Leon4LescivilisationspalolitiquesEnregistrautomatiquement
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Le mot paléolithique a été forgé par John LUBBOCK en 1865. Il provient du grec « paleos »
(ancien) et « lithos » (pierre). Il désigne ainsi l’âge de la pierre et caractérise la période la
plus ancienne et la plus longue de la préhistoire. Cette période se caractérise d’une part par
une évolution physique qui a mené des primates à l’homo sapiens et d’autre part par un
processus au cours duquel l’homme a élaboré une civilisation de plus en plus perfectionnée
basée sur le travail de la pierre.
b) Le feu
L’utilisation du feu est attribuée à l’homo erectus. L’homme allume soit par friction
(frottement) soit par percussion (choc). Le feu était destiné à l’éclairage, à la cuisson des
aliments, au réchauffement, à éloigner les bêtes féroces et à affoler le gibier pendant la
chasse. Cependant, il y a une polémique concernant l’origine de l’usage du feu. Certains la
trouvent en Asie et en Europe, tandis d’autres la situent en Afrique où les preuves seraient
plus tardives.
L’habitat : Dans les régions froides, les hommes vivaient dans des grottes et dans des
abris sous roches. Les tentes de huttes ou de peaux ont également existé pour la
protection contre le vent, la pluie et le grand froid.
L’art : L’art fit son apparition au paléolithique supérieur. L’art du paléolithique est
orienté vers la sculpture, le modelage de l’argile, les statuettes, les gravures et la
peinture rupestre. Les femmes et les animaux sont particulièrement représentés.
La religion : Les premières pratiques funéraires datent du paléolithique moyen. Ces
pratiques semblent indiquer une croyance en l’au-delà. C’est une hypothèse et non une
certitude. Au paléolithique supérieur, les morts sont souvent enterrés avec de beaux objets
de silex et d’os, une riche parure de coquillages percés. Parfois, de grosses pierres étaient
posées sur les mains et les pieds pour « empêcher le mort de troubler les vivants ».
CONCLUSION
Au terme de cette étude sur le paléolithique, on peut dire avec certitude que le génie inventif
de l’homme s’est beaucoup amélioré, ce qui, véritablement, le distingue des animaux. Autant
le paléolithique est fertile en inventions, autant le néolithique confirmera la grande créativité
de nos lointains ancêtres.