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Gavaudun

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Gavaudun
Gavaudun
Vue générale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Lot-et-Garonne
Arrondissement Villeneuve-sur-Lot
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides en Haut-Agenais Périgord
Maire
Mandat
Adrien Teyssedou
2020-2026
Code postal 47150
Code commune 47109
Démographie
Gentilé Gavaudunois, Gavaudunoises
Population
municipale
298 hab. (2021 en évolution de +5,3 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 33′ 41″ nord, 0° 53′ 18″ est
Altitude 111 m
Min. 105 m
Max. 243 m
Superficie 21,33 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Haut Agenais Périgord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Gavaudun
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Gavaudun
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Gavaudun

Gavaudun est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie

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Localisation

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Située au bord de la Lède en limite du Haut-Agenais et du département de la Dordogne (Périgord noir).

Communes limitrophes

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Gavaudun est limitrophe de huit autres communes dont deux dans le département de la Dordogne. Au nord-ouest, Vergt-de-Biron n'est limitrophe que par un quadripoint. Les communes limitrophes sont Lacapelle-Biron, Biron, Paulhiac, Montagnac-sur-Lède, Salles, Cuzorn, Blanquefort-sur-Briolance et Vergt-de-Biron.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 884 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lacapelle-Biron à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 833,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Gavaudun est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (60 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,7 %), zones agricoles hétérogènes (18 %), prairies (12,2 %), terres arables (8,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Gavaudun est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Lède. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2003, 2008 et 2009[16],[14].

Gavaudun est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[17],[18].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[19]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Gavaudun.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[21]. 91,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 1],[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 2002, 2003 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

La ville haute est placée sur un éperon rocheux, ancien oppidum, "Gabalo-dunum", dont témoigne l'étymologie gauloise en "-dun " de son nom[23]. Le sens de "Gabalo" est fourche. "Gabalodunum", le fort du gibet[24].

Préhistoire

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Abri Peyrony

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Site du Périgordien supérieur à burins de Noailles[25].

En 1914 Denis Peyrony découvre un gisement préhistorique sous abri en rive droite (côté ouest) de la Lède en face du bourg de Gavaudun, au pied des falaises qui bordent la rivière. La terrasse de l'abri est inclinée vers la rivière. Il le signale à Alban Vergne, industriel de Villeneuve-sur-Lot et amateur archéologue. Vergne fouille le site de 1926 à 1928. Il le nomme « abri Peyrony[26] ». Malheureusement il détruit les parties les plus riches du site[27], ne publie qu'un article en 1929 (illustré par D. Peyrony)[26] et le mobilier qu'il a collecté, estimé à plusieurs milliers de pièces, disparaît sans laisser de traces. Son article de 1929 décrit entre autres une plaque calcaire gravée, seul exemplaire de ce type à avoir été découvert dans le département jusqu'en 1994 ; cette plaque, disparue, est retrouvée en avril 1985 au musée Gaston Rapin de Villeneuve-sur-Lot, ainsi qu'une vingtaine de pièces, silex taillés et éléments de parure (dents et coquillages), provenant également de l'abri Peyrony[27].

Grotte du Moulin du Milieu

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La grotte du Moulin du Milieu est en partie fouillée par Ludomir Combes et l'abbé Landesque[28].

Marcellin Boule visite le site plusieurs fois[29].

Dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, elle est vidée en partie pour y installer un séchoir. La couche supérieure ainsi enlevée était probablement de l'Aurignacien : sur la surface du sol au début du XXe siècle et dans les anciens déblais, Denis Peyrony a noté des assemblages couramment rencontrés dans cette culture y compris des burins de factures diverses, des grattoirs façonnés sur bout de lame et des grattoirs de type Tarté[28]. Les fouilles y sont reprises de 1924 à 1926[29] sous la direction de Chambas[28].

Le mobilier trouvé par Chambas est nettement moustérien : petits « coups de poing », pointes triangulaires à une face plane, racloirs, disques, couteaux, etc. Le silex utilisé se prête mal à la taille et l'outillage contient de nombreuses pièces « de fortune ». La faune associée inclut cerf élaphe (dont nombreuses molaires, portions de mandibules droites, incisives et plusieurs astragales), bouquetin (capra ibex), chamois (dont un astragale et un calcaneus), renne (dont molaires et tibia), plusieurs grandes espèces de bovidés, cheval (dont nombreuses molaires qui indiqueraient la présence de plusieurs espèces y compris une de très grande taille), rhinocéros laineux (dont trois molaires), et abondants rongeurs[29].

En 1934-1935, à l'âge de 15 ans, l'archéologue François Bordes obtient un permis pour déblayer le site du Roc de Gavaudun[30].

Site du Moulin de Ratis

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C'est une brèche située près du moulin de Ratis qui se trouve en rive gauche (côté est) de la Lède, à environ 1,4 km (à vol d'oiseau) au nord-ouest de Gavaudun[31]. Chaubard et de Raigniac le mentionnent en 1834 : ils y trouvent de nombreux ossements de quadrupèdes emballés dans de la marne argileuse, mais n'y font pas de fouilles faute d'équipement approprié[32]. Déjà en 1865 Combes signale que les travaux de construction de la route (l'actuelle D150) ont détruit la plus grande partie du site[33].

Atelier de plein air du plateau de Baillard[34]

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Station du Paléolithique supérieur[35].

Azilien et Périgordien supérieur[36].

Époque celtique, Moyen-Âge

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Comme son nom l'indique, Gavaudun est un ancien oppidum (dun).

La forteresse de Gavaudun occupe une position stratégique renforcée par la qualité défensive naturelle du site qui est placé sur un piton rocheux. Il constitue un bel exemple de l'architecture fortifiée du XIIIe siècle.

Au fil des alliances, le château de Gavaudun qui est situé à la frontière entre le Périgord et l'Agenais a été la possession de plusieurs grandes familles du Sud-Ouest.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1997 mars 2001 Maurice Caumières PS Instituteur[37]
mars 2001 Juin 2020 Éric Congé PS Inspecteur d'académie
juin 2020
(réélu en juillet 2020)
En cours Adrien Teyssedou SE Agriculteur

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[39].

En 2021, la commune comptait 298 habitants[Note 2], en évolution de +5,3 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
1 5549279471 0261 0781 0911 0601 0271 064
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
992890853855812794692651617
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
550530438455441427371322320
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
276256269287316286279295285
2019 2021 - - - - - - -
291298-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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  • Bernard Palissy, potier, émailleur, peintre, verrier, écrivain et savant français, né au hameau de Saint-Avit commune de Lacapelle-Biron en limite de Gavaudun vers 1510.
  • Pierre Boissière (?-2022), poète et chanteur, défenseur de la langue occitane, est mort à Gavaudun.

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Gavaudun et Lacapelle-Biron », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Lacapelle-biron » (commune de Lacapelle-Biron) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lacapelle-biron » (commune de Lacapelle-Biron) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. Insee, « Métadonnées de la commune de Gavaudun ».
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Gavaudun », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur landes.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Gavaudun », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  23. Albert Dauzat, Toponymie française
  24. Pierre-Yves,. Lambert, Dictionnaire de la langue gauloise une approche linguistique du vieux-celtique continental, Ed. Errance, (ISBN 2-87772-198-1 et 978-2-87772-198-1, OCLC 493968532, lire en ligne)
  25. [Le Tensorer 1974] J.-M. Le Tensorer, « Le Périgordien supérieur à burins de Noailles de l'Abri Peyrony à Gavaudun (Lot-et-Garonne) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 71, no 2 « E&T »,‎ , p. 459-468 (lire en ligne [sur persee], consulté en ).
  26. a et b [Vergne 1929] Alban Vergne, « Les stations préhistoriques de Gavaudin - L'abri Peyrony », Bulletin de la Revue l'Agenais, no 6,‎ , p. 137- (lire en ligne [sur gallica]).
  27. a et b [Morala 1994] André Morala, « La dalle calcaire gravée de l'abri Peyrony, commune de Gavaudun, Lot-et-Garonne », Paléo, no 6,‎ , p. 315-318 (lire en ligne [sur persee]), p. 315.
  28. a b et c Vergne 1929, p. 140.
  29. a b et c Vergne 1929, p. 141.
  30. [Sackett 2014] (en) James Sackett, « François Bordes and the Old Stone Age », Bulletin of the History of Archaeology, vol. 24,‎ (lire en ligne [sur archaeologybulletin.org], consulté en ).
  31. « Gavaudun, carte IGN » sur Géoportail.
  32. [Chaubard & Raigniac] Louis-Athanase Chaubard et A. G. de Raigniac, Notice géologique sur les terrains du département de Lot-et-Garonne (extr. des Annales des sciences d'observation, avril-mai 1830 ; Nouvelle éd. revue et augmentée d'une 3e partie, par L.-A. Chaubard, Agen, impr. P. Noubel, 1834 (extr. du Recueil des travaux de la Société académique d'Agen, 1ère série, t. 3, 1834)), Paris, impr. H. Fournier, , sur books.google.fr (lire en ligne), p. 63-64. Cité dans Combes 1865, p. 22.
  33. [Combes 1865] Ludomir Combes, Études géologiques sur l'ancienneté de l'Homme et sur sa co-existence avec divers animaux d'espèces éteintes ou émigrées, dans les vallées du Lot et de ses affluents, Agen, impr. Prosper Noubel, , sur gallica (lire en ligne), p. 22.
  34. Vergne 1929, p. 138.
  35. [Sonneville-Bordes 1953] Denise de Sonneville-Bordes, « Le Paléolithique supérieur du plateau Baillard à Gavaudun, Lot-et-Garonne », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 50, nos 5-6,‎ , p. 356-364 (lire en ligne [sur persee], consulté en ).
  36. [Bordes 1970] François Bordes, « Circonscription d'Aquitaine », Gallia Préhistoire, vol. 13, no 2,‎ , p. 485-511 (lire en ligne [sur persee], consulté en ), p. 507.
  37. Maryan Charruau, « En Lot-et-Garonne, une association retrace les horreurs de Das Reich », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le )
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. base Mérimée
  43. « Eglise Saint-Sardos de Laurunque », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
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