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Plumergat

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Plumergat
Plumergat
L'église Saint-Thuriau.
Blason de Plumergat
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Lorient
Intercommunalité Auray Quiberon Terre Atlantique
Maire
Mandat
Sandrine Cadoret
2020-2026
Code postal 56400
Code commune 56175
Démographie
Gentilé Plumergatois, Plumergatoise[1]

Plumergatais, Plumergataise[2],[3]

Population
municipale
4 179 hab. (2021 en évolution de +3,75 % par rapport à 2015)
Densité 100 hab./km2
Population
agglomération
43 981 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 44′ 32″ nord, 2° 55′ 00″ ouest
Altitude 50 m
Min. 17 m
Max. 88 m
Superficie 41,94 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Vannes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auray
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Plumergat
Géolocalisation sur la carte : France
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Plumergat
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
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Plumergat
Géolocalisation sur la carte : Bretagne (région administrative)
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Plumergat
Liens
Site web http://www.plumergat.fr

Plumergat [plymɛʁgat] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne. Plumergat fait partie de la communauté de communes Auray Quiberon Terre Atlantique.

Géographie

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Localisation

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Le bourg de Plumergat est situé à vol d'oiseau à 10 km au nord-est de Auray, à 10 km au nord-ouest de Vannes et à 35 km à l'est de Lorient.

Géographie physique

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Le bourg de Mériadec, qui compte environ 700 habitants, est à cheval sur les communes de Plumergat et Pluneret[4].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[6]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 896 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Auray à 9 km à vol d'oiseau[8], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 969,3 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Héraldique

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Blason de Plumergat.
Blason de Plumergat.

Le blason :

Le blason de Plumergat

Chaque teinte, chaque figure a son histoire.

Les trois couleurs dominantes sont une synthèse des armoiries des anciennes seigneuries de Plumergat avant le XVIIIe siècle, à savoir : les gueules (rouge), l’argent et l’hermine.

Les douze hermines représentent les églises et chapelles de la commune. Onze sont en noir pour les bâtiments encore présents ; une en blanc, tel un fantôme, en souvenir des chapelles ayant existé par le passé (elles ont aujourd’hui disparu, sauf dans la mémoire d'anciens).

Les trois épis de seigle rappellent le caractère léger des terres de la commune, plus propres à la culture de cette céréale qu’à celle du blé. Chaque épi représente l’un des aspects essentiels de cette plante dans les siècles passés, à savoir aliment des hommes et parfois des bêtes, couverture naturelle des habitations et litière des animaux.

Au , Plumergat est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vannes, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[13]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,7 %), terres arables (36,3 %), prairies (14 %), zones urbanisées (5 %), forêts (3,8 %), eaux continentales[Note 2] (0,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Plomorcat en 1045, Ploimeagat en 1251, Ploimargat en 1265, Ploemergat en 1453, Ploimergat en 1516, Plumargat en 1558, Pleumergat en 1636[17].

Plumergat, en breton Pluvergad.

La commune semble tenir son nom de Morgat provenant de Ergat, chef breton ayant fondé le village, sanctifié en Saint Ergat[réf. nécessaire]. Une autre étymologie proposée fait dériver de Ploe Maelcat (paroisse de saint Maelcat, du vieux breton mael « chef » et cat « combat)[18][source insuffisante].

Une stèle funéraire a été trouvée, elle porte l'inscription gauloise suivante : vabros [—-]at atrebo aganntobo durneo giapo « vabros a dressé (?) (ceci) aux pères borneurs pour Giapos fils de Durnos »[19]. On identifie immédiatement le gaulois atrebo, datif pluriel d’*atir « père » (restitué à partir de matir « mère » et duxtir « fille [des parents] »), attesté aussi sur la tuile de Châteaubleau au vocatif ater[19]. La chute de p- initial indo-européen est caractéristique de toutes les langues celtiques, ce qui fait d’*atir un parent du latin pater (datif patribus)[19]. Seul l'irlandais parmi les langues néo-celtiques conserve ce mot sous la forme athair « père » issu du vieil irlandais athir[19] presque identique au gaulois, et le manxois ayr « père » passé dans l'anglais local.

La stèle funéraire de la période gauloise a été réutilisée à l'époque carolingienne, le nom « RIMOETE » y étant rajouté[20].

Note de Pierre Le Tallec, recteur de Plumergat placée en tête de l'année 1684 : Hoc anno hyems fuit gravissima, ita ut arbores prce frigore perierint et aruerint « Cette année, l'hiver a été très rigoureux, et les arbres ont été perdus par le froid »[21],...

Révolution française

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En 1799 des bandes royalistes, formées en bonne partie d'hommes de Pluméliau, Grand-Champ, Pluvigner, Plumergat, etc.. formèrent un rassemblement de 5 à 6 000 hommes[22].

Le XIXe siècle

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Bonaparte, alors Premier Consul, demande le 15 prairial an XI ( à son ministre de la justice Régnier de demander des renseignements sur les maires et curés de Plumergat et des communes voisines, « ainsi que sur la situation de l'esprit public de ces communes et ceux des habitants qui pourraient être soupçonnés » de correspondre avec Georges Cadoudal[23].


Une épidémie de dysenterie fit 36 malades (dont 15 moururent) à Plumergat en 1876. Le docteur Alfred Fouquet explique la propagation de la maladie par les conditions de vie déplorables des habitants de la région qui « ne prennent absolument aucun soin, soit de leur propreté, soit de celle de leurs maisons. Ils jettent les selles des malades devant leur porte et parfois les vident dans la maison même, au milieu des cochons et des poulets, au milieu desquels ils grouillent. (...) Ils se refusent d'ailleurs à prendre aucun médicament »[24].

Le XXe siècle

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La Belle Époque

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En 1901 un projet d'érection en commune distincte du village de Mériadec, divisé entre les communes de Plumergat, Pluneret et Plougoumelen, à la suite d'une pétition signée par de nombreux habitants de ce village et des hameaux avoisinants en date du , est présenté au Conseil général du Morbihan ; les pétitionnaires font valoir « la distance qui les sépare de leurs chefs-lieux respectifs, l'abandon dans lequel ils sont laissés par les Conseils municipaux et la difficulté des communications, les chemins étant en si mauvais état qu'ils demeurent, le plus souvent, impraticables, surtout pendant la mauvaise saison » ; de plus, seule la partie de Mériadec appartenant à la commune de Plumergat dispose d'une section électorale distincte, ceux dépendant des communes de Pluneret et Plougoumelen sont distants pour certains de plus de 8 km de leurs chefs-lieux communaux. Mais les Conseils municipaux de ces trois communes, ainsi que le Conseil d'arrondissement ayant donné un avis défavorable, la demande est rejetée par le Conseil général[25].

La Première guerre mondiale

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Le monument aux morts de Plumergat porte les noms de 128 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[26].

Jean Thomazo, né en 1892 à Mériadec, soldat au 1er régiment de marche d'Afrique, est fusillé pour l'exemple le à Maurepas (Somme) pour « avoir essayé de quitter le champ de bataille après avoir détroussé des cadavres allemands[27]. »

La Seconde Guerre mondiale

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Le monument aux morts de Plumergat porte les noms de sept personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[26].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1953 août 1975
(décès)
Joseph Corfmat père    
septembre 1975 juillet 1984 Joseph Corfmat fils    
juillet 1984 mars 2001 Louis Jéhanno   Cadre hospitalier
mars 2001 25 mai 2020 Michel Jalu[28] UMPLR Cadre de la CPAM retraité
Conseiller départemental du canton d'Auray (2015 → )
25 mai 2020 En cours Sandrine Cadoret[29] SE[30] Professeure de lycée professionnel, ancienne adjointe

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

En 2021, la commune comptait 4 179 habitants[Note 3], en évolution de +3,75 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7591 4561 9372 0671 9162 0801 8382 0352 153
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1372 1092 1451 9592 2042 2762 2702 5182 588
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 4762 4962 1891 9441 9971 9641 8801 8841 837
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 7341 7731 9612 2912 4492 5973 0553 1433 411
2014 2019 2021 - - - - - -
3 9454 1784 179------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Langue bretonne

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À la rentrée 2016, 25 élèves étaient scolarisés dans la filière bilingue catholique (soit 6,8% des enfants de la commune inscrits dans le primaire)[35].

  • La stèle gravée en langue gauloise est la seule connue en Bretagne et peut-être la plus ancienne de toutes les inscriptions connues en cette langue. selon certains spécialistes, elle aurait été gravée entre 200 et 399.
  • Son bourg dit « aux Trois Clochers », en référence aux trois édifices religieux présents dans le bourg et séparés seulement de quelques mètres.
  • Ses onze églises et chapelles.
  • L’église Saint-Thuriau qui a conservé des arcades et des chapiteaux gravés de style roman.
  • La chapelle Notre-Dame de Gornevec entièrement restaurée, ses vitraux et ses sablières sculptées.
  • La chapelle de la Trinité dont les sablières et les larmiers foisonnent de sculptures animalières.
  • Le circuit des Trois Clochers (8 km), présent dans le « Carnet de balades au cœur du pays d’Auray » en vente dans les offices de tourisme.

Lieux et monuments

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La chapelle de la Trinité (à gauche) et la chapelle Saint-Servais (à droite).

Personnalités liées à la commune

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. https://www.gentilix.com/nom/habitants/3548/comment-s-appellent-les-habitants-de-plumergat/
  2. « Nom des habitants de Plumergat », sur Le nom des habitants, (consulté le ).
  3. « Maire de Plumergat », sur annuaire-maire.fr (consulté le ).
  4. sur le site France, le trésor des régions, Roger Brunet
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Plumergat et Auray », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Auray » (commune d'Auray) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Auray » (commune d'Auray) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Plumergat ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vannes », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. (br) Vallerie, Erwan, 1944-, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, Ar Releg-Kerhuon, An Here, , 560 p. (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620, lire en ligne).
  18. Michel Priziac et Michel Mohrt, Bretagne des saints et des croyances, Kidour, , p. 149.
  19. a b c et d Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux celtique continental, éditions Errance, Paris, 2003, p. 58-59-335.
  20. Pierre-Roland Giot, Léon Fleuriot, G. Bernier, Bernard Merdrignac et P. Guignon, Les premiers bretons. La Bretagne du Ve siècle à l'an 1000, éditions Jos, 1988, (ISBN 2-85543-083-6).
  21. Inventaire du Morbihan 1881 T4 p13 Commune de Plumergat
  22. Émile Sageret, Le Morbihan et la chouannerie morbihannaise sous le Consulat., t. 1, 1910-1918 (lire en ligne).
  23. Napoléon Ier, Correspondance de Napoléon I, t. 8, 1858-1869 (lire en ligne), page 427.
  24. Docteur Alfred Fouquet, « Compte-rendu des épidémies, des épizooties et des travaux des conseils d'hygiène du Morbihan. », (consulté le ).
  25. Morbihan. Conseil général, « Projet d'érection en commune de la section de Mériadec », Rapports du Préfet et délibérations du Conseil général / Conseil général du Morbihan,‎ , pages 133 à 135 (lire en ligne, consulté le ).
  26. a et b Memorialgenweb.org - Plumergat : monument aux morts
  27. Anne Lessard, « 14-18. 51 fusillés bretons et toujours pas de réhabilitation », sur Le Telegramme, (consulté le ).
  28. « Municipales à Plumergat. Michel Jalu réélu maire de Plumergat », Ouest-France, 29 mars 2014.
  29. « Municipales à Plumergat. Sandrine Cadoret élue », Maville.com, 27 mai 2020.
  30. https://www.ouest-france.fr/elections/municipales/municipales-plumergat-sandrine-cadoret-presente-son-programme-6752678
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. http://www.opab-oplb.org/98-kelenn.htm

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Articles connexes

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