Saint-Martory
Saint-Martory | |||||
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption sur les rives de la Garonne. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Haute-Garonne | ||||
Arrondissement | Saint-Gaudens | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cagire Garonne Salat | ||||
Maire Mandat |
Raoul Raspeau 2020-2026 |
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Code postal | 31360 | ||||
Code commune | 31503 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Martoryens | ||||
Population municipale |
1 052 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 127 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 08′ 34″ nord, 0° 55′ 46″ est | ||||
Altitude | Min. 269 m Max. 485 m |
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Superficie | 8,30 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Bagnères-de-Luchon | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | http://www.commune-saintmartory.fr | ||||
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Saint-Martory est une commune française située dans l'ouest du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.
Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Garonne, le canal de Saint-Martory et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), un espace protégé (« la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Martory est une commune rurale qui compte 1 052 habitants en 2021. Ses habitants sont appelés les Saint-Martoriens ou Saint-Martoriennes.
Le patrimoine architectural de la commune comprend huit immeubles protégés au titre des monuments historiques : une croix de carrefour, classée en 1913, une croix, inscrite en 1927, le pont de Saint-Martory, inscrit en 1950, le menhir Peyro-Hitto, classé en 1962, un immeuble, inscrit en 1988, le château, inscrit en 1993, la grotte de Montconfort, inscrite en 1993, et un immeuble, classé en 1994.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Saint-Martory se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].
Elle se situe à 66 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 17 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture, et à 48 km de Bagnères-de-Luchon[3], bureau centralisateur du canton de Bagnères-de-Luchon dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Salies-du-Salat[I 1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Mancioux (2,4 km), Arnaud-Guilhem (2,6 km), Lestelle-de-Saint-Martory (2,9 km), Laffite-Toupière (3,1 km), Montsaunès (3,5 km), Mazères-sur-Salat (3,7 km), Roquefort-sur-Garonne (4,3 km), Auzas (4,8 km).
Sur le plan historique et culturel, Saint-Martory fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].
Saint-Martory est limitrophe de huit autres communes dont Lestelle-de-Saint-Martory au sud-ouest par un quadripoint[6].
Les communes limitrophes sont Mancioux, Arnaud-Guilhem, Castillon-de-Saint-Martory, Laffite-Toupière, Lestelle-de-Saint-Martory, Mazères-sur-Salat, Montsaunès et Roquefort-sur-Garonne.
Laffite-Toupière | Mancioux | Roquefort-sur-Garonne | ||
Arnaud-Guilhem | N | Mazères-sur-Salat | ||
O Saint-Martory E | ||||
S | ||||
Castillon-de-Saint-Martory Lestelle-de-Saint-Martory |
Montsaunès |
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 830 hectares ; son altitude varie de 269 à 485 mètres[7].
Le bourg historique est bâti sur la rive gauche de la Garonne au pied du front rocheux de l'Escalère. Le faubourg s'est lui développé sur la rive droite, dans la plaine alluvionnaire de la Garonne.
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Elle est drainée par la Garonne, le canal de Saint-Martory, un bras de la Garonne, le ruisseau de Peyroutou et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[8],[Carte 1].
La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[9].
Le canal de Saint-Martory, d'une longueur totale de 71,2 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-ouest vers le nord-est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Toulouse, après avoir traversé 19 communes[10].
-
La Garonne à Saint-Martory. Prise d'eau du canal de Saint-Martory.
-
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Martory.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Pyrénées centrales, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 200 mm[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 903 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Palaminy à 13 km à vol d'oiseau[13], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 715,2 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Espaces protégés
[modifier | modifier le code]La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18].
Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[19].
Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[21], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[22].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[23] : les « bois de la Hage et massifs de Laffite-Toupière à la Garonne » (1 069 ha), couvrant 8 communes du département[24] et « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[25] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[23] :
- « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[26] ;
- les « Petites Pyrénées en rive gauche de la Garonne » (3 525 ha), couvrant 12 communes du département[27].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Saint-Martory est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,5 %), forêts (26,7 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), zones urbanisées (12,9 %), prairies (4,5 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Accès :
- En voiture, depuis Toulouse ou Tarbes, par l'autoroute A64 sortie no 20 (« Saint-Martory ») ; et par la route nationale 117.
- En autocar, avec les lignes régulières de transport interurbain réseau Arc-en-ciel (anciennement SEMVAT).
- En train, accès direct par la gare de Saint-Martory (4 trains par jour) ou indirect par la gare de Boussens à 8 km.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Saint-Martory est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[29]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[30].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le canal de Saint-Martory. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1999, 2009, 2013 et 2022[31],[29].
Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral du 25 septembre 2006. Saint-Martory est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif des Petites Pyrénées. Il est ainsi défendu aux propriétaires de la commune et à leurs ayants droit de porter ou d’allumer du feu dans l'intérieur et à une distance de 200 mètres des bois, forêts, plantations, reboisements ainsi que des landes. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[32],[33]
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 455 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 455 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[34],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[35].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[29].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]La commune est en outre située en aval des barrages du Portillon, de Cap de Long (Hautes-Pyrénées) et de l'Oule (Hautes-Pyrénées). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[36].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le toponyme Calagorris ou Calagurris, est identifié avec l’actuelle ville de Saint-Martory, et présente un parallélisme précis et unique dans la Calagurris vasconne de la vallée de l’Èbre, l’actuelle Calahorra (La Rioja, Espagne)[37].
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Montagne-sur-Garonne[38].
Le nom de la commune en occitan est Sent Martòri.
Ses habitants sont appelés les Saint-Martoryens.
Le saint patron de la ville est saint Martory[39].
Histoire
[modifier | modifier le code]Préhistoire
[modifier | modifier le code]Grotte de la Tourasse
[modifier | modifier le code]La grotte de la Tourasse, parfois appelée grotte de Montpezat[40] car située pratiquement à l'aplomb de l'ancien château de Montpezat au nord-est de la ville[41], au lieu-dit la Tourasse[42]. En 1872 Gabriel de Mortillet choisit ce site pour caractériser un étage stratigraphique, le Tourassien, entre le Magdalénien et le Néolithique. Cet étage est aujourd'hui tombé en désuétude au profit du terme Azilien[43]. La stratigraphie de ce site inclut[44] du Magdalénien[45] ; un niveau qui est selon Huot (1985) soit un mélange Magdalénien / Azilien soit une véritable période transitionnelle[46], mais Barbaza (1997) l'attribue au Laborien[47] ; un niveau d'Azilien ancien[48] ; un niveau d'Azilien[49] ; et plusieurs niveaux de Sauveterrien[50].
Grotte de Montconfort
[modifier | modifier le code]La grotte de Montconfort, à proximité de la précédente, est une grotte ornée occupée au Magdalénien, fouillée en 1882 par L. Darbas[51]. Elle est inscrite au titre des monuments historiques depuis 1993[52]. Elle a livré des sagaies de type Lussac-Angles, ce qui ajoute Montconfort à la courte liste des sites pyrénéens connus qui témoignent des relations entre le nord de l'Aquitaine et les régions méridionales avec la diffusion de ces sagaies en direction du sud (Quercy, Pyrénées, région cantabrique)[53].
Peyro-Hitto
[modifier | modifier le code]Menhir préhistorique, comme son nom l'indique (traduction : Pierre levée). Rapporté depuis l'autre rive de la Garonne, il se dresse à côté de l'église[54]
Antiquité
[modifier | modifier le code]Saint-Martory était occupé par l'oppidum de Calagurris ou Calagorris selon les sources[55].
Le prédicateur Vigilance de Calagurris serait né dans cette bourgade vers l'an 370, ou y aurait grandi, avant de rallier les Alpes cottiennes ayant été persécuté par Jérôme de Stridon[56].
Moyen-Âge
[modifier | modifier le code]Au Moyen-Âge Saint-Martory fait pati du Comté de Commingeset de la Commanderie de Montsaunès.
Renaissance
[modifier | modifier le code]XVIe siècle la famille de Montpezat fait construit un nouveau château permetant de mieux contrôler le trafic sur la Garonne[57].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de quinze[58],[59],[60].
Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cagire-Garonne-Salat et du canton de Bagnères-de-Luchon (avant le redécoupage départemental de 2014, Saint-Martory était le chef-lieu de l'ex-canton de Saint-Martory) et avant le elle faisait partie de la communauté de communes du canton de Saint-Martory.
Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Jumelages
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[62].
En 2021, la commune comptait 1 052 habitants[Note 5], en évolution de +11,44 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[64] | 1975[64] | 1982[64] | 1990[64] | 1999[64] | 2006[65] | 2009[66] | 2013[67] |
Rang de la commune dans le département | 64 | 80 | 100 | 130 | 146 | 171 | 173 | 170 |
Nombre de communes du département | 592 | 582 | 586 | 588 | 588 | 588 | 589 | 589 |
Enseignement
[modifier | modifier le code]Saint-Martory fait partie de l'académie de Toulouse.
L'éducation est assurée par un groupe scolaire Louise-Michel : maternelle et primaire
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Festival annuel de bandas, dernier week-end de juillet, vide-grenier annuel organisé par l'association des parents d'élèves de l'école Louise-Michel de Saint-Martory, le premier dimanche de mai
Activités sportives
[modifier | modifier le code]Écologie et recyclage
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Revenus
[modifier | modifier le code]En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 423 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 849 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 620 €[I 5] (23 140 € dans le département[I 6]).
Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 7] | 10,3 % | 9 % | 12,5 % |
Département[I 8] | 7,7 % | 9,6 % | 9,3 % |
France entière[I 9] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 513 personnes, parmi lesquelles on compte 72,1 % d'actifs (59,6 % ayant un emploi et 12,5 % de chômeurs) et 27,9 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 10]. Elle compte 418 emplois en 2018, contre 465 en 2013 et 388 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 314, soit un indicateur de concentration d'emploi de 133 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 45,1 %[I 11].
Sur ces 314 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 100 travaillent dans la commune, soit 32 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 81,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,7 % les transports en commun, 8,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]Secteurs d'activités
[modifier | modifier le code]107 établissements[Note 8] sont implantés à Saint-Martory au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 14].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 107 | ||
Industrie manufacturière, industries extractives et autres |
12 | 11,2 % | (5,7 %) |
Construction | 11 | 10,3 % | (12 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration |
40 | 37,4 % | (25,9 %) |
Information et communication | 1 | 0,9 % | (4,1 %) |
Activités immobilières | 1 | 0,9 % | (4,2 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien |
9 | 8,4 % | (19,8 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale |
25 | 23,4 % | (16,6 %) |
Autres activités de services | 8 | 7,5 % | (7,9 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,4 % du nombre total d'établissements de la commune (40 sur les 107 entreprises implantées à Saint-Martory), contre 25,9 % au niveau départemental[I 15].
Entreprises et commerces
[modifier | modifier le code]Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[68] :
- Green Val, commerce de détail de fleurs, plantes, graines, engrais, animaux de compagnie et aliments pour ces animaux en magasin spécialisé (13 709 k€) ;
- SARL Les Genevriers, hébergement médicalisé pour personnes âgées (3 976 k€) ;
- Retraite Occitane, restauration collective sous contrat (1 565 k€) ;
- Saveurs Du Terroir, restauration de type rapide (118 k€) ;
- Saint-Martory Expansion, hôtels et hébergement similaire (39 k€).
Agriculture
[modifier | modifier le code]1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 15 | 6 | 4 | 4 |
SAU[Note 10] (ha) | 325 | 256 | 253 | 293 |
La commune est dans « La Rivière », une petite région agricole localisée dans le sud du département de la Haute-Garonne, constituant la partie piémont au relief plus doux que les Pyrénées centrales la bordant au sud et où la vallée de la Garonne s’élargit[69]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 12] (15 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 293 ha[71],[Carte 6],[Carte 7].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Saint-Martory.
- Chapelle Notre-Dame de Monconfort : après la destruction de l'ancienne chapelle pendant la Révolution en 1793, elle fut reconstruite de 1834 à 1837 par les paroissiens de Saint-Martory avec les pierres en grès jaune de l'abbaye de Bonnefont, et bénite le sous le vocable de Notre-Dame de Montconfort par Mgr d'Astros en présence des curés de paroisses voisines, des magistrats, des officiers municipaux, militaires et personnes notables qui participèrent à la procession de l'église vers la chapelle. L'autel en marbre, les reliques et la statue de la Vierge à l'Enfant (1 mètre de haut) ont été transférées à l'église Saint-Martory[72].
- Oratoire Notre-Dame de Poueich, construit en 1880 sur la colline dominant la ville de Saint-Martory, au Bout du Poueich. Sur le socle est gravé en latin : « Posuerunt me custodem » (« Ils m'ont placé comme gardienne ») et « Salve Regina » (« Salut, ô Reine »).
- Grotte de la Tourasse (voir plus haut la section « Préhistoire »).
- Grotte de Montconfort (voir plus haut la section « Préhistoire »).
- Le canal de Saint-Martory.
- Le pont de Saint-Martory, pont magistral sur la Garonne date de 1724 et est l'œuvre de l'intendant Antoine d'Étigny à qui l'on doit aussi les deux arcs de triomphe. L'ensemble formé par le pont et ces deux anciennes portes de la ville est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1950[73].
- La famille des Montpezat, comtes de Comminges, a successivement construit deux châteaux à Saint-Martory : le premier, du XIe siècle, surplombe la ville au nord-est sur la colline de Montpezat ; l'autre, d'architecture Renaissance, est bâti sur la rive droite de la Garonne à 280 m en amont du pont principal. Ce dernier château est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1993[74].
- À côté de l'église, le menhir Peyro-Hitto est classé monument historique depuis 1962[75].
- L'ancienne gendarmerie présente des éléments architecturaux des XIIe et XIIIe siècles provenant de l'ancienne abbaye de Bonnefont. L'immeuble a dans un premier temps été inscrit au titre des monuments historiques en 1927, avant d'être classé en 1994[76].
- Rue du Centre, un immeuble du XVIIIe siècle attenant à des vestiges de remparts est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1988[77].
- Papeterie de Foulon, usine du groupe des Papeteries Navarre.
-
L'église Saint-Martory. -
Chapelle Notre-Dame de Monconfort. -
Le menhir de Peyro-Hitto. -
Le pont de Saint-Martory
sur la Garonne. -
La porte du pont. -
La porte de ville dans le prolongement du pont.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Jean de Montpezat de Carbon (1605-1685), évêque de Saint-Papoul, puis archevêque de Bourges puis de Sens.
- Joseph de Montpezat de Carbon (1615-1687), frère du précédent, archevêque de Toulouse.
- Henri Joseph Vincent Latour (1751-1828), général, blessé le suivant lors des émeutes à Saint-Martory.
- Norbert Casteret (1897-1987), considéré comme le père de la spéléologie moderne, mais aussi préhistorien et écrivain, né dans la commune.
- Ernest Pugibet (1853-1915), industriel franco-mexicain, né dans la commune.
- Hubert Clément (1915-2012), militaire français qui s'illustra durant la guerre d'Algérie, décédé dans la commune.
- Vigilance de Calagurris, prêtre né sur le territoire de la commune connu par des lettres et un traité de saint Jérôme, Contre Vigilance.
Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Saint-Martory se blasonnent ainsi : De sable au marteau au long manche d'argent posé en bande[78]. |
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- [Manière 1969] Gabriel Manière, « Voies et ponts antiques dans la commune de Saint-Martory (Haute-Garonne) », Gallia, t. 27, no 2, , p. 163-170 (lire en ligne [sur persee]).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]- Liste des communes de la Haute-Garonne
- Comminges
- Sites mégalithiques de la Haute-Garonne
- Climat de la Haute-Garonne
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site de la mairie
- Saint-Martory sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[70].
- Cartes
- « Carte hydrographique de Saint-Martory » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Notes sur la démographie
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Martory ».
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Martory » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Martory » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Martory » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Martory » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Martory et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Martory et Saint-Gaudens », sur fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Saint-Martory et Bagnères-de-Luchon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Saint-Martory », sur villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
- « Saint-Martory, carte IGN interactive » sur Géoportail..
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Fiche communale de Saint-Martory », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « la Garonne »
- Sandre, « le canal de Saint-Martory »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Martory et Palaminy », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Palaminy » (commune de Palaminy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Palaminy » (commune de Palaminy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les différents espaces protégés. »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur observatoire-biodiversite-centre.fr (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Martory », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Martory », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « bois de la Hage et massifs de Laffite-Toupière à la Garonne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- « ZNIEFF « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « Petites Pyrénées en rive gauche de la Garonne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Corine Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Martory », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
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- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Martory », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Linguistique et peuplement en Aquitania par Joaquín Gorrochategui. Si on isole l’élément -gurri, nous sommes limités géographiquement à une zone vasconne avec Grachurris en parallèle ; s’il faut isoler -gorri, les parallélismes aquitains et basques sont clairs et répétés.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Saint Martory », sur nominis.cef.fr (consulté le ).
- [Chamaison 1891] Chamaison, « Découvertes préhistoriques (1891) - La grotte de Montpezat », Revue de Comminges, t. 6, 1er trimestre 1891, p. 303-309 (lire en ligne [sur gallica]).
- « Montpezat sur Saint-Martory, carte IGN interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Les distances à vol d'oiseau se mesurent avec l'outil « Mesurer une distance » dans l'onglet « Outils cartographiques » à droite (symbole de petite clé plate).
- Chamaison 1891, p. 304.
- [Orliac 1975] Michel Orliac, « II. — La grotte de Tourasse-Saint-Martory (Haute-Garonne) », Bulletin de l'Association française pour l'étude du Quaternaire, vol. 12, nos 3-4, , p. 189-190 (lire en ligne [sur persee]).
- [Huot 1985] Jean-Paul Huot (responsable d'opération), « Saint-Martory – Grotte-abri de la Tourasse. Fouille programmée », Archéologie de la France - Informations Occitanie, (lire en ligne [sur journals.openedition.org], consulté le ).
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- [Barbaza 1997] Michel Barbaza, « L'Azilien des Pyrénées dans le contexte des cultures de la fin du Tardiglaciaire entre France et Espagne », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 94, no 3, , p. 315-318 (lire en ligne [sur persee]), p. 317.
- Huot 1985, paragr. 5.
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- [Boche 2005] Élisa Boche, « Saint-Martory - Grotte de Montconfort », Bilan scientifique 2005 du Service Régional de l'Archéologie de Midi-Pyrénées, Ministère de la Culture et de la Communication, Service régional de l'archéologie (SRA), , p. 87 (lire en ligne [PDF] sur culture.gouv.fr, consulté le ).
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- [Sauvet et al. 2008] Georges Sauvet, Javier Fortea, Carole Fritz et Gilles Tosello, « Échanges culturels entre groupes humains paléolithiques entre 20.000 et 12.000 BP », Bulletin de la Société Préhistorique Ariège-Pyrénées, t. 63, , p. 73-92 (lire en ligne [PDF] sur researchgate.net, consulté le ), p. 79.
- (en) « Peyro-Hitto », sur megalithic.co.uk (consulté en ).
- « L'histoire de Saint Martory », sur Mairie de Saint-Martory Haute-Garonne / Comminges Pyrénées (consulté le ).
- Dans son traité Contre Vigilance, saint Jérôme écrit que Vigilance est origenaire de Calagurris et le compare à Quintilien qui est né dans la Calagurris d'Espagne, Calahorra. Mais dans le même texte, saint Jérôme précise qu'il est d'une race de bandits et de Convènes qui ont été établis dans une région au nord des Pyrénées après la victoire de Cnaeus Pompeius contre eux en Espagne et dont la capitale était Lugdunum Convenarum. Il est possible de placer le site de Calagurris des Convènes à partir de l'Itinéraire d'Antonin qui le cite comme un relais sur la route d'Aquae Tarbellorum, de Dax à Toulouse, qui suit la Garonne, et située à 26 milles romains de Lugdunum. Cette indication permet de placer Calagurris à Saint-Martory. Des ruines d'un oppidum ibérique se trouvent sur une colline dominant la ville et la présence d'une source ferrugineuse peut expliquer le nom du site car Calagurris signifie « eau rouge » (Henri Crouzel, « Un "hérétique" commingeois: Vigilance de Calagurris », p. 163-164).
- https://saintmartory.com/fr/histoire-du-chateau-de-saint-martory/
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr (consulté le )
- https://opyrenees.fr/visite-village-saint-martory-et-son-patrimoine/
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Entreprises à Saint-Martory », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Saint-Martory - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- [Dumail 1999] Alphonse Dumail, Les Églises du diocèse de Comminges - Chapelles et monuments dédiés à Notre-Dame, Société des Études du Comminges, (ISBN 2-9511114-1-X).
- « Pont, porte de pont et porte de ville », notice no PA00094470, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 6 novembre 2011.
- « Château », notice no PA00125570, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 6 novembre 2011.
- « Menhir dit Peyro-Hitto », notice no PA00094469, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 6 novembre 2011.
- « Immeuble dit Ancienne gendarmerie », notice no PA00094466, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 16 novembre 2011.
- « Immeuble du XVIIIe siècle », notice no PA31000069, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 6 novembre 2011.
- Source : Armorial général de France, dressé en vertu de l'édit de 1696 par Charles d'Hozier.