Tarare (Rhône)
Tarare | |
Blason |
|
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Rhône |
Arrondissement | Villefranche-sur-Saône |
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de l'Ouest Rhodanien |
Maire Mandat |
Bruno Peylachon 2020-2026 |
Code postal | 69170 |
Code commune | 69243 |
Démographie | |
Gentilé | Tarariens et Tarariennes |
Population municipale |
10 428 hab. (2021 ) |
Densité | 745 hab./km2 |
Population agglomération |
17 226 hab. (2021) |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 53′ 49″ nord, 4° 26′ 02″ est |
Altitude | Min. 350 m Max. 727 m |
Superficie | 13,99 km2 |
Type | Centre urbain intermédiaire |
Unité urbaine | Tarare (ville-centre) |
Aire d'attraction | Tarare (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Tarare (chef-lieu) |
Localisation | |
Liens | |
Site web | ville-tarare.fr |
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Tarare est une commune française, située dans le département du Rhône en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Tarare est une ville du département du Rhône située à 40 km au nord-ouest de Lyon. La ville est placée à mi-chemin entre Lyon et Roanne (Loire), sur les rivières de la Turdine et du Taret. La ville est construite sur un relief marqué à la limite nord des monts de Tarare. Elle est également aux portes du Beaujolais.
Communes voisines
[modifier | modifier le code]- Affoux
- Ancy
- Dareizé
- Dième
- Joux
- Les Olmes
- Les Sauvages
- Pontcharra-sur-Turdine
- Saint-Appolinaire
- Saint-Clément-sur-Valsonne
- Saint-Forgeux
- Saint-Loup
- Saint-Marcel-l'Éclairé
- Saint-Romain-de-Popey
- Valsonne
- Violay
Parmi ces dernières, sont limitrophes :
Les Sauvages | Valsonne | Saint-Clément-sur-Valsonne | ||
Joux | N | Dareizé | ||
O Tarare E | ||||
S | ||||
Saint-Marcel-l'Éclairé, Saint-Forgeux | Saint-Loup |
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 826 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Sauvages », sur la commune des Sauvages à 5 km à vol d'oiseau[3], est de 9,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 941,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −0,9 | −0,9 | 1,7 | 4,6 | 8,1 | 11,7 | 13,4 | 13,7 | 10,5 | 7,3 | 2,7 | 0,1 | 6 |
Température moyenne (°C) | 1,5 | 1,9 | 5,4 | 8,7 | 12,3 | 16,4 | 18,3 | 18,4 | 14,6 | 10,5 | 5,3 | 2,5 | 9,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 3,9 | 4,7 | 9 | 12,8 | 16,6 | 21 | 23,2 | 23,1 | 18,8 | 13,7 | 7,8 | 5 | 13,3 |
Record de froid (°C) date du record |
−13,4 30.01.05 |
−17 07.02.12 |
−14,5 01.03.05 |
−5,7 08.04.03 |
−1,5 07.05.1997 |
1,5 02.06.06 |
5,1 24.07.1999 |
4,2 28.08.1998 |
1 26.09.02 |
−5,7 30.10.1997 |
−10,2 22.11.1998 |
−13,9 26.12.10 |
−17 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
18,7 01.01.22 |
18,4 06.02.04 |
21,3 31.03.21 |
23,7 22.04.18 |
29,2 13.05.15 |
34,4 27.06.19 |
36,5 31.07.20 |
36,5 13.08.03 |
31,2 05.09.23 |
27,9 09.10.23 |
20,9 02.11.20 |
18,7 31.12.21 |
36,5 2020 |
Ensoleillement (h) | 801 | 1 021 | 1 748 | 1 894 | 2 322 | 2 556 | 2 336 | 1 923 | 1 349 | 858 | 745 | ||
Précipitations (mm) | 64,3 | 56,1 | 58,4 | 72 | 95,7 | 86,1 | 84,5 | 87,5 | 72 | 98 | 93,3 | 73,7 | 941,6 |
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Tarare est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tarare[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[8],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarare, dont elle est la commune-centre[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (41,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (40,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,1 %), prairies (29,5 %), zones urbanisées (21,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,4 %)[11].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 5 593, alors qu'il était de 5 536 en 2014 et de 5 303 en 2009[I 2].
Parmi ces logements, 86,2 % étaient des résidences principales, 1,6 % des résidences secondaires et 12,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 25.6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 72.4 % des appartements[I 3].
Concernant le statut d'occupation de ces logements, 34,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (31,9 % en 2014), contre 48,5 % pour le Rhône et 57,5 pour la France entière[I 4].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Tarare en 2020 en comparaison avec celle du Rhône et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,6 %) inférieure à celle du département (3,3 %) et de la France entière (9,7 %).
À noter que la part de logements vacants reste élevé (12.2 %) en comparaison de la moyenne nationale sur la même année (8.2 %).
Typologie | Tarare[I 2] | Rhône[I 5] | France entière[I 6] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 86,2 | 89,2 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 1,6 | 3,3 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 12,2 | 7,4 | 8,2 |
Énergie
[modifier | modifier le code]La commune propose à ses habitants, un achat groupé d'énergie pour les particuliers, via la société Wikipower[13]
Histoire
[modifier | modifier le code]La ville est créée au début du XIIe siècle, en tant que prieuré de Tarare par l'abbaye de Savigny. Il n'y vit alors que des tisserands, cordonniers ou tanneurs, mais aussi quelques petits marchands ou aubergistes. Toutefois, il semble que la famille De Tarare ait été liée plusieurs siècles durant à la vie et au développement de la commune[14].
Au XVIe siècle des pestes décimèrent la population au point que le consulat de Lyon ordonne « qu'il serait fait une quête particulière dans la ville pour subvenir aux besoins des pauvres pestiférés de Tarare »[15].
Une petite ville industrielle, « cité de la mousseline » et « capitale du rideau »
[modifier | modifier le code]Durant la seconde moitié du XVIIIe siècle, la ville prend son envol grâce à la fabrication de la mousseline, puis un siècle plus tard lance en parallèle la fabrication de peluches et velours, elle participe notamment à l'exposition industrielle de Paris en 1855 et à celle de Londres en 1862. Tarare se tourne ensuite vers l'industrie teinturière.
La ville compte plus de 15 000 habitants en 1866 et bénéficie du passage d'une voie de chemins de fer (Lyon-Roanne), d'un viaduc, de deux églises (église Saint-André et église Sainte-Madeleine), d'écoles et de nombreuses nouvelles usines.
Au milieu du XIXe siècle, une énorme bâtisse (toujours visible aujourd'hui à l'entrée Est de la ville) abrite le travail de jeunes ouvrières d'origene rurale, dans un "couvent-usine" où l'encadrement est assuré par des religieuses qui aident à convaincre les familles de laisser partir leurs jeunes filles vers le travail industriel[16]. Les conditions de travail sont difficiles et les ouvrières ont très peu d'autonomie[17]. Malgré l'écrasement de la Commune et la guerre de 1870-1871, les ouvriers de la ville se mettent en grève dès 1871[18].
Le dix-neuvième siècle est l'époque des fibres naturelles dans l'industrie textile (lins, cotons). Dans les années 1930, se développe la production d'articles à base de rayonne et tous les composés en viscose qui en découlent. À partir des années 1950, un véritable renouveau s'opère avec le voile Tergal, fabriqué à partir de polyester. Tarare devient la capitale française du rideau, assurant près de 80 % de la production nationale.
À côté du rideau, l'industrie textile est déclinée dans le tissu éponge, la confection, la teinturerie… pratiquée par une dizaine d'entreprises familiales et un réseau d'ateliers ou petites usines de sous-traitance. L'industrie textile occupe une main-d'œuvre nombreuse, en bonne part féminine, résidant non seulement à Tarare mais dans les communes agricoles environnantes. Pour de nombreuses familles, le travail posté en usine (on dit, localement: "faire équipe") constitue une deuxième source de revenu, pour l'homme ou la femme, en complément de l'exploitation agricole.
Depuis 1950, tous les cinq ans, les Tarariens fêtent l'industrie textile pendant trois jours, baptisée "Fête des Mousselines", même si ce textile, ou la tarlatane qui la remplace pour pavoiser la ville, ne sont plus fabriquées sur place.
La patrie du Taraflex
[modifier | modifier le code]Dès 1947, une famille d'industriels tarariens, les Doligez, héritiers de la famille Champier[19], spécialisée dans la teinturerie textile, diversifie ses investissements en créant une activité de plasturgie au sein de la firme Blanchiment et apprêts de Tarare (BAT). Cette entreprise, dont la gestion est laissée dès l'origene à des ingénieurs spécialement recrutés pour ce nouveau métier[20], développe une gamme de produits de revêtement de sol en matière plastique, révolutionnaire pour l'époque. L'entreprise a longtemps conservé, en héritage de ses origenes le nom de "Blanchiment et Apprêts de Tarare" (BAT), tandis que son produit était baptisé "Taraflex", en référence à la ville.
Dans les années 1980, "la BAT" est rachetée par le groupe Gerflor, dont le siège est à Villeurbanne. Taraflex reste la marque du groupe spécifique aux sols sportifs de haute performance. Ainsi équipe-t-elle les plus prestigieuses compétitions en tennis, badminton, volley-ball, basket-ball, handball, etc. : Jeux olympiques, championnats du monde, tournois ATP et WTA[21], etc.
L'usine Gerflor de Tarare est aujourd'hui encore la plus grosse entreprise de la ville, avec 700 salariés[22].
Les difficultés d'une reconversion
[modifier | modifier le code]À partir des années 1960, l'industrie textile rencontre des difficultés croissantes. Le voile Tergal, certes de très bonne qualité, subit la concurrence d'articles moins chers venus de l'étranger. La décolonisation entraîne la fermeture des marchés coloniaux. La commune voit l'installation en 1963 d'un chantier naval, spécialiste de la coque acier et alu, connu pour avoir construit le Joshua de Bernard Moitessier.
Pour faire face, les entreprises tarariennes du rideau unissent leurs efforts commerciaux sous une marque commune, "Plein Jour", qui recueille une notoriété mondiale. Pourtant, avec les années 1970, l'industrie textile entre dans une période difficile. Tarare voit disparaître l'usine de peluches Martin. Les unes après les autres, les entreprises du rideau tergal ferment leurs portes ou se concentrent. En 2009, la société Linder S.A. – dont le siège est situé à Violay, dans la Loire, à 10 km de Tarare – relève seul le flambeau du rideau tararien[23].
La ville engage une difficile diversification économique, principalement basée sur le négoce textile, l'agroalimentaire et la mécanique. Les difficultés majeures se marquent, dans le cadre du mouvement général de désindustrialisation, par l'inadaptation et à l'insuffisance de formation d'une population ouvrière longtemps peu payée[24].
Si la ville peine à digérer ses années « textile », il semblerait que Tarare connaisse une forme de renouveau, notamment avec l’installation de la plus importante micro-brasserie de la région Rhône-Alpes. En effet, le Ninkasi, installé à Lyon, a déplacé début 2012 sa fabrique de bière à Tarare, dans une ancienne friche industrielle entièrement rénovée, augmentant ainsi sa capacité de production. Quant à Gerflor, enseigne symbolique de la ville spécialisée dans les revêtements de sol, elle envisage de s’agrandir[réf. souhaitée].
Le tronçon de l'autoroute A89 Balbigny/La Tour-de-Salvagny est ouvert à la circulation depuis le .
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Tendances politiques et résultats
[modifier | modifier le code]Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours. | |||||||
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Année | Élu | Battu | Participation | ||||
2002 | 79,75 % | Jacques Chirac | RPR | 20,25 % | Jean-Marie Le Pen | FN | 73,40 % [28] |
2007 | 51,91 % | Nicolas Sarkozy | UMP | 48,09 % | Ségolène Royal | PS | 80,28 % [29] |
2012 | 51,70 % | François Hollande | PS | 48,30 % | Nicolas Sarkozy | UMP | 77,73 % [30] |
2017 | 62,34 % | Emmanuel Macron | EM | 37,66 % | Marine Le Pen | FN | 70,42 % [31] |
2022 | 56,77 % | Emmanuel Macron | LREM | 43,23 % | Marine Le Pen | RN | 61,03 % [32] |
Élections législatives, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin. | |||||||
Année | Élu | Battu | Participation | ||||
2002 | 58,32 % | Robert Lamy élu au premier tour |
UMP | 21,02 % | Yvon Olivier | PS | 58,96 % [33] |
2007 | 48,57 % | Patrice Verchère élu au premier tour |
UMP | 24,89 % | Sheila Mc Carron | PS | 52,29 % [34] |
2012 | 55,47 % | Patrice Verchère | UMP | 44,53 % | Sheila Mc Carron | PS | 50,21 % [35] |
2017 | 60,39 % | Patrice Verchère | LR | 39,61 % | Joëlle Terroir | EM | 61,49 % [36] |
2022 | 63,69 % | Nathalie Serre | LR | 36,31 % | Dominique Despras | ENS | 34,67 % [37] |
2024 | % | % | % [38] | ||||
Élections européennes, résultats des deux meilleurs scores. | |||||||
Année | Liste 1re | Liste 2e | Participation | ||||
2004 | 29,91 % | Michel Rocard | PS | 13,31 % | Thierry Cornillet | UDF | 33,74 % [39] |
2009 | 28,36 % | Françoise Grossetête | UMP | 20,70 % | Vincent Peillon | PS | 31,26 % [40] |
2014 | 27,85 % | Jean-Marie Le Pen | FN | 25,79 % | Renaud Muselier | UMP | 34,56 % [41] |
2019 | 25,57 % | Jordan Bardella | RN | 19,23 % | Nathalie Loiseau | LREM | 41,69 % [42] |
2024 | 35,81 % | Jordan Bardella | RN | 14,20 % | Valérie Hayer | LREM | 43,65 % [43] |
Élections régionales, résultats des deux meilleurs scores. | |||||||
Année | Liste 1re | Liste 2e | Participation | ||||
2004 | 45,18 % | Jean-Jack Queyranne | PS | 35,26 % | Anne-Marie Comparini | Modem | 58,49 % [44] |
2010 | 49,19 % | Jean-Jack Queyranne | PS | 31,55 % | Françoise Grossetête | UMP | 43,17 % [45] |
2015 | 42,62 % | Laurent Wauquiez | LR | 32,91 % | Jean-Jack Queyranne | PS | 50,09 % [46] |
2021 | % | % | % [47] | ||||
Élections cantonales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin. | |||||||
Année | Élu | Battu | Participation | ||||
2008 | 48,31 % | Jacques Larrochette | DVD | 51,69 % | Thomas Chadoeuf-Hoebeke | PS | 46,53 % [48] |
Élections départementales, résultats des deux meilleurs scores du dernier tour de scrutin. | |||||||
Année | Élus | Battus | Participation | ||||
2015 | 66,47 % | LR | 33,53 % | FN | 41,78 % [49] | ||
2021 | % | % | % [50] | ||||
Référendums. | |||||||
Année | Oui (national) | Non (national) | Participation | ||||
1992 | 52,47 % (51,04 %) | 47,53 % (48,96 %) | 63,35 % [51] | ||||
2000 | 72,37 % (73,21 %) | 27,63 % (26,79 %) | 26,76 % [52] | ||||
2005 | 42,68 % (45,33 %) | 57,32 % (54,67 %) | 60,34 % [53] |
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Tarare fait partie de la communauté de communes du Pays de Tarare du au regroupant de 16 communes (Affoux,Ancy, Dareizé, Dième, Joux, Les Olmes, Pontcharra-sur-Turdine, Saint-Appolinaire, Saint-Clément-sur-Valsonne, Saint-Forgeux, Saint-Loup, Saint-Marcel-l'Éclairé, Saint-Romain-de-Popey, Les Sauvages, Tarare et Valsonne). À partir du elle intègre la communauté de communes de l'Ouest Rhodanien issue d'une fusion des trois anciennes communautés de communes, qui devient la communauté d'agglomération de l'Ouest Rhodanien le .
Finances communales
[modifier | modifier le code]Cette sous-section présente la situation des finances communales de Tarare[Note 4].
Pour l'exercice 2013, le compte administratif du budget municipal de Tarare s'établit à 15 893 000 € en dépenses et 18 490 000 € en recettes[A2 1] :
En 2013, la section de fonctionnement[Note 5] se répartit en 12 740 000 € de charges (1 211 € par habitant) pour 14 031 000 € de produits (1 333 € par habitant), soit un solde de 1 290 000 € (123 € par habitant)[A2 1],[A2 2] :
- le principal pôle de dépenses de fonctionnement est celui des charges de personnels[Note 6] pour une somme de 5 530 000 € (43 %), soit 526 € par habitant, ratio inférieur de 17 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (636 € par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 493 € par habitant en 2009 et un maximum de 544 € par habitant en 2012 ;
- la plus grande part des recettes est constituée des impôts locaux[Note 7] pour une valeur de 4 837 000 € (34 %), soit 460 € par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 460 € par habitant en 2013 et un maximum de 599 € par habitant en 2010.
Les taux des taxes ci-dessous sont votés par la municipalité de Tarare[A2 3]. Ils ont varié de la façon suivante par rapport à 2012[A2 3] :
- la taxe d'habitation constante 20,65 % ;
- la taxe foncière sur le bâti constante 21,82 % ;
- celle sur le non bâti constante 62,12 %.
La section investissement[Note 8] se répartit en emplois et ressources. Pour 2013, les emplois comprennent par ordre d'importance[A2 4] :
- des dépenses d'équipement[Note 9] pour un montant de 2 225 000 € (71 %), soit 211 € par habitant, ratio inférieur de 45 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (387 € par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 211 € par habitant en 2013 et un maximum de 915 € par habitant en 2011 ;
- des remboursements d'emprunts[Note 10] pour une valeur de 893 000 € (28 %), soit 85 € par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate.
Les ressources en investissement de Tarare se répartissent principalement en[A2 4] :
- subventions reçues pour une valeur de 973 000 € (22 %), soit 92 € par habitant, ratio supérieur de 31 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (70 € par habitant). En partant de 2009 et jusqu'à 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 6 € par habitant en 2010 et un maximum de 108 € par habitant en 2012 ;
- fonds de Compensation pour la TVA pour une somme de 534 000 € (12 %), soit 51 € par habitant, ratio supérieur de 28 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (40 € par habitant).
L'endettement de Tarare au peut s'évaluer à partir de trois critères : l'encours de la dette[Note 11], l'annuité de la dette[Note 12] et sa capacité de désendettement[Note 13] :
- l'encours de la dette pour une valeur de 6 820 000 €, soit 648 € par habitant, ratio inférieur de 33 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (964 € par habitant). Sur la période 2009 - 2013, ce ratio fluctue et présente un minimum de 631 € par habitant en 2010 et un maximum de 1 253 € par habitant en 2011[A2 5] ;
- l'annuité de la dette pour une valeur de 1 114 000 €, soit 106 € par habitant, ratio inférieur de 10 % à la valeur moyenne pour les communes de la même strate (118 € par habitant). Depuis 5 ans, ce ratio fluctue et présente un minimum de 101 € par habitant en 2011 et un maximum de 289 € par habitant en 2010[A2 5] ;
- la capacité d'autofinancement (CAF) pour une somme de 1 951 000 €, soit 185 € par habitant, ratio voisin de la valeur moyenne de la strate. Sur les 5 dernières années, ce ratio fluctue et présente un minimum de 156 € par habitant en 2012 et un maximum de 242 € par habitant en 2010[A2 6]. La capacité de désendettement est d'environ 3 années en 2013. Sur une période de 14 années, ce ratio présente un minimum d'environ 2 années en 2010 et un maximum d'environ 7 années en 2012.
Jumelages
[modifier | modifier le code]- Herrenberg (Allemagne) depuis 1960[54].
Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Espaces publics
[modifier | modifier le code]Tarare a la chance de disposer de nombreux espaces verts aménagés :
- Le parc Thivel et son sentier botanique
En 1850, Emile Thivel, industriel, acquiert une propriété située à l’entrée Est de Tarare. Il construit une maison bourgeoise et aménage un parc privé magnifiquement arboré avec notamment des cèdres du Liban. En 1986, la Ville loue sept hectares afin d’y créer un parc public. En 1991-92, elle aménage des cheminements, une roseraie, installe un kiosque, des bancs, l’éclairage… Un sentier botanique, constituant un support pédagogique (panneaux indiquant le nom et l’origene des végétaux) est fléché en 2004. On[Qui ?] y trouve aussi des animaux comme des biches, des daims, des chèvres, des moutons et quelques oies[source secondaire souhaitée]. Ce parc constitue un site remarquable par sa dimension, ses 160 espèces végétales (dont 3 ou 4 nouvelles chaque année), sa liaison directe avec les hauts de Tarare et sa proximité immédiate du centre. Avec une superficie de 7 hectares, le parc Thivel situé entre la rue Radisson et le Boulevard du Commandant Thivel, constitue une bouffée d’oxygène à proximité du Centre-Ville.
- Le square Aristide Briand
Avec une superficie de 3 800 m², le square Aristide Briand est situé à proximité de la salle des Fêtes et de la Gare. Il est doté d’espaces gazonnés ombragés par des arbres, d’un jeu pour les petits, de bancs publics et il est équipé de toilettes publiques.
- Le parc Bonnet
Avec une superficie de 3 000 m², ce petit endroit de verdure, situé au cœur de la ville, à proximité de l’Avenue Charles de Gaulle, est équipé d’une aire de jeux pour les petits, d’un kiosque, de bancs publics et de toilettes publiques.
- Square Maurice Berger
Cet espace de 400 m² marque l’entrée Ouest de la ville.
- Square du Vert Galant
En 1962, la Ville devient propriétaire d’une parcelle triangulaire à l’angle de la RN7 et du boulevard Garibaldi. Elle y crée un jardin d’enfants nommé « square du Vert Galant »
En 2014, la commune de Tarare bénéficie du label « ville fleurie » avec « deux fleurs » attribuées par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[55].
Infrastructures de proximité
[modifier | modifier le code]- Hôpital de Tarare : l'hôpital Nord-Ouest, avec une reconstruction prévue pour 2015[56].
- Gare SNCF de Tarare (ligne TER Lyon - Roanne - Clermont-Ferrand).
- Trois lignes du réseau Les cars du Rhône :
- Ligne 116 (Lyon Gorge de Loup - Cours) ;
- Ligne 217 (Villefranche-sur-Saône - Tarare) ;
- Ligne 264, navette interne à la commune.
- Une crèche, deux haltes-garderies, sept écoles maternelles, six écoles primaires, deux collèges, deux lycées d’enseignement général (lycée René-Cassin et lycée Notre-Dame-de-Bel-Air) et un lycée d’enseignement professionnel (lycée Jules-Verne). Les lycées René-Cassin, Jules-Verne et le collège Marie-Laurencin forment la cité scolaire de La Plata.
- A89 (Axe Lyon - Bordeaux). Temps de parcours moyen : Lyon 20 min - Saint-Étienne 40 min - Clermont-Ferrand 1h. La ville possède deux diffuseurs : Tarare Est (sortie no 35) et Tarare Ouest (sortie no 34). L'autoroute A89 emprunte notamment les tunnels de La Bussière et de Chalosset situés au sud de la commune.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[57],[Note 14].
En 2021, la commune comptait 10 428 habitants[Note 15], en évolution de −1,98 % par rapport à 2015 (Rhône : +3,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]- Depuis 1955, tous les cinq ans sont organisées les fêtes des Mousselines, période durant laquelle la ville présente la mousseline et garnissant ainsi toute la ville de tissus. Des dômes et des chapiteaux fleurissent partout dans la ville. La mousseline décore aussi de nombreux chars présentés par les associations tarariennes. Une reine est également élue dans les mois qui précèdent la fête[60]. Mais c'est dès 1893[61] qu'aura lieu la première "fête des Mousselines".
- Fête du Beaujolais gourmand
- Moto-cross du Baldago’s fondé en 1946
- Foire de Saint-André : Depuis 2006, la foire a lieu le week-end suivant la sortie du beaujolais nouveau. Auparavant elle était organisée le dernier samedi de novembre. Cette décision avait été prise par la municipalité Vinson en 1977 pour ne pas faire coïncider la foire avec les festivités du . De 1965 à 1977, elle avait lieu le premier dimanche de décembre. Les principales artères de la ville se couvrent d'étalages, ce qui attire beaucoup de monde. Une vogue est également montée, selon les années, sur les différents endroits plats de la ville. Les associations organisent aussi nombre de stands.
- En 2012, la ville de Tarare organise, dans le sillon de son carnaval, la première édition de son festival Tararts, événement consacré aux arts de la rue. Spectacles et défilés de troupes déguisées : artistes échassiers et fanfares venus de toute la France accompagnés de groupes locaux, tels que les Tap'Zoreilles, l'unique batucada de Tarare.
Sports et loisirs
[modifier | modifier le code]La ville dispose de multiples installations[62] sportives dont les plus importantes sont le complexe sportif Léon-Masson[62] (stades de football, de rugby, piste d’athlétisme) et le complexe sportif de l’Association Sportive Tararienne[62] (salle de basket, hand-ball, volley-ball, salle de gymnastique, salle de musculation et terrains extérieurs de hand-ball, volley-ball, boules lyonnaises).
- AS Tarare Basket
- STT (Société Tararienne de tir)
- Sporting Club Tarare (rugby)
- Aïkido club des monts de Tarare
- Union Sportive Football de Tarare (USFT)
- Football Club de Tarare
- Judo Club de Tarare
- Première compagnie de tir à l'arc de Tarare
- Twirling Club Tarare
- ACTP (Association cycliste Tarare-Popey)
- AST GYM
- EOL (Entente Ouest-Lyonnaise : athlétisme)
- Club Bouliste Tarare
- PMT (Plongeurs des Monts de Tarare) Club de plongée affilié FFESSM entraînements à AQUAVAL
- CNT (Club de natation de Tarare)
- CSL Handball Club de Tarare
- TBC (Tarare Badminton Club)
Associations
[modifier | modifier le code]- Tarare Micro Club Informatique
- Tarasphère
- Shopping Actif, est l'association des commerçants et artisans. Elle regroupe une soixantaine d'adhérents sur Tarare, Valsonne, Pontcharra-sur-Turdine et Saint-Romain-de-Popey.
Médias
[modifier | modifier le code]Presse locale
[modifier | modifier le code]Le Progrès est diffusé sur Tarare grâce à l'édition "Tarare - L'Arbresle" ainsi que l'hebdomadaire roannais Le Pays qui distribue l'édition "Le Pays d’entre Loire et Rhône".
Radios FM
[modifier | modifier le code]Sur Tarare, nous pouvons capter 2 radios associatives (catégorie A), 1 radio locale commerciale (catégorie B), 2 radios nationales (catégorie C) et 1 radio généraliste (catégorie E). 3 radios publiques émettent aussi sur Tarare depuis la fin des années 80[63].
Fréquence | Nom de la radio | Diffuseur | Lieu d'émission | Puissance | Arrivée |
---|---|---|---|---|---|
88.6 | RMC | TDF | Bel Air, Tarare | 100 W | 2011 |
91.3 | France Musique | TDF | Bel Air, Tarare | 200 W | 1996[64] |
95.1 | RCF Lyon | Auto-diffusion | Le Danguin, Tarare | 100 W | 1996[65] |
97.8 | Fun Radio | TDF | La Plata, 13 rue des Frères Lumière, Tarare | 100 W | 1996 |
99.5 | France Inter | TDF | Bel Air, Tarare | 200 W | 1996[66] |
100.0 | Radio Scoop | Auto-diffusion | Le Danguin, Tarare | 100 W | 2011 |
101.4 | Radio Val de Reins[67] | Auto-diffusion | Le Danguin, Tarare | 100 W | 1990[68] |
102.0 | France Culture | TDF | Bel Air, Tarare | 200 W | 1996[69] |
106.5 | RFM | TDF | Bel Air, Tarare | 100 W | 1996 |
Prochainement, quelques stations arriveront en numérique à Tarare et dans le Beaujolais[70] grâce à l'allotissement 6 de la prochaine bande RNT lyonnaise[71],[72].
Nom de la radio | Catégorie |
---|---|
Radio Scoop | B |
Radio Orient | D |
Radio Val de Reins | A |
Télévision
[modifier | modifier le code]France 3 Rhône-Alpes (avec le décrochage "France 3 Grand Lyon") et TLM émettent sur Tarare grâce à 2 sites d'émission[73] :
- L'un est situé au nord tararien, près de la Chapelle de Bel-Air. Le pylône appartenant à TDF émet le multiplex R1, qui comporte les 2 chaînes locales. Le pylône Towercast émet les autres multiplexes.
- L'autre est situé près de Saint-Marcel-l'Éclairé, au sud tararien. Ce pylône appartient à TDF et émet tous les multiplexes sauf le R3.
Économie
[modifier | modifier le code]L’aérodrome de Villefranche - Tarare se trouve sur la commune de Frontenas. Il est géré par la Chambre de commerce et d'industrie de Villefranche et du Beaujolais.
La ville possède une antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de Lyon.
L'Insee constate que la ville possède une « poche de précarité » avec 28,5 % de la population vivant avec un bas revenu (17,7 % dans le département du Rhône) et un revenu fiscal annuel par foyer de 17 400 € en 2010 (26 100 € pour le Rhône)[74]. Le taux de chômage est de 16,9 % en 2010[74].
La commune est située dans le ressort du Tribunal de commerce de Villefranche-Tarare[75].
Une communauté Emmaüs s'est établie en 1984[76].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Églises Saint-André (XVIIIe, XIXe et XXe) et Sainte-Madeleine (XIXe).
- Tour de la prébende des Martin ou tour du Château (fin du XVe).
- Viaduc ferroviaire construit en 1860[77].
- Voie romaine (route de l'étain) s'étendant sur 7 km.
- 440 km de circuits balisés dans les 17 communes du Pays de Tarare.
- Théâtre municipal d'environ 700 places construit en plein cœur de la ville en 1955. Fermé en 2011, il a rouvert le [78].
- Chapelle Notre-Dame-de-Bel-Air (altitude : 570 m) offrant un beau panorama sur la ville, accessible à pied (départ à la croix, rue des Ayets) ou en voiture (prendre la rue de la Providence), lieu idéal pour le pique-nique. Site émetteur de la TNT.
- Ancien prieuré de Tarare du XVIe siècle[79].
- Le centre-ville, où se concentrent la plupart des commerces, est très fréquenté par les habitants.
- Le Serroux/quartier du viaduc, situé à l'entrée ouest de la ville, comporte une zone industrielle abandonnée, une école et un centre sportif de basketball.
- Les Ayets et La Chassagne sont des quartiers résidentiels calmes situés au nord de la ville.
- La Plaine est un quartier résidentiel composé de 17 immeubles HLM pour environ 600 logements sociaux, regroupés dans les cités des Mûriers, de la Plaine, Clemenceau, Garibaldi et des logis de la Plaine.
- Le Danguin, limitrophe de La Plaine, est en quelque sorte un « nouveau » quartier composé essentiellement de pavillons neufs.
Equipements culturels
[modifier | modifier le code]Cinéma
[modifier | modifier le code]- Cinéma Jacques Perrin : cinéma 2 salles inauguré le 14 décembre 2001 en présence de Jacques Perrin
Lieux de spectacles
[modifier | modifier le code]- Théâtre Municipal
Patrimoine naturel et faune
[modifier | modifier le code]Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Arts vivants et audio-visuels
[modifier | modifier le code]Cinéma
[modifier | modifier le code]- Robin Bourlet (2004) est un réalisateur, acteur, scénariste et directeur de photographie. Il réalise une partie de ses études à Tarare, au sein Lycée Notre-Dame de Bel Air.
- Michel Charrel (1936), est un acteur et comédien tararien.
- Pierre Gamet (1944-2012) était un ingénieur du son et chef-opérateur du son français, primé de 4 César du son et 1 Prix Goya du meilleur son.
Musique
[modifier | modifier le code]- David Christie (1948-1997) chanteur français, notamment connu pour le tube international Saddle Up en 1982.
Arts décoratifs, figuratifs et littéraires
[modifier | modifier le code]Architecture et urbanisme
[modifier | modifier le code]- Eugène-Toussaint Cateland (1840-1922) a été un architecte français de renom. À Tarare, il a réalisé les bâtiments de la manufacture de moulinage J-B. Martin. Il est également le père des architectes Emmanuel (1876-1948), Joseph (1878-1959) et Amédée (1879-1938), également orfèvre, tous trois nés à Tarare.
- Henri Feuga (1819-1884) a été l'architecte qui a réalisé la reconstruction du château de Belair à Tarare. Par ailleurs, il a été maire de Brindas et conseiller général du Rhône. Il meurt à Tarare le .
Dessin, gravure et peinture
[modifier | modifier le code]- Maurice Ardouin, artiste peintre, né à Tarare en 1932.
- Michel Moskovtchenko, artiste peintre, né à Tarare en 1935.
- Philippe Peyrane (1780-1865) est un peintre français d’histoire et de portraits. Il décède en 1865 à l’âge de 85 ans au domicile de son fils Ernest, percepteur, vivant à Tarare.
Littérature
[modifier | modifier le code]- Guy Chambelland (1927-1996) est un poète, éditeur et professeur français. Il a réalisé une partie de sa carrière d'enseignant à Tarare.
- André Jacquelin (1898-1985) est un journaliste, auteur français et résistant des maquis de l'Ain et du Haut-Jura, né à Tarare.
- Roger-Arnould Rivière (1930-1959) est un poète et auteur tararien.
Sculpture
[modifier | modifier le code]- Charles-François Bailly (1844-1914), était un sculpteur français formé à l'École nationale supérieure des beaux-arts de Lyon.
- Jean-Marie Bonnassieux (1810-1892) est un sculpteur français, qui a réalisé les décors de l'église Sainte-Madeleine en 1884.
- Eugène Gatelet (1874-1932) est mort le à Tarare. Il était sculpteur, modeleur et statuaire de renommée.
- Eugène Riboulet (1883-1972), artiste sculpteur né en 1883 à Tarare, a réalisé pour sa ville natale le monument aux morts de la Première Guerre mondiale en 1920.[réf. nécessaire]
- Jean-Baptiste Vietty (1787-1842) est né en 1787 à Amplepuis et mort en 1842 à Tarare, sculpteur, helléniste, archéologue (membre de l’Expédition de Morée).
Industrie et invention
[modifier | modifier le code]- Jean-Baptiste Martin (1801-1867), inventeur d'un métier à tisser spécial pour peluches et velours légers, et qui en perfectionna la mécanisation. Il s'est installé à Tarare pour implanter ses manufacture de tissage et de moulinage et deviendra un grand industriel.
- Eugène Prothière (1864-1925) né à Tarare il est pharmacien et médecin hygiéniste. Il est reconnu pour ses découvertes, contre les gaz asphyxiants pendant la Première Guerre Mondiale, contribuant largement à l'invention du masque à gaz et sauvant la vie de milliers de soldats[80].
- Adrien Rougier (1892-1984), élabora un combinateur électronique pour orgue dont un exemplaire en état de marche se trouve dans l'église Saint-André[81].
- Georges-Antoine Simonet[82], né en 1710 à Tarare et mort en 1778 à Charbonnières, fils d'un toilier, fut l'investigateur de la mousseline, coton léger et transparent à Tarare, et permit à la ville de se développer grandement. Son neveu Claude-Marie Simonet dit " le Jeune" né en 1749 à Tarare complétera son œuvre. Il deviendra le 1er président de la Chambre Consultative des Arts et Manufactures de Tarare et maire en 1804. Il mourra en 1822.
- Bruno Voland (1966) est un chef d’entreprise et un dirigeant syndical français. Il est le président de l’Union des industries et métiers de la métallurgie (UIMM) Auvergne Rhône-Alpes depuis juillet 2023, ainsi que membre fondateur du club d’entrepreneurs Tararevolution, basé à Tarare.
Militaires et résistants
[modifier | modifier le code]- Étienne Lafay (1891-1975) était un aviateur français, inventeur et pionnier de l’aviation, il est né et décédé dans la cité tararienne.
- Paul Rivière (1912-1998), Compagnon de la Libération, est un résistant et homme politique français qui vécut à Tarare. Il est le frère ainé du député Joseph Rivière.
- Claude Rochat (1917-2009), alias commandant Guillaume, est un résistant, haut-fonctionnaire et chimiste, décédé à Tarare. Il a été le chef de l'Armée Secrète en Saône-et-Loire, le président du tribunal des FFI de Cruzille en Saône-et-Loire, sous-préfet de Chalon-sur-Saône, puis d'Albertville.
Politique
[modifier | modifier le code]- Jean Besson (1938-2017) était maire de Tarare et député du Rhône de 1986 à 1988
- Édouard Charret (1905-1984) a été député du Rhône entre 1951 et 1973.
- Gérard Collomb (1947-2023), ancien ministre d'État et maire de Lyon, a été professeur agrégé de lettres classiques au sein au lycée René-Cassin de Tarare.
- Jean-Marie Froget (1880-1942) était un homme politique français, ancien sénateur du Rhône et Maire de Tarare.
- Barthélémy Girerd (1748-1829), médecin, député du Tiers-Etat des Etats Généraux de 1789, il a été aussi Maire de Tarare.
- François Gilbert Planche (1866-1924) né à Tarare était député des Hautes-Alpes au début du XXe siècle. Il est aussi l'arrière-grand-père du côté maternel de la chanteuse et ancienne Première Dame de France, Carla Bruni-Sarkozy[83]
- Robert Lamy est un homme politique français, ancien député du Rhône et Maire de Tarare.
- Claude Pelletier, député du Rhône de 1848 à 1851, il résidait à Tarare et tenait une auberge.
- Louis Sonnery-Martin (1841-1907) était un homme politique français, député du Rhône de 1893 à 1898 et ascendant direct d'Arielle Dombasle.
- Joseph Rivière (1914-1984) a été député du Rhône, maire de Tarare et Conseiller général du Rhône.
- Eugène Ruffier (1869-1924) était sénateur de la Troisième République et un héros de la première guerre mondiale.
- Étienne Thomassin (1848-1925), Maire de Tarare, a été le défenseur de l'école laïque, contribua à la création de l'école primaire supérieure et du barrage de la Turdine.[réf. nécessaire]
- Georges Vinson (1930-2013), né à Tarare, était député du Rhône (1967-1968), maire de Tarare (1971-1981) et ambassadeur de France (1981-1996).
Sciences
[modifier | modifier le code]Astronomie - Géologie
[modifier | modifier le code]- Jacques Bonnet est un géographe qui a mené de nombreuses études sur le peuplement du massif central et des Alpes au cours du XIXe siècle.[réf. nécessaire]
- Philippe Thomas (1843-1910), géologue, découvreur des phosphates de Tunisie, a passé sa jeunesse à Tarare.
Botanique - Zoologie - Biologie - Génétique
[modifier | modifier le code]- René Mouterde (1880-1961) est un archéologue et prêtre jésuite, né à Tarare.
Médecine
[modifier | modifier le code]- Georges Fattet (1820-1874), célèbre dentiste parisien du XIXe siècle, est né à Tarare en 1820.
- André Gastier (1791-1868), docteur en médecine et homme politique, il a exercé son métier à Tarare, entre 1816 et 1830.
- Eugène Prothière (1864-1925), fils de Jean-Claude Prothière, est un pharmacien et hygiéniste[82] qui a mené de nombreuses recherches sur les gaz asphyxiants pendant la Première Guerre mondiale, et a ainsi permis de sauver la vie de milliers de soldats. Il fut le fondateur et le premier président de la Société des Sciences naturelles et d'Enseignement populaire de Tarare en 1891. Il est décoré de la légion d'honneur par arrêté du Ministre de la Guerre du 31 juillet 1915[84],[85].
Physique et chimie
[modifier | modifier le code]- Philippe Grangier (1957) est un physicien tararien, professeur de mécanique quantique à l’Ecole Polytechnique et directeur de recherche au CNRS.
- Jean Debiesse (1907-1978) est un physicien et haut fonctionnaire français. Il a réalisé ses études au collège de Tarare.
Sports
[modifier | modifier le code]Arts martiaux et sports de combat
[modifier | modifier le code]- Jean Jourlin (1904-1979) est un lutteur libre tararien qui a été champion d'Europe de lutte libre (catégorie -79 kg) en 1933.
Basket-ball
[modifier | modifier le code]- Mehdi Cheriet, né à Tarare en 1987, est un joueur franco-algérien de basket-ball.
- Personnalités liées à l'Association sportive Tarare Basket
Cyclisme
[modifier | modifier le code]- Antoine Deflotrière (1876-1904) était un coureur cycliste français, participant au Tour de France.
- Rudy Molard (1989) est un coureur cycliste français, membre de l'équipe Groupama-FDJ depuis 2017. Il a été au sein de la formation de l'AC Tarare-Popey de 2006 à 2007.
- Marc Thévenin (1966), né à Tarare, est un coureur cycliste français professionnel de 1989 à 1991, il poursuit sa carrière en tant qu'amateur jusqu'en 2002 au CC Châtillon puis au CR4C Roanne.
Football
[modifier | modifier le code]- Anne-Laure Casseleux (1984), née à Tarare, est une ancienne footballeuse professionnelle française. Elle évolue au poste de défenseur et a été sélectionné pour l'équipe de France de football.
- Anne-Laure Perrot (1985) est une footballeuse internationale française évoluant au milieu de terrain, née à Tarare.
- Corentin Tolisso (1994), milieu de terrain évoluant au Bayern Munich et champion du monde 2018 avec l'équipe de France, est né à Tarare.
Motocyclisme
[modifier | modifier le code]- Pierre Collignon est un pilote motocycliste français, de vitesse et d'endurance qui remporte le Circuit de Tarare en 1948 (catégorie 250 cm3)
- Georges Houel, (1913-2008) était un pilote de vitesse moto française. Il remporte le Circuit de Tarare à 5 reprises (1947 en 350 cm3, 1948 en 350 cm3 et 500 cm3 et 1949 de nouveau en 350 cm3 et 500 cm3)
- Jacques Collot (1923-2003) est un pilote de vitesse moto français qui a concourût sur le Circuit de Tarare à de multiples reprises en catégorie 500 cm3 (1948, 1949, 1950, 1952).
Volley-ball
[modifier | modifier le code]- Julien Lecoq (1986) est un joueur français professionnel de volley-ball, né à Tarare.
Religieux et prélat
[modifier | modifier le code]- Pierre-Louis Cœur (1805-1860) est un ecclésiastique français, évêque de Troyes de 1849 à 1860, né à Tarare en 1805.
- Pierre Gardette (1906-1973) est un homme d'Église et dialectologue français, membre de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Lyon.
- Abbé Pierre (1912-2007), né Henri Grouès : les parents de l'abbé Pierre se sont mariés le à Tarare où sa mère, Eulalie Perra (sœur du Général Daniel Perra), était née en 1880. La Ville de Tarare a commémoré ce lien avec l'abbé Pierre par une fresque représentant l'abbé Pierre sur le mur de chevet de l'église Sainte-Madeleine[86].
Société civile et autres
[modifier | modifier le code]- Bernadette Groison (1961) est une syndicaliste enseignante française qui a effectué son lycée à Tarare.
Dans les arts et la culture
[modifier | modifier le code]Héraldique
[modifier | modifier le code]Les armes de Tarare se blasonnent ainsi : D'or à la croix ancrée de gueules, cantonnée de quatre losanges de sable. |
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Tarare comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Cette sous-section Finances locales est issue d'une synthèse des données du site alize2.finances.gouv.fr du ministère de l'Économie et des Finances. Elle est présentée de façon standardisée pour toutes les communes et ne concerne que le périmètre municipal. Pour constituer cette partie, l'outil Finances locales version 1.2.1 : Yin Yang Kappa a effectué la synthèse des 98 pages du site alize2.finances.gouv.fr concernant Tarare. Finances locales est un logiciel libre distribué en copyleft sous licence GNU GPL version 3.
- La « section de fonctionnement » est constituée des dépenses courantes et récurrentes nécessaires au bon fonctionnement des services municipaux et à la mise en œuvre des actions décidées par les élus, mais sans influence sur la consistance du patrimoine de la commune.
- Les « charges de personnel » regroupent les frais de rémunération des employés par la commune.
- Les « impôts locaux » désignent les impôts prélevés par les collectivités territoriales comme les communes pour alimenter leur budget. Ils regroupent les impôts fonciers, la taxe d'habitation ou encore, pour les entreprises, les cotisations foncières ou sur la valeur ajoutée.
- La section « investissement » concerne essentiellement les opérations visant à acquérir des équipements d’envergure et aussi au remboursement du capital de la dette.
- Les « dépenses d’équipement » servent à financer des projets d’envergure ayant pour objet d’augmenter la valeur du patrimoine de la commune et d’améliorer la qualité des équipements municipaux, voire d’en créer de nouveaux.
- Les « remboursements d'emprunts » représentent les sommes affectées par la commune au remboursement du capital de la dette.
- L'« encours de la dette » représente la somme que la commune doit aux banques au de l'année considérée
- L'« annuité de la dette » équivaut à la somme des intérêts d'emprunts de la commune et du montant de remboursement du capital au cours de l'année
- La « capacité de désendettement » est basée sur le ratio suivant défini par la formule : ratio = encours de la dette⁄capacité d'autofinancement. Ce ratio montre, à un instant donné, le nombre d'années qui seraient nécessaires au remboursement des dettes en considérant les ressources de Tarare.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Insee, « Métadonnées de la commune de Tarare ».
- « Chiffres clés - Logement en 2020 à Tarare », sur INSEE (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Tarare - Section LOG T2 », sur INSEE (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Tarare - Section LOG T7 », sur INSEE (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans le Rhône », sur INSEE (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière », sur INSEE (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Tarare et Les Sauvages », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Les Sauvages », sur la commune des Sauvages - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Les Sauvages », sur la commune des Sauvages - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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- « Unité urbaine 2020 de Tarare », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Wikipower : Nos actions en France (consulté le 11/05/2022)
- Commission Mixte des Affaires Culturelles de la ville/Société d'Archéologie et d'Histoire des Monts de Tarare, Tarare : Des origenes à nos jours, , 253 p., p. 31.
- E. de Rolland et D. Clouzet, Dictionnaire illustré des communes du département du Rhône, vol. Tome 2, A. Storck & Cie, 1901-1902, 627 p. (lire en ligne), p. 544.
- Claude Albout, "démographie et industrialisation d'une région rurale: le canton de Tarare (de la fin du XVIIIe siècle à nos jours" (maîtrise, Université de Lyon, 1971)
- « "Elles n’avaient même pas le droit de regarder par les fenêtres" : à Tarare, un documentaire redonne vie aux ouvrières de l'ancienne manufacture de textile », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes, (consulté le ).
- Le mouvement ouvrier, 1815.1977, CFDT réflexion, (ISBN 2-85465-018-2), 1978, p. 50.
- Marcel Auguste Joseph Doligez (1891-1979), ingénieur civil des mines et de l'école supérieure d'électricité, a épousé en 1920 Aline Champier, fille d'Adolphe dit Hippolyte fils Roche-Champier. Avec son beau-père, héritier de la Maison Champier fondée en 1884 par Hippolyte Champier, et Jean Claudius Champier, il a fondé à Tarare en 1923 la SA Ets H. Champier, au capital à l'origene d'un million de francs, une firme de blanchiment, d’apprêt et de teinture, et la SA Blanchiment et apprêts de Tarare (BAT): Le Salut public, 21 novembre 1923, Éléments de biographie. Cet industriel partisan du corporatisme dirige depuis 1939 la corporation du textile de Tarare et anime en zone sud l'Office des comités sociaux sous l'Occupation. Il est désigné par Vichy en 1943 membre de la Chambre de commerce de Paris (Journal officiel, 25 novembre 1943).
- cette extraordinaire aventure industrielle a été racontée par le directeur fondateur de "la BAT", Robert Michon dans un récit très vivant Mes heures claires à la BAT (ISBN 2912234018) / 2-912234-01-8): cf. aussi Tarare et son pays, 2012, "Robert Michon, inventeur du Taraflex, donne son nom au boulevard Garibaldi", le-pays.fr, 26 août 2014, "Robert Michon, une vie en sol majeur"
- Cf. le site Gerflor - Taraflex
- 43 boulevard Garibaldi - Tarare
- Cf. site internet de Linder S.A. [1]. Linder S.A. est dirigée aujourd'hui par Patrick Linder, arrière-petit-fils du fondateur Célestin Linder de l'entreprise en 1894.
- en 1973, la revendication syndicale du "SMIG à 1 000 F" concerne une partie notable des salariés tarariens
- Biographie du maire archive, ville-tarare.fr. Consulté le 24 mars 2014.
- « Ancien député, ancien maire de Tarare, Jean Besson est mort », Le Progrès, 16 septembre 2017
- « Georges Vinson, maire de Tarare de 1971 à 1982, est décédé », Le Progrès, 22 février 2013
- Résultats des élections présidentielles de 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections présidentielles de 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections présidentielles de 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections présidentielles de 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections présidentielles de 2022 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections législatives de 2002 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections législatives de 2007 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections législatives de 2012 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections législatives de 2017 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections législatives de 2022 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections législatives de 2024 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections européennes de 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections européennes de 2009 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections européennes de 2014 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections européennes de 2019 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections européennes de 2024 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections régionales de 2004 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections régionales de 2010 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections régionales de 2015 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections régionales de 2021 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections cantonales de 2008 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections départementales de 2015 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections départementales de 2021 sur le site du ministère de l’Intérieur.
- Résultats des élections référendaires de 1992 sur le site PolitiqueMania.
- Résultats des élections référendaires de 2000 sur le site PolitiqueMania.
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- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Un roman récent évoque la Fête des Mousselines: "La reine des mousselines", de Laure Buisson - Grasset, 2009 [2] au fil d'une grande aventure picaresque
- Ville de Tarare, 100 ans d'histoire, Tarare au 20e siècle, Tarare, Ville de Tarare, , 208 p. (ISBN 978-2-9529236-0-6), p. 89.
- ville de Tarare, « Accueil du site > Vie de proximité > Sport à Tarare> Equipements sportifs »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur ville-tarare.fr (consulté le ).
- Sources : Mixture.fr (taper "Tarare" dans "Liste des radios FM/DAB+ actuelles") et annuaireradio.fr.
- Elle émettait sur 91.4 FM entre 1988 et 1996.
- Elle émettait sur 104.4 FM entre 1996 et 2001.
- Elle émettait sur 95.3 FM entre 1988 et 1996.
- Site web de Radio Val de Reins
- Entre 1996 et 2011, elle émettait sur 95.1 FM.
- Elle émettait sur 89.4 FM entre 1988 et 1996.
- "La RNT bientôt dans le Nord, l'Alsace et la région lyonnaise" sur csa.fr (fichier PDF à télécharger)
- La RNT à Lyon (par allotissements) sur radioscope.fr
- Radios à Lyon.
- Emetteurs TNT dans le Rhône
- Insee Rhône-Alpes, « Nouveau Rhône : un territoire contrasté en interaction avec les territoires voisins »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?) [PDF], sur Rhône.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Communes du Greffe »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur greffe-tc-villefranche-tarare.fr (consulté le ).
- Emmaüs Tarare : une communauté de vie et d’activité solidaire, Communauté Emmaüs Tarare
- Le viaduc de Tarare sur Structurae..
- http://www.ville-tarare.fr/Premieres-vues-du-theatre.html
- « Maison dite ancien prieuré », notice no PA00118072, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Centre France, « Gentilés - E. Prothière, inventeur du masque à gaz », sur www.le-pays.fr, (consulté le )
- « Adrien Rougier, illustrateur et défenseur des orgues de Lyon » (consulté le ).
- Tarare, des origenes à nos jours
- « Drôme. L‘ancêtre de Carla Bruni est enterré à Tain-l’Hermitage », sur ledauphine.com (consulté le ).
- Histoire et patrimoine de Limas, Biographie d’Eugène PROTHIERE (1864-1925), , 1 p. (lire en ligne)
- « Recherche - Base de données Léonore », sur leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr (consulté le ).
- La fresque a été inaugurée en mars 2008
Base de données du ministère du Budget, relative aux comptes des communes
[modifier | modifier le code]- « Les comptes des communes - Tarare : chiffres clés » (consulté le ).
- « Les comptes des communes - Tarare : opérations de fonctionnement » (consulté le ).
- « Les comptes des communes - Tarare : fiche détaillée » (consulté le ).
- « Les comptes des communes - Tarare : opérations d'investissement » (consulté le ).
- « Les comptes des communes - Tarare : endettement » (consulté le ).
- « Les comptes des communes - Tarare : autofinancement » (consulté le ).
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
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