Ex - Blanc (2) 2SM-23-24-3

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2024 ‫االمتحان التجريبي الموحد للبكالوريايالدورة العادية‬


27/05/2024

7 :‫المعاملي ي‬ ‫ز‬
‫الفيياءيويالكيمياء‬ :‫المادةي ي‬

‫يس‬4 :‫مدةياالنجازي ي‬ )‫شعبةيالعلوميالرياضيةي(أ)يوي(ب)ي(خياريفرنسية‬ :‫الشعبةيأويالمسلكي ي‬

 L'usage de la calculatrice scientifique non programmable est autorisé.


 La formule littérale doit être donnée avant l'application numérique et le résultat
accompagné de son unité.
 Les exercices peuvent être traités séparément selon le choix du candidat.

Le sujet comporte 4 exercices : un exercice de chimie et trois exercices de physique.

Chimie : (7 points)

Partie 1 : Solution aqueuse d’ammoniac


Partie 2 : Etude d’une pile saline

Exercice 1 : (3 points)

Partie 1 : Les ondes sonores


Partie 2 : Physique nucléaire

Exercice 2 : (5 points)

Partie 1 : Charge et décharge d’un condensateur dans un dipôle RL


Partie 2 : Les oscillations forcées

Exercice 3 : (5 points)

Partie 1 : Etude du mouvement d'un système mécanique oscillant.


Partie 2 : Etude de la chute de deux boules dans l’air
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Chimie (7 points)
Les parties 1 et 2 sont indépendantes
Partie 1 : solution aqueuse d’ammoniac
On prépare une solution basique SB d'ammoniac de concentration CB = 102 mol.L1 et de 1

volume V = 0,4 L par dissolution du gaz NH3 dans l'eau.


On donne : pK A (NH4+ /NH3 ) = 9,2 ; pK e = 14 à 25°C. 2
1. Ecrire l'équation de réaction de NH3 avec l'eau et dresser le tableau d'avancement. (0,5)
2. Montrer que la concentration effective [HO− ] des ions hydroxyde dans la solution SB
vérifie l’équation suivante : (10pKe−PKA ) . [HO− ]2 + [HO− ] − CB = 0. (0,5)
3. Déduire que le pH de la solution SB est pH = 10,59. (0,5)
4. On dose le volume VB = 50ml de la solution SB d'ammoniac NH3 avec une solution
2 1
d'acide chlorhydrique (H3 O+ −
(aq) + Cl(aq) ) de concentration molaire CA = 2.10 mol.L ,
3

pour cela on adopte le montage de la figure ci-contre. 4


4.1. Donner les noms des constituants 1, 2, 3, et 4 du montage. (0,5)
4.2. Ecrire l'équation de la réaction support de dosage. (0,25)
4.3. Calculer le volume VAE ajouté à l'équivalence. (0,25)
4.4. Montrer que le taux d’avancement de la réaction de dosage pour un volume ajouté
VAE
VA avant l’équivalence s’écrit : τ = V PH−PKA ) .
A (1+10

Calculer sa valeur sachant que pH = 9,2 pour VA = 12,5mL. (0,75)


4.5. La solution obtenue à l’équivalence est une solution de chlorure d’ammonium (NH4+ + Cl ) de
concentration molaire C’.
a. Calculer C’. (0,5)
b. Montrer que pH de cette solution est : pHE = 5,69. (0,5)
Partie 2 : Etude d’une pile saline
Données
* Le Faraday ∶ F = 96500 C.mol −1 .
* Masse molaire : M(Zn) = 65 g.mol1
* Les couples intervenant sont : Zn2+ /Zn ; MnO2 /MnO2 H.
Pour modéliser la pile, on a réalisé le montage illustré par la figure ci-dessous.
Le premier compartiment est formé par une lame de Zinc immergée dans une solution de sulfate de Zinc :
Zn2+ 2−
(aq) + SO4(aq) de concentration C = 10
−1
mol. 𝐿−1
Le deuxième compartiment est formé d'une tige de carbone sur laquelle est déposé le dioxyde de manganèse
MnO2 sous forme solide, la tige est immergée dans une solution acide de pH0 = 2,0 et de volume V = 200ml.

On ferme l'interrupteur K à une date t = 0 s .


On suppose que l'intensité du courant est constante I = 5 mA.
L'équation modélisant l'évolution de système est :
Page : 3/8

Zn(s) + 2MnO2(s) + 2H3 O+


(aq)] ⥨ Zn2+
(aq) + 2MnO2 H(s) + 2H2 O(l)
La constante associée à cette équation est K = 1050 .
1. En se basant sur le critère d'évolution spontanée, préciser le sens d’évolution du système chimique. (0,5)
2. Ecrire les demi-équations au voisinage de l'anode et la cathode. (0,5)
3. A un instant t1 le pH de la solution dans le deuxième compartiment devient pH = 3,0. Calculer l’avancement de
la réaction à cet instant. (0,5)
4. Calculer l’instant t1. (0,25)
5. Calculer Δm la variation de la masse de la lame de Zinc entre t = 0 et t = t1 . (0,5)
6. Exprimer la vitesse volumique v de la réaction en fonction de I, F et V. Calculer sa valeur. (0,5)

Physique (13 points)


Exercice 1 : (3 points)
Les deux parties sont indépendantes
Partie 1 : Physique nucléaire
Les médias ayant couvert la catastrophe nucléaire japonaise de fukushima le 11 mars 2011, ont déclaré que les
taux de contamination radioactive des aliments a parfois dépassé de 10 fois les taux autorisés. Par exemple
l’activité de l’iode 131 dans les épinards a varié entre 6100 Bq et 15020 Bq par kilogramme.
Au japon, les épinards sont considérés non contaminés, lorsque leur activité ne dépasse pas 2000 Bq par
kilogramme, comme niveau maximal admissible de contamination radioactive.
D’après le site : www.ciirad.org
Le but de cet exercice est l’étude de la décroissance radioactive d’un échantillon d’épinard contaminé par l’iode
131 radioactif.
Données :
 La demi-vie de l’iode 131 : t1/2 = 8 jours ;
 1 u = 931,5 MeV.c2 ;
 m( 131
54Xe) = 130,8755 u ;
 m( 53I) = 130,8770 u ;
131

 m(𝑒 − ) = 0,00055 u .
1. Etude du nucléide iode 𝟏𝟑𝟏𝟓𝟑𝑰 :

1.1. La désintégration d’un noyau d’iode 131


53I, donne naissance à un noyau 54Xe
131

Ecrire l’équation modélisant cette désintégration, et préciser son type. (0,5)


1.2. Calculer en MeV, l’énergie libérée par la désintégration d’un noyau d’iode 131. (0,5)
2- Etude d’un échantillon d’épinard contaminé par de l’iode 131 :
La mesure de l’activité d’un échantillon d’épinard, pris d’une prairie proche du lieu de l’accident nucléaire, a
donné la valeur 8000 Bq par kilogramme, à un instant considéré comme origine des temps.
2.1. Calculer le nombre N0 de noyaux d’iode 131 radioactifs se trouvant dans l’échantillon d’épinard étudié à
l’origine des temps. (0,25)
2.2. Déterminer, en jours, la plus petite durée nécessaires pour la décontamination des épinards par l’iode 131. (0,5)
Partie 2 : Les ondes sonores
Le montage représenté sur la figure (1) est constitué de :
 Un émetteur d'ondes sonores.
 Deux récepteurs 𝑅1 et 𝑅2 situés sur la même droite de part et d'autre de l'émetteur.
La distance qui sépare R1 et R2 est d = 2 m. R1 est plus proche de l’émetteur que R2.
A un instant 𝑡0 l'émetteur (E) commence à émettre une onde sonore sinusoïdale de fréquence N, les deux
récepteurs reliés à un oscilloscope bi-courbe à mémoire enregistrent l'oscillogramme de la figure 2 on donne la
sensibilité horizontale SH = 0,5 ms/div.
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1. Donner le nombre d’affirmations justes : (0,25)


a- Les ondes sonores sont des ondes électromagnétiques.
b- L'air est un milieu dispersif pour les ondes sonores.
c- Les ondes sonores audibles ont une fréquence située entre 20 Hz et 20 KHz.
d- Les ondes sonores peuvent être diffractées par une fente.

1 div

R1 E R2

d1
d

On donne la vitesse du son dans l'air. V = 340 m.s-1.


2- déterminer la valeur de N. (0,25)
3- déduire la longueur d’onde  de l'onde sonore. (0,25)
4- Calculer la distance d1, entre (E) et (R1). (0,5)
Exercice 2 : (5 points)
Les deux parties sont indépendantes
Cet exercice vise à :
- Déterminer l’inductance L et la résistance r d’une bobine.
- Etudier les oscillations libres dans un circuit RLC en série.
- Etudier les oscillations forcées dans un circuit RLC en série.
Partie 1 :
1. Détermination de l’inductance L et de la résistance r de la bobine.
Pour étudier le comportement de quelques dipôles, on réalise le
montage représenté sur le schéma de la figure 1.
Ce montage comprend :
 Un générateur idéal de tension de force électromotrice E = 10 V ;
 Une bobine d’inductance L et de résistance interne r
 Deux conducteurs ohmiques de résistances R1 et R ;
 Un condensateur de capacité C, initialement non chargé
 Des interrupteurs K1, K2 et K3.
On donne : R1 = R = 50 𝛺

Pour déterminer l’inductance L et la résistance r, on ferme les


interrupteurs K1 et K3 (K2 ouvert) à l’instant t = 0.
1. Etablir l’équation différentielle vérifiée par l’intensité de courant i au cours de l’établissement du courant dans
le circuit. (0,5)
2. Exprimer l’intensité Ip du courant en régime permanant en
fonction de r, R et E. (0,25)
3. La solution de cette équation différentielle s’écrit sous la
t

forme : i(t) = Ip (1 − e τ ).
Déterminer l’expression de la constante de temps 𝜏 en fonction
de r, R et L. (0,25)
𝑑𝑖
4. La courbe de la figure 2 représente la fonction 𝑑𝑡 = 𝑓(𝑖), avec
i l’intensité de courant dans le circuit au cours de l’établissement
du courant.
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En se basant sur le graphe déterminer les valeur de r et L. (0,5)


5. Calculer Emp l’énergie magnétique emmagasinée dans la bobine en régime permanent. (0,25)
6. A l’instant 𝑡 = 𝑡1/2 , l’énergie magnétique emmagasinée dans la bobine est la moitié de sa valeur maximale.
√2
Montrer que : 𝑡1/2 = 𝜏 . ln( ). (0,5)
√2−1

2. Oscillations libres dans un circuit série RLC


On ferme tout d’abord les interrupteurs K1 et K2 (K3 ouvert).
Après avoir chargé complètement le condensateur, on ouvre K1 et on ferme K3 (K2 toujours fermé) à un instant
choisi comme nouvelle origine des temps t = 0.
La courbe de la figure 3 représente les variations de la tension uR(t) aux bornes du conducteur ohmique de
résistance R en fonction du temps.
Figure 3

1. Montrer que la tension uR vérifie l’équation différentielle suivante en exprimant les deux constantes λ et T0 en
d2 u R duR 4π2
fonction des paramètres du circuit : + 2. λ. + . uR = 0. (0,5)
dt2 dt T20
2. Déterminer la valeur de C sachant que 𝑇 ≈ 𝑇0 . (0,25)
3. Soit 𝐸𝑇 (𝑡) l’énergie totale emmagasinée dans le circuit à la date t. On considère deux instants t 1 et t2 comme
l’indique le graphe de la figure 3.
u2R C.L2 duR 2
Monter que : ET (t1 ) = 2
[C. (R + r)2 + L] et ET (t 2 ) = .
2 ( ) (0,5)
2R 2R dt 𝑡2
4. Calculer Ej l’énergie dissipée par effet joule dans le circuit entre t1 et t2 sachant que la droite (∆) est la
tangentielle à la courbe 𝑢𝑅 (𝑡) à l’instant t2. (0,5)
Partie 2 : Les oscillations forcées :
On monte en série entre deux points A et B, une bobine (b) (𝐿 = 0,5𝐻, 𝑟 = 10 𝛺), un conducteur ohmique (D)
(𝑅 = 90 𝛺) et un condensateur de capacité C.
On applique entre A et B à l’aide d’un générateur de basses fréquences GBF une tension alternative sinusoïdale
𝑢𝐴𝐵 (𝑡) = 𝑈. √2. cos(2. 𝜋. 𝑁. 𝑡 + 𝜑) de tension efficace constante U=3V et de fréquence réglable ; il passe dans le
circuit un courant d’intensité 𝑖(𝑡) = 𝐼. √2. cos(2. 𝜋. 𝑁. 𝑡) (Voir figure 4).
Figure 5
La figure 5 représente les variations de l’impédance Z du Circuit en
fonction de la fréquence N.

Figure 4
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1. En se basant sur la figure 5, déterminer à la résonance la valeur de l’impédance Z0 et la fréquence N0 et déduire


que C = 67 nF. (0,25)
2. Lorsque la fréquence N est réglée successivement sur les valeurs N1 et N2 avec 𝑁1 < 𝑁2 , l’intensité efficace
𝐼0
prend la valeur 𝐼 = avec 𝐼0 l’intensité efficace à la résonance.
√2
a. Monter que pour les deux fréquences N1 et N2 : 𝑍 = 𝑍0 . √2. (0,25)
b. Déterminer la largeur de la bande passante ∆𝑁 et calculer le coefficient de qualité Q. (0,5)
Exercice 3 : (5 points)
Les deux parties sont indépendantes
Partie 1 : Etude du mouvement d'un système mécanique oscillant non amorti.
Un oscillateur mécanique est constitué de :
• Un corps solide S (un cavalier) de masse m = 200 g.
• Un ressort à spires non jointives de masse négligeable et de raideur K = 20 N.m-1.
• Une poulie P de rayon r = 10 cm susceptible de tourner autour d’un axe Δ horizontal passant par son centre
et de moment d’inertie JΔ par rapport à Δ.
L'une des extrémités du ressort est fixée à un support fixe et l'autre extrémité est liée à un fil inextensible enroulé
sur la gorge de la poulie, l’autre extrémité du fil est liée au corps solide S qui repose sur un banc a coussin d’air
incliné d’un angle α = 30⁰ (figure1).
On se propose d'étudier le mouvement du centre d'inertie G du solide S dans un repère R(O, 𝑖⃗) lié à un référentiel
terrestre supposé galiléen. On repère la position de G à un instant t par l’abscisse x sur l'axe (O, 𝑖⃗ ).
A l'équilibre G est confondu avec l'origine O du repère R(O, 𝑖⃗).
On prendra π2 = 10 et g = 10 (SI).

()

 
G O

x

Figure 1

On écarte le solide S de sa position d'équilibre vers le bas d’une distance Xm = 5cm et on le lâche à l'instant de
date t = 0, sans vitesse initiale. Tous les frottements sont négligeables.
1. Déterminer, à l'équilibre, l'allongement Δℓ0 du ressort en fonction de m, K, , et de l'intensité de la
pesanteur g. Calculer sa valeur. (0,5)
2. En appliquant la 2éme loi de Newton sur le corps S et la relation fondamentale de la dynamique sur la poulie P
𝐾
montrer que l’équation différentielle vérifiée par l’abscisse x s’écrit : 𝑥̈ + 𝐽 . 𝑥 = 0. (0,75)
𝑚 + ∆2
𝑟
2𝜋
3. La solution de cette équation différentielle s'écrit : 𝑥 = 𝑋𝑚 𝑐𝑜𝑠 ( 𝑇 𝑡 + 𝜑), avec T0 la période propre de
0

l'oscillateur. Déterminer la valeur de . (0,25)


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4. Sur un papier collé sur un cylindre en rotation uniforme on enregistre les positions de G pendant des durées
successives et égales  = 60 ms, ce qui a permis d’obtenir l’enregistrement de la figure 2.

Figure 2

a. En exploitant cet enregistrement, montrer que la période propre de l’oscillateur est T0 = 1,2s. (0,25)
b. Déduire la valeur de JΔ. (0,5)
c. Déterminer l’expression de l’énergie cinétique maximale du système et calculer sa valeur. (0,5)
d. Calculer le travail de la tension du ressort entre les instants t0 = 0 et t1 = 0,3 s. (0,5)
Partie 2 : Etude de la chute de deux boules dans l’air
Pour vérifier certains résultats avancés par Galilée, on se propose d'étudier dans cette partie la chute dans l'air de
deux boules ayant le même rayon et des masses volumiques différentes.
L'étude du mouvement de chaque boule s'effectue dans un repère R(O, ⃗⃗ k) associé à un référentiel terrestre supposé
galiléen. On repère, à chaque instant, la position du centre d'inertie de chacune des deux boules par la côte Z sur
⃗⃗) orienté vers le haut et dont l'origine est prise au niveau du sol (figure 1).
l'axe vertical (O, k
Chaque boule est soumise, durant sa chute, à son poids ⃗P⃗ et à la force de frottement fluide ⃗f (On néglige la
poussée d'Archimède devant ces deux forces). On admet que l'intensité de la force ⃗f s'écrit :
f = 0,22 ⋅ ρair ⋅ π ⋅ R2 ⋅ vz2
où ρair est la masse volumique de l'air, R le rayon de la boule et vz la valeur algébrique
de la vitesse du centre d'inertie G de la boule à un instant t.
Données :
4
 Le volume d'une boule de rayon R est V = 3 ⋅ π ⋅ R3 ,
 L'intensité de la pesanteur g = 9,8 m ⋅ s −2 ,
 La masse volumique de l'air ρair = 1,3 kg ⋅ m−3 .
Cette étude est effectuée avec deux boules (a) et (b) homogènes ayant le même rayon
R = 6 cm et des masses volumiques respectives ρ1 = 1,14 ⋅ 104 kg ⋅ m−3 et
ρ2 = 94 kg ⋅ m−3 .
Les deux boules sont lâchées au même instant t = 0, sans vitesse initiale, du même plan
horizontal auquel appartient le point H situé à une hauteur h = 69 m du sol (figure1).
1. Montrer que l'équation différentielle vérifiée par la vitesse vz du centre d'inertie d'une boule s'écrit :
dvz ρair
= −g + 0,165 ⋅ ⋅ vz2 , où ρi désigne la masse volumique de la boule (a) ou (b). (0,5)
dt R⋅ρi
2. Déduire l'expression de la vitesse limite du mouvement d'une boule. (0,25)
3. Les courbes obtenues sur les figures 2 et 3 représentent l'évolution de la côte z(t) et de la vitesse vz (t) du
centre d'inertie G de chacune des deux boules, au cours de la chute.
Page : 8/8

3.1. Montrer, à l'aide de l'expression de la vitesse limite, que la courbe (C1) correspond aux variations de la
vitesse de la boule (b). (0,25)
3.2. Expliquer pourquoi la courbe (C’2) correspond aux variations de la côte de la boule (a). (0,25)
4. Déterminer la différence d'altitude d entre les centres d'inertie des deux boules à l'instant où la première boule
touche le sol (On néglige les dimensions des deux boules). (0,5)

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