Rapport Evans 1

Rapport de stage
Remerciements
Je tiens à remercier dans un premier temps, toute l’équipe

pédagogique responsable de l’ESGC-VAK en particulier le
Fondateur Directeur Général, Monsieur GBAGUIDI AISSE
pour l’effort consentis dans le but de nous garantir une
meilleure formation et ceci dans de bonnes conditions.
Je présente mes vifs remerciements au Directeur de

l’entreprise ATI-CONSTRUCTION, Mr DOSSOU Cédric
pour m’avoir si bien accueilli au sein de la structure et me
faire bénéficier de la compétence de leur personnel. Je
remercie également ceux dont les noms suivent :
• L’Ingénieur MENSAH Silyano W. pour sa

supervision et ses amples explications ;
• Le Chef Chantier AHOTO Jean Baptiste pour sa
supervision et ses amples explications ;
• A tout le personnel du cabinet ATI-
CONSTRUCTION pour leur dévouement au
travail et surtout leur franche collaboration avec
les stagiaires ;
Un grand merci à mes parents pour leur soutien

inconditionnel à mon égard.
Merci à tous ceux qui de près ou de loin ont contribué à la

réalisation de ce travail.
BANKOLE Evans Albert-Nathan Iréti

Rapport de stage
SOMMAIRE
INTRODUCTION
CHAPITRE 1 : CADRE INSTITUTIONNEL DU STAGE ET

DEMARCHE METHODOLOGIQUE
1.1. STRUCTURE DE FORMATION : École Supérieure de Génie Civil

VERECHAGUINE A.K (ESGC VAK)
1.1.1. Historique et formations de l’ESGC-VAK
1.1.2. Conditions d’entrée à l’ESGC-VAK
1.1.3. Les différentes formations
1.1.4. Situation géographique
1.1.5. Organisation interne de la structure de départ
1.2. PRESENTATION DE LA STRUCTURE D’ACCEUIL
1.2.1. Historique de l’entreprise
1.2.2. Missions et valeurs
1.2.3. Situation géographique
1.2.4. Organigramme
1.2.5. Domaines d’interventions
1.3. DEMARCHE METHODOLOGIQUE
CHAPITRE 2 : DEROULEMENT DU STAGE

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2.1. PRESENTATATION DU PROJET
2.2. PRESENTATION DES ACTIVITES MENES AU COURS DU STAGE
CHAPITRE 3 : CONCLUSION, DIFFICULTES ET SUGGESTIONS
3.1. DIFFICULTES RENCONTREES AU COURS DU STAGE
3.2. SUGGESTIONS
BIBLIOGRAPHIE
CONCLUSION GENERALE
INTRODUCTION
Un manuel de construction ne peut être que la

représentation d’un moment de l’art de construire.
Les techniques évoluent, les exigences changent et
alors il faut faire un effort permanent d’adaptation à
des situations nouvelles. C’est pour cette raison que
le constructeur ne doit pas se placer dans la situation
de la feuille blanche : il doit travailler dans le
cadre d’un savoir constructif. Le constructeur
s’appuie sur la connaissance des réussites et des
exploits ; il analyse les échecs et il réfléchit sur les
4

Rapport de stage
causes possibles de pathologie. C’est d’ailleurs dans
ce sens que durant notre scolarité en deuxième année
à l’ESGC-VAK, il est prévu que nous réalisions un
stage de deux mois d’immersion en entreprise. Ce
stage a pour finalité de nous faire connaitre le monde
du travail, et de mettre en œuvre tous les acquis
théoriques que nous avons eu l’opportunité
d’apprendre au cours de l’année académique.
Le présent stage s’est effectué dans l’agence ATI-
CONSTRUCTION.
CHAPITRE 1 : CADRE INSTITUTIONNEL DU STAGE ET

DEMARCHE METHODOLOGIQUE
1.1. STRUCTURE DE FORMATION : École Supérieure de Génie

Civil VERECHAGUINE A.K (ESGC VAK)
1.1.1. Historique et formations de l’ESGC-VAK

Fondée en 1998 à Cotonou par le professeur titulaire en
génie civil GBAGUIDI AÏSSE (CAMES) et son épouse, l’École
Supérieure de Génie Civil VERECHAGUINE A.K. (ESGC-VAK)
offre des formations en génie civil, en géomètre topographe.
Depuis deux décennies, elle s’est assignée comme mission
d’apporter une amélioration dans la conception, le suivi et la

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réalisation des travaux relatifs aux domaines des bâtiments
et travaux publics.
L’efficacité du système d’encadrement mis en place et les

nombreuses performances réalisées ont fait d’elle une école
sous régionale à vocation professionnelle et qui reçoit chaque
année plus d’une dizaine de nationalité. Les formations
conduisent à des métiers d’ingénieurs ou de techniciens
qualifiés dans les travaux publics, secteur sensible
regorgeant d’énormes potentialités d’emplois et d’insertion
professionnelle.
La formation de qualité dispensée est d’une part

scientifique et d’autre part professionnelle pour l’acquisition de
connaissances fondamentales, la réflexion sur les concepts et
les méthodes, la pratique du raisonnement et la démarche
scientifique. Elle s’accompagne d’un corpus de connaissances
littéraire et linguistique indispensables à tout technicien amené
à travailler dans un monde complexe en évolution permanente.
L’efficacité de l’enseignement réside dans le suivi pédagogique
permanent, l’évaluation continue et la
disponibilité d’un corps d’enseignants très qualifiés et rompus
à la tâche, provenant des universités du Bénin et de l’étranger.
1.1.2. Conditions d’entrée à l’ESGC-VAK :
 Au supérieur : la formation est ouverte aux titulaires d’un BAC

série C, D, E ou F4 ; du DTI (BTP ou DPB) ou d’un BTS.

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 Au secondaire : pour les classes de 1ère et de Terminales,

l’admission se fait sur présentation du certificat de scolarité, du
bulletin des notes de la classe antérieure et sur un test d’entrée
obligatoire.
 Pour les classes de 2ndes il faut être titulaire d’un CAP/STI ou

du BEPC.
1.1.3. Les différentes formations
 DTI BTP/ BAC F4
 Licence professionnelle en Génie civil
 Licence professionnelle en Génie Topographe
 Master professionnel en Génie Civil
1.1.4. Situation géographique :

Située à COTONOU précisément dans le quartier GBEGAMEY, elle
est une université privée disposant des infrastructures répondant
aux normes en vigueur en République du BENIN. Elle constitue un
lieu d’acquisition du savoir scientifique, technique et professionnel
grâce au multiple équipement de qualité. Le plan de situation de
l’école se présente comme suit :

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Figure 1 : Plan de situation de l’ESGC-VAK
Source : ESGC-VAK
1.1.5. Organisation interne de la structure de départ :
Figure 2 : Organigramme de l’ESGC-VAK
Source : ESGC-VAK

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1.2. PRESENTATION DE LA STRUCTURE D’ACCEUIL

1.2.1. Historique de l’entreprise
Fort des expériences avérées de son membre fondateur, M.
DOSSOU Cédric technicien ingénieur, crée puis établie le

4/11/2015 à Cotonou l’entreprise A.T.I CONSTRUCTION dont il est
le Directeur Générale. L’entreprise A.T.I. CONSTRUCTION est en
étroite collaboration avec Mme Anihounvi Christelle BOKOSSA ,
Architecte ADE-HMNOP, dans diverses sociétés de grande
renommée, que ce soit à Cotonou ou dans d’autres pays de l’espace

A.T.I CONSTRUCTION c ollabore avec plusieurs autres structures
UEMOA ou ailleurs en Europe.Pour la réalisation des études
de la place. et rapport structurel, Le Directeur Générale de
techniques
1.2.2. Missions et valeurs :

A l’ère actuelle, où les questions de développement durable et
d’énergies renouvelables sont, plus que jamais primordiales, l’art et
la technique cohabitent, au sein de notre cabinet, pour donner
corps à des conceptions innovantes répondant aux normes
internationales :A.T.I. CONSTRUCTION (Art Technique et
Ingénierie de la Construction).

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Directeur Général (DG)
Comptable Directeur des Secrétariat

Travaux (DT)
Contrôleur
Technique (CT)
Magasinier Chef d’Equipe Gardien

(CE)
1.2.3. Situation géographique :

Ouvriers
Qualifiés (OQ)
Le cabinet A.T.I. CONSTRUCTION a son siège social sise à
Houenoussou, C/1389 Von Cyclone, rue n°8.051. Une agence
annexe se positionne à AKPAKPAOuvrier
- PK3,s rue de la société
SOBEPEC. Manœuvres (OM)
1.2.4.
Figure 3 :Organigramme : CONSTRUCTION
Organigramme d’A.T.I
Source : ESGC-VAK
1.2.5. Domaines d’interventions :
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L’agence d’architecture et d’ingénierie pluridisciplinaire
A.T.I.CONSTRUCTION est une société à responsabilité limitée, dont

les activités interviennent dans les domaines de l’architecture, avec
une branche d’ingénierie intégrée. Nous regroupons, au sein de
l’entreprise, toutes les compétences liées au « produit design », qui
permettent la conception et la construction des œuvres bâties, à
l’aide de logiciels de simulation numérique de pointe, mis au
service de la conception et du suivie des chantiers. Entre autres on
peut citer :
LA CONCEPTION-L’ETUDE-LE CONTROLE–LA REALISATIONLES

BTP-PISCINE-FORAGE-PLACO-FAUX PLAFOND.
1.3. DEMARCHE METHODOLOGIQUE :
Pour la rédaction de notre rapport de stage, nous avons

procédé à des prises de note sur le chantier, à la recherche
documentaire et à l'entretien avec des personnes ressources
pour la collecte d'informations de façon rationnelle.
 Prises des notes sur le chantier :
Des réponses aux questions posées en vue d'avoir des

éclaircissements sur des techniques ou des modes
d'exécution des divers travaux ;
Des remarques et observations faites sur le chantier ;
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Des explications sur les différents phénomènes observés sur le
chantier ;
Les rapports journaliers.
Ces notes nous ont permis d'avoir de façon quotidienne des

informations et explications. Ces données, nous les avons confrontées
à nos connaissances théoriques afin d'améliorer les synthèses.
• Recherches documentaires :
Sur les matériaux de construction (béton et acier) ;
Les anciens rapports de stage ;
Des infos tirées sur le net ;
• Les personnes ressources
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CHAPITRE 2 : DEROULEMENT DU STAGE
2.1. PRESENTATION DU PROJET
Nous avons eu à travailler durant mon stage sur un projet de

contruction d’un batiment R+0 dans commune d’Abomey Calavi.,
dans l’arrondissement de TOGBA, quartier Ahossougbéta.
Image 1 : Vue en plan coté
Source : ATI-CONSTRUCTION
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Image 2 : Vue en plan aménagé

Image 3 : Plan de plomberie
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Image 4: Plan d’électricité
Tableau 1 : Répartition des surfaces des locaux du batiments
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Image 5: COUPE AA
Image 6: COUPE BB
Image 7: Façade principale
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Image 8: Façade postérieure
Image 9: Façade latérale droite
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Image 10: Façade latérale gauche
2.2. PRESENTATION DES ACTIVITES MENEES AU COURS DU

STAGE
2.2.1 Présentation des activités menées sur le projet de

construction d’un bâtiment R+0 à TOGBA.
L’implantation du bâtiment a été faite avant notre arrivée.
Après l’implantation du bâtiment et la réalisation des fouilles

conformément aux plans d’implantation et de fondation, débute la
mise en place des éléments constitutifs de la fondation.
Image 11: Plan de fondation de la boutique
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Rapport de stage
Image 12: Plan de fondation de la villa
Dans le cadre de notre projet, il s’agit d’une fondation

superficielle (fondation dont la profondeur n’excède pas 1 à 2m).
Elle est constituée de diverses semelles isolées S1, S2, Se1 et SC
ainsi que de semelles filantes de largeur 50 cm et de hauteur 20
cm. Les semelles isolées ont été implantés à 1m de profondeur à
partir du terrain naturel TN tandis que celles filantes quant à elles,
à 60 cm de profondeur.
Les semelles isolées S1 sont de section 100*100 cm² ; S2 de section

120*120 cm² ; celles excentrées Se1 de section 150*120 cm². Ces
semelles ont pour hauteur commune 30 cm et sont à nappe
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unique. Les semelles combinées SC sont de section 170*120
cm² avec une hauteur de 45 cm et sont à double nappes.
Image 13: Détails semelle isolée S1
Image 14: Détails semelle isolée S2
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Rapport de stage
Image 15: Détails semelle combinée SC
Photo 1: exemple de semelle isolée à nappe unique
Source : Evans BANKOLE
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Rapport de stage
Photo 2: exemple de semelle isolée à double nappe
A- Processus de réalisation d’une semelle isolée :
1- Préparation du sol d’assise (faire les fouilles selon la surface de

la semelle isolée et la profondeur du bon sol retenu) ; 2- Faire le
coffrage de la semelle isolée si nécessaire ; 3- Réalisation du béton
de propreté BP :
Celui-ci est dosé à 150 kg/m³, soit pour 01 paquet de ciment, 04

brouettes de gravier et 03 brouettes de sable. Les brouettes
utilisées ont une contenance de 60L. Le BP a pour épaisseur 5 cm.
Le role du BP est de garantir la planéité des fondations, de protéger
le fond de fouille de l’infiltration et de protèger les armatures du
phénomène de rouille.
4- Mise en place des armatures des semelles isolées conformément au

plan de ferraillage ;
5- Mise en place des armatures des poteaux amorces ;
6- Coulage du béton de fondation proprement dit tout en respectant
son épaisseur : celui-ci est dosé à 300 kg/m³ soit pour 01 paquet
de ciment, 03 brouettes de gravier et 02 brouette de sable.
7- Vibration du béton à l’aide de l’aiguille de vibration mécanique :
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Le premier avantage qu’apporte la technique de vibration est
une faible porosité entrainée par l’effet du serrage ayant conduit à
l’expulsion de l’air. Cette faible porosité donne une densité plus
élevée au béton. La vibration procure également au béton une très
bonne homogénéité. Elle donne en effet une bonne durabilité au
béton, facilite sa mise en œuvre, permet un meilleur remplissage
des coffrages, procure une bonne adhérence béton/armatures et
donne plus de beauté aux parements . Les avantages de la
vibration du béton ne sont cependant pas systématique. Pour
en bénéficier, il faut comme on peut s’y attendre, respecter
certaines règles : il faut vibrer ni trop, ni trop peu ; la durée de
vibration est importante.
Photo 3: Vibreur utilisé
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Rapport de stage
Photo 4: vibration du béton de fondation de semelle isolée
Tableau 2: Critères de vibration
Source : Wikipédia
24

Rapport de stage
B- Processus de réalisation d’une semelle filante ou
continue :
1- Préparation du sol d’assise(faire les fouilles selon la surface de la
semelle filante et la profondeur du bon sol retenu) ;
2- Réalisation du béton de propreté dosé à 150 kg/m³ ;
Photo 5: Béton de propreté coulé
3- Pose des armatures de semelles filantes conformément au plan de

ferraillage ;
Photo 6: Pose des armatures de semelle filante

4- Mise en place des armatures de poteaux s’il y a lieu ( comme dans

le cas de la clôture à chaque 3m) ;
25

Rapport de stage
Photo 7: Pose des armatures de poteaux pour clôture
5- Coulage du béton de fondation proprement dit dosé à 300 kg/m³;
6- Vibration du béton de fondation à l’aide de l’aiguille de vibration
Photo 8: Vibration du béton pour semelle filante

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C- Composition des bétons :
Le ciment employé est le CPJ35. Le sable doit être propre,
exempt de tous produits animaux et végétaux. Il doit etre un sable
grenu, pulvérulent. Le gravier aussi doit être propre, exempt de
tous produits animaux et végétaux. L’eau de gâchage quant à elle,
ne doit contenir ni matière organique, ni sel dépassant la limite
admise par la norme. La proportion d’eau est adaptée à l’état
hygrométrique des granulats.
D- Réalisation des murs de soubassement :

Sur les semelles filantes, sont montés les murs de
soubassement. Ces murs sont réalisés avec des agglos de 15 plein
de section 40*20 cm² reliés entre eux par des joints de 2 cm. Ces
joints encore appelés mortier sont dosés à 250 kg/m³ soit pour 01
paquet de ciment, 2.5 brouettes de sable et 25L d’eau. Sur
notre projet, les murs de soubassement ont une hauteur de 1m
50.
Photo 9: Mur de soubassement

Source : Evans BANKOLE E-
Les chainages:
Les chainages servent à ceinturer la construction et servent
de renfort intégrés dans les murs. Il servent également à solidariser
les murs en maçonnerie Généralement, nous distinguons les
chainages bas et les chainages haut. Il existe également des
27

Rapport de stage
chainages dans la dalle. Les chainages bas sont réalisés au
dessus du mur de soubassement tandis que les chainages haut se
trouvent au dessus des baies et ouvertures. Ces chainages ont
pour section 15*20 cm². Les chainages sont dosés à 350 kg/m³ soit
pour 01 paquet de ciment, 01 brouette de sable et 02
brouettes de gravier. La section d’acier contenue dans ces
chainages est de 2,01 cm² soit 4HA8.
En ce qui concerne les chainages de la cloture, nous avions

réalisés un coffrage perdu avec des agglos creux en forme de « U »
comme le montre l’image ci-dessous.
Photo 10: Agglo en forme de « U »

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Rapport de stage
Photo 11: Coffrage perdu du chainage bas de la clôture

Photo 12: Chainage coffré

F- Les longrines
Les longrines permettent une bonne répartition des charges.
Dans notre cas, elles remplacent les chainages bas au niveau des
semelles excentrées. Elles ont pour section 15*40 cm². La section
d’armatures dans ces longrines est de 6.09 cm² soit 4HA12+2HA10.
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Rapport de stage
Photo 13: Longrine coffrée

G- Les poteaux:
On dispose sur notre projet diverses sections de poteau :

P1 15*20 cm² ; P2 15*30 cm² ; P3 25*25 cm² et des
raidisseurs R de 15*15 cm². Les poteaux réalisés sont
dosé à 350 kg/m³ soit pour 01 paquet de ciment, 01
brouette de sable et 02 brouettes de gravier.
30

Rapport de stage
Image 16: Détail poteau P1


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Rapport de stage

Source : ATI-Construction
Photo 14: Exemple de poteau coffré

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Rapport de stage
H- Enrobage des armatures:
L’enrobage des armatures représente la distance entre la surface

du béton et l’armature la plus proche. Il doit etre suffisant pour
garantir la bonne protection de l’acier contre la corrosion ; la bonne
transmission des efforts d’adhérence ; une résistance au feu
convenable. Dans notre projet, l’enrobage des armatures en
fondations est 5cm tandis que en élévation l’enrobage est de
3cm. L’enrobage est assuré par des cales à béton ou distanciers
communément appelé des « biscuits » qu’on dispose de part et
d’autre des armatures.
I- La mise à la terre :
La mise à la terre permet d’écouler les courants de fuite
jusqu’à la terre sans danger pour les biens et les personnes.
Couplée à un dijoncteur différentiel, elle garantit la mise hors
tension de l’nstallation. Elle est réalisée par un technicien en
électricité.
Photo 15: Dispositif de la mise à la terre en fondation

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Rapport de stage
J- Elevation des murs :

Après le chainage bas, on sort de l’infrastructure
(soubassement) pour entamer la superstructure encore appelé
élevation. Le chainage haut est calé à 2m20 (prise en compte de
l’épaisseur du cadre des baies et de l’épaisseur du carrelage) de
hauteur après le chainage bas.
Photo 16: Mur en élevation

K- Remblai, compactage et forme dallage :

Le remblai est une opération de terrassement en apport de
terre. La mise en place s’est faite par des couches successives
de 20 cm soigneusement compactée avec arrosage optimal
pour chaque couche. Le sable utilisé pour ce remblai est un sable
grenu débarrassé de tout débris végétaux et animaux. Ce remblai
est compacté au moyen d’une dame. Il faut surtout veiller à ne
pas faire des remblais argileux.
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Rapport de stage
Photo 17: Dame utilisée pour le compactage

Source : Evans BANKOLE Utilité du compactage :
Le compactage en réduisant la proportion de vide dans un

sol, augmente sa densité. Cette densité permet :
1- De réduire les tassements ultérieurs du sol sous l’effet des

charges permanentes ou variables ;
2- D’augmenter les caractéristiques mécanique du sol (angle
de frottement, cohésion), ce qui se traduit par une
augmentation de sa portance et donc de la sécurité par
rapport à la rupture ;
3- De diminuer l’influence de l’eau en rendant le sol plus
imperméable par diminution de la porosité et de
l’érodabilité. :
Après l’opération remblai-compactage, le technicien en

électricité procède au fourreautage. C’est l’opération qui consiste à
faire passer les tuyaux d’électricté (communément appelé tuyaux
orange) dans le sol et les murs du batiment pour permettre
l’approvisonnement en électricité.
35

Rapport de stage
Photo 18: Fourreautage du mur

Le technicien en plomberie quant à lui vient mettre en place la

tuyauterie nécessaire pour l’évacuation des eaux usées et vannes et
l’alimentation en eau potable.
Photo 19: Mise en place du système d’évacuation d’une

salle de bain
Dans la norme, les PVC utilisés pour l’évacuation des eaux

usées ont pour diamètre 75 mm tandis que ceux utilisés pour
l’évacuation des eaux vannes ont pour diamètre 100 mm. Dans le
cadre de notre projet, nous n’avons utilisé que des PVC de diamètre
100 mm pour l’évacuation des eaux usées et vannes afin d’éviter
l’obstruction des tuyaux « tuyaux bouchés » .
36

Rapport de stage
A la suite de ces divers travaux, le ferrailleur pose le quadrillage de
la forme dallage. Le quadrillage est constitué des aciers HA de
diamètre 6 mm avec un espacement de 20 cm suivant Lx et Ly.
En effet, le treillis soudé confère au dallage une bonne

résistance à la traction puisque le béton résiste parfaitement bien
en compression mais n’offre aucune résistance à la traction. Ainsi,
le treillis soudé permet d’assurer une meilleure répartition
des charges du béton pour que celui-ci ne développe pas de
zones de fragilité avec le temps.
Photo 20: Quadrillage posé sur le sol compacté

L- Prise du niveau d’eau pour le coffrage de la dalle:

La prise du niveau d’eau s’avère nécessaire puisqu’elle permet au
coffreur une bonne prise de la hauteur sous plafond afin de
garantir une dalle plane et horizontale. La hauteur sous plafond
dans notre cas est de 3m20 comme la coupe l’indique. Pour la
prise du niveau d’eau, nous avions fait appel à un géomètre
topographe. Ce dernier s’est muni d’un instrument appelé: le
niveau.
37

Rapport de stage
Photo 21: Niveau utilisé pour la prise du niveau d’eau
Photo 22: Prise du niveau d’eau

M- La dalle :
En géneral, nous avons deux types de dalle : la dalle à corps creux

et la dalle pleine. Dans notre cas, il s’agit d’une dalle à corps
creux. Celle-ci peut etre subdivisée en deux catégories :
*la dalle à coprs creux à nervure ;
*la dalle à corps creux à poutrelle.
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Rapport de stage
Le plancher à corps creux est généralement utilisé pour les raisons

suivantes:
• Facilité de réalisation ;
• Lorsque les portées de l’ouvrage ne sont pas importantes ;
• Diminution du poids de la structure et par conséquent la
résultante de la force sismique ;
• Une économie du cout de coffrage (coffrage perdu constitué par le
corps creux)
Pour notre projet nous avions fait recours à la dalle à corps creux
nervurée. Il s’agit d’une structure ossaturée. Le mode de
transmission des charges dans notre batiment est représenté
cidessous :
Plancher
Poutres
Poteaux
Fondations
Bon sol
.
ORGANIGRAMME : MODE DE TRANSMISSION DES CHARGES DANS LE BATIMENT
Pour la réalisation de la dalle, le plan de poutraison est

nécessaire et indispensable. C’est lui qui renseigne sur les
différentes sections de poutres et les sections de chainages ainsi
que leurs détails.
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Rapport de stage
Photo 23: Plan de poutraison de la villa
Nous distinguons dans notre projet des poutres PP1, PP2 et BP.
Les poutres PP1 sont de section 15*50ht (20 cm dans la dalle et
30 cm comme retombée) ; PP2 de section 15*40ht(20 cm dans la
dalle et 20 cm comme retombée) puis les bandes pleines BP de
section 40*20ht(sans retombée) . La différence entre ces poutres
est qu’elles sont de sections différentes et ne sont pas armés
de la meme manière. D’autres sont plus armé en fonction de la
charge à supporter. La section d’acier dans les poutres est :
Poutre PP1 : 9,93 cm² soit 4HA10( dans la zone comprimée)

+6HA12( dans la zone tendue).
40

Rapport de stage
Photo 24: Exemple de poutre PP1
Poutre PP2 : 8,36 cm² soit ((2HA10+2HA12) dans la zone

comprimée et 4HA12 dans la zone tendue).
Photo 25: Exemple de poutre PP2
41

Rapport de stage
Bande pleine BP : 11,31 cm² soit 10HA12
Photo 26: Bande pleine
. Les chainages contenus dans la dalle ont pour section 15*20ht.

La section d’acier dans ces chainages est de 4,52 cm² soit 4HA12.
La section d’acier des nervures est de 1,92 cm² soit
1HA10+1HA12
Photo 27:Surface de la dalle
42

Rapport de stage
N- Les étapes de la réalisation d’une dalle
1- Préparation du support de la dalle : le coffreur met en place le

dispositif de coffrage ;
2- Le maçon pose les hourdis ;
3- Le ferrailleur pose les armatures de poutres, chainages,
nervures, tréllis soudé ;
4- Le technicien en électricité procède au fourreautage de la dalle ;
5- Le technicien en plomberie fait passer également sa tuyauterie ;
6- Coulage de la dalle de compression (béton de compression)
d’épaisseur 5 cm. Le béton utilisé est dosé à 350 kg/m³ soit
pour 01 paquet de ciment, 01 brouette de sable et 02
brouettes de gravier. Dans l’eau de gachage utilisé pour la
préparation du béton, nous avions ajouté du SIKALITEX. Ce
dernier améliore la mise en œuvre, la plasticité du béton,
l’adhérence sur tous les supports, l’imperméabilisation, les
résistances mécaniques et la dureté de surface. Il réduit
également le risque de faiençage.
7- Vibration du béton
Photo 28:Sikalitex utilisé
43

Rapport de stage
Photo 29:Bétonnière utilisée pour la préparation du béton
Photo 29: Vibration des poutres
2.2.2 Autres activités menées au cours du stage
Réalisation d’un escalier sur un projet R+2 sis à Togoudo.
Un escalier est une construction architecturale constituée d’une

suite régulière de marches, permettant d’accéder à un étage, de
passer d’un niveau à un autre en montant et en descendant. Il peut
44

Rapport de stage
être réalisé en bois, en structure métallique ou en béton armé BA. Il
s’agit dans notre cas d’un escalier en BA.
Les étapes de la réalisation d’un escalier sont :
1- Le traçage
Le traçage consiste à matérialiser, par un trait, notamment les

points de départ et d’arrivée de l’escalier, les points de giron, la
ligne de foulée, les marches et la paillasse. Afin de ne pas
multiplier les erreurs de mesure, le traçage s’effectue toujours en
cotes cumulées.
2- Le coffrage
Le premier coffrage mis en place est celui de la paillasse. Il est

réalisé le plus souvent à l’aide d’une planche de contre-plaqué
suffisamment résistante pour qu’elle soutienne le coffrage pendant
le séchage du béton. Avant de continuer le coffrage il est
indispensable de mettre en place le ferraillage de la paillasse selon
les calculs de dimensionnements réalisés. Ne pas oublier les
armatures aux points d’ancrage dans les murs et les planchers. Il
vient ensuite le coffrage des contremarches. Il doit être réalisé du
bas vers le haut de l’escalier, en positionnant des planches
verticales, soutenues par des taquets, à l’extérieur du traçage
effectué. Les marches, quant à elles, sont laissées à l’air libre.
Enfin, les planches de contremarches sont renforcées en leur
milieu afin d’éviter leur déformation à la poussée du béton de
coulage.
45

Rapport de stage
Photo 30: Ferraillage de la paillasse et pose des armatures

d’ancrage au point de départ de l’escalier.
3- Coulage du béton
Une fois les armatures positionnées et le coffrage terminé, le béton

est introduit en commençant par remplir la première marche au
départ de l’escalier. Le béton doit être plastique ; trop sec, il ne
serait pas possible de le mettre en œuvre, trop liquide, il risquerait
de déborder dans les marches inférieures selon le principe des
vases communicants. Le béton doit être mis en place (et non
versé) et parfaitement serré dans le coffrage. La partie des marches
à l’air libre doit être arasée et traitée selon la finition choisie par le
maitre d’ouvrage (béton brut ou revêtement). L’escalier est dosé à
300 kg/m³ soit pour paquet de ciment, 02 brouettes de sable
et 03 brouettes de gravier.
4- Le décoffrage
Une fois le béton ferme au toucher sur le dessus des marches

(environ 48h), le coffrage peut être retiré. Les côtés de l’escalier
peuvent être lissés et les éventuels trous colmatés avec du béton. Il
46

Rapport de stage
est conseillé d’attendre au moins 07 jours avant de marcher sur
l’escalier.
CHAPITRE 3: CONCLUSION, DIFFICULTES ET SUGGESTIONS
3.1. DIFFICULTES RENCONTREES AU COURS DU STAGE :
Durant le stage, j’ai eu du mal à comprendre certains élements

exécutés sur le chantier. Cependant, avec les questions posées, et
les amples explications reçues de mes encadreurs, j’ai pu
surmonter ces difficultés.
3.2. SUGGESTIONS :
*A l’endroit de l’ESGC-VAK :
- Orienter les étudiants vers des structures d’acceuil ;
- Procéder à un suivi fréquent des stagiaires par un personnel

accrédité par l’administration ou le corps professoral ; * A l’endroit
de ATI-CONSTRUCTION :
- Exiger le port des EPI aux ouvriers ;
- Etablir un planning d’approvisionnement des matériaux sur le

chantier ou l’actualiser s’il existe, l’afficher et le respecter afin
d’éviter une rupture de stock ;
- Etre rigoureux avec les ouvriers et manœuvres dans la réalisation

des travaux ;
BIBLIOGRAPHIE :
Support de cours de Méca sol I (licence2) VAK ; support de cours TGC

VAK ;
47

Rapport de stage
CONCLUSION GENERALE :
Ce stage se révèle etre une expérience très bénéfique dans le
monde du travail. Il a été l’occasion de parfaire ma formation
académique en appliquant les connaissances que j’ai acquise à
l’ESGC-VAK. Il m’a aussi permis d’acquérir une expérience
professionnelle pertinente et susceptible de m’aider à adapter ma
formation aux exigences de l’emploi et de me familiariser avec
l’environnement professionnel.
D’autre part, l’immerson dans ce monde m’a prouvé l’importance

de devoir développer son coté relationnel. En effet, un ingénieur
doit travailler aec un architecte, un bureau d’étude, un bureau de
contrôle. Il aura aussi pour role de gérer une équipe. Savoir donc
manager, expliquer, parler, discuter et argumenter est
fondamental.
Ce travail ne serait pas passé dans les meilleurs conditions sans le

concours de tout le personnel de A.T.I CONSTRUCTION. Ils l’ont
enrichi par leurs suggestions et ont eu la patience de répondre à
mes innombrables questions.
48

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Rapport de stage

Je tiens à remercier dans un premier temps, toute l’équipe

Je présente mes vifs remerciements au Directeur de

• L’Ingénieur MENSAH Silyano W. pour sa

Un grand merci à mes parents pour leur soutien

Merci à tous ceux qui de près ou de loin ont contribué à la

BANKOLE Evans Albert-Nathan Iréti

CHAPITRE 1 : CADRE INSTITUTIONNEL DU STAGE ET

1.1. STRUCTURE DE FORMATION : École Supérieure de Génie Civil

1.1.1. Historique et formations de l’ESGC-VAK

1.1.2. Conditions d’entrée à l’ESGC-VAK

1.1.3. Les différentes formations

1.1.4. Situation géographique

1.1.5. Organisation interne de la structure de départ

1.2. PRESENTATION DE LA STRUCTURE D’ACCEUIL

1.2.1. Historique de l’entreprise

1.2.2. Missions et valeurs

1.2.3. Situation géographique

1.2.5. Domaines d’interventions

1.3. DEMARCHE METHODOLOGIQUE

CHAPITRE 2 : DEROULEMENT DU STAGE

BANKOLE Evans Albert-Nathan Iréti

2.1. PRESENTATATION DU PROJET

2.2. PRESENTATION DES ACTIVITES MENES AU COURS DU STAGE

CHAPITRE 3 : CONCLUSION, DIFFICULTES ET SUGGESTIONS

3.1. DIFFICULTES RENCONTREES AU COURS DU STAGE

Un manuel de construction ne peut être que la

BANKOLE Evans Albert-Nathan Iréti

CHAPITRE 1 : CADRE INSTITUTIONNEL DU STAGE ET

1.1. STRUCTURE DE FORMATION : École Supérieure de Génie

1.1.1. Historique et formations de l’ESGC-VAK

BANKOLE Evans Albert-Nathan Iréti

L’efficacité du système d’encadrement mis en place et les

La formation de qualité dispensée est d’une part

1.1.2. Conditions d’entrée à l’ESGC-VAK :

 Au supérieur : la formation est ouverte aux titulaires d’un BAC

BANKOLE Evans Albert-Nathan Iréti

 Au secondaire : pour les classes de 1ère et de Terminales,

 Pour les classes de 2ndes il faut être titulaire d’un CAP/STI ou

1.1.3. Les différentes formations

 DTI BTP/ BAC F4

 Licence professionnelle en Génie civil

 Licence professionnelle en Génie Topographe

 Master professionnel en Génie Civil

1.1.4. Situation géographique :

BANKOLE Evans Albert-Nathan Iréti

Figure 1 : Plan de situation de l’ESGC-VAK

1.1.5. Organisation interne de la structure de départ :

Figure 2 : Organigramme de l’ESGC-VAK

BANKOLE Evans Albert-Nathan Iréti

1.2. PRESENTATION DE LA STRUCTURE D’ACCEUIL

DOSSOU Cédric technicien ingénieur, crée puis établie le

renommée, que ce soit à Cotonou ou dans d’autres pays de l’espace

1.2.2. Missions et valeurs :

BANKOLE Evans Albert-Nathan Iréti

Directeur Général (DG)

Comptable Directeur des Secrétariat

Magasinier Chef d’Equipe Gardien

1.2.3. Situation géographique :

1.2.5. Domaines d’interventions :