ROSAIRE de ND
ROSAIRE de ND
ROSAIRE de ND
Ou
VIENS ESPRIT VIENS, PAR LA PUISSANTE INTERCESSION DU CŒUR DE MARIE TON ÉPOUSE BIEN-
AIMÉE (3 fois)
MISERICORDE DIVINE
Gros grains : « Père Éternel, je T'offre le Corps et le Sang, l'Âme et la Divinité de Ton
Fils bien-aimé, Notre Seigneur Jésus-Christ, en réparation de nos péchés et de ceux du
monde entier. »
Petits grains : « Par ta douloureuse passion, sois miséricordieux pour nous et pour le
monde entier. »
Un appel, comme celui qu’a reçu Marie à l’annonciation, est une nouvelle conversion, une nouvelle
direction. Par son oui, Marie a converti son chemin à la volonté de Dieu. Mais avait-elle besoin de
cette conversion ou bien la volonté de Dieu était-elle chez elle innée ?
Se convertir, c’est se remettre sans cesse sur la route du Royaume, c’est chercher sans cesse à aimer.
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
La charité consiste à aimer Dieu par-dessus tout pour lui-même et à aimer tous les humains comme
soit même pour l’amour de Dieu. L’amour du prochain ne diffère pas de l’amour de Dieu. Ces deux
amours sont les ruisseaux d’une même source ; l’un monte au ciel pour jaillir jusqu’à Dieu ; l’autre
coule à terre pour le bien du prochain, qui est quelque chose de Dieu et comme son image.
La charité nous presse et il est urgent de nous convertir au service.
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
La naissance de Jésus
Dans une humble étable, pauvre abandonnée, pour l’homme coupable, un sauveur est né.
À votre Présentation au Temple, on a offert le don des pauvres. Vous avez vécu trente ans pauvre
ouvrier, dans ce Nazareth que j'ai le bonheur de fouler, où j'ai la joie...de ramasser du fumier. Puis
pendant Votre vie publique, Vous avez vécu d'aumônes au milieu de pauvres pêcheurs que Vous
aviez pris comme compagnons. « Sans une pierre pour poser votre tête ». Sur le Calvaire, Vous avez
été dépouillé de Vos vêtements, Votre seule possession, et les soldats les ont joués entre eux. Vous
êtes mort nu, et Vous avez été enseveli par aumône, par des étrangers. « Bienheureux les pauvres ! »
(Mt 5,3). Mon Seigneur Jésus, comme il sera vite pauvre celui qui, Vous aimant de tout son cœur, ne
pourra souffrir d'être plus riche que son Bien-aimé ! Ainsi soit-il. »
Soyons pauvres des biens matériels avec Jésus… Ayons comme lui cette pauvreté qui consiste à vivre
comme les pauvres, à n’avoir comme logement, nourriture, vêtements, biens matériels de toute
sorte enfin, que le nécessaire tel que l’ont les pauvres.
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
Dans la présentation, vous vous offrez tout entier à votre Père, sans restriction, corps et âme,
répétant les paroles du psaume que vous disiez dès votre incarnation, dès votre naissance : Voici je
viens… pour faire votre volonté (Charles de Foucauld). Dieu nous éclaire directement quand ses
représentants humains nous font défaut. Il est tout-puissant : il veut et il peut toujours éclairer l’âme
de bonne volonté.
Apprends-nous, Seigneur, à reconnaître ta volonté dans notre existence de chaque jour.
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
Cherchez, tendre mère, Votre Fils perdu. Dans le sanctuaire, il vous est rendu.
Chaque fois que nos actes ne tendent pas à la gloire de Dieu, au salut de notre âme, ou au salut des
âmes des autres, nous ne sommes pas occupés à l'affaire de notre Père : nous nous volons à lui, nous
lui volons notre temps et les moyens qu'il nous a donnés : « Il vous sera demandé compte même
d'une parole oiseuse que vous aurez dite » (Charles de Foucauld). Demandons la grâce d'être à
chaque instant là où Dieu nous veut ; Dieu nous parle encore aujourd’hui à travers la Bible…
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
De l’eau il se lève, Jean l’a baptisé. Jésus nous relève nous sommes purifiés.
Quand Jésus descend dans les eaux du Jourdain ce n’est pas parce que lui-même aurait besoin de
conversion. Il est Dieu ! Mais il descend dans les eaux parce qu’il a totalement assumé l’humanité en
devenant homme. C’est en quelque sorte chaque homme de tous les temps qui est plongé dans le
bain régénérateur du salut et sanctifié dans l’amour trinitaire quand la voix céleste dit : « En toi j’ai
mis tout mon amour ».
Chacun de nous bénéficie de cette grâce du salut, gratuitement, sans autre condition que la
reconnaissance de la foi. Puisse le Saint-Esprit nous renouveler dans la foi de notre baptême.
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
Hautement symbolique ce premier signe que nous rapporte l’évangéliste Jean. L’image du banquet
est prégnante dans toutes les représentations du royaume que Jésus annonce. Nous ne sommes pas
faits pour vivre dans un jardin d’Éden restauré mais pour être les convives de Dieu à la table de sa
fête éternelle, là où coulent toute joie et consolation, là où Marie nous précède.
Que le Seigneur nous donne de savoir lire les signes de sa présence dans les réalités de nos
communautés de la terre et qu’il fasse grandir en nous le désir de la fête des noces éternelles.
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
La Transfiguration
Sur la montagne du Thabor, Jésus révèle à ses intimes qui il est l’épiphanie de la gloire de Dieu. En le
contemplant transfiguré nous pouvons découvrir sur son visage l’avenir de l’homme : nous sommes
nous aussi appelés à cette gloire de Dieu qui nous révèlera à nous-mêmes comme ses enfants bien-
aimés.
Demandons la grâce de savoir contempler Jésus comme les saints apôtres l’ont découvert :
éblouissant de la tendresse salvifique de Dieu.
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
L’institution de l’Eucharistie
En instituant l’Eucharistie, Jésus se livre pour que chacun de nous devienne ce qu’il est : du « Tout
Amour ». Ainsi de communion en communion, Dieu forme en nous l’amour dont nous l’aimerons
éternellement et dont nous aimerons nos frères, hic et nunc.
Que l’Esprit Saint nous donne dans la foi d’aimer la sainte eucharistie, cette nourriture où Dieu se
donne et où nous trouvons la force de nous donner, à son exemple, pour le salut de nos frères.
Jésus agonise, et son divin cœur devant Dieu se bris, pour l’homme pécheur.
Oh ! Que vous êtes bon, mon Dieu, de me dire à moi qui rame sans faire un pas en avant, à moi qui
me sens ballotté par la mer et si impuissant à avancer de me dire : « Ne craignez pas ! » Oh ! Que
vous êtes bon, non seulement de me dire cette parole, mais de me laisser entrevoir cet espoir que
peut-être un jour viendra où vous monterez vous-même dans ma pauvre barque et où elle se
trouvera tout à coup au rivage où elle tend sans pouvoir avancer vers lui.
Vivons dans la joie du don de nos vies et dans la confiance en l’amour de Dieu.
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
La Flagellation de Jésus
Vous m’avez fait, vous m’avez comblé de biens, vous vous êtes fait connaître à moi, peu à peu je vous
ai délaissé et j’ai fini par ne plus vous connaître, par ne plus même croire en vous. Pardon !
Vous m’avez converti, vous m’avez cherché comme le bon pasteur cherche la brebis perdue, vous
m’avez ramené avec force et avec extrême douceur, vous m’avez comblé de grâces plus grandes
encore que les premières. Et pourtant, je pèche encore ; quand je pèche ; mon âme ne vous connaît
plus, ne vous aime plus. Pardon, pardon.
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
Le Couronnement d’épines
Les moqueries, les insultes s’ajoutent à la souffrance causée par une couronne de douleur, la
couronne du martyre. Jésus qui nous aime accepte l’affront
Prions en tout temps. Prions en contemplant sans cesse notre Seigneur, comme Marie et Joseph le
contemplaient, comme notre Seigneur contemplait sans cesse son père, comme sainte Madeleine,
saint Jean contemplait sans cesse leur Bien-aimé, comme la sainte vierge après l’Ascension continuait
à contempler sans cesse son fils… C’est la prière continuelle, celle qui consiste à ne jamais quitter des
yeux le bien-aimé.
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
Le portement de la croix
Le Sauveur succombe, sous l’horrible poids. Par trois fois il tombe, en portant sa croix.
Quand saint Paul est tombé de son cheval, il a dû ressentir toute la détresse et le poids de ses fautes,
comme Jésus portant la croix et tombant sous ce fardeau. Après cette chute, saint Paul était un autre
homme : la conversion était enclenchée, devenue radicale après trois jours d’intériorisation, et
nécessitant par la suite un temps de formation…
Pour rendre nos prières plus pures et plus dignes d’être exaucées, sanctifions-nous par l’épreuve et
le sacrifice…là est la plus grande force…
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
Le seigneur nous donne, sa Mère en mourant. Son amour pardonne, au cœur repentant.
La mort semble être une voie sans issue : la croix, le tunnel, l’obscurité, les ténèbres…
« Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu… »
« Dieu aime et il peut tout » ; il respecte la liberté qu’il a donnée à l’homme, mais il ne s’interdit pas
les dons gratuits de sa grâce, et celle-ci peut-être telle qu’elle renverse tous les obstacles et fasse
succéder à la tempête un grand calme.
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
La Résurrection de Jésus
Le bon Dieu dans sa condescendance pour notre faiblesse a envoyé à plusieurs reprises sa Mère sur
notre terre de France pour nous donner des avertissements et aussi pour nous soutenir. C’est ainsi
qu’Elle est apparue ici à Pontmain. Même si la foi ne suffit pour croire, le merveilleux des apparitions
nous console et nous fortifie. En apparaissant en ce lieu, la Sainte Vierge a montré que la foi des
habitants du village n’était pas vaine, que Dieu existe bel et bien, que Jésus est bien le Dieu fait
homme pour notre Salut et qu’Elle-même est vraiment notre Mère, une Mère attentive à nos
besoins, une Mère aimante, une Mère encourageante qui nous porte au bien, à la vertu et qui nous
invite à la prière.
Demandons à Notre-Dame de Pontmain de nous communiquer une foi si profonde que nous
puissions vivre dès ici-bas de la Vie de Dieu que nous avons reçue au Baptême, demandons-Lui la
Grâce de trouver notre bonheur dans un cœur à cœur intime avec Dieu, et d’écarter avec courage
tout ce qui s’oppose à cette vie divine dans notre âme.
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
De ses dons multiples, les enrichissant, sur tous les disciples, l’Esprit Saint est descend.
Une fois Notre-Seigneur remonté au Ciel, les Apôtres se sont réunis au Cénacle en compagnie de
Notre-Dame pour implorer la venue en eux de l’Esprit-Saint, et Notre-Seigneur, fidèle à Ses
promesses, le leur a envoyé dix jours plus tard, le Jour de la Pentecôte.
L’Eglise est la structure visible qui prolonge l’action de Notre-Seigneur. Elle est, selon l’expression de
Bossuet, « Jésus-Christ répandu et communiqué ». C’est par Elle que nous recevons toutes les
Grâces.
La Sainte Vierge le sait, et voilà pourquoi, ici-même à Pontmain, Elle a suscité dans l’âme de trois des
voyants la Grâce du Sacerdoce :
Joseph Barbedette (10 ans), Oblat de Marie Immaculée
Eugène Barbedette (12 ans), Prêtre diocésain
Auguste Avice (4 ans) qui deviendra Jésuite.
Et Jeanne-Marie Lebossé (9 ans), une des trois orphelines de l’école tenue par les religieuses,
deviendra quant à elle Religieuse de la Sainte-Famille.
Prions aussi l’Esprit-Saint pour qu’Il suscite dans chacune de nos familles au moins une Vocation
Sacerdotale ou Religieuse pour que la Grâce de Dieu puisse continuer à se répandre abondamment à
travers le monde.
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
Les saintes phalanges, d’un essor joyeux, O Reine des Anges, vous portent aux Cieux.
Après avoir secouru quinze ou vingt ans l’Eglise naissante, la Très Sainte Vierge rend son dernier
soupir dans un élan d’amour puis monte au Ciel avec son corps devenu Glorieux.
Le Seigneur Couronne, la Mère d’amour, autour de son trône, Veillons nuit et jour.
Notre Père, je vous Salue Marie, Gloire au Père, Ô Marie conçue sans péché…, Ô mon Bon et doux
Jésus…, Que par la Miséricorde de Dieu les âmes des fidèles trépassés reposent en paix.
Prions
Notre-Dame de Pontmain
Saint Joseph en cette année qui vous est consacrée nous vous adressons notre prière : « Souvenez-
vous, ô très chaste Époux de la Vierge Marie, ô mon aimable protecteur, Saint Joseph, qu’on n’a jamais
entendu dire que quelqu’un ait invoqué votre protection et demandé votre secours sans avoir été
consolé.
Animé d’une pareille confiance nous venons à vous et nous nous recommandons à vous, de toute la
ferveur de notre âme. Ne rejetez pas notre prière, ô vous qui êtes appelé le père du Rédempteur, mais
daignez l’accueillir avec bonté. Ainsi soit-il. » (Saint Pie IX)
Tous nos Saints Anges Gardiens, Veillez sur nous et Continuez notre Prière. Amen !