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Bien-être mental
Retrouvez les différents services, associations et projets qui sont menés à l'ULB qui concernent la santé mentale: groupes de paroles, ateliers de relaxation, projets de sensibilisation, ...
Quelques clés
Comme pour la santé physique, nous avons tous et toutes une santé mentale ! La santé mentale c'est avant tout une ressource qui permet de vivre sereinement. Il y aura toujours des hauts et des bas, c'est pourquoi il faut en prendre soin tout au long de sa vie.
Selon l'OMS, la santé mentale est un "état de bien-être qui permet à chacun de réaliser son potentiel, de faire face aux difficultés normales de la vie, de travailler avec succès et de manière productive, et d'être en mesure d'apporter une contribution à la communauté." Il ne s'agit donc pas de l'absence de troubles mentaux.
Plusieurs facteurs peuvent influencer la santé mentale :
- Les facteurs individuels : comme les facteurs biologiques (santé physique, génétique, genre, minorités sexuelles, minorités ethniques, ...), les facteurs psychologiques (personnalité, les compétences psychosociales, ...), ou encore les facteurs liés au parcours de vie (durant l'enfance, durant un parcours migratoire, etc.)
- Les facteurs sociaux et économiques : comme l'entourage (famille, amis, collègues, ...) et la situation économique (emploi, revenu, niveau d'éducation, etc.)
- Les facteurs sociétaux : le cadre de vie, la culture, la situation économique ou encore les politiques en place.
La santé mentale est donc une composante essentielle de la santé et un droit fondamental !
S'informer : en apprendre davantage sur diverses thématiques
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Différentes études ont mis en lumière que les arts (écouter de la musique, visiter un lieu culturel, peindre, jouer d'un instrument, faire du théâtre, danser, ...) participent à la prévention et la promotion de la santé. En effet les arts permettent de :
- créer du lien en participant à une activité et ainsi de lutter contre la solitude
- développer des compétences psychosociales (compréhension de soi, estime de soi, avoir une pensée créative, savoir communiquer efficacement, réguler ses émotions et son stress, développer la patience et l'empathie, ...)
- s'exprimer et développer une meilleure compréhension des maladies (et plus généralement de la santé)
- prévenir des problèmes de santé (diminution des hormones du stress, des risques de dépressions, de l'impact de traumatismes, du déclin cognitif, de la mortalité prématurée)
- encourager un mode de vie sain
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Selon l’OMS, le burn-out est «un syndrome conceptualisé comme résultant d’un stress chronique au travail qui n’a pas été géré avec succès. Il se caractérise par trois dimensions : sentiments d'épuisement, une distance mentale accrue par rapport à son travail, ou des sentiments de négativisme ou de cynisme liés à son travail ; et efficacité professionnelle réduite.
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En 1993, l'OMS introduit la notion de compétences psychosociales. Celles-ci sont regroupées en 3 classes : compétences cognitives, émotionnelles et sociales. Elles permettent aux individus d'agir dans leur environnement social, de s'intégrer dans un groupe en adoptant des comportements appropriés au contexte dans lequel ils se trouvent. Ces compétences permettent de répondre aux exigence de la vie quotidienne et de maintenir un bien-être subjectif.
Ces compétences psychosociales sont au nombre de 10 et regroupées en 5 catégories :
avoir conscience de soi, avoir de l’empathie pour les autres
- savoir gérer son stress, savoir gérer ses émotions
- avoir une pensée créative, avoir une pensée critique
- savoir communiquer efficacement, être habile dans les relations interpersonnelles
- savoir résoudre des problèmes, savoir prendre des décisions -
En automne les journées s'écourtent et le manque de lumière impacte notre moral. Découvrez notre interview dans le journal Le Soir : nous vous donnons 5 conseils pour garder le cap !
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Selon l'OMS : "La dépression est un trouble mental courant qui touche plus de 300 millions de personnes dans le monde. Elle se caractérise par une tristesse persistante et un manque d’intérêt ou de plaisir pour des activités auparavant enrichissantes ou agréables. Elle peut également se traduire par un manque de sommeil et d'appétit ; il est fréquent de ressentir une fatigue et un manque de concentration. La dépression est l’une des principales causes d’invalidité dans le monde et contribue grandement à la charge mondiale de morbidité. Les effets de la dépression peuvent être durables ou récurrents et peuvent affecter considérablement la capacité d’une personne à fonctionner et à vivre une vie enrichissante."
La dépression peut arriver à n'importe qui et à n'importe quel âge. Elle n'est en aucun cas un signe de faiblesse. La dépression peut être traitée !
Prenez contact avec un de nos psychologues du Service de Santé Mentale à l'ULB ou à Aimer à l'ULB : Trouver un service
Suggestions pour creuser le sujet :Faites un test pour vous situer.
Les résultats indiquent que vous pourriez souffrir d'une dépression ? Parlez-en avec un·e médecin généraliste ou un·e psychologue
Découvrez les différents types de psychothérapies et identifiez celle qui pourrait vous convenir !
Découvrez quelques conseils pour faire face à la dépression et ce en modifiant votre style de vie (alimentation, sommeil, activités physiques, ...)
Vous vivez avec une personne souffrant de dépression ? Découvrez ce qu'il faut savoir et comment l'aider.
En savoir plusDépression chez l'adolescent et le jeune adulte
En savoir plusDépression qui accompagne le vieillissement
En savoir plus -
Il s'agit d'un trouble mental qui se caractérise par des idées obsessives en lien avec l'apparence. Les personnes souffrant de dysmorphophobie pensent présenter un ou plusieurs défauts physiques perçus par la personne comme démesurés.
Ces personnes souffrent de ces préoccupations liées aux défauts qu'elles ont identifiés chez elles: "mon nez est trop grand, mes cuisses sont trop grosses, mon corps est trop chétif, la texture de ma peau n'est pas parfaite, etc." Les comportements peuvent alors être modifiés dans un souci démesuré de prendre le contrôle sur son apparence : régime drastique, avoir besoin de faire du sport de façon compulsive, se regarder dans un miroir pour vérifier son apparence très régulièrement, ...
Généralement, si ces défauts paraissent évident pour la personne, d’autres personnes les jugent insignifiants ou ne les avaient pas remarqués.
Ces pensées obsessives liées à l'esthétique impactent négativement l'estime de soi et peuvent perturber les comportements. Les personnes peuvent présenter des crises d'angoisse, se comparer trop souvent aux autres et se dénigrer, se mutiler, s'isoler, présenter des troubles alimentaires, avoir des pensées suicidaires, ...
Vous souhaitez en guérir ? Prenez contact avec un ou une de nos psychologues du Service de Santé Mentale à l'ULB ou à aimer à l'ULB
Trouver un service -
Les bienfaits de la nature sur la santé sont mis en lumière dans plusieurs recherches : diminution du stress, améliore la concentration et la qualité du sommeil, diminue la tension artérielle, ... Se promener en forêt ou dans un parc est donc une activité à prescrire pour prendre soin de sa santé mentale ! Certains médecins prescrivent d'ailleurs des promenades pour améliorer la santé mentale de leurs patient.es ! Découvrez notre onglet "Prendre un bol d'air"
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La méthode de la pleine conscience est une pratique méditative basée sur des exercices de respiration, de scan corporel, de visualisation, et parfois d'étirements.
Par le biais de cette méthode vous apprendrez à écouter vos ressentis et émotions, à mobiliser votre attention, à gérer la pression, à accéder à une réserve de calme et à mettre à distance les préoccupations et le stress.
Pratiquer la pleine conscience c'est donc s'ancrer dans l'instant présent et se donner des chances de réussir. Il s'agit également d'oser changer le regard que l'on porte sur soi, sur les autres et sur le monde qui nous entoure.
Différentes recherches soulignent que l'introduction de la pleine conscience dans l'enseignement supérieur peur apporter des bénéfices d'un point de vue académique : amélioration du contrôle attentionnel, de la concentration et de la mémorisation mais aussi diminution du vagabondage mental et du stress. Cette pratique peut donc soutenir la réussite universitaire.
Sources :
Schwind et al. (2017). Mindfulness practice as a teaching-learning strategy in higher education : A qualitative exploratory pilot study. Nurse Eucation Today, 50, 92-96.
Découvrez nos ateliers pleine conscience au fil de l'année sur nos campus
Activités santé et bien-être -
Les relations sociales, familiales et amicales contribue au bien-être mental. En effet, appartenir à un groupe permet de se sentir valorisé, reconnu, soutenu et intégré et augmente la confiance en soi. Cela permet également de trouver une oreille attentive lorsqu'on traverse une période compliquée et est dès lors un facteur protecteur contre la dépression. Par conséquent il est essentiel pour notre santé mentale de tisser des relations!
L'OMS souligne que la solitude est une menace urgente pour la santé. De nombreux jeunes souffrent du manque de liens sociaux.
Découvrez les projets en santé sociale -
Selon la ligue cardiologique, une bonne nuit de sommeil (entre 7 et 9 heures) permet d'améliorer notre santé.
En effet, le sommeil permettrait de réguler l'appétit, aurait un impact sur notre capacité à nous concentrer et à gérer le stress. Le sommeil a également un impact direct sur notre humeur, et donc sur nos compétences psychosociales...
De plus, un mauvais sommeil augmenterait l'appétit mais aussi favoriserait l'apparition d'une intolérance au glucose (et ainsi par la suite un diabète de type 2), la survenue d'arythmies cardiaques et d'insuffisance cardiaque.
En 2021, l'Observatoire de la Vie Etudiante de l'ULB mettait en lumière que 37,5% des répondant.es de son enquête sur le bien-être et la santé mentale déclarait avoir un niveau d'insomnie modérée ou sévère
Suggestions pour creuser le sujet :- découvrez en bas de page nos projets sur le campus
- découvrez la brochure de la ligue cardiologique "Et vous, vous dormez bien ?" Brochure en ligne
Quelques conseils pour une hygiène de sommeil
- Les heures de lever et du coucher doivent être constantes.
- Identifiez le nombre d'heures dont vous avez besoin pour vous sentir reposer (entre 7h et 9h)
- La chambre doit être l'espace réservé au sommeil et activités sexuelles : évitez d'y manger, d'y travailler ou d'y regarder une série
- Si vous optez pour une sieste : pas plus de 20 min !
- Évitez de manger trop tard en soirée
- Évitez les activités physiques en fin de soirée
- Evitez le café et l'alcool 6h avant de vous coucher
- Évitez les écrans avant d'aller au lit : préférez la lecture
- Vous n'arrivez pas à vous endormir ? Levez-vous.
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Peut-on apprendre en dormant ?
Par Philippe Peigneux, chercheur à l'ULB. Conférence à l’occasion de la Semaine Internationale du Cerveau
Podcast Milgram de Savoir (ULB) : éloge du lit
Les chercheur.es du Centre de recherche en psychologie sociale et culturelle (Faculté des Sciences psychologiques et de l'Éducation à l'ULB) vous invitent à découvrir leur podcast.
Cet épisode aborde pourquoi et comme le sommeil impacte notre apprentissage
Podcast : éloge du litMardi Healthy n°6 : prendre soin de son sommeil
Découvrez le Mardi Healthy consacré au sommeil : des astuces à mettre en place pendant la journée, en soirée et juste avant de s'endormir
Découvrir les conseils
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La thématique de la santé mentale est encore un tabou dans notre société. Les personnes qui vivent avec un trouble psychique (dépression, shyzophrénie, trouble bipolaire, ...) peuvent être mal vues par les autres, et sont parfois mises à l'écart. La crise sanitaire a pourtant eu tendance a déstigmatisé cette thématique, la parole se libère sur ce sujet. Découvrez nos conseils lectures et podcasts à ce sujet.
Suggestions pour creuser le sujet :
Podcast "Quoi de Meuf"
Britney Spears, Simone Biles, Naomi Osaka... Comment la parole sur la santé mentale s’est-elle libérée ?
QUOI DE MEUF #147 - SANTÉ MENTALE, UNE LIBÉRATION DE LA PAROLE
Podcast :"Normal" de la RTBF
Une série documentaire qui aborde la santé mentale chez les jeunes adultes au travers de 10 portraits, 10 personnes vivant au quotidien avec des troubles d’ordre psychologique (anorexie, dissociation, dépression, anxiété, trouble bipolaire, burn-out, alcoolisme, autisme ou spectre autistique, schizophrénie...).
NORMAL PodcastPodcast "C'est dans la tête"
Pour les personnes en souffrance psychique, la manière dont elles sont entourées est souvent primordiale. Ont-elles des proches? Sont-ils soutenants? Dans cet épisode, Audrey raconte comment et pourquoi, alors qu’elle a passé des années à se cacher, elle a fini par impliquer sa famille.
EPISODE 2 : PARLER À SES PROCHES -
Selon l'OMS: "Les troubles anxieux se caractérisent par une peur et une inquiétude excessives et par des troubles du comportement connexes. Les symptômes sont suffisamment graves pour entraîner un sentiment de détresse important ou des déficiences fonctionnelles majeures.
Il existe plusieurs types de troubles anxieux :
- trouble d’anxiété généralisée (se manifeste par une inquiétude excessive)
- trouble panique (se manifeste par des attaques de panique. Selon le Manuel MSD, les crises de panique affecteraient au moins 11% des adultes chaque année)
- trouble d’anxiété sociale (se manifeste par une peur et une inquiétude excessives dans des situations sociales)
- trouble d’anxiété de séparation (se manifeste par une peur ou une anxiété à l’idée d’être séparé des personnes avec lesquelles on a un lien affectif profond), etc.
Des traitements psychologiques efficaces existent et, en fonction de l’âge et de la gravité du trouble, des traitements médicamenteux peuvent aussi être envisagés."
Suggestions pour creuser le sujet :
Podcast ULB
Stress post-traumatique : un défaut de contrôle de la mémoire.
Alison Mary, chercheuse au sein du CRCN (Centre de Recherches Cognition et Neurosciences) de l'ULB, a travaillé sur le trouble de stress post-traumatique chez les victimes des attentats du 13 novembre 2015.
En savoir plus
Podcast ULB
Le perfectionnisme : ces idéaux
et exigences qui nous pèsent
Céline Douillez est chercheuse en psychologie clinique, professeure à l’Université catholique de Louvain, mais aussi psychologue clinicienne et psychothérapeute. Elle s’intéresse au perfectionnisme, mais aussi aux processus cognitifs de régulation des émotions tel que la rumination, l’acceptation, la pleine conscience, etc.
En savoir plusPodcast ULB
La crise climatique me fout la panique:
l’éco-anxiété
Alexandre Heeren chercheur qualifié FNRS, professeur de psychologie à l’UCLouvain, directeur du laboratoire de recherche sur les mécanismes du stress et de l’anxiété nous parle de l’éco anxiété.
En savoir plus -
Selon l'OMS : '"chaque année, près de 703 000 personnes se suicident et beaucoup d’autres font une tentative de suicide. Chaque suicide est une tragédie qui touche les familles, les communautés et des pays entiers et qui a des effets durables sur ceux qui restent. Le suicide intervient à n’importe quel moment de la vie et était la quatrième cause de mortalité chez les 15-29 ans dans le monde en 2019.
Le suicide n’est pas le seul fait des pays à revenu élevé, c’est un phénomène mondial. En fait, plus de 77 % des suicides sont survenus dans des pays à revenu faible ou intermédiaire en 2019.
Le suicide est un grave problème de santé publique ; or il peut être évité moyennant des interventions menées en temps opportun, fondées sur des données factuelles et souvent peu coûteuses. Pour que l’action nationale soit efficace, une stratégie globale multisectorielle de prévention du suicide s’impose."
Vous avez des idées suicidaires ou connaissez quelqu'un qui a des idées suicidaires ?
Contactez le centre de prévention du suicide : 0800 32 123
Quelques chiffres
La Belgique a un taux de suicide supérieur à la moyenne mondiale et européenne: on compte environ 5 suicides par jour en Belgique. Chez les jeunes âgés de 15 à 29 ans, le suicide est la quatrième cause de décès. Il s'agit de la 1ère cause de mortalité chez les 25-44 ans.
Source : Institut de Santé publique – SPMA, 2014 et Sciensano
Suggestions pour creuser le sujet :Avez-vous l'impression que la vie ne vaut pas la peine d'être vécue ? Vous avez des idées suicidaires ?
En savoir plusVous vous faites du souci pour une personne susceptible d'envisager le suicide ?
En savoir plusVous êtes un ou une membre du personnel et cherchez plus de ressources concernant cette thématique ? Contactez-nous
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Il s'agit de troubles liés à la relation d'une personne avec l'alimentation. Ces troubles peuvent avoir des conséquences sur la santé physique et mentale.
Plusieurs types de TCA existent :
L'hyperphagie boulimique ou "Binge Eating" se définit par le fait de manger de grande quantité de nourriture très rapidement et sans éprouver de sensation de faim. Cela provoque fréquemment un inconfort abdominal ainsi qu'une sensation de perte de contrôle. Bien souvent les personnes atteintes de ce trouble ressentent ensuite de la honte, de la culpabilité et ont une baisse de l'estime d'elles-mêmes. Une prise de poids importante peut en découler.
La boulimie se caractérise par un sentiment de perte de contrôle fréquente sur le comportement alimentaire et l'absorption compulsive d'une quantité importante de nourriture en peu de temps ( on parle généralement de moins de 2h). Ce comportement est généralement suivi d'autre comportements permettant de récupérer le contrôle sur son corps : vomissements, prise de laxatifs, exercices physiques intense, jeune, ...
L'anorexie consiste à restreindre de manière consciente et très importante l'alimentation dans le but de ne pas grossir ou de maigrir. Les personnes anorexiques contrôlent les aliments qu'elles consomment ainsi que leur valeur énergétique. Les personnes atteintes par ce trouble craignent de prendre du poids et souffrent bien souvent de dysmorphophobie (altération de la perception du poids ou de son corps). Il n'est pas rare qu'elles ne reconnaissent pas la gravité de leur maigreur. 2 types d'anorexie sont répertoriées :
- l'anorexie de type hyperphagique/purgatif : crise de boulimie + comportements "purgatoires" (vomissement, laxatifs, exercices physiques importants, ...)
- l'anorexie de type restrictif : évitement de certains produits et calcul des aliments ingérés ainsi que de leurs calories.
Vous souhaitez en discuter avec un·e professionnel·le ?
Découvrez les services ressources en lien avec le bien-être mental
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Le trouble de déficit de l'attention se caractérise par des problèmes de concentration, d'hyperactivité ou d'impulsivité. L'intensité de ces critères peut varier d'une personne à l'autre et créer des difficulté à l'école, au travail ou encore dans les relations sociales.
Selon l'OMS: "le trouble de déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) survient chez 3,1 % des jeunes de 10 à 14 ans et 2,4 % des jeunes de 15 à 19 ans,(1) qui ont du mal à fixer leur attention, ont un comportement caractérisé par une activité excessive et agissent sans tenir compte des conséquences."
Vous souhaitez en savoir d'avantage ? Prenez rendez-vous avec un.e neuropsychologue pour effectuer un test ou un.e psychologue pour en discuter.
Trouver un service ressource -
Les violences sexuelles peuvent avoir un impact sur la santé physique mais aussi sur la santé mentale. Elles peuvent notamment engendrer
- une perte de confiance en soi
- un repli sur soi et donc un sentiment de solitude ou à l'inverse une multiplication des partenaires sexuels
- des comportements auto-destructeurs, usage nocif de l'alcool et autres substances
- des troubles anxieux
- du vaginisme et autres troubles sexuels
- des idées dépressives ou encore suicidaire
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Nous vous invitons à consulter notre page sur la vie affective et sexuelle pour en apprendre davantage sur le consentement, les agressions sexuelles et le viol.
Nous vous invitons à consulter notre page dédiée aux services ressources de la vie affective et sexuelle si vous souhaitez contacter un.e professionnel.les.
Si les faits remontent à moins d'un mois, consultez le Centre de Prise en charge des violences sexuelles. Si les faits remontent à plus d'un mois, consultez SOS Viol.
Outils
Premiers secours psychologiques
Fournir du soutien psychologique et social, réconforter, identifier les besoins et mettre en lien avec les services.
En découvrir davantage
Que faire en cas de crise d'angoisse/ attaque de panique ?
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Projets à l'ULB
Développer des aptitudes personnelles
Participez à une séance de relaxation en ligne pendant la période du blocus (en hiver et au printemps). Un rendez-vous hebdomadaire de 30 minutes facile à placer dans son agenda. Plus d'informations
Retrouvez chaque année nos journées de sensibilisation dédiées au bien-être mental !
Découvrez des stands, des jeux, des conférences et des activités artistiques en lien avec la santé mentale. Plus d'informations
Le décret paysage et les règles de finançabilité inquiètent parfois les étudiant.es.
En savoir plus
Amélioration des milieux de vie
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Découvrez la Nap box au sein de la bibliothèque des sciences de la santé à Erasme et de la bibliothèque de droit !
La Nap box est un cocon de repos qui permet aux étudiant.es et employé.es de recharger leurs batteries au cours de leur journée et au sein de notre campus.
La durée optimale d'une sieste ne doit pas dépasser 20 minutes, c'est pourquoi les pistes audio fournies au sein du cocon sont dotées d'une minuterie intégrée. Cela permet non seulement d'optimiser les avantages d'une courte sieste, mais aussi d'éviter une utilisation excessive du cocon par une personne.
La position du cocon a été pensée sur base des normes MSIS développées par la NASA. Le cocon propose donc la position dite "Position 0 gravité". Il s'agit d'un ensemble d'angles qui permet à la colonne vertébrale d'être dans son alignement le plus soulagé, détendu et stable. Cela permet de réduire la pression sur les disques, d'améliorer la circulation et de soulager les douleurs dorsales et cervicales.
Quelques avantages à la sieste si vous n'êtes pas encore convaincu.e :- Diminution de la fatigue
- Diminution du stress
- Diminution des risques cardiovasculaires
- Amélioration de la mémoire
- Amélioration du moral et donc des relations sociales
- Amélioration du bien-être global
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L’hôpital Erasme, en collaboration avec Bruxelles Environnement, vous invite à expérimenter un parcours santé de type méditatif dans le parc du campus d'Erasme.
Il vous propose des techniques de gestion du stress et de développement personnel utilisées en Sophrologie, en Relaxation, en Pleine Conscience (Mindfulness) et en Hypnose Thérapeutique. Le parcours est situé le long du ruisseau « Vogelzangbeek », il est évolutif et composé de 8 postes que nous vous invitons à expérimenter en prenant votre temps.
Plus d'informations
Protocoles et dispositifs pour vous aider à vous sentir bien sur nos campus
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Vous présentez un TDAH ? Un trouble de l'apprentissage ? Un Haut Potentiel ? De l'anxiété sociale ? Une dépression ? Des troubles psychiques objectivés ?
L’Université s’engage à mettre tout en œuvre, tenant compte des ressources disponibles et dans les limites d’aménagements raisonnables, afin de permettre aux étudiants l’accès aux études sans discrimination aucune, tout en maintenant le niveau d’exigence garant de la valeur des diplômes qu’elle délivre.
Plus d'informations -
L'utilisation du "deadname" sur des documents officiels ou lors d'un appel en auditoire peut être une source de souffrance pour certain.es étudiant.es transgenres.
Le service social étudiant met à disposition une procédure leur permettant de faire reconnaitre leur prénom usuel sur certains documents de l'ULB. -
Vous vous inquiétez pour une personne qui indique vouloir se suicider ?
- Appelez un agent de sécurité : 02 650 26 14
- En attendant les agents de sécurité, parlez à la personne calmement, dites lui que vous êtes là pour l'écouter
- Proposez à la personne d'appeler le Centre de Prévention du Suicide pour parler à une personne formée sur la thématique : 0800 32 123
- Ne la laissez pas seule
Enquêtes à l'ULB
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La pandémie actuelle bouleverse le quotidien. Il ressort que les étudiant.e.s sont particulièrement touché.e.s par les mesures sanitaires : les cours se font en ligne, les fêtes sont interdites, les contacts sont restreints. Ils et elles doivent sans arrêt s’adapter à une nouvelle réalité. Tout ceci met au défi leur santé mentale. L' Observatoire de la vie étudiante de l'ULB (OVE) soulignait en mai dernier dans son enquête sur les conditions de vie et de travail en confinement une hausse du niveau de stress, une forte diminution du bien-être et de la qualité du sommeil. Ces différents facteurs influencent la capacité des étudiants à s’investir dans leurs études.
Découvrez l'enquête -
L'Université libre de Bruxelles (ULB) et l'Université catholique de Louvain (UCLouvain) collaborent sur différentes enquêtes en lien avec la vie étudiante. Différents acteurs définissent ensemble les thématiques à creuser: des académiques et des chercheurs, les Observatoires de la vie étudiante, les Services d’aide aux étudiants, ainsi que des acteurs de promotion de la santé en milieu universitaire (ULB Santé, Univers Santé...).
L'enquête " Bien-être et Santé mentale" a été diffusée au printemps 2021. Elle a pour objectif de décrire l’état de bien-être (émotionnel, social et psychologique) et de santé mentale (anxiété, dépression, trouble du sommeil, niveau de stress) des étudiants de l'ULB et de l'UCLouvain.
Cet état des lieux permettra dans un premier temps d'identifier les facteurs déterminants le bien-être et la santé mentale des étudiant.e.s. Il permettra également d'ajuster les politiques universitaires en matière de prévention et de prise en charge selon les besoins de sa communauté.
Principaux enseignements
- Plus de la moitié des étudiantes et étudiants (56,6%) ont confié être «plutôt» ou «très» inquiets à propos de la pandémie.
- 7 étudiantes et étudiants sur 10 se disaient «beaucoup» ou «fortement» stressés.
- Un tiers des étudiantes et étudiants interrogés (31,5%) présentaient des symptômes anxieux sévères.
- 40% du panel montraient des symptômes dépressifs «modérément sévères» (22,4%) ou «sévères» (17,6%); à peine 1 jeune sur 10 ne montrait aucun signe de dépression.
- Plus du tiers des sondés (37,5%) déclaraient des insomnies «modérées» (29,8%), voire «sévères» (7,7%).
Services d'aidesMalgré ces résultats inquiétants, seuls 29% des jeunes ont indiqué avoir cherché de l’aide auprès de professionnels de la santé; les autres ont invoqué le manque de temps ou de ressources financières ou le fait de ne pas savoir précisément à qui s’adresser.
Pour soutenir sa communauté étudiante, l’ULB a déjà mis en place un important dispositif d’aides, qu’elles soient psychologiques, financières, scolaires ou sociales. L’Université a notamment renforcé son soutien à son partenaire PsyCampus (une des antennes du Service de Santé mentale à l'ULB) afin d’augmenter les permanences d’accompagnement psychologique pour les étudiantes et étudiants en difficulté et le Service social étudiants a intégré le remboursement de consultations psychologiques dans les aides financières octroyées aux jeunes précarisés.
Autres informations
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Trouvez les contacts des services qui peuvent vous aider pour prendre soin de vous :
Services médicaux : service médical, service santé mentale à l'ULB, Centre de planning familial Aimer à l'ULB, etc.
Une page est notamment dédiée aux services santé mentale sur nos campus mais aussi à l'extérieur.
Services non médicaux : cellule d'accompagnement des étudiant.es à besoins spécifiques, service logement, aides financières, aides alimentaires, accompagnement à l'apprentissage, etc.
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Découvrez toutes les ateliers, groupes de paroles, conférences et journées de sensibilisation mis en place sur nos campus pour vous aider à développer vos connaissance et vous outiller. Cela vous permettra de poser des choix éclairés concernant votre santé et donc votre bien-être !