Résumé de Sociologie
Résumé de Sociologie
Résumé de Sociologie
Dfinition :
Science positive et cumulative des faits sociaux.
Monographie : on choisit un cas.
Statistique : on voit sa frquence, son niveau de reprsentation dans la socit.
Science positive : dcrit ce qui est.
Science normative : dcrit ce qui devrait tre.
Science cumulative : les sociologues, partir des conclusions de leurs prdcesseurs, cherchent
des relations pour faire avancer les causes.
Faits sociaux : faits de groupe, de nombre, statistiquement dfinissable.
Le paradigme holiste : le tout (social) est dune nature diffrente de ses composants (individus).
Les comportements individuels sont les rsultats dimposition effectus par des structures
sociales. Travail du sociologue = mettre jour les structures ; dcrire, expliquer leur
fonctionnement au sein des groupes sociaux.
Hollisme : description, explication et non-comprhension (tout analyse de sondage est fond sur
le hollisme).
Le paradigme individualiste : le tout est gale la somme de ses composants. Le paradigme
individualiste part de lindividu pour expliquer un fait social.
Opportunits et dsirs :
Laction individuelle est soumise des contraintes sociales. Les contraintes dlimitent le champs
du possible lintrieur duquel lhmme est libre (opportunity set). Cest laxiome principale du
paradigme individualiste.
Contraintes sociales :
3 hypothses du modle :
Hypothse de prfrence
Hypothse de contrainte (opportunity set)
Hypothse de maximisation de lutilit
Contradiction entre forces et rapports de production. La bourgeoisie cre sans cesse des
moyens de production plus puissants ; mais les rapports de production ne se transforment
pas au mme rythme.
la 2me contradiction, celle existant entre la progression des richesses et la misre
croissante du plus grand nombre. De cette contradiction doit rsulter une rvolution et
lavnement de la socit socialiste.
Selon Marx la pauprisation croissante est due parce que la bourgeoisie tire sa richesse de la
plus-value (valeur dusage valeur dchange). Ceci signifie selon Marx que la prosprit de la
bourgeoisie est base sur lexploitation des travailleurs.
Selon Marx, la rvolution proltarienne diffrera de toutes les autres car contrairement au
autres, elle sera faite par limmense majorit au profit de tous.
Dans la mesure o il ny aura plus de classe cela marquera la fin de lHistoire.
Thorie de lEtat :
Pour Marx, lEtat est le moyen par lequel la classe dominante maintient sa domination et son
exploitation. Il est le fruit du mode de production. Do, la suppression des contradictions (par la
rvolution proltarienne) devrait logiquement entraner le dprissement de lEtat.
Pour Marx, lEtat nest pas neutre, en ralit il nexprime et ne sanctionne que la domination dune
classe. Pour citer le Manifeste, lEtat nest que le pouvoir organis dune classe en vue de
loppression dune autre classe .
Thorie librale :
Dans la thorie librale, lEtat joue le rle darbitre, il fixe les rgles que chacun doit respecter ;
il a donc un rle rgulateur. Cest pourquoi dans la thorie librale, lEtat est neutre et ne
soutient aucun groupe social particulier ; il nest domin par aucun groupe social ou classe.
La vision de Marx sur la thorie de lEtat a volu tout au long de sa vie. Dabord Marx dit que
lEtat disparat dun coup. Ensuite avec Engels, il explique une priode de transition (sera encore
plus explique et approfondie par Lenine).
Marx et Engels navaient pas une vision unique de la manire dont se produirait ce dprissement
de lEtat. Dans la conception la plus couramment admise, celle dvelopp par Lenine et qui est
devenu le dogme officiel de lidologie communiste, on passerait par 3 phases :
1. LEtat bourgeois
2. La dictature du proltariat (proprit des moyens de production disparat) ; 2raisons
pour lesquelles lEtat ne disparat pas encore compltement :
Il faut vaincre la bourgeoisie
Labondance nest pas encore atteinte.
3. Le communisme
Types de besoins :
1. Besoins absolus :
(faim, soif,) saturables CT
2. Besoins acquis ou relatifs :
Emile Durkheim:
Paradigme individualiste et aspect consensuel:
Approche consensuel (accent sur lordre social)
Division du travail (division du systme de rle) :
Rle social : schma de comportement attendu dun individu dans une situation donne (ex :proflve).
Thse de Durkeim : plus la densit sociale et morale crot, plus le systme des rles sociaux se
diffrencie.
Cette division du travail : un changement dans le systme de normes et des valeurs, ce quil
appelle solidarit.
Densit sociale : nombre dindividu qui vivent sur un mme territoire (= population)
Densit morale : proportion de relation entre individus sur un territoire donn.
Socit atomiste : densit morale = 0 et densit sociale = 4
Socit collecte : densit morale = 6 et densit sociale = 4
Solidarit :
Solidarit mcanique :
Cest une solidarit qui exigent ladhsion totale au groupe, labsorption des consciences
individuelles dans la conscience collective.
Solidarit organique :
Ladhsion au groupe nest pas totale. Lindividualisme prvaut. Ici, les membres du groupe
exercent des tches diffrentes, il y a un degr de spcialisation.
Il ya cependant un problme avec la naissance, et surtout la continuation, de cette solidarit
mcanique, ce qui ntait pas le cas avec la solidarit automatique. Il existe don un lment
conflictuel, dans la thorie des jeux, on parle de jeu conflictuel somme positive (les 2 gagnes
mais un plus que lautre).
Le suicide :
Forme ngative de solidarit. Arrive quand lintgration de lindividu dans son groupe nest pas
optimale.
Hypothse fondamentale : lquilibre de la personnalit (bonheur de lindividu) dpend de
lintensit des liens entre individus et socit qui ne doivent tre ni trop troit ni trop distendus.
Pour Durkeim, le suicide nest pas un phnomne psychologique ou psychopatologique. Pour lui le
suicide est un fait social. Durkeim a aussi dtruit les thories de lpoque qui dclaraient que
celui-ci tait li la mto.
Les 4 types de suicides :
1.
Non
oui
Faible
Altruiste (suicide
collectif)
Fort
goste (suicide
dpressif)
Anomique (individus
Fataliste (kamikaze)
faible personnalit)
prsence
Absence
mcanique
Organique
solidarit
Max Weber :
Paradigme individualiste et consensuel :
Les 4 types dactions :
1.
La rationalit instrumentale concerne uniquement le lien entre les moyens et le but. Une action
est rationnelle par rapport un but si les moyens utiliss sont appropris au but poursuivi. Le
caractre raisonnable concerne, lui, le but ; il sagit dun jugement moral sur le but poursuivi.
Rem : toute action raisonnable est rationnelle mais toutes action rationnelle nest pas raisonnable.
Les socits modernes devenaient rationnelles non linaire (Weber).
Le dsenchantement du monde :
En rapport avec ce processus de rationalisation, Weber parlait de dsenchantement du monde. Il
voulait dire quun monde o il ny aurait plus que des actions rationnelles par rapport un but
serait un monde triste, ennuyeux. Mais aussi et surtout, quun monde totalement rationnelle
serait une jungle, c--d un monde anomique o les plus forts et les plus malins seraient les
matres.
Lordre social ne peut en effet uniquement reposer sur des actions rationnelles par rapport un
but dindividus gostes. Lexistence dun ordre social suppose aussi que les individus soient guids
par des normes, des valeurs ou des traditions. Cela suppose que le domaine des actions
rationnelles par rapport une valeur et des actions traditionnelles ne disparaissent pas
compltement.
Cest pourquoi Weber pensait que le problme philosophique de notre temps tait de dlimiter le
secteur de la socit o subsisterait une action dun autre type (ex : respect du code de la route,
croyance en S-t Nicolas,)
Lidal-type :
Selon Weber, on obtient lidal-type en accentuant unilatralement un ou plusieurs points de vue
et en enchanant une multitude de phnomnes isols, diffus et discrets, que lon trouve tantt
en grand nombre, tantt en petit nombre, par endroit pas du tout, quon ordonne selon les points
de vue choisis unilatralement pour former un tableau de penses homogne.
Lidal-type dsigne lensemble des concepts que le sociologue construit aux seule fins de la
recherche. Le travail du chercheur consiste ensuite dterminer si la ralit observe se
rapproche ou scarte de lidal-type. Un idal-type nest ni vrai, ni faux mais seulement utile ou
non pour comprendre la ralit.
Les 3 types dautorits :
Pour Weber : le pouvoir cest la chance qu un individu de faire triompher au sein dune relation
sociale se propre volont contre des rsistances.
Une relation dautorit est une relation de pouvoir dans laquelle le chef considre quil a un droit
exercer ce pouvoir et dans laquelle le sujet accepte ce pouvoir comme lgitime. Une relation
dautorit contient un lment de rciprocit qui est absent dune siple relation de pouvoir.
Les 3 idaux-types dautorit :
1.
lautorit charismatique :
2. lautorit traditionnelle :
Rem :
les subordonns acceptent les ordres de leur chef car ils sont en accord avec un
ensemble de rgles plus abstraites quils considrent comme lgitimes (lois,
constitution,)
Weber autorit qui est devenue la forme dominante dautorit dans les
socits modernes. Sa gnralisation est le rsultat de la complexit croissante
de la division du travail et du processus de rationalisation.
Le fait que lautorit rationnelle lgale appartienne au domaine des actions
rationnelles par rapport un but signifie que lobissance nest plus automatique,
entire, comme ctait le cas avec lautorit charismatique et lautorit
traditionnelle. Les individus rflchissent, ce qui ntait pas le cas avec les autres
formes dautorit.
1.
Non
Oui
1. les actions o il nexiste ni un lien objectif ni un lien subjectif entre moyen et fin :
Il sagit dune catgorie purement logique (croisement des 2 variables).
2. les actions o il nexiste pas de lien logique entre moyen et fin, mais un lien subjectif :
(ex : croyances, superstitions,) trs courantes.
Correspondent aux actions rationnelles par rapport une valeur. Actions rationnelles par
rapport un but parfois logique.
3. les actions o il existe un lien logique entre moyens et fin, mais pas de lien subjectif :
Ces actions produisent des effets mais ceux-ci ne rsultent pas de la volont de lindividu
(ex : rflexe).
correspondent aux actions affectives et dans uen moindre mesure aux relations
traditionnelle.
4. les actions o il existe un lien logique entre moyens et fin et un lien subjectif, mais o les
effets objectifs ne sont pas ceux dsirs par lindividu :
(effet pervers) ce type daction est particulirement important (ex : embouteillages)
Actions rationnelles par rapport un but parfois logique.
Pour Pareto, les actions logiques ressortent du domaine de lconomie, les actions non logiques
constituent le champ de recherche de la sociologie. Il sen suit que lobjectif de la sociologie
est dexpliquer scientifiquement les raisons dtre des actions non logiques et dtudier leur
incidence sur le fonctionnement des socits.
Rsidus et drivations :
Rsidus : actions non logiques = sentiments, instinct.
Rsidus = parties constantes des actions non logiques.
Drivations : parties variables des actions non logiques.
6 classes de rsidus :
1.
linstinct de combinaison :
instinct de crativit.
2. la persistance des agrgats :
conservatisme. Pousse les hommes linertie, au refus de tout changement.
Ce sont les 2 principaux.
3. le besoin de manifester ses sentiments par actes extrieurs :
ex : rituels, uniformes, symboles,
4. le besoin de sociabilit :
solidarit et conformisme
5. le besoin dintgrit :
Instinct de proprit ; au contraire de Marx, ce besoin est instinct naturel.
6. linstinct sexuel :
Changement social et rsidus :
Selon Pareto, chaque socit diffrent dans la manire dont elles reconnaissent, encouragent ou
rpriment ces diffrents rsidus ou sentiments.
Pour Pareto, linstinct de combinaison et la persistance des agrgats ont une opposition naturelle
si bien que si lun et fort, lautre est faible et vice versa.
rapport communautaires :
2. rapports socitaires :
Socit
Universalisme
Performance
Neutralit affective
Spcificit
Les rles sociaux sont des systmes de contraintes normatives auquelles sont censs se plier les
acteurs qui les occupent, et de droits corrlatifs ces contraintes.
Remarque :
1. rle et positions nexistent pas dans la socit ; ce sont des grilles intellectuelles qui
permettent de rendre compte de la ralit.
2. les positions et les rles existent en dehors des individus qui les occupent.
3. le mme rle peut tre rempli par plusieurs personnes et une mme personne remplit
toujours un trs grand nombre de rles.
Groupes de pression
Groupes latents ou quasi groupes :
Un groupe latent ou quasi groupe est un ensemble dindividus partageant non seulement une
caractristique commune, mais aussi un intrt commun. Ce nest pas non plus un vritable groupe
social.
Le groupe latent ne manque que dune seule caractristique pour devenir un groupe social : les
membres prennent conscience de leur intrt commun et sorganisent.
Groupes organiss :
Action collective :
Schma classique :
Intrts commun prise de conscience action collective
Le paradoxe de laction collective :
Sous des conditions gnrales, des individus rationnels cherchant maximiser leur utilit
nagiront pas collectivement.
Lintrt personnel ne suffisant pas, il faut que dautres conditions soient runies.
Le modle du dilemme du prisonnier (Olson) :
Joueur B
cooprer
Ne pas cooprer
Cooprer
(-1 ;-1)
(-5 ;0)
Joueur A
Ne pas cooprer
(0 ;5)
(-3 ;-3)
Organisation exogne :
Une organisation exogne se met en place pour reprsenter les intrts du groupe latent. Ces
groupes ou individus agissent pour leur propre intrt.
Mcanismes coercitifs et incitant slectif :
Mcanisme coercitifs : faire payer des cots de non participation.
Incitant slectif : incitant indirect biens slectifs bien individuel rserv ceux qui ont
particip individuellement laction collective.
Ces 2 mcanismes essaient de modifier le calcul cots/bnfices, dune part, en augmentant les
cots de non participation (mcanisme coercitif) et, dautres part, en augmentant le bnfice de
la participation (stimulant positif).
Limites de la thorie dOlson :
Ce modle est bas sur un modle utilitariste de la rationalit. Lacteur rationnel est suppos
poursuivre des fins concidant avec ses intrts les plus immdiats ; en employant les moyens les
plus appropris. Dans cette mesure, ce modle ne peut quimparfaitement expliquer des
phnomnes collectifs, tels que le fanatisme religieux ; c--d des types de comportements
faisant appel dautres types de rationalit, voir irrationnels. Les comportement compltement
irrationnels sont moins nombreux quon ne le croit ; on peut donc, le plus souvent, avoir recours
des modles rationnels pour expliquer le comportement collectif des individus.
9.
Organisation conomique
Organisation bureaucratique
La principale diffrence entre les deux, cest la faon dont elles sont finances.
Toute organisations consomme un certain nombre de facteurs (inputs) quelle doit se procurer sur
un march pour produire quelques chose (output).
Une organisation conomique vend ses outputs sur le march il faut que ces produits soient
comptitifs sinon faillite.
Les organisations bureaucratiques, par contre, ne doivent pas vendre leurs outputs sur un march
pour financer lachat de leurs inputs. Elle reoivent un budget de lEtat pour financer lachat de
ces inputs. Il ny a donc pas de lien direct entre ce quelles produisent et les ressources quelles
reoivent pour pouvoir produire ce service.
Le niveau de financement dune bureaucratie dpend :
Downs parle, dans le cas des organisations bureaucratiques, dorganisations unifaces (elles se
tournent une seule fois sur le march pour acheter leurs inputs). Dans le cas des organisations
conomique dorganisations bifaces (elles se tournent 2fois sur le march (pour acheter inputs et
pour vendre outputs).
Parce quelles se trouvent dans un environnement comptitif, les organisations conomiques sont
obliges de se comporter souplement, de sadapter, si elles veulent survivre. Elles doivent
rapidement ragir aux modifications survenues dans leur environnement.
Les organisations bureaucratique peuvent se permettre de ragir moins vite aux transformations
de leur environnement. Elles ne doivent en effet pas faire de profit. Elles doivent seulement
faire en sorte de rester dans un rapport de forces favorable avec le pouvoir.
La bureaucratie (Weber) :
On retrouve lautorit rationnel lgale au sein des organisations complexes.
Lidal-type bureaucratique wbrien est caractris par un certain nombre de traits
systmatiquement agencs qui le distingue de la forme prcdente dorganisation, savoir
lorganisation patrimoniale :
Dans une organisations complexes on ne retrouvera pas ces 7 lments de manire parfaite.
Organisation patrimoniale base particulariste et de qualit.
La gnralisation de la bureaucratie :
Pour Weber, cette forme dorganisation tait amen se gnraliser pour 3 raisons :
Pour les dirigeants, elle est efficace et elle procure un effet multiplicateur de leur
pouvoir.
Pour les membres (= les subordonns), elle procure certains avantages (formation
principale, traitement fixe).
Pour les clients
sociaux. Cette tendance fait que lorganisation devient une fin en soi et non plus un moyen
datteindre un but. Cette loi a t dvelopp par une tude du parti social-dmocrate allemand
(au dbut du sicle).
La loi dairain de loligarchie peut facilement sexpliquer si on utilise la thorie dOlson (on va au
pouvoir pour le pouvoir et non pour les programmes).
2 types de membre : permanent et militants
le pouvoir tait aux permanents on voulait se maintenir au pouvoir les dirigeants slisaient
entre eux. La loi dairain : tendance qui se manifeste au macro-niveau qui peut sexpliquer par des
comportements individuels.
Consquence logique du fait que les membres essaient de maximaliser leur utilit.
Les dirigeants voient leurs prrogatives restreintes.
Il sagit dun processus de longue dure qui, dans les organisations tant publiques que prives,
tend soustraire les statuts et leurs titulaires aux interventions et aux contrles des
dirigeants, ou des instances qui fournissent les ressources ncessaires leur fonctionnement.
La bureaucratie des emplois est plus manifeste dans les organisations unifaces.
Les membres essaient de minimiser la sphre dautonomie des dirigeants nouveaux rglements,
La typologie dEtzioni :
Selon lui, les moyens de contrle utiliss par les organisations sont au nombre de 3 :
physiques
matriels
symboliques
Types de pouvoirs :
Rem : le pouvoir normatif pur suppose que la sphre des actions rationnelles par rapport une
valeur soit encore tendue. Dans nos socits, ce type de pouvoir nest plus gure efficace.
Types de participations :
1. Participation alinante : dsigne une orientation moins intense des membres envers le
pouvoir organisationnel (ex : prisonnier).
2. participation calculatrice : forme typique dans nos socits. Dsigne une orientation plus
ou moins de faible intensit (salaris : participent aux but de lentreprise mais seulement
de faible manire car ils poursuivent aussi leurs propres buts).
3. participation morale : dsigne une orientation de plus forte intensit (ex : membres dune
secte, organisation volontaire ; on partage fortement, compltement les buts de
lorganisation tel point quils perdent la notion de leurs propres intrts.
Types de conformit :
Quand on croise le type de pouvoir et de participation, on a la structure de conformit :
Pouvoir
Participation
Alinance
Calculatrice
Morale
Coercitif
Conformit coercitive
Utilitaire
Normatif
Conformit utilitaire
Conformit normative
Classe sociale :
Forme particulire de strate. Rpartition des gratifications et des privilges entre les individus
prsente un caractre discontinu. Les classes sont spares les unes des autres et se distingue
par des caractres qualificatifs et pas seulement quantitatifs.
Causes de la stratification sociale :
Thorie marxiste :
Rapports de production expliquent les systmes dingalits. Ce qui dfinit les classes cest sa
place dans le processus de production. Toute les thories de Marx ont en commun la lutte des
classes ce qui diffre cest le nombre de classe :
Marx distingue :
2 classes : proltariat bourgeoisie
3 classes : proltariat bourgeoisie propritaires
7 classes : proltariat bourgeoisie propritaires banquiers boutiquiers
agriculteurs sous proltariat.
Le nombre de classe diffre selon lapproche.
Thorie de Marx :
Rapports de production stratification
Intrts contradictoires lutte des classes
La thorie de Pearsons :
Parsons part galement du principe que la stratification rpond une ncessit sociale. Sa
thorie diffre nanmoins de la thorie de Davis et Moore dans la mesure o il fait des valeurs
centrales en vigueur dans une socit le principe qui dtermine le montant des rmunrations
attaches aux position socioprofessionnelles principe de dtermination des rmunrations =
valeurs centrales.
Nexplique pas pourquoi la valeur diffre selon les socits.
Peut seulement rendre compte des position extrme pas des positions proches.
Les thories bases sur les lois de loffre et de la demande (march) :
Plus loffre est leve, moins sont les avantages.
Plus la demande est leve, plus les avantages le sont (mais march imparfait).
Selon ce type de thorie, les gratifications sociales dpendent de loffre et de la demande
correspondant tel ou tel emploi.
Loffre correspond au nombre dindividus qui veulent exercer un mtier dtermin. Cette offre
est fonction du degr de difficult dapprentissage et dexcution des tches correspondant aux
emplois et du prestige de cet emploi. La demande est le nombre de places qui sont proposes par
les employeurs.
Thorie
Thorie
Thorie
Thorie
Conclusion :
Le paradigme du march est le seul des 3 tudis qui peut prtendre une certaine gnralit.
Le prestige, le revenu, le pouvoir, sont toujours des gratifications correspondant une certaine
demande sociale. Cette demande dpend des caractristiques du systme dans lequel elle
apparat.
Les Etats ou ordre sont des types de strates fonds, comme les castes, sur lhrdit, mais dune
manire beaucoup plus souples.
3 ordres :
1. noblesse
2. clerg
3. tiers Et
Les classes :
A la suite de labolition des privilges hrditaires (rvolution franaise), les classes ont succd,
dans nos socit, aux Etats. La principale diffrence entre le systme de classes et celui de
castes ou dEtats est, dune part, que le premier est lacis et, dautres part, quils nesp pas
officiellement lgitim, mais constitue simplement un Etat de fait.
Ex : socit occidentale bourgeoisie et proltariat (pas justifi en termes religieux).
La stratification sociale dans les pays industrialiss :
La stratification sociale dans les socits industrialises se caractrise par le fait que plusieurs
critres de distinction sont simultanment en jeu et quaucun dentre eux ne dtermine de
coupures biens nettes. Autrement dit, la division de la socit en classes a cd la place une
diffrenciation en strates.
La mobilit sociale :
Le concept de mobilit sociale recouvre deux ralits bien distinctes :
1.
de type communautaire : base sur lethnie, la langue, la parent (ex : Rwanda, Kosovo) =
dimension horizontale.
De type associatif (ex : syndicats) : base sur les catgories socio-professionnelle,
politique et conomiques (ex : conflits sociaux).