑥) = 𝑥.
% , *" , + $
𝑓(𝑥) = 𝑥 ⟺ + + * 𝑥 = 𝑥 ⟺ * + = 𝑥.
⟺ 4 + 3 𝑥0 = 4 𝑥0 ⟺ 4 = 4 𝑥0 − 3 𝑥0 ⟺ 4 = 𝑥0.
⟺ 𝑥 = 2 ou 𝑥 = −2.
Or 𝑥 > 0; donc 𝑥 = 2. D’où ℓ = 2. (0,5 pt)
PROBLEME
PATIE A
(
1) Résolvons l’équation différentielle (𝐸′) ∶ 1 𝑦 , + 𝑦 = 0.
1
(𝐸′): 𝑦 , = −𝑦 ⟺ 𝑦 , = −2𝑦 ⟺ 𝑦(𝑥) = 𝜆 𝑒 + 0! où 𝜆 ∈ ℝ ∙
2
D’où l’ensemble des solutions de (𝐸′) est l’ensemble des fonctions 𝑦 définies par :
𝑦(𝑥) = 𝜆 𝑒 + 0! où 𝜆 ∈ ℝ. (0,25 pt)
2) Soit ℎ une fonction définie sur ℝ par ℎ(𝑥) = 𝑎𝑥 𝑒 +1! + 𝑏 𝑜ù 𝑎 et 𝑏 sont des réels.
Déterminons 𝑎 et 𝑏 pour que ℎ soit une solution de (𝐸).
( (
On a ℎ, (𝑥) = 𝑎𝑒 + 0! − 2𝑎𝑥 𝑒 + 0! ; ℎ, (𝑥) = 0 𝑎𝑒 + 0! − 𝑎𝑥𝑒 + 0! ∙
0
1 , 1 1
ℎ (𝑥) + ℎ(𝑥) = 𝑎𝑒 + 0! − 𝑎𝑥 𝑒 + 0! + 𝑎𝑥𝑒 + 0! + 𝑏 = 𝑎𝑒 + 0! + 𝑏.
2 2 2
( , + 0!
ℎ est solution de (𝐸) ⟺ 0ℎ (𝑥) + ℎ(𝑥) = 3𝑒 + 2, ∀ 𝑥 ∈ ℝ ∙
(
𝑎=3 𝑎=6
⟺ ‰0 ⟺ T
𝑏=2 𝑏=2
𝑎 = 6 et 𝑏 = 2. (0,5 pt)
( , (𝑥) +0!
3) a) 𝑔 est solution de (𝐸) ⟺ 0
𝑔 + 𝑔(𝑥) = 3 𝑒 + 2, ∀ 𝑥 ∈ ℝ.
(
Or 0 ℎ, (𝑥) + ℎ(𝑥) = 3𝑒 + 0! + 2, ∀ 𝑥 ∈ ℝ. Donc
( (
𝑔 est solution de (𝐸) ⟺ 0
𝑔, (𝑥) + 𝑔(𝑥) = 0 ℎ, (𝑥) + ℎ(𝑥), ∀ 𝑥 ∈ ℝ.
( (
⟺ 0
𝑔, (𝑥) − 0
ℎ, (𝑥) + 𝑔(𝑥) − ℎ(𝑥) = 0, ∀ 𝑥 ∈ ℝ.
(
⟺ 0 (𝑔 − ℎ), (𝑥) + (𝑔 − ℎ) (𝑥) = 0, ∀ 𝑥 ∈ ℝ.
⟺ 𝑔 − ℎ est solution de (𝐸′). (0,5 pt)
b) Déduisons-en l’ensemble des solutions de (𝐸).
Soit 𝑔 une fonction dérivable sur ℝ.
𝑔 est solution de (𝐸) ⟺ 𝑔 − ℎ est solution de (𝐸′) ⟺ 𝑔(𝑥) − ℎ(𝑥) = 𝜆 𝑒 + 0! 𝑜ù 𝜆 ∈ ℝ.
…/… 5
⟺ 𝑔(𝑥) = ℎ(𝑥) + 𝜆 𝑒 + 0! 𝑜ù 𝜆 ∈ ℝ.
⟺ 𝑔(𝑥) = 6𝑥𝑒 + 0! + 2 + 𝜆 𝑒 + 0! 𝑜ù 𝜆 ∈ ℝ.
⟺ 𝑔(𝑥) = (6 𝑥 + 𝜆)𝑒 + 0! + 2 𝑜ù 𝜆 ∈ ℝ.
L’ensemble des solutions de (𝐸) est l’ensemble des fonctions 𝑔 définies sur ℝ et de la forme
𝑔: 𝑥 ⟼ (6 𝑥 + 𝜆)𝑒 + 0! + 2 𝑜ù 𝜆 ∈ ℝ. (0,5 pt)
4) Déterminons la solution 𝑘 de (𝐸) dont la courbe représentative (𝐶: ) dans un repère orthonormal (𝑂 ; 𝚤⃗, 𝚥⃗) passe
par le point 𝑂.
𝑘 est solution de (𝐸) ⟺ 𝑘(𝑥) = (6 𝑥 + 𝜆) 𝑒 + 0! + 2 𝑜ù 𝜆 ∈ ℝ.
De plus, la courbe représentative (𝐶: ) de 𝑘 dans un repère orthonormal (𝑂 ; 𝚤⃗, 𝚥⃗) passe par le point 𝑂 équivaut
à 𝑂(0, 0) ∈ (𝐶F )
⟺ 𝑘(0) = 0 ⟺ 𝜆 + 2 = 0 ⟺ 𝜆 = −2.
D’où 𝑘(𝑥) = (6 𝑥 − 2)𝑒 + 0! + 2. (0,25 pt)
PARTIE B
Soient 𝑓 la fonction définie par :
(6𝑥 − 2)𝑒 +1! + 2 si 𝑥 ≤ 0
𝑓(𝑥) = e𝑥 + ln|1 − 𝑥|
si 𝑥 > 0
1−𝑥
et l𝐶- m sa courbe représentative dans un repère orthonormé d’unité graphique 2𝑐𝑚.
1) Justifions que l’ensemble de définition 𝐷- de 𝑓 est égal à ℝ\{1}.
𝑥 >0 𝑥 >0
𝑓(𝑥) existe ⟺ 𝑥 ≤ 0 ou T ⟺ 𝑥 ≤ 0 ou T ⟺ 𝑥 ≠ 1.
1−𝑥 ≠0 𝑥 ≠1
D’où 𝐷. = ℝ ∖ {1}. (0,5 pt)
2) Etudions les limites aux bornes de 𝐷- et interprétons graphiquement, si possible, les résultats obtenus.
lim 6 x - 2 = lim 6 x = - ¥ ; lim - 2 x = + ¥ ; lim e - 2 x = + ¥
x ® -¥ x ® -¥ x ® -¥ x ® -¥
D’où lim (6 x - 2) e - 2x
= -¥ ; lim (6 x - 2) e -x
+ 2 = - ¥ ; lim f ( x) = - ¥ . (0,25 pt)
x ® -¥ x ® -¥ x ® -¥
x 0 1 +∞
lim 1 - x = 0
x ®1
1−𝑥 +
0
-
lim x = 1 ; lim 1 - x = 0 + ; lim ln 1 - x = - ¥ ; lim x + ln 1 - x = - ¥

x ®1 x ®1 x ®1 x ®1
lim 𝑥 + ln|1 − 𝑥| = −∞
!→(,
Ž ⟹ lim, 𝑓(𝑥) = −∞. (0,25 pt)
lim, 1 − 𝑥 = 0' !→(
!→(
lim 𝑥 + ln|1 − 𝑥| = −∞
!→(-
Ž ⟹ lim- 𝑓(𝑥) = +∞. (0,25 pt)
lim- 1 − 𝑥 = 0+ !→(
!→(
La droite d’équation 𝑥 = 1 est asymptote verticale à t𝐶. u. (0,25 pt)
Etudions la limite de 𝑓 en +∞.
Supposons que 𝑥 > 1.
Alors 1 − 𝑥 < 0 et |1 − 𝑥| = 𝑥 − 1.
𝑥 + ln(𝑥 − 1) 𝑥 ln(𝑥 − 1) 𝑥 ln(𝑥 − 1)
𝑓(𝑥) = = + = − ∙
1−𝑥 1−𝑥 1−𝑥 1−𝑥 𝑥−1
…/… 6
𝑥 𝑥
= lim lim
= −1.
!→'E 1 − 𝑥 !→'E −𝑥
Posons 𝑡 = 𝑥 − 1. 𝑥 → +∞ ⟺ 𝑡 → +∞.
ln (x - 1) ln t
lim = lim = 0 ; lim f ( x) = - 1. (0,25 pt)
x ® +¥ x -1 t ® +¥ t x ® +¥
La droite d’équation 𝑦 = −1 est asymptote horizontale à t𝐶. u en + ∞. (0,25 pt)

-(!)
3) Déterminons lim ! et interprétons graphiquement le résultat.
!→+;
Supposons que 𝑥 < 0.
.(!) (9 !+0) * , (! '0 9 !+0 0
Alors !
= !
=• !
‘ 𝑒 + 0! + !.
9!+0 9!
On a lim !
= lim = 6 et lim 𝑒 +0! = +∞.
!→+E !→+E ! !→+E
æ 6 x - 2 ö - 2x 2 f ( x)
lim ç ÷e = + ¥ ; lim = 0 ; lim = + ¥. (0,25 pt)
x ® -¥
è x ø x ® -¥ x x ® -¥ x
t𝐶. u admet une branche parabolique de direction l’axe des ordonnées en −∞. (0,25 pt)
4) Etudions la continuité de 𝑓 en 0.
On a 𝑓(0) = [6 (0) − 2] 𝑒 + 0(#) + 2 = −2 + 2 = 0.
lim- f ( x) = lim- (6 x - 2) e - 2 x + 2 = [6 (0) - 2] e - 2 (0) + 2 = 0.
x®0 x®0
x + ln 1 - x 0 + ln 1 - 0 0
lim+ f ( x) = lim+ = = = 0.
x®0 x®0 1- x 1- 0 1
lim f ( x) = lim+ f ( x) = 0 Þ lim f ( x) = 0.
x!®!0 - x®0 x®0
Or 𝑓(0) = 0, donc
lim f ( x) = f (0) ; d ' où f est continue en 0. (0,5 pt)
x®0
5) Etudions la dérivabilité de 𝑓 en 0.
Supposons que 𝑥 < 0.
.(!)+.(#) (9 !+0)* , (! '0 + 0* , (! '0
On a !+#
= !
= 6 𝑒 + 0! + !
.(!)+.(#) + 0! * , (! +( + 0! * , (! +(
!+#
=6𝑒 −2 • ! ‘=6𝑒 +4 • + 0!
‘
On a d’une part, lim, 6𝑒 +0! = 6.
!→#
D’autre part, posons 𝑡 = −2𝑥.
𝑥 → 0+ ⟺ 𝑡 ⟶ 0'
e- 2x - 1 et - 1 f ( x) - f (0)
lim- = lim+ = 1 ; lim- = 6 + 4 (1) . Ce qui implique que
x® 0 - 2x t ®0 t x®0 x -0
f ( x) - f (0)
lim- = 10, donc 𝑓 est dérivable à gauche en 0 et 𝑓G, (0) = 10. (0,25 pt)
x®0 x -0
Supposons que 0 < 𝑥 < 1
!-/0($,!)
.(!)+.(#) !'$%((+!) ! $%((+!)
On a !+#
= $,!
!
= ! ((+!)
= ! ((+!)
+ ! ((+!)
.(!)+.(#) ( ( $%((+!)
!+#
= (+!
− (+!
× +!
1
D’une part, lim+ = 1.
x®0 1- x
D’autre part, posons 𝑡 = −𝑥.

𝑥 → 0' ⟺ 𝑡 ⟶ 0+ .
…/… 7
ln(1 − 𝑥) ln(1 + 𝑡)
lim-
= lim, = 1.
!→# −𝑥 H→# 𝑡
.(!)+.(#)
D’où lim- !+# = 1 − 1 × 1 = 1 − 1 = 0.
!→#
Ainsi, 𝑓 est dérivable à droite en 0 et 𝑓I, (0) = 0. (0,25 pt)
Comme 𝑓G, (0) ≠ 𝑓I, (0), donc 𝑓 n’est pas dérivable en 0.
Interprétons géométriquement les résultats obtenus.
t𝐶. u admet au point d’abscisse 0 une demi-tangente à gauche de coefficient directeur 10 et une
demi-tangente horizontale à droite. (0,5 pt)
6) Calculer 𝑓′(𝑥) puis étudions son signe sur ]−∞, 0[.
On a ∀ 𝑥 ∈ ]−∞, 0[, 𝑓(𝑥) = (6𝑥 − 2) 𝑒 + 0! + 2
𝑓 , (𝑥) = 6 𝑒 + 0! − 2 (6 𝑥 − 2) 𝑒 + 0! = [6 − 2(6𝑥 − 2)] 𝑒 + 0! = (− 12𝑥 + 10) 𝑒 + 0!
𝑓 , (𝑥) = 2 (− 6𝑥 + 5) 𝑒 + 0! .
∀ 𝑥 ∈ ]−∞, 0[, −6𝑥 + 5 > 0 et 𝑒 + 0! > 0, donc 𝑓 , (𝑥) > 0. (0,25 pt)
Calculer 𝑓′(𝑥) puis étudions son signe sur ]0, +∞[\{1}.
!'$%|(+! |
On a ∀ 𝑥 ∈ ]0, +∞[ ∖ {1}, 𝑓(𝑥) = (+!
.
$
K(+ L ((+!)+ (+ () (!'$%|(+!|)
𝑓 , (𝑥) = $,!
((+!)(
.
(+!+('!'$%|(+! | $%|(+! |
𝑓 , (𝑥) = ((+!)(
= ((+!)(
∀ 𝑥 ∈ ]0, +∞[ ∖ {1}, (1 − 𝑥) > 0, donc 𝑓 , (𝑥) est du signe de ln|1 − 𝑥|.
0
ln|1 − 𝑥| > 0 ⟺ |1 − 𝑥| > 1 ⟺ 1 − 𝑥 < −1 ou 1 − 𝑥 > 1.

⟺ −𝑥 < −2 ou − 𝑥 > 0 ⟺ 𝑥 > 2 ou 𝑥 < 0.
𝑥 < 0 est impossible car 𝑥 ∈ ]0, +∞[ ∖ {1}.
𝑓 , (𝑥) > 0 ⟺ 𝑥 > 2 ⟺ 𝑥 ∈ ]2, +∞[
𝑓 , (𝑥) < 0 ⟺ 𝑥 ∈ ]0, 1[ ∪ ]1, 2[.
𝑓 , (𝑥) = 0 ⟺ 𝑥 = 2. (0,5 pt)
7) Dressons le tableau de variations de 𝑓
2 + ln|1 − 2|
𝑓(2) =
1−2
𝑓(2) = − 2.
(0,5 pt)
8) Montrons sur l’intervalle ]1 , 2[ que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une unique solution 𝛼 et que
1, 2 < 𝛼 < 1, 3.
On a 𝑓 est continue et strictement décroissante sur ]1, 2[, donc Montrer sur l’intervalle ]1 , 2[ que
l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une unique solution 𝛼 et que
1, 2 < 𝛼 < 1, 3. est une bijection de ]1, 2[ sur 𝑓(]1, 2[) = ]− 2, +∞[. Or 0 ∈ ]− 2, +∞[, donc
l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une unique solution 𝛼 dans ]1, 2[.
1, 2 ∈ ]1, 2[ et 1, 3 ∈ ]1, 2[. De plus 𝑓(1, 2) ≃ 2 et 𝑓(1,3) ≃ −0,3
D’où 𝑓(1,2) × 𝑓(1, 3) < 0 ⟹ 1, 2 < 𝛼 < 1, 3. (0,5 pt)
9) Construisons l𝐶- m et ses asymptotes.
𝑓(3) ≃ −1,85 ; 𝑓(4) ≃ −1,7 ; 𝑓(1, 5) ≃ −1,5 et 𝑓(0,5) ≃ −0,39.
…/…8
(0,75 pt)
1
10) Calculons en 𝑐𝑚 l’aire 𝐴(𝐸) de la partie 𝐸 du plan comprise entre les droites d’équations 𝑥 = 2, 𝑥 = 3,
𝑦 = −1 et la courbe l𝐶- m de 𝑓.
/
On a 𝐴(𝐸) = ∫0 [− 1 − 𝑓(𝑥)] 𝑑𝑥 × 𝑢. 𝑎, (𝑢. 𝑎=unité d’aire).
∀ 𝑥 ∈ [2, 3], on a :
!'$%|(+! | + ('!+!+$%(!+()
−1 − 𝑓(𝑥) = −1 − (+! = (+!
− 1 − ln(𝑥 − 1) 1 + ln(𝑥 − 1) 1 ln(𝑥 − 1)
− 1 − 𝑓(𝑥) = = = +
1−𝑥 𝑥−1 𝑥−1 𝑥−1
, ( , ,
= [ln(𝑥 − 1)] + !+( ln(𝑥 − 1) = žln[𝑥 − 1]Ÿ + [ln(𝑥 − 1)] ln(𝑥 − 1).
( , ( ,
D’où − 1 − 𝑓(𝑥) = [ln(𝑥 − 1)], + |0 ln0 (𝑥 − 1)} = |ln(𝑥 − 1) + 0
ln0 (𝑥 − 1)} .
( / (
0
Ce qui implique que 𝐴 (𝐸) = |ln(𝑥 − 1) + ln (𝑥 − 1)} × 𝑢. 𝑎 = •ln 2 + ln0 2‘ × 𝑢. 𝑎.
0 0 0
(
On sait que 1 𝑢. 𝑎 = 2 𝑐𝑚 × 2 𝑐𝑚 = 4 𝑐𝑚0 ; 𝐴 (𝐸) = •ln 2 + 0
ln0 2‘ × 4 𝑐𝑚0
𝐴 (𝐸) = (4 ln 2 + 2 ln0 2) 𝑐𝑚0 𝑑 , 𝑜ù 𝐴 (𝐸) ≃ 3,73 𝑐𝑚0 (0,5 pt)
INSPECTION D’ACADEMIE DE THIES COMMUNE DE THIES
ANNEE ACADEMIQUE : 2015/2016 CLASSE : TS2
COMPOSITION DU SECOND SEMESTRE
EPREUVE MATHEMATIQUES
DUREE : 4H
Les calculatrices électroniques non imprimantes avec entrées unique par clavier sont autorisées. Les
calculatrices permettant d’afficher des formulaires ou des tracés de courbe sont interdites. Leur
utilisation sera considérée comme une fraude.
Exercice 1 : 3,5 points
Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormal direct d’unité 2cm.
1. Résoudre dans l’équation: . 0,5 pt

2. Soient la solution de l’équation ayant la partie imaginaire positive et l’autre solution.
a) Placer dans le plan complexe les points A d’affixe et B d’affixe . 0,5 pt
b) Vérifier que . 0,5 pt
c) Déterminer le module et un argument de . 0,5 pt
d) Déduire du résultat précédent l’angle de la rotation de centre O qui transforme A en B. 0,5 pt

3. Déterminer l’affixe du point C milieu de . Quelle est la nature du triangle OCA ? 1 pt
Exercice 2 : 3,5 pts
1. Pour , calculer à l’aide d’une intégration par parties : 0,5 pt
2. On considère l’équation différentielle .

a) Vérifier que f est une solution de (E). 0,25 pt
b) On pose Montrer que g est solution de (E) si et seulement si h est solution
de l’équation différentielle ( E’) : 1 pt
c) Résoudre (E’) en déduire l’expression de g 1 pt
d) Déterminer la solution g de (E) dont la courbe présente un extremum au point A (0, 1). 0,75 pt
Exercice 3 : 2,5 pts
n 1
Soit la suite U n n0 définie par : U n  n 2e2 x dx .
1.a) Calculer U0 . 0,5 pt
b) Montrer que pour tout entier naturel n, U n  e

2 n
1  e  .
2
0,5 pt
2. Démontre que la suite U n n0 est une suite géométrique dont on précisera la raison. 0,5 pt
3. Pour tout entier naturel n, on pose : S n  U 0  U1  Un
a) Calculer Sn en fonction de n. 0,5 pt

b) Quelle est la limite de la suite  Sn n 0 . 0,5 pt
Problème : 10,5 pts
Soit f la fonction définie par f(x ) =
Partie A :
x 1  1
Soit g la fonction définie sur ;0 par g  x   2ln   .
 x  x 1
1. Calculer lim g  x  et lim g  x . 0,25+0,25 pt
x  x 0
x2
2. Montrer que pour tout x de ;0 , g '  x   . 0,5 pt
x  x  1
2
3. Dresser le tableau de variation de g, puis en déduire le signe de g  x  . 0,5 pt
Partie B :
1. Justifier que D f  IR . 0,25 pt
2. Etablir que Etudier la continuité et la dérivabilité de f en 0. 0,5pt+0,5pt+0,5pt

3. Montrer que et déterminer . 0,5pt+0,25 pt
4. Montrer que pour tout x de ;0 , f '  x   xg  x  et en déduire le signe de f '  x 

sur ;0 . 0,5 pt
5. Achever l’étude de f puis dresser son tableau de variation. 1 pt

6. Etudier la blanche infinie en  . 0,5 pt
7. Tracer C f  dans le plan muni d’un repère orthonormé d’unité graphique 2cm. 1 pt
Partie C :
 2 
Soit h la restriction de f à l’intervalle I   ;  
 2 
1. Montrer que h réalise une bijection de I sur un intervalle J que l’on précisera. 0,5 pt
2  12
2. h est-elle dérivable en y0 
-1
e ? 0,5 pt
2
h1 est-elle dérivable en h 1 ? Si oui, calculer ( 0,5pt+0,5pt
 
3. Construire la courbe Ch1 de h1 dans le même repère. 0,5 pt
Partie D :
 
Calculer l’aire A de la partie du plan située entre C f , l’axe des abscisses et les droites d’équation
x  0 et x  1 . 1pt
REPUBLIQUE DU DENEGAL
MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE
INSPECTION D’ACADEMIE DE SAINT-LOUIS
Composition du premier semestre

Epreuve : mathématiques- niveau : TS2
Durée : 4h
L’élève traitera les deux exercices et, au choix, l’un des deux problèmes
Exercice 1: (05 points)
𝑥2
1) On considère la fonction f définie par f(x) = 2𝑥−1 .
a) Etudier les variations de f. (0,5pt)
Montrer que pour tout 𝑥 ≥ 1 , 𝑓(𝑥) ≥ 1. (0,5pt)
2) On définit la suite (Un) par Uo = 2 et Un+1 = f(Un), ∀ n ∈ IN
a) Montrer que Un ≥ 1, ∀ n ∈ IN. (0,5pt)
b) Etudier le sens de variation de (Un). (0,5pt)
c) En déduire la convergence de (Un) puis calculer lim Un. (0,5pt)
𝑛→+∞
−1+Un
3) On pose Vn = , n ∈ IN.
Un
a) Justifier que Vn existe ∀ n ∈ IN. (0,5pt)
1 𝑛
b) Montrer que Vn+1 = (Vn )2 ∀ n ∈ IN. En déduire que Vn = (2)2 , ∀ n ∈ IN. (1pt)
c) Exprimer Un en fonction de n. Retrouver ainsi la limite de la suite (Un). (1pt)
Exercice 2 : (5 points)
Soit φ la fonction définie sur ℝ par 𝜑(𝑥) = 𝑥√𝑥 2 + 1 − √2.
2𝑥 2 +1
1. Montrer que pour tout réel 𝑥, 𝜑 ′ (𝑥) = √𝑥 2 . (0,75 pt)
+1
2. a) Montrer que :
1 3 6
∀ 𝑥 ∈ [2 ; 1] , ≤ 𝜑 ′ (𝑥) ≤ . (0,75 pt)
2√2 √5
b) En déduire que :
1 6 3
∀ 𝑥 ∈ [2 ; 1], (𝑥 − 1) ≤ 𝜑(𝑥) ≤ 2√2 (𝑥 − 1). (1 pt)
√5
Interpréter graphiquement ce résultat. (0,5 pt)
3. a) Justifier que φ admet des primitives sur [0; +∞[. (0,5 pt)
1
d) Montrer que la fonction F définie par F(𝑥) = 3 (𝑥 2 + 1)√𝑥 2 + 1 − √2 𝑥
est une primitive de φ sur [0; +∞[. (1 pt)
c) Déterminer la primitive G de φ sur [0; +∞[ vérifiant G(√2) = √3. (0,5 pt)
1
Problème 1 (10 points)
Le but de ce problème est d’étudier la fonction f définie par :
 f ( x)  x  1  x 2 si x  , 0

 1 x
 f ( x)  si x  0, 
 1  x3
1) Soit la fonction polynôme p définie par : p( x)  2 x3  3x 2  1 .

a) Etudier les variations de p . ( 0,5 pt)
b) Montrer que l’équation p( x)  0 admet une seule solution dans IR notée α
et que α  [1,6 ; 1,7]. ( 0,75pt)
c) Déterminer alors le signe de p( x) sur R. ( 0,5pt)
2) Déterminer Df puis étudier la continuité et la dérivabilité de f en 0. ( 0,5pt + 0,5 pt
+ 0,75pt)
p ( x)
3) Montrer que pour tout x  0,  , f '( x)  et en déduire le signe de
(1  x 2 )2
f '( x) sur ] 0, + ∞[. (0,5pt + 0,5pt)
4) Calculer f '( x) pour x  , 0 puis étudier son signe. (0,5pt + 0,5pt)
5) Calculer les limites de f aux bornes de Df . Interpréter les résultats . ( 0,75pt)
6) Dresser le tableau de variations de f . ( 0,5pt)
7) Soit g la restriction de f à  ,  .
a) Montrer que g est bijective. ( 0,5pt)
b) g est-elle dérivable en y0  g ( ) .
1
( 0,5pt)
 1 
c) Calculer g (2) . En déduire (g 1 ) '   ( 0,25pt + 0,5pt)
 9 
8) Tracer (Cf ) et (Cg 1 ) dans un repère orthonormé (unité graphique : 2 cm). (1,5 pt)
On mettra en évidence les demi-tangentes en 0
2
Problème 2: (10 points)
x 1
1) Soit f ( x)   ln x  2
x2
a) Déterminer Df le domaine de définition de f et calculer les limites aux bornes. (1,25pt)
b) Dresser le tableau de variations de f 0,75pt)
c) Calculer f (1) en déduire le signe de f sur son domaine de définition. ( 0,5pt)
2) Soit la fonction g définie sur par : g ( x)  ( x  1) ln x  2  1
a) Déterminer Dg et calculer les limites aux bornes de Dg . (1,5pt)
En déduire que (Cg ) admet une asymptôte à préciser. ( 0,5pt)
b) Etudier les branches infinies de (Cg ) (0,5pt)
3) Soit A le point d’intersection de (Cg ) et la droite d’équation y  1 , dont l’abscisse
est strictement supérieure à 2 .
a) Démontrer que A est un point d’inflexion de (Cg ) (0,75pt)
b) Ecrire l’équation de la tangente (T ) à (Cg ) en A . (0,25pt)
4) Soit h la restriction de g sur l’intervalle 2, 
a) Démontrer que h est une bijection de 2,  vers un intervalle J à préciser. (0,5pt)
b) h 1 est-elle dérivable dans J (à justifier) ? (0,5pt)
1 1
c) Calculer (h ) '(1) et donner une équation de la tangente (T ') à (Ch ) au point
d’abscisse 1 . ( 0,75pt + 0,5pt)
5) Construire dans un repère orthonormé (unité graphique : 1 cm), les tangentes (T ) et (T ') ,
les asymptotes et les courbes (Cg ) et (Ch1 ) . (1,75pt)
Fin de l’épreuve
3
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République du Sénégal
Ministère de l’Education Nationale
INSPECTION D’ACADEMIE DE KOLDA
IEF DE KOLDA – VELINGARA – MEDINA YORO FOULAH
COMPOSITION DU 1er SEMESTRE : EPREUVE DE MATHEMATIQUES
Classe de TS2 :Durée : 04 heures
EXERCICE 1 : 6 points (1 point par réponse juste)

A) Répondre par Vrai ou Faux à deux des trois questions.( Suite et Ln ou Suite et complexe ou Ln et complexe )
1) La fonction est la primitive de la fonction inverse sur qui ne s’annule pas en 1.
2) Le nombre complexe est imaginaire pur si et seulement si .
3) Si une suite est croissante et non majorée alors elle tend vers +∞
B) Pour chacune des questions, une seule des trois propositions est exacte. L’élève doit écrire sur sa copie le
numéro et la lettre correspondante à la réponse choisie. Aucune justification n’est demandée.
Répondre à 4 des six questions.( Suite et Ln ou Suite et complexe ou Ln et complexe )
1) L’ensemble des solutions dans C de l’équation est :
a) ; b) L’ensemble vide c)
2) Le nombre complexe est une racine sixième de :
a) ; b) ; c)
3) La dérivée de la fonction est :
a) ; ; c)
4) est égale à : a) ; b) ; c)
5) On considère la suite définie sur IN par

a) ; b) ; c) ;
6) La suite définie sur IN par est :

a) Convergente vers -3 ; b) Divergente ; c) Convergente vers 0
Exercice 2 (3,5 points) Traiter deux des trois exercices 2. ( Suite et Ln ou Suite et complexe ou Ln et complexe )
On donne , un polynôme d’une variable complexe .
1) admet deux racines imaginaires pures conjuguées notées et , déterminer et . On posera
la racine dont la partie imaginaire est positive et l’autre racine. En déduire la troisième racine de ;
on la notera . (1,5 point)
2) Soient les points et d’affixes respectives et .
a) Calculer le module et un argument du complexe . (2 points)
b) En déduire la nature du triangle . (1 point)
Exercice 2’(3,5 points)Traiter deux des trois exercices 2.(Suite et Ln ou Suite et complexe ou Ln et complexe)
1) Développer l’expression suivante : (0,5 point)
2) En déduire la résolution dans IR des équations suivantes :
a) (1 point)
b) (1 point)
3) Résoudre dans IR l’inéquation suivante : (1 point)
Exercice 2’’(3,5 points)Traiter deux des trois exercices 2.(Suite et Ln ou Suite et complexe ou Ln et complexe)
IA KOLDA_COMPOSITIONS STANDARDISEES_FEVRIER 2017

2 1 n2
Soit U 0  et U n 1  U n  ; n  IN .
3 2 2 2
1. Calculer U1 et U 2 . 0.5 + 0.5 pt
2. Soit Vn U n 2  n.
a) Montrer que (Vn ) est une suite géométrique. 0.75pt
b) Exprimer Vn en fonction de n et calculer la limite de Un quand n  + . 0.5+0.25 pt

n
3. Soit S n  U
k 0
k .Exprimer Sn en fonction de n et calculer la limite de S n . 0.75+0.25pt
Problè me : (10,5 points)

 x 2  2x
 si x  0
Soit f la fonction définie par : f ( x)   x  1 , on note C f sa courbe dans (O, i j ).
 x  x 2  x si x  0

1-a) Déterminer D f et les limites aux bornes de D f . (0,5+0,5+0,5 point)
b) Etudier la continuité et la dérivabilité de f en 0. Qu’en déduire pour C f ? (0,5+0,5+0,5 point)
c) Préciser l’ensemble de dérivabilité de f et calculer f ' ( x) . (0,25+0,5+0,5 point)
d) Dresser le tableau de variation de f. (0,5 point)
2- a) Montrer que C f admet une asymptote oblique D1 en +∞ et une asymptote oblique D2 en -∞. (2 0,5 pt)
b)Préciser la position de C f par rapport à D1 et par rapport à D2 . (2 0,5 point)
3- Soit g la restriction de f à l’intervalle I = [0 ; +∞ [.
a) Montrer que g définit une bijection de I vers un intervalle J à préciser. (0,5+0,5 point)
b) Etudier la dérivabilité de g 1 la réciproque de g sur I. (0,25 point)
  '
c) Calculer g 1 (2) . (0,25 point)
d) Donner alors une équation de la tangente à C g 1 au point d’abscisse 2. (0,25 point)
c) Expliciter g 1 ( x) . Retrouver alors les résultats de la question 3-b). (0,5 point)

4- Construire C f et C g 1 dans le même repère. (1,5 point)
NB : L’élève doit traiter le problème et les exercices de deux des trois chapitres :(Suite et Ln, Suite et
complexe ou Ln et complexe)
IA KOLDA_COMPOSITIONS STANDARDISEES_FEVRIER 2017

Cours de renforcement LES CRAC Edition 2018-2019 Dr. NIANE
Terminale S2 TEL :773592390
Série transformations
Exercice 1 M (z=x+iy) ֏ M’ (z’=x’+iy’) telle que :
Caractériser les applications f du plan dans  x ' = x + y 3
lui-même qui à tout point M (z) associe M’ 
 y ' = − x 3 + y + 1
(z’) définies par :
a. z’= (1-i) z + 2-i b. z’= iz +12i Exprimer z’ en fonction de z puis donner la
c. z’= -z + 6i d. z’= z - 1+ i nature de T.
Exercice 2 b. Déterminer les complexes α et β pour
1) Soient les points A (i), B (2i) et C (-4). que T 2 définie par T 2 : M (z) ֏ M’ (z’)
Déterminer l’écriture complexe de la avec z’= α 2 z + β soit telle que s 2 oT 2 soit
similitude directe s telle que S (A)=B et S
une translation de vecteur u(1,0) .
(B)=C puis caractériser S.
Exercice 5 :
2) Soient A (1), D (i) et E (-i).Donner
1° Soit P le polynôme de la variable complexe
l’écriture complexe de la similitude S qui
z défini par :
laisse D invariant et transforme A en E
Donner la nature de S et ses éléments P ( z ) = z3 + (1 − 4i ) z2 − ( 7 + 4i ) z − 3 + 4i
caractéristiques. a)Montrer que l’équation P ( z ) = 0 admet
Exercice 3 une solution imaginaire pure.
Soient S 1 et S 2 deux similitudes directes b) Résoudre dans ℂ l’équation précédente.
planes d’écritures complexes respectives : Soient z1 et z2 les deux autres solutions avec
−i
S 1 : z’= (1+i) z +1 et S 2 : z’=
2
z+i ℜe ( z1 ) > 0.
1. Donner les éléments caractéristiques de S 1 1° Calculer z14 et z 2 4 . Résoudre l’équation
et S 2 2. Quelle est la nature de S 1 oS 2 ? z 4 = z14 . 2° Le plan complexe est muni d’un
repère ( O; u , v ) . On considère les points
3.Donner les éléments caractéristiques de S 1 oS 2
Exercice 4
A (1 + 2i ) ; B ( −2 + i ) et C ( −1− 2i ) .
Soit ( O, u, v) est un repère orthonormé direct
Soient les points A(1+2i), B(-2+i) et Ω ( 2 − i ) a)Donner l’écriture complexe de la similitude S
1. Donner la nature et les éléments transformant A en B et O en C.
caractéristiques de la similitude directe s 1 de b)On considère l’application R du plan dans
lui-même qui à tout point M d’affixe z
centre Ω tel que s 1(A)=B.
associe le point M ′ d’affixe z′ telle que
2. Soit s 2 la transformation plane : π π
 i 
z = e z + ( 2 − i )  1 − e 4  . Donner la
i
M (z) ֏ M’(z’) telle que z’= 1 + i z + 1 − 3i ′ 4
2 2  
Donner la nature et les éléments nature de R et ses éléments caractéristiques.
caractéristiques de s 2 . c) Soit R′ la rotation de centre O et d’angle
π
3. En déduire la nature et les éléments − . Donner l’écriture complexe de R S R ′ .
2
caractéristiques de s=s 1 os 2 Préciser sa nature et les éléments
4. a. Soit T la transformation qui à caractéristiques.
Page 1 sur 4
Exercice 7 : b) Résoudre dans ℂ l’équation Z3 = 1 . On

1) On considère l’équation ( E ) dans ℂ : donnera les solutions sous forme
trigonométrique et sous forme algébrique.
z 4 + ( 7 + 24i ) = 0.
c) Déduire des questions précédentes les
a)Vérifier que z0 = 2 − i est solution de ( E ) solutions dans ℂ de l’équation :
b) Déterminer les racines quatrièmes de 1+i
z3 = ( E ) . On remarquera que ( E ) est
l’unité dans ℂ et en déduire l’ensemble des 2
racines de ( E ) .  
3
2) Dans le plan complexe de repère  Z 
équivalente à   =1.
orthonormé ( O; e1 , e 2 ) , on considère les points

 −1 + i 
 
A, B, C et Ω d’affixes respectives: 1 + 2i ;  2 
−2 + i ; −1 − 2i et 2 − i . ―1+i
2°) a) Ecrire sous forme
a) Déterminer les éléments caractéristiques 2
de la similitude directe S1 de centre Ω qui trigonométrique.
transforme A en B. b) En déduire les arguments des solutions de
(E).
b) Soit S2 la transformation du plan qui à
3°) Déduire des questions 1)c et 2)b les
tout M ( z ) associe le point M ′ ( z′) tel que : ̟ ̟
1+ i 1 − 3i valeurs exactes de cos 12 et sin 12 .
z′ = z+ . Caractériser S2 S1 .
2 2 4°) Dans le plan complexe muni d’un repère
π → →
Soit r la rotation de centre A et d’angle − .
4 orthonormal direct ( O, u , v ) , on
Donner l’affixe du point D tel que r ( O) = D. considère la transformation F qui à tout
point M d’affixe z associe le point M '
Exercice 8
d’affixe z ' tel que :
On considère deux suites (S n ) et (T n ).
z ' = 2 (― 1 + i) z + ( 1 + 2 ) i + 2 .
(S n ) est géométrique de premier terme a) Donner la nature et les éléments
S 0 = 3 et de raison 2 et (T n ) est arithmétique caractéristiques de F .
de premier terme T 0 = π et de raison π .z n
b) Construire l’image B du point A d’affixe -1.
6 3 Exercice 10 :
iT
est le nombre complexe défini par : z n =S n e n
Soit (Un) n ∈ ℕ la suite géométrique de
1. Exprimer z n en fonction de n. premier terme U0 = 4 ,
1
2. Montrer que (z n ) est une suite de raison 2 .Soit (Vn) n ∈ ℕ la suite
géométrique de raison complexe a que l’on ̟
précisera. arithmétique de premier terme V0 = 4 , de
3. a étant la valeur trouvée au 2, déterminer la nature
̟
et les éléments caractéristiques de la transformation S
raison 2 . Pour tout entier naturel n, on note
qui à M (z) associe M’ (z’) telle que z’= az + i 3 zn le nombre complexe de module Un et dont
Exercice 9 : un argument est Vn .
3 1+i
 −1 + i  1°) a) Exprimer Un et Vn en fonction de n
1°) a) Montrer que   = 2 b) En déduire zn .
 2 
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2°) Démontrer que (zn) est une suite sachant qu’elle admet une solution
1 imaginaire pure a .
géométrique de raison 2 i et de premier 2°) Notons b et c les autres solutions de (E) ,
terme z0 = 2 2 + i 2 2 . b ayant la partie réelle positive et soient A, B,
3°) Soit (P) le plan complexe rapporté à un C les points de P d’affixes respectives a, b,
→ → c. Déterminer le module et un argument de
repère orthonormal direct ( O, u , v ) et Mn b―a
le point d’affixe zn . c ― a . En déduire la nature du triangle ABC.
a) Déterminer la nature de la transformation 3°) Soit r la rotation de centre O et d’angle de
F qui au point Mn associe le point Mn + 1 ̟
d’affixe zn + 1 . mesure 3 rad ; et f l’application qui à tout
b) Donner ses éléments caractéristiques.
point M de P d’affixe z ≠ i ― 3 associe le
4°) Pour tout entier naturel n, on pose
point M ' d’affixe z ' définie par :
Zn = z0 z1 z2………. zn .
z ― 2i
a) Exprimer en fonction de n un argument z'=
de Zn .b) Démontrer que si n est impair, z+ 3+i
alors Zn est réel. a) Donner l’écriture complexe de r puis
Exercice 11 : l’affixe du point A ' = r (A) .
On considère les points A1, A2 , A3 d’affixes b) Déterminer l’ensemble des points M de P
respectives : Z1 = 1 ; Z2 = 1 + 2 + i 2 ; dont les images par f ont pour affixe un réel
négatif. On notera E cet ensemble.
5+i 3
Z3 = c) Déterminer l’ensemble F des points M de
4
P dont les images par f appartiennent au
1°) a) Donner une écriture trigonométrique des
cercle de centre O et de rayon 1.
nombres complexes Z2 ― Z1 et Z3 ― Z1
Exercice 13 :
b) Donner une écriture algébrique et une
π π
Z 3 ― Z1 Soit a ∈  − ;  et fa l’application du plan
écriture trigonométrique de Z ― Z  2 2
2 1
complexe dans lui-même qui, au point M
En déduire les valeurs exactes de
d’affixe z associe le point M ' d’affixe z '
 ̟  ̟
cos  12 et sin  12 définie par :
   
z ' = ( ― 1 + i tan a ) z ― i tan a + 2
2°) Soit S la similitude plane directe
1°) Déterminer le module et un argument du
transformant A2 en A3 et A1 en A1.
nombre complexe -1+i tan(a)
a) Préciser les éléments caractéristiques de S.
2°) Déterminer la nature et les éléments
b) On désigne d’affixe Z', l’ image par S du
caractéristiques de fa .
point M d ' affixe Z.
3°) Soit ha l’homothétie de centre le point Ω
Exprimer Z ' en fonction de Z ; en déduire l’
1
−iπ d’affixe 1 et de rapport cos a .Donner une
image , par S du point B d'affixe 1 ― 4 2 e 3
Exercice 12 : écriture complexe de la rotation ra telle que :
On considère le plan complexe P muni fa = ra ∘ ha .
→ → Exercice 14 :
d’un repère orthonormal direct ( O, u , v ) Dans l’ensemble ℂ des nombres complexes, on
1°) Résoudre dans ℂ l’équation : considère l’équation ( E ) d’inconnue z telle
― z3 + 6 z ― 20 i = 0 ( E ) que : ( E ) iz² + (1 ― 5i) z + 6i ― 2 = 0 .
Page 3 sur 4
a) Montrer que cette équation possède une b. Déterminer la plus petite valeur n telle que
solution réelle notée z1 . Déterminer l’autre L n ≥ 12cm . c. Calculer x lim +∞ Ln .
solution z2 de ( E ) .
b) Dans le plan complexe muni du repère
→ →
orthonormé ( O, e1 , e2 ) , on note M1 le
point d’affixe z1 et M2 le point d’affixe z2 .
Déterminer l’affixe du point C de l’axe
→
(O, e1 ) équidistant de M1 et M2 .
c) Soit la rotation R1 de centre C telle que
R1(M1) = M2 .
1) Déterminer une mesure de l’angle de la
rotation R1 .
2 ) Déterminer l’affixe du point O ' image
de O par R1 .
d) Soit la rotation R2 de centre O et d’angle
̟
orienté θ tel que Mes θ = 2 rad.
1) Quelle est la nature de la composée
R2 ∘ R1 ? Justifier votre réponse.
2 ) Soit B d’affixe 3i. Déterminer l’image du
cercle circonscrit au triangle BOC par
R2 ∘ R1. Justifier votre réponse.
Exercice 15
On considère dans le plan muni d’un repère
orthonormé (unité graphique un cm) la suite
des points M n ( z n ) telle que z0 = 5 + 4i et
1 1
z n +1 = iz n + 1 − i n ∈ IN
2 2
a. Représenter les points M 0 , M 1 , M 2 , M 3
et M 4 .
b. Quelle est la nature de la transformation
plane qui à M fait correspondre M n+1 ?
Préciser ces éléments caractéristiques.
2. On pose Z n =z n -z n−1 ∈ IN * .
Montrer que Z n +1 = 1 iZ n n ∈ IN
2
n
3. On pose d n = Z n et L n = ∑d k .
k =0
a. Déduire de 2.la nature de la suite (d n ).

Exprimer alors d n et L n en fonction de n.
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Cours de Renforcement ou à domicile Maths-PC-SVT : 78.192.84.64-78.151.34.44
Axlou Toth pour l’Innovation

Année Scolaire : 2018-2019 Série d’exerciceS Niveau : TERMINALE S2
Lycée : Kébémer (LOUGA) Similitudes Planes Directes Professeur : M. KEBE
EXERCICE 1 :
Dans le plan complexe soit ƒ la similitude qui, à tout point M d’affixe z, associe le point M’
d’affixe z’ définie par : z’ = (1 - i) z + 2i.
1°) Déterminer le rapport, l’angle et le centre ƒ.

2°) soient z = x + iy et z’ = x’ + iy’,les formes algébriques des nombres complexe z et z’.
Exprimer x’ et y’ en fonction de x et de y.
3°) Quelle est l’image par ƒ de la droite d’équation x + 2y -1 = 0 ?
4°) Quelle est l’image par ƒ du cercle (C) de centre le point d’affixe i et de rayon 2 ?
EXERCICE 2 :
Dans plan complexe, soit ƒ la transformation qui au point M d’affixe z associe le point M’ d’affixe
z’ définie par : z’ = (1 + i 3 )z+ 3 (1 – i).
1°) démontrer que ƒ admet un unique point invariable I ; déterminer l’affixe de I.
Caractériser géométriquement ƒ.
2°) Soit G le barycentre des points I, M, M’ affectés respectivement les cœfficients 3, 2, 1.
Calculer les coordonnées de G en fonction de celles de M.
3°) On suppose que le point M décrit la droite d’équation : y = x.
Quel l’ensemble décrit par le point G?
EXERCICE 3 :
Dans le plan affine euclidien muni d’un repère orthonormé (o, u, v) on considère les points A et B
d’affixes respectives 1 + 3i et 2i.
1°) Soit S la similitude plane directe de centre B qui transforme O en A. On note z’ l’affixe du
point M’ transformé par S du point M d’affixe z.
a) Calculer le module et un argument du nombre complexe affixe du vecteur AB .
b) Calculer l’angle et le rapport de la similitude S.
1
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Siège : Point E (DAKAR)
c) Exprimer z’ en fonction de z.
2°) Soit T la transformation qui, à tout point M d’affixe z, associe le point M’’ d’affixe z’’ = iz +
3. Donner la nature de T en précisant ses éléments caractéristiques. On note  le point invariant
par la transformation T.
3°) Montrer que les points A,  , B sont les sommets d’un triangle isocèle
EXERCICE 4 :
x  x'
Soit f l’application du plan dans lui-même qui à tout point M   associe le point M '   tel
 y  y '
x ' = x + y + 2
que  .
 y ' = −x + y −1
1) Déterminer l’écriture complexe de f .
2) Déduire la nature et les éléments caractéristiques de f
EXERCICE 5 :
1) On considère l’équation ( E ) z 3 + ( −6 − 4i ) z 2 + (12 + 21i ) z − 9 − 45i = 0
a) Déterminer une solution imaginaire pure z0 de (E) .
b) Achever le résolution de l’équation ( E )
( )
2) Le plan complexe P est rapporté au repère orthonormé O , u , v .On considère les points A, B
et C d’affixes respectives 3i , 3 + 3i et 3 − 2i .
a) Placer les points A, B et C dans le repère.
z A − zB
b) Calculer . En déduire la nature de ABC.
zC − z B
3) Soit f la similitude directe qui laisse invariant B et qui transforme A en C.
a) Donner une écriture complexe de f .
b) Donner les éléments caractéristiques de la fonction f
2
EXERCICE 6 :
Soit S la transformation du plan dans lui-même qui à tout point M d’affixe z associe le point M’
( ) (
d’affixe z’ telle que : z ' = i − 3 z + 3 + 3 + i 2 3 + 1 . )
1) Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de S.
2) Déterminer l’expression analytique de S.
( )
3) Déterminer l’image par S de la droite passant le point A 1 − 2 3; 0 et dont un vecteur directeur
est u ( 3;1)
EXERCICE 7
On considère les nombres complexes a = −√3 + i , b = 3 + 2i et c = 7 − 2i .
1. a) Déterminer de deux façons différentes les racines carrées de a .En déduire les valeurs de
5π 5π
cos 12 et sin 12 .
b) Déterminer les entiers relatifs n pour lesquels an est un nombre réel

c) Déterminer les entiers relatifs n pour lesquels an est imaginaire pur .
2. Déterminer et construire l’ensemble des points M d’affixe z tels que :
a) |z − b| = |z − c|
b) 2 |z − b| = |a|
3. Soit f l’application du plan dans lui-même qui à tout point M d’affixe z associe le point
M’ d’affixe z’ telle que : z ′ = (1 + i√3)z − 5i√3 .
a. Démontrer que f admet un seul point invariant Ω .
b. Démontrer que f est la composée d’une rotation et d’une homothétie positive de même
centre Ω . Préciser l’angle de la rotation et le rapport de l’homothétie.
EXERCICE 8
1) Résoudre dans ℂ l equation 𝑧 3 = 1
2)Développer (2 − 2𝑖)3
3)Soit l’équation (𝐸): 𝑧 3 = −16 − 16𝑖
3
𝑧
4)En posant 𝑢 = 2−2𝑖 , déterminer sous forme algébrique puis sous forme trigonométrique les
5𝜋 5𝜋
solutions de (𝐸). En déduire les valeurs exactes de cos ( 12 ) et sin ( 12 ).
5)Dans le plan muni d’un repère orthonormé direct on considère les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶
1 √3 1 √3 1 3√3
d’affixes respectives 𝑧𝐴 = − 2 − 𝑖 ; 𝑧𝐵 = 2 + 𝑖 et 𝑧𝐶 = − 2 − 𝑖 .
2 2 2
a. Donner l’écriture complexe de la similitude 𝑆 qui transforme 𝐵 en 𝐶 et laisse invariant le

point 𝐴.Préciser son rapport et son angle.
b.Soient 𝑀′(𝑧 ′ ) l’image de 𝑀(𝑧) par la similitude 𝑆.

Déterminer l’ensemble des points 𝑀(𝑧) tels que |𝑧′| = 2
EXERCICE 9 :
Le plan est rapporté à un repère orthonormé direct (0, ⃗⃗⃗u, v

⃗ ) (unité graphique : 1cm)
1) On considère les points A et B d’affixes respectives 10 et 5i.
a- Déterminer l’écriture complexe de la similitude s qui transforme O en A et B et O.
b- Déterminer les éléments caractéristiques de s. On note Ω son centre.
c- Déterminer le point s ∘ s(B) ; en déduire la position du point Ω par rapport aux sommets du
triangle ABO.
2) On note (D) la droite d’équation x − 2y = 0, puis A′ et B′ les points d’affixes respectives 8+4i
et 2+i.
a- Démontrer que les points A′ et B′ sont les projetés orthogonaux respectifs des points A et
Bsur la droite (D).
b- Vérifier que s(B′ ) = A′.
c- En déduire que le point Ω appartient au cercle de diamètre [A′B′].
Le BAC, j’ai confiance !
4
Axlou Toth pour l’Innovation

Année Scolaire : 2018-2019 Série d’exerciceS Niveau : Terminale S2
Lycée : Kébémer (LOUGA) Professeur : M. KEBE
Suites Numériques
EXERCICE 1 :
Etudier la monotonie des suites définies ci-dessous.
𝑛2 −2
(𝑢𝑛 )𝑛≥1 où 𝑢𝑛 = 𝑛2 +𝑛 ; (𝑣𝑛 )𝑛∈ où 𝑣𝑛 = ln(𝑛2 + 2𝑛 + 3) ; (𝑤𝑛 )𝑛∈ où 𝑤𝑛 =
2
𝑒 1−𝑛
EXERCICE 2 :
(𝑢𝑛 )𝑛∈ et (𝑣𝑛 )𝑛∈ sont des suites définies respectivement par 𝑢0 = 9 ;
1
𝑢𝑛+1 = 2 𝑢𝑛 − 3 et 𝑣𝑛 = 𝑢𝑛 + 6.
1. a. Montrer que (𝑣𝑛 )𝑛∈ est une suite géométrique dont on précisera la raison et le 1er terme.
b. Montrer que pour tout 𝑛 ≥ 0, 𝑣𝑛 > 0.
c. Calculer en fonction de n, 𝑆𝑛 = ∑𝑛𝑘=0 𝑣𝑘 puis 𝑆′𝑛 = ∑𝑛𝑘=0 𝑢𝑘 . Déterminer les limites de (𝑆𝑛 )
et (𝑆′𝑛 ).
2. On définit la suite (𝑤𝑛 )𝑛∈ par 𝑤𝑛 = ln 𝑣𝑛 .
a. Montrer que (𝑤𝑛 )𝑛∈ est une suite arithmétique dont on précisera la raison et le 1er terme.
b. Calculer en fonction de n , 𝑆′′𝑛 = ∑𝑛𝑖=0 𝑤𝑖 puis déterminer la limite de (𝑆 ′′ 𝑛 ).
3. Calculer en fonction de n, 𝑃𝑛 = 𝑣0 × 𝑣1 × … × 𝑣𝑛 . En déduire la limite de (𝑃𝑛 ).
EXERCICE 3 :
1 1
1) Soit (𝑢𝑛 )𝑛≥1 telle que 𝑢𝑛 = ∑nk=0 2k . Montrer que 𝑢𝑛 = 2 (1 − 2𝑛+1 ). En déduire la limite de
1
(𝑢𝑛 )𝑛≥1 . 2) Soit (𝑢𝑛 )𝑛≥1 telle que 𝑢𝑛 = ∑nk=1 k(k+1)
∗ 1 1 1
a) Montrer que pour tout 𝑘 ∈ , k(k+1) = 𝑘 − 𝑘+1
1
n
b) En déduire que 𝑢𝑛 = n+1 . Déterminer la limite de (𝑢𝑛 )𝑛≥1.
k 1
3) Soit (𝑢𝑛 )𝑛≥1 telle que 𝑢𝑛 = ∑nk=1 ln(k+1). Montrer que 𝑢𝑛 = ln( n+1). En déduire la limite de
suite (𝑢𝑛 )𝑛≥1 .

EXERCICE 4 :
U 0 = e3
On considère les suites numériques (U n ) et (Vn ) définies sur IN par :  et
 n +1
U = e U n
Vn = ln (U n ) − 2 .
1) Calculer U1 et V1 .
2) Démontrer que (Vn ) est une suite géométrique dont on précisera la raison et le premier terme.
3) Exprimer Vn , puis U n , en fonction de n.
4) Etudier la convergence des suites (U n ) et (Vn ) .

EXERCICE 5 :
u1 = 2
v = 8
On considère les suites  1
(u n ) et (v n ) telles que u n +1 = 2u n + 4v n n  IN 
 6
 u n + 5v n
v n +1 = n  IN 
 6
1) Soit an = vn − un pour tout entier naturel n non nul

a) Démontrer que (an ) est une suite géométrique
b) Exprimer a n en fonction de n
2) a) Démontrer que (un ) croissante et (vn ) dcroissante
b) Démontrer que (un ) majoree et (vn ) min oree
3) a) montrer que v n  u n .Que peut-on dire de (u n ) et (v n ) ?
b) En déduire que (un ) et (vn ) ont une limite commune
4) Soit wn = 1
u n + vn pour tout entier n non nul. Montrer que (wn ) est une suite constante. En
4
déduire les limites de (un ) et (vn )
2
EXERCICE 6 :
   
Soit la suite de terme général u n défini par : u n = cos  cos  ...  cos n où    0; 
2 2  2
sin 2
1) Montrer que cos = .
2 sin 
1 sin 2
2) En déduire u n = 
2 n +1

sin
2n
sin x
3) En se servant du résultat précèdent et de x lim 0 = 1 montrer que la suite ( u n ) converge
x
vers une limite que l’on déterminera
EXERCICE 7 :
U0 = 0
1) Soit (Un )n≥0 définie par : { 2Un + 3
Un+1 = Un + 4
a)Montrer par récurrence que pour tout n ≥ 1; 0 < Un < 1

b) Montrer que la suite (Un )n≥0 est croissante.
Un − 1
2) On considère la suite (Vn )n≥0 définie par Vn = Un + 3
a) Montrer que la suite (Vn )n≥0 est géométrique.Préciser sa raison et son premier terme.
b) En déduire la limite de la suite(Vn )n≥0 .
c)Calculer la somme Sn = ∑nk=0 Vk = V0 + V1 + V2 … … … … … . . + Vn
3)a) Exprimer Vn puis Un en fonction de n.
b) En déduire la limite de Un
EXERCICE 8 :
Le plan complexe est muni du repère orthonormé direct (O; u

⃗ ;v
⃗)
1)On considère la suite des points Mn ; n ∈ définie par M0 = O ; Mn (zn ) tel que
1
zn+1 = 3 (1 + i√3)zn + √3 + 2i
a)Déterminer les points M1 et M2 puis les placer dans le plan complexe.
b)Montrer que Mn+1est l’image de Mn par une similitude plane dont on précisera les éléments
caractéristiques. c)On pose dn = |zn+1 − zn |. Montrer que (dn )n∈ est une suite géométrique de
3
2
raison 3 et de 1er terme d0 = √7.
d) Etudier la monotonie et la convergence de (dn )n∈
f) Exprimer dn en fonction de n.
g)Exprimer Sn = M0 M1 + M1 M2 + ⋯ + Mn−1 Mn en fonction de n puis calculer la limite de

(Sn )n≥1 .
h)On pose θn = arg (zn+1 − zn ). Montrer que (θn )n∈ est une suite arithmétique dont on
précisera la raison.
PROBLEME 1 :
𝑥 ln (−𝑥) − 𝑥 + 1 si 𝑥 < 0
On considère f telle que 𝑓(𝑥) = {
1 + ln (𝑥 + 1) si 𝑥 ≥ 0
1) a) Déterminer 𝐷𝑓 puis calculer les limites aux bornes de 𝐷𝑓 .

b) Etudier les branches infinies de 𝐶𝑓 .
c)Etudier la dérivabilité de f en 0 puis interpréter graphiquement les résultats.
d)Dresser le tableau de variations de f.
e)Montrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une unique solution 𝛼 ∈ ]−∞; 0[ et que
−4 < 𝛼 < −3.
f)Déterminer les points d’intersection de 𝐶𝑓 avec l’axe des abscisses puis tracer 𝐶𝑓 .
2) a. Montrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 𝑥 admet une unique solution 𝛽 ∈ [0; +∞[ et que
1 < 𝛽 < 3.
1
b. Montrer que sur [1; +∞[, |𝑓′(𝑥)| ≤ .
2
1
c.En appliquant l’inégalité des accroissements finis, montrer que |𝑓(𝑥) − 𝛽| ≤ |𝑥 − 𝛽|.
2
𝑢0 = 1
3) Soit g la restriction de f à [0; +∞[.On définit la suite (𝑢𝑛 )𝑛∈ par :{
𝑢𝑛+1 = 𝑔(𝑢𝑛 ) si 𝑛 ≥ 0
a. Sans faire de calcul, représenter les 3 premiers termes de la suite sur les axes.
b. Montrer que (𝑢𝑛 )𝑛∈ est croissante
4
c. Montrer que pour tout n, 𝑢𝑛 ≥ 1.
1
d. En déduire que pour tout n, |𝑢𝑛+1 − 𝛽| ≤ 2 |𝑢𝑛 − 𝛽|,
1
e. Montrer que pour tout n, |𝑢𝑛 − 𝛽| ≤ (2)n |𝑢0 − 𝛽|,
1 1
f. Montrer que |𝑢0 − 𝛽| ≤ 2. En déduire que |𝑢𝑛 − 𝛽| ≤ (2)n−1 g. Calculer lim (2)n−1. En
𝑛→+∞
déduire que (𝑢𝑛 )𝑛∈ converge vers 𝛽.
e. Déterminer le plus petit entier naturel p tel que |𝑢𝑝 − 𝛽| ≤ 10−1 . Que représente 𝑢𝑝 ?
PROBLEME 2 :
un = 2
Soit (un ) la suite définie par ∶ {u 1 ,∀ n ≥ 1
n+1 = 1 + u
n
1) Calculer u1 ; u2 ; … , u6 .
2) Construire dans un même repere la droite d′ équation y = x et la courbe C de f

1
définie par f(x) = 1 + x sur ]0; +∞[Utiliser ces deux courbes pour représenter les
premiers termes de la suite (un ) .

3) Démontrer que l′ équation f(x) = xadmet sur ]0; +∞[ une solution l .
3
4) Démontrer par récurrence que ∀ n entier naturel, ≤ un ≤ 2
2
3 4
5) Montrer que sur l′ intervalle [2 ; 2] on a ∶ |f ′ (x)| ≤ 9 .
6) A l′ aide des trois questions précédentes , et en utilisant le théoreme des inégalités

4
des accroissements finis , montrer que ∶ |f(un ) − f(l)| ≤ 9 × |un − l| .
4 4 n
En déduire que ∶ |un+1 − l| ≤ 9 × |un − l| puis ∶ |un+1 − l| ≤ (9) × |u0 − l|
PROBLEME 3:
Partie A
Soit f la fonction définie sur l’intervalle [0, +  [ par f(x) = xe-2x + e-2x + 1 – x.
On appelle C la courbe représentative de f. On se propose d’étudier cette fonction ainsi l’équation
f(x) = 0.
1) a. Calculer la fonction f’ dérivée de f. Dresser le tableau de variation de f’ sur [0, +  [.

Indiquer la limite de f’ en +  .En déduire le signe de f’ sur [0, +  [.
b. Dresser le tableau de variation de f sur [0, +  [. Indiquer la limite de f en + 
c. Montrer que C admet une asymptote d que l’on déterminera. Construire d et C sur un même
graphique.
5
2) a. justifier que f est bijective de [0, +  [ vers un intervalle J à préciser, en déduire que
l’équation f(x) =0 admet sur [0, +  [ une solution et une seule. On note  cette solution.
b.Justifier l’encadrement 1    2 .
Partie B
On se propose d’étudier une méthode d’approximation de  .

On observe pour cela que  est l’unique solution de l’équation de l’équation g(x) = x où g est la
fonction définie sur l’intervalle J = [1, +  [ par g(x) = xe-2x + e-2x + 1.
1)Etudier les variations de g sur J. on ne demande pas de construire sa courbe représentative.
En déduire que pour tout élément x de J, g(x) appartient encore à J.
3
2)Montrer que pour tout x de J, on a : g' (x)  2 . En déduire que pour tout x de J, on a :
e
3
g(x) -   2 x -  2) Soit (un) la suite d’éléments de J définie par u0 = 1 et un + 1 =g(un) Pour tout
e
entier n, positif non nul.
3
a)Montrer que pour tout entier n positif ou nul, on a : u n + 1 −   un −  .
e2
3
b)En déduire que pour tout entier n, positif ou nul, on a : u n + 1 −   ( 2 ) n .
e
c)Déterminer la limite de la suite (un). d)Déterminer une indice p pour lequel on est sûr d’avoir
u p −  10−3 .Calculer up à l’aide de votre calculatrice ( on donnera la partie entière et les trois
premières décimaux
PROBLÈME 4 :
Soit f la fonction numérique de la variable réelle, définie par :
𝑓(𝑥) = 𝑥 ln(−𝑥) − 𝑥 + 1 𝑠𝑖 𝑥 < 0
{
𝑓(𝑥) = 1 + ln(1 + 𝑥) 𝑠𝑖 𝑥 ≥ 0
( )
On appelle (𝑪𝒇 ) la courbe représentative de f dans un repère orthonormé O, i, j d’unité graphique
1cm.
Partie A
1- a) Déterminer Df domaine de définition de f.
b) Calculer les limites aux bornes de Df.
c) Etudier les branches infinies de la courbe représentative (𝑪𝒇 ) de f.
2- a) Etudier la continuité de f en 0.
b) Etudier la dérivabilité de f en 0. Interpréter graphiquement le résultat.
3- a) Calculer f ' ( x ) pour x  0 puis pour x  0 .
b) Etudier les variations de f puis dresser le tableau de variation.
6
4- a) Montrer que l’équation f ( x) = 0 admet une solution unique x 0 dans l’intervalle − ; 0 .
b) Prouver que − 4  x0  −3 .
c) En déduire les coordonnées du point d’intersection de (𝑪𝒇 ) avec l’axe des abscisses.
5-Construire la courbe (𝑪𝒇 ) .
6-Soit g la restriction de f à l’intervalle 0;+ .
a ) Etudier les variations sur 0;+ de la fonction définie par ℎ(𝑥) = 𝑔(𝑥) − 𝑥.
b) Montrer que l’équation ℎ(𝑥) = 0 admet une solution unique  ∈ [1; 3] .

c) En déduire que  est solution de l’équation 𝑔(𝑥) = 𝑥 .
Partie B
On définit la suite numérique (U n ) nIN
 U0 = 1

U n +1 = g (U n )
1) Démontrer que la suite (U n ) nIN est bien définie et croissante. Démontrer que pour tout entier
naturel n, U n  1.
1
2) Démontrer pour tout 𝑥 de l’intervalle [1; +∞[ , on a 0  g ' ( x) 
2
1
3) Démontrer que pour tout entier naturel n, on a U n +1 −   U n −  (  est le réel défini
2
dans la partie A 6) ).
n
1 1
4) En déduire que pour tout entier naturel n, on a : U n −     U 0 −   n −1 .
2 2
5)Démontrer que la suite (U n ) converge vers  .
6)Déterminer le plus petit entier naturel p tel que |𝑈𝑃 −  | ≤ 10−1 . Que représente 𝑈𝑃 pour
 ?
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7
Cours Particuliers d’Excellence et de Référence Année scolaire 2017-2018
Keur Pape THIOUB M. DIAGNE
TS2
SERIE Nombres Complexes & Similitudes
Exercice 1 :
C étant l’ensemble des nombres complexes, on considère la fonction polynôme P de C dans C
définie par : P( z)  ( z 2  3z) 2  (3z  5) 2 .
1- Factoriser P(z) en deux polynômes du second degré à coefficients complexes.
2- Résoudre dans C l’équation : z 2  3(1  i) z  5i  0 .
En déduire les solutions dans C de l’équation P(z) = 0, puis montrer que P(z) est le produit de
deux polynômes du second degré à coefficients réels.
Exercice 2 :
1- Résoudre dans C : z 3  1 .
2- a) Développer  2 i 2 .3
b) Soit l’équation E : z 3  4 2  1  i  .
z
En posant u  , déterminer sous forme algébrique puis sous forme trigonométrique
2 i 2
les racines de l’équation E.
5 5
3- En déduire les valeurs exactes de cos et sin .
12 12
Exercice 4 :
On considère l’équation z 3  18  26i (1)
1- Montrer que z0  3  i est racine de l’équation (1).
z
2- Montrer que pour toute solution z de l’équation (1), le complexe Z  est une racine
z0
cubique de l’unité.
3- Résoudre Z 3  1 et en déduire les solutions de (1).
Exercice 5 :
Donner l’écriture complexe de la transformation f :

1) f est la similitude plane directe de centre O(0 ;0), d’angle et rapport 2.
6
2 1
2) f est la similitude plane directe de centre I(2i), d’angle et de rapport .
3 2
3) f est l’homothétie de centre I(1+i) et de rapport -2.
4) f est la translation de vecteur u 1  2i  .


5) f est la rotation de centre I(2-i) et d’angle .
4
Exercice 6 :
Caractériser les applications f du plan dans lui-même qui, à tout point M(z), associent le point
M’(z’) telles que :
a) z’= (1-i)z+2-i
b) z’= iz+1+2i
c) z’= -3z+6i
d) z’= z-1+i
Exercice 7 :
1- Soient les points A(1), B(2i) et C(-4). Déterminer l’écriture complexe de la similitude plane
directe s telle que s(A) = B et s(B) = C puis caractériser s.
2- Soit A(1), D(i) et E(-i). Donner l’écriture complexe de la transformation s qui laisse D
invariant et transforme A en E. Donner la nature de s et ses éléments caractéristiques.
Exercice 8 :
Dans C, on considère l’équation (E) : z 3  3  2i z 2  1  4i z  1  2i  0 .
1- a) Vérifier que (E) admet une solution réelle.
b) Achever la résolution de (E).
2- Soient les points A(-1), B(-2+i) et C(i).
z  zA
a) Déterminer le module et un argument de B .
zC  z A
b) En déduire la nature du triangle ABC.
c) Donner le centre, le rapport et l’angle de la similitude plane directe qui laisse invariant A
et transforme B en C.
Exercice 9 :

On donne les nombres complexes z  8 3  8i et u  6  2  i 6  2 .  
1-Calculer le module et l’argument de z.
-Déterminer sous forme trigonométrique les racines carrées de z.
2-Calculer u 2 .
-Utiliser ce résultat pour exprimer les racines carrées de z sous leurs formes algébriques.
5 5
-En déduire cos et sin .
12 12
Exercice 10 :
z0  i
Soit la suite z n  définie par : 
 z n1  1  i z n  2i
1- Calculer z1 et z 2 .
2- On considère la suite U n  définie par : U n  zn  2 .
a) Montrer que : U n  2  i 1  i  .
n
b) Exprimer z n en fonction de n .
1 1
3- Soit Mn+1, Mn, A et B les points d’affixes respectives : zn1 , z n , i et   i.
2 2
Démontrer que :
AM n1
BM n
 
4

 2 et que : BM n , AM n1  2  .
Exercice 11 :

Le plan P est muni d’un repère orthonormal direct O, u, v . 
1- Soit s la similitude directe de centre Ω d’affixe 1 qui transforme le point A d’affixe i en
l’origine O du repère.
a) Déterminer le rapport et l’angle de s.
b) En déduire l’écriture complexe de s.
z0  5

2- Soit z n  la suite des nombres complexes définie par :  1 i 1 i
z n1  2 z n  2
On note Mn le point d’affixe zn et on pose Zn=zn-1.
a) Construire les points M0, M1, M2, M3, M4, M5, M6.
b) Prouver que (Zn) est une suite géométrique. Exprimer Zn, puis zn en fonction de n.
n 3
 1 
c) Prouver que : M n M n1    ; n  IN .
 2
d) Calculer la longueur Ln de la ligne polygonale M0M1M2…Mn+1 ainsi que sa limite lors que
n tend vers +∞.
Exercice 12 :
 
Dans le plan complexe P rapporté à un repère orthonormal direct O, u, v , on donne les points
A(1+2i), B(-2+i) et Ω(2-i).
1- Donner la nature et les éléments caractéristiques de la similitude directe S1 de centre Ω qui
transforme A en B.
 1  i  1  3i
2- Soit S2 la transformation plane qui à M(z) associe M’(z’) telle que z '   z  .
 2  2
Donner la nature et les éléments caractéristiques de S2.
3- En déduire la nature et les éléments caractéristiques de S = S1oS2
4- a) Soit T la transformation plane qui à M(z = x+iy) associe M’(z’= x’+iy’) définie par

x'  x  3 y  1


 y '   3x  y  1
Exprimer z’ en fonction de z puis donner la nature de T.
b) Soit T2 la transformation qui à M(z) associe M’(z’) telle que z'   2 z   .
Déterminer les complexes α et β pour que S2oT2 soit une translation de vecteur u(1;0) .
Exercice 13 :
1-Déterminer l’ensemble des points M(z) tels que 1  i z  2  i  2
2- Déterminer la nature et les éléments caractéristiques de la transformation S d’écriture
complexe z'  1  i z  2  i
3- En utilisant la question 2) retrouver les résultats de la question 1).
Exercice 14
Le plan complexe est muni d’un repère orthonormal
On désigne par un nombre réel. On considère la transformation du plan dans lui-même
qui à tout point on lui associe le point définie par :
A. 1) Peut-on choir de telle sorte que soit une translation
2) déterminer pour que soit une rotation. Préciser alors son centre et son angle
B. Dans la suite, on pose
1-a) Calculer l’affixe du point invariant par
b) pour tout complexe calculer , en interprétant géométriquement
démontrer que est similitude dont on précisera les éléments caractéristiques.
c) Démontrer que, pour tout complexe on a : En déduire que, si
alors le triangle est rectangle isocèle en
2) On définit la suite de points par :
a) Placer les points dans le plan muni du repère

b) Pour tout entier n, on pose Démontrer que est une suite géométrique,
converge-t-elle ?
Exercice 15
Soit un nombre complexe non nul et
1) Résoudre dans l’équation
2) Le plan muni d’un repère orthonormé direct on considère les points A et B d’affixes
respectives et On pose avec des réels.
a) Interpréter géométriquement puis donner sa forme algébrique.
b) En déduire que les points O, A et B sont alignés si

c) En déduire que les vecteurs sont orthogonaux si et seulement si .
3) Soit une transformation du plan définie par
a) Déterminer la nature de et préciser ses éléments caractéristiques.

b) Soit le point d’affixe et le point d’affixe
On pose tout entier naturel n : avec l’affixe du point

Soit une suite définie par , montrer que est une suite géométrique
Montrer que Pour quelles valeurs de n les points sont
alignés
Travaux dirigés sur les suites réelles
2016 2017
Cours Particuliers d’Excellence et de Référence KPT
Exercice 1 Exercice 4
On considère une suite géométrique de
Soit la suite définie par :
premier terme et de raison
1) Calculer Soit la suite
1. Calculer
définie par : avec
2. Calculer
2) Déterminer pour que la suite soit
3. Calculer la somme
géométrique.
Déterminer alors sa raison et son 1er terme
Exercice 5
3) a) Exprimer puis en fonction de
On considère les suites définies par :
b) Exprimer en fonction de
Exercice 2
On considère les deux suites et
définies, pour tout par :
1) Calculer
2) Démontrer que les suites et sont majorées
par 2 et minorées par 1
3) 1) Montrer que pour tout on a :
a) Soit la suite définie par :
Démonter que est une
suite géométrique.
2) Montrer que pour tout
b) Soit la suite définie par :
3) Montrer que est et est
Démonter que est une
4) Montrer que pour tout et
suite arithmétique.
en déduire que
c) Exprimer la somme suivante en fonction de
5) Montrer que pour tout
:
,
Exercice 3 en déduire que
On considère la suite définie par :
6) Montrer que et sont adjacentes
puis donner leur limite commune.
Exercice 6
On considère la suite définie par :
1) Calculer . La suite est-elle . 1) Calculer

arithmétique ? géométrique ?
2) on admet qu’il existe une unique suite telle que
2) Démontrer par récurrence, que pour tout entier
naturel on a : pour tout
3) On considère la suite définie pour tout a) démontrer que
entier naturel par : b) exprimer en fonction de puis de
et en déduire que pour tout
c) calculer
4) Calculer Démontrer que la suite 3) Soit la suite définie par :
est géométrique.
a) montrer que est une suite géométrique
5) Exprimer en fonction de .
dont on préciser la raison et le premier terme.
6) Exprimer en fonction de Que vaut
b) Exprimer en fonction de
c) En déduire puis en fonction de
d) déterminer la limite de la suite
Encadreur : Mansour DIAGNE

« Le refus de l’échec est le commencement de la réussite »
1
Travaux dirigés sur les suites réelles
2016 2017
Cours Particuliers d’Excellence et de Référence KPT
Exercice 7 Exercice 10
est un réel tel que et la suite Soit la fonction définie sur par :
définie pour tout entier , par : . On note sa courbe.
1) a) Vérifier que sur
b) Dresser le tableau de variation de

1) Calculer
c) Vérifier le point est un centre de
2) Montrer que symétrie.
3) Soit la suite tel que d) Donner une équation de la tangente au point
a) Etudier la convergence e) Construire la tangente et la courbe
b) Etudier la convergence de la suite . 2a) Montrer que est une bijection de sur
Exercice 8 On note la fonction réciproque de
Soit la suite numérique définie par : b) Tracer la courbe de dans le même repère.
c) Montrer pour tout
3a) Montrer que est dérivable sur et calculer
1) Justifier que : pour tout élément de *,
b) en déduire que si
c) Montrer que l’équation admet une
2) En déduire que : pour tout élément de *, unique solution dans et que
3) Soit la suite
3) Etudier la convergence de la suite .
a) Montrer que
Exercice 9
Soit U n  définie par b) Montrer que
c) En déduire que converge et donner sa limite.
u0  0 et un1  un  2
1) Représenter graphiquement la suite U n 
2) Conjecturer à partir du graphique le sens de
variations de la suite U n 
3) a) Démontrer par récurrence que U n  est
croissante
b) Démontrer par récurrence que U n  est
majorée par 2
Que peut on en déduire pour la convergence de la
suite U n  ?
4a) En utilisant l’encadrement de un , montrer que
1
u n1  2  un  2
2
n
1
b) En déduire que un  2    u0  2 .
 2
Déterminer la limite de U n  .
Encadreur : Mansour DIAGNE

« Le refus de l’échec est le commencement de la réussite »
2
NOMBRES COMPLEXES 2016/2017
Formes algébrique, trigonométrique et 5) Mettre sous forme exponentielle les
exponentielle nombres complexes suivants.
EXERCICE 1 a)
,
b) c) .
6) Calculer et
Détermination de l’ensemble des points dans

le plan complexe
Déterminer la partie réelle et la partie
imaginaire des nombres complexes suivants : EXERCICE 4 : les questions sont
indépendantes à partir de la 3)
Pour tout complexe avec
on considère le complexe défini par
Ecrire les complexes suivants sous la forme
On note avec des réels.
trigonométrique et exponentielle
1) Exprimer en fonction de
2) Déterminer l’ensemble des points M d’affixe
tels que soit réel.
3) Déterminer l’ensemble des points M d’affixe
EXERCICE 2 vérifiant
On donne les nombres complexes suivants : 4) Déterminer l’ensemble des points M d’affixe
et tels que
1) déterminer la forme algébrique de

5) Déterminer l’ensemble E des points M
d’affixe tels que soit réel.
2) Donner la forme algébrique des nombres 6) Déterminer l’ensemble E des points M
complexes suivants : d’affixe tels que soit
réel.
EXERCICE 5 : Le plan complexe est muni

d’un repère .
EXERCICE 3 On note la fonction qui à tout point M
1) Ecrire sus la forme trigonométrique puis sous d’affixe associe le point M’ d’affixe
la forme exponentielle les nombres complexes telle que :
suivants : On se propose de déterminer de deux
manières différentes, l’ensemble (E) des
points M tels que appartient à l’axe des
b)
abscisses, privé de O.
c) d) e) Méthode analytique désignent deux
f) nombres réels tous deux non nuls
2) En calculant les formes algébriques et 1) Développer l’expression suivante :
trigonométrique de avec
et calculer
2) On pose Exprimer en
et fonction de
3) On pose Donner la forme 3) En déduire l’ensemble (E) des points M
algébrique de puis calculer lorsque M’appartient à l’axe des abscisses,
privé de O.
4) Montrer que puis
déterminer la forme algébrique de Méthode géométrique
Encadreur : Mansour DIAGNE 1
« Je suis ni un génie, ni intelligent, je suis tout simplement curieux »
1) Démontrer que, pour tout nombre complexe
2) On considère l’équation
où (E) :
2) Soient A et B les points d’affixes a) Montrer que (E) admet une solution
respectives et imaginaire pure que l’on notera
3) Exprimer b) Déterminer les nombres complexes
a et b tels que :
4) Déduire de ce qui précède l’ensemble (E).
Résolution d’équations .
EXERCICE 6 :
On considère la polynôme suivant : c) Résoudre alors dans l’équation (E).
3) Dans le plan complexe muni d’un repère
orthonormé direct
1) Démontrer le admet une On désigne par A, B et C les points d’affixes
respectives
solution réelle
2) Déterminer un polynôme tel que a) Donner les écritures exponentielles de :
3) Démontrer que l’équation b) Donner une interprétation de l’angle orienté

admet une unique solution imaginaire pure
4) Résoudre dans l’équation En déduire la nature de ABC.
5) On note la solution de c) On considère les points E et D tels que
l’équation Démontrer que les points ABEC et ABCD soient deux
parallélogrammes.
dans le plan complexe A, B, et C d’affixes
d) Déterminer Prouver que les points
respectives et sont alignés. E, C et D sont alignés.
EXERCICE 9 :
EXERCICE 7 : On considère le polynôme définit par
Pour tout nombre complexe , on définit : .
1) Calculer et
1) Calculer puis déterminer une
Déterminer le polynôme Q du second
factorisation de
degré à coefficients réels tels que pour
tout on ait
On appelle et les solutions de l’équation 2) Résoudre dans l’équation
autres que 2, ayant une partie imaginaire 3) Placer dans le plan complexe rapporté
positive. au repère orthonormé direct
3a) Placer dans le plan muni d’un repère
orthonormé direct (unité graphique 2 (Unité graphique 2 cm) les points A, B, C
cm), les points : A d’affixe 2, B et C d’affixes et D d’affixes respectives
respectives et et I milieu de et
b) Démontrer que le triangle OAB est 4) On note E le symétrique de D par
isocèle, en déduite une mesure de l’angle rapport à O. Place le point E sur le
dessin et montrer que
c) Calculer l’affixe puis le module de
et déterminer la nature de BEC.
d) Déduire des résultats précédents les
valeurs exactes de et
EXERCICE 14 :
EXERCICE 8 : Soit un réel pour tout on pose :

1) Démontrer que, pour tout 2) Déterminer la nature de la transformation
Quelle est l’image de A par ?
3) Déterminer l’écriture complexe de et
en déduire l’angle de la similitude.
2) En déduire les expressions de EXERCICE 14 :
en fonction de On considère la transformation d’écriture
complexe :
1) Déterminer la nature de et ses
EXERCICE 10 :
Comparer les nombres complexes éléments caractéristiques
2) Déterminer l’affixe du point C image
et
de A par
Résoudre dans les équations suivantes : 3) Calculer l’affixe du point B tel que
4) Quelle est l’affixe du point D image de

EXERCICE 11: D par
On considère dans l’équation (E) définie
par : avec
EXERCICE 15 :
1) On pose
et Soit la suite z n  définie par :
a) Pour quelle valeurs de l’équation €
z0  i
a-t-elle des valeurs réelles ? 
b) Résoudre (E) pour .  z n1  1  i z n  2i
2) Soit résoudre (E). 1- Calculer z1 et z 2 .
2- On considère la suite U n  définie par :
EXERCICE 12: les questions sont
indépendantes U n  zn  2
a) Montrer que : U n  2  i 1  i 
On considère les points d’affixes n
respectives :
et 3- Exprimer z n en fonction de n .
1) Démontrer qu’il existe une unique similitude 4- Soit Mn+1, Mn, A et B les points
directe transformant en et en d’affixes respectives :
2) On considère la transformation qui à tout zn1 , z n , i et  1  1 i .
associe le point vérifiant : 2 2
AM n1
Démontrer que :  2
3) Montrer que est une similitude directe dont BM n
on déterminera les éléments caractéristiques
 

et que : BM n , AM n1  2 
4
EXERCICE 13:
On considère les points A et B d’affixes
EXERCICE 16 :
respectives
Le plan complexe est rapporté à un repère
H est l’homothétie de centre A et de rapport -2.
orthonormé (O, ) tel que
 ; l’unité est le centimètre.
R la rotation de centre B et d’angle - . et T la
2 1) a) Résoudre dans l’équation Les
translation de vecteur solutions seront données sous forme
1) Déterminer les écritures complexes de trigonométrique et sous forme algébrique.
H, R, et T. b) En remarquant que , déduire de 1)
a) les solutions de l’équation

2) On donne les points A, B et C d’affixes 1)a) Résoudre dans C l’équation :
respectives et
a) Placer ces points dans le repère.
z 2

 2 3z  4 z 2  z  4  0
b) Calculer le module et un argument de b) On désigne par
a  1  i 3; b  1  i 3; c  3  i;
c) En déduire la nature du triangle ABC. d  3 i
3) On considère la transformation du plan Ecrire chacun des nombres complexes sous la
dans lui-même qui, à tout point M d’affixe forme exponentielle. Placer A, B, C et D
associe le point M’ d’affixe tel que : d’affixes respectives a, b, c et d dans le repère
c)Déterminer le module et un argument de
ac
a) Déterminer la nature de puis donner ses
Z .Que peut- on en déduire des
éléments géométriques caractéristiques
b) Déterminer les affixes des points A’ et
d b
droites (AC) et (BD) puis des distances AC et
C’images respectives des points A et C par . BD
c) En déduire l’image de la droite (AC) par . 2) Pour tout entier naturel n, on note An le
a 2 n3 i
EXERCICE 17 : point d’affixe an  n e
Le plan est rapporte au repère orthonormé
2
a) Calculer a1, a2, a3, et a4 puis placer les points
direct ( O, u , v) .On appelle T l’application du A1, A2, A3 et A4 dans un autre repère
plan dans lui-même qui au point M(x, y) b) On pose rn  an .
associe le point M’(x’, y’) tel que :
Interpréter géométriquement rn
 x'  x  y c) Montrer que (rn) est une suite géométrique,

 y'   x  y  1 préciser la raison et le premier terme.
1) On appelle z l’affixe du point M et z’ celle d) Calculer Ln=OA0+OA1+OA2+OA3+…+OAn.
de M’image de M par T. Ecrire z’ en fonction en fonction de n. Calculer
de z
2) Montrer que T est une similitude directe
dont on précisera les éléments caractéristiques, EXERCICE 19 :
on notera son centre  et  l’affixe de  . On considère dans C, l’équation :
z' z
3) Montrer que pour M   on a : i z 3  3  2i z 2  1  4i z 1 2i  0.
z
En déduire une construction géométrique de 1.a) Déterminer la solution réelle de cette
M’=T(M). équation.
4) Donner une équation cartésienne de la b) Montrer que i est une solution de cette
droite (D’), image de (D) :2x-y+1=0 par T. équation.
5) Soit A le point d’affixe -1+i et soit R la c) Déterminer la troisième solution de cette
3 équation.
rotation de centre A et d’angle de mesure .
4 2. Soient les points A, B, et C d’affixes
Pour M un point du plan, on pose M’=T(M), respectives 1, i et 2 + i.
M’’= RoT(M) et on appelle g l’application du a) Déterminer le module et un argument de
plan dans lui-même qui au point M associe le zC  z A
.
point G barycentre des points pondérés (M,1) , zB  z A
(M’,-2) et (M’’,-1).Ecrire une expression
complexe de g .En déduire la nature et les b) En déduire la nature du triangle ABC.
éléments caractéristiques de g. c) Déterminer l’affixe du point D image de A

par la rotation de centre B et d’angle .
EXERCICE 18 : 2
d) Montrer que A, B, C et D sont sur un
Le plan complexe  est rapporté au repère cercle de centre I(1+i) et de rayon r à
orthonormé direct unité 2cm déterminer.


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MINISTERE DE L’EDUCATION NATIONALE

INSPECTION D’ACADEMIE DE DAKAR

BAC BLANC 2017

1) Résoudre dans ℂ, l’équation sachant qu’elle

Dans cette partie on pose

Soit la suite géométrique de 1er terme u0=4 et de raison ; la suite arithmétique

Soit la fonction numérique à variable réelle définie par : et sa

1) Déterminer et les limites aux bornes de .

Classe : TS2 Durée : 04h

Examen baccalauréat blanc

b) Déduis-en la position limite du point Gn lorsque n tend vers ∞. (0.75pt )

1. On considère la fonction g définie sur , ∞ par g(t)= ln 1 .

2-a) Calcule f ‘ x ,la fonction dérivée de f et montre que f ‘ x = ln 1 .

2. Pour tout entier naturel n, on pose S n = V 0 + V 1 + V 2 + ...+ V n et P n = U 0 .U 1 ....U n.

Dans l’ensembe des nombres complexes on considère l’équation

2) dans le plan complexe, on désigne par, A, B, C les points d’affixes respectives

a) Résoudre dans l’ensemble des nombres complexes l’équation définie par : q

b) Donner la forme algébrique de z 2; ; z 3 . 0,5pt

b) Déterminer S n en fonction de n 0,25pt

Soit U la fonction définie sur 0;   par U x   1  ln x  e  x .

1) Etudier les variations de U x . 01pt

1)a) Déterminer le domaine de définition de f . 0,5pt

b) Etudier la continuité de f en 0. 0,5pt

c) Etudier la dérivabilité de f en 0.Interpréter graphiquement les résultats obtenus. 0,75pt

2)a) Montrer que  x  0;   on a f x   U x  . 0,5pt

b) Pour x0 écrire f x  sans la valeur absolue et calculer f x . 01pt

3) Dresser le tableau de variation de f et montrer que f    1    1ln . 01,5pt

4) Etudier la nature de la branche infinie de C  en   .

Soit h la restriction de f a l’intervalle I   ;   .

2) h 1 est elle dérivable sur J . 0,25pt

2) Démontrez que, pour tout nombre x de l’intervalle 0;1 1

1)  E0  désigne l’équation différentielle : y  2 y  y  0 .Déterminer les solutions générales

2)  E  est l’équation différentielle : y  2 y  y  2e x .

d) Déterminer la solution f0 de  E  satisfaisant les conditions initiales :

EXERCICE 2 (04 points)

EXERCICE 3 (04 points)

PROBLEME (09 pts)

b) En déduire l’ensemble des solutions de (𝐸). (0,5 pt)

Soient 𝑓 la fonction définie par :

Grille de correction des copies des élèves

1) 𝑝(1) = 2(1)/ − 3(1 + 𝑖) (1)0 + 4𝑖 (1) + 1 − 𝑖.

2√3 2√3 2√3

lim x = 1 ; lim 1 - x = 0 + ; lim ln 1 - x = - ¥ ; lim x + ln 1 - x = - ¥

La droite d’équation 𝑦 = −1 est asymptote horizontale à t𝐶. u en + ∞. (0,25 pt)

D’autre part, posons 𝑡 = −𝑥.

ln|1 − 𝑥| > 0 ⟺ |1 − 𝑥| > 1 ⟺ 1 − 𝑥 < −1 ou 1 − 𝑥 > 1.

1. Résoudre dans l’équation: . 0,5 pt

b) Vérifier que . 0,5 pt

c) Déterminer le module et un argument de . 0,5 pt

d) Déduire du résultat précédent l’angle de la rotation de centre O qui transforme A en B. 0,5 pt

2. On considère l’équation différentielle .

1.a) Calculer U0 . 0,5 pt

b) Montrer que pour tout entier naturel n, U n  e

3. Pour tout entier naturel n, on pose : S n  U 0  U1  Un

a) Calculer Sn en fonction de n. 0,5 pt

Problème : 10,5 pts

Soit f la fonction définie par f(x ) =

3. Dresser le tableau de variation de g, puis en déduire le signe de g  x  . 0,5 pt

1. Justifier que D f  IR . 0,25 pt