Homblières
Homblières | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Saint-Quentin | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Saint-Quentinois | ||||
Maire Mandat |
Francine Gomel 2020-2026 |
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Code postal | 02720 | ||||
Code commune | 02383 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 433 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 100 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 51′ 02″ nord, 3° 21′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 72 m Max. 135 m |
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Superficie | 14,29 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Saint-Quentin (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Quentin-3 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Homblières est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.
Géographie
[modifier | modifier le code]Situation
[modifier | modifier le code]Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]Réseau hydrographique
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par la ligne de partage des eaux entre les bassins hydrographiques Artois-Picardie et Seine-Normandie. Elle est drainée par Muid Proyard[Carte 1].
Gestion et qualité des eaux
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Haute Somme ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 798 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Haute Somme est constitué d'un réseau hydrographique complexe de cours d'eau, de marais, d'étangs et de canaux. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte d'aménagement hydraulique du bassin versant de la Somme (AMEVA)[1].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fontaine-lès-Clercs à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 683,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Homblières est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Quentin, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[9]. Cette aire, qui regroupe 120 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,2 %), zones urbanisées (7,8 %), forêts (4,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,9 %)[12].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Altare Sancti-Stephani que est in villa Humolarias (947) ; Humolariæ (948) ; Cella Humolariensis (959) ; Villa Sancte-Marie Humolaris (XIe siècle) ; Humblerie (1135) ; Umbleres (1160) ; Homblarie (1188) ; Hombelieres (1233) ; Honblières (1234) ; Humblires (1257) ; Humbleries (XIIIe siècle) ; Homblires (1339)[13].
De l'oïl *omble et du suffixe -ière au pluriel : « houblonnières »[14], une « plantation de houblon »[15].
Histoire
[modifier | modifier le code]C'est au presbytère d'Homblières que fut reçue le la délégation allemande venue pour négocier l'armistice par des officiers français[16] et être entrée au contact des lignes françaises à La Capelle. Ce point de passage avait été communiqué aux autorités allemandes après leur demande d'ouvrir des négociations.
La délégation sera ensuite convoyée à Tergnier en voiture où les attendait un train spécial qui les amena jusqu'au lieu connu maintenant sous le nom de clairière de Rethondes dans la forêt de Compiègne où se déroula la négociation et la signature de l'armistice le .
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Quentin du département de l'Aisne. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de l'Aisne.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Saint-Simon avant d'être transférée en 1923 dans le canton de Saint-Quentin. Celui-ci a été scindé par décret du et la commune rattachée au canton de Saint-Quentin-Sud[17]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais intégrée au canton de Saint-Quentin-3.
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]La commune faisait partie de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, créée fin 1999 et qui et qui succédait au district de Saint-Quentin, créé le , rassemblant à l'origene 11 communes afin notamment de créer et développer des zones industrielles[18].
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (sous réserve de certaines dérogations bénéficiant aux territoires de très faible densité), le préfet de l'Aisne a adopté un nouveau schéma départemental de coopération intercommunale par arrêté du [19] qui prévoit notamment la fusion de la communauté de communes du canton de Saint-Simon et de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin, aboutissant au regroupement de 39 communes comptant 83 287 habitants[20].
Cette fusion est intervenue le , et la commune est désormais membre de la communauté d'agglomération du Saint-Quentinois[21].
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].
En 2021, la commune comptait 1 433 habitants[Note 3], en évolution de −3,24 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Étienne.
- Monument aux morts commémorant la guerre de 1870 et monument commémorant les guerres du XXe siècle.
- Presbytère (lieu où dînèrent les plénipotentiaires allemands le ).
- Parc de l'abbaye Sainte-Hunegonde.
- Porche de l'abbaye (seul vestige de l'édifice).
- Statue de sainte Hunegonde.
- Croix de 1898.
-
L'église Saint-Étienne et le monument aux morts.
-
Statue de sainte Hunegonde.
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La croix.
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Porche du parc de l'abbaye Sainte-Hunegonde.
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Monument aux morts 1870.
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Monument des guerres du XXe siècle.
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Allée menant au porche de l'ancien château. -
Un coin de l'étang. -
Un coin de l'étang. -
Platane planté vers 1770,
5,90 m de circonférence,
55 m de hauteur.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Pia Colombo (1934-1986), chanteuse et comédienne, épouse du chanteur Maurice Fanon, est née et décédée à Homblières ;
- Charles-François d'Hallencourt de Dromesnil (1674-1754), abbé d'Homblières ;
- Jean-Louis Bruneaux, industriel ardennais, né le 30 brumaire an IV () à Homblières, fils de l'instituteur, il n'a pas vingt ans lorsqu'il devient « ...contremaître de la fabrique en coton de monsieur Abraham Dumez maire de cette commune... » quelques années plus tard il part faire fortune à Rethel (Ardennes)... En attendant une biographie, suivre le lien Vassy-sous-Pisy (Yonne) ;
- Jules Eugène Rondeaux (1871-1935), directeur d'école à Homblières et secrétaire de la mairie. L'école primaire de la commune porte son nom depuis 2016[31].
Héraldique
[modifier | modifier le code]Blason | Échiqueté d'or et d'azur ; au chef d'azur chargé de cinq fleurs de lis d'or[32]. |
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Détails |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Communes de l'Aisne
- Liste des abbayes, monastères et couvents en France
- Liste d'abbayes bénédictines de France
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel de la commune d'Homblières
- Homblières sur le site de l'Institut géographique national
- Homblières sur le site de l'Insee
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- « Réseau hydrographique d'Homblières » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « SAGE Haute Somme », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Homblières et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Quentin - Roupy » (commune de Fontaine-lès-Clercs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Quentin », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 141.
- Toponymie générale de la France : Formations non-romanes, formations dialectales, Genève, Droz, , p. 1319.
- Stéphane Gendron, Les noms des lieux en France : essai de toponymie, , p. 225.
- Informations présentées au Mémorial de l'Armistice, sur le site de la clairière de l'Armistice à Compiègne.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Loïc Rossignol, « Mise en place d'un service de transport à la demande : position de l'exploitant » [PDF], sur dumas.ccsd.cnrs.fr, (consulté le ), p. 25.
- « Arrêté préfectoral du 30 mars 2016 portant Schéma départemental de coopération intercommunale de l'Aisne » [PDF], Approbation du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, Préfecture de l'Aisne (consulté le ).
- « Schéma départemental de coopération intercommunale » [PDF], Intercommunalité dans l'Aisne, Préfecture de l'Aisne, (consulté le ), p. 34 et 41-44.
- Préfecture de l'Aisne, « Arrêté n°2016-1077 en date du 15 décembre 2016 portant fusion de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin et de la communauté de communes du canton de Saint-Simon - Recueil des actes administratifs de la préfecture de l'Aisne du mois de décembre 2016 - Partie 2 » [PDF], sur aisne.gouv.fr, (consulté le ), p. 55-59.
- Maire pendant presque 40 ans. Démis de ses fonctions par l'État Français, il se réfugie dans le Cantal et redevient maire uniquement après la libération.
- Décoré du mérite agricole du fait de ses participations à des congrès et surtout des expositions en France et à l'étranger.
- « Bernadette Bleuse, ancienne maire d'Homblières, n'est plus : Première magistrate de la commune de 2008 à 2014, elle est décédée mercredi 17 novembre », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Elle a été élue pendant trois mandants successifs : première adjointe de 1995 à 2008 aux côtés du maire Philippe Brasset et maire de 2008 à 2014 ».
- « Homblières : Hugues Van Maële veut succéder à Bernadette Bleuse : Élu au conseil municipal en 1995, adjoint au maire depuis 2003, Hugues Van Maële est à la tête de la liste « Ensemble pour Homblières » puisque Bernadette Bleuse, maire, ne brigue pas un nouveau mandat », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne).
- « Homblières : Hugues Van Maële a ceint son écharpe tricolore : Après avoir effectué un mandat de maire, Bernadette Bleuse ne s'est pas représentée aux suffrages des électeurs », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne).
- « Francine Gomel reçoit l'écharpe de maire à Homblières », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne, consulté le ) « Francine Gomel, enfant du village, a été élue maire de la commune d'Homblières ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Homblières : hommage à Jules Eugène Rondeaux », L'Aisne nouvelle, (lire en ligne) « Directeur d'école né à Parfondru en 1871 et nommé instituteur à Homblières en 1913, où il a aussi assuré les fonctions de secrétaire de mairie. Jules Eugène Rondeaux a assisté à l'arrivée des Allemands et a secondé au mieux le maire, Augustin Evrard, durant cette période difficile. (...) Sur décision des autorités allemandes, il a été obligé de quitter Homblières en avril 1917. Il n'y est revenu que le 1er septembre 1919. Jules Eugène Rondeaux décède à Homblières le 16 janvier 1935 à 64 ans ».
- « 02383 Homblières (Aisne) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
- Armorial de l'Église de France de Jacques Meurgey page 19