Chap02 Cor
Chap02 Cor
Chap02 Cor
4. 4x2 − 2x + 3 ≥ 2x2 − 4x + 10
Soit x ∈ R.
√ √
−2 + 60 −1 + 15
C’est un polynôme de degré 2 dont les racines donc x1 = = et x1 =
√ √ 4 2
−2 − 60 −1 − 15
= .
4 2
On sait que ce polynôme est du signe de a = 2 à l’extérieur des racines donc
# √ # " √ "
−1 − 15 −1 + 15
4x2 − 2x + 3 ≥ 2x2 − 4x + 10 ⇔ x ∈ −∞; ∪ ; +∞
2 2
1
5. sin(x) > −
2
Soit x ∈ R.
1 −π 7π
sin(x) > − ⇔ x ∈ ; + 2πZ
2 6 6
√
3
6. cos(x) >
2
√
3 −π π
cos(x) > ⇔x∈ ; + 2πZ
2 6 6
1. |x| = 2 ⇔ x = 2 ou x = −2.
2. |x + 2| = 5 ⇔ x + 2 = 5 ou x + 2 = −5 ⇔ x = 3 ou x = −7.
On suppose x ≥ −1.
|3 − x| = x + 1 ⇔ 3 − x = x + 1 ou x − 3 = x + 1
⇔ x = 1 ou − 3 = 1
⇔ x=1
∀n ∈ N, (1 + a)n ≥ 1 + na
2ab √ a+b
≤ ab ≤
a+b 2
√ √ √ a+b √
• ( a − b)2 ≥ 0 ⇔ a − 2 ab + b ≥ 0 ⇔ ≥ ab.
2
√
1 1 2
1 2 1 b+a 2 ab ab 2ab √
• √ −√ ≥0⇔ −√ + ≥0⇔ ≥ √ >0⇔ ≤ ⇔ ≤ ab
a b a ab b ab ab a+b 2 a+b
1. i3 = i × i2 = −i.
2. (−i)4 = i4 = (i2 )2 = (−1)2 = 1.
3. (1 + i)2 = 1 + 2i + (i)2 = 1 + 2i − 1 = 2i.
4. (4 − 5i)(3 + 4i) = 12 + 16i − 15i − 20i2 = 12 + i + 20 = 32 + i.
4 − 5i (4 − 5i)(3 − 4i) 12 − 16i − 15i + 20i2 −8 − 31i
5. = 2
= = .
3 + 4i 9 − 16i 25 25
2. bx + yc = bxc.
b1, 2 + 0, 5c = b1, 2c.
3. bx + yc = bxc + byc.
b1, 4 + 1, 5c = b1, 4c + b1, 5c.
4. bx + yc =
6 bxc + byc.
b2, 6 + 1, 6c = 4 et b2, 6c + b1, 6c = 3.
bnxc
∀n ∈ N∗ , ∀x ∈ R, = bxc
n
bnxc
1. Montrer que la fonction h définie sur R par h(x) = − bxc
n
est 1-périodique.
Soit x ∈ R. On a x + 1 ∈ R.
bn(x + 1)c bnx + nc bnxc + n
h(x + 1) = − bx + 1c = − bxc − 1 = − bxc − 1
n n n
bnxc bnxc bnxc
= + 1 − bxc − 1 = + 1 − bxc − 1 = − bxc
n n n
bnxc
0 ≤ bnxc ≤ nx ⇒ 0 ≤ ≤x<1
n
bnxc
Donc, pour x ∈ [0; 1[, = 0.
n
La fonction h est nulle sur [0; 1[ et elle est 1−périodique. Elle est nulle sur R et on obtient l’égalité
souhaitée.
Soit (x, y) ∈ R2 .
• bxc ≤ x et byc ≤ y donc bxc + byc ≤ x + y.
bxc + byc est un entier inférieur à x + y et bx + yc est le plus grand entier inférieur à x + y donc
bxc + byc ≤ bx + yc.
• On a bx + yc ≤ x + y.
De plus, x < bxc + 1 et y < byc + 1 donc x + y < bxc + byc + 2.
On a donc bx + yc < bxc + byc + 2.
Or, ce sont des entiers donc bx + yc ≤ bxc + byc + 1.
Exercice 12:
2n
1. Montrer que : ∀n ∈ N∗ , 1 < ≤ 2.
2n − 1
Soit n ∈ N∗ .
2n
1< ≤ 2 ⇔ 2n − 1 < 2n < 2(2n − 1) ⇔ −1 < 0 < 2n − 2
2n − 1
La dernière double inéquation est vrais dès que n ≥ 1. Donc la première est vraie aussi.
2n
∗
2. On pose A = , n ∈ N .
2n − 1
Déterminer la borne inférieure et la borne supérieure de A si elles existent.
De la question précédente, on déduit que l’ensemble A est minoré par 1 et majoré par 2.
De plus, 2 ∈ A donc A est non vide.
On en déduit que A admet une borne inférieure et une borne supérieure, inf(A) et sup(A), et que
sup(A) ≤ 2 et inf(A) ≥ 1.
2 est un majorant atteint (pour n = 1) donc 2=max(A). Ainsi, sup(A) = 2.
2n
lim n = 1 donc il y a des éléments de A aussi proche qu’on le souhaite de 1 sans jamais
n→+∞ 2 − 1
l’atteindre.
A n’admet donc pas de plus petit élément et inf(A)=1.
Exercice 13: [*] Soient A et B deux parties de R admettant une borne supérieure.
Montrer que si A ⊂ B alors sup(A) ≤ sup(B).
Soit a ∈ A.
⇒ a ∈ B ⇒ a ≤ sup(B). Donc, sup(B) est un majorant de A.
Or, sup(A) est le plus petit majorant de A donc sup(A) ≤ sup(B).
∀a ∈ A, a + b ≤ sup(A + B)
a ≤ sup(A + B) − b
donc, ∀b ∈ B, sup(A) ≤ sup(A + B) − b
∀b ∈ B, b ≤ sup(A + B) − sup(A)
donc, sup(B) ≤ sup(A + B) − sup(A)
d’où, sup(B) + sup(A) ≤ sup(A + B)