Berneuil (Somme)
Berneuil | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Somme | ||||
Arrondissement | Amiens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Territoire Nord Picardie | ||||
Maire Mandat |
Francis Flahaut 2020-2026 |
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Code postal | 80620 | ||||
Code commune | 80089 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Berneuillois | ||||
Population municipale |
268 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 49 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 05′ 43″ nord, 2° 10′ 19″ est | ||||
Altitude | Min. 78 m Max. 146 m |
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Superficie | 5,51 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Amiens (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Doullens | ||||
Législatives | 1re circonscription de la Somme | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Berneuil est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Berneuil est un village picard situé entre Ponthieu et Amiénois.
À vol d'oiseau, la commune est située à 3,9 km au nord-est de Domart-en-Ponthieu[1], à 4,2 km au sud de Bernaville[2], à 14 km au sud-ouest de Doullens[3], à 24 km à l'est d'Abbeville[4] et au nord-ouest d'Amiens[5] et à 48,4 km au sud-ouest d'Arras[6]
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle n'est drainée par aucun cours d'eau[Carte 1].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l'air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 857 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernaville à 4 km à vol d'oiseau[9], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 877,3 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,3 | 1,4 | 3,3 | 4,9 | 8,1 | 10,8 | 12,7 | 13 | 10,6 | 7,9 | 4,5 | 1,9 | 6,7 |
Température moyenne (°C) | 3,7 | 4,1 | 6,8 | 9,4 | 12,6 | 15,4 | 17,6 | 17,8 | 14,9 | 11,2 | 7,1 | 4,2 | 10,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 6 | 6,9 | 10,3 | 13,9 | 17,1 | 20 | 22,4 | 22,6 | 19,3 | 14,6 | 9,7 | 6,4 | 14,1 |
Record de froid (°C) date du record |
−13,2 16.01.13 |
−13,5 07.02.1991 |
−11,3 04.03.05 |
−4,1 02.04.1996 |
−0,7 07.05.1997 |
1,4 05.06.1991 |
5,2 04.07.1990 |
5 08.08.1990 |
2 24.09.03 |
−4,5 24.10.03 |
−8 23.11.1998 |
−13 18.12.10 |
−13,5 1991 |
Record de chaleur (°C) date du record |
15 09.01.15 |
17,6 26.02.19 |
22,6 31.03.21 |
24,9 28.04.07 |
28,7 13.05.1998 |
33,9 27.06.11 |
40,8 25.07.19 |
37,2 10.08.03 |
32,1 09.09.23 |
28,9 01.10.11 |
19,5 07.11.15 |
15,7 07.12.00 |
40,8 2019 |
Précipitations (mm) | 72,9 | 63,6 | 66,6 | 53,8 | 64,5 | 61,2 | 72,9 | 79 | 66 | 82,5 | 91,8 | 102,5 | 877,3 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Berneuil est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13]. Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[14]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (57 %), prairies (26,9 %), forêts (10,4 %), zones urbanisées (5,7 %)[17]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Excentré des axes routiers principaux du secteur, il est néanmoins aisément accessible par le tracé initial de l'ex-route nationale 25 actuelle RD 925.
En 2019, la localité est desservie par les lignes d'autocars (no 24, ligne Doullens - Domart-en-Ponthieu et no 55, Domart-en-Ponthieu - Amiens) du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés[18]
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Bernoldiacum (xe siècle.) ; Bernues (1140.) ; Bernuez (1150.) ; Barnoyum (1292.) ; Bernieulles (1387.) ; Berneux (1507.) ; Barnes (1634.) ; Barneu (1638.) ; Brenoeil (1646.) ; Berneu (1648.) ; Bernueil (1657.) ; Barneux (1657.) ; Berneuil (1692.) ; Bernoeuil (1720.) ; Berneiul (1733.) ; Bernoeuille (1750.)[19].
L'origene du nom de Berneuil remonterait à un personnage gaulois Brennus auquel est apposé le suffixe gaulois -ialo[20], terme de nom de lieu signifiant "espace découvert", "clairière", et qui correspondrait donc à « clairière de Brennus ».
Histoire
[modifier | modifier le code]Il ne reste plus rien du château de Berneuil, il est possible qu'il ait disparu pendant la guerre de Trente Ans. Les sauvages soldats de Jean de Werth et du prince Thomas occupèrent Berneuil les 22 et 23 septembre 1636.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].
En 2021, la commune comptait 268 habitants[Note 3], en évolution de +3,08 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Le village de Berneuil comptait 600 habitants en 1698, à la fin du règne de Louis XIV, malgré les ravages de la guerre de Trente Ans. Il dépassait, avant la guerre franco-allemande de 1870, le nombre de 875 habitants. Cependant, il a vu depuis le chiffre de sa population diminuer dans d'inquiétantes proportions, au point qu'il n'était plus que 330 en 1925.
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Pierre.
- Chapelle Saint-Pierre du cimetière, couverte en tuile, avec des murs en torchis[28].
-
Façade sud de l'église.
-
Le château d'eau de Berneuil.
-
Le calvaire.
-
Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]La seigneurie de Berneuil
[modifier | modifier le code]Berneuil appartint au VIIe siècle à l'abbaye de Corbie, en vertu d'une donation de Clotaire III. Le premier seigneur de Berneuil, Bernard de Saint-Valery, baron de Domart, non content d'occuper le château fort de Domart, fit construire d'autres château à Berneuil et à Bernaville (autrefois Bernardville), vers l'an 1175. Le comte Jean de Ponthieu faisait, de son côté, fortifier Le Crotoy, en face de Saint-Valery, de sorte qu'il y eut jalousie entre les deux seigneurs qui entrèrent en discorde et commençaient à se faire la guerre quand le roi Louis VII le Jeune interposa son autorité pour apaiser et terminer le différend susceptible d'ensanglanter une partie de la Picardie. Bernard de Saint-Valery et le comte de Ponthieu comparurent en la présence du roi pour justifier de leurs droits respectifs. Le monarque, ne pouvant les accorder, jugea que la querelle serait terminée par un duel ; tel était alors l'usage admis.
Comme Domart, Berneuil et Bernaville relevaient de l'abbaye de Corbie qui avait été propriétaire de toute la région d'après une charte de Clotaire III, du VIIe siècle, l'abbé de Corbie, Hugues de Péronne, demanda que le duel entre les deux seigneurs eut lieu à Corbie.
Jean de Ponthieu et Bernard de Saint-Valery, seigneur de Domart, Berneuil et Bernaville, comparurent au jour qui leur fut assigné, accompagnés tous deux d'un grand nombre de seigneurs de leurs amis. Mais, avant qu'ils ne descendissent au champ clos où devait avoir lieu le duel, des amis communs s'interposèrent et firent tant par leurs sollicitations qu'ils réconcilièrent les deux antagonistes.
La famille Carpentin
[modifier | modifier le code]La seigneurie de Berneuil passa successivement aux seigneurs barons de Domart, appartenant aux familles de Saint-Valery, de Dreux et de Craon.
Il résultat de ce qui précède que les seigneurs de Berneuil qui succédèrent à Henri Carpentin, restèrent les vassaux des barons de Domart jusqu'à l'époque où un seigneur de Berneuil fut assez riche pour faire l'acquisition de la baronnie de Domart, au XVIIIe siècle.
Jean Carpentin, dit Galois, succéda à Henri Carpentin et fut seigneur de Berneuil de 1461 à 1499. Jean Carpentin, dit Galyot, seigneur de Berneuil de 1499 à 1540, habitait aussi Abbeville, où il fut choisi comme maïeur de cette ville. Phillibert Carpentin, seigneur de Berneuil de 1540 à 1543, lieutenant général de la sénéchaussée de Ponthieu, fut maïeur d'Abbeville comme le précédent.
La famille Le Fournier de Wargemont
[modifier | modifier le code]La seigneurie de Berneuil passa à la famille Le Fournier de Wargemont, par suite du mariage de Jeanne Carpentin, dame de Berneuil, avec François Le Fournier de Wargemont.
Antoine Le Fournier de Wargemont, seigneur de Wargemont et de Berneuil, fils de Jeanne Carpentin, dame de Berneuil et de François Le Fournier de Wargemont, épousa Marie de Boubers, dame de Ribeaucourt ; il fut seigneur de Berneuil de 1594 à 1628. Aymar Le Fournier de Wargemont, seigneur de Wargemont, Graincourt, Berneuil et Ribeaucourt, fils d'Antoine Le Fournier de Wargemont et de Marie de Boubers, épousa le 11 février 1628 Madeleine du Gard ; il fut seigneur de Berneuil de 1628 à 1663. François Le Fournier de Wargemont, seigneur de Wargemont, Berneuil et Ribeaucourt de 1663 à 1698. François-Bernard Le Fournier de Wargemont, seigneur de Berneuil et de Ribeaucourt de 1698 à 1723, chevalier. Joseph-François Le Fournier, marquis de Wargemont, seigneur de Berneuil et de Ribeaucourt, de 1733 à 1743 fut, de plus, baron de Domart car il acheta la baronnie, le 26 août 1741, à Nicolas de Neuville, duc de Villeroy, lieutenant général des armées, pour la somme de 225 000 livres. François-Louis-Gabriel Le Fournier, marquis de Wargemont, baron de Domart, seigneur de Berneuil et de Ribeaucourt, de 1743 à 1773, était maréchal de camp, c'est-à-dire général de brigade ; il commanda les gendarmes de la garde et fut chevalier de Saint-Louis. Albert-Louis-Aymar Le Fournier, comte de Wargemont, baron de Domart, seigneur de Berneuil, de 1773 à 1789, maréchal de camp ; il commandait pour le roi dans la Haute-Normandie, il était chevalier de Saint-Louis et commandeur de l'ordre de Saint-Lazare
Pour approfondir
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- « Dossier complet : Commune de Berneuil (80089) », Recensement général de la population de 2017, INSEE, (consulté le ).
- « Berneuil »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
- « Liste des documents numérisés concernant la commune », Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme (consulté le ).
- Berneuil sur le site de l'Institut géographique national
- Berneuil sur le site d'Alain Moulès
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique de Berneuil » sur Géoportail (consulté le 25 septembre 2024).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Orthodromie entre Berneuil et Domart-en-Ponthieu », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Berneuil et Bernaville », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Berneuil et Doullens », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Berneuil et Abbeville », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Berneuil et Amiens », sur fr.distance.to (consulté le )
- « Orthodromie entre Berneuil et Arras », sur fr.distance.to (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Berneuil et Bernaville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Berneuil ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Amiens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Le réseau Trans'80 en ligne ».
- Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 108 (lire en ligne sur DicoTopo) [1]
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, romanes, Droz, , p. 181.
- Réélu pour le mandat 2008-2014 : « Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
- Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- « Liste des élus de la Somme » [ods], Listes des élus, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 128 (ASIN B000WR15W8).