Thierry Mandon
Thierry Mandon, né le à Lausanne (Suisse), est un homme politique français. Il est nommé secrétaire d'État à la Réforme de l'État et à la Simplification le dans le gouvernement Valls I. Le , il change d'affectation et devient secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.
Thierry Mandon | |
Thierry Mandon en 2015. | |
Fonctions | |
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Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche | |
– (1 an et 11 mois) |
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Président | François Hollande |
Premier ministre | Manuel Valls Bernard Cazeneuve |
Ministre | Najat Vallaud-Belkacem |
Gouvernement | Valls II Cazeneuve |
Prédécesseur | Geneviève Fioraso (indirectement) |
Successeur | Frédérique Vidal (ministre) |
Secrétaire d'État chargé de la Réforme de l'État et de la Simplification | |
– (1 an et 14 jours) |
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Président | François Hollande |
Premier ministre | Manuel Valls |
Gouvernement | Valls I et II |
Prédécesseur | Marylise Lebranchu (Réforme de l'État) |
Successeur | Clotilde Valter |
Député français | |
– (3 jours) |
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Circonscription | 9e de l’Essonne |
Législature | XIVe (Cinquième République) |
Groupe politique | SER |
Prédécesseur | Romain Colas |
Successeur | Marie Guévenoux |
– (2 ans et 13 jours) |
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Élection | 17 juin 2012 |
Circonscription | 9e de l’Essonne |
Législature | XIVe (Cinquième République) |
Groupe politique | SRC |
Prédécesseur | Georges Tron |
Successeur | Romain Colas |
– (4 ans, 9 mois et 9 jours) |
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Élection | 12 juin 1988 |
Circonscription | 9e de l’Essonne |
Législature | IXe (Cinquième République) |
Groupe politique | SOC |
Prédécesseur | Proportionnelle par département |
Successeur | Georges Tron |
Premier vice-président du conseil général de l'Essonne chargé du développement économique | |
– (3 ans, 11 mois et 4 jours) |
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Président | Michel Berson |
Maire de Ris-Orangis | |
– (17 ans, 4 mois et 7 jours) |
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Élection | |
Prédécesseur | Daniel Perrin |
Successeur | Stéphane Raffalli |
Conseiller général de l'Essonne | |
– (18 ans, 3 mois et 7 jours) |
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Circonscription | Canton de Ris-Orangis |
Prédécesseur | Daniel Perrin |
Successeur | Stéphane Raffalli |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Lausanne (Suisse) |
Nationalité | Française |
Parti politique | PS |
Diplômé de | IEP de Paris |
Profession | Directeur général de la cité du design de Saint-Étienne |
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Maires de Ris-Orangis | |
modifier |
Membre du Parti socialiste, il a été député de la neuvième circonscription de l'Essonne, a siégé à la commission des finances et a également été porte-parole du groupe socialiste à l'Assemblée nationale jusqu'à son entrée au gouvernement. Il a également été conseiller général du canton de Ris-Orangis et maire de Ris-Orangis, avant de démissionner en 2012, anticipant ainsi la règle du non-cumul des mandats.
En 2017, il se reconvertit dans le secteur de l'édition.
Entre et octobre 2022, Thierry Mandon exerce les fonctions de directeur de la Cité du design à Saint-Étienne.
Biographie
modifierOrigines et vie familiale
modifierThierry Mandon est né le à Lausanne en Suisse[1].
Études et formation
modifierThierry Mandon a passé son baccalauréat en 1974 au lycée Saint-Exupéry, situé dans le quartier de La Croix-Rousse, à Lyon, en section lettres et musique[2]. Licencié en droit et en sociologie, il est par ailleurs diplômé de l’Institut d'études politiques de Paris[3],[4] (1987).
Carrière professionnelle
modifierDe 1993 à 1995, Thierry Mandon a exercé les fonctions de consultant en stratégie d'entreprise et gestion des ressources humaines de 1986 à 1995[3]. En 2017, il devient directeur général de Rollin Publications, et directeur de publications de l'Ebdo, hebdomadaire fondé par les créateurs de XXI et 6 mois[5]. En 2018, il devient directeur général de la Cité du design (Saint-Étienne)[6].
Parcours politique
modifierEncore étudiant, Thierry Mandon s’engagea en politique en 1984 et se présenta en 1984 aux élections européennes sur la liste d'Olivier Stirn et de Brice Lalonde[7] et en 1986 aux élections régionales sur la liste conduite par Brice Lalonde avant de rejoindre le Parti socialiste en suivant les courants de Laurent Fabius puis de Martine Aubry[8],[9]. Lors des élections législatives de 1988, il fut élu député de la nouvelle neuvième circonscription de l'Essonne et conserva son mandat jusqu’à la fin de la législature en 1993[1]. Successeur désigné du communiste Daniel Perrin, maire et conseiller général de Ris-Orangis, lors des élections cantonales de 1994, il fut élu conseiller général du canton de Ris-Orangis avec 57,94 % des voix au second tour et lors des élections municipales de 1995, il fut élu maire de Ris-Orangis. Il conserva son siège de maire lors des élections municipales de 2001 avec 44,76 % des voix au second tour et son siège de conseiller général lors des élections cantonales avec 55,39 % des voix au second tour[10]. Intégré à la majorité socialiste au conseil général de l'Essonne, il devint vice-président chargé du développement économique, des grands projets et de l’emploi et président de l’Agence pour l’économie en Essonne. En 2002, en prévision du Congrès de Dijon, il participa à la rédaction du texte fondateur du Nouveau Parti socialiste puis en 2005 lors du Congrès du Mans il rejoint le courant Rénover maintenant[11]. En 2007, il accorda son parrainage à la candidature de Ségolène Royal en vue de l’élection présidentielle[12]. À la faveur des élections municipales et cantonales de 2008, il fut réélu maire et conseiller général avec respectivement 53,82 % pour sa liste socialiste « Ris pour tous »[13] et 65,83 % des voix sur le canton[14]. En 2010, il se présenta à l’élection interne du Parti socialiste en Essonne pour désigner le futur président du conseil général de l’Essonne en cas de victoire aux élections cantonales de 2011[15] et fut écarté par les militants avec deux cent trente-six voix d’écart face à son adversaire Jérôme Guedj[16]. Lors de la primaire présidentielle socialiste de 2011, il soutient Arnaud Montebourg[17]. Lors des élections législatives de 2012, il remporte le scrutin avec 56,75 % des suffrages[18]. Anticipant la mise en place du non cumul des mandats, il démissionna de son siège de conseiller général le [19] et du mandat de maire le . Membre du mouvement Movida, il déclare le qu'il exclut de se rallier à Emmanuel Macron dans la campagne des élections présidentielles. Il préfère se rallier à Benoit Hamon qui aurait, selon lui, des « réponses » de gauche[20].
Synthèse des fonctions politiques
modifierMandats nationaux
modifierDéputé de la neuvième circonscription de l’Essonne
modifierLe , Thierry Mandon est élu député de la neuvième circonscription de l'Essonne pour la IXe législature. Il est, à l'époque, le plus jeune député à siéger dans l'hémicycle[9]. Il conserve son mandat jusqu’à la fin de la législature, le et siège sur les bancs du groupe socialiste[1]. Il est réélu dans cette même circonscription pour la XIVe législature et devient membre de la commission des Finances, de l'Économie générale et du Contrôle budgétaire[1]. En 2012, il officie en tant que porte-parole du groupe socialiste à l'Assemblée Nationale[21]. Il est par ailleurs rapporteur spécial pour l'enseignement supérieur et la vie étudiante pour 2013 et 2014, puis rapporteur de la mission d'information sur la simplification législative, dont le but est d'endiguer l'inflation législative et de réduire la complexité des normes et procédures actuellement en vigueur[22],[23].
Secrétaire d'État
modifierIl est nommé secrétaire d'État auprès du Premier ministre, chargé de la Réforme de l'État et de la Simplification le dans le gouvernement Valls I et est confirmé à ce poste dans le gouvernement Valls II.
Il est nommé secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche lors d'un remaniement ministériel, le mercredi [24] après une vacance du poste de quelques mois. En 2016, il a commandé un rapport sur l'application de la Charte de déontologie des métiers de la recherche au Pr. Pierre Corvol, professeur au Collège de France et vice-président de l'Académie des Sciences[25]. Sa prise en compte de la plupart des recommandations du rapport a permis le lancement officiel du dispositif français concernant l'intégrité scientifique[26] : formation des doctorants, mise en place des référents dans les établissements opérateurs de recherche, création de l'Office français de l'intégrité scientifique (OFIS), etc., avec une inscription dans le Code de la recherche depuis décembre 2020[27],[28].
Mandats locaux
modifierConseiller général du canton de Ris-Orangis
modifierThierry Mandon fut élu conseiller général du canton de Ris-Orangis le et a conservé ce mandat depuis. Au conseil général de l'Essonne, il est président délégué aux stratégies d’aménagement et de développement des territoires, aux transports et aux politiques contractuelles, membre de la commission permanente du Conseil général, de la commission sur les ressources départementales et de la commission sur l’aménagement et le développement durable. Il est en outre chargé de représenter le département au sein des conseils d’administration des collèges Albert Camus et Jean Lurçat de Ris-Orangis, de l’école de la deuxième chance, de l’opération d'intérêt national Massy Palaiseau Saclay Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, du centre international d’accueil d’entreprises d’Orly, de l’agence régionale de développement Paris-Île-de-France, du Syndicat des transports d'Île-de-France et du conseil départemental et participatif des déplacements[29],[30]. Il démissionna de son siège de conseiller général en juillet 2012 après avoir été élu député[19].
Maire de Ris-Orangis
modifierThierry Mandon fut élu maire de Ris-Orangis le et, à ce titre, il est délégué au bureau de la Communauté d'agglomération Évry Centre Essonne chargé des nouveaux transferts de compétences[31]. Il démissionne de son siège de maire en octobre 2012 après avoir été élu député[32].
Autres fonctions
modifierPrésident délégué du conseil général de l'Essonne jusqu'en , Thierry Mandon a représenté l’institution au sein du conseil d'administration et du comité d’orientation du groupement d'intérêt public Génopole. Il fut le président fondateur de Genopole entre 1998[33] et le [34].
Thierry Mandon préside le conseil d'administration de l’École de la deuxième chance en Essonne[35], et l’Agence pour l’économie en Essonne[36].
Conjointement avec son rôle de rapporteur de la mission d'information pour la simplification législative, Thierry Mandon copréside, avec Guillaume Poitrinal, le conseil de la simplification pour les entreprises. Créé le sur décision du Premier ministre, son rôle est de « proposer au Gouvernement les orientations stratégiques de la politique de la simplification à l'égard des entreprises. »[37] Le , le conseil présente 50 premières mesures de simplifications de la vie des entreprises[38],[39].
Le 30 octobre 2022, la ministre chargée des PME et du commerce Olivia Grégoire annonce la création d’un « conseil national du commerce » (CNC), qui travaillera à l’évolution du secteur et sera piloté par Thierry Mandon[40]. Il est nommé secrétaire général du CNC pour 3 ans par l'arrêté du 20 juin 2023[41].
Directeur de la publication d'Ebdo
modifierAu début de l'année 2018, Thierry Mandon devient directeur de la publication d'Ebdo[42], un hebdomadaire fondé par l'équipe du magazine XXI, Patrick de Saint-Exupéry et Laurent Beccaria.
Le , BuzzFeed annonce le dépôt de bilan du journal[43]. L'information est immédiatement démentie par la direction de Rollin Publications qui affirme que plusieurs options sont envisagées, le dépôt de bilan en étant une parmi d'autres[44]. Le , cependant, le compte Twitter de l'hebdomadaire révèle finalement que le numéro à paraître le lendemain sera le dernier[45], l'éditeur se déclarant en cessation de paiement[46].
Directeur de la Cité du design à Saint-Étienne
modifierEn septembre 2018, Thierry Mandon est nommé directeur de la Cité du design à Saint-Étienne, par délibération du conseil d'administration de l'EPCC Cité du design-ESADSE[47]. Il démissionne le mardi 18 octobre 2022, juste avant la publication d'un bilan financier faisant état d'un déficit de 1,4 million d'euros[48].
Affaire judiciaire
modifierLe 8 novembre 2022, le procureur de la République près le tribunal judiciaire de Saint-Étienne indique avoir reçu un signalement pour détournement de fonds par Thierry Mandon de la part du président de la Cité du design[49]. En février 2024, le parquet de Saint-Étienne annonce le renvoi en correctionnelle de Thierry Mandon pour faux et usage de faux en écriture, abus de biens sociaux, tentatives de détournement de biens publics par une personne chargée d'une fonction publique et escroqueries[50]. Il est soupçonné d'avoir indument perçu des notes de frais de la part de la Cité du design pour près de 26 000 euros au total[51].
Le procès se tient le 28 octobre 2024. Le procureur requiert 18 mois de prison avec sursis, 30 000 euros d'amende, 5 ans d'inéligibilité et une interdiction définitive d'exercer un emploi dans la fonction publique, et ce alors que Thierry Mandon est, depuis juin 2023, secrétaire général du Conseil national du commerce, présidé par le chef du gouvernement[52]. Le , Thierry Mandon est reconnu coupable et condamné à 22 000 € d'amende, un an de prison avec sursis, cinq ans d'inéligibilité ainsi qu'à une interdiction définitive de présider ou de diriger un établissement public[53].
Notes et références
modifier- Fiche de Thierry Mandon sur le site officiel de l’Assemblée nationale. Consulté le 2 juin 2014.
- « Thierry Mandon au lycée Saint-Exupéry ».
- « Thierry Mandon », sur France Inter (consulté le ).
- « Portrait », sur thierrymandon.fr (consulté le ).
- « Mandon / Ebdo : feu vert de la haute Autorité de la transparence », @rrêt sur images, (lire en ligne, consulté le ).
- « Thierry Mandon prend la tête de la Cité du design de Saint-Etienne », sur lesechos.fr (consulté le ).
- Liste ERE
- Lhaik Corinne, Martine Aubry côté Face, L’Express, , consulté le 2/06/2014.
- Article Législatives 97. Un duel doublé de rivalité haineuse. En Essonne, une querelle personnelle oppose Georges Tron, RPR, et Thierry Mandon, PS. paru le 31 mai 1997 sur le site du quotidien Libération. Consulté le 2/06/2014.
- Résultats des élections cantonales de 2001 sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 2/06/2014.
- Article Montebourg créé un nouveau courant paru le 12 décembre 2005 sur le site de l’hebdomadaire Le Nouvel Observateur. Consulté le 2/06/2014.
- Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l’élection du président de la République sur le site legifrance.gouv.fr Consulté le 2/06/2014.
- Résultats de l’élection municipale 2008 à Ris-Orangis sur le site L’Internaute. Consulté le 2/06/2014.
- Résultats de l’élection cantonale de 2008 dans le canton de Ris-Orangis sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 2/06/2014.
- Article Deux socialistes pour un fauteuil de président paru le 8 novembre 2010 sur le site du quotidien Le Parisien. Consulté le 2/06/2014.
- Article PS 91 : défaites de Mandon et Chouat paru le 3 décembre 2010 sr le blog de Jean Philippe Dugoin-Clément. Consulté le 2/06/2014
- Thierry Mandon, interviewé par Mariana Grépinet, « Thierry Mandon : "Montebourg peut battre Hollande à la primaire », Paris Match, semaine du 13 au 19 octobre 2016, p. 36.
- Résultats de l’élection législative 2012 dans la neuvième circonscription de l’Essonne sur le site du ministère de l’Intérieur. Consulté le 2/06/2014.
- Arrêté préfectoral n°2012-PREF-DRCL-455 du 19 juillet 2012 portant convocation des électeurs pour l'élection cantonale partielle à Ris-Orangis sur le site officiel de la préfecture de l'Essonne. Consulté le 2/06/2014.
- « Le secrétaire d’État Thierry Mandon soutient Benoît Hamon », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- Article Thierry Mandon, Porte-Parole du groupe PS à l'Assemblée paru le 9 mai 2014 sur le site du quotidien Les Échos. Consulté le 2/06/2014.
- Mission d'information sur la simplification législative sur le site de l'Assemblée. Consulté le 2/06/14.
- Simplifions la loi Dossier de Presse. Consulté le 2/06/14
- Nicolas Chapuis, « L’Élysée annonce un mini-remaniement du gouvernement Valls », Le Monde.fr, (ISSN 1950-6244, lire en ligne, consulté le ).
- « Mission relative à l'intégrité scientifique confiée au professeur Pierre Corvol », sur enseignementsup-recherche.gouv.fr (consulté le ).
- « Mise en œuvre du rapport de Pierre Corvol sur l'intégrité scientifique : les décisions pour quatre premières mesures », sur enseignementsup-recherche.gouv.fr (consulté le ).
- « Article L211-2 - Code de la recherche », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- « Section 2 : Le Haut Conseil de l'évaluation de la recherche et de l'enseignement supérieur. (Articles L114-3-1 à L114-3-6) », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- Fiche de Thierry Mandon sur le site officiel du conseil général de l’Essonne. Consulté le 25/12/2010.
- Fiche de Thierry Mandon sur le site du groupe socialiste au conseil général de l’Essonne. Consulté le 25/12/2010.
- Présentation de l’exécutif de la CAECE sur son site officiel. Consulté le 25/12/2010.
- Article Essonne : le maire de Ris-Orangis passe la main paru le 26 octobre 2012 sur le site du quotidien Le Parisien. Consulté le 2/06/2014.
- Fiche de Thierry Mandon sur le site officiel du Génopole. Consulté le 15/12/2015.
- « L'équipe », sur Genopole - Réussir ensemble en Biotechnologie (consulté le ).
- Article Discret Mandon paru le 20 juin 2012 sur le site du quotidien Le Parisien. Consulté le 2/06/2014.
- Article Francis Chouat à la tête de l'Agence pour l'économie paru le 31 mai 2011 sur le site du quotidien Le Parisien., Consulté le 2/06/2014.
- Simplifions pour les entreprises. Qui sommes-nous?, Consulté le 2/06/2014
- Les 50 Premières Mesures de Simplification pour les Entreprises. Consulté le 2/06/2014
- Article Choc de simplification : 50 mesures pour réduire la paperasse des entreprises paru le 14 avril 2014 sur le site de l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur. Consulté le 2/06/2014
- « Le futur « conseil national du commerce » piloté par Thierry Mandon », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- « Arrêté du 20 juin 2023 portant nomination du secrétaire général du Conseil national du commerce », sur legifrance.gouv.fr, (consulté le ).
- « ebdo », sur ebdo (consulté le ).
- « Deux mois après son lancement, le magazine «Ebdo» dépose le bilan », BuzzFeed, (lire en ligne, consulté le ).
- « Dépôt de bilan en vue pour "Ebdo"? », sur Le Figaro, (consulté le ).
- Ebdolejournal, « Demain sortira notre dernier numéro », sur Twitter, (consulté le ).
- « Le journal Ebdo s’arrête après trois mois d’existence », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
- https://www.leprogres.fr/loire-42-edition-saint-etienne-metropole/2018/08/28/thierry-mandon-nouveau-directeur-de-la-cite-du-design-de-saint-etienne
- « Loire. Cité du design : une démission et un audit devant « des éléments suspects » », sur leprogres.fr (consulté le ).
- « Cité du design de Saint-Étienne: l'ex-DG Thierry Mandon soupçonné de détournement de fonds par son président », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- Antoine Sillières, « L'ancien secrétaire d'État socialiste Thierry Mandon sera jugé pour escroqueries à la Cité du design de Saint-Étienne » , sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- « Saint-Etienne : Le procès de Thierry Mandon, ancien directeur de la Cité du design, renvoyé pour "motif médical" - France Bleu », sur ici par France Bleu et France 3, (consulté le ).
- « Saint-Étienne : 18 mois de prison avec sursis requis contre l'ancien directeur de la Cité du design, Thierry Mandon - France Bleu », sur ici par France Bleu et France 3, (consulté le ).
- « L'ex-secrétaire d'Etat Thierry Mandon condamné à 12 mois de prison avec sursis » , Challenges,
Pour approfondir
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modifierLiens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la vie publique :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Fiche de ministre sur le site officiel du gouvernement
- Conseil de la simplification pour les entreprises