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Joseph Muscat 2015 1
Universal Algebras
1 Operations
A universal algebra is a set X with some operations ∗ : X n → X and
relations1 ⊆ X m .
For example, there may be specific constants c (n = 0), functions x 7→ x∗
(n = 1), and binary operations (x, y) 7→ x ∗ y (n = 2), etc. An n-ary operation
is sometimes written as x ∗ y ∗ . . . instead of ∗(x, y, . . .), and an m-ary relation
as x y . . . instead of (x, y, . . .).
Elements are indistinguishable when
x, y, . . . ∈ Y ⇒ x ∗ y ∗ . . . ∈ Y
The map A 7→ [[A]] is thus a ‘closure’ map on the lattice of subsets of X, with
the ‘closed sets’ being the subalgebras.
Proof: Let x, y, . . . ∈ [[A]], then for any sub-algebra Y ⊇ A, x ∗ y ∗ · · · ∈ Y ,
so x ∗ y ∗ · · · ∈ [[A]]. Hence A ⊆ B ⊆ [[B]] gives [[A]] ⊆ [[B]]. In particular,
[[A]] ⊆ [[A]], so [[[[A]]]] ⊆ [[A]] ⊆ [[[[A]]]]. A, B ⊆ A ∪ B so [[A]] ∨ [[B]] ⊆ [[A ∪ B]];
A, B ⊆ [[A]] ∨ [[B]], so [[A ∪ B]] ⊆ [[A]] ∨ [[B]].
1 Relations are not usually included in the definition of universal algebras.
Joseph Muscat 2015 2
2 Morphisms
The morphisms (also called homomorphisms) between compatible universal
algebras (i.e., with the same type of operations and relations) are those functions
φ : X → Y which preserve all the operations and relations
φ(x ∗ y ∗ . . .) = φ(x) ∗ φ(y) ∗ . . .
x y . . . ⇒ φ(x) φ(y) ...
For the special constants, functions, and binary operations, this means
φ(cX ) = cY , φ(x∗ ) = φ(x)∗ , φ(x ∗ y) = φ(x) ∗ φ(y).
An algebra with its morphisms forms a category. When φ(x) ··· ⇔
x · · · , a morphism is an isomorphism when it is bijective (since φ(φ−1 (x) ∗
φ−1 (y) ∗ . . .) = x ∗ y ∗ . . ., so φ−1 is a morphism). The monomorphisms are the
1-1 morphisms; the epimorphisms are the onto morphisms.
Proposition 1
For a morphism φ : X → Y ,
• If A is a subalgebra of X, then so is φA
• For any subset S ⊆ X, φ[[S]] = [[φS]]
• If B is a subalgebra of Y , then so is φ−1 B
• φ−1 (B ∩ C) = (φ−1 B) ∩ (φ−1 C).
Joseph Muscat 2015 3
x1 ≈ x2 , y1 ≈ y2 , . . . ⇒ (x1 ∗ y1 ∗ . . .) ≈ (x2 ∗ y2 ∗ . . .)
and x1 y1 . . . ⇒ x2 y2 ...
The operations and relations can then be extended to act on the set X/ ≈ of
equivalence classes
[x] ∗ [y] ∗ . . . := [x ∗ y ∗ . . .]
[x] [y] . . . := x y ...
i.e., the mapping φ : x 7→ [x] is a morphism X → X/ ≈.
For example, indistinguishable elements form a congruent relation, that can
be factored away.
An algebra X can be analyzed by looking for its congruence relations and
then simplifying to get X/ ≈; this process can be continued until perhaps an
algebra is reached that has only trivial congruent relations (x ≈ y ⇔ x = y or
x ≈ y ⇔ True), called simple: it has only trivial quotients. Simple algebras
are the ‘building blocks’ of ‘finitary-type’ algebras.
Any morphism φ : X → Y which preserves a congruence relation x ≈ y ⇒
φ(x) ≈ φ(y), induces a morphism X/ ≈ → Y , [x] 7→ φ(x).
Joseph Muscat 2015 4
The following five “Isomorphism” theorems apply when the relations satisfy
x y . . . ⇔ φ(x) φ(y) . . .:
First isomorphism theorem: For any morphism φ : X → Y , the relation
φ(x) = φ(y) is a congruence (called the kernel of φ), such that the associated
quotient space
(X/ ker φ) ∼
= φX.
Proof: That ker φ is a congruence is trivial; so it induces a 1-1 morphism
X/ ker φ → φX, thus an isomorphism.
Third isomorphism theorem: If a congruence ≈1 is finer than another ≈2 ,
then ≈1 induces a congruence (≈2 / ≈1 ) on X/ ≈2 , and
X/ ≈2 ∼
= (X/ ≈1 )/(≈2 / ≈1 ).
Theorem 2
(the same is true if the operations have intrinsic properties, i.e., subalgebras,
quotients and products have the same properties)
3 Compatibility
An operation is associative when ∗(x, y, . . .) exists for every finite number of
terms, such that
such that
0 ∗ x = ∗(x), (x ∗ y) ∗ z = x ∗ (y ∗ z).
Note that ∗(x) = ∗(y) is a stable equivalence relation (with respect to ∗), with
related elements being indistinguishable algebraically; but can assume ∗(x) = x
by taking the quotient space and renaming; in this case, 0 ∗ x = x.
An operation is distributive over another when
(0) 1 2
(0) (0 = 1) (0 = 0∗ ) (0 ∗ x = 0 = x ∗ 0)
1 (1◦ = 1) x∗◦ = x◦∗ (x ∗ y)◦ = x◦ ∗ y = x ∗ y ◦
2 (x + y)∗ = x∗ + y ∗ x ∗ z + y ∗ z = (x + y) ∗ z
z ∗ x + z ∗ y = z ∗ (x + y)
0 1 2
0 0=1
1 x∗◦ = x◦∗ (x + y)∗ = x∗ + y ∗
2 (x1 + y1 ) ∗ (x2 + y2 ) = x1 ∗ x2 + y1 ∗ y2
Joseph Muscat 2015 6
Commuting 2-operations with identities must actually be the same, and must
be commutative x ∗ y = y ∗ x and associative.
Proof: The identities are the same: 1 = 11 = (1 + 0)(0 + 1) = 10 + 01 =
0 + 0 = 0. ab = (a + 0)(0 + b) = a0 + 0b = a + b so the operations are the
same, and (ab)(cd) = (ac)(bd). Hence ab = (1a)(b1) = (1b)(a1) = ba and
a(bc) = (a1)(bc) = (ab)c.
3.1 Examples
1. The simplest example is a set with a single constant 0, sometimes called
the field with one element.
«Un appât peint n’attrape point de gibier,» dit le poëte, après lui
avoir dit qu’elle se peignait le visage, qu’elle achetait ses dents et
ses cheveux. «Et tu achèterais, dit-il, le superfin de ce qui constitue
la femme, que tu n’obtiendrais pas encore ce que tu veux de ton
amant, car il faudrait être en vie, et tu es morte.»
Ce recueil, imprimé chez Simon de Colines, était dédié A UN
ÉVÊQUE!... à François Bohier, le frère de celui qui, pour sauver son
crédit à la cour et racheter son crime, offrit à l’avénement de Henri II,
le château de Chenonceaux, bâti par son père Thomas Bohier,
conseiller d’État sous quatre rois: Louis XI, Charles VIII, Louis XII et
François Ier. Qu’étaient les pamphlets publiés contre madame de
Pompadour et contre Marie-Antoinette, comparés à des vers qu’on
dirait écrits par Martial? Ce Voûté dut mal finir. Ainsi la terre et le
château de Chenonceaux ne coûtaient à Diane que le pardon d’une
injure ordonné par l’Évangile! Pour ne pas être décrétées par un jury,
les amendes infligées à la Presse étaient un peu plus dures que
celles d’aujourd’hui.
Les reines de France, devenues veuves, devaient rester dans la
chambre du roi pendant quarante jours, sans voir d’autre clarté que
celle des cierges; elles n’en sortaient qu’après l’enterrement du roi.
Cette coutume inviolable contrariait fort Catherine qui craignit les
brigues, elle trouva moyen de s’en dispenser. Voici comment. Le
cardinal de Lorraine sortant un jour (dans ce temps-là! dans ce
moment!) de grand matin de chez la Belle Romaine, une célèbre
courtisane du temps de Henri II, qui demeurait rue Culture-Sainte-
Catherine, fut maltraité par une troupe de libertins. «De quoi Sa
Sainteté très-étonnée,» dit Henri Estienne, fit entendre que les
hérétiques lui dressaient des embûches; et pour ce fait, la cour alla
de Paris à Saint-Germain. La reine ne voulut pas abandonner le roi
son fils, et s’y transporta.
L’avénement de François II, époque à laquelle Catherine crut
saisir le pouvoir, fut un moment de déception qui couronna
cruellement les vingt-six ans de douleurs qu’elle avait déjà passés à
la cour de France. Les Guise s’emparèrent alors du pouvoir avec
une audace incroyable: le duc de Guise fut mis à la tête de l’armée,
et le Connétable fut disgracié, le cardinal eut les finances et le
clergé. Catherine commença sa carrière politique, par un de ces
drames qui, pour ne pas avoir eu l’éclat des autres, n’en fut pas
moins le plus atroce, et qui l’accoutuma sans doute aux terribles
émotions de sa vie. Tout en paraissant d’accord avec les Guise, elle
essaya d’assurer son triomphe en s’appuyant sur la maison de
Bourbon. Soit que Catherine, après avoir inutilement tenté les
moyens les plus violents, eût voulu employer la jalousie pour
ramener le roi; soit qu’en arrivant à sa seconde jeunesse, il lui parût
cruel de ne pas connaître l’amour, elle avait témoigné le plus vif
intérêt à un seigneur du sang royal, François de Vendôme, fils de
Louis de Vendôme (maison d’où est issue la maison de Bourbon), et
Vidame de Chartres, nom sous lequel il est connu dans l’histoire. La
haine secrète que Catherine portait à Diane se révélait en beaucoup
de circonstances auxquelles les historiens préoccupés des intérêts
politiques n’ont fait aucune attention. L’attachement de Catherine
pour le Vidame vint d’une insulte que ce jeune homme fit à la
favorite. Diane voulait les plus belles alliances pour ses filles qui,
d’ailleurs, tenaient à la plus haute noblesse du royaume. Elle
ambitionnait surtout l’honneur d’un mariage avec la maison de
France: on proposa de sa part la main de sa seconde fille, qui fut
depuis duchesse d’Aumale, au Vidame, que la politique fort sage de
François Ier maintenait dans la pauvreté. En effet, quand le Vidame
de Chartres et le prince de Condé vinrent à la cour, François Ier leur
donna, quoi? la charge de chambellans ordinaires avec douze cents
écus de pension, ce qu’il baillait à de simples gentilshommes.
Quoique Diane de Poitiers offrît d’immenses biens, quelque belle
charge de la couronne et la faveur du Roi, le Vidame refusa. Puis ce
Bourbon, déjà factieux, épousa Jeanne, fille du baron d’Estissac, de
laquelle il n’eut point d’enfants. Ce trait de fierté recommanda
naturellement le Vidame à Catherine, qui l’accueillit avec une faveur
marquée et s’en fit un ami dévoué. Les historiens ont comparé le
dernier duc de Montmorency, décapité à Toulouse, au Vidame de
Chartres, pour l’art de plaire, pour le mérite et le talent. Henri II ne se
montra pas jaloux, il ne parut pas supposer qu’une reine de France
manquât à ce qu’elle se devait, ni qu’une Médicis oubliât l’honneur
qu’un Valois lui avait fait. Au moment où la reine coqueta, dit-on,
avec le Vidame de Chartres, elle était à peu près abandonnée par le
roi depuis la naissance de son dernier enfant. Cette tentative ne
servit donc à rien, puisque ce prince mourut portant les couleurs de
Diane de Poitiers.
A la mort du roi, la reine Catherine se trouva donc en commerce
de galanterie avec le Vidame, situation qui n’avait rien que de
conforme aux mœurs du temps, où l’amour fut à la fois si
chevaleresque et si licencieux, que les plus belles actions y étaient
aussi naturelles que les plus blâmables; seulement, comme toujours,
les historiens ont commis la faute de prendre l’exception pour la
règle. Les quatre fils de Henri II rendaient nulle la position des
Bourbons, tous excessivement pauvres, et accablés par le mépris
que la trahison du Connétable jetait sur eux, malgré les raisons qui
contraignirent le Connétable à sortir du royaume. Le Vidame de
Chartres, qui fut au premier prince de Condé ce que Richelieu fut à
Mazarin, son père en politique, son modèle, et de plus, son maître
en galanterie, cacha l’excessive ambition de sa maison sous les
dehors de la légèreté. Hors d’état de lutter avec les Guise, avec les
Montmorency, les princes d’Écosse, les cardinaux, les Bouillon, il se
fit distinguer par sa bonne grâce, par ses manières, par son esprit
qui lui valurent les faveurs des plus charmantes femmes, et le cœur
de celles auxquelles il ne songeait point. Ce fut un de ces hommes
privilégiés, dont les séductions étaient irrésistibles et qui dut à
l’amour les moyens de tenir son rang. Les Bourbons ne se seraient
pas fâchés comme Jarnac de la médisance de la Châtaigneraie: ils
acceptaient très-bien des terres et des châteaux de leurs
maîtresses, témoin le prince de Condé qui accepta la terre de Saint-
Valery de madame la maréchale de Saint-André.
A la mort de Henri II, pendant les vingt premiers jours de deuil, la
situation du Vidame changea donc tout à coup. Objet des attentions
de la reine mère et lui faisant la cour comme on pouvait la faire à la
reine, très-secrètement, il parut destiné à jouer un rôle, et Catherine
résolut en effet de se servir de lui. Ce prince reçut d’elle des lettres
pour le prince de Condé, dans lesquelles elle démontrait la nécessité
de s’allier contre les Guise. Instruits de cette intrigue, les Guise
entrèrent dans la chambre de la reine, pour lui arracher l’ordre de
mettre le Vidame à la Bastille, et Catherine se trouva dans la dure
nécessité d’obéir. Le Vidame mourut après quelques mois de
captivité, le jour où il sortit de prison, quelque temps avant la
conspiration d’Amboise. Tel fut le dénoûment du premier et du seul
amour qu’ait eu Catherine de Médicis. Les écrivains protestants ont
dit que la reine fit empoisonner le Vidame pour confier à la tombe le
secret de ses galanteries!... Voilà quel fut pour cette femme
l’apprentissage du pouvoir royal!
PREMIÈRE PARTIE.
LE MARTYR CALVINISTE.
L ECAMVS,
PELLETIER
DE MADAME LA ROYNE ET DV ROY NOSTRE SIRE;
sur l’autre:
DE MADAME LA ROYNE-MÈRE
ET DE MESSIEURS DV PARLEMENT.
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