Hyperbole 2de 2010
Hyperbole 2de 2010
Hyperbole 2de 2010
Chapitre
1. Page d’ouverture O
• Énigme ✱
2,2 cm
Volume d’un cube d’arête x : V = x3
Volume d’un cube d’arête 1,5x : V’ = 1,53x3
237,5
Or : 1,53 = 1 + , donc le volume a augmenté de H 4,5 cm A
100
237,5 %.
a) La base de est un disque de diamètre 3 cm.
• Énigme ✱ ✱ 3 2
L’immeuble
Son volume V est donc π × ()
2
× 3, soit
27
4
π cm3.
possède 14 faces. Le diamètre de est 3 cm, son volume V est donc
3 3
4
3
× π× ()2
9
, soit π cm3.
2
La base de est un carré d’aire 9 cm2, son volume V
1
est donc × 9 × 3, soit 9 cm3.
3
9 18
b) × π = π donc V < V
2 4 Par conséquent :
2. Vérifier les acquis
36 18 V < V < V
9= = × 2 donc V < V
4 4
a) b) c)
3. Activités d’approche
• Activité 1
Voici les onze patrons non superposables d’un
a) ABCD et EFGH sont deux faces parallèles de ce
cube :
solide.
b) Ce solide est un prisme droit à base trapézoïdale.
c) H H
E E
D
D A ou A
G F G F
C B C B
La section de la pyramide SABCD par le plan pas-
sant par M et parallèle à sa base est un rectangle dont a) (AB) et (EF) sont parallèles.
les côtés sont parallèles à ceux de la base ABCD. b) (AB) et (CD) sont sécantes.
c) (EH) et (BC) sont parallèles.
a) La section du cylindre par le plan passant par
d) (EF) et (CD) ne sont ni parallèles ni sécantes.
N et N’ et parallèle à son axe est un rectangle.
b) La section du cylindre par le plan passant par P
et perpendiculaire à son axe est un disque de rayon
1 cm. 3 cm
7 cm
4. Exercices de base
3 cm
2 cm
3 cm
3 cm
m
E C
I
B
Remarque : on peut aussi corriger le dessin ainsi (il y a
alors 5 erreurs).
2 cm
D
F A
E C
a) 2π × 3 cm = 6 πcm.
I
b) D’après le théorème de Pythagore : B
SM2 = 42 + 32 = 25 donc SM = 5 cm.
c) D’après le tableau de proportionnalité ci-dessous : a) B
A
C
3 cm
6π × 360° 360° 2π × 5 cm
x= = 216°. E
10π x 6π cm
D 4 cm F
d)
C B
b)
E
216°
3 cm
2 cm
3 cm
5 cm
F 2 cm E D 4 cm
F
a) b) O2
I1 O
C A C
3 cm
5 cm
A B O1
B O3
E1 H1
A D
1,5 cm a) I, A et B sont alignés, donc il y a plusieurs plans qui
E2 3 cm H2
contiennent I, A et B (par exemple : (ABC), (ABG), (ABF), …)
Donc I et (AB) ne définissent pas un plan unique.
b) I, H et G ne sont pas alignés car I ∉ (GH).
Donc I, H et G définissent un plan unique, ainsi que I
I2 et (GH).
c) A ∉ (GH) donc les points A, G et H ne sont pas alignés.
a) Le segment [BH] est à l’intérieur du parallélé- Ils définissent donc un unique plan . contient G et H
pipède rectangle ABCDEFGH, il doit donc être dessiné en donc il contient la droite (GH).
pointillés (il est caché par les faces BCGF et CGHD). De plus, ABGH est un rectangle, donc B ∈ (AGH).
b) Le solide est un prisme à base triangulaire. On peut y contient A et B, donc il contient la droite (AB).
déceler quatre erreurs : (AB) et (GH) définissent donc un plan et un seul.
3
a) (AB) et (CG), (EH) et (BF), … a) H G
b) (EH), (EA), (ED).
E F
a) (BH) et (BC) ont le point B en commun. De plus O'
O
H ∉ (BC) donc (BH) et (BC) ne sont pas confondues. Donc
(BH) et (BC) sont sécantes en B.
b) (BC) est une droite contenue dans le plan (BCG). D C
Le point E n’appartient pas au plan (BCG). A B
La droite (EG) coupe donc le plan (BCG) en G, et
b) (BEG) et (AFC) sont deux plans distincts car, si A
G ∉ (BC).
appartenait à (BEG) alors G appartiendrait à (BEA), ce qui
La droite (EG) coupe le plan (BCG) en un point qui est faux. Les points O et O’ appartiennent tous deux aux
n’appartient pas à la droite (BC), donc les droites (EG) et plans (BEG) et (AFC).
(BC) ne sont pas coplanaires. Les plans (BEG) et (AFC) sont donc sécants selon la
c) EGCA est un rectangle, donc (EG) // (AC). droite (OO’).
1. a) (AF) est incluse dans le plan (ABC). 1. a) Cette section semble être un rectangle.
(GE) est une droite qui n’est pas incluse dans (ABC) 2. a) F appartient à (DFI) et à (EFG) donc il appartient à
car G ∉ (ABC), donc (GE) coupe le plan (ABC) en E, et leur intersection Δ.
E ∉ (AF). Par conséquent (AF) et (GE) ne sont ni sécantes, b) (DIF) et (ABC) sont distincts car F ∉ (ABC). La droite
ni parallèles : elles ne sont pas coplanaires. (DI) est incluse dans (DIF) et dans (ABC), donc elle est
b) (EH) et (BC) ne sont pas coplanaires, car (EH) coupe leur intersection.
(BCD) en H et H ∉ (BC). c) Les plans (ABC) et (EFG) sont confondus respecti-
c) (FG) et (BC) sont sécantes en F car ces droites ne sont vement avec les plans (ABCD) et (EFGH). Ils sont donc
pas confondues, et F appartient à ces deux droites. strictement parallèles. Le plan (DIF) coupe donc (ABC) et
(EFG) suivant deux droites parallèles (propriété P5).
2. a) (CH) et (ABD) sont sécants en un point de la droite
Δ est ainsi la parallèle à (DI) passant par F.
(BD).
d) A I B
b) (BD) et (ACH) sont sécants. Leur intersection est le
point d’intersection des droites (BD) et (CH).
D C
a) F appartient au plan (BCG), donc B et F sont
E F
communs aux plans (ABF) et (BCG).
Ces deux plans ne sont pas confondus car A ∉ (BCG).
H G
Donc (ABF) et (BCG) sont sécants selon la droite (BF). Δ
b) (CDH) et (EFG) sont sécants selon la droite (GH). Dans le plan (SAB), le théorème des milieux
c) (AEG) et (ADH) sont sécants selon la droite (AE). appliqué au triangle SAB permet de conclure que (IL)
d) (BDH) et (CGH) sont sécants selon la droite (DH). est parallèle à (AB).
ABCD est un carré, donc (AB) // (CD).
a) (AIE) et (BIG) sont distincts car G ∉ (AIE).
(IL) // (AB) et (AB) // (CD) donc (IL) // (CD).
La droite (AB) est incluse dans (AIE) et dans (BIG), donc
elle est l’intersection de (AIE) et de (BIG). a) Dans le plan (DAM), (KH) // (AD) ;
b) Les plans (ADI) et (BKC) sont confondus, donc leur d’après le théorème de Thalès :
intersection est (ADI) (ou (BKC) ou (ABCD)). MH MK HK
= = .
c) Les plans (HEF) et (BKC) sont strictement parallèles, MD MA DA
donc leur intersection est l’ensemble vide. HK HK 1
Or = = .
DA HE 2
a) (AIJ) et (ABC) sont sécants selon la droite (AI). MK 1
Donc = et K est le milieu de [AM].
b) (AIJ) et (BCD) sont sécants selon la droite (IJ). MA 2
c) Les plans (ABJ) et (ADI) ont le point A en commun. On prouve de façon analogue que L est le milieu de [AN].
Les droites (BJ) et (DI) sont sécantes en un point O (centre En considérant le triangle AMN, le théorème des milieux
permet de conclure que (KL) // (MN).
de gravité du triangle BCD).
Donc O est un point commun aux plans (ABJ) et (ADI). M et N appartiennent au plan (GEM) donc la droite
Or ces plans ne sont pas confondus car I ∉ (ABJ). (MN) est contenue dans le plan (GEM). Elle est aussi
Donc (ABJ) et (ADI) sont sécants selon la droite (AO). contenue dans le plan (ABC).
4
Les plans (GEM) et (ABC) se coupent donc suivant la On en déduit que BI = EL. Le quadrilatère BILE a donc
droite (MN). deux côtés [BI] et [LE] parallèles et de même longueur, de
D’autre part, le plan (GEM) et le plan (EFG) se coupent plus il n’est pas croisé : c’est donc un parallélogramme.
selon la droite (EG). Comme il a un angle droit (gIBE = 90°) c’est donc un rec-
Or les plans (ABC) et (EFG) sont deux plans parallèles, tangle. Par conséquent (IL) // (BE).
donc le plan (GEM) les coupe tous les deux suivant deux Le plan (IKL) contient les deux droites sécantes (IK) et (IL).
droites parallèles qui sont (MN) et (EG). Elles sont parallèles respectivement aux droites sécantes
Donc (MN) // (EG). (BC) et (BE) du plan (BCE). Donc les plans (IKL) et (BCE)
sont parallèles (propriété P4). Le plan (BCE) s’appelle aussi
Le plan (ABM) coupe N M (BCF). Donc les plans (IKL) et (BCF) sont parallèles.
la droite (SC) en M et la
droite (SD) en N, donc il coupe D C Le quadrilatère ACGE est un rectangle, donc :
le plan (SDC) selon la droite (AC) // (EG).
A B Or la droite (EG) est contenue dans le plan (EFH), donc la
(MN).
On reconnaît ici les hypothèses du « théorème du toit » : droite (AC) est parallèle au plan (EFH) (propriété P7).
• (AB) // (CD) ; a) Le triangle BOC est rectangle isocèle en O donc
• (ABM) est un plan qui contient (AB) et (SDC) est un plan d’après le théorème de Pythagore :
qui contient (CD) ; BO2 + OC2 = BC2
• (ABM) et (SDC) sont sécants suivant la droite (MN), alors 2 OB2 = 42
on en déduit que (MN) est parallèle à (AB) et à (CD). OB2 = 8
Le triangle AOB est rectangle en O, donc d'après le
Les plans (SAB) et (SDC) ne sont pas strictement
théorème de Pythagore :
parallèles puisqu’ils contiennent S, et ne sont pas confon-
AO2 = AB2 – OB2
dus puisque A ∉ (SDC).
= 42 – 8
Ces deux plans sont donc sécants selon une droite Δ,
=8
qui passe par S.
Donc AO = 18 cm.
Les hypothèses du théorème du toit sont vérifiées :
b) La hauteur AH du triangle ABC vérifie :
• (AB) // (CD) ;
AH2 = AB2 – BH2
• (SAB) contient (AB) et (SDC) contient (DC) ;
= 4 2 – 22
• (SAB) et (SDC) se coupent selon Δ (qui passe par S). = 12
Donc : Δ // (AB) et Δ // (CD). Donc AH = 412 cm.
(SAB) et (SDC) se coupent suivant la parallèle à (AB) L’aire du triangle ABC est donc :
passant par S.
1 1
× BC × AH = × 4 × 412 = 2 412
a) BEHC est un rectangle, donc ses côtés opposés 2 2
sont deux à deux parallèles. soit 2 412 cm2.
Donc : (EB) // (CH). Donc l'aire latérale de la pyramide est :
b) ABGH est un rectangle, donc (AH) // (BG). 4 × 2412 cm2 = 8412 cm2 = 1613 cm2.
c) Deux droites sécantes de (ACH), à savoir (AH) et (HC), a) Le volume est π × 12 × 4, soit 4π cm3.
sont parallèles à deux droites sécantes (BG) et (EB) de b) L’aire totale est [(2π × 1 × 4) + 2(π × 12)] cm2,
(EBG), donc les plans (ACH) et (EBG) sont parallèles soit 10π cm2.
(propriété P4). Le rectangle a pour dimensions 2π cm et 4 cm.
Or A ∈ (BEG) donc (ACH) et (EBG) sont strictement c) Donc les diagonales du rectangle ont pour longueur
parallèles. 94 π2 + 16 cm, soit environ 7,45 cm.
• Dans le triangle ABC ; A, I, B sont alignés dans cet 1. a) Voir figure ci-contre.
A
ordre et A, K, C sont alignés dans cet ordre et b) Si r est le rayon du cercle :
4 2 M
AI AK 2
=
AB AC 3
= .
9R2
( )
r2 = R2 – OM2 = R2 – R
5
D’après la réciproque du théorème de Thalès, on en r2 = O
25
déduit que (IK) // (BC). 3R
d'où r = car r ⭓ 0.
1 5
• Le quadrilatère BILE est tel que BI = BA et
3 2. a) 4πR2 = 64
1 42
EL = ED ; or ABED est un rectangle donc AB = ED. donc R = cm car R ⭓ 0.
3 1π
5
4 3 3 256 Donc :
b) V =
4
3
π×
( )
1π
cm =
3 1π
cm3,
1
× 2512 × IS =
125
soit environ 48,1 cm3. 3 3
et IS = 512 cm.
a) Le volume du cône est : 2
d) IA = IB = IG = IH = 952 + 2,52.
(1
3 )
× π × 12 × 4 , soit
4π
3
cm3, c'est-à-dire 4,2 cm3.
Le point S est donc le centre de la base ABGH, donc
b) Le périmètre du disque de base est 2π cm. l’intersection des diagonales [AG] et [BH].
c) 942 + 12 = 417 donc le rayon du secteur circulaire est
417 cm. H G
On a le tableau de proportionnalité ci-dessous. E I
F
360° 2π 417
S
x 2π
Donc la mesure x de l’angle du secteur circulaire est :
2π × 360° D C
x= donc x ≈ 87°.
2π417 A B
d) L’aire totale du cône est :
[(π × 417 ×1) + (π × 12)] cm2 = π × (417+ 1) cm2, soit en- 1. Le volume du cône (C1) est 9 cm3.
viron 16,1 cm2. 2. a) Le coefficient de réduction qui permet de passer
2
du cône (C1) au cône (C2) est .
a) Dans le triangle ASH rectangle en H, on a : 3
2 2
AS
r
= sin 20°, donc :
b) • ()
3
×3= .
4
3
4
r = AS sin 20° = 10 sin 20°, soit r ≈ 3,4 cm. L’aire de la base du cône (C2) est cm2.
3
b) h = AS cos 20° = 10 cos 20°, donc h ≈ 9,3 cm. 4
• × 3 = 4.
c) L’aire latérale du cône est : 3
π × r × SA = π × 10 sin 20° × 10, soit environ 107,4 cm2. Le volume de la partie cylindrique est 4 cm3.
2 3
a) • IFBG est un tétraèdre : on peut considérer
3.
3() 8
3
8
× 9 = . Le volume du cône (C2) est cm3.
3
qu’une base est BFG et donc la hauteur correspondante 8 19
•9– = . Le volume de la partie restante après
est [IF]. 3 3
Aire de BFG : 19
avoir enlevé le cône (C2) au cône (C1) est cm3.
1 25 3
× 52 soit cm2. 19 50 50
2 2 •4+2× = et ≈ 17.
3 3 3
Volume de IFBG : Le volume de la bobine est environ 17 cm3.
1 25 5 125
× × soit cm3.
3 2 2 12
125
• De façon analogue le volume de IEAH est cm3.
12 5. Exercices d'entraînement
• Le prisme ADHBCG a pour bases les triangles ADH et
BCG, et pour hauteur [AB]. 1. d) Il semble que la section soit un rectangle.
2. a) Le plan (MNP) coupe les deux plans parallèles (ABF)
25
Aire de BCG : cm2. et (CDH) selon deux droites parallèles.
2
25 125 Donc (MP) // (NQ).
Volume de ADHBCG : × 5 soit cm3. • Le quadrilatère MNQP est donc un trapèze.
2 12
b) Le volume de IABGH est donc : b) (MN) est parallèle à (AD) (car AMND est un rectangle)
125 125 125 125 donc à (ADHE).
53 – – – soit cm3.
12 12 2 3 (MN) est donc parallèle à l’intersection (PQ) des plans
c) • ABGH est un rectangle avec : (ADHE) et (MNP).
AB = 5 cm et BG = 512 cm • Le quadrilatère MNQP est alors un parallélogramme.
Donc son aire est 2512 cm2. • Dans les triangles rectangles PAN et QDM, le théorème
1 de Pythagore donne :
• Le volume de IABGH est aussi égal à × × IS.
3 PN2 = AN2 + AP2 et QM2 = DM2 + DQ2.
6
• Or AN = DM car ADNM est un rectangle. 1
• < x < 1 : la section est un pentagone.
• De plus PAM est rectangle en A et QDN est rectangle 2
en D, donc :
AP2 = PM2 – AM2 et QD2 = QN2 – DN2
PM = QN car MNQP est un parallélogramme et AM = DN
car ADNM est un rectangle. Donc AP = QD.
• Donc PN2 = QM2 soit PN = QM.
• Le parallélogramme MNQP a ses diagonales de même
longueur, c’est donc un rectangle.
3. x = 0 : la section est le triangle MDP.
O B
AB = 3 cm
3
3 3
IA = IB = 13 cm.
–––––
2 K
2
1,5 A
c) (IK) est la médiane issue de I dans le triangle IAB isocèle
en I, donc (IK) est la médiatrice de [AB]. Comme O ∈ (IK)
alors OA = OB. De même OB = OC et OC = OD.
d) AGI est rectangle en G donc :
2
1 a13 2
•x=
1
: la section est le trapèze MNHP.
( ) (
AG2 = AI2 – IG2 = a13 –
2 3
× ) 2
4
2 2 2
2 3a a 2a 2
AG2 = – donc AG2 = et AG = a .
4 12 3 3
e) Dans le triangle AKO rectangle en K :
AK
cos jKAO = .
OA
Dans le triangle AGB rectangle en G :
AG
cos jKAO = cos jBAG = .
AB
AK AG
Par conséquent : = .
AO AB
a
4
×a
AK × AB 2 a 3
D'où : AO = = = .
4
AG 2 2 2
a
3
7
a c) A
f) cos jKAO =
AK
= = .
2 2
4
4
OA a 3 3
I G
2 2
À la calculatrice on obtient jKAO ≈ 35,26°.
Dans le triangle AKO rectangle en K : B H A' E
jAOK = 90° – jKAO. • H est le point d’intersection de la parallèle à (AB) pas-
Donc jAOK ≈ 54,74° et jAOB = 2 jKOA. sant par G.
Donc jAOB ≈ 2 × 54,74° A’G GH 1
Dans AA’B et GA’H : = =
soit jAOB ≈ 109,5°. A’A AB 3
2. = OA =
a 3
2 24 .
1
Donc GH = AB = IB.
3
2
3
avec a = 1,78 × 10–10 m, donc GH EH 2
Dans IEB et GEH : = =
≈ 1,09 × 10–10 m soit ≈ 1,09 Å. IB EB 3
• α = jAOB donc α ≈ 109,5°. 2 1
Donc EH = EB soit HB = EB (1).
3 3
1 2
A2 Or A’H = A’B soit HB = A’B (2).
3 3
De (1) et (2) on déduit EB = 2 A'B.
C2
L2 Donc A' est le milieu de [EB].
K2
Or A' est le milieu de [CD].
L1 M2 N2
K1 Donc les diagonales de BDEC se coupent en leur milieu
M1 N1 A’, donc BDEC est un parallélogramme.
9
2
Chapitre
n 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
f(n) 4 9 16 25 36 49 64 81 100 121 144
– 25
– 50
2. a) La courbe coupe l’axe (Ox) pour x = – 3 et x = 1. On
propose deux solutions – 3 et 1. a) (7x + 1)2 = 49x2 + 14x + 1
O
20 60 100 140 180 200
–1
3
b) (x – 3)2 = x2 – 6x + 9 3. a) Avec la forme 2, l’équation produit nul donne
13 7
c)冢 1 3 2 1 1
3 4
– a = – a+ 冣9 2
9 2
16
a 2x – 13 = 0 ou 2x – 7 = 0, soit x =
2
ou x = .
2
13 7
L’équation a deux solutions et .
a) (– 3 – 2x)2 = 9 + 12x + 4x2 2 2
b) (5x – 4)2 = 25x2 – 40x + 16 b) Avec la forme 3, f(0) = 4 × 0 – 40 × 0 + 91 donc
冢 冣
1 2 1 f(0) = 91.
c) x – 4 = x2 – 4x + 16
2 4 c) Il faut résoudre l’équation f(x) = – 9, qui, avec la forme 1,
s’écrit 4(x – 5)2 = 0 donc x – 5 = 0
a) (3x + 1)(3x – 1) = 9x2 – 1
– 9 a un antécédent 5.
冢
1
b) 4 y – 1
2
1
2 冣冢 冣 冢1
冣
y + 1 = 4 y2 – 1 = y2 – 4
4
d) Avec la forme 3 :
f(12) = 4 × (12)2 – 4012 + 91 = 8 – 4012 + 91 ;
1 2
f(x) = x – x + 1 – (4x2 – 1) f(12) = 99 – 4012.
4
1 2 e) f(x) = 91 s’écrit avec la forme 3 : 4x2 – 40x = 0 donc
f(x) = x – x + 1 – 4x2 + 1
4 4x(x – 10) = 0, équation produit nul 4x = 0 ou x – 10 = 0,
15 2
donc f(x) = – x –x+2 soit x = 0 ou x = 10. L’équation a deux solutions 0 et 10.
4
a) 9a + 15 = 3 × 3a + 3 × 5 a)
= 3 (3a + 5)
b) 3x2 – 15x = 3x × x – 3x × 5
= 3x(x – 5)
c) 8x – x2(5x – 1) = 8 x – x × x(5x – 1)
= x [8 – x(5x – 1)]
= x(8 – 5x2 + x)
(– 5 ⭐ x ⭐ 7 et – 10 ⭐ y ⭐ 6)
= x(– 5x2 + x + 8)
2
On conjecture g(x) = 0 ; 2 solutions – 0,5 et 4.
d) (3x – 2) – (2x – 1)(3x – 2) = (3x – 2)(3x – 2) – (3x – 2)
g(x) = 2 ; 2 solutions 0 et 3,5.
(2x – 1) = (3x – 2)[(3x – 2) – (2x – 1)]
= (3x – 2)(3x – 2 – 2x + 1) 冢 5
b) g(x) = 4x2 + 4x + 1 – 5x2 + x – 2x – 1
2 冣
5
= (3x – 2)(x – 1) g(x) = 4x2 + 4x + 1 – 5x2 – x + 2x + 1,
2
7
a) Si x = 0, avec l’expression de l’énoncé, soit g(x) = – x2 + x + 2
2
冤 冢 冣冥
2
A = 5 + 5 × (– 4) + 5 = 10, et avec l’expression d’Hervé, 5
c) g(x) = (2x + 1) (2x + 1) – x–1
A = 5 × 1 = 5. 2
Il y a une erreur.
b) (2x + 5) est un facteur commun.
冢 5
g(x) = (2x + 1) 2x + 1 – x + 1 ,
2 冣
A = (2x + 5)[(2x + 5) + (x – 4) + 1], 冢 1
soit g(x) = (2x + 1) – x + 2
2 冣
d’où A = (2x + 5)(3x + 2).
冢 1
d) • g(x) = 0 s’écrit (2x + 1) – x + 2 = 0,
2 冣
1. a) B = (2x – 3)(5x + 7) – 1 × (2x – 3) 1
équation produit nul 2x + 1 = 0 ou – x + 2 = 0
b) B = (2x – 3)[(5x + 7) – 1] = (2x – 3)(5x + 6). 1 2
2. C = (x – 3)2 – (x – 3) = (x – 3)[x – 3 – 1] = (x – 3)(x – 4) ; 2x = – 1 ou – x = – 2
1 2
D = (x – 4)(3x + 2) – (3x + 2) = (3x + 2)(x – 5). x = – ou x = 4
2 1
a) x2 + 16x + 64 = (x + 8)2 g(x) = 0 a deux solutions : – et 4.
2
7
b) 4x – 20x + 25 = (2x – 5)2
2
• g(x) = 2 s’écrit – x2 + x + 2 = 2,
7 2
a) 16x2 – 1 = (4x – 1)(4x + 1) donc – x2 + x = 0
2
2
b) 4x – 25 = (2x – 5)(2x + 5) 冢
x –x+
7
2 冣 = 0 équation produit nul x = 0 ou x = .
7
2
2
7
a) 9 – x = (3 – x)(3 + x) g(x) = 2 a deux solutions : 0 et .
2
b) (x + 2)2 – 49 = (x + 2 – 7)(x + 2 + 7) = (x – 5)(x + 9) 1 x(x + 1)
a) V1 = × × 5 et V2 = x2 × 5
3 2
1. Forme 1 : f(x) = 4(x2 – 10x + 25) – 9 = 4x2 – 40x + 5x2 + 5x
100 – 9 = 4x2 – 40x + 91, soit la forme 3. soit V1 = et V2 = 5x2.
6
Forme 2 : f(x) = 4x2 – 14x – 26x + 91 = 4x2 – 40x + 91, soit 5x2 + 5x
la forme 3. b) V1 = V2 si = 5x2, soit 5x2 + 5x = 30x2
6
2. La forme factorisée est la forme 2. – 25x2 + 5x = 0
4
5x(– 5x + 1) = 0 La solution est comprise entre 1,6 et 1,7. Valeur appro-
équation produit nul 5x = 0 ou – 5x + 1 = 0 chée : 1,6.
1 c) Voir fichiers complémentaires.
x = 0 ou x =
5
Pour que S1 et S2 aient le même volume, il faut choisir
1
x = = 0,2.
5
4. Exercices d’entraînement
1. a) Voir fichiers complémentaires.
b) On conjecture : deux positions pour le point M, avec
AM proche de 4 puis proche de 5.
2. a) Aire du carré AMIJ : x2
Aire du rectangle CKIH : (8 – x)(10 – x)
S(x) = x2 + (8 – x)(10 – x)
b) M est un point de [AB], donc 0 ⭐ AM ⭐ AB,
soit 0 ⭐ x ⭐ 8. L’ensemble de définition de la fonction S
est [0 ; 8].
S(x) = x2 + 80 – 8x – 10x + x2 soit S(x) = 2x2 – 18x + 80
c) Le problème s’écrit S(x) = 40 donc 2x2 – 18x + 40 = 0.
d) (x – 4)(x – 5) = x2 – 5x – 4x + 20 = x2 – 9x + 20. Or le La solution est comprise entre 1,61 et 1,62. Valeur appro-
problème à résoudre s’écrit 2(x2 – 9x + 20) = 0, donc chée : 1,62
2(x – 4)(x – 5) = 0. Puis la solution est comprise entre 1,618 et 1,619. Valeur
On reconnaît une équation produit nul avec le facteur 2 approchée : 1,618.
non nul, d’où x – 4 = 0 ou x – 5 = 0. Cette méthode est algorithmique : à chaque étape
Le problème posé admet donc deux solutions : x = 4 → on repère le changement de signe de l’expression
et x = 5. x3 – (2x + 1)
→ on affiche un encadrement de la solution
1. a) Voir fichiers complémentaires.
→ on divise le pas par 10
→ on recommence les calculs à partir de la valeur infé-
rieure de l’encadrement
→ on s’arrête lorsque le pas est suffisament petit pour
la précision cherchée.
2. a) Voir fichiers complémentaires. On trace les courbes
des fonctions x 哫 x3 et x 哫 2x + 1, et on lit les abscisses
des points d’intersection.
Fenêtre graphique : – 2 ⭐ x ⭐ 2 et – 2 ⭐ y ⭐ 5. On lit
trois solutions.
b) Les valeurs approchées des solutions sont – 1 ; – 0,62
et 1,62.
La solution est comprise entre 1 et 2. 3. a) La solution du problème est la solution positive de
b) Voir fichiers complémentaires. 1 1 + 15
l’équation résolue en ligne 1, donc × (1 + 15) ou .
2 2
b) Ligne 2 : x3 – 2x – 1 = (x + 1)(x2 – x – 1)
冢
Ligne 3 : x2 – x – 1 = x – 冣 1 2 5
2
–
4
4. a) Le problème s’écrit x3 = 2x + 1, où x est un nombre
positif.
0 n’est évidemment pas solution, donc le problème
équivaut à x3 – 2x – 1 = 0 avec x > 0.
b) On développe :
(x + 1)(x2 – x – 1) = x3 – x2 – x + x2 – x – 1
= x3 – 2x – 1
5
c) x3 – 2x – 1 = 0 équivaut à x + 1 = 0 ou x2 – x – 1 = 0 a) Voir fichiers complémentaires
(équation produit nul) mais la première éventualité
donne une solution négative (– 1), donc
(x3 – 2x – 1 = 0 avec x > 0) équivaut à (x2 – x – 1 = 0 avec
x > 0).
d) On développe :
冢x–
2 冣
1 2 5
– = x2 – x + –
4
1 5
4 4 b) On conjecture deux solutions : – 1,5 et 1.
= x2 – x – 1,
c) g(x) = – 3(x – 1), donc f(x) = g(x) s’écrit :
冢
donc x2 – x – 1 = 0 s’écrit x – 冣1 2 5
2
– = 0,
4
2x(x – 1) = – 3(x – 1)
1 15 1 15 2x(x – 1) + 3(x – 1) = 0
冢
soit en factorisant x – –
2 冣冢
2
x– +
2 2冣 = 0. (x – 1)(2x + 3) = 0
Équation produit : Équation produit nul : x – 1 = 0 ou 2x + 3 = 0
3
1 15 1 15 x = 1 ou x = – .
x– – = 0 ou x – + =0 2
2 2 2 2 3
f(x) = g(x) a deux solutions – et 1.
1 15 1 15 2
x= + ou x = –
2 2 2 2 d) Les points d’intersection ont des coordonnées qui véri-
1 + 15 1 – 15 fient y = – 3x + 3, car ils sont sur la courbe représentative
x= ou x =
1 – 15
2 2 3
de g. Si x = – alors y = – 3 × –
2 冢 冣 3
2
+3= +3=
9
2
15
2
.
< 0, donc la solution exacte du problème est
2 Si x = 1 alors y = – 3 × 1 + 3 = 0.
1 + 15 Les points d’intersection ont pour coordonnées
.
2
冢 3 15
– ;
2 2 冣 et (1 ; 0).
1. a) L’équation (E4) ne comporte pas de terme
a) On doit chercher x pour que f(x) = 0, c’est-à-dire
en x2.
résoudre l’équation (3x + 1)(6x – 9) – (2x – 3)2 = 0.
b) (E4) s’écrit 2x – 6 + 5x = 4
b) 6x – 9 = 3(2x – 3)
7x = 6 + 4
c) f(x) = 3(3x + 1)(2x – 3) – (2x – 3)2
7x = 10
= (2x – 3)[3(3x + 1) – (2x – 3)]
10
x= = (2x – 3)(9x + 3 – 2x + 3)
7
10 = (2x – 3)(7x + 6)
(E4) a une solution .
7 f(x) = 0 est une équation produit nul
2. a) 2 ≠ 0 donc on peut diviser par 2 les deux nombres 2x – 3 = 0 ou 7x + 6 = 0
de (E3). On obtient ainsi une équation équivalente à (E3) : 3 6
x = ou x = –
(x – 4)(x + 2) = 0. 2 7
6 3
b) Équation produit nul x – 4 = 0 ou x + 2 = 0 Les antécédents de 0 par f sont – et .
7 2
x = 4 ou x = – 2.
a) f(41) = (42 + 1)(42 – 1) – 422
(E3) a deux solutions : – 2 et 4
= 422 – 1 – 422
3. a) (E1) : [1 – (x – 5)][1 + (x – 5)] = 0
=–1
(1 – x + 5)(1 + x – 5) = 0
b) Les termes en x2 s’annulent, il reste 2x + 3 = 1
(– x + 6)(x – 4) = 0
2
(E2) x[3x – (x – 1)] = 0 x=–
2
x(3x – x + 1) = 0 x=–1
x(2x + 1) = 0 c) 9 998 × 10 002 = (104 – 2)(104 + 2)
b) On reconnaît des équations produit nul (E1) : = (104)2 – 22
– x + 6 = 0 ou x – 4 = 0 = 108 – 4
x = 6 ou x = 4 = 99 999 996
(E1) a deux solutions 4 et 6.
a) et b) Voir fichiers complémentaires.
(E2) : x = 0 ou 2x + 1 = 0
1
x = 0 ou x = –
2
1
(E2) a deux solutions – et 0.
2
6
On conjecture que pour toute valeur saisie dans la 3. Voir fichiers complémentaires.
colonne A, le résultat obtenu est 25.
c) Écriture algébrique :
quelque soit le réel a, a2 – (a + 5)(a – 5) = 25
d) On développe le premier membre :
a2 – (a2 – 52) = a2 – a2 + 52 = 52 = 25
1. a) L’aire du rectangle est x2 + 4x. Le problème
s’écrit x2 + 4x = 21, ou encore x2 = – 4x + 21
b) Résolution graphique : deux solutions – 7 et 3.
Vérification : (– 7)2 = 49 et – 4 × (– 7) + 21 = 49
32 = 9 et – 4 × 3 + 21 = 9
c) x2 + 4x = (x + 2)2 – 4
d) L’équation s’écrit (x + 2)2 – 4 = 21 ou (x + 2)2 – 25 = 0 a) Si x est négatif, il est impossible de réaliser
[(x + 2) – 5][(x + 2) + 5] = 0 9x2 + x + 1 = x car le résultat d’une racine carrée est un
(x – 3)(x + 7) = 0 nombre positif.
Équation produit nul x – 3 = 0 ou x + 7 = 0 b) • Si x ⭓ 0 alors x2 + x ⭓ 0 et x2 + x + 1 ⭓ 1 ⭓ 0
x = 3 ou x = – 7 • Deux nombres positifs sont égaux s’ils ont le même
Le problème proposé a une solution, 3, car on cherche carré. Or l’équation (E) équivaut à 9x2 + x + 1 = x avec
des nombres positifs. x ⭓ 0, donc à (9x2 + x + 1)2 = x2 avec x ⭓ 0
2. a) x2 = – 4x + 3 x2 + x + 1 = x2 avec x ⭓ 0
x2 + 4x – 3 = 0 On obtient x = – 1 avec x ⭓ 0, donc l’équation (E) n’a
(x + 2)2 – 4 – 3 = 0 pas de solutions.
(x + 2)2 – 7 = 0 a) Les cercles sont tangents, si et seulement si, la
(x + 2 – 17)(x + 2 + 17) = 0 distance IE est la somme des deux rayons.
Deux solutions : – 2 + 17 et – 2 – 17 Le théorème de Pythagore dans le triangle IBE donne
b) x2 + 4x = – 1 IE2 = IB2 + BE2
(x + 2)2 – 4 + 1 = 0 (x + 3)2 = (6 – x)2 + 32
(x + 2)2 – 3 = 0 b) On développe x2 + 6x + 9 = 36 – 12x + x2 + 9
(x + 2 – 13)(x + 2 + 13) = 0 18x = 36
Deux solutions : – 2 + 13 et – 2 – 13 36
x= = 2. L’équation a une solution 2.
c) x2 + 4x = – 5 18
(x + 2)2 – 4 + 5 = 0 c) Il existe un point I pour que les cercles soient tangents ;
(x + 2)2 + 1 = 0 ils est tel que AI = 2 cm.
(x + 2)2 = – 1
1. a) Voir fichiers complémentaires
Pas de solution.
1. a) h(0) = 1, donc la balle a été lancée à une
altitude de 1 m.
b) h(1) = – 5 + 4 + 1 = 0
Au bout d’une seconde l’altitude de la balle est 0 m
c’est-à-dire qu’elle est retombée sur le sol.
2. a) et b) Voir fichiers complémentaires.
c) Voir fichiers complémentaires.
On conjecture deux solutions pour l’équation f(x) = 0.
b) Une des solutions semble être – 2.
Vérification : f(– 2) = 7 × (– 2)2 + 10 × (– 2) – 8
f(– 2) = 28 – 20 – 8 = 0
c) 7x2 + 10x – 8 = (x + 2)(7x – 4)
Vérification : en développant le produit.
d) (E1) est ainsi une équation produit :
x + 2 = 0 ou 7x – 4 = 0
4
x = – 2 ou x =
7
4
(E1) a deux solutions – 2 et
La balle n’atteindra pas la hauteur de 2 m. 7
7
2. a) Voir fichiers complémentaires. a) Avec n = 4 : q prend la valeur 36, puis 28, et
28
enfin = 4.
7 70
Avec n = 7 : q prend la valeur 81, puis 70, et enfin = 7.
10
b) Avec n = – 3 : la dernière étape ne peut pas être
réalisée car on ne peut pas diviser par n + 3, qui dans
ce cas vaut 0.
c) Il semble que cet algorithme affiche le nombre choisi
au départ.
d) Avant la division, le nombre q est égal à (n + 2)2 – (n + 4)
On conjecture que (E2) n’a pas de solution.
= n2 + 4n + 4 – n – 4 = n2 + 3n = n(n + 3). À la dernière étape
b) x2 + 2x = (x2 + 2x + 1) – 1 = (x + 1)2 – 1 n(n + 3
(E2) équivaut à (x + 1)2 + 2 = 0 de l’algorithme, il est égal à : = n (par simplifica-
(n + 3)
(x + 1)2 = – 2 pas de solution. tion). On a ainsi démontré la conjecture.
a) Entrées a = 0 ; b = 1 ; f : x 哫 x3 + 2x – 2 ; N = 4 a) On conjecture : f(x) = 0 a deux solutions – 2 et 2.
b) f(– 2) = (– 2)3 + 20 × (– 2)2 – 4 × (– 2) – 80
k 1 2 3 4
= – 8 + 80 + 8 – 80
m 0,5 0,75 0,875 0,812 5 =0
a 0 0,5 0,75 0,75 0,75 f(2) = 23 + 20 × 22 – 4 × 2 – 80
b 1 1 1 0,875 0,812 5 = 8 + 80 – 8 – 80
=0
b) Cet algorithme fournit un encadrement de la solution – 2 et 2 sont bien solutions de l’équation produit nul
de l’équation f(x) = 0. f(x) = 0.
À chaque étape, on place la solution sur l’intervalle 2. a) f(x) = (x – 2)(x + 2)(x + b) = (x2 – 4)(x + b)
[a, b] partagé par son milieu 冢
a+b
2 冣
: du côté de b si f(a) On propose b = 20 et on vérifie en développant.
b) Équation produit x – 2 = 0 ou x + 2 = 0 ou x + 20 = 0
et f(b) ont le même signe,
du côté de a si f(a) et f(m) sont de signes différents. Il y a trois solutions – 20 ; – 2 et 2.
N désigne le nombre d’étapes du programme ; plus c) Voir fichiers complémentaires.
N est grand plus l’encadrement de la solution sera de
petite amplitude.
En fait on peut montrer que l’amplitude de cet encadre-
b–a
ment est N .
2
c) Voir fichiers complémentaires.
a) La concentration moyenne de produit diminue
plus rapidement pour les sujets « standards ». Si on injecte
au même moment une nouvelle dose de produit, les
sujets du groupe B risquent d’être en surdosage car ils
n’auraient pas complètement éliminé la dose précédente.
b) groupe A : 2 heures groupe B : 2 heures
c) groupe A : 18 heures groupe B : 47 heures
a) La courbe de Samia est la courbe 2 et la courbe
de Nicolas est la courbe 1.
2
b) Si x = 1, alors x – 1 = 0, or f(x) = 1 – et on ne peut
x–1
pas calculer f(x).
A(x) = (2 + x)(1 – x) – 3x(x – 1) c) Nicolas a oublié les parenthèses au dénominateur.
= (1 – x)(2 + x + 3x), car – 3x(x – 1) = + 3x(1 – x) Il a saisi Y1 = 1 – 2/X – 1, donc sa calculatrice a tracé la
= (1 – x)(4x + 2) –2
courbe de la fonction x 哫 .
= 2(1 – x)(2x + 1) x
B(x) = 4(x – 1)2 – 9(4x – 4), car 9(4x – 4) n’est pas un carré a) J’ai tracé sur ma calculatrice les courbes des
= 4(x – 1)2 – 9 × 4(x – 1) fonctions f : x 哫 x(x + 1) et g : x 哫 (3x – 5)(x + 1). Il y a
= 4(x – 1)(x – 1 – 9) deux solutions qui sont les abscisses des points d’inter-
= 4(x – 1)(x – 10) section des deux courbes.
8
Arthur ne répond pas complètement car il ne lit pas les En mathématique, le « ou » est inclusif : la réalisation des
valeurs des solutions. deux (x ∈ D1 et x ∈ D2) est autorisée.
c) Noémie divise les deux membres par (x – 1) sans
a) h(x) est défini lorsque f(x) est défini et g(x) est
s’assurer que ce nombre est non nul. Or (x – 1) s’annule
défini.
pour x = 1. Le raisonnement de Noémie ne convient que
b) D2
pour les réels différents de 1.
d) L’équation s’écrit x(x + 1) – (3x – 5)(x + 1) = 0 –3 –1 0 1 D1 5 7
(x + 1)[x – (3x – 5)] = 0
(x + 1)(– 2x + 5) = 0. c) (x ∈ D) équivaut à (x ∈ ]– 3 ; 5] et x ∈ [– 1 ; 7]).
Équation produit x + 1 = 0 ou – 2x + 5 = 0 d) D = [– 1 ; 5]
5
x = – 1 ou x =
2 5
L’équation a deux solutions – 1 et .
2 5. Se préparer au contrôle
x désigne un nombre réel.
• QCM
Recopier et compléter ce tableau.
1. a) Faux. Erreur possible : mauvaise lecture de
Inégalité Représentation Intervalle Langage naturel la graduation sur l’axe des ordonnées (deux carreaux
x, supérieur ou pour une unité).
x⭓2 2 x ∈ [2 ; + ∞[
égal à 2 b) Vrai. En effet, f(3) = 0,5.
x est un réel infé- c) Faux. Erreur possible : on place 3 sur l’axe des ordon-
x⭐3 0 3 x ∈ ]– ∞ ; 3] nées, alors qu’en fait 3 doit être lu sur l’axe des abscisses.
rieur ou égal à 3
2. a) Vrai. En effet, f(0) = 2.
x compris entre – 1
–1⭐x⭐1 –1 1 x ∈ [– 1 ; 1] b) Faux. Erreur possible : on a lu f(2) qui vaut –1. Atten-
et 1 (au sens large)
tion, résoudre l’équation, c’est chercher les antécédents
x compris entre de 2.
1<x⭐3 0 1 3 x ∈ ]1 ; 3]
1 et 3, 1 exclus c) Faux. Étourderie, l’équation proposée ne s’écrit pas
x compris entre x = 2.
–2⭐x<3 –2 0 3 x ∈ [– 2 ; 3[ – 2 et 3, 3 exclus 3. a) Faux. Erreur possible : on lit f(0) au lieu de chercher
x compris stricte- un antécédent de 0.
0<x<5 0 5 x ∈ ]0 ; 5[ b) Vrai. En effet, la courbe coupe trois fois l’axe des
ment entre 0 et 5
abscisses.
x est un réel stric-
x>0 01 x ∈ ]0 ; + ∞[ c) Faux. Le point O n’est pas sur la courbe certes, mais
tement positif
les solutions de f(x) = 0 sont les abscisses des points
x est un réel d’intersection de la courbe avec l’axe des abscisses.
x⭐0 0 x ∈ ]– ∞ ; 0]
négatif ou nul 4. a) Faux. Erreur possible : on lit l’image de 1 au lieu de
chercher un antécédent de 1.
a) Non : la proposition 1 équivaut à a + b = 0 (équa- b) Vrai. En effet, la droite d’équation y = 1 coupe la
tion produit), mais par exemple avec a = – 2 et b = 2, courbe quatre fois.
l’égalité est vraie sans que la proposition 2 soit vérifiée. c) Faux. Erreur possible : deux points seulement d’or-
b) La proposition A implique la proposition D (ou E). donnée 1 de la courbe sont repérés par une croix, donc
La proposition B (ou C ou D ou E) implique la proposi- on peut lire les valeurs exactes de ces antécédents. Mais
tion A. en fait 1 possède deux autres antécédents dont on ne
Les propositions A et D (ou D et E ou A et E) sont équi- pourra lire qu’une valeur approchée.
valentes.
1
1. a) Faux. En effet, – (–3) = 1.
a) Non : dans cette situation c’est fromage ou 3 1
b) Faux. Erreur possible : on a lu – + x = 0.
yaourt, mais pas les deux. 3
b) x ∈ D1 ou x ∈ D2 s’écrit x ⭐ 3 ou 2 ⭐ x ⭐ 4. c) Vrai. En effet, l’équation est une équation produit nul
Les réels x qui vérifient x ⭐ 4 vérifient au moins une 1
dans laquelle le premier facteur, – , ne s’annule pas,
3
des deux conditions, donc x ∈ D1 ou x ∈ D2 est vérifié. donc il n’y a qu’une solution : x = 0.
Mathématiquement, Emma a raison : x ∈ D1 ou x ∈ D2 2. a) Faux. Erreur possible : on a peut-être confondu
équivaut à x ⭐ 4. avec l’équation (x – 2)(7 + x) = 0.
c) Dans la situation du a) on dit que le « ou » est exclusif : b) Faux. En effet, pour x = – 7, le nombre x – 2(7 + x) vaut
la réalisation des deux est exclu. – 7 – 2 × 0, soit – 7 et non 0.
9
c) Vrai. En effet, après développement et réduction du e) Faux. En effet, les courbes des deux fonctions présentent
membre de gauche, l’équation s’écrit – x – 14 = 0. quatre points d’intersection, donc l’équation f(x) = g(x)
3. a) Vrai. En effet, l’équation est une équation produit a quatre solutions.
nul dans laquelle le premier facteur 2 et le dernier facteur
(x2 + 1) ne s’annulent pas, donc l’équation équivaut à • Pour réviser
x – 3 = 0.
b) Faux. Erreur possible : on peut confondre avec l’équa- 3
tion 2(x – 3)(x + 1) = 0. Il faut lire attentivement l’énoncé.
c) Faux. 2(2 – 3)(22 + 1) = – 10 ≠ 0. Donc 2 n’est pas 1
solution de cette équation.
3 –5 O 1 4
4. a) Faux. En effet, est une solution évidente car il
2
annule les deux membres. Mais il faut regarder de plus
près : il y a une autre solution.
b) Vrai. En effet, l’équation s’écrit : –3
(2x – 3)[(x + 1) – (2x – 3)] = 0
a)
(2x – 3)[x + 1 – 2x + 3] = 0
(2x – 3)(– x + 4) = 0 (équation « produit nul »)
2x – 3 = 0 ou – x + 4 = 0
3
x = ou x = 4.
2
c) Faux. Erreur possible : oubli des parenthèses lors de
la factorisation (voir b)).
1
a
O 1 x
x > 0.
A = 35 × 1014 + 82 × 107 + 48
On obtient (5x – 2)2 – 4x2 = 0
soit A = 3 500 000 820 000 048
(5x – 2 – 2x)(5x – 2 + 2x) = 0
c) B = (3 × 10– 6 + 1)(10– 6 + 1)
(3x – 2)(7x – 2) = 0 équation produit
B = 3 × 10– 6 × 10– 6 + 3 × 10– 6 + 1 × 10– 6 + 1 × 1
3x – 2 = 0 ou 7x – 2 = 0
冦
2 2 B = 3 × 10– 12 + 4 × 10– 6 + 1
x = ou x =
3 7 B = 1,000 004 000 003
2 2
les nombres positifs égaux à leur image sont et .
3 7 1. a) Pas de solution
1. Aire du rectangle = xy, donc xy = 1 b) 1 solution c) 2 solutions
Périmètre du rectangle = 2(x + y), donc 2(x + y) = 8 ou d) 3 solutions e) 4 solutions
x + y = 4. f) 3 solutions g) 2 solutions
x et y désignent des dimensions, donc x > 0 et y > 0. h) 1 solution i) Pas de solution
11
2. a) m < – 3 ou m > 2 b) m = – 3 ou m = 2 (2 + 6) × 3 8 × 3
4. a) f(2 ; 3) = = = 12
c) 1 < m < 2 et – 1 < m < – 3 d) m = 1 ou – 1 ⭐ m < 0 2 2
e) 0 ⭐ m < 1 f(2 ; 4) =
(2 + 6) × 4 8 × 4
= = 16
2 2
1. a) a = 0 ; b = 1 ; N = 10 (4 + 6) × 3,6 10 × 3,6
Initialisation pas = 0,1 f(4 ; 3,6) = = = 18
2 2
x=0 (5 + 6) × 3,6 11 × 3,6
f(5 ; 3,6) = = = 19,8
On place les points de coordonnées données dans le 2 2
tableau ci-dessous. (b + 6) × 2
b) h = 2 donc Ꮽ = = b + 6. On trace la droite,
2
b 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 courbe représentative de la fonction b 哫 b + 6.
x 0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1 (4 + 6) × h 10h
c) b = 4 donc Ꮽ = = = 5h. On trace la
f(x) 0 0,17 0,28 0,33 0,32 0,25 0,12 – 0,07 – 0,32 – 0,63 – 1
2 2
courbe représentative de la fonction h 哫 5h.
On obtient un nuage de points.
b) a = 0 ; b = 2 ; N = 20 1. a) Ensemble de définition [0 ; 8], car N ∈ [AB],
2 donc 0 ⭐ AN ⭐ AB.
Initialisation pas = = 0,1
10 b) La base du carré est le côté x, donc l’aire = x2.
k 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 La hauteur = AP = 8 – x.
x 0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 1,6 1,7 1,8 1,9 2
V(x) = x2(8 – x)
2. a) b) et c) Voir fichiers complémentaires
f(x) 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 2 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 2,6 2,7 2,8 2,9 3
EX
2. Cet algorithme fournit le nuage de points associé à 69
la fonction f sur [a ; b], avec des points répartis réguliè- 70
b–a
rement avec un pas de . 60
N
3. Ce nouvel algorithme relie les points précédents par
50
des segments. Pour le cas b le tracé obtenu n’est pas
celui de la courbe de la fonction, car le point (0,9 ; 1) est
40
relié au point (1 ; 2), alors que la courbe de la fonction
présente un « seuil » depuis le point (1 ; 1) exclus ou point 30
(1 ; 1) inclus.
20
3
2
10
1
0
1 2 1 2 3 4 5 6 7 8
4. 3. a) Pour N = 1, l’algorithme construit les points d’abs-
cisses 0, 4 et 8.
Pour N = 2, l’algorithme construit les points d’abscisses
0 ; 4 ; 8, puis les points d’abscisses 0 ; 2 ; 4 ; 6 ; 8.
Pour N = 4, il y a 4 passages. Pour le dernier (k = 4)
l’algorithme place les points d’abscisses 0 ; 0,5 ; 1 ; 1,5 ;
2 ; 2,5 ; 3 ; 3,5 etc … 7 ; 7,5 ; 8.
b) À l’étape N deux points consécutifs sont séparés de
(b + 6) × h
1. Ꮽ = 8
2 la distance N , soit en cm il faut chercher N pour que
2
2. a) (b = 2 et h = 5) Ꮽ = 20 8 8 1
b) Ꮽ = 19 N
⭐ 0,05, soit N ⭐ ou encore 2N > 160
2 2 20
c) Ꮽ = 19,6 Or 27 = 128 et 28 = 256 donc il faut N ⭓ 8 pour qu’on
3. CD < AB donc 0 < b < 6 et I = ]0 ; 6[ ne puisse pas distinguer les abscisses de deux points
h est une mesure donc h > 0 et J = ]0 ; + ∞[. consécutifs.
12
A Soit x la longueur AB x ⭓ 0 1. Voir fichiers complémentaires
ᏼABC = AB + AC + BC
16 = x + x + BC
Donc BC = 16 – 2x
BC = 2(8 – x) BC ⭓ 0
donc x ⭐ 8
La hauteur [AH] étant axe de
B C
H symétrie du triangle ABC,
H est le milieu de [BC] 2. a) À chaque valeur de t est associé un seul point B,
donc BH = 8 – x donc un seul point H et ainsi une seule valeur Ꮽ(t) aire
Dans le triangle ABH rec- du triangle AHO.
tangle en H, l’hypoténuse t variable libre dans [0 ; 10] donc l’ensemble de définition
est [AB] donc 8 – x ⭐ x de la fonction Ꮽ est [0 ; 10].
x⭓4 b) On constate que la droite (AB) est fixe.
On en déduit que x ∈ [4 ; 8]. En effet, l’aire de AOH est une fonction croissante de t
AH × BC entre t = 0 et t = 3. Elle atteint un maximum quand
Aire du triangle ABC =
2 t = 3 (ce qui correspond à H milieu de BO) puis elle est
Aire du carré de côté BC = BC2 décroissante entre 3 et 10.
AH × BC BC2 BC 3. On crée le point M(t ; Ꮽ(t)). La courbe cherchée est le
On obtient donc = d’où AH =
2 4 2 lieu des points M lorsque t varie de 0 à 10.
AH = BH = 8 – x
Dans ce cas le triangle ABH est isocèle et rectangle en H, Cas général : • si n est pair alors 5n est pair lui aussi,
on utilise le théorème de Pythagore : AB2 = BH2 + AH2 n 5n
donc f(n) = et f(5n) =
2 2
x2 = (8 – x)2 + (8 – x)2
5n n
0 = 2(8 – x)2 – x2 f(5n) – 5f(n) = –5× =0
2 2
0 = [12(8 – x)]2 – x2
• si n est impair alors 5n est impair lui aussi,
0 = [12(8 – x) + x][12(8 – x) – x]
f(n) = 2n + 7 et f(5n) = 2 × (5n) + 7 = 10n + 7
0 = [x(– 1 – 12) + 812][x(– 1 – 12) + 812]
f(5n) – 5f(n) = 10n + 7 – 5(2n + 7)
En appliquant la règle du produit nul on obtient :
= 10n + 7 – 10n – 35
812 812
x= ou x= = – 28
12 – 1 12 + 1
x = 812(12 + 1) x = 812(12 – 1) f(x) = x – (x + 1) + (x + 2) – (x + 3) + … + (x + 2 008) – (x + 2 009)
x = 16 + 812 > 8 x = 16 – 812 = 8(2 – 12) (– 1) + (– 1) + …+ (– 1)
impossible 4 ⭐ 8(2 – 12) ⭐ 8 Autant de termes (– 1) que de nombres : 0 ; 2 ; 4 ; … ; 2008
donc AB = AC = 8(2 – 12) 2 × 0 ; 2 × 1 ; 2 × 2 ; … ; 2 × 1 004
BC = 16 – 16(2 – 12) donc 1 + 2 004 = 1005 termes égaux à (– 1)
BC = 1612 – 16 = 16(12 – 1) f(x) = – 1 005 quel que soit x donc f(2 231) = – 1 005.
13
3
Chapitre
Variations de fonctions
et problèmes
• Énigme 1
2 0 0 1 –3 2 Ꮿf Ꮿh
M A X I M U M Ꮿk
Ꮿg
• Énigme 2 1 1
Dans le carré de 1 cm de côté, on considère la surface
1 O
du demi-carré d’aire cm2. À chaque étape, on ajoute
2
à la surface précédente la moitié de la surface restante.
Ainsi on obtient successivement des aires (en cm2)
égales à :
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
; + ou + 2 ; + + ou + 2 + 3, etc. a) Coefficient directeur de la droite bleue : 0.
2 2 4 2 2 2 4 8 2 2 2
Cette quantité augmente bien à chaque étape, mais ne Coefficient directeur de la droite verte : 2.
1
dépassera jamais 1, valeur de l’aire du carré. Coefficient directeur de la droite rouge : – .
3
b) Droite bleue : f(x) = 3.
Droite verte : f(x) = 2x + 2 (on peut lire l’ordonnée à
1. Vérifier les acquis l’origine).
1
Droite rouge : f(x) = – x + b.
a) f(2) = 3 × 2 + 5 = 11 3
1
g(– 3) = (– 3)2 – 3 × (– 3) + 5 = 23 De plus f(– 1) = 5 donc 5 = – + b.
3
b) On cherche x tel que f(x) = 1 donc tel que 3x + 5 = 1. 16 1 16
Alors b = . Finalement f(x) = – x + .
4 3 3 3
Donc 3x = – 4 et x = – .
3 a) Ce ne peut pas être une fonction affine car il n’y
a) Faux b) Vrai c) Faux
a pas proportionnalité des accroissements.
Une fonction affine est définie sur ⺢ par b) Il y a proportionnalité des accroissements, donc cela
f(x) = ax + b avec a et b dans ⺢. peut être une fonction affine et comme g(0) = 0 g est
Une fonction linéaire est définie sur ⺢ par f(x) = ax. peut-être une fonction linéaire.
Donc f est affine, g est linéaire, h est affine et ᐉ est affine c) Il y a proportionnalité des accroissements, donc cela
car ᐉ(x) = x2 + 10x + 25 – x2 – 4x – 4 = 6x + 21. peut être une fonction affine.
a) f(5) – f(1) = 2 × 5 – 3 – (2 × 1 – 3)
f(5) – f(1) = 10 – 3 – 2 + 3
f(5) – f(1) = 8 2. Activités d’approche
f(5) – f(1) étant positif, f(5) est supérieur à f(1). • Activité 1
b) f(a + 1) – f(a) = 2 (a + 1) – 3 – (2a – 3)
a) Le promeneur monte du km 0 au km 1, du km 2,5 au
f(a + 1) – f(a) = 2a + 2 – 3 – 2a + 3
km 3 et du km 4 au km 5. Il descend du km 1 au km 2,5
f(a + 1) – f(a) = 2
et du km 3 au km 4.
Donc f(a + 1) est supérieur à f(a) et f(a + 1) = f(a) + 2.
b) L’altitude maximale est 680 m, atteinte au km 1.
L’altitude minimale est 530 m, atteinte au km 4.
c)
Distance 0 1 2,5 3 4 5
• Activité 2
a) b) et c) Voir fichiers complémentaires.
a) f est croissante sur [– 6 ; – 4], décroissante sur
d) L’aire de ABCD est maximale pour a ≈ 39° ; elle vaut
[– 4 ; – 3], croissante sur [– 3 ; 0], décroissante sur [0 ; 3],
alors environ 673 cm2.
croissante sur [3 ; 4] et décroissante sur [4 ; 6].
e) Lorsque a augmente de 0° à 40°, l’aire de ABCD
b) f est décroissante sur [– 3,9 ; – 3] et – 3,9 < – 3 donc
augmente de 300 à 673 cm2.
f(3,9) > f(– 3).
Lorsque a augmente de 40° à 90°, l’aire de ABCD diminue
On ne peut pas comparer f(1) et f(3,5) car f n’est pas
de 673 à 0 cm2.
monotone sur [1 ; 3,5].
c)
3. Exercices de base
a) f est décroissante sur [– 3 ; – 2], croissante sur
[– 2 ; 2] et décroissante sur [2 ; 3]. 1
–6 6
O 1
x –3 –2 2 3
3 4
f (x)
–1 3
b) f est croissante sur [– 4 ; – 2], décroissante sur [– 2 ; 0] a) h(– 2) < h(– 1) car h est croissante sur [– 2 ; – 1].
et croissante sur [0 ; 2].
冢 冣 冢 冣 冤 冥
1 3 1 3
b) h >h car h est décroissante sur ; .
3 2 3 2
x –4 –2 0 2 c) h(3,6) < h(3,7) car h est croissante sur [3,6 ; 3,7].
4 2
冢 冣 冤 冥
f (x) 7 7
d) h < h(4) car h est croissante sur ;4 .
–1 0 2 2
– 2,5
b) La courbe semble couper l’axe des abscisses en 0 et 4. b) g(x) = 15 équivaut à – 2,5 + 0,5x = 15 c’est-à-dire
On vérifie : f(0) = 0 – 4 × 0 = 0 et f(4) = 16 – 16 = 0, donc x = 35.
f(x) = 0 pour x = 0 et x = 4. c) g est croissante sur ⺢ car le coefficient directeur de x est
c) f(x) > 0 pour x ∈ [– 2 ; 0[ ∪ ]4 ; 6]. positif, donc g(x) > 15 équivaut à g(x) > g(35) c’est-à-dire
x > 35.
冤 冥
1
a) f(x) 1 pour x ∈ – 1 ; .
2 a) 3
b) f(x) > 0 pour x ∈ ]– 2 ; 1[. x –∞ –– +∞
5
c) f(x) – 1 pour x ∈ [– 4 ; – 3] ∪ [2 ; 4].
5x – 3 – 0 +
d) f(x) > – 3 pour x ∈ ]– 4 ; 4].
b) x –∞ 4 +∞
a) f(x) g(x) pour x ∈ [– 2 ; 1].
b) f(x) > g(x) pour x ∈ ]– 2 ; 1[. – 0,5x + 2 + 0 –
c) f(x) g(x) pour x ∈ [– 3 ; – 2] ∪ [1 ; 3].
c) 5
a) x –∞ – –– +∞
2
–2x – 5 + 0 –
d) x –∞ –3 +∞
3x + 9 – 0 –
3
4. Exercices d’entraînement
1. a) b) et c) Voir fichiers complémentaires.
O 1 5 Ꮿf d) f semble décroissante sur [0 ; 3] et croissante sur [3 ; 6].
b) f(x) = 0 équivaut à – 3x + 15 = 0 c’est-à-dire x = 5. 2. a) Si 0 x 3 alors NR = RM – NM = 6 – x – x = 6 – 2x ;
c) f(x) > 0 pour tout x ∈ ]– ∞ ; 5[. f(x) = x + x + (6 – 2x) + 6 – x + 6 – x donc f(x) = – 2x + 18.
3
Si 3 x 6 alors NR = NM – RM = x – (6 – x) = 2x – 6 ;
Son aire est A = 6 × a × a 13 × = 313 a2
1
f(x) = 2x + (2x – 6) + 2(6 – x) donc f(x) = 2x + 6. 2 2 2
b) Sur [0 ; 3] f est décroissante. 2
Soit h la hauteur de la boîte. V = Ah donc h = .
Sur [3 ; 6] f est croissante. 313 a2
Alors S = 6 × ha + 2 + 313 a2 = 6ha + 313 a2
c) 4 2
18 S= + 313 a2.
13 a
Le minimum est atteint pour a ≈ 0,6 dm. Alors h ≈ 1,1
et S ≈ 5,7 dm2.
12
1. a) 3u 3v car 3 > 0.
3u – 4 3v – 4 car on soustrait le même nombre aux
deux membres de l’égalité.
b) On vient de démontrer que f est croissante sur ⺢ car
les nombres u et v sont rangés dans le même ordre que
2 leurs images par f.
2. Si u v, alors – 2u – 2v car – 2 < 0
O 1 3 6
et – 2u + 5 – 2v + 5.
1. a) Pour un cylindre de rayon R et de hauteur h, Cela montre que g est croissante sur ⺢ car u, v et leurs
1 images par g sont rangés en ordre contraire.
le volume V est égal à πR2h. Ici 1 = πR2h donc h =
πR2 Dans le tableau (1), il n’y a pas proportionnalité
(en dm).
b) L’aire totale est composée de l’aire latérale et de l’aire des accroissements, donc cela ne peut pas correspondre
des deux bases. au tarif.
S = 2 πR2 + 2 πRh Dans le tableau (2), pour une augmentation de 2 livres,
1 1 le coût augmente de 2 euros. Cela signifie que l’on paye
c) Comme h = on a S = 2 πR2 + 2 πR × donc
πR2 πR2 1 euro par livre emprunté. De plus, pour 2 livres, on paye
2
S = 2 πR2 + . 42 euros, donc l’inscription est de 40 euros.
R
2. a) R est un rayon, donc un nombre positif. f est définie
d (km)
sur ]0 ; + ∞[. 400
b)
100
c) La calculatrice donne R ≈ 0,5 dm et S ≈ 5,5 dm2. 50
1
La hauteur correspondante se calcule par h = 2 soit
πR O 1 2 3 4 t (h)
environ 1,3 dm.
2 Le voyageur sera à moins de 50 km de Lyon pendant 1 h.
3. a) Si la boîte est sans couvercle, alors S = πR2 + .
R
On obtient R ≈ 0,7 ; S ≈ 4,4 ; h ≈ 0,6 (dm).
a) M ∈ [AI] et M ≠ N donc x ∈ [0 ; 6[. f est définie
b) Soit a le côté de la base et h la hauteur. sur [0 ; 6[.
1
V = ha2 donc h = 2 b) AM = NB = x donc MN = 12 – 2x.
a
4 Le triangle ABC étant équilatéral, la médiane (CI) est aussi
S = 2a2 + 4ah = 2a2 +
a hauteur, donc (CI) // (PM). Dans le triangle ACI, P est un
On trouve a ≈ 1 dm et S ≈ 6 dm2. point de [AC], M est un point de [AI], (PM) est parallèle à
c) AM PM
(CI) donc d’après le théorème de Thalès, =
a 13 AI CI
or AI = 6 et CI = AB = 613.
2
d’où PM = x(6 13) = x13.
AM × CI
PM =
AI 6
Donc f(x) = MN × PM = x13(12 – 2x).
c) f(3) = 313 (12 – 2 × 3) = 1813
La base a pour côté a et est composée de 6 triangles f(x) – f(3) = 12x13 – 2x213 – 1813
équilatéraux. f(x) – f(3) = – 213 (x2 – 6x + 9)
4
Or (x – 3)2 = x2 – 6x + 9 donc f(x) – f(3) = – 213 (x – 3)2. d) Il semble que f atteigne un minimum en 5.
d) Pour tout x, (x – 3)2 0 et – 213 < 0 donc f(x) – f(3) 0, π π
e) f(x) – f(5) = (x2 – 10x + 50) – (25 – 50 + 50)
ce qui signifie que f(x) f(3). 2 2
π 2
f(3) est donc le maximum de f sur [0 ; 6[. = (x – 10x + 25).
2
e) Les dimensions du rectangle d’aire maximale sont π
Or (x – 5)2 = x2 – 10x + 25 donc f(x) – f(5) = (x – 5)2.
alors, pour x = 3 : MN = 6 cm et PM = 313 cm. 2
π
L’aire maximale est atteinte lorsque M se trouve au Comme pour tout x de [0 ; 10], (x – 5)2 0 et > 0, on a
2
milieu de [AI].
f(x) – f(5) 0, ou encore f(x) f(5). Cela signifie que
1. a) Si x ∈ [0 ; 4] le domaine bleu est un rectangle, 25π
f admet un minimum en 5 qui vaut f(5) = cm2.
f(x) = 3x. 2
b) Si x ∈ [4 ; 8], on ajoute à f(4) l’aire d’un rectangle de
dimensions 1 et x – 4 ; f(x) = 12 + 1(x – 4) = x + 8.
c) Si x ∈ [8 ; 10], on ajoute à f(8) l’aire d’un rectangle de
dimensions 3 et x – 8 ; f(x) = 16 + 3(x – 8) = 3x – 8.
d) Si x ∈ [10 ; 12], on ajoute à f(10) l’aire d’un rectangle
de dimensions 5 et x – 10 ; f(x) = 22 + 5(x – 10) = 5x – 28.
2. a) Pour x ∈ [0 ; 4] on trace le segment de droite repré-
sentant f1 avec f1(x) = 3x.
Pour x ∈ [4 ; 8] on trace le segment de droite représentant
f2 avec f2(x) = x + 8.
Pour x ∈ [8 ; 10] on trace le segment de droite représen-
tant f3 avec f3(x) = 3x – 8. L’aire minimum est atteinte lorsque les deux cercles ont
Pour x ∈ [10 ; 12] on trace le segment de droite repré- même diamètre.
sentant f4 avec f4(x) = 5x – 28.
冢 2 冣 = f冢 2 冣 –
3 3 3×3 9 9
2 9
1. m = f = – donc m = – .
b) 2 4 2 4
f (x)
32 f(– 1) = (– 1)2 – 3(– 1) = 1 + 3 = 4.
30 f(4) = 42 – 3 × 4 = 16 – 12 = 4.
2. D’après le tableau de variation de f, f est croissante
冤 冤 冤 冤 冤 冤
3 3 3
sur ; + ∞ . Or si a ∈ ; + ∞ , alors a + 1 ∈ ;+∞
22
2 2 2 2
20 donc comme a a + 1, on a f(a) f(a + 1).
冤 冥
3 3
3. a) – 1 x et f est décroissante sur – 1 ; ;
16 2 2
冢 冣
3 9
donc f(– 1) f(x) f d’où 4 f(x) – .
12 2 4
冤 冥
3 3
10 b) Si x 4, comme f est croissante sur ;4 ,
2 2
冢 冣
3 9
alors f f(x) f(4), c’est-à-dire – f(x) 4.
2 4
2 Donc si x ∈ [– 1 ; 4], les deux encadrements précédents
x 9
donnent : – f(x) 4.
O 1 4 8 10 12 4
a) Pour tout x 1, f(x) f(1), car f est croissante
a) x peut prendre toutes les valeurs positives infé-
sur ⺢ et g(x) g(1) car g est décroissante sur ⺢. Comme
rieures à 10 donc f est définie sur [0 ; 10].
x 10 – x f(1) = g(1) cela donne par transitivité : f(x) g(x).
b) Un des cercles a pour rayon et l’autre donc b) Pour tout x 1, f(x) f(1) et g(x) g(1),
2 2
冢 冣 冢 冣 donc f(x) g(x).
x 2 10 – x 2 π
f(x) = π +π soit f(x) = (x2 – 10x + 50).
2 2 2
c) En prenant pour fenêtre 0 x 10, pas de 1 En notant f la fonction qui associe le nouveau
9
et 0 y 100, pas de 10, on obtient l’écran ci-dessous : prix à l’ancien, on a f(x) = x. Cette fonction est bien
10
croissante, mais cela exprime que la hiérarchie des prix
est restée la même. Par contre le nouveau prix est égal
9
à de l’ancien. Il y a donc une diminution de 10 %
10
des prix.
5
a) L’énergie reçue est la même au pôle Sud et à c) Vrai. D’après le tableau de variation, 2 est le maximum
Paris vers le 23 février et le 3 octobre. de f sur [– 4 ; 4] donc pour tout x de [– 4 ; 4], f (x) 2 et
b) Elle est supérieure au pôle Nord à celle reçue à Paris par conséquent f (x) < 3.
entre le 7 mai et le 15 juillet. d) Faux. D’après c), tous les réels de [– 4 ; 4] ont une
c) Elle est supérieure au pôle Sud à celle reçue à l’équa- image strictement inférieure à 3, donc aucun n’a d’image
teur entre le 1er et le 23 janvier et entre le 7 novembre supérieure à 3.
et le 31 décembre. a) Il existe au moins un entier naturel qui ne soit
ni pair ni impair.
b) Il existe au moins un quadrilatère qui soit un losange
Langage Langage Langage lié et qui ne soit pas un parallélogramme.
des fonctions algébrique au graphique c) Il existe au moins un réel x tel que x2 = 1 et x ≠ – 1.
Déterminer Calculer f(3). Donner l’ordonnée d) (AB) n’est pas perpendiculaire à (CD) ou AB n’est pas
l’image de 3 du point de Ꮿf dont égal à CD.
par f. l’abscisse est 3.
1. a) f est une fonction non croissante sur I signi-
Déterminer Résoudre dans I Donner les abscisses
fie qu’il existe deux réels u et v de I tels que u v et
les antécédents l’équation f(x) = k. des points de Ꮿf
f (u) > f (v).
de k dans I. dont l’ordonnée est
égale à k. b) Une fonction non croissante sur I n’est pas obligatoire-
ment une fonction décroissante sur I : f n’est ni croissante
f est croissante Pour tout u et v La courbe Ꮿf « monte »
ni décroissante sur [1 ; 4].
sur I. de I si u v, alors sur l’intervalle I.
f (u) f (v).
Déterminer Résoudre dans I Donner les abscisses
tous les réels l’inéquation des points de Ꮿf
de I dont l’image f(x) > m. dont l’ordonnée
est strictement est strictement 1
supérieure à m. supérieure à m.
O 1 2 3 4
1. Seul le graphique 3 peut convenir (la distance 2. a) Pierre raisonne sur un exemple. Cela ne prouve pas
parcourue est une fonction croissante du temps). que pour tout u et v de [0 ; 3], si u v alors f(u) f (v).
2
2. a) Sur [0 ; 6], d(t) = t. b) Par contre il peut affirmer : « 0 1 et f (0) f (1),
3 donc f n’est pas croissante sur I ». Il a montré un « contre-
b) Sur [6 ; 9], d(t) = 4. exemple ».
1
c) Sur [9 ; 21], d(t) = t + 1.
3
5. Se préparer au contrôle
a) Le graphique 1 représente la teneur en ozone
de l’air en fonction de l’altitude.
• QCM
Le graphique 2 représente la température en fonction 1. a) Faux. En effet, f(4) = 0, et f est décroissante
de l’altitude. sur ⺢, donc f(0) et f(4) sont rangés dans l’ordre inverse
Le graphique 3 représente la teneur en eau en fonction de 0 et 4.
de l’altitude. b) Faux. Erreur possible : on compare 3 et 5 au lieu de
b) 1 : La teneur en ozone est plus ou moins stable pour comparer f(3) et f(5).
les basses altitudes (0 à 12 km environ) puis augmente, c) Vrai. En effet, f(5) et f(4) sont rangés dans l’ordre
passe par un maximum à une altitude d’environ 20 km, inverse de 5 et 4 puisque la fonction est décroissante
diminue ensuite pour passer par un minimum à environ sur ⺢.
40 km, puis augmente à nouveau. 2. a) Vrai. En effet, la courbe « descend » pour x compris
2 : La température passe par un minimum à une alti- 1
entre – 1 et .
tude d’environ 12 km (entrée dans la tropopause) puis 2
b) Faux. Erreur possible : on compare les valeurs de f(0)
augmente à nouveau sans atteindre celle du sol.
3 : La teneur en eau décroît puis croît plusieurs fois 冢 冣
et f
3
2
.
entre 0 et 12 km, altitude à laquelle elle est nulle et 冤
c) Faux. La fonction est croissante sur 1 ;
3
2冥 et décrois-
disparaît totalement pour des altitudes plus élevées. sante sur 冤 3
2 冥
;2 .
a) Vrai, par exemple f (– 4) = – 5 donc – 4 convient. 3. a) Faux. Erreurs possibles : mauvaise lecture de la gra-
b) Faux. f (– 1) = 2, donc – 1 est un contre-exemple. duation sur l’axe des ordonnées ; on cherche le maximum
6
de la fonction sur son intervalle de définition alors que a) Faux. Erreur possible : on ne tient compte que de
l’énoncé le demande sur [0 ; 2]. f(– 2) et de f(3), alors que la fonction n’est ni croissante,
b) Vrai. En effet, sur l’intervalle [0 ; 2], le point le plus ni décroissante sur l’intervalle [– 2 ; 3].
1
haut de la courbe est celui d’ordonnée . b) Vrai. En effet, d’après le tableau de variation, le maxi-
2
c) Faux. Erreur possible : confusion entre minimum et mum de la fonction est 2.
1
maximum. c) Vrai. En effet, f(x + 3) = (x + 3) – 5 ;
3
1 1
1. a) Vrai. Le tableau de variation de la fonction f f(x + 3) = x + 1 – 5 = x – 5 + 1 = f(x) + 1.
3 3
est : d) Faux. Erreur possible : on calcule f(1 000) = 2, et on
x –1 1 4 oublie que la fonction est décroissante car le coefficient
f (x) 0 5 de x est – 0,05 ; il est donc négatif.
–3 e) Faux. Erreur possible : on confond avec la fonction
D’après ce tableau de variation, le minimum de la fonc- affine x 哫 3x + 1. Un contre-exemple montre que l’af-
tion est atteint pour x = 1 et vaut – 3. firmation est fausse : f(– 1) = 4 et f(0) = 1. Or – 1 est plus
b) Faux. Erreur possible : confusion entre inégalité stricte petit que 0, mais l’image de – 1 est plus grande que
et inégalité large. l’image de 0.
c) Faux. Contre-exemple : f(4) = 5.
2. a) Faux. Erreur possible : on a confondu le premier • Pour réviser
nombre (ici 10) avec le coefficient a de la fonction a) Le minimum de f sur [– 3 ; 6] est – 1.
x 哫 ax + b. b) Le maximum de f sur [– 6 ; 6] est 4.
b) Faux. Erreur possible : on a trouvé – 2 comme solution c) f (x) = 0 équivaut à x = – 3, x = 3 ou x = 5.
de l’équation 10 – 5x = 0. d) f (x) = 2 équivaut à x = – 2, x = 2 ou x = 6.
c) Vrai. 10 – 5x = 0 pour x = 2 et le coefficient de x est – 5, e) f (x) – 1 équivaut à x ∈ [– 4 ; 6].
il est donc négatif. f) f (x) 2 équivaut à x ∈ [– 6 ; – 2] ∪ [2 ; 6].
3. a) Vrai. En effet, f(5) = 0 et le coefficient de x est – 2 :
a) Faux b) Faux c) Vrai d) Faux e) Vrai
il est donc négatif. La fonction affine est bien décrois-
f) On ne peut pas décider, f (– 7) pourrait prendre toute
sante sur ⺢.
valeur comprise entre 0 et 4.
b) Faux. Le coefficient de x est ici 2, donc la fonction
g) Vrai h) Faux i) Vrai j) Faux k) Vrai
affine est croissante sur ⺢.
l) On ne peut pas décider, f n’est pas monotone sur
c) Faux. Erreur possible : confusion entre abscisse et
[– 5 ; 0].
ordonnée ; on calcule l’image de 0 et non de 5.
m) On ne peut pas décider, car f (– 3) ∈ ]0 ; 4[ et
f (– 1) ∈ ]– 3 ; 4[.
• Vrai – Faux
1. a) La fonction f est décroissante sur [– 3 ; 0].
a) Faux. Voici un contre-exemple.
b) Pour tout x tel que – 3 x 0, on a donc
f (– 3) f (x) f (0), c’est-à-dire 0 f (x) 2.
4
2. a) La fonction f est croissante sur [0 ; 2].
b) Pour tout x de [0 ; 2], 0 x 2, donc f (0) f (x) f (2),
2
c’est-à-dire 0 f (x) 1,5.
1
3. a) La fonction f est décroissante sur [2 ; 4].
O 1 b) 1 = f (2,5) et – 2 = f (4), donc – 2 f (x) 1 équivaut à
b) Faux. Le contraire de « croissant » n’est pas « décrois- f (4) f (x) f (2,5). Comme f est décroissante sur [2 ; 4]
sant ». Par exemple, la fonction représentée ci-dessus cela donne donc 2,5 x 4.
n’est ni croissante, ni décroissante sur [0 ; 1]. 4. Sur [– 3 ; 2] le maximum de f est 2 et son minimum
c) Faux. Erreur possible : confusion entre « croissant » est 0.
et « positif ». Donc 0 f (x) 2 pour tout x ∈ [– 3 ; 2].
d) Faux. En effet, puisque f est décroissante sur l’in- a) Les x chaises à 38 euros donnent un revenu de
tervalle [0 ; 1], f(0) ne peut pas être inférieur à f(1). De 38x euros. Les (150 – x) chaises à 60 euros rapportent
même, puisque f est croissante sur [1 ; 2], f(1) ne peut 60(150 – x) euros.
être supérieur à f(2). Au total, f (x) = 38x + 60(150 – x) = 9 000 – 22x.
7
b) f (x) > 7 320 équivaut à 9 000 – 22x > 7 320, Cet algorithme ne fonctionne que si f (a) ≠ f (b).
840 840
soit x < . Or ≈ 76,4. 1. a) Si dans la boucle pour un certain x, f (x + pas) – f (x)
11 11
et d = f (b) – f (a) n’ont pas le même signe, alors on peut
x pourrait prendre toute valeur entière inférieure ou
égale à 76. affirmer que la fonction n’est pas monotone.
c) L’entreprise produit plus de chaises à 38 euros qu’à
150
60 euros, donc x > .
2
La seule valeur possible est donc x = 76. a x x + pas b
f (b) – f (a) > 0 et f (x + pas) – f (x) < 0.
6. Exercices d’approfondissement b) Par contre si la boucle est parcourue complètement,
on peut seulement afficher : « La fonction semble mono-
a) f (– 2) = 5 et f (1) = 2. – 2 < 1 et f (– 2) > f (1), donc f
tone » car cela n’est pas certain.
n’est pas croissante sur [– 3 ; 3], car si elle était croissante
on aurait f(– 2) f(– 1).
b) f (0) = 1. Pour tout x de [– 3 ; 3], f (x) – f(0) = x2 donc
f (x) f(0). Cela montre que f (0) est le minimum de f
sur [– 3 ; 3].
c) 10 – f (x) = 10 – (x2 + 1) = 9 – x2 = (3 – x) (3 + x). a x x + pas b
Or sur [– 3 ; 3], 3 – x 0 et 3 + x 0, donc 10 – f (x) 0,
f (b) – f (a) > 0 et f (x + pas) – f (x) > 0.
et alors 10 f (x).
c)
D’autre part, f (x) = 10 équivaut à x2 + 1 = 10, c’est-à-dire
x2 – 9 = 0, soit (x – 3)(x + 3) = 0 ou encore x = 3 ou x = – 3.
La fonction f admet donc bien 10 comme maximum
sur [– 3 ; 3], et le maximum est atteint en – 3 et 3.
1. a) f semble croissante sur [0 ; + ∞[.
b) On ne voit pas tout l’intervalle [0 ; + ∞[ et de plus on
pourrait ne pas voir de petites irrégularités.
2. a) u et v dans [0 ; + ∞[ sont positifs.
b) f(u) – f(v) = u2 + u – (v2 + v) = u2 – v2 + u – v
= (u – v) (u + v) + u – v
= (u – v) (u + v + 1)
c) Comme u 0 et v 0, alors u + v + 1 est positif.
d) Si u v, alors u – v 0, et comme u + v + 1 0, le
produit (u – v) (u + v + 1) est négatif donc f (u) – f(v) 0.
e) Lorsque u v, on a f(u) f (v), donc f est croissante
sur [0 ; + ∞[.
a)
a) Le coût total de fabrication devrait augmenter
avec le nombre de kilogrammes produits puisqu’on k 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
utilise plus de fruits frais. x 0 0,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1
b) Le prix de revient moyen d’un kilogramme devrait
y 0,3 0,9 0,7 0,5 0,3 0,1 – 0,2 – 0,5 0,4 0,6
diminuer lorsque le nombre de kilogrammes produits
max 0,1 0,3 0,9 0,9 0,9 0,9 0,9 0,9 0,9 0,9 0,9
augmente, car les frais fixes se répartissent sur plus de
kilogrammes. min 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 0,1 – 0,2 – 0,5 – 0,5 – 0,5
冢 冣 冢 冣
2 000 2 000 v–u y – 1,15 – 1,2 – 1,15 – 1 – 0,75 – 0,4 0,05 0,6 1,25 2
P(u) – P(v) = +4 – + 4 = 2 000 × .
u v uv
max – 1 –1 –1 –1 – 1 – 0,75 – 0,4 0,05 0,6 1,25 2
0 < u < v donc P(u) – P(v) > 0.
min – 1 – 1,15 – 1,2 – 1,2 – 1,2 – 1,2 – 1,2 – 1,2 – 1,2 – 1,2 – 1,2
P est bien décroissante.
8
c) La longueur du demi-cercle est 5π donc x ∈ [0 ; 5π].
5 π
–––
x 0 2 5π
10
f (x)
0 0
Le triangle a toujours la même base, son aire varie avec
sa hauteur et elle est maximale quand la hauteur est
冢 冣
5π
égale au rayon du cercle. f = 10.
2
On sait qu’une fonction affine est monotone.
f (1) f (2), donc f est croissante.
f (3) f (4), donc f est décroissante.
La seule solution est donc f constante. De plus f (5) = 5
donc f est la fonction constante égale à 5. f (x) = 5.
d) Si on applique l’algorithme à la fonction f définie
sur [1 ; 2] par f (x) = (x – 13)2, on obtient en prenant Posons f (x) = ax + b :
N = 10 : min ≈ 0,001 et max ≈ 0,536. f (f (x)) = f (ax + b) = a(ax + b) + b = a2x + ab + b.
Ce ne sont que des valeurs approchées des extremums. f (f (x)) = 4x – 3 équivaut à 4x – 3 = a2x + ab + b.
En effet le minimum de f est atteint en 13 et vaut 0, mais Pour que f (f (x)) = 4x – 3, il suffit que a2 = 4 et ab + b = – 3.
l’algorithme ne donne à x que des valeurs décimales. On peut prendre a = 2 et b = – 1, ou bien a = – 2 et b = 3.
Le maximum de f est atteint en 1 et vaut (1 – 13)2. Les fonctions x 哫 2x – 1 et x 哫 – 2x + 3 répondent à la
L’algorithme choisit la bonne valeur de x mais ne donne question.
qu’une valeur approchée du résultat.
D’après l’énoncé, a est constante
a) S1 correspond au maximum : son abscisse s1 est (1) a(x) = k, k ∈ ⺢.
le solstice d’été, le jour le plus long de l’année. (2) b(x) = mx + p avec m > 0 car b est une fonction affine
S2 correspond au minimum : son abscisse s2 est le solstice croissante.
d’hiver, le jour le plus court de l’année. (3) c(x) = m’x + p’ avec m’ < 0 car c est une fonction affine
b) Les ordonnées de D et F sont à peu près égales. décroissante.
La durée du jour au 1er janvier (ordonnée de D) est Pour x = 0, on a :
sensiblement la même que la durée du jour le k – b(0) = 4 ou b(0) – k = 4
31 décembre (ordonnée de F). k–p=4
c) La durée du jour pour e1 et e2 est de 12 h. Ce sont les p=k–4
équinoxes de printemps (e1) et d’automne (e2). 4m + k – 4 = k d’où m = 1
Pour les graphiques 1, 2 et 3, on a V en fonction (4) pour x = 4, b(4) = k
de h. (5) pour x = 9, c(9) = k
Si 0 h 6, V = 36h. Si 6 h 12, V = 4πh + 216. (6) a(0) + b(0) + c(0) = 9,5
On a donc une fonction affine par morceaux. Comme b est croissante, et b(4) = k, alors b(0) < k, donc
Le graphique 2 est celui qui correspond à la situation. c’est k – b(0) qui vaut 4. Donc b(0) = k – 4. Les deux valeurs
Pour les graphiques 4, 5 et 6, on a h en fonction de t. b(0) et b(4) permettent de définir b(x) = x + k – 4
Le graphique 4 est le bon car le débit est constant donc b(x) = a(x) + 1 équivaut à x + k – 4 = k + 1 donc à x = 5.
on a à nouveau une fonction affine par morceaux. Donc a(5) + 1 = b(5) = c(5) – 1.
D’où c(5) = b(5) + 1 = k + 2.
La fonction f est constante.
D’après (6) : k + k – 4 + c(0) = 9,5 donc c(0) = 13,5 – 2k.
En effet, lorsque M décrit [AB], le milieu I de [MD] décrit
k + 2 – (13,5 – 2k) 3k – 11,5
la parallèle à (AB) passant par le milieu de [AD] d’après le c(0) et c(5) donnent m’ = = ,
5 5
théorème de la droite des milieux dans le triangle ADM. 3k – 11,5
La hauteur h du triangle DCI est donc constante, égale alors c(x) = x + 13,5 – 2k.
5
à 2,5 cm. 3k – 11,5
Comme c(9) = a(9) = k, alors × 9 + 13,5 – 2k = k
L’aire du triangle DCI est alors elle aussi constante. 5
d’où k = 3.
5 × 2,5 1 15
= 6,25 cm2. Donc a(x) = 3 ; b(x) = x – 1 et c(x) = – x + .
2 2 2
9
4
Chapitre
Fonctions de référence
et problèmes
• Énigme 1 a) Vrai, car la courbe coupe l’axe des abscisses en 2.
Les résultats obtenus sont successivement : b) Vrai, car la droite Δ : y = 1 coupe la courbe en deux
9 ; 14 ; 22 ; 5 ; 18 ; 19 ; 5. points.
Le mot obtenu est I ; N ; V ; E ; R ; S ; E. c) Faux, l’image de 1,5 par g est 0,75 environ.
d) Faux, – 1 n’a pas d’antécédent par g.
• Énigme 2
• En hauteur la balle peut passer puisque 10 cm < 15 cm.
• Vu du dessus, on dispose d’un triangle isocèle rectangle
en A, pour lequel, d’après le théorème de Pythagore,
l’hypoténuse BC = 972 + 72 = 498.
2. Activités d’approche
Or 498 cm < 10 cm, la balle ne peut pas passer entre • Activité 1
deux piquets.
1. a) et b)
= x2 + 10x + 25 ;
b) (3 – x) = 3 – 2 × 3 × x + x2
2 2
= 9 – 6x + x2 ;
12 1 12 1
c) 2x +
2 = (2x)2 + 2 × 2x × +
2 2
= 4x2 + 2x + ;
4
• Pour nommer s l’aire du quadrilatère ABCD : clic-droit
1 2
1 2 1 1 2 sur poly 1, renommer, remplacer poly 1 par s ;
2
d) x – 1 = x – 2 × x × 1 + 1 = x – x + 1 ;
2 2
2
4 • Saisir M = (a, s) ;
e) (x + 6) (x – 6) = x2 – 62 • Pour obtenir la trace de M : clic-droit sur M, afficher
= x2 – 36 ; la trace ;
f) (1 – 4x) (1 + 4x) = 12 – (4x)2 • Déplacer ensuite le curseur a pour obtenir la parabole.
= 1 – 16x2. 2. a) f (a) = 2 × Aire(OAB) + 2 × Aire(AOD)
a) x > 0 ; b) x 0 ; c) x 5. a 2a a 4a
× ×
2 3 2 3
=2× +2×
a) a + 2 < b + 2 ; 2 2
b) – 2a > – 2b ; = a2
a b b) Différentes conjectures peuvent être émises :
c) < .
3 3 – fonction à valeurs positives ;
a) f (4) = 3 – 5 × 4 = – 17. L’image de 4 par f est – 17. – symétrie de la courbe par rapport à (Oy) ;
1 – variations ;
b) f (x) = 4 donne 3 – 5x = 4 donc – 5x = 1 et x = – .
1 5 – minimum ;
– est l’antécédent de 4 par f.
5 – maximum (pour a entre – 4 et 4)…
1
• Activité 2
a)
d) f (x) =
5
4 3
lorsque x = –
5 – 15
4
=
2
ou x = 3
5 15
= .
4 2
e) f (x) = 100 lorsque x = – 10 ou x = 10.
I
a) Elle a confondu image et antécédent.
Zo
one
ne rouge 3 est un antécédent de 9 par la fonction carré.
b) L’écran ne montre pas que 9 possède un autre anté-
1 cédent, – 3, par la fonction carré.
a) x2 = 5 lorsque x = – 15 ou x = 15.
Zone verte
b) Un carré est toujours positif ou nul donc l’équation
x2 = – 3 n’a pas de solution.
O 1 2 3 U c) x2 = 0 lorsque x = 0.
b) La zone frontière, en gris, représente la zone de fonc-
tionnement maximal (U × I = 1 Watt).
3. Exercices de base
a) f (4) = 16 b) f (100) = 10 000
c) f (0) = 0 d) f (0,1) = 0,01
a) f (– 5) = (– 5)2 = 25. 1
b) f (– 4) = 16 ; f (– 1) = 1 ; f (– 3,5) = 12,25 ; f (– 0,5) = 0,25.
3 9 4 16 11 121 –1 O 1 3
a) f 4 = 16 5 = 25
b) f – c) f – 5
=
25
a) f (15) = 5 b) f (– 15) = 5
c) f (213) = 12 d) f (– 415) = 80 1
a) f (103) = 106 0,8
b) f (10– 5) = 10– 10
c) f (8 × 10– 4) = 64 × 10– 8 0,6
d) f (2 + 15) = (2 + 15)2
= 4 + 2 × 2 × 15 + 152 0,4
= 9 + 415
0,2
e) f (18 – 16) = (18 – 16)2
= 182 – 2 × 18 × 16 + 162
= 14 – 2448 – 0,8 – 0,6 – 0,4 – 0,2 O 0,2 0,4 0,6 0,8 1
= 14 – 813
f) f (3 – 12) = (3 – 12)2 a)
= 32 – 2 × 3 × 12 + 122
= 11 – 612.
b) – 4 =
2
11 11 10 1 1
= + =2+ ;
5 5 5 5 5
9
8
De > , on déduit que – 4 > – 4 .
2 2
1 1 11 13
5 6 5 6
4
2
24 24 21 3 3 1
a) = = + =3+ ;
7 7 7 7 7
4
10
2
10 9 1 1 –2 O 1 2
= = + =3+ .
3 3 3 3 3 Donc x2 4 lorsque x ∈ ]– ∞ ; – 2] ∪ [2 ; + ∞[.
3
a) c)
25
16
4
1
– 4 –2 O 1 2 4
5
Donc 4 < x < 16 lorsque x ∈ ]– 4 ; – 2[ ∪ ]2 ; 4[.
2
1
–5 O 1 5 5
Donc x2 25 lorsque x ∈ [– 5 ; 5]. 3
b)
–3
1
b) • L’image de – 3 est – ; l’image de 1 est 1 ; l’image
3
3 2
de est .
2 3
1
• L’antécédent de – 3 est – ; l’antécédent de 1 est 1 ;
3
3 2
l’antécédent de est .
2 3
1 1 1 3 1 2
c) • f (– 3) =
–3 3 1
= – ; f (1) = = 1 ; f = = .
2 3 3
2
1 1 1 1 3
• = – 3 donne x = – ; = 1 donne x = 1 ; = donne
x 3 x x 2
2
x= .
1 3
1 1
Donc pour x ∈ ]0 ; 5],
x
∈ ;+∞ .
5
c) 1
x –2 – – 0 –3
5
1 –1
– 1 1
–x 2 –5 Donc, lorsque
x
– 3, x ∈ – ; 0 .
3
1 1 1
Donc pour x ∈ – 2 ; –
, ∈ – 5; – .
5 x 2
1
a) La fonction inverse est décroissante sur ]0 ; + ∞[, –1
–
2
1 1
donc de x 2, on déduit que . O 1
x 2
b) La fonction inverse est décroissante sur ]– ∞ ; 0[, donc
1 1 1 1
de x – 4, on déduit que , soit – .
x –4 x 4 –2
c) La fonction inverse est décroissante sur ]– ∞ ; 0[,
1 1 1 1 1 1
donc de – 1 x – , on déduit que
2 –1 x
1
soit Donc lorsque
x
> – 2, x ∈ – ∞ ; – ∪ 0 ; + ∞ .
2
1 –
– 2 – 1. 2
x a) 7
1 1
O 1 O 1
1 1
– –
5 7
1 1
Donc
1
x
1
5 lorsque x ∈ 0 ; .
5 Donc 1
x
7 donc x ∈ ; 1 .
7
6
b) c) On conjecture que le point H décrit une hyperbole.
–1
–
–4 5 1 2. On note x l’abscisse du point M (qui est aussi celle
O1
de H).
–1– Les triangles OIN et OMA sont en configuration de Thalès,
4
donc
OI ON
=
1 ON
, c’est-à-dire = .
OM OA x 1
1
Ainsi ON = .
x
1
–5 L’ordonnée de N, qui est aussi celle de H, est donc – .
x
1
Donc – 5
1 1 1
– lorsque x ∈ – 4 ;– . x
Finalement, le point H a pour coordonnées x ; – , il est
x 4 5 1
situé sur une hyperbole d’équation y = – .
c) x
5
1. a)
1 1
–2 –
O 5 1
1
––
2
1 1
Donc –
2
x 5 lorsque x ∈ – 2 ; 0 ∪ 0 ; .
5 b) On constate que l’on ne peut pas utiliser cette fenêtre
graphique pour déterminer les points d’intersection.
a) P × V = 1 est lié à la fonction inverse car, pour
1 1
1 1 2. = 0,02x lorsque 1 = 0,02x2, c’est-à-dire x2 = ,
P ≠ 0, V = ou, pour V ≠ 0, P = .
P V x 0,02
1 soit x2 = 50 qui a pour solutions x = 450 et x = – 450 et
b) On choisit P = et il faut que 0,5 V 5. 1 12 12
V y= = et y = – .
À l’aide du tableau de variation de la fonction inverse, 512 10 10
1 3. La fenêtre : – 9 X 9 et – 0,2 Y 0,2 convient
on en déduit que : P 2. pour obtenir une valeur approchée (en utilisant le mode
5
TRACE , par exemple) des points d’intersection.
v – 0 0,5 5 +
1. a) et b)
2
1
P=1
–v –
5
Cv2
0
Pour C < 0, le tableau de variation de v Cv2 est :
v – 0 +
0
Cv2
7
2. Pour C > 0 : • Pour u, v ∈ ]0 ; + ∞[,
u et v désignent deux réels tels que u v, c’est-à-dire 1 1 v – u } positif
f(u) – f(v) = – =
tels que u – v 0. u v uv } positif
– lorsque u et v sont positifs, donc f(u) – f(v) 0, c’est-à-dire f(u) f(v).
Cu2 – Cv2 = C(u2 – v2) = C(u – v) (u + v) La fonction inverse est décroissante sur ]– ∞ ; 0[.
• Pour u, v ∈ ]– ∞ ; 0[,
négatif positif
donc Cu2 – Cv2 0 donc Cu2 Cv2. 1 1 v – u } positif
f(u) – f(v) = – =
La fonction v Cv2 est croissante sur [0 ; + ∞[. u v uv } positif
– lorsque u et v sont négatifs, donc f(u) – f(v) 0, c’est-à-dire f(u) f(v).
Cu2 – Cv2 = C(u2 – v2) = C(u – v) (u + v) La fonction inverse est décroissante sur ]– ∞ ; 0[.
2. a)
négatif négatif
donc Cu2 – Cv2 0 donc Cu2 Cv2.
La fonction v Cv2 est décroissante sur ]– ∞ ; 0].
Pour C < 0 :
On procède de même, C étant négatif, les inégalités
changent de sens et les variations de la fonction égale-
ment.
négatif positif
c’est-à-dire f(u) f(v). La fonction carré est croissante
b) u et v désignent deux réels tels que u v, c’est-à-dire
sur [0 ; + ∞[.
v – u 0.
• Pour u, v ∈ ]– ∞ ; 0], 1 1 –3 –3
f(u) – f(v) = u2 – v2 = (u – v) (u + v) donc f(u) – f(v) 0 • Pour u, v ∈ ]0 ; + ∞[, (d’après le 1.) donc
u v u v
négatif négatif
est au-dessus de Δ ;
• pour 0 < x < 1, x (x – 1) < 0, donc x2 < x g
positif négatif
est au-dessous de Δ ;
• pour x > 1, x (x – 1) > 0, donc x2 > x
positif positif 1
est au-dessus de Δ ;
O 1
• pour x = 0 ou pour x = 1, x(x – 1) = 0, donc x2 = x
et Δ sont sécants. Les coordonnées des points d’intersection sont :
(– 2 ; 4) et (1 ; 1).
• Par lecture graphique, on conjecture que :
b) (x + 2) (x – 1) = x2 + 2x – x – 2 = x2 + x – 2.
1
x lorsque x ∈ ]– ∞ ; – 1] ∪ ]0 ; 1] et c) x2 = g(x) équivaut successivement à x2 = – x + 2 puis
x
1 x2 + x – 2 = 0 et donc, d’après le b), à (x + 2) (x – 1) = 0
x lorsque x ∈ [– 1 ; 0[ ∪ [1 ; + ∞[. d’où x = – 2 et x = 1.
x
1 1 – x2 (1 – x) (1 + x) Ainsi, les points d’intersection ont pour coordonnées
• Pour tout réel x, – x = = :
x x x (– 2 ; 4) et (1 ; 1).
– lorsque x – 1 ; (1 – x) (1 + x) 0 et x 0 donc
1 1 a) On conjecture que les points d’intersection ont
– x 0 et x ;
x x pour coordonnées (1 ; 1) et (4 ; 16) environ.
– lorsque x ∈ ]0 ; 1] ; (1 – x) (1 + x) 0 et x 0 donc b) • (x – 1) (x – 4) = x2 – 5x + 4 ;
1 1 • x2 = 5x – 4 équivaut successivement à x2 – 5x + 4 = 0
– x 0 et x ;
x x
puis (x – 1) (x – 4) = 0, enfin x = 1 ou x = 4.
– lorsque x ∈ [– 1 ; 0[ ; (1 – x) (1 + x) 0 et x 0 donc
1 1 Ainsi, les coordonnées des points d’intersection sont
– x 0 et x ; (1 ; 1) et (4 ; 16).
x x
– lorsque x ∈ [1 ; + ∞[ ; (1 – x) (1 + x) 0 et x 0 donc
a) On conjoncture que le point d’intersection a
1 1
– x 0 et x. pour coordonnées (2,2 ; 4) environ.
x x
1 15
Début b) • x – 4
x + 4 = x2 + x – 1 ;
4
Lire x ≠ 0 15 15
a ← x2
• x + x – 1 = 0 équivaut successivement à x x +
2
4 4
=1
b ← 1/x 15 1
puis x + = .
si a – b > 0 alors écrire a 4 x
1 1
sinon écrire b
Or x –
4
x + 4 = 0 lorsque x = ou x = – 4.
4
Fin Ainsi les coordonnées des points d’intersection sont
1 1
a)
4
; 4 et – 4 ; – .
4
a) On conjecture que ces trois courbes se rencon-
trent au point de coordonnées (0,25 ; 4).
9 3 1
b) • 4x + 3 = – 2x + donne 6x = donc x = , ainsi les
2 2 4
courbes représentatives des fonctions x 4x + 3 et
9
x – 2x + se rencontrent au point de coordonnées
b) On conjecture que les coordonnées des points d’inter- 2
1 1 1
section sont, environ, (– 1,4 ; 6,1) et (1,4 ; – 2,2). 4
;4× +3 = ;4 .
4 4
c) x2 – 3x = – 3x + 2 est successivement équivalent à 1 1
x2 = 2, x = – 12 ou x = 12. • De plus, l’image de par x est 4.
4 x
1
Les coordonnées des points d’intersection sont :
Donc ce point ; 4 est commun aux trois courbes.
(– 12 ; 312 + 2) et (12 ; – 312 + 2). 4
9
1. a) a) x 0 donc x + 4 > x + 1 > 0 or la fonction inverse
1 1
est décroissante sur ]0 ; + ∞[, donc < .
x+4 x+1
b) x 0 donc x – 5 < x – 410 < 0, or la fonction inverse est
1 1
décroissante sur ]– ∞ ; 0[, donc > .
x – 5 x – 410
c) x 5 donc 4x 20 puis 4x – 1 19, or la fonction
1 1
inverse est décroissante sur ]0 ; + ∞[, donc .
4x – 1 19
1 1
N ; ,L ;
2 4
3 9
4 16
et K(1 ; 1). 1. a) Ces droites sont contenues dans le plan (SOA),
or elles sont perpendiculaires à la même droite (SO) donc
• Ainsi, pour les quatre points, on a y = x2.
elles sont parallèles.
Ils appartiennent tous à la courbe de la fonction carré.
(MP) est perpendiculaire à (SO) car elle est contenue dans
1. a) le plan perpendiculaire à (SO) passant par M.
b) Les triangles SMP et SAO sont en configuration de Thalès
SM MP x
(dans le plan (SAO)), ainsi = donc MP = .
SO OA 2
2. L’hexagone PQRTUV est consti-
V
tué de six triangles équilatéraux.
x x
On sait que PM = donc PH =
2 4
x
et PV = , d’après le théorème
2 P M
b) On conjecture que, de Pythagore dans le triangle VPH, H
pour xy > 0, (x + y)2 > x2 + y2 ; VP2 = VH2 + PH2 d’où
pour xy < 0, (x + y)2 < x2 + y2 ; x 2 x 2 3x2 x13
pour xy = 0, (x + y)2 = x2 + y2.
VH2 =
2
–
4
=
16
, ainsi VH =
4
.
13
x x13 B A
×
L’aire de PQRTUV est égale à : 6 × 2 4 = 3x2 13 .
2 8
3. a) Df [0 ; 10] car M ∈ [OS] et OS = 10.
b) Pour a, b ∈ [0 ; 10], si a < b alors a2 < b2 car la fonction
3 13 2 3 13 2
carré est croissante sur [0 ; + ∞[, d’où a < b
8 8
ainsi f(a) < f(b).
La fonction f est croissante sur [0 ; 10].
C
x 0 10 E F
5
300
_____
f (x )
0 8
300 13 D
f(10) = .
8
4 3 3
c) 1. a) V = πx m .
3
4 3
b) Masse d’eau déplacée : m = μ × V = 1 046 × πx kg.
3
4π 3 41 840 3
c) f(x) = mg = 1 046 × x × 10 = πx .
3 3
2. a)
3x2 13 400
d) f(x) = 50 lorsque = 50 donc x2 =
8 313 b) À l’aide de la fonction TRACE de la calculatrice, on
20
d’où x = (car x > 0). obtient : 0,44 < x0 < 0,45.
6313
e) On utilise le tableau de variation du b) pour déduire a)
3x2 13 160 240
que 20 30 lorsque x
8 313 313
40 2460
d’où x .
6313 6313
a) (x) = (ABEF) + (BCE) + (CDE)
x x
× b) On conjecture que cette fonction est croissante sur
x × x 12 12 7
= x2 + + = x2 [0 ; + ∞[.
2 2 4
7 c) • u et v sont deux réels positifs tels que u < v,
a= . (1u – 1v)(1u + 1v) (1u)2 – (1v)2 u–v
4 1u – 1v = = = .
b) et c) 1u + 1v 1u + 1v 1u + 1v
• u < v donc u – v < 0, de plus 1u + 1v > 0 donc 1u – 1v < 0,
ainsi 1u < 1v et 501u < 501v.
La fonction f est croissante sur [0 ; + ∞[.
d) • Avec la calculatrice,
On paramètre les données dans le logiciel, si Laure On note n et n + 1 ces deux entiers :
pèse moins de 72 kg alors elle ne peut pas conduire ; si 1 1 1
– = est équivalent successivement à :
n n + 1 2 070
Marc pèse plus de 67 kg alors il peut conduire, à condition
n+1–n 1
que leur repas dure au moins une heure. = ; 2 070 = n(n + 1) ;
n(n + 1) 2 070
On note x ce nombre réel positif non nul. À la calculatrice, on peut conjecturer la solution de cette
1 équation, puis vérifier que n = 45.
Son inverse est .
x Les deux entiers sont donc 45 et 46.
15
5
Chapitre
Fonctions
et formules algébriques
• Énigme 1 Enlever 1 Prendre l’inverse Enlever 4
1 1 –4
x x–1 —— ——
(8n + 1 + 8n)2 x–1 x–1
C=
(4n – 4n – 1)3 1
f(x) = –4
x–1
(8n)2 (8 + 1)2
C=
(4n – 1)3 (4 – 1)3 a) (2x – 3)2 = (2x)2 – 2 × 2x × 3 + 32
82n 34 = 4x2 – 12x + 9
C= 3n–3
× 3 2 2
b) (3x + 1) = 9x – 6x + 1
4 3
c) (2 – 5x)(2 + 5x) = 22 – (5x)2
26n 34 = 4 – 25x2
C= ×
26 n – 6 33
d) 8 – 2(x – 3) = 8 – 2(x2 – 6x + 9)
2
2. Activités d’approche
1. Vérifier les acquis • Activité 1
V V2 x x2 1.
DA = DR + DF = + = +
3,6 254 × 0,7 3,6 177,8
5
L’inégalité < 3 est vraie lorsque x prend comme
x
valeurs – 4 ou 2,4.
2
3. Exercices de base De plus, le triangle NPB est rectangle et qB = 45° car ABC
est un triangle rectangle et isocèle.
a) Le triangle NPB est donc aussi isocèle et PB = x, d’où
Ajouter Élever Multiplier Soustraire (x) = x(3 – x)
3 au carré par – 2 4 = – x2 + 3x.
x x+3 (x + 3)2 – 2 (x + 3)2 –2 (x + 3)2 – 4
冢 冣 冢 冣
3 2 9 9 9
Or – x – + = – x2 – 3x + + = – x2 + 3x
b) Soustraire Élever Multiplier Ajouter 2 4 4 4
冢 冣
5 au carré par 2 6 3 2 9
D’où (x) = – x – + .
x x–5 (x – 5)2 2 (x – 5)2 2 (x – 5)2 + 6 2 4
3 9
c) (x) = a(x – α)2 + β avec a = – 1, α = , β = .
2 4
a) a = 3 ; α = 1 ; β = – 4
9
a > 0 donc f est décroissante sur ]– ∞ ; 1] et croissante a < 0 donc présente un maximum égal à , atteint
3 4
sur [1 ; + ∞[. pour x = .
f présente un minimum égal à – 4, atteint pour x = 1. 2 9
L’aire maximale est pour M milieu de [AC].
b) a = – 3 ; α = 1 ; β = 4 4
a < 0 donc f est croissante sur ]– ∞ ; 1] et décroissante
Yasmina a tort car f présente un minimum égal
sur [1 ; + ∞[. f présente un maximum égal à 4, atteint
à – 15 pour x = 11.
pour x = 1.
Elle n’a pas choisi une fenêtre permettant de visualiser
c) a = – 2 ; α = 0 ; β = 7
a < 0 donc f est croissante sur ]– ∞ ; 0] et décroissante les variations de la fonction f.
sur [0 ; + ∞[. f présente un maximum égal à 7, atteint Choisir 0 x 20
冦 est plus adapté.
pour x = 0. – 16 y 10
d) a = 3 ; α = 0 ; β = – 5
a > 0 donc f est décroissante sur ]– ∞ ; 0] et croissante
sur [0 ; + ∞[. f présente un minimum égal à – 5, atteint
pour x = 0.
1. x –∞ 3 +∞
f (x)
4
2. a) – 1 et 2 sont deux nombres de l’intervalle ]– ∞ ; 3] où a) Il s’agit de Y2.
f est décroissante. f(x) = 2(x – 3)2 – 7 avec a = 2 ; α = 3 ; β = – 7.
– 1 2 donc f(– 1) f(2). b)
b) 1 ∈ ]– ∞ ; 3]
4 ∈ [3 ; + ∞[ 3
On ne peut pas comparer f(1) et f(4). O
c) 20 et 19,7 sont deux nombres de l’intervalle [3 ; + ∞[
où f est croissante.
20 19,7 donc f(20) f(19,7).
3. a – 1 < a ; a ∈ ]– ∞ ; 3[ donc a – 1 ∈ ]– ∞ ; 3].
Sur cet intervalle, f est décroissante ; a – 1 a donc
–7
f(a – 1) f(a).
a) La fonction f : x – 3x2 est décroissante sur a) a = – 1 ; a < 0 donc la parabole est tournée « vers
[0 ; + ∞[. le bas », de sommet S(– 2 ; – 3).
0 12 + 1 13 + 1, donc – 3(12 + 1)2 – 3(13 + 1)2.
b) La fonction f : x – 2(x + 3)2 + 1 est décroissante sur –2
[– 3 ; + ∞[ or – 3 0,01 0,02, donc f(0,01) f(0,02). O
– 2(0,01 + 3)2 + 1 – 2(0,02 + 3)2 + 1.
c) La fonction f : x – 2(x + 3)2 + 1 est croissante sur S
–3
]– ∞ ; – 3] or – 5,4 – 5,1 – 3 donc f(– 5,4) f(– 5,1).
– 2(– 5,4 + 3)2 + 1 – 2(– 5,1 + 3)2 + 1.
11 4 ou (2 –x + 1)(2 + x – 1) = 0
f(x) = 5 si et seulement si x = 3 ou x = – 1
8 S = {–1 ; 3}.
S (0 ; 7)
–2 O 1 2
冢 冣
1 2 49 De plus f(0) = 2
f(x) = 2 x + –
4 8 donc a × 2 × (– 1) = 2 et a = – 1.
冥 冥
1
a = 2 ; a > 0 donc f est décroissante sur – ∞ ; – et
4 f(x) = – (x + 2)(x – 1).
冤 冤
1
croissante sur – ; ∞ . c) f(x) = a(x – x1)(x – x2) et x1 = 0, x2 = 2
4
d) Forme canonique d’où f(x) = ax(x – 2)
49 1
le minimum de f est – , il est atteint pour x = – . De plus f(3) = 1
8 4 1
f(x) = – 2x2 – 6x – 4 est la forme développée. donc a × 3 × 1 = 1 et a =
1 3
f(x) = – 2(x + 2)(x + 1) est la forme factorisée. f(x) = x(x – 2).
3
冢 冣
3 2 1
f(x) = – 2 x + + est la forme canonique.
2 2 a) 0,58(T – 100)2 + 200
f(– 2) = 0, on utilise la forme factorisée. = 0,58(T2 – 200T + 10 000) + 200
冢 冣
3 1
f– = , on utilise la forme canonique. = 0,58T2 – 116T + 5 800 + 200
2 2
f(0) = – 4, on utilise la forme développée. = 0,58T2 – 116T + 6 000
donc R(T) = 0,58(T – 100)2 + 200
1. a) Pour résoudre l’équation f(x) = 0, on choisit b) Le minimum est 200 ; il est atteint pour T = 100 °C.
la forme factorisée.
f(x) = 0 si, et seulement si, x – 1 = 0 ou x + 5 = 0. a) f(x) = – 4 si, et seulement si, x2 + 3x – 4 = – 4 ;
0 a donc 2 antécédents par f qui sont 1 et – 5. soit x(x + 3) = 0.
b) Pour résoudre l’équation f(x) = – 15, on choisit la – 4 a donc 2 antécédents par f qui sont 0 et – 3.
forme développée. b) Les points A(0 ; – 4) et B(– 3 ; – 4) de ont la même
f(x) = – 15 si, et seulement si, 3x2 + 12x – 15 = – 15 ordonnée. L’abscisse du sommet S de est le demi-
3x(x + 4) = 0. sommet des abscisses des points A et B.
Ce qui revient à x = 0 ou x = – 4.
冢 冣
0–3 3 3 25
α= = – d’où β = f – = – 6,25 = – .
– 15 a donc 2 antécédents par f qui sont 0 et – 4. 2 2 2 4
5
c) b)
Réduction Prix Nb spectateurs Recette
–1,5
–4 0 20 500 10 000
O 1
1 19 550 10 450
2 18 600 10 800
B A 3 17 650 11 050
4 16 700 11 200
– 6,25
S 5 15 750 11 250
6 14 800 11 200
7 13 850 11 050
8 12 900 10 800
7
a) f1(x) = x+2 9 11 950 10 450
3
7 10 10 1 000 10 000
f2(x) = +2
3x
11 9 1 050 9 450
7
f3(x) = 12 8 1 100 8 800
3x + 2
1 13 7 1 150 8 050
f4(x) = 5x – + 4
x 14 6 1 200 7 200
5x – 1 15 5 1 250 6 250
f5(x) = +4
x 16 4 1 300 5 200
1
f6(x) = 5x – 17 3 1 350 4 050
x+4
b) • f1 est une fonction affine, pas une fonction homo- 18 2 1 400 2 800
graphique. 1 = 19 1 1 450 1 450
7 2 × 3x 6x + 7 20 0 1 500 0
• Pour tout réel x, x ≠ 0, f2(x) = + =
3x 3x 3x
f2 est une fonction homographique et 2 = – {0}. c)
ax + b
• f3(x) est de la forme avec a = 0, b = 7, c = 3, d = 2.
cx + d
冦 冧
2
f3 est une fonction homographique et 3 = – – .
3
2
5x – 1 + 4x
• Pour tout réel x, x ≠ 0, f4(x) =
x
f4 n’est pas une fonction homographique et 4 = – {0}.
5x – 1 + 4x 9x – 1
• Pour tout réel x, x ≠ 0, f5(x) = = .
x x
f5 est une fonction homographique et 5 = – {0}.
5x2 + 20x – 1
• Pour tout réel x, x ≠ – 4, f6(x) = .
x+4
f6 n’est pas une fonction homographique et 6 = – {– 4}.
a) = – {0}.
10x2 – 1 + 8x
b) Pour tout réel x, x ≠ 0, f(x) = d) La recette semble maximale pour une réduction de
2x
f n’est pas une fonction homographique. 5 €, soit un prix de 15 € pour 750 spectateurs.
La recette est alors de 11 250 €.
2. On note x le montant en € de la réduction.
Le prix est 20 – x et le nombre de spectateurs est
500 + 50x. La recette est donc f(x) = (20 – x)(500 + 50x)
4. Exercices d’entraînement f(x) = – 50x2 + 500x + 10 000
f(x) = – 50(x – 5)2 + 11 250
1. a) Si la place est à 20 €, il y a 500 spectateurs et f(x) = a(x – α)2 + β
la recette est 500 × 20 = 10 000 €. avec a = – 50 ; α = 5 ; β = 11 250.
Si la place est à 19 €, il y a 550 spectateurs et la recette a < 0 donc f présente un maximum égal à 11 250, atteint
est 550 × 19 = 10 450 €. pour x = 5, ce qui confirme la conjecture.
6
3. a) 12
Le volume maximal est 2,5 m3, atteint pour x = .
4
Augmentation du nombre de spectateurs 12 12
pour une réduction d’un euro Les dimensions de la poutre sont m ; m ; 10 m.
20 4 2
C A
Réduction Prix Nb spectateurs Recette
0 20 500 10 000 冪莥2
––
1 19 520 9 880 4 C
0,5
2 18 540 9 720 冪莥2
B ––
3 17 560 9 520 A 0,5 B 2
4 16 580 9 280
5 15 600 9 000 c) Ils obtiennent le même volume maximal avec des
6 14 620 8 680
7 13 640 8 320 dimensions différentes pour la poutre.
8 12 660 7 920
9 11 680 7 480 a) Si – 1,5 u v alors 0 u + 1,5 v + 1,5
10 10 700 7 000 car ajouter un même réel à chaque membre de l’inégalité
11 9 720 6 480
12 8 740 5 920 ne change pas l’ordre.
13 7 760 5 320 Donc (u + 1,5)2 (v + 1,5)2 car deux nombres positifs et
14 6 780 4 680
15 5 800 4 000 leurs carrés sont rangés dans le même ordre.
16 4 820 3 280 D’où – 3(u + 1,5)2 – 3(v + 1,5)2 car multiplier par – 3 qui
17 3 840 2 520
18 2 860 1 720 est négatif change l’ordre.
19 1 880 880 Enfin – 3(u + 1,5)2 + 5 – 3(v + 1,5)2 + 5 car ajouter un
20 0 900 0
même réel à chaque membre de l’inégalité ne change
pas l’ordre.
b)
b) Finalement, pour tout réel u et v de l’intervalle [– 1,5 ; + ∞[
Augmentation du nombre de spectateurs Recette
pour une réduction d’un euro maximale si u v alors f(u) f(v) ; f est donc décroissante sur
20 10 000 [– 1,5 ; + ∞[.
30 10 080 c) si u v – 1,5 alors u + 1,5 v + 1,5 0 car ajouter
40 10 560
50 11 250 1,5 ne change pas l’ordre.
60 12 040 Donc (u + 1,5)2 (v + 1,5)2 car deux nombres négatifs
70 12 880
80 13 780 et leurs carrés ne sont pas rangés dans le même ordre.
90 14 690 D’où – 3(u + 1,5)2 – 3(v + 1,5)2 car multiplier par – 3 qui
100 15 600
est négatif change l’ordre.
a) • Hugo : le triangle ABC est rectangle isocèle Enfin – 3(u + 1,5)2 + 5 – 3(v + 1,5)2 + 5 car ajouter 5 ne
ainsi que les triangles BMQ et PNC. change pas l’ordre.
On pose BM = x, donc BM = QM = PN = NC = x Finalement, pour tout réel u et v de l’intervalle ]– ∞ ; – 1,5]
or BC2 = AB2 + AC2 = 2 si u v alors f(u) f(v) ; f est donc croissante sur
d’où BC = 12 ]– ∞ ; – 1,5].
et MN = BC – BM – NC = 12 – 2x a) La courbe de f présente un axe de symétrie,
Les dimensions de la poutre parallélépipédique sont parallèle à l’axe des ordonnées et passant par son som-
12 – 2x ; x et 10 ; d’où V(x) = 10x (12 – 2x). met S(1 ; 1,85), d’où – 3 et 5 ont la même image par f.
• Laïla : les triangles ABC et CPN sont rectangles et iso- f(– 3) = f(5) = – 2,15.
cèles. AMNP est un rectangle d’où AM = PN = CP = x b) f(x) = a(x – α)2 + β car f est une fonction polynôme de
et AP = MN = AC – CP = 1 – x degré 2 avec α = 1 et β = 1,85.
Les dimensions de la poutre parallélépipédique sont x, Donc f(x) = a(x – 1)2 + 1,85.
1 – x et 10 ; d’où V(x) = 10x (1 – x). De plus f(5) = – 2,15
冢 冣
1 2 5
b) • Avec la démarche de Laïla, V(x) = – 10 x – + . donc a(5 – 1)2 + 1,85 = – 2,15
2 2
– 2,15 – 1,85 1
5 1 a= =–
Le volume maximal est = 2,5 m3, atteint pour x = , 16 4
2 2
1
c’est-à-dire quand M est le milieu de [AB]. f(x) = – (x – 1)2 + 1,85
4
Les dimensions de la poutre sont 0,5 m, 0,5 m et 10 m.
12 2 5 f(x) = (x – 1)2
冢
• Avec la démarche de Hugo, V(x) = – 20 x –
4
+ .冣
2 Le sommet de la parabole représentant f est S(1 ; 0).
7
D’après la calculatrice, le sommet S de a pour coor-
données (3 ; 4).
1 9
b)• f(x) – 4 = – x2 + 3x –
2 2
1
= – (x – 3)2
2
1 1
• Pour tout réel x, – (x – 3)2 0
2
O 1 donc f(x) 4.
c) De plus f(3) = 4, donc f présente un maximum égal
1. f(x) – β = a(x – α)2 à 4, atteint pour x = 3.
Pour tout réel x, (x – α)2 0, f(x) – β a donc le même 65
signe que a. 1. a) a = 4 et β = –
16
• Si a < 0 alors, pour tout réel x, f(x) – β 0 et f(x) = β a et β sont de signes contraires. La courbe représentative
pour x = α. de f coupe l’axe des abscisses en 2 points donc l’équation
f admet un maximum égal à β, atteint pour x = α. f(x) = 0 admet 2 solutions.
• Si a > 0, alors, pour tout réel x, f(x) – β 0 et f(x) = β b) a = – 100 et β = 0,125. Mêmes remarques.
pour x = α. c) a = 0,1 et β = – 4. Mêmes remarques.
f admet un minimum égal à β, atteint pour x = α. d) a = – 2 et β = 1. Mêmes remarques.
2. a) B(x) = R(x) – C(– x) 2. L’affirmation de Lucile me semble vraie.
B(x) = (20,1x – 0,3x2) – (60 – 0,3x) 3. a(x – α)2 + β = 0 revient à a(x – α)2 = – β
B(x) = – 0,3x2 + 20,4x – 60. β
(x – α)2 = – car a ≠ 0.
Or – 0,3(x – 34)2 + 286,8 = – 0,3(x2 – 68x + 1 156) + 286,8 a
= – 0,3x2 + 20,4x – 346,8 + 286,8 β et a sont de signes contraires et a ≠ 0 ; β ≠ 0 ;
= – 0,3x2 + 20,4x – 60 β β
donc – > 0 donc (x – α)2 = – a deux solutions.
donc B(x) = – 0,3(x – 34)2 + 226,8. a a
β
Lorsque a et β sont de signes contraires, – est positif.
b) Le bénéfice maximal est 286,80 €, atteint pour une a
fabrication de 34 objets. L’équation précédente revient donc à x – α = – 6–β
a
6 6 6
2 2
a)Pour tout réel x, 2(x – 1) + 3 = 2(x – 2x + 1) + 3 β –β –β
ou x – α = – , soit x = α – ou x = α + .
= 2x2 – 4x + 5 a a a
donc f et g sont égales. Cette équation admet donc deux solutions.
b) f(1) = 8 + 6 = 14 et g(1) = 4 + 3 = 7 3 3
f et g ne sont pas égales, on a : f(x) = 2g(x). 1. a) f(u) – f(v) = –
u–1 v–1
3 2(x + 4) – 3 2x + 5
c)Pour tout réel x, x ≠ – 4 ; 2 – = = 3(v – 1) – 3(u – 1) 3(v – u)
x+4 x+4 x+4 = =
donc f et g sont égales. (u – 1)(v – 1) (u – 1)(v – 1)
1 11
d) f(2) = 4 + 1 + = b) u v donc v – u 0.
2 2 u et v sont deux réels de ]1 ; + ∞[ donc u – 1 > 0 et
2×4+2
et g(2) = =5 v – 1 > 0, d’où f(u) – f(v) 0.
2
c) Pour tous réels u et v de ]1 ; + ∞[, si u v alors
f et g ne sont pas égales.
f(u) f(v) donc f est décroissante sur ]1 ; + ∞[.
e)Pour tout réel x, (x + 1)(4 – x) = 4x – x2 + 4 – x
2. a) Si 1 < u v alors 0 < u – 1 v – 1 ; car ajouter un
= – x2 + 3x + 4.
réel ne change pas l’ordre,
冢 冣 冢 冣
25 3 2 25 9
– x– = – x2 – 3x + 1 1
4 2 4 4 d’où , car deux réels strictement positifs et
25 2 9 u–1 v–1
= – x + 3x – leurs inverses ne sont pas rangés dans le même ordre.
4 4 3 3
2
= – x + 3x + 4 Donc ; car multiplier par un nombre stric-
u–1 v–1
donc f et g sont égales.
tement positif ne change pas l’ordre.
a) b) Pour tous réels u et v de ]1 ; + ∞[, si u v alors
f(u) f(v) donc f est décroissante sur ]1 ; + ∞[.
En développant :
Y1 = (x – 1)(x + 7) = x2 + 6x – 7.
Y2 = (x + 3)2 – 16,1 = x2 + 6x – 7,1.
Y3 = x2 + 5,9x – 7.
Les trois expressions ne sont pas égales.
8
On peut aussi obtenir un tableau de valeurs : a)
50
X Y1 Y2 Y3
0 –7 – 7,1 –7
1 0 – 0,1 – 0,1 O 75 150
0 et 1 n’ont pas la même image par les trois fonctions. Le sommet de la parabole a pour coordonnées (75 ; 50)
d’où f(x) = a(x – 75)2 + 50.
Pourtant avec une fenêtre sandard – 10 x 10
冦
– 10 y 10 De plus f(150) = 0,
donc a(150 – 75)2 + 50 = 0
les trois courbes semblent confondues.
– 50 – 2
En zoomant, il est possible de distinguer les trois courbes. a= 2 =
75 225
–2
d’où f(x) = (x – 75)2 + 50.
225
b) f(120) = 32
32 > 15,25 donc la balle est passée au-dessus du filet.
50
32
1. c) f(x) = 3(x – 2)2. 15,25
2. b) S(2, 0) sommet de . O 120 150
3. c) On peut calculer g(x) pour tout réel x, x ≠ 3 donc
a) • P1 : vrai.
pour tout réel de ]– ∞ ; – 3[. Pour tout réel x ; (x +1)2 – 4 = x2 + 2x + 1 – 4
1 = x2 + 2x – 3
a) La fonction x (x – 1)2 + 3 est décroissante
3 • P2 : faux.
sur ]– ∞ ; 1] et croissante sur [1 ; + ∞[. Pour x = 0 ; x2 = 0 ; – 2x + 3 = 3.
b) La courbe représentative d’une fonction polynôme du Pour x = 0 ; x2 ≠ – 2x + 3.
second degré est symétrique par rapport à une droite. • P3 : vrai.
c) La courbe représentative de la fonction x (x – 1)(2x + 3) Pour x = 1 ; x2 = 1 ; – 2x + 3 = 1.
a deux points d’intersection avec l’axe des abscisses. Pour x = 1 ; x2 = – 2x + 3.
d) Une fonction polynôme de degré 2 est représentée a) • P1 : vrai.
par une parabole. Pour tout réel x, x ≠ 4
2 2 + 3(x – 4) 3x – 10
➀ h ; 2 +3= =
x–4 x–4 x–4
➁ f ; 3 • P2 : faux.
➂ g ; 1 Pour x ≠ 4
3x – 10
= 3 si, et seulement si, 3x – 10 = 3x – 12
➀ h ; 2 x–4
➁ g ; 1 Cette équation n’a pas de solution.
➂ f ; 3 • P3 : vrai.
Pour tout réel x, x ≠ 4
a) = – {– 20}. 2
= – 3 si, et seulement si,
x–4
冦 冧
1
b) = – . 2 = – 3(x – 4)
4
2 = 3x + 12
冦 冧
3
c) = – – . 10
2 = x.
3 10 2
1. Sur le 1er graphique, pour une taille T donnée, Pour x = , l’égalité = – 3 est vérifiée.
3 x–4
constante, la masse M apparaît comme une fonction
a) • P1 : faux.
linéaire de l’IMC, d’où M = k × IMC, avec k réel.
– (x – 2)2 = – x2 + 4x – 4
Sur le 2e graphique, pour une IMC donnée, il semble que
Il n’existe pas de valeur de x pour laquelle
la masse M soit une fonction carrée de la taille T, d’où – x2 + 4x – 2 – x2 + 4x – 4, car – 4 < – 2.
M = λT2, avec λ réel. • P2 : faux.
2. La formule c est celle qui a le plus de chance d’être Pour x = 2, – x2 + 4x – 2 = 2
correcte. (x + 3)2 = – 25 et 2 > – 25.
9
• P3 : faux. b) Vrai. En effet, pour tout x ≠ 3,
Pour tout réel x, x ≠ – 20, 1 1 – 2(x – 3) 1 – 2x + 6 – 2x + 7
40 x –2= = = .
= 40 revient à 40x = 800 + 40x x–3 x–3 x–3 x–3
20 + x On peut aussi calculer f (0) avec l’expression initiale,
Cette équation est impossible. puis avec les trois propositions ; de ce fait, on élimine
a) Faux. immédiatement les réponses a) et c).
Pour x = 0, (x – 4)2 9 est vérifié et x 7 n’est pas vérifié. c) Faux. Erreur possible : pas de réduction au même
b) Faux. dénominateur.
Pour a = – 5 a 0 1. a) Faux. Erreur possible : effet sur ordre de la
et b = 1 b0 fonction carré non maîtrisé.
Mais l’inégalité a2 + 3 < b2 + 3 n’est pas vérifiée. b) Vrai. Il suffit de choisir a = 0, dans ce cas 2(a – 5)2 + 1
c) Vrai. = 51, et les réponses a) et c) s’éliminent immédiatement.
La fonction : x 5 – (x + 1)2 est croissante sur ]– ∞ ; – 1] si On peut aussi dire que la fonction f : x 2(x – 5)2 + 1 est
a et b sont 2 réels de ]– ∞ ; – 1] et si a b alors f(a) f(b). décroissante sur [– ∞ ; 5[, donc pour a 3, f (a) f (3).
Or, f (a) = 2(a – 5)2 + 1 et f (3) = 2(3 – 5)2 + 1 = 9, donc
5. Se préparer au contrôle 2(a – 5)2 + 1 9.
c) Faux. Erreurs possibles : erreurs de calcul et effet sur
• QCM
l’effet sur l’ordre de la fonction carré non maîtrisé.
1. a) Faux. Erreurs possibles : mauvaise utilisation 2. a) Faux. Erreurs possibles : non prise en compte de
de la propriété page 100 ; non reconnaissance de la forme l’intervalle sur lequel varie la fonction ; méconnaissance
canonique d’une fonction polynôme de degré 2 ; non des variations d’une fonction polynôme de degré 2.
reconnaissance de a, α, β. b) Faux. Erreurs possibles : non prise en compte de l’in-
b) Vrai. Méthode 1 : on utilise la définition du sens tervalle sur lequel varie la fonction ; méconnaissance des
de variation d’une fonction, on calcule f (0) = 17, variations d’une fonction polynôme de degré 2.
f (1) = 7, g(0) = 46, g(1) = 21. Ainsi on a : 0 < 1, f (0) > f (1) et c) Vrai. On peut utiliser la calculatrice pour trouver un
g(0) > g(1). On élimine donc les propositions a) et c). La contre-exemple (une valeur de a) permettant d’éliminer
bonne réponse est b). On peut aussi utiliser la calculatrice les propositions a) et b).
(courbes ou tableaux de valeurs) pour trouver un contre- On calcule f (– 2) = a(– 2 – 1)2 + 2,5 = 9a + 2,5, puis
exemple permettant d’éliminer les réponses a) et c). f (4) = a(4 – 1)2 + 2,5 = 9a + 2,5, ce qui valide la propo-
Méthode 2 : on utilise la propriété page 100, f et g sont sition c).
des fonctions polynômes de degré 2, avec pour f : a = 2, 3. a) Faux. Erreur possible : méconnaissance des varia-
α = 3, β = – 1 et pour g : a = 5, α = 3, β = 1. Comme a > 0 tions d’une fonction polynôme de degré 2, suivant le
dans les deux cas, f et g sont décroissantes sur ]– ∞ ; 3[. signe de a.
c) Faux. erreur possible : non reconnaissance d’une b) Faux. Erreur possible : confusion entre le minimum
fonction polynôme de degré 2. de f et la valeur en laquelle ce minimum est atteint.
2. a) Vrai. En effet, f est une fonction polynôme de c) Vrai. On peut calculer f (0) = – 2,5, qui invalide immé-
degré 2, donnée sous sa forme canonique, avec a = – 2, diatement les propositions a) et b).
α = 1, β = 3. Dans un repère orthonormé, sa courbe repré- On peut dire que, pour tout x réel, (x + 1)2 0,
sentative est une parabole ayant pour axe de symétrie 1
d’où (x + 1)2 0, et par suite,
la droite passant par son sommet S(1 ; 3) et parallèle à 2
l’axe des ordonnées. 1
(x + 1)2 – 3 – 3, ce qui valide la réponse c).
b) Faux. Erreur possible : confusion entre sommet et 2
centre de symétrie.
c) Faux. Erreur possible : confusion entre axe des ordon-
• Vrai – Faux
nées et axe des abscisses. a) Faux. Par exemple, la courbe représentant la
3. a) Faux. Erreur possible : confusion entre la fonction f fonction x (x – 2)2 a pour axe de symétrie la droite
et la fonction inverse. d’équation x = 2, parallèle à l’axe des ordonnées.
b) Faux. Erreur possible : non reconnaissance d’une b) Faux. L’image par une fonction homographique du
fonction homographique. nombre qui annule le dénominateur n’est pas définie.
c) Vrai. On cherche les valeurs qui n’annulent pas le c) Faux. Par exemple, avec la fonction carré, 0 a pour
dénominateur : 2x – 10 ≠ 0 lorsque x ≠ 5. seul antécédent 0, et – 4 n’a pas d’antécédent.
4. a) Faux. Erreur possible : réduction au même déno- d) Faux. Si la proposition d) était vraie, alors 0 aurait
mincateur effectuée, erreur de signe au cours du déve- un ou deux antécédents par une fonction polynôme
loppement. de degré 2. Un contre-exemple est la fonction f définie
10
sur par f (x) = x2 + 1, qui a pour minimum 1 (un carré est Le plongeoir se trouve à 3 m au-dessus du niveau de
toujours positif ou nul). Donc f (x) = 0 n’a pas de solution l’eau.
1
et, par suite, 0 n’a pas d’antécédent par f. c) La fonction h présente un maximum égal à 4 pour t = .
2
a) Faux. L’observation de la courbe ou du tableau L’altitude maximale du plongeur est de 4 m.
de valeurs sur une calculatrice peut fournir un contre- d) h(t) = 0 revient à
冢 冣
exemple : f (0,5) = 5 et f (– 1,5) = 21. On a donc – 1,5 < 0,5 1 2
–4 t– +4=0
et f (– 1,5) > f (0,5), ce qui contredit l’affirmation a). 2
冢 冣
1 2
b) Vrai. En effet, f (x) = a(x – α)2 + β avec a = – 1, α = 1, t– =1
2
β = 4. Comme a < 0, la proposition est vraie.
冢 冣
1 2 2
c) Faux. En effet, la fonction f : x (x – 4)2 + 5 est décrois- t– –1 =0
2
sante sur ]– ∞ ; 4]. Or 12 π 4, donc f (12) > f (π).
冢 冣冢 冣
1 1
d) Faux. Un contre-exemple suffit : si l’on choisit x = 5, le t– +1 t– –1 =0
2 2
premier membre vaut 7 et le second membre vaut – 43,
冢 冣冢 冣
1 3
donc l’égalité est fausse. t+ t– =0
2 2
e) Faux. En effet, pour tout réel x, g(x) = x2 – (64 – 16x + x2) 1 3
Soit t = – , impossible car t > 0, soit t = .
= – 64 + 16x. La fonction g n’est pas une fonction poly- 2 2
nôme de degré 2. Le plongueur arrive dans l’eau au bout d’une seconde
f) Faux. En effet, pour tout réel x non nul, et demie.
1 x2 – 1 a) La fenêtre choisie n’illustre pas les variations de
g(x) = x – = . g n’est donc pas une fonction
x x la fonction f qui est croissante sur ]– ∞ ; 8] et décroissante
homographique.
sur ]8 ; + ∞].
• Pour réviser b)
12
a) f (x) = a(x – α)2 + β avec a = 1, α = 4, β = – 2.
a > 0, donc f est décroissante sur ]– ∞ ; 4], et croissante
sur [4 ; + ∞].
b) f présente un minimum égal à – 2 pour x = 4.
1. a) Il s’agit de la forme factorisée.
b) Il s’agit de la forme canonique.
2. x1 et x2 sont les abscisses des points d’intersection de
la courbe avec l’axe des abscisses. x1 = – 0,5 et x2 = 2,5.
(α ; β) sont le couple de coordonnées du sommet S de
la parabole. α = 1 et β = 6,5, soit (1 ; 6,5).
2
b) a < 0 car la parabole est tournée « vers le bas ».
f (x) = a(x – 1)2 + 6,5, or f (2,5) = 0 donc a × 1,52 + 5,5 = 0
– 26
et a = . O 2 5,8 8 10,2
9
Pour tout réel x,
f (x) = 2(x + 2)2 – 18 c) • Graphiquement, les solutions de l’équation f (x) = 2
= 2(x2 + 4x + 4) – 18 sont les abscisses des points d’intersection de la courbe
= 2x2 + 8x – 10 avec la droite d’équation y = 2.
et g(x) = 2(x – 1) (x + 5) • À la calculatrice, on lit x ≈ 5,8 ou x ≈ 10,2.
= 2(x2 + 5x – x – 5) • L’équation f (x) = 2 revient à :
= 2x2 + 8x – 10 – 2(x – 8)2 = – 10 ou (x – 8)2 = 5, donc (x – 8)2 – (15)2 = 0
donc f (x) = g(x). (x – 8 – 15) (x – 8 + 15) = 0
f (x) = 2, si et seulement si x = 8 + 15 ou x = 8 – 15.
a) Pour tout réel t,
冢 冣
1 2
冤 3 冥.
2
h(t) = – 4 t – +4 a) = – –
2
冢 冣
1 2
h(t) = – 4 t2 – t + +4 b) Pour tout réel x, x ≠ – ,
4 3
2
h(t) = – 4t + 4t – 1 + 4 5(2 + 3x) + 1 15x + 11
f (x) = = donc f est une fonction
h(t) = – 4t2 + 4t + 3. 2 + 3x 2 + 3x
b) h(0) = – 4 × 02 + 4 × 0 + 3 = 3. homographique.
11
6. Exercices d’approfondissement a) • 0 n’est pas solution de (E) car 03 – 2 × 0 – 3 ≠ 0.
3
a) B • (E) revient donc à x3 – 2x = 3 ou x2 – 2 = .
x
M • Les solutions de cette équation sont les abscisses
des points d’intersection des courbes des fonctions
3
5–x
f : x x2 – 2 et g : x .
x
O x P 5–x A
Les triangles OAB et PAM sont rectangles et isocèles.
OP = x
PA = OA – OP = 5 – x
or PA = PM donc PM = 5 – x
b) Les dimensions de la chambre sont
PP’ = 2x ; PM = 5 – x et Pp = AD = 10.
Il semble que les courbes de ces deux fonctions aient un
Donc V(x) = 10 × 2x(5 – x)
seul point commun d’abscisse x ≈ 1,9.
= 20x (5 – x).
c) b) 0 n’est pas solution car 03 – 0 + 1 ≠ 0. x3 – x + 1 = 0
–1
revient à x3 – x = – 1 ou x2 – 1 = .
x
–1
Les courbes des fonctions x x2 – 1 et x ont un
x
seul point commun d’abscisse x ≈ – 1,3.
冢 冣
3 2
ramène un prix à sa valeur initiale. ou x + – 0,422 5 = 0
4
1
冢 冣冢 冣
c) f(– 0,5) = – 1 = 1. 3 3
– 0,5 + 1 x + – 0,65 x + + 0,65
4 4
Une baisse de 50 % suivie d’une hausse de 100 % environ (x + 0,1) (x + 1,4) = 0
ramène un prix à sa valeur initiale. Ce qui revient à x = – 0,1 ou x = – 1,4
Le taux de la 1re remise est 10 %.
1. T5 = 15 ; T6 = 21. (Un prix ne peut pas baisser de 140 %)
2. Le temps nécessaire pour parcourir 105 km à
n 1 2 3 4 5 6 7 8 105
70 km/h est .
Tn 1 3 6 10 15 21 28 36 70
Le temps nécessaire pour parcourir 120 km à x km/h est
3. a) 120
.
40 x
Au total, Jean-Marc a parcouru 225 km à 100 km/h en
moyenne.
225
Le temps total est . Donc :
100
105 120 225
+ =
70 x 100
120
d’où = 0,75
x
5 et x = 160.
Jean-Marc n’a donc pas respecté la limitation de vitesse
O 1 8 sur autoroute.
b) La courbe reliant les points ressemble à une parabole. S’il baisse le prix de x centimes d’euros, le litre
1 1 x
c) On conjecture que f(x) = x2 + x. d’essence coûte 1,20 – et le nombre de litres
2 2 100
13
vendus par jour est 1 000 + 100x, donc sa recette est 1 1 1
+ +…+ 100
冢 冣
x 1 + 12 12 + 13 1n + 7n + 1
R(x) = 1,2 – (1 000 + 100x).
100 équivaut à :
Or le prix d’achat est C(x) = 0,85(1 000 + 100x).
12 – 1 13 – 12 7n + 1 – 1n
Le bénéfice est donc + +…+ 100.
2–1 3–2 n+1–n
B(x) = C(x) – R(x)
D’où :
冢 冣
x
B(x) = (1 000 + 100x) 1,2 – – 0,85
100 12 – 1 + 13 – 12 + … + 7n + 1 – 1n 100.
冢 冣
x En simplifiant : 7n + 1 – 1 100, soit 7n + 1 101.
B(x) = (1 000 + 100x) 0,35 –
100 D’où n + 1 10 201 et donc n 10 200.
B(x) = – x2 + 25x + 350
Le plus petit entier n cherché est 10 200.
冢 冣
25 2 2 025
B(x) = – x – +
2 4 25 a) On remarque que
B présente un maximum pour x = et ce bénéfice
2
maximum est 506,25. 15 2 = 225
S’il fixe le prix de vente du carburant à 1,08 € ou à
1,07 € il réalise un bénéfice de 506,25 €. 12=2
Résolution d’inéquations
et problèmes
a b
• Énigme 1 c)
3
3
d) – a – b
e) – 2a + 5 – 2b + 5
1 1
f) – a – 7 – b – 7
2 2
a) 3x – 4 0 équivaut à 3x 4, soit encore
4
x .
3
–∞ 0 4
1 — +∞
3
冥 冥
4
Au bout de 14 glissements les deux parties pourront être = – ∞;
3
séparées l’une de l’autre.
b) – 5x + 7 0 équivaut à – 5x – 7, soit encore
–7
• Énigme 2 x
–5
.
–∞ 0 1 7 +∞
—
63 cm 5
冥 冥
7
= – ∞;
5
2 2
c) – x + 1 < 0 équivaut à – x < – 1, soit encore
126 cm
3 3
3
x> .
2
–∞ 0 1 3 +∞
—
2
La voiture avance de 126 cm en ligne droite puis elle
冥 2 ; + ∞冤.
3
effectue trois quarts de tours à droite et un quart de =
tour à gauche.
a) 2x + 5 3x – 4 équivaut à 2x – 3x – 5 – 4, soit
La distance parcourue est :
encore x 9.
L = 126 + 2 × π × 63 = 126 (π + 1)
= [9 ; + ∞[.
3 3
b) x + 1 > 3x – 5 équivaut à x – 3x > – 1 – 5, soit
2 2
1. Vérifier les acquis 3
encore – x > – 6 ou x < 4.
2
1. a) – 3 est solution de x + 3 0 car – 3 + 3 0. = ]– ∞ ; 4[.
b) – 3 n’est pas solution de 3y 0 car 3 × (– 3) < 0. x x
c) 2x + 4 < équivaut à 2x – < – 4,
c) – 3 est solution de 7x – 4 car 7 × (– 3) – 4. 3 3
d) – 3 n’est pas solution de 5 – 2x 10 5x 12
soit encore < – 4 ou x < – .
car 5 – 2 × (– 3) > 10. 3 5
12
e) – 3 n’est pas solution de 2x + 6 < 0
car 2 × (– 3) + 6 = 0.
冥
= – ∞; –
5
. 冤
x
f) – 3 est solution de 2x – 3 – 8 A, C et E sont écrites sous forme d’une somme.
3 B, D et F sont écrites sous forme factorisée.
3
car 2 × (– 3) – 3 = – – 8 = – 9.
3 Un carré est toujours positif ou nul donc A, B et
a) a – 7,5 b – 7,5 F sont positifs et C et H sont négatifs pour tout réel x.
b) 3a 3b Le signe de D, E, G et I dépend de la valeur de x.
1
A = x(x + 3) 2. a)
B = (x – 2)(x + 2)
C = (x + 3)2
2. Activités d’approche
g(x) 0 quand est en dessous de l’axe des abscisses,
• Activité 1 1
c’est-à-dire pour – x < 3.
1. 2
Signe de a + – + – 1
g(x) 0 pour x – ou x > 3.
Signe de b – + + – 2
Signe de a × b – – + + b)
x –∞ – 1 3 +∞
2
2. a) f(x) = 0 si, et seulement si, 3x + 2 = 0 ou 4 – x = 0, signe de (2x + 1) – 0 + +
2 signe de (x
(x – 3) – – 0 +
soit encore x = – ou x = 4.
3
2x + 1
Les abscisses des points d’intersection de avec l’axe signe de
x–3
+ 0 – +
2
des abscisses sont – et 4. La double barre signifie que g(x) n’est pas définie pour
3
b) x = 3.
Le résultat est cohérent avec la conjecture émise en b).
3. Exercices de base
a) Vrai b) Faux c) Faux d) Vrai
a) Vrai b) Faux c) Vrai d) Vrai
f(x) 0 quand est au-dessus de l’axe des abscisses, a) 7x + 4 < – 2x + 1 équivaut à 7x + 2x < – 4 + 1,
2 1
c’est-à-dire pour – x 4. soit encore 9x < – 3 ou x < – .
3 3
冥 冤
2 1
f(x) 0 pour x – ou x 4. L’ensemble des solutions est l’intervalle – ∞ ; – .
3 3
b) 2x – 3 > 6x – 4 équivaut à 2x – 6x > 3 + 4, soit encore
c) 7
x –∞ – b +∞ – 4x > 7 ou x < – .
4
a
冥 冤
7
L’ensemble des solutions est l’intervalle – ∞ ; – .
ax + b signe 0 signe de a 4
contraire de a 3
c) x 0 équivaut à x 0.
4
x –∞ – 2 4 +∞ L’ensemble des solutions est l’intervalle ]– ∞ ; 0].
3 1 1
d) – 5x équivaut à x – .
signe de (3x + 2) – 0 + + 4 20
冥 冥
1
signe de (4 – x)
x + + 0 – L’ensemble des solutions est l’intervalle – ∞ ; – .
20
x+3
signe de e) 0 équivaut à x + 3 0, soit encore x – 3.
– 0 + 0 – –2
(3x + 2)(4 – x)
x L’ensemble des solutions est l’intervalle ]– ∞ ; – 3].
2x + 7 x – 9 2x x 9 7
Le résultat est cohérent avec la conjecture émise en b). f) équivaut à – – – ,
5 4 5 4 4 5
3x 73 73
• Activité 2 soit encore – ou x – .
20 20 3
冥 冥
73
1. L’ensemble des solutions est l’intervalle – ∞ ; – .
Signe de a + – + – 3
Signe de b – + + – a) Retrancher Diviser
a 7 par 6
Signe de – – + + 7
b 6x + 7 0 6x – 7 x –
6
2
b)
冤 冤
7
L’ensemble des solutions est l’intervalle – ;+∞ . x –∞ –5 0 +∞
6
b) • Retrancher 3 dans les deux membres. –x + + 0 –
• Ajouter x dans les deux membres. 5+x – 0 + +
• Diviser par 6 dans les deux membres.
– x(5 + x)
x – 0 + 0 –
• Écrire l’ensemble des solutions.
• 5x + 1 789 12x + 1 515 équivaut à – 7x – 274, a) Pour tout réel x ; 1 + 2x2 > 0.
274
soit encore x .
7 x –∞ 3 +∞
• 12x + 1 515 4x + 2 009 équivaut à 8x 494, soit 1 + x2 + +
247
encore x .
4 3–x + 0 –
• Les réels solutions de 2
(1 + x )(3 – x)
x + 0 –
5x + 1 789 12x + 1 515 4x + 2 009 sont les réels de
b) Pour tout réel x ; (x + 3)2 0 et (x + 3)2 = 0 pour
冤 冥
274 247
l’intervalle ; qui contient 22 entiers, de 40 à 61. x = – 3.
7 4
2 x –∞ –3 1 +∞
a) x + 15 (x + 27) équivaut à 3x + 45 2x + 54,
3 2
soit encore x 9. ( + 3)
(x + 0 + +
L’ensemble des solutions est l’intervalle [9 ; + ∞[. x–1 – – 0 +
b) On note x le nombre de spécialistes de chaque sorte ( + 3) (x
(x 2
(x – 1) – 0 – 0 +
embauchés. Le problème revient à résoudre l’inéquation
2
x + 15 (x + 27). a)
x –∞ 0 1 2 +∞
3
Pour que le nombre de mathématiciens soit au moins x 2
+ 0 + + +
égal aux deux tiers du nombre d’informaticiens, il faut
1–x + + 0 – –
embaucher 9 spécialistes de chaque sorte.
2–x + + + 0 –
Le coût de farication d’une glace est donc 2
x (1 – xx)(2 – x)
x + 0 + 0 – 0 +
75
= 0,50 €.
150
a)
Une glace est vendue 2,50 €.
Le bénéfice par glace est donc de 2 €. Il doit vendre au
moins 38 glaces pour avoir un bénéfice supérieur à 76 €.
a) Vrai b) Faux c) Vrai d) Vrai e) Faux.
a) 1
x –∞ –2 +∞
3
3x – 1 – – 0 +
x+2 – 0 + + b) Les solutions de l’équation f(x) = 0 semblent être
+ 0 – 0 + x = – 1 et x = 2, abscisses des points d’intersection de
(3xx – 1)((x + 2)
avec l’axe des abscisses.
b) On vérifie : f(2) = 22 – 2 – 2 = 0
–1
x 1
–∞ +∞
2 5 f(– 1) = (– 1)2 – (– 1) – 2 = 0
– 5x + 1 + + 0 – c) f(x) 0 pour x – 1 ou x 2.
2xx + 1 – 0 + + f(x) 0 pour – 1 x 2.
– 0 + 0 – d) Pour tout réel x, (x + 1)(x – 2) = x2 – 2x + x – 2
(– 5xx + 1)(2x + 1)
= x2 – x – 2
a) 4
x –∞ –3 +∞ x –∞ –1 2 +∞
3
– 3x + 4 + + 0 – x+1 – 0 + +
–x–3 + 0 – – x–2 – – 0 +
(– 3xx + 4)(– x – 3) + 0 – 0 + ( + 1)(x
(x (x – 2) + 0 – 0 +
3
–5
1. x 1 a)
–∞ +∞
2 3
3x – 1 – – 0 + x –∞ 0 1 4 +∞
2xx + 5 – 0 + + – 2x + 0 – – –
(3xx – 1)(2x + 5) + 0 – 0 + x–1 – – 0 + +
2. a) L’ensemble des solutions de l’inéquation 4–x + + + 0 –
冥 冤
5 1
(3x – 1)(2x + 5) < 0 est l’intervalle – ; . – 2x(x
(x – 1)(4 – x)
x – 0 + 0 – 0 +
2 3
b) L’ensemble des solutions de l’inéquation = ]– ∞ ; 0] ∪ [1 ; 4]
冥 冥 冤 冤
5 1
(3x – 1)(2x + 5) 0 est = – ∞ ; – ∪ ;+∞ . b)
2 3 1
x –∞ 0 4 +∞
2
1.
x –∞ –2 4 +∞ x2
+ 0 + + +
3
–x+4 + + 0 – 4–x + + + 0 –
3xx + 2 – 0 + + – 2xx + 1 + + 0 – –
(– x + 4)(3x + 2) – 0 + 0 – 2
x (4 – x)(–
x 2xx + 1) + 0 + 0 – 0 +
冥 冥
2
(– x + 4)(3x + 2) 0 est = – ∞ ; – ∪ [4 ; + ∞[.
–3
x 3
3 –∞ +∞
2 2
a) 2xx – 3 – – 0 +
x –∞ 3 4 +∞
2xx + 3 – 0 + +
x–4 – – 0 +
(2xx – 3)(2x + 3) + 0 – 0 +
3–x + 0 – –
冤 冥
( – 4)(3 – x)
(x x – 0 + 0 – 3 3
= – ;
2 2
= ]– ∞ ; 3] ∪ [4 ; + ∞[ b) (x + 3)2 – 4 = (x + 3 + 2)(x + 3 – 2)
b) 3 = (x + 5)(x + 1)
x –∞ –5 +∞
2
– 2x + 3 + + 0 – x –∞ –5 –1 +∞
5+x – 0 + +
x+5 – 0 + +
(– 2x + 3)(5 + x)
x – 0 + 0 –
x+1 – – 0 +
冥 冤
3 + 0 – 0 +
= – 5; (x + 5)((x + 1)
(x
2
a) = ]– ∞ ; – 5] ∪ [– 1 ; + ∞[
x 5
–∞ 0 +∞
3 a) Un carré est toujours positif ou nul, donc l’iné-
3x – 0 + +
galité – 5x2 0 est vérifiée pour tout réel x.
3xx – 5 – – 0 + = ⺢.
3x(3xx – 5) + 0 – 0 + b) De même = ⺢.
c) = ∅.
冥 冤
5
= 0; d) = ∅.
3
b) 1 Il n’existe aucun réel vérifiant les inégalités c) et d).
x –∞ –1 +∞
2
2 1. a) – 3 est solution de l’inéquation (1) car
– (x
(x + 1) – 0 – –
(– 3)2 4, mais – 3 n’est pas solution de l’inéquation (2)
2xx – 1 – – 0 +
car – 3 < 2.
(x + 1)2(2xx – 1)
– (x + 0 + 0 – b) Les inéquations (1) et (2) n’ont donc pas le même
ensemble de solutions.
冥 冥
1
= – ∞;
2 2. a) x2 – 4 = (x – 2)(x + 2)
4
b) b)
x –∞ –2 2 +∞ x –∞ –1 2 3 +∞
x–2 – – 0 + x+1 – 0 + + +
x+2 – 0 + + x–2 – – 0 + +
2
x –4 + 0 – 0 + 3–x + + + 0 –
c) L’inéquation (1) x2 4 équivaut à (x + 2)(x – 2) 0. (x + 1)((x – 2)
(x
+ 0 – 0 + –
3–x
L’ensemble de ses solutions est = ]– ∞ ; – 2] ∪ [2 ; + ∞[.
a) a) 11 9
x 1 x –∞ +∞
–∞ –3 +∞ 5 4
2
x+3 – 0 + + 9 – 4x
4 + + 0 –
2xx – 1 – – 0 + 11 – 5x + 0 – –
x+3 9 – 4x
4
+ 0 – + + – 0 +
2xx – 1 11 – 5x
5 – 2x + + 0 – a) 1 5
x –∞ +∞
2–x 2 4
+ 0 – + – 5 + 4x
4 – – 0 +
5 – 2x
2xx – 1 – 0 + +
c) 1
x –∞ 5 +∞ – 5 + 4x
4
3 + – 0 +
3xx – 1 – 0 + + 2xx – 1
冥 冤 冤 冤
– 5 + 4x 1 5
3xx – 1
– 0 + – 0 est = – ∞ ; ∪ ;+∞ .
–x+5 2x – 1 2 4
a)
a) 1 x –∞ –1 3 +∞
x –∞ – 0 +∞
4 x+1 – 0 + +
5x – – 0 + +
3–x + + 0 –
x–2 – – – 0 +
x+1
4x + 1
4x – + + + – 0 + –
0 3–x
5x(x
(x – 2) – + 0 – 0 + = [– 1 ; 3[
4x + 1
4x
b) 1 7
b) x –∞ +∞
x –∞ –3 0 1 +∞ 2 2
7 – 2x + + 0 –
2xx2 + + 0 + +
2xx – 1 – 0 + +
–x+1 + + + 0 –
7 – 2x
x+3 – + 0 –
– 0 + + + 2xx – 1
2xx2
冥 冤 冤 冤
– + 0 + – 1 7
(– x + 1)((x + 3) = – ∞; ∪ ;+∞ .
2 2
a) a) 7
x –∞ 0 4 +∞ x –∞ 0 +∞
2
–x + 0 – – – 5x + 0 – –
x–4 – – 0 + (2xx – 7) 2
+ + 0 +
2
2+x + + + – 5x
+ 0 – –
– x(x
(x – 4) (2xx – 7)2
– 0 + 0 –
2 + x2 = ]– ∞ ; 0]
5
b) a)
x –∞ 7 +∞
1 + 2xx2 + +
7–x + 0 –
2
1 + 2xx
+ –
7–x
= ]7 ; + ∞[
1. a) Le nombre – 2 est solution de l’inéqua- b) Les solutions de l’inéquation f(x) 1 sont les abscisses
1 des points de situés au dessus ou sur la droite repré-
tion (1) car 3, mais il n’est pas solution de l’iné-
–2 sentant la fonction affine g : x 1.
quation (2) car 1 > 3 × (– 2).
冤 冤
1
b) Les inéquations (1) et (2) n’ont donc pas le même On lit = – 3 ; – .
2
ensemble de solutions. 1
c) Pour tout réel x, x ≠ –
1 1 3x 2
2. a) 3 équivaut à – 0,
x x x –5 – 5 – 1(2x + 1) – 2x – 6
1 – 3x –1= = .
soit encore 0 2x + 1 2x + 1 2x + 1
x – 2x – 6
b) L’inéquation f(x) 1 équivaut à 0.
x 1 2x + 1
–∞ 0 +∞
3
1 – 3x 1
+ + 0 – x –∞ –3 – +∞
2
x – 0 + + – 2x – 6 + 0 – –
1 – 3x 2x + 1 – – 0 +
– + 0 –
x
– 2x – 6
L’ensemble des solutions de l’inéquation (1) est – 0 + –
2x + 1
冤 冤
1
= ]– ∞ ; 0[ ∪ ;+∞ .
冤 冤
1
3 = – 3; – .
2
a)
4. Exercices d’entraînement
1. a) nb vêtements contrat A contrat B
1 346 694
2 372 702
3 398 710
4 424 718
5 450 726
6 476 734
7 502 742
b) Les solutions de l’inéquation f(x) < 2 sont les abscisses 8 528 750
des points de situés strictement en dessous de la droite 9 554 758
représentant la fonction affine g : x 2. 10 580 766
11 606 774
On lit = ]– ∞ ; 2[ ∪ ]5 ; + ∞[. 12 632 782
x+4 x + 4 – 2(5 – x) 13 658 790
c) Pour tout réel x, x ≠ 5, –2= 14 684 798
5–x 5–x
3x – 6 15 710 806
= 16 736 814
5–x 17 762 822
3x – 6 18 788 830
L’inéquation f(x) < 2 équivaut à < 0. 19 814 838
5–x
20 840 846
21 866 854
x –∞ 2 5 +∞ 22 892 862
23 918 870
3x – 6 – 0 + + 24 944 878
5–x 0 25 970 886
+ + – 26 996 894
3x – 6 b) Si Manon fabrique au maximum 20 vêtements, le
– 0 + –
5–x
contrat B est plus avantageux. Si elle fabrique 21 vête-
= ]– ∞ ; 2[ ∪ ]5 ; + ∞[ ments ou plus, c’est le contrat A le plus avantageux.
6
2. a) f(x) = 320 + 26x Le triangle ADH est rectangle et isocèle en H et ABCH
g(x) = 686 + 8x est un rectangle donc
b) f et g sont des fonctions affines, représentées par BC = AH = HD = a
des droites. et AB = HC = DC – HD = 6 – a
Salaire
Salair e (en euros) c) L’aire d’un trapèze est
1 400 10 + B
= × h donc
2
AB + DC
= × BC
2
1 000 6–a+6 (12 – a)a
= ×a= .
2 2
d) Trouver a tel que 10 revient à résoudre l’inéqua-
a
tion (12 – a) – 10 0
2
a a 2 12a
500 or (12 – a) – 10 = – + – 10
2 2 2
(a – 10)(a – 2) a2 – 2a – 10a + 20
et – =–
300 2 2
02 20 40
Nombre de vêtements fabriqués
fabriqués a 2 12a
=– + – 10
2 2
c) Les coordonnées du point d’intersection sont solutions Le problème revient donc à résoudre
冦
y = 26x + 320 (a – 10)(a – 2)
du système – 0
y = 8x + 686 10
冦
8x + 686 = 26x + 320 soit encore (a – 10)(a – 2) 0
qui équivaut à
y = 8x + 686
冦
18x = 366 a –∞ 2 10 +∞
soit encore
y = 8x + 686
Le point d’intersection a pour coordonnées a – 10 – – 0 +
冢 冣
61 2 546 a–2 – 0 + +
; .
3 3 (a – 10)(a – 2) + 0 – 0 +
61
d) Pour 0 x , la droite représentant f est en dessus
3 Or a ∈ [0 ; 6], donc a doit être compris entre 2 et 6 pour
de la droite représentant g. Le contrat B est donc le plus
avantageux pour une fabrication n’excédant pas 20 vête- que soit supérieure à 10 cm2.
ments. Au-delà, le contrat A est le plus avantageux. a) 3x(x + 3) – (x + 3)2 0 équivaut à
3. Trouver le nombre de vêtements à fabriquer pour que
(x + 3)[3x – (x + 3)] 0
le contrat B soit le plus avantageux, revient à résoudre
soit encore (x + 3)(2x – 3) 0.
l’inéquation 320 + 26x < 686 + 8x
18x < 366 3
61 x –∞ –3 2 +∞
x< .
3 x+3 – 0 + +
On retrouve alors le résultat précédent.
2x – 3 – – 0 +
1. a) (x + 3)(2x – 3) + 0 – 0 +
冤 冥
3
= – 3; .
2
b) x3 + 2x2 + x 0 équivaut à x(x + 1)2 0.
x –∞ –1 0 +∞
x – – 0 +
b) L’aire de ABCD est supérieure à 10 cm2 pour (x + 1) 2
+ 0 + +
2 BC 6.
x(x + 1) 2 – 0 – 0 +
2. a) BC = a et a ∈ [0 ; 6]
b) On note H le projeté orthogonal de A sur (DC). = [0 ; + ∞[.
7
1. a) B(q) = R(q) – C(q)
B(q) = 120q – (2q2 + 10q + 900)
= – 2(q2 – 55q + 450)
Or – 2(q – 10)(q – 45)
= – 2(q2 – 45q – 10q + 450)
= – 2(q2 – 55q + 450)
2. f(x) = g(x) équivaut à x2 – 4x + 2x + 1 = 0, soit encore donc B(q) = – 2(q – 10)(q – 45).
(x + 1)2 = 0.
b) La production est rentable lorsque B(q) > 0, ce que
Cette équation a une seule solution x = 1.
équivaut à – 2(q – 10)(q – 45) > 0,
3. a) Graphiquement, la courbe de g est toujours en
soit encore (q – 10)(q – 45) < 0.
dessous de la courbe de f, donc l’ensemble des solutions
de l’équation g(x) f(x) est ⺢. q 0 10 45 80
b) L’inéquation g(x) f(x) équivaut à – 2x – 1 x2 – 4x,
soit encore 0 (x – 1)2. q – 10 – 0 + +
Cette inégalité est vérifiée pour tout réel x car un carré q – 45 – – 0 +
est toujours positif ou nul. (q – 10)(q – 45) + 0 – 0 +
a) La production est rentable lorsqu’on fabrique entre 10
et 45 articles.
1. h(t) = 0, si et seulement si, 5t(– t + 20) = 0, soit
encore t = 0 ou t = 20.
Le projectile retombe sur le sol à l’instant t = 20 s.
2.
b) À l’aide de la calculatrice les valeurs approchées des
abscisses des points d’intersection sont x1 ≈ – 0,41
x2 ≈ 2,41
c) La courbe de f est en dessous de la courbe de g pour x
compris entre x1 et x2.
2. a) (x – 1 – 12)(x – 1 + 12) = (x – 1)2 – (12)2 = x2 – 2x + 1 – 2
= x2 – 2x – 1
= f(x) – g(x)
b) L’inéquation f(x) < g(x) équivaut à f(x) – g(x) < 0, soit
encore (x – 1 – 12)(x – 1 + 12) < 0.
x –∞ 1 – 12 1 + 12 +∞
x – 1 – 12 – – 0 +
x – 1 + 12 – 0 + +
3. La hauteur du projectile est supérieure ou égale à
f(x) – g(x) + 0 – 0 +
320 m entre les instants t = 4 et t = 16.
= ]1 – 12 ; 1 + 12[ 4. a) – 5(t – 16)(t – 4)
or 1 – 12 ≈ – 0,41 = – 5(t2 – 4t – 16t + 64)
1 + 12 ≈ 2,41 = – 5t2 + 100t – 320
Ce résultat est cohérent avec la conjecture de la ques- = h(t) – 320
tion 1. c) . b) L’inéquation h(t) 320 équivaut à – 5(t – 16)(t – 4) 0
a) AB = DC = x et EB = 6 donc AE = x – 6 soit encore (t – 16)(t – 4) 0.
x(x – 6)
L’aire du triangle AED est = t
2 0 4 15 20
b) L’aire du carré ABCD est x2. Le problème revient à t – 16 – – +
x(x – 6) 0
résoudre l’inéquation x2 > 3 × , ce qui équivaut 0
2 t–4 – + +
2 2
à 2x > 3x – 18x, soit encore x(– x + 18) > 0.
(t – 16)(t – 4) + 0 – 0 +
Or x désigne une distance donc x > 0.
x(– x + 18) > 0 équivaut à – x + 18 > 0, soit encore x < 18. = [4 ; 16].
8
a)
x –∞ –2 4 +∞ 1
x+2 – 0 + +
O 1
x–4 – – 0 +
(x + 2)(x – 4) + 0 – 0 +
= [– 2 ; 4]
Le résultat est cohérent avec la lecture graphique de la Sur la courbe de la fonction inverse, les points dont l’or-
question 1. b). donnée est supérieure à 1 ont une abscisse entre 0 et 1.
c) Pour obtenir l’inégalité 1 – x < 2 à partir de l’inégalité
2. 1
x(1 – x) < 2x l’élève multiplie les deux membres par ,
x
quantité dont il ne connaît pas le signe.
d) Même faute en multipliant les deux membres par x – 3
dont le signe n’est pas connu.
2. a) L’inéquation x2 9 s’écrit encore x2 – 9 0.
On factorise et on étudie le signe du produit pour
résoudre cette inéquation.
1 1
b) L’inéquation > 1 s’écrit encore – 1 > 0.
x x
10
On réduit au même dénominateur et on étudie le signe
du quotient pour résoudre cette inéquation.
c) L’inéquation x(1 – x) < 2x s’écrit encore x(1 – x) – 2x < 0. ➀ ➁ ➀⇒➁ ➁⇒➀ ➀⇔➁
On factorise et on étudie le signe d’un produit pour x=0
x2 – x = 0 vrai vrai vrai
résoudre cette inéquation. ou x = 1
2x + 1 2x + 1 –x+3
d) L’inéquation 1 s’écrit encore – 1 0. >0 –x+3>0 faux faux faux
x–3 x–3 2–π
On réduit au même dénominateur et on étudie le signe 2x – 1 – 4 (2x – 1)2 16 vrai faux faux
d’un quotient pour résoudre cette inéquation.
x–9
>0 x–9>0 vrai vrai vrai
x2 + 1
Entrées
Saisir x, y x–40
(x – 4)(x + 3) 0 faux faux faux
Traitement et sorties ou x – 3 0
Si x y alors (5 + x)2 > 1 x>–4 vrai faux vrai
Afficher x – y
sinon
Afficher y – x
FinSi
5. Se préparer au contrôle
1. a) On ne peut pas calculer P(x) pour x = 3. • QCM
b) P(x) = 0 pour x = – 2
1. a) c) Faux. Erreurs possibles : confusion entre les
2. a) P(0) < 0
deux courbes ; confusion entre l’axe des abscisses et celui
b) P(– 100) > 0
des ordonnées ; mauvaise lecture de l’image d’un réel.
c) P(2 541,35) > 0
b) Vrai. En effet, le point d’abscisse 0,5 de la courbe f
3. a) Pour x < – 2 ; P(x) > 0
est au-dessous de l’axe des abscisses.
b) Pour – 2 < x < 3 ; P(x) < 0
2. a) Vrai. En effet, on peut lire graphiquement que
c) Pour x > 3 ; P(x) > 0
f(– 1) > 0 et g(– 1) < 0.
d) Pour x – 2 ; P(x) 0
b) c) Faux. Erreurs possibles : mauvaise lecture de l’image
e) Pour – 2 x < 3 ; P(x) 0
d’un réel ; mauvaise lecture de la position relative des
a) Vrai. Pour x = 0, l’inégalité est vérifiée. deux courbes.
b) Faux. Pour x = – 4, l’inégalité n’est pas vérifiée. 3. a) Vrai. En effet, on obtient ce résultat en dressant le
1 tableau de signes du produit (3x + 6)(2x – 1).
c) Faux. Pour x = – ; 3(2x + 1)2 vaut zéro.
2
d) Vrai. Pour tout réel x ; (x – 1)2 0 car c’est un carré x – –2 1
– +
2
donc – 5(x – 1)2 – 2 0.
3x + 6 – 0 + +
e) Vrai. Pour tout réel x ; x2 + (3x – 5)2 est positif donc ce
nombre n’est jamais inférieur à – 1. 2x – 1 – – 0 +
a) Vrai car
1
< 2.
h(x) + 0 – 0 +
2
b) Vrai. La fonction carré est décroissante sur ]– ∞ ; 0] On peut aussi contrôler à l’écran de la calculatrice la
donc si x – 1 alors x2 (– 1)2. cohérence de ce résultat.
c) Vrai. La fonction carré est croissante sur [0 ; + ∞[ donc b) Faux. En effet, – 2 est une « valeur interdite » pour ce
quotient, donc il devrait y avoir une double barre au-
si x 1 alors x2 12.
dessous de – 2 dans le tableau de signes de ce quotient.
d) Vrai. La fonction carré est croissante sur [0 ; + ∞[ si
c) Faux. Erreur possible : non connaissance de la règle
82x – 1 2 alors (82x – 1)2 22 d’où 2x – 1 4.
du signe de ax + b, non reconnaissance des coefficients
e) Vrai. L’inéquation x2 < 1 équivaut à x2 – 1 < 0, soit
a et b.
encore (x – 1)(x + 1) < 0.
On peut aussi contrôler à l’écran de la calculatrice la non
x –∞ –1 1 +∞ cohérence de ce résultat.
4. a) Faux. En effet, 0 ∈ ]– 2 ; + ∞[, et pourtant 02 < 4.
x2 – 1 + 0 – 0 –
b) Faux. En effet, 0 ∈ ]– 2 ; + ∞[, or, pour x = 0, – 3x – 2 = – 2,
= ]– 1 ; 1[. – x + 2 = 2 et – 2 < 2.
11
c) Vrai. En effet, pour tout réel x, x2 + 3 est strictement • Pour réviser
positif. Le produit (x + 2)(x2 + 3) a donc le même signe
que x + 2. a) 1– +
x – –4
3
1. a) Faux. En effet, 0 ∈ ]+ ∞ ; 1[, 3 x –1 – – 0 +
mais (0 – 1)(5 – 0) = – 5 et donc 0 n’est pas solution de
x +4 – 0 + +
l’inéquation (x – 1)(5 – x) > 0.
b) Faux. En effet, 1 ∈ [1 ; 5] mais pour x = 1, (3 x –1)(x + 4 ) + 0 – 0 +
(x – 1)(5 – x) = 0, donc 1 n’est pas solution de l’inéquation
冤 冥
1
(x – 1)(5 – x) > 0. = – 4; .
3
c) Vrai. On peut dresser le tableau de signes du produit
b) – 0 1– +
(x – 1)(5 – x). x
2
2. a) Faux. En effet, – 5 est une « valeur interdite », donc
–5x + 0 – –
– 5 ne peut être solution de l’inéquation.
b) Vrai. On peut dresser le tableau de signes du quo- – 2 x +1 + + 0 –
x–2
tient . – 5 x (– 2 x +1) + 0 – 0 +
5+x
c) Faux. En effet, 0 ∉ ]– ∞ ; – 5[ ∪ [2 ; + ∞[, or 0 est une
冥 冤
1
solution de l’inéquation. = 0; .
2
3. a) Faux. Erreurs possibles : confusion entre inverse
et opposé ; effet sur l’ordre de la fonction inverse non a) 7– +
x – 3
maîtrisé. 2
b) Faux. Erreur possible : multiplier les deux membres – 2 x +7 + + 0 –
de l’inéquation par x – 1, dont le signe dépend de la
3–x + 0 – 0 –
valeur de x.
x 1 x–1 – 2 x +7
c) Vrai. En effet, < – 1 équivaut à + < 0, + – 0 +
x–1 x–1 x–1 3 –x
x
soit encore < 0.
冥 2 ; + ∞冤.
x–1 7
= ]– ∞ ; 3[ ∪
4. a) Faux. Erreur possible : diviser les deux membres de
l’inéquation par x – 3 qui peut être nul ou négatif selon
les valeurs de x. b) x – –5 2 +
b) Faux. En effet, 2 est solution de l’inéquation
x +5 – 0 + +
x(x – 3) 2(x – 3), alors que 2 n’est pas solution de x – 3 0.
c) Vrai. En effet, x(x – 3) (x – 3) équivaut à – 2 x +4 + + 0 –
x(x – 3) – 2(x – 3) 0, soit encore (x – 3)(x – 2) 0. x +5 – 0 + –
– 2 x +4
• Vrai – Faux = [– 5 ; 2[.
a) Faux. 5 est solution de l’inéquation, donc le
crochet doit être fermé en 5. L’inéquation x2 15 équivaut à x2 – 15 0, soit
b) Vrai. En effet, pour tout réel x, x2 + 1 est strictement (x – 415) (x + 415) 0.
x2 + 1 1
positif, donc les réels et ont le même signe. x – –冪莥15 冪莥15 +
x x
a) Faux. On peut utiliser un contre-exemple : x –冪莥15 – – 0 +
2x + 3
0 n’est pas solution de l’inéquation 1, mais 0 – + +
x–1 x +冪莥15 0
est solution de l’inéquation 2x + 3 x – 1.
Erreur possible : multiplier les deux membres de la x2 –15 + 0 – 0 +
première inéquation par x – 1, dont le signe dépend de
Donc = [– 415 ; 415].
la valeur de x.
b) Vrai. En effet, la courbe coupe l’axe des abscisses 2x – 1
en deux points d’abscisses – 1 et 3, et la courbe est en L’inéquation 1 équivaut à
x–3
dessous de l’axe des abscisses sur l’intervalle ]– ∞ ; 3] et 2x – 1 x – 3 x+2
– 0, soit 0.
au-dessus sur l’intervalle [3 ; + ∞[. x–3 x–3 x–3
12
x – –2 3 + b) Bm(x) =
B(x)
x
x +2 – 0 + + Bm(x) = – x2 + 300x – 16 100
x –3 – – 0 + or 6 400 – (x – 150)2 = 6 400 – x2 + 300x – 22 500
= – x2 + 300x – 16 100,
x +2
+ 0 – + donc Bm(x) = 6 400 – (x – 150)2.
x –3
Bm(x) = [80 – (x – 150)] [80 + (x – 150)]
Donc = ]– ∞ ; – 2] ∪ ]3 ; + ∞[.
= (230 – x) (x – 70)
1. a)
x 0 70 230 300
230–x + + 0 –
x –70 – 0 + +
β m( x ) – 0 + 0 –
b) La courbe est au-dessous de l’axe Δ pour Bm(x) > 0 pour une production comprise entre 70
x ∈ [– 1 ; 1[ ∪ [4 ; + ∞[. et 230 articles.
2. a) Pour tout réel x, x ≠ 1,
2x + 4 2x + 4 – x(x – 1)
–x =
x–1 x–1 6. Exercices d’approfondissement
– x2 + 3x + 4
= .
x–1 On note d, en km, la distance entre les deux mai-
Or (x + 1) (– x + 4) = – x2 + 4x – x + 4 sons, et t et t’ les durées, en h, des trajets, aller et retour.
= – x2 + 3x + 4. d
À l’aller, la vitesse moyenne est 24 km · h– 1 donc t = .
2x + 4 (x + 1) (– x + 4) 24
Donc –x= .
x–1 x–1 d
Au retour, la vitesse moyenne est 20 km · h– 1 donc t’ = .
b) 20
x – –1 1 4 + 4
Marie part à 10 h, reste 1 h 20 min = h chez sa copine
3
x +1 – 0 + + + d 4 d
et rentre avant midi, d’où + + 2
24 3 20
– x +4 + + + 0 – 5d + 160 + 6d
soit 2
120
x –1 – – 0 + +
11d + 160 240
( x +1)( – x +4) 80
+ 0 – + 0 – d
x –1 11
c) Trouver algébriquement pour quelles valeurs de x La distance entre les deux maisons est inférieure à 7,3 km.
la courbe est au-dessous de Δ revient à résoudre 1. Si d est la distance de la ville A à la ville B, la durée
2x + 4 (x + 1) (– x + 4)
冢 冣
l’inéquation – x 0, soit 0. d x + 20
x–1 x–1 totale du trajet est : , la vitesse moyenne sur
2 20x
= [– 1 ; 1[ ∪ [4 ; + ∞[. l’ensemble du trajet est donc :
d
x3 – 300x2 + 25 000x v(x) =
1. a) Cm(x) =
冢 冣
d x + 20
x
= x2 – 300x + 25 000 2 20x
Or (x – 150)2 + 2 500 = x2 – 300x + 22 500 + 2 500 40x
c’est-à-dire v(x) = : km · h– 1.
= x2 – 300x + 25 000, x + 20
2. On résout : v(x) = 24, on obtient x = 30. La vitesse
d’où Cm(x) = (x – 150)2 + 2 500.
moyenne sur l’ensemble du trajet est de 24 km · h– 1
b) Cm(x) est un polynôme de degré 2.
Cm(x) = a(x – α)2 + β avec a = 1, α = 150, β = 2 500. lorsque la vitesse sur la deuxième moitié du parcours
a > 0 donc Cm présente un minimum égal à 2 500 pour est de 30 km · h– 1.
x = 150, c’est-à-dire pour une production de 150 articles. 3. On résout l’inéquation v(x) 15, on obtient :
2. a) Sa recette est R(x) = 8 900x et le bénéfice est x 12
B(x) = R(x) – C(x) La vitesse moyenne est supérieure à 15 km · h– 1 lorsque
= 8 900x – x3 + 300x2 – 25 000x la vitesse sur la deuxième moitié du trajet est supérieure
= – x3 + 300x2 – 16 100x à 12 km · h– 1.
13
800 3. Graphiquement, on lit les abscisses des points de la
4. Pour tout x 0, v(x) – 40 = –
x + 20 représentation graphique précédente dont l’ordonnée
v(x) – 40 < 0
v(x) < 40 est supérieure ou égale à 13,5. = [0 ; 6,25]
La vitesse moyenne ne peut donc pas dépasser 40 km · h– 1. Algébriquement, on résout l’inéquation 16 – 0,4x 13,5.
On retrouve = [0 ; 6,25]
1. a)
1. f(200) = 115.
x 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11
Pour un effort de puissance 200 W, la fréquence car-
f(x) 0 39 60 69 72 75 84 105 144 207 300 429 diaque est de 115 battements par minute.
2. a)
b) Euros
213
180
60
105
O 300 340
0
1 t b) On lit les abscisses des points de la courbe dont l’or-
2. a) g(x) = 30x. donnée est supérieure à 180.
b) Voir la représentation précédente. f(x) 180 pour 300 x 340.
3. a) B(x) = g(x) – f(x) ; B(x) = 0 pour x = 0, x = 2 et x = 10. 3. a) 0,001 25(x – 300)(x + 320)
B(x) = 30x – (x3 – 12x2 + 50x) = 0,001 25x2 + 20x – 96 000
B(x) = – x3 + 12x – 20x = 0,001 25x2 + 0,025x – 120
L’entreprise est bénéficiaire lorsque B(x) > 0, c’est-à-dire
= f(x) – 180.
lorsque : g(x) > f(x). Ceci est réalisé lorsque le nombre x de
b)
tonnes produites est strictemlent compris entre 2 et 10. x 0 300 340
b) (x – 2)(x – 10) = x2 – 12x + 20.
L’ensemble des solutions de l’équation B(x) = 0 est x – 300 – 0 +
= [0 ; 2 ; 10] x + 320 + +
c) g(x) – f(x) = – x(x2 – 12x + 20). f(x) – 180 – 0 +
= – x(x – 2)(x – 10)
B(x) > 0 si – x(x – 2)(x – 10) > 0 = [300 ; 340]
x(x – 2)(x – 10) < 0. a) T5 = T4 + 5 = 15
x 0 2 10 11 T6 = T5 + 6 = 21
b)
x + + + Entrée
x–2 – 0 + + Saisir n
Initialisation
x – 10 – – 0 +
T prend la valeur 0
x(x – 2)(x – 10) + 0 – 0 + Traitement et sorties
= ]2 ; 10[ Pour i de 1 jusqu’à n
T prend la valeur T + i
1. a) BC = 964 + 36 = 10. Avec le théorème de Afficher T
Thalès : FinPour
MP BM MP x
= , soit = = ;
CA BC 6 10
c)
donc : MP = 0,6x.
MQ CM MQ 10 – x
= aboutit à = , soit MQ = 8 – 0,8x.
BA CB 8 10
b) Le périmètre du rectangle APMQ est :
p(x) = 2(0,6x + 8 – 0,8x) = 16 – 0,4x.
2.
16
10
1
0 1 10 d) On a Tn 100 pour n 14 et Tn 1 000 pour n 45.
14
a 2 2,5 2,5 2,625 2,625 • On étudie le signe de h(x) = x2 – 2x – p
= (x – 1)2 – 1 – p
b 3 3 2,75 2,75 2,687 5
Si p – 1, alors – 1 – p 0 et h(x) 0 donc Δ est toujours
m 2,5 2,75 2,625 2,687 5
en dessous de .
m2 6,25 ≈ 7,56 ≈ 6,89 ≈ 7,22
Si p > – 1, alors 1 + p > 0 et h(x) = (x – 1)2 – 71 + p2
b) L’algorithme détermine un encadrement de 17 :
h(x) = (x – 1 – 71 + p)(x – 1 + 71 + p).
a < 17 < b avec b – a 10– 3.
c)
x –∞ 1 – 71 + p 1 + 71 + p +∞
x –1 – 71 + p – – 0 +
x –1 + 71 + p – 0 + +
h(x) + 0 – 0 +
Δ en Δ au Δ en
position
dessous de dessus de dessous de
Δ et se coupent
102 + x 1
L’inégalité + x est-elle vraie pour x
5 3
entier, compris entre 0 et 100 ?
102 + x 1
L’inéquation +x
d) Le programme donne : 2,645 5 < 17 < 2,646 5 5 3
équivaut à 306 + 3x 5 + 15x
301
soit encore x .
12
301
Or ≈ 25,1.
12
Seules les 26 premières inégalités, pour x allant de 0
à 25, sont vraies.
On pose DH = GC = x.
1
0 DH DC donc 0 x 1.
2
L’aire du rectangle EFGH est = HG × FG = (2 – 2x)(1 – x).
1 1
équivaut à 2x2 – 4x + 2 ; d’où :
2 2
1
2(x – 1) – 0
2
2
4(x – 1)2 – 1 0
2
On conjecture que : [2(x – 1) + 1] [2(x – 1) – 1]
• Pour p – 1 ; Δ est en dessous de . 2
• Pour p > – 1 ; Δ est en dessous, puis au-dessus, puis en (2x – 1)(2x – 3)
0
dessous de . 2
15
1 Or x 0, donc cette inéquation équivaut à x – 2 0.
x 0 2 1
L’aire du rectangle est plus grande que celle du carré tant
2x – 3 – – que le premier morceau mesure moins de 2 m.
2x – 1 – 0 + 1. Pour x ∈ [0 ; + ∞[, on compare :
x2
冢
(2x – 3) x – 1
–
2冣 + 0 – (f(x)) = 1 + x et (g(x))2 = 1 + x + ;
2
4
(g(x))2 (f(x))2, donc g(x) f(x) car f(x) 0 et g(x) 0.
La largeur du bandeau doit être inférieure à 0,5 m.
2. A = f(10– 6) et B = g(10– 6) d’où A B.
Soit x la longueur du premier morceau. Le péri-
a2 b2
冢 冣 +1
x x2 a b 2
mètre du carré est x, donc son côté vaut et son aire . + 2 +3= +
4 16 b 2 a b a
4,5 – x a2 b2
冢 冣
Le demi-périmètre du rectangle est ; une de ses a b
2 L’inégalité + +3>2 + équivaut à
b2 a2 b a
4,5 – x 2,5 – x
冢 冣 冢 冣
dimensions est 1, l’autre vaut donc –1= . a b 2 a b
2 2 + +1>2 + ,
b a b a
2,5 – x
L’aire du rectangle est donc 1 × . soit encore
2
冢 冣 冢 冣
x2 a b 2 a b
2,5 – x + –2 + +1>0
On résout l’inéquation , ce qui revient à b a b a
2 16
20 – 8x x2
冢 冣
a b 2
ou + –1 >0
soit encore x2 + 8x – 20 0 b a
(x + 4)2 – 36 0 Or cette dernière inégalité est vérifiée pour tous réels
(x + 10)(x – 2) 0. a et b non nuls.
16
7
Chapitre
Trigonométrie et problèmes
1. a) ២
N H π π
OJ = donc J correspond au réel .
2 2
π
O K 1 b) Le point J’ correspond au réel – .
2
c) Le périmètre de est 2π, donc 0, 2π, – 2π sont associés
au point 0.
d) – π, π et 3π correspondent au point I’.
1
2. a) 180 π
a) jIOM = × = 18°.
π 3π π 3π π 10
x 0 π 2π – –π –
b) ២
2 2 2 2 π 5π
IM = × 50 = .
180 18
cos x 1 0 –1 0 1 0 –1 0
sin x 0 1 0 –1 0 –1 0 1 A:
π
;B:
3π
;C:
5π
;D:
7π
.
180 π 4 4 4 4
b) • hIOA = × = 60°.
π 3 π 2π 4π 5π
M: ;N: ; P : π; Q : ;R: .
• IOA est isocèle en O (OI = OA = 1) et hIOA = 60° 3 3 3 3
donc IOA est équilatéral.
冢 冣
π 11π
π 1 a) – – = 2π ; les deux réels ont le même
• Alors cos = , et avec le théorème de Pythagore, 6 6
3 2
point image.
π 13
sin = . π 5π 3π
3 2 b) – – =– ; les deux réels n’ont pas le même
4 4 2
point image.
3. Exercices de base π 8π
c) – – = – 3π ; les deux réels n’ont pas le même
J A 3 3
point image.
冤 2 冥, cos x 艌 0 et sin x 艌 0.
π 1
a) x ∈ 0 ; – ––
5 O
I
b) x ∈ 冤 ; π冥, cos x ⭐ 0 et sin x 艌 0.
π
2
c) x ∈ 冤π ;
2 冥
3π
, cos x ⭐ 0 et sin x ⭐ 0. A
1 24
b) sin2 a = 1 – cos2 a = 1 – = . Or x ∈ [–π ; 0]
冤 冥
3π
d) x ∈ ; 2π , cos x ⭓ 0 et sin x ⭐ 0. 25 25
2
e) Mêmes résultats que d). donc sin a ⭐ 0 et sin a = 216 .
5
f) Mêmes résultats que c).
5 – 15
= 1 – cos2 = 1 – 1 + 15 =
2
冢 冣
π π
a) sin2 .
a) A 13 ;
冢 B 12 ; 12
冣 冢 冣 冢 2 ; 132 冣
1 1 5 5 4 8
C
Or sin ⭓ 0 donc sin = 85 – 15
2 2 2 2 π π
D – 13 ; E – 12 ; – 12 冢 2 ; – 132 冣
5 5
冢 冣 冢 冣
1 1 212
F
2 2 2 2 b) J
π 4π
––– π
–
b) A est associé au réel . 5 5
6
π
B est associé au réel .
4 I
O
π
C est associé au réel .
3 9π
–––
5π 5
D est associé au réel .
6 4π π
cos = – cos .
5π 5 5
E est associé au réel .
4 = – 1 – 15
π 4
F est associé au réel – .
= sin = 85 – 15 .
3 4π π
sin
5 5 212
冢 3 冣 = cos 3 = 2
π π 1
= cos = 1 + 15
a) cos – 9π π
cos
5 5 4
冢 3 冣 = – sin 3 = – 132
π π
sin – sin
9π π 8
= – sin = – 5 – 15 .
5 5 212
= – cos = – 12
3π π
b) cos J
4 4 2 a)
= sin = 12
3π π
sin Q M
4 4 2
O
= – cos = – 13
7π π I
c) cos
6 6 2
7π π 1 N P
sin = – sin = –
6 6 2
b) cos(x + π) = – cos x
a) J
sin(x + π) = – sin x
2 M
––
3 cos(– x + π) = – cos x
sin(– x + π) = sin x
I
O Avec la calculatrice :
π π
a) cos ≈ 0,81 ; sin ≈ 0,59
5 5
冤 冥
4 5 π π π
b) cos2 x = 1 – sin2 x = 1 –= . Or x ∈ 0 ; b) cos ≈ 0,97 ; sin ≈ 0,26
9 9 2 12 12
15
冢 冣 冢 冣
3π 3π
donc cos x 艌 0 et cos x = . c) cos – ≈ 0,23 ; sin – ≈ – 0,97
3 7 7
3
19π 19π AH × HC 25
d) cos ≈ 0,39 ; sin ≈ 0,93 b) a(AHC) = = cos qC × sin qC.
8 8 2 2
AB × 5 5
a) x ≈ – 0,65 b) x ≈ 2,49 a(ABC) = = BC × sin qC
2 2
a) x ≈ 0,42 b) x ≈ 2,35 5
= ×
5
× sin qC
2 cos qC
3
a) cos (– x) = cos x =.
4 25 sin qC
= × .
– x appartient à l’intervalle [0 ; π]. 2 cos qC
– x ≈ 0,73. 1
c) On cherche α = qC tel que a(AHC) = a(ABC), c’est-
b) Une valeur approchée de x est par exemple x ≈ – 0,73. 4
à-dire :
25 25 sin qC
冢 5 冣 ≈ – 0,2.
1 cos qC × sin qC = × .
Avec la calculatrice : sin–1 –
2 8 cos qC
冤 冥
3π π
x∈ – ;– cos2 qC =
1
2 2 4
Donc x ≈ – π + 0,2 1
cos qC = car cos qC 艌 0.
x ≈ – 2,94 2
J Donc qC = 60°.
a)
1. b) Lorsque t décrit [0 ; π], la longueur IM aug-
B 0,1 A mente et lorsque t décrit [π ; 2π], elle diminue.
O I 2. a) Si cos t 艌 0, IH = 1 – cos t.
Si cos t ⭐ 0, IH = 1 + (– cos t) = 1 – cos t.
b) IM2 = (1 – cos t)2 + sin2 t = 2 – 2 cos t.
Donc IM = 02 – 2 cos t.
冤 冥 冤 冥
π π
b) Dans 0 ; , a ≈ 0,1 et dans ;π
2 2 c)
a≈3
a) J
A
–5/6 O I
= – 13 et sin
I 7π π 7π 7π 1
O 2. = π + donc cos =–
6 6 6 2 6 2
= – 12 et sin = – 12
5π π 5π 5π
• = π + donc cos
M' 4 4 4 2 4 2
M et M’ associés respectivement à x et – x sont symétri- 4π π 4π 1 4π 13
ques par rapport à l’axe des abscisses, donc : • = π + donc cos = – et sin =–
3 3 3 2 3 2
cos(– x) = cos x et sin(– x) = – sin x.
b) π π π
π π π π •0< < < donc
x 0 –6 –4 –
3
–
2
12 7 2
π π π π
a) sin < sin b) cos < cos
13 12 1 12 7 7 12
cos x 1 2 0
2 2 π 7π 4π
• < < < π donc
2 10 5
1 12 13
sin x 0 –
2
– – –1 4π 7π 4π 7π
2 2 c) sin < sin d) cos < cos
5 10 5 10
1. a) b) J
B a) (cos x + sin x)2 + (cos x – sin x)2
= cos2 x + sin2 x + 2cos x sin x + cos2 x + sin2 x – 2cos x
sin x
I =2
–1
– O
2 car cos2 x + sin2 x = 1.
– ––2 A b) (cos x + sin x)2 – (cos x – sin x)2
2
= cos2 x + sin2 x + 2cos x sin x – cos2 x – sin2 x + 2cos x
1
2. a) Donc pour tout x de I, – ⭐ cos x ⭐ 1. sin x
2
= 4cos x sin x.
b) Pour tout x de I, – 12 ⭐ sin x ⭐ 1.
2
冦3 ; 3 冧 冦 冧
π 2π π π
1. a) J a) = b) = – ;
6 6
冦6 ; 冧
π 11π 13π 23π
N K M c) = ; ;
6 6 6
I a) a = AB × DH D C
H' O H
= AB × AD × sin qA
= 20 sin qA
5 km
sin x croît de 0 à 1 puis décroît de 1 à 0.
AH 5
AV = =
29° b) cos x décroît de 0 à – 1 puis croît de – 1 à 0.
sin jAVH sin 29° V
H sin x décroît de 1 à – 1.
c) cos x décroît de 12 à – 1.
≈ 10,3 km
2
sin x décroît de – 12 à – 1 puis croît de – 1 à 0.
2
B
π π 2π d) cos x décroît de 13 à – 1 puis croît de – 1 à 0.
a) P est associé au réel + = . 2
1
6 2 3 sin x croît de à 1 puis décroît de 1 à – 1.
π π π 2
Q est associé au réel – = – .
6 2 3 a) Entrée
13 1 13
et Q ; – 13 Saisir x
冢 冣 冢 冣 冢 冣
1 1
b) M ; ,P – ;
2 2 2 2 2 2 Traitement
• La colonne y1 ne convient pas car sin 0 = 0. Tant que x > 2π
• y2 ne convient pas car sin 0,2 > 0. x prend la valeur x – 2π
• y4 ne convient pas car sin 1,2 < 1. Fin Tant que
Il s’agit donc de la colonne y3. Sortie
Afficher x
冤 冥
π 3π
a) On résout l’équation dans ; donc b) L’algorithme calcule et affiche le réel de l’intervalle
2 2
x ≈ 2,21. [0 ; 2π] dont le point image est le point associé au réel
b) La calculatrice n’est pas en mode radians. initial x.
x ≈ 0,93.
1. a) x = 2 s’applique sur J, 4 sur I’ et 6 sur J’.
Pauline b) Si x et x’ s’appliquent sur un même point de K alors
1 x – x’ = k × 8 où k ∈ ⺪.
L’équation sin x = a pour solutions les réels :
2 c) Les réels qui s’appliquent sur le point A sont les réels
π 5π x = 5 + 8k où k ∈ ⺪.
x = + k 2π et x = + k 2π où k ∈ ⺪.
6 6 2. a)
Damien
x 0 1 2 3 4 5 6 7 8
L’équation cos x = 1 a pour solutions les réels :
i(x) 1 1 0 –1 –1 –1 0 1 1
x = k × 2π où k ∈ ⺪.
j(x) 0 1 1 1 0 –1 –1 –1 0
Marion
b) 371 = 3 + 8 × 46 donc
1 1 1
cos2 x = donc cos x = – ou cos x = . i(371) = i(3) = – 1 et j(371) = j(3) = 1.
4 2 2
a) Vrai : l’équation sin x = 0,7 a une infinité de
a) Vrai.
solutions.
b) Vrai.
b) Faux : l’équation cos x = – 0,3 a une infinité de solu-
π
c) Faux : a = π ; b = . tions.
2
3π c) Faux : pour tout réel x, sin x ⭐ 1.
d) Faux : a = ; b = π.
冢 冣
π
2 d) Faux : sin – = – 1.
2
OAI est équilatéral : A ; 13 . 冢 冣
1
2 2 e) Vrai par définition du cosinus.
13 f) Vrai. C’est une formule du cours.
冢 冣
1
OBI est équilatéral : B ; – .
2 2 a) Si M est un point de l’arc ២
IJ alors M est un point
២
OCJ’ est équilatéral : C 13 ; – . 冢 冣
1 de l’arc II’.
2 2 b) L’énoncé réciproque est faux.
D est le symétrique de C par rapport à (OJ) :
D – 13 ; – .
冢 冣
1
2 2 5. Se préparer au contrôle
E est sur la bissectrice de hJOI’ : E – 12 ; 12 . 冢 冣
F est sur la bissectrice de hIOJ’ :
2 2 • QCM
F 12 ; – 12 .
冢 冣 1. a) Faux. En effet,
2π
3
– –
π
3
冢 冣
= π et 1 n’est pas
2 2 un entier pair.
6
b) Vrai. En effet,
5π
– –
π
冢 冣= 2π.
d) Vrai. A et B ont la même ordonnée et l’ordonnée de
13
3 3
A est égale à sin
π
冢 冣
= .
c) Faux. En effet,
– 4π
3
– – 冢 冣
π
3
= – π et – 1 n’est pas un 2 2
e) Faux. C est le symétrique de A par rapport à O, ses
entier pair.
13
2. a) b) Faux. Il suffit de placer le point associé au réel
π
coordonnées sont – ; – 冢
1
2 2 冣
, elles ne sont pas égales.
– sur un cercle trigonométrique pour constater que
4 a) Faux.
7π
– –
π
冢 冣
= π et 1 est un nombre impair.
冢 冣
cos –
π
4
est positif. 8 8
b) Vrai. sin(x + 4π) = sin(x + 2π) = sin x.
12 12
冢 冣
c) Faux. sin –
π
4
+ cos –
π
4
冢 冣
=–
2
+
2
= 0.
d) Vrai. Pour tout réel x, – 1 ⭐ cos(x) ⭐ 1
π
– ––
4 donc 0 ⭐ cos2(x) ⭐ 1.
12 e) Faux. Il existe deux points du cercle trigonométrique
c) Vrai. En effet, cos – 冢 冣
π
4
= cos 冢 冣
π
4
=
2
.
qui ont pour ordonnée 0,25.
3. a) Vrai. En effet, avec la calculatrice, sin– 1(0,6) donne L’équation a donc deux solutions dans l’intervalle [0 ; 2π].
0,643 5. f) Vrai. Un seul point du cercle trigonométrique a pour
b) Faux. En effet, 36,87 n’est pas compris entre ordonnée – 1.
π π
– (≈ – 1,57) et (≈ 1,57). L’unique solution de l’équation dans l’intervalle [– π ; π]
2 2
c) Faux. Il ne faut pas confondre sinus et cosinus. π
est – .
2
1. a) Faux. Il ne faut pas confondre avec cos – 冢 4π
3
冣.
• Pour réviser
4π 2π
b) Vrai. En effet, – = – 2π,
1 13
+ 1 + 13 + = 2 + 13.
3 3 1
A= +
donc sin –冢 4π
3
冣
= sin 冢 冣
2π
3
. 2 2 2 2
π
Les points associés aux réels
2π π
et sont symétriques hIOA = 2gII’A = 60° donc A est associé au réel,
3 3 3
ses coordonnées sont cos ; sin , c’est-à-dire ; 13 .
冢 冣 冢 冣
par rapport à l’axe des ordonnées, π π 1
13 3 3 2 2
donc sin 冢 冣
2π
3
= sin
π
3
冢 冣
=
2
.
a) J
4π
c) Faux. Il suffit de placer le point associé à – sur
3
un cercle trigonométrique pour constater que sin – 冢 4π
3
冣 1
– ––
5
I
est négatif. O
9 16
2. a) Vrai. En effet, sin2(x) = 1 – cos2(x) = 1 – = .
25 25
D’autre part, x ∈ π ; 冤 3π
2
冥
, donc sin(x) ⭐ 0 et sin(x) = – .
4
5
M
1 24
b) c) Faux. Il suffit de visualiser l’arc correspondant aux b) sin2(x) = 1 – cos2(x) = 1 – = .
25 25
冤
réels de π ;
3π
2
冥
pour constater que le sinus d’un tel
Or sin(x) < 0 donc sin(x) = – 216 .
réel est négatif. 5
15π 15π π
3. a) Vrai. En effet, ∈ [3π ; 4π] et = – + 4π, 1. a) b) J
4 4 4
12 B
donc cos 冢
15π
4
冣
= cos – 冢 冣
π
4
= cos 冢 冣
π
4
=
2
.
12
b) Faux. En effet, cos = 冢
13π
4
冣=–
2
.
O
I
π
c) Faux. En effet, – ∉ [3π ; 4π].
4 A
• Vrai – Faux
π π 1
a) Vrai. Le réel est compris entre 0 et et 2. Pour tout réel x de I, – ⭐ cos(x) ⭐ 1.
π 1 3 2 2
cos = .
3 2 1. a) H a pour coordonnées 12 ; 0 , donc OH = 12
冢 冣
b) Vrai. B est le symétrique de A par rapport à l’axe des 2 2
2π π et I’H = 1 + 12 = 2 + 12 .
ordonnées et =π– . 2 2
3 3 2 2
b) I’M = I’H + HM = (2 + 12) + 12 冢 冣
π 4π 2 2 2
c) Faux. C est le point associé au réel π + = .
3 3 4 2
7
I’M2 = 6 + 4 12 + = 2 + 12
2 AI
• sin hAOI = donc AI = sin x.
4 4 OI
donc I’M = 82 + 12. Dans le triangle rectangle OPH :
1 π PH
2. a) jMI’I = jMOI = sin jPOH = , sin jPOH = sin(π – 2x)
2 8 OP
= 82 + 12
2 + 12
冢 冣
π I’H = sin 2x et OP = 1 donc PH = sin 2x.
cos = =
8 I’M 282 + 12 2
1
3. a(OIP) = OA × IP = OA × IA = cos x × sin x.
= 82 – 12
12
冢 冣
π MH 2
sin = =
8 I’M 282 + 12 2 1 1
a(OIP) = PH × OI = sin 2x.
7π π 2 2
b) = π – donc
8 8 On obtient sin 2x = 2 sin x × cos x.
冢 冣 冢 冣 = – 82 + 12
7π π
cos = – cos a) La courbe représentative de la fonction cos sur
8 8 2
8 12
冢 冣 冢 冣
7π π 2 – [– 3π ; 3π].
sin = – sin =–
8 8 2
6. Exercices d’approfondissement
2
= 1 – (12 + 16)
π π
a) sin2 = 1 – cos2
12 12 16
= 2 – 13 .
4
= 82 – 13 .
π π π π
0< < donc sin > 0. Alors sin
12 2 12 12 2
11π π
b) =π– donc
12 12
= – 12 + 16 et
11π π Celle de la fonction sin sur [– 3π ; 3π].
cos = – cos
12 12 4
sin
11π
= sin
π
= 8 2 – 13 .
12 12 2
1. a) Dans le triangle rectangle ION :
ON
cos jION = , cos jION = cos x et OI = 1
OI
donc ON = cos x.
Le trajet vert a pour longueur : 1 + cos x
b) Le trajet rouge a pour longueur :
x + 1 – cos x
2. b) La fonction cos est :
π π π • décroissante sur [0 ; π]
x
6 4 3 • croissante sur [π ; 2π].
trajet 13 12 3 La fonction sin est :
1 + ≈ 1,87 1 + ≈ 1,71
vert 2 2 2
冤 冥
π
• croissante sur 0 ;
trajet π 13 π 12 π 1 2
1 + – ≈ 0,66 1 + – ≈ 1,08 + ≈ 1,55
冤 冥
rouge 6 2 4 2 3 2 π 3π
• décroissante sur ;
2 2
1. a) IOP est isocèle en O.
冤 冥
3π
b) (OM) est la bissectrice de l’angle hIOP donc aussi • croissante sur ; 2π .
2
la hauteur et la médiane issue de O dans le triangle
isocèle IOP. a) 1 = OI × MH où H est le projet orthogonal
Alors (OM) et (IP) sont perpendiculaires et A est le milieu de M sur (OI).
de [IP]. Donc 1 = sin x.
2. Dans le triangle rectangle OAI : x x
OA L’aire du secteur circulaire OIM est donc 2 = – sin x.
• cos hAOI = , or cos hAOI = cos x 2 2
OI x
b) f(x) = 1 – 2 = 2sin x – .
et OI = 1 donc OA = cos x. 2
8
1. a) OH = cos x donc I’H = I’O + OH
= 1 + cos x.
Dans le triangle rectangle I’MH :
I’H x
cos jMI’H = ; or cos jMI’H = cos
I’M 2
x I’H
donc cos =
2 I’M
Dans le triangle rectangle I’MI :
I’M I’M x I’M
cos jMI’H = = , cos = .
c) Avec la calculatrice : I’I 2 2 2
2,47 < x0 < 2,48 b) Avec les égalités précédentes :
d) Pour x ∈ [0 ; x0], f(x) ⭓ 0 donc 1 ⭓ 2 et x I’M I’H 1 + cos x
冢 2 冣 = I’M ×
I’H
pour x ∈ [x0 ; π] ; f(x) ⭐ 0 donc 1 ⭐ 2. cos2 = = .
2 2 2
1. π 12
1 + cos 1+
= 2 + 12
π 4 2
2. a) cos2 = =
8 2 2 4
π π π
0 < < donc cos > 0 alors
8 2 8
π 82 + 12
cos = .
8 2
sin2 = 1 – cos2 = 1 – 2 + 12 = 2 – 12
π π
8 8 4 4
= 82 + 13 .
3π 5π 5π π π
b π π ≈ 2,36 ≈ 1,96 ≈ 1,96 cos > 0 donc cos
4 8 8 12 12 2
π 3π 5 9π sin2
π
= 1 – cos2
π
=1– 2 + 13 = 2 – 13
x ≈ 1,96 ≈ 1,77 12 12
2 4 8 16 4 4
= 82 – 13 .
b) L’algorithme détermine un encadrement de x0. π π
sin > 0 donc sin
À la sortie de l’algorithme : 12 12 2
a < x0 < b avec b – a ⭐ 10– 3. a) x = 1 ; z = 1
c)
x = 0,3 ; z = 0,3
π
x = ; z ≈ 1,047
3
1 1
x=– ;z=
2 2
5π
x= ; z ≈ 2,356
4
b) Le programme affiche l’unique réel z de [0 ; π] tel que
cos z = cos x.
180 π
a) hAOI = × = 36°
π 5
180° – 36°
OAI est isocèle en O donc hOAI = = 72°
d) Ce programme affiche : 2
a = 1,895 2… et donc hOAJ = 36°. Le triangle OAJ est isocèle en J.
b = 1,896 0… hOIA = 72° et hAJI = 180° – hOJA, or hOJA = 180° – 2 × 36°
e) Pour obtenir un encadrement plus précis, on modifie = 108° donc hAJI = 72°.
la condition b – a > 10– 3. Le triangle AIJ est isocèle en A.
9
π π C
b) OH = cos donc HI = 1 – cos .
5 5 1
冢 冣
π π
OJ = OI – IJ = 1 – 2 1 – cos = 2cos – 1.
5 5 B 2
OL π 1
c) cos hAOJ = , or cos hAOJ = cos et OL = H
OJ 5 2 α
1 ––
donc OJ = . 2
π
2 cos
5 A
π 1 1
d) 2cos – 1 = donc a(ACB) = CH × AB
5 π 2
2 cos
5 or AB2 = AC2 + BC2 = 5, AB = 15 donc
π π
4cos2 – 2cos – 1 = 0. 1
5 5 a(ACB) = CH × 15.
2
e) cos > 0 donc cos = 15 + 1 .
π π α CH
5 5 4 D’autre part : sin =
2 AC
α
CH = 2sin
C B 2
α
a(ACB) = 15 sin .
2
H On peut calculer l’aire d’une autre façon :
A
H' O 1
a(ACB) = AC × CB = 1.
2
α 1
Alors sin = .
2 15
OAB est équilatéral donc OA = 2. α α
D’après l’exercice 61 : sin α = 2sin cos .
AC2 = AH’2 + H’C2 = 9 + 3 = 12 2 2
α 1 4 α
car AH’ = AO + OH’ = 2 + 1 = 3 cos2 = 1 – = ; cos > 0 donc
2 5 5 2
et CH’ = 2 × 13 = 13 α 2
cos = .
2 2 15
donc AC = 213. 1 2 4
Enfin sin α = 2 × × = .
AH2 = CH2 + AC2 = 1 + 12 = 13 donc AH = 413. 15 15 5
10
8
Chapitre
O et D sont à l’ordonnée 0.
• Énigme 1 C et F ont pour ordonnée – 3.
Si on construit le relief représenté sur une feuille de d) Deux couples vérifient l’énoncé : C(– 3 ; – 3), A(3 ; 3)
papier et que l’on développe le patron, on obtient une et F(0 ; – 3), G(0 ; 3).
feuille rectangulaire avec deux points entre lesquels la
ligne droite est le plus court chemin. On construit alors a) – 265 – (– 325) = 60. Il est mort à 60 ans.
la figure en 3D avec la droite tracée. C’est le plus court b) Somme : 35 + (– 42) = – 7 ;
chemin. Différence : 35 – (– 42) = 77 ;
35 + (– 42) – 7
Moyenne : = = – 3,5.
• Énigme 2 2 2
–1
C A a) 3x + 1 = 0, soit 3x = – 1, et x = .
3
I 1
H La solution de cette équation est – .
3
G b) 3x + 1 = 5x – 7
D 3x + 1 + 7 = 5x
E 3x + 8 = 5x
8 = 5x – 3x
F 8 = 2x
B J 8
x = = 4.
Il suffit de placer les points comme ci-contre. À noter 2
qu’ils ne sont pas sur la médiatrice de [AB] qui donne La solution de l’équation est 4.
les points à égale distance de A et B dans le plan, alors a) Cg est une droite horizontale. Son coefficient
qu’ici on s’intéresse aux déplacements le long des lignes directeur est donc nul. La seule expression qui corres-
du quadrillage. pond est g(x) = 3.
Cf est une droite de pente négative. Son coefficient
directeur est donc négatif (2 expressions conviendraient).
1. Vérifier les acquis
L’ordonnée à l’origine vaut 1. La seule expression qui
Le triangle ABC étant rectangle en A, on peut correspond est donc f (x) = – 2x + 1.
appliquer le théorème de Pythagore, ce qui donne :
a) La droite (IJ) passe par les milieux des côtés
AB2 + AC2 = BC2.
[BA] et [BD] du triangle BAD. Elle est donc parallèle au
Avec les données de l’énoncé, on a :
troisième côté de ABD.
42 + AC2 = 52 soit 16 +AC2 = 25.
Donc (IJ) // (AD), les droites (IJ) et (BC) sont toutes deux
Donc AC2 = 25 – 16 = 9.
parallèles à une même troisième. Donc (IJ) // (BC).
Or AC > 0 car c’est une longueur donc AC = 3.
b) La droite (IJ) passe par le milieu d’un des côtés du
a) triangle BCD et est parallèle à un autre de ses côtés. Elle
C A B coupe le troisième côté de BCD en son milieu.
– 5,1 –3 0 1 4,8
b) • xB > xA, donc AB = xB – xA = 4,8 – (– 3) = 7,8. 2. Activités d’approche
• xA > xC, donc AC = xA – xC = – 3 – (– 5,1) = 2,1.
• xB > xC, donc : BC = xB – xC = 4,8 – (– 5,1) = 9,9.
• Activité 1
a) B
a) E(1 ; 2), D(2,5 ; 0), B(– 3 ; 2) et F(0 ; – 3).
b) B et C ont pour abscisse commune – 3. Ils sont sur une C
même droite verticale.
A B1
O, F et G sont à l’abscisse 0. J
C1
c) A et G ont pour ordonnée commune 3. Ils sont sur une
O I
même droite horizontale. C2 B2
B et E sont à l’ordonnée 2. C(3 ; 3)
1
b) Les points C se trouvent tous sur une même droite c) Le repère (D ; I, A) n’est pas orthonormé.
verticale, à l’abscisse 3. Donc xC = 3. Et l’axe des abscisses est orienté vers la gauche.
x +x 1 3
c) On remarque que xC = A B . A(0 ; 1), B 5 ; – et C 4 ; .
2 2 2
Pour ce qui est de l’ordonnée, on peut utiliser un tableau a) A
pour conjecturer la formule de calcul.
yA = 1 1 1
D E
yB = 5 1 –2
yC = 3 1 – 0,5 J C
y +y
On remarque à nouveau que : yC = A B . O I
2
d) L’algorithme propose à l’utilisateur de deviner les B
coordonnées du milieu du segment [AB] lorsque A(4 ; – 2)
et B est un point de coordonnées entières, choisies au
b) Les repères cités ne sont pas orthonormés.
hasard entre – 5 et 5. Si l’utilisateur donnes les deux
Dans le repère (O ; C, D), A(– 2 ; 2) et B(– 1 ; – 1).
bonnes coordonnées, le programme affiche « bravo ».
Dans le repère (O ; D, C), l’axe des abscisses est ici vertical,
S’il y a une erreur au moins, il affiche « perdu ».
orienté vers le haut, et l’axe des ordonnées est horizontal,
• Activité 2 orienté vers la droite. Donc A(2 ; –2) et B(– 1 ; – 1).
c) Dans le repère (E ; C, D), A(– 1 ; 3) et B(2 ; 2).
a) 78,2 – (– 17,2) = 95,4. La voiture est à 95,4 km de l’arri-
vée. Comme l’autonomie du véhicule n’est plus que de A
90 km, il ne peut rejoindre directement l’arrivée. Il doit B
donc passer par le ravitaillement. J
b) Il faut calculer VR + RA.
Or VB = 30 – (– 17,2) = 47,2 et BR = 40 – (– 20) = 60. O I C
Le théorème de Pythagore dans le triangle VBR, rectangle
en B, assure que VR2 = 47,22 + 602 = 5 827,84.
Donc VR ≈ 77. a) C(0 ; 0), M(1 ; 0) et B(0 ; 1).
De la même façon, dans le triangle RBA on a RB = 60 et CM = CD = ED et les points E, D, C et M sont alignés, donc
BA = 78,2 – 30 = 48,2. D(– 1 ; 0) et E(– 2 ; 0). CB = CG = GN et les points B, C, G et
Donc AR2 = 602 + 48,22 = 5 923,24. N sont alignés, donc G(0 ; – 1) et N(0 ; – 2).
AR ≈ 77. ABCD est un carré donc (AD) ⊥ (DC) donc A et D ont
Il reste environ 154 km à parcourir. même abscisse et (AB) ⊥ (BC) donc A et B ont même
ordonnée. D’où A(– 1 ; 1) et F(– 2 ; – 1).
3. Exercices de base b) Si on note xI et yI les coordonnées de I alors on a :
x +x 1+0 1 y + y 0 + (– 2)
a) A(– 2 ; 0), B(0 ; – 1), C(2 ; 1). xI = M N = = et yI = M N = = – 1.
2 2 2 2 2
b) C 1
J Donc I ; – 1 . De la même façon pour le point J milieu
2
de [EI], on a :
D A O I 1
(– 2) +
B E xE + xI 2 –3 y + y 0 + (– 1) 1
xJ = = = et yJ = E I = =– .
2 2 4 2 2 2
a) Le repère est orthonormé mais l’unité est de
3 1
2 carreaux sur chaque axe. Donc J – ; – .
4 2
1 1 3 A
Donc A(1,5 ; 1), B – 1 ; – , C – ; .
2 2 2 B
b) E
J
F C D I
A
J
G H C
D
B O I
F E
2
a) On peut choisir ici une unité commune pour les axes x +x
On a donc xA = B N .
correspondant à un carreau. L’origine peut alors être un 2
point quelconque du quadrillage, par exemple D (voir – 5 + xN
Donc 2 = soit – 5 + xN = 4 donc xN = 9.
figure). Un repère possible est par exemple (D ; I, J). 2
yB + yN 1 + yN
Alors D(0 ; 0), A(1 ; 4), B(5 ; 3), C(4 ; – 1), E(3 ; – 5) et yA = donc 5 = soit 1 + yN = 10 donc yN = 9.
2 2
F(– 2 ; – 5). Donc N(9 ; 9).
b) On note H et G les milieux des segments [AE] et [BF].
Alors les coordonnées de ces points sont H(2 ; – 0,5) et a) On note I et J les milieux respectifs des segments
G(1,5 ; – 1). [PR] et [QS].
x +x –4+2 y +y –1+2 1
xI = P R = = – 1 et y1 = P R = = .
2 2 2 2 2
1
C Le même type de calcul pour J amène xJ = – 1 et yJ = .
2
Donc I et J sont confondus.
b) Les diagonales du quadrilatère PQRS ont le même
O
milieu. C’est donc un parallélogramme.
K
Un quadrilatère est un parallélogramme si et
B seulement si ses diagonales ont même milieu.
A
Notons I le milieu de [RS] et J le milieu de [TU].
x +x 0+7 7 x +x
a) On sais que xJ = O B = = (– 1) + 5,5
2 2 2 • xI = R S = = 2,25
yO + yB 0 + (– 4) 2 2
yJ = = = – 2. x +x 4,5 + 0
2 2 et xJ = T U = = 2,25
2 2
7 y +y 4 + (– 1,5)
Donc J ; – 2 . • yI = R S = = 1,25
2 2 2
x +x –3+5 y +y 3 + (– 0,6)
b) On sait que xK = A C = =1 et yJ = T U = = 1,2
2 2 2 2
yA + yC (– 4) + 2
yK = = = – 1. Les points I et J sont distincts. Donc les diagonales
2 2 de RSTU n’ont pas le même milieu ; RSTU n’est pas un
Donc K(1 ; – 1).
parallélogramme.
a) x +x 2 + (– 1) 1
a) xI = B C = =
2 2 2
C A J B yB + yC 4 + 3 7
et yI = = = .
2 2 2
O 1 7
Donc I ; .
2 2
xA + xB 0,5 + 2 b) Si ABEC est un parallélogramme alors ses diagonales
b) xJ = = = 1,25
2 2 ont le même milieu, donc I doit être le milieu de [AE]. On
2 3 x +x 1 3 + xE
+ note E(xE ; yE), on a : xI = A E ⇔ =
yA + yB 3 4 17 2 2 2
yJ = = = .
2 2 24 donc 3 + xE = 1, soit xE = – 2.
On note K le milieu de [BC], alors y +y 7 1 + yE
x +x 2 + (– 1) 1 yI = A E ⇔ = donc yE = 6.
2 2 2
xK = B C = = = xA
2 2 2 Donc E(– 2 ; 6).
3 1
+
y +y 4 2 5 1. a) MNPQ est un parallélogramme donc ses
et yK = B C = = ≠ yA .
2 2 8 diagonales ont même milieu I. I est milieu de [MP] donc
Donc K et A sont distincts. B et C ne sont pas symétriques on peut calculer ses coordonnées :
par rapport à A. x + x (– 1) + 2 1 y + y 2 + (– 3) – 1
xI = M P = = et yI = M P = = .
2 2 2 2 2 2
a) On note M(xM ; yM). Si O est le milieu de [AM], x +x 5 + xQ
alors on a : I étant aussi milieu de [NQ], on a : xI = N Q =
2 2
x +x 2 + xM 1 5 + xQ
xO = A M donc 0 = soit xM = – 2 donc = ou encore 5 + xQ = 1 soit xQ = – 4. De
2 2 2 2
y +y 5 + yM y +y 4 + yQ 1 4 + yQ
yO = A M donc 0 = soit yM = – 5. même, on a : yI = N Q = donc – = ou
2 2 2 2 2 2
Donc M(– 2 ; – 5). encore 4 + yQ = – 1 soit yQ = – 5. Donc Q(– 4 ; – 5). On peut
b) On note N(xN ; yN) le milieu de [BM]. vérifier le résultat dans un repère.
3
b) On applique la même méthode pour MRNP dont les
9– 154 – 34 +w 72 – 12
2 2
AB = 9(xB – xwA)2 + w(yB – wyA)2 =
diagonales [MN] et [RP] se coupent en J(2 ; 3). J étant
x +x y +y = 932 + 32
milieu de [PR], on a xJ = P R et yJ = P R .
2 2 = 312
2 + xP – 3 + yP
Donc 2 = et 3 = , soit xR = 2 et yR = 9. Donc
2 2 a) AC = 9(xC – xwA)2 + w(yC – wyA)2
R(2 ; 9).
= 9((– 7) w– (– 1w))2 + (w(– 1) w– 2)2
2. a) On calcule les coordonnées du milieu K de [RQ].
x +x y +y = 9(– 6)2 w+ (– w3)2
2 + (– 4) 9 + (– 5)
xK = R Q = = – 1 et yK = R Q = = 2. = 315
2 2 2 2
K et M ont les mêmes coordonnées donc M = K et M est b) On utilise la réciproque du théorème de Pythagore :
le milieu de [QR]. BC2 = (xC – xB)2 + (yC – yB)2 = ((– 7) – (– 3))2 + ((– 1) – 6)2 = 65
b) On sait que MNPQ est un parallélogramme donc et AB2 = (xB – xA)2 + (yB – yA)2 = ((– 3) – (– 1))2 + (6 – 2)2 = 20.
(MQ) // (NP). Comme MRNP est aussi un parallélogramme Sachant que AC2 = 45, on a donc BC2 = AC2 + AB2, ce qui
on a (MR) // (NP). Ainsi, les droites (MR) et (MQ) sont assure que le triangle ABC est rectangle en A.
parallèles à la même droite (NP), donc elles sont paral- La figure permet de conjecturer que le triangle
lèles entre elles. Par conséquent les points M, R et Q MNP est peut-être rectangle, et que si c’est le cas, l’angle
sont alignés. droit est en N. On calcule les carrés des longueurs des
Par ailleurs, dans le parallélogramme MNPQ on a trois côtés :
MQ = NP, et dans le parallélogramme MRNP on a MN2 = (xN – xM)2 + (yN – yM)2
MR = NP. = (– 2 – 3)2 + (– 3 – (– 2))2 = 26
Donc MR = MQ. NP2 = (xP – xN)2 + (yP – yN)2
M est ainsi le milieu de [QR]. = (– 4 – (– 2))2 + (3 – (– 3)2 = 40
MP = (xP – xM)2 + (yP – yM)2
2
1. S = (– 4 – 3)2 + (3 – (– 2))2 = 74.
V Alors MP2 ≠ NP2 + MN2. La contraposée du théorème
de Pythagore permet de dire que le triangle MNP n’est
T pas rectangle.
J U
O I a) DA = 9(xA – xDw)2 + (ywA – yD)2
R
= 9((– 5) w– 3)2 w+ (– w2 – (w– 1))2
x +x 4+2 = 465
2. Si T est le milieu de [RS], alors xT = R S = =3
2 2 DB = 9(xB – xwD)2 + w(yB – wyD)2
yR + yS (– 1) + 5
et yT = = = 2. T(3 ; 2) donc T est bien le = 9((– 4) w– 3)2 w+ (3 w– (– 1w))2
2 2
milieu de [RS]. = 465
3. a) On applique le théorème des milieux au triangle DC = 9(xC – xwD)2 + w(yC – wyD)2
RSU : la droite considérée passe par le milieu du côté = 9((– 4) w– 3)2 w+ ((– w5) – (w– 1))2
[RS] du triangle RSU et est parallèle au côté [RU] de ce = 465
même triangle. b) DA = DB = DC, donc les points A, B et C sont sur le
Elle passe donc par le milieu V de son troisième côté, [SU]. cercle de centre D et de rayon 465. On peut aussi déduire
x +x 4+2 que ce cercle est circonscrit au triangle ABC.
b) On calcule alors xV = U S = =3
2 2 EF = 9(xF – xwE)2 + (wyF – ywE)2
yU + yS 1 + 5
et yV = = = 3. = 9((– 2) w– 3)2 w+ (– w3 – (w– 2))2
2 2
= 426
AB = 9(xB – xwA)2 + w(yB –w yA)2 = 9(5 – (–w 3))2 +w (2 – (w– 2))2 FG = 9(xG – xwF)2 + (wyG – ywF)2
= 782 + w42 = 9((– 3) w– (– 2w))2 + (w2 – (–w 3))2
= 415 = 426
AB = 9(xB – xwA)2 + w(yBw – yA)2 = 9((– 9) –w (– 7w))2 + (w6 – 3)2 EG = 9(xG – xwE)2 + (wyG – ywE)2
= 9(– 2)2 w+ 32 = 9((– 3) w– 3)2 w+ (2 w– (– 2w))2
= 413 = 452.
EF = FG, donc le triangle est isocèle en F. EF2 + FG2 = EG2,
AB = 9(xB – xwA)2 + w(yB – wyA)2 = 9(5,6 – w4)2 +w (9 – w3,2)2 donc d’après la réciproque du théorème de Pytha-
= 91,62 + w5,82 gore, le triangle est rectangle en F. EFG est ainsi isocèle
= 636,2 rectangle en F.
4
B On a donc AB2 = AD2 + BD2, le triangle ABD est bien
rectangle en D.
J C
O a) AK2 = (xK – xA)2 + (yK – yA)2
K = (3 – 4)2 + ((– 1 – 3)2
I
A = 17
donc AK = 417.
D BK2 = (xK – xB)2 + (yK – yB)2
a) On conjecture que le triangle est isocèle rectangle = (3 – (– 1))2 + ((– 1) – 0)2
en B. = 17
Pour le justifier, on calcule BA et BC : donc BK = 417.
BA = 9((– 1) w– 1)2 w+ ((– w1) – 3w)2 = 420 b) AK = BK donc le point K est équidistant des points A
BC = 9(5 – 1)w2 + (1w – 3)2 = 420. et B. Il est ainsi sur la médiatrice de [AB].
BA = BC donc le triangle est bien isocèle en B. c) On compare AL et BL, ou plus simplement AL2 et BL2 :
Par ailleurs, BA2 + BC2 = 40
1 2
AL2 = (xL – xA)2 + (yL – yA)2 = – 4 + (3 – 3)2 = 12,25.
et AC2 = (5 – (– 1))2 + (1 – (– 1))2 = 40. 2
2
D’après la réciproque du théorème de Pythagore, le 1
BL2 = (xL – xB)2 + (yL – yB)2 = – (– 1) + (3 – 0)2 = 11,25.
triangle est rectangle en B. 2
x +x –1+5 BL ≠ AL donc L n’est pas sur la médiatrice de [AB].
b) xK = A C = =2
2 2
y +y –1+1 a) A
yK = A C = = 0.
2 2 J
Donc K(2 ; 0). H
c) D étant le symétrique du point B par rapport au O I
point K, on en déduit que K est le milieu de [BD]. C
x +x y +y
xK = B D yK = B D
2 2 B
1 + xD 3 + yD
2= 0= b) Pour démontrer que le triangle est isocèle, on calcule
2 2
1 + xD = 4 3 + yD = 0 AB, AC et BC :
xD = 3 yD = – 3 AB = 0(xB – xA)2 + (wyB – ywA)2 = 0(6 – 4)2 + (–w 4 – w2)2
D(3 ; – 3) = 440
d) Dans le quadrilatère ABCD, les diagonales [AC] et [BD] = 2410
se coupent en leur milieu K. On en déduit que ABCD est AC = 0(xC – xA) + (wyC – ywA) = 0(0 – 4)2 + (– w2 – 2)2
2 2
un parallélogramme. = 432
Par ailleurs, AB = BC. Un parallélogramme qui a deux = 412
côtés consécutifs de même longueur est un losange. BC = 0(xC – xB) + (wyC – ywB) = 0(0 – 6)2 + (– w2 + 4)2
2 2
7 5
+5 =3
2
= (– 6 – (– 7))2 + (2 – (– 5))2 2
125
Or EA = ,
= 50 2 4
et ED = 7 + 5 = 3
= 50 5 2
125 2
Par ailleurs, .
2 4
AH2 + BH2 = (– 3 – (– 7))2 + (– 1 – (– 5))2 + (– 3 – (– 6))2 + (– 1 – 2)2 3. a) Puisque E est le centre du cercle circonscrit au
= 50 triangle ABD et que I est le milieu de [BD], la droite (IE)
Donc AB = AH2 + BH2 ; la réciproque du théorème de
2
est la médiatrice du segment [BD]. Mais comme le
Pythagore permet de conclure que ABH est rectangle
triangle ABD est isocèle en A, cette médiatrice est aussi
en H.
une médiane, donc elle passe par A. Ainsi, (AE) est la
On fait de même avec BHC.
médiatrice du segment [BD].
jAHC = jAHB + jBHC = 90 + 90 = 180° donc jAHC est un
b) Le triangle BIA est donc rectangle en I.
angle plat. Les points A, H et C sont alignés.
c) Puisque le triangle AIB est rectangle en I, le centre de
AC × BH
c) L’aire du triangle ABC se calcule par . son cercle circonscrit est le milieu de son hypoténuse.
2
x +x y +y
Or AC = 0(2 – (– 7)2 + w(4 – (– w5))2 = 82 × 81 = 912
912 × 312
Donc les coordonnées de F sont A B ; A B soit
2 2
et BH = 418 = 312, donc l’aire vaut = 27. 9
2 F ;3 .
2
a) Le triangle semble isocèle en A.
AB = 0(xB – xA)2 + (wyB – yA)2 = 0(2 – (– 1))2 +w (3 – (–w 1))2 a) D
=5
et AC = 0(xC – xA)2 + (wyC – yA)2 = 0(4 – (– 1))2 +w (– 1 – w(– 1))2 K
C
= 5, H
donc ABC est isocèle en A. Par contre,
CB = 0(xB – xC)2 + (wyB – yC)2 = 0(2 – 4)2 + (3 w– (– 1))2 O A B
= 420, • L’aire A1 de ABC se calcule par
donc ABC n’est pas équilatéral. AB × OC 4 × 3 BC × AH
b) Ce périmètre vaut AB + BC + AC = 10 + 215 ≈ 14,47. A1 = = = 6 et A1 = .
2 2 2
c) Si on note I le milieu [BC] alors (AI) est à la fois médiane 315 × AH
Or BC = 962 + 32 = 445 = 315, donc A1 = .
et hauteur du triangle ABC. 2
• L’aire A2 de BCD se calcule par
BC × AI
Donc l’aire de ABC vaut . CD × OB 2 × 6 BC × DK
2 A2 = = = 6 et A2 = ,
x +x x +x
Or I B C ; B C soit I(3 ; 1)
2 2
donc A2 =
2 2
315 × DK
.
2
a) Justifier que le quadrilatère ABCD n’est pas un rectangle. a 2
R2 = CF2 = CG2 + FG2 = + FG2. Comme [EF] et [FC]
b) ABCD est-il un parallélogramme ? 2
a2
Réponses : sont des rayons du cercle, on a : EF2 = + FG2. Par ailleurs,
4
a) AC = 0(xC – xA)2 + (wyC – yA)2 FG = EG – EF = a – EF.
2 2
a a
= 0(6 – 5)2 + (– w3 – 2)2 Donc EF2 = + (a – EF)2 d’où EF2 = + a2 – 2a × EF + EF2,
4 4
= 426
5a2 5a2
BD = 0(xD – xB)2 + (wyD – yB)2 et donc 0 = – 2a × EF soit EF = = R.
4 8
= 0(8 – 3)2 + (– w5 – 4)2 25a2
Donc l’aire du disque est de π × . Le rapport des aires
= 5106. 64
25π
Les diagonales n’ont pas la même longueur donc ABCD vaut donc ≈ 1,23.
64
n’est pas un rectangle.
b) Le milieu de [AC] a pour coordonnées 1. a)
xA + xC 5 + 6 11 yA + yC 2 + (– 3) 1 F
= = et = =– .
2 2 2 2 2 2
xB + xD 3 + 8 11
Celui de [BD] a pour coordonnées = =
2 2 2
yB + yD 4 + (– 5) 1 B
et = =– .
2 2 2
Les deux diagonales ont même milieu donc ABCD est C
bien un parallélogramme.
J
a) Deux constructions sont possibles selon que l’on D
A I K E L H
commence par tracer le carré ou le cercle.
Un programme de construction possible : On prend pour unité un petit carreau en abscisse comme
Tracer un carré ABCD. Placer E le milieu de [AD]. Tracer en ordonnée.
DE × CH
le cercle circonscrit au triangle BCE. b) L’aire A1 du triangle CDE se calcule par , avec
2
D(11 ; 0), E(5,5 ; 0), C(9 ; 2) et H(9 ; 0).
5,5 × 2
Donc A1 = = 5,5.
2
L’aire A2 de AFB peut se calculer par la différence entre
l’aire de AFD et celle de ABD.
AD × FK AD × BL
A2 = – . Or A(0 ; 0), F(3 ; 8), K(3 ; 0), L(7 ; 0),
2 2
11 × 8 11 × 4
B(7 ; 4), donc A2 = – = 44 – 22 = 22. Le
2 2
22
rapport vaut donc = 4.
5,5
2. a) En prenant l’origine en E et 0,5 carreaux pour unité
on a la figure ci-dessous :
F
B
J C
b) On remarque que quelles que soient les dimensions D
du carré, le rapport affiché reste constant. A K E L H
12
11 × 4 22 × 16 22 × 8 c) En prenant pour base les maillages des autres faces,
b) Alors A1 = = 22 et A2 = – = 88.
2 2 2 les coordonnées des points du E sont (0 ; – 1), (0 ; 0),
88 (0 ; 1), (2 ; – 1), (1 ; 0) et (2 ; 1).
Le rapport vaut donc = 4. Le rapport est inchangé.
22
a) Lorsque l’une des flèches haut, bas ou droite est
a) enfoncée, il déplace le cavalier selon le mode défini, et ce
A D B
tant que le cavalier n’a pas encore dépassé la colonne H.
b) Le cavalier, sans sortir de l’échiquier, peut atteindre
C E toutes les cases de la colonne H. On note D, B, H le fait
F de presser les touches droite, bas ou haut.
Alors DDBHB amène en H8, DDDB amène en H7, HBHBHBH
b) Il faut choisir 2 points distincts parmi les 6 pour tracer amène en H6, DHBHBH amène en H5, DDHBH amène
une droite. Par ailleurs, la droite (AB) et la droite (BA) sont en H4, DDDH amène en H3, HBHBHHH amène en H2 et
les mêmes. On peut donc tracer les droites : HHDHBH amène en H1.
(AB), (AC), (AD), (AE), (AF), (BC), (BD), (BE), (BF), (CD), (CE),
a) L’algorithme calcule puis compare les longueurs
(CF), (DE), (DF), (EF), soit 15 droites. AB et AC. Si AB = AC, alors le programme doit afficher
c) Les droites qui semblent parallèles sont les droites que le triangle ABC est isocèle en A, et sinon il affiche
(AD) et (CE) et les droites (CF) et (DE). que le triangle n’est pas isocèle en A et il affiche l’écart
• On cherche les expressions des fonctions affines dont relatif entre les longueurs AB et AC.
les droites (AD) et (CE) sont les droites représentatives : b)
Pour (AD), on pose f (x) = mx + p avec f (xA) = yA et f (xD) = yD
soit encore f (– 2) = 6 et f (2) = 5 d’où – 2m + p = 6 (E1) et
2m + p = 5 (E2). En faisant (E2) – (E1), on trouve 4m = – 1,
1 1
soit m = – . Donc f (x) = – x + p.
4 4
De la même façon, on peut chercher le coefficient
directeur de la fonction affine qui correspond à la droite 1. a) La suite est vérifiée :
(CE). On a g(x) = mx + p avec f (xC) = yC et f (xE) = yE, soit 6 10 16
= 3 ; 3 × 3 + 1 = 10 ; = 5 ; 5 × 3 + 1 = 16 ; = 8;
encore f (– 2,5) = 3 et f (7,5) = 0,5, donc – 2,5m + p = 3 (E1) 2 2 2
et 7,5m + p = 0,5 (E2). En faisant (E2) – (E1), on trouve 8 4 2
= 4 ; = 2 ; = 1.
1 2 2 2
10m = – 2,5, soit m = – . Les fonctions affines ont le b) La suite obtenue à partir de n = 34 est : 34 ; 17 ; 52 ; 26 ;
4
même coefficient directeur donc les droites (AD) et (CE) 13 ; 40 ; 20 ; 10 ; 5 ; 16 ; 8 ; 4 ; 2 ; 1.
sont parallèles. Et à partir de n = 75 : 75 ; 226 ; 113 ; 340 ; 170 ; 85 ; 256 ;
• On fait de même pour les droites (CF) et (DE) : 128 ; 64 ; 32 ; 16 ; 8 ; 4 ; 2 ; 1.
Pour (CF), on pose h(x) = mx + p avec f (xC) = yC et 2. a) et b)
f (xF) = yF, soit encore f (– 2,5) = 3 et f (2) = – 1, donc
– 2,5m + p = 3 (E1) et 2m + p = – 1 (E2). En faisant (E2 – E1),
4
on trouve 4,5m = – 4 soit m = – .
4,5
Pour (DE), on pose k(x) = mx + p avec f (xD) = yD et f (xE) = yE,
soit encore f (2) = 5 et f (7,5) = 0,5, donc 2m + p = 5 (E1)
et 7,5m + p = 0,5 (E2). En faisant (E2) – (E1), on trouve
4,5
5,5m = – 4,5, soit m = – . Les fonctions affines h et k
5,5
n’ont pas le même coefficient directeur, donc les droites
(CF) et (DE) ne sont pas parallèles.
x +x y +y
• Vrai – Faux
b) J N P ; N P
2 2
x +x
a) Faux. La formule est B A . – 5 + (– 2) 1 + (– 1) –7
b) Faux. La formule est :
2 soit 2
;
2
, donc J 2
;0 .
AB = 0(xB – xA)2 + (yB – yA)2. c) Si J est le milieu de [MR], J est aussi le milieu commun
c) Faux. En effet, AB = 12. Entre A et B, il y a une unité des diagonales de MNRP, qui est donc bien un parallé-
d’écart en abscisse et une en ordonnée, donc la longueur logramme.
AB est celle de l’hypoténuse d’un triangle isocèle rec- x +x – 7 2 + xB
xJ = M R , donc = ,
tangle dont le côté principal mesure une unité. 2 2 2
y +y
d) Faux. Il suffit de prendre A(2 ; 3) et B(2 ; – 3) qui ont soit – 7 = 2 + xR donc xR = – 9. Et yJ = M R ,
2
bien des ordonnées opposées (et des abscisses ici égales). 3 + yR
donc 0 = soit yR = – 3.
Les points A, O, B ne sont pas alignés. 2
14
a) On démontre que les diagonale de ABDC ont a) AB = 0(xB – xA)2 + (yB – yA)2
même milieu. = 0(4 – (– 1))2 + (17 – (– 8))2
Le milieu de [AD] a pour coordonnées
= 952 + 252
xA + xD yA + yD – 2 + 4 4 + (– 1)
3
; , soit ; , donc 1 ; . = 5650
2 2 2 2 2
Celui de [BC] a pour coordonnées et AC = 0(xC – xA)2 + (yC w– yA)2
xB + xC yB + yC 3 + (– 1) 3 + 0
3
; soit ; , donc 1 ; . = 0(0,5 – (– 1))2 + w(– 0,5 – w(– 8))2
2 2 2 2 2
Les milieux sont confondus, ABDC est bien un parallé- = 92,25 + w56,25
logramme. = 658,5
b) On calcule les longueurs de deux côtés consécutifs :
BC = 0(xC – xB)2 + (yC w– yB)2
AB = 0(xB – xA)2 + (yB w– yA)2
= 0(0,5 – 4)2 + (– w0,5 – 17)2
= 0(3 – (– 2))2 + (3w – 4)2
= 952 + (– 1)2 = 012,25 + 306,25
= 426 = 8318,5
et BD = 0(xD – xB)2 + (yD w– yB)2 (AC + BC)2 = 58,5 + 318,5 + 2558,5 7318,5
= 0(4 – 3)2 + ((– 1)w – 3)2 = 377 + 2 × 136,5
= 650.
= 912 + (– 4)2
= 417. Donc (AC + BC)2 = AB2.
Les longueurs sont différentes, donc ABDC n’est pas b) Comme AC + BC et AB sont des nombres positifs,
un losange. on a AC + BC = AB, ce qui prouve que les points A, C
et B sont alignés dans cet ordre.
a) A
B a)
A
O N
C
M O
C D
P
b) On calcule OA2 = (xA – xO)2 + (yA – yO)2 = 42 + 32 = 25 B
puis OB2 = (xB – xO)2 + (yB – yO)2 = 1,52 + 22 = 6,25
b) O pourrait être l’orthocentre du triangle MNP. N et O
et AB2 = 0(xB – xA)2 + (yB w– yA)2 = 85,52 + 12 = 731,25.
Alors AB2 = OB2 + OA2 ; la réciproque du théorème de sont équidistants de A et de C, donc (NO) est médiatrice
Pythagore assure que le triangle est rectangle en O. de [AC] ; (NO) est perpendiculaire à (AC). Par ailleurs la
Les droites (AC) et (AO) sont confondues, donc (AC) est droite (MN) passe par les milieux des côtés [AB] et [BC]
perpendiculaire à (OB). du triangle ABC, donc elle est parallèle au troisième
c) Il suffit de déterminer D pour que ABCD soit un paral- côté [AC]. Ainsi (NO) est perpendiculaire à (MP). Comme
lélogramme, car comme ses diagonales seront perpen- (NO) passe par le sommet opposé à [MP] dans MNP, c’est
diculaires, ABCD sera automatiquement un losange. une hauteur de ce triangle.
O étant le milieu de [AC], il faut que D soit le milieu de On fait exactement de même pour prouver que (MO) est
[BD], donc D(1,5 ; – 2). aussi une hauteur de MNP. O, point d’intersection des
hauteurs, est donc bien l’orthocentre de MNP.
On cherche la fonction affine dont la représentation
graphique est la droite (AB) sous la forme f (x) = mx + p, a) O(0 ; 0), I (1 ; 0), J (0 ; 1), A(5 ; 5), B(1 ; 4), C(5 ; 1),
avec f (xA) = yA et f (xB) = yB, soit f (– 2) = – 3 et f (1) = – 1. E(5 ; – 1).
Donc – 2 × m + p = 3 ➊ et m + p = – 1 ➋. En faisant ➋ – ➊, b) On cherche la fonction affine dont la représentation
2 graphique est la droite (AB) sous la forme f (x) = mx + p,
on trouve 3m = 2, m = . Ensuite, m + p = – 1, donc
3
avec f (xC) = yC et f (xB) = yB , soit f (5) = 1 et f (1) = 4.
5 2 5
p = – 1 – m = – . Ainsi f (x) = x – . Donc 5 × m + p = 1 ➊ et m + p = 4 ➋. En faisant ➊ – ➋, on
3 3 3
Pour que C soit sur cette même droite, il faut comparer 3
trouve 4m = – 3, soit m = – et ensuite m + p = 4 donc
5 4
f (xC) et yC ; f (xC) = f (30) = 20 – est différent de yC = 20. 3 19 3 19
3 p = 4 – m = 4 + = . Ainsi f (x) = – x + .
Donc les points A, B et C ne sont pas alignés. 4 4 4 4
15
2 1 Avec le logiciel, on obtient les deux cas de figures,
On compare alors f (xF) et yF ; f (xF) = f (7) = – = – = yF.
4 2 à savoir :
Donc B, C et F sont alignés.
les droites concourantes
c) Les points A, C, E et B, C, F sont alignés dans cet ordre.
CF 2,5 1
On calcule = = , car
CA 5 2
0(7 – 5)2 + (– 0, w5 – 1)2 = 66,25 = 2,5
et CB = 0(1 – 5)2 + (4 – 1)2 = 425 = 5.
CE 2 1
De même, = = .
CA 4 2
Les rapports étant égaux, la réciproque du théorème
de Thalès assure que les droites (AB) et (EF) sont paral-
lèles.
les droites parallèles
6. Exercices d’approfondissement
a) E
C A
2 = 7 – 3 = 4 = y , donc C ∈ d.
7 (les cas où e ou h valent 0 ou 1 correspondent aux cas
b) f (xC) = f C
particuliers où les droites considérées peuvent être
c) E est le symétrique de A par rapport à d si et seulement confondues avec les côtés du parallélogramme).
si la droite d est la médiatrice du segment [AE]. Il faut On peut alors déterminer les fonctions affines représen-
donc déjà que C, point de d, soit équidistant de A et E. tées par les droites :
9 2 – 6 + (4 – 4) = 4– 2 = 2
7 5 5 Pour (AC) : on pose f (x) = mx + p avec f (xA) = yA et f (xC) = yC
2 2
2
Or AC =
soit encore f (0) = 0 et f (1) = 1.
9 72 – 2 + (4 – 6) = 6 32 + (– 2) = 52 .
2 2 D’où p = 1 = m. Donc f (x) = x.
2 2
et EC = Pour (EF) : on pose g(x) = mx + p avec g(0) = e et g(h) = 1,
Donc la médiatrice de [AE] passe par C. soit encore p = e et mh + e = 1.
1–e
Prenons alors G(2 ; 1) qui est un autre point de d (puisque D’où mh = 1 – e, et comme h ≠ 0, on trouve m = .
1–e h
f(2) = 1) et vérifions que AG = EG. Donc g(x) = x + e.
h
AG = 0(2 – 6)2 + (1 w– 4)2 = 0(– 4)2 + (– 3)2 = 5 Pour (HG) : on pose k(x) = mx + p avec k(h) = 0 et k(1) = e.
et EG = 0(2 – 2)2 + (1 w– 6)2 = 7(– 5)2 = 5. Donc mh + p = 0 (E1) et m + p = e (E2).
La médiatrice de [AE] passe donc par C et G, et est (E2) assure que m = e – p. En reportant ceci dans (E1)
confondue à la droite (CG), elle-même confondue avec d. on trouve : (e – p) h + p = 0 donc p(1 – h) + eh = 0 donc
A et E sont donc symétriques par rapport à d. – eh
comme h ≠ 1, p = , soit
On fait de même pour les points B et F : 1–h
9 72 – (– 1) w + (4 – 1) = 7 92 + 3
2 2 – eh
BC = 2 2 m=e–p =e–
1–h
e – eh + eh
=4
117 =
1–h
4 e
= .
et FC = 0 – 4 + 4 – – = 9– + w
7 2 3 1 11 2 2 2 1–h
2 2 2 2 e eh
Donc k(x) = x– .
1–h 1–h
=4
122 Remarquons alors que (EF) // (GH) si et seulement si leurs
.
4 coefficients directeurs sont égaux.
BC ≠ FC, donc la médiatrice de [FB] ne passe pas par C, e 1–e
Or = revient à eh = (1 – e) (1 – h), ou encore
et n’est donc pas confondue à la droite d. B et F ne sont 1–h h
donc pas symétriques par rapport à d. 1 – e – h = 0, soit h = 1 – e.
16
Le coefficient directeur commun est 1, donc les droites b) MV = 0(xV – xM)2 + (wyV – yM)2
(EF) et (GH) sont en plus parallèles à (AC). Il y a une infinité = 0(3 – x)2 + (– w4 – x2)2
de couples (h ; e) qui permettent d’obtenir des droites = 0x4 + 9x2 – 6xw + 25.
parallèles. Soit g : x 哫 0x4 + 9x2 – 6xw + 25
1 2 1
Par exemple : h = = e, ou h = et e = . Le tracé de Cg confirme un minimum de valeur appro-
2 3 3
Si h ≠ 1 – e, on peut démontrer que les trois droites sont chée 0,3.
concourantes. Le menu G-Solv de la calculatrice confirme que le mini-
Notons P le point d’intersection de (EF) et (AC) et montrons mum obtenu est de 4,9, atteint pour x ≈ 0,326.
que P ∈ (GH), c’est-à-dire que k(xP) = yP. 3. a) b)
1–e
On rappelle que f (x) = x et g(x) = x + e.
h
Chercher le point d’intersection des droites (AC) et (EF)
revient à résoudre f (x) = g(x) :
1–e 1–e
x= x + e d’où x – x = e,
h h
h – (1 – e) eh La valeur approchée par excès au millième de x est
ou encore x = e, soit x = . – 0,181.
h h+e–1
eh eh c) Il y a bien un unique endroit de la rivière qui permet
Donc P ; .
h+e–1 h+e–1 de minimiser la distance cherchée.
e eh
Calculons alors k(xP) avec k(x) = x– . 1.
1–h 1–h
eh e eh eh
k = × –
h+e–1 1–h h+e–1 1–h
e2h – eh(h + e – 1)
= Paris
(1 – h) (h + e – 1) A
e2h – eh2 – e2h + eh B
= C
(1 – h) (h + e – 1)
eh – eh2 J
=
(1 – h) (h + e – 1) x
K L O I H
eh (1 – h)
=
(1 – h) (h + e – 1) E
eh
=
(h + e – 1)
= yP.
Donc P est bien sur la droite (FG). 80 km D
Les trois droites sont concourantes.
1. a) et b) A(– 120 ; 240), B(– 320 ; 160), C(240 ; 120), D(240 ; – 400),
E(240 ; – 120).
2. a) OP = 280, car O(0 ; 0) et P(0 ; 280) et l’angle gIOP
mesure 90°.
b) En coordonnées polaires, H(240 ; 0).
c) En coordonnées cartésiennes, O(0 ; 0), H(240 ; 0) et
C(240 ; 120).
Donc OH = 240 et OC = 02402 + 1202 = 972 000.
Le triangle OHC est rectangle en H et si on note a l’angle
OH 240
kCOH alors cos (a) = = ≈ 0,894 donc a ≈ 26,6°.
OC 972 000
Ainsi, C(972 000 ; 26,6) ou encore C(268,3 ; 26,6) en valeur
approchée.
d) Attention, les angles sont tous comptés dans le sens
inverse des aiguilles d’une montre, en partant de la
demi-droite [OI).
OL 120
c) Le point M de Cf qui semble le plus proche de V a pour Dans AOL, on a cos jLOA = = ≈ 0,447,
OA 972 000
coordonnées (0,3 ; 0,09). donc jLOA ≈ 63,4°
2. a) Si M appartient à Cf alors yM = (xM)2. et hIOA ≈ 180 – 63,4 116,6.
17
OH 240 Si on l’utilise dans (E2), on trouve
Dans OHD, on a cos kDOH = = ≈ 0,514, x + 2xI – xM xG + 2xI xM
OD 9217 600 xM = G = – ,
donc kDOH ≈ 59° 2 2 2
3xM xG + 2xI x + 2xI
et hIOD ≈ 360 – 59 301°. donc = , ou encore xM = G .
2 2 3
En résumé : On fait de même pour les ordonnées.
Point A B D E x + 2xI x +x
On sait donc que xM = G , et que xI = E F , donc
3 2
Abscisse – 120 – 320 240 240 x +x +x
xM = G E F . De la même manière on a :
3
Longueur du yG + yE + yF
120 320 240 240 yM = .
côté adjacent 3
Distance à O A I L B
972 000 9128 0w00 9217 6w00 972 000
(valeur exacte)
Distance H P
à O (valeur 268,3 357,8 466,5 268,3
approchée) K
Cosinus
de l’angle 0,447 0,894 0,514 0,894
du triangle
C D
Angle dans
63,4 26,6 59 26,6 Dans le triangle IHB rectangle en H, L est le milieu de
le triangle
l’hypoténuse.
Angle
116,6° 153,4 301 333,4 L est donc le centre du cercle circonscrit au triangle IHB.
sur la carte
On a donc : LI = LH = LB.
Donc A(268,3 ; 116,6), B(357,8 ; 153,4), D(466,5 ; 301) et On en déduit que le triangle LHB est isocèle en L. Les
E(268,3 ; 333,4). deux angles à la base sont égaux : jLHB = jLBH.
3. On procède de la même manière dans le triangle
M rectangle BHC. On montre ainsi que le triangle BHK est
YM
isocèle en K et que jBHK = jHBK. En additionnant les deux
égalités d’angles, on obtient :
jLHB + jBHK = jLBH + jHBK
O XM jLHK = jABK
jLHK = 90°
Ce qui établit que les droites (HL) et (HK) sont perpendi-
culaires.
Dans le triangle OXMM rectangle en XM(xM ; yM), on a : Le triangle semble rectangle isocèle en I.
OX x On peut introduire le repère (A ; B, D) dans lequel on a :
cos (α) = M = M donc xM = r × cos (α)
OM r
1
MXM yM A(0 ; 0) et B(1 ; 0), donc J ; 0 puis D(0 ; 1), C(1 ; 1) et O
et sin (α) = = donc yM = r × sin (α) 2
OM r
1 1
milieu de [AC] a pour coordonnées ; . Enfin, I milieu
2 2
G
1 3
E de [OD] a pour coordonnées ; .
V M I 4 4
M' 1 2 3 2 10
Alors IC2 = (xC – xI)2 + (yC – yI)2 = 1 – + 1– =
U F 4 4 16
O
2 2 2
1 1 2 3 2 10
xE + xF yE + yF et IJ = (xJ – xI) + (yJ – yI) = – + 0– = .
5+3 2+0 2 4 4 16
a) I ; = ; = (4 ; 1)
2 2 2 2 Donc IC2 = IJ2, IJC est bien isocèle en I.
b) Si on note M’ le symétrique de M par rapport à I, alors I
1 2 5
x +x Enfin, CJ2 = (xJ – xC)2 + (yJ – yC)2 = – 1 + (0 – 1)2 = .
est le milieu de [MM’]. Donc xI = M M’ (E1). Par ailleurs, 2 4
2 On a donc CJ2 = IC2 + IJ2. D’après la réciproque du théo-
M est le milieu de [GM’] car on sait que les points G, M, I
rème de Pythagore, le triangle IJC est rectangle en I.
et M’ sont alignés, avec MG = 2MI et M’I = MI.
x +x a) L’élève a négligé le fait que le pont doit être
Donc xM = G M’ (E2). La relation (E1) donne xM’ = 2xI – xM.
2 le plus court possible. Il doit donc être construit per-
18
pendiculairement aux rives et non pas dans l’axe de la
C I
droite (AB). H
J E
B
F
A D
BD 2
Dans le triangle ABD rectangle en D tan hBAD = =
AD 3
IC 2
Dans le triangle CDI rectangle en I tan hIDC = =
ID 3
hBAD et hIDC sont deux angles aigus et tan hBAD = tan hIDC
donc hBAD = hIDC
or hIDA = 90°
b) La construction montre que le pont placé au milieu
ne donne pas le chemin le plus court. hIDC + hCDA = 90° donc hBAD + hCDA = 90°.
La position indiquée sur la figure correspond apparem- hIDC = hBAD
ment au chemin le plus court. Plaçons-nous dans le triangle AFD, nous venons de
c) Dans un repère orthonormé d’origine A on note les montrer que hFAD + hFDA = 90°, nous en déduisons que
coordonnées des différents points de la figure. hAFD = 90° et que par conséquent les droites (AB) et (CD)
On prend par exemple : sont perpendiculaires.
EB
FA = 60, BH = 100 et FG = 250. Dans le triangle ECB rectangle en E, tan hECH = = 2.
EC
A(0 ; 0), F(0 ; 60), H(250 ; 100) et B(250 ; 200). EK
Si on pose S(x ; 60) alors AS = 9602 + x2, ST = 40 et Dans le triangle EAK rectangle en K, tan hEAK = = 2.
AK
TB = 0(250 – x)2 + 1w 002 ; le chemin ASTB a donc pour longueur hECH et hEAK sont tous deux aigus et tan hECH = tan hEAK
totale : AS + ST + TB = 9602 + x2 + 40 + 0(250 – x)2 + 1 w 002, donc hECH = hEAK. De plus hAEK = hCEH comme angles
que l’on note f (x). On trace la courbe représentative opposés par le sommet.
de f pour déterminer l’abscisse de son minimum. Dans le triangle rectangle EAK, on a : hEAK + hAEK = 90°
or hEAK = hECH et hAEK = hCEH donc hECH + hCEH = 90°. Ce
qui nous permet de déduire que hEHC = 90° en se plaçant
dans le triangle CEH.
On en conclut que les droites (AE) et (BC) sont perpen-
En observant la configuration du chemin le plus court diculaires.
donné par le logiciel on peut conjecturer que (AS) et Quand on calcule la longueur d’un segment, la
(TB) sont parallèles. formule fait apparaître des racines carrées. Pour trouver
Pour le démontrer, il faut que AS + ST + TB soit minimum ; un périmètre de 12, il faut faire en sorte que ces racines
comme ST = 40, il faut donc que AS + TB soit le plus petit carrées soient en fait des entiers. On peut par exemple
possible. prendre un triangle rectangle dont les côtés de l’angle
Plaçons le point Q tel que TSAQ soit un parallélogramme, droit sont parallèles aux axes du repère. Les longueurs a
AS = QT. On doit donc avoir QT + TB le plus petit possible. et b des côtés de l’angle droit sont alors nécessairement
Il faut donc que Q, T et B soient alignés. des entiers, puisque les points ont des coordonnées
Donc (TB) // (AS), on en déduit que : entières. L’hypoténuse mesure c = 9a2 + b2 ; il faut
hFSA = hBTH que ce nombre soit entier, donc que (a ; b ; c) soit un
AF BH triplet de Pythagore. Le triplet (3 ; 4 ; 5) convient puisque
=
FS TH 3 + 4 + 5 = 12.
AF BH On peut donc prendre A(2 ; 1), B(6 ; 1) et C(6 ; 4).
=
FS FG – FS
AF × (FG – FS) = BH × FS Si l’on trace le trapèze ABDC, les milieux I et L des
AF × FG côtés [AC] et [BD] sont des points de l’ensemble (E)
FS = cherché. Les milieux J et K des diagonales [AD] et [BC]
BH + AF
En utilisant le repère orthonormé d’origine A. également.
y ×x Une idée est de chercher tous les points de l’ensemble
xS = F B
yB – 40 (E) que l’on peut construire à partir du seul point A du
En utilisant l’application numérique ci-dessus, on obtient segment [AB] et d’un point M mobile sur [CD]. On obtient
x = 93,75. apparemment le segment [IJ] (fig. 1).
19
En faisant de même avec le point B fixe et un point M Démonstration :
mobile sur [CD], on obtient cette fois le segment [KL] (fig. 2). Dans le triangle AMC, la droite (IO) passe par les milieux
On peut remarquer alors que si au lieu de A ou B on des côtés [AC] et [AM]. Donc [IO] est parallèle à [CM] et
prend un point E sur le segment [AB], alors le milieu Q CM
IO = . Comme (CM) // (CD), on a (IO) // (CD). De la même
de [EM], avec M mobile sur [CD], est un point du segment 2
CD CM
[IL] (fig. 3). façon, on démontre que (IJ) // (CD) et IJ = ⭓ , donc
2 2
C C C les points I, O et J sont alignés dans cet ordre.
I I I
Le point O est sur le segment [IJ].
A A A
G On procède de même pour démontrer que P ∈ [KL].
K E K Pour tout point E de [AB], on note G et H les milieux
O Q de [EC] et [ED].
Ce sont des points de [IL].
J J J M Pour le démontrer on utilise la méthode précédente.
B B B H
M P M Toujours avec la même méthode, on démontre alors
L que Q est un point de [GH] donc de [IL].
L
En définitive, le milieu du segment [EM] avec E sur [AB]
Fig. 1 D Fig. 2 D Fig. 3 D et M sur [CD] est un point de [IL].
20
9
Chapitre
Équations de droites
et problèmes
• Énigme 1 Δ La seule droite qui a un coefficient directeur négatif
et qui passe par le point de coordonnées (0 ; 2) est la
droite d2.
T3
La fonction f est affine donc :
B C f(4) – f(1) f(5) – f(4) – 3 – 0 f(5) – (– 3)
A T1 = , d’où = . On obtient
4–1 5–4 3 1
donc f(5) + 3 = – 1
T2 f(5) = – 4.
a) On cherche deux réels a et b tels que f(x) = ax + b.
On trace Δ l’axe de symétrie du croissant puis on place
f(1) = – 1 donc – 1 = a + b et f(4) = 5 d’où 5 = 4a + b.
sur le bord du croissant les points A, B et C tels que A soit
On obtient 5 – (– 1) = (4a + b) – (a + b)
sur Δ et B et C symétriques par rapport à Δ.
6 = 3a
Enfin on trace (T1), (T2), (T3) tangentes respectivement en
d’où a = 2 et b = – 3.
A, B et C au bord du croissant.
La fonction f recherchée est définie par f(x) = 2x – 3.
• Énigme 2 d1
b) On calcule :
• 2xC – 3 = 2 × 2 – 3
=1
d2 = yC donc C appartient à la droite qui représente f.
• 2xD – 3 = 2 × (– 100) – 3
d3 = – 203
≠ yD donc D n’appartient pas à la droite qui
d10 d6
d9 d4 représente f.
d8 d7 d5 L’antécédent de 0 par f est solution de l’équation :
Cette disposition permet d’obtenir dix alignements de f(x) = 0
trois arbres. – 2x + 5 = 0
5
x = donc f
2 冢 冣
5
2
= 0.
O I J
I 3
d3
O
A
La droite d1 passe par les points de coordonnées 1
(0 ; – 2) et (1 ; 2).
La droite d2 passe par les points de coordonnées (0 ; – 4) b) L’équation de la droite d est de la forme : y = 3x + p
et (4 ; – 1). A ∈ d donc yA = 3xA + p
La droite d3 passe par l’origine du repère et par le point – 1 = 3 × 1 + p donc p = – 4
de coordonnées (2 ; – 1). L’équation de d est y = 3x – 4
y –y
d3 d1 • Coefficient directeur de la droite (AB) : m1 = B A
xB – xA
1 – (– 1)
= = 2.
2–1
J
I L’équation de (AB) est de la forme y = 2x + p, or A appar-
O tient à la droite (AB) donc yA = 2xA + p
– 1 = 2 × 1 + p, soit p = – 3
donc (AB) a pour équation y = 2x – 3.
• Équation de la droite (CD) : on constate que xC = xD = – 5 ;
d2 on en déduit que l’équation de la droite (CD) est x = – 5.
y –y
a) Coefficient directeur de la droite (AB) : m1 = B A
La droite d1 passe par l’origine du repère et par le xB – xA
4–5 1
point de coordonnées (4 ; 5). = = .
–2–1 3
La droite d2 passe par les points de coordonnées (0 ; 1) 1
La droite (AB) a une équation de la forme y = x + p.
et (3 ; – 1). 1 3
A appartient à (AB) donc yA = xA + p
La droite d3 est la parallèle à l’axe des abscisses qui joint 3
tous les points d’ordonnée – 1. 1 14
5 = × 1 + p, soit p =
La droite d4 est la parallèle à l’axe des ordonnées qui joint 3 3
1 14
tous les points d’abscisse – 3. La droite (AB) a donc pour équation y = x +
3 3
b) On constate que yB = yC = 4, on en déduit que la droite
d4
(BC) a pour équation y = 4.
d1
d2 c) On constate que xA = xC = 1, on en déduit que la droite
(AC) a pour équation x = 1.
d) La droite (OD) passe par l’origine du repère, son
J
équation est donc de la forme y = mx.
O I y –y 5
d3 m= D O =–
xD – xO 3
5
La droite (OD) a donc pour équation y = – x.
3
3
a) xA ≠ xB donc l’équation de la droite (AB) est de Pour vérifier l’affichage, cherchons l’équation de
la forme y = mx + p. la droite (AB) avec A(2 ; 3) et B(0 ; 2). Elle est de la forme
b) A appartient à (AB) donc yA = mxA + p y = mx + p.
– 1 = 3m + p B appartient à la droite (AB) donc l’ordonnée à l’origine
B appartient à (AB) donc yB = mxB + p est égale à 2 ; p = 2.
9=–m+p y –y 2–3 1
m= B A = =
xB – xA 0 – 2 2
冦
3m + p = – 1 1
Donc (m ; p) est solution du système : L’équation de (AB) est y = x + 2, soit y = 0,5x + 2, ce
–m+p=9 2
c) Ce système est équivalent aux systèmes suivants : qui confirme l’affichage.
冦
–m+p=9 a) et c)
(3m + p) – (– m + p) = – 1 – 9
冦
p=m+9
4m = – 10
p=m+9
冦 m=–
5
2
13
冦
p=
2
5
m=–
2
冢– ;
5 13
2 2 冣 est solution de ce système. b) Coefficient directeur de la droite (AB) :
5 13 y –y –2–7
d) L’équation de la droite (AB) est y = – x + . m= B A = = – 3.
2 2 xB – xA 1 – (– 2)
Coefficient directeur de la droite (MN) : La droite (AB) a une équation de la forme y = – 3x + p.
y –y 20 – 2 3 Le point A appartient à (AB) donc
m= N M = =
xN – xM 7 – (– 5) 2
3 yA = – 3xA + p
L’équation de (MN) est de la forme y = x + p. Le point M 7 = – 3 × (– 2) + p, soit p = 1.
2
3 La droite (AB) a donc pour équation y = – 3x + 1.
appartient à la droite (MN) donc yM = xM + p
2 2 8
3 •y= x – est l’équation d’une droite qui passe
2= ×–5+p 5 5
2 par le point de coordonnées (4 ; 0), donc c’est l’équation
19 de d4.
p=
2 • y = 5 est l’équation d’une droite parallèle à l’axe des
3 19
Donc la droite (MN) a pour équation : y = x + .
2 2 abscisses, c’est donc l’équation de d1.
3
On constate que yM = yN = – 2 ; on en déduit que la • y = x est l’équation d’une droite passant par l’origine
4
droite (MN) a pour équation y = – 2. du repère, c’est donc l’équation de d3.
3 • x = – 2 est l’équation d’une droite parallèle à l’axe des
On constate que xM = xN = ; on en déduit que la
4 ordonnées, c’est donc l’équation de d6.
3
droite (MN) a pour équation x = . 1
4 • y = – x + est l’équation d’une droite qui a un coeffi-
2
Coefficient directeur de la droite (MN) : cient directeur négatif, donc c’est l’équation de d5.
1 7 8
–3– – • y = 2x – est l’équation d’une droite qui a la même
yN – yM 2 2 14 5
m= = = =– ordonnée à l’origine que d4, c’est donc l’équation de d2.
xN – xM 1 17 17
4+
4 4 14 Par lecture graphique, le coefficient directeur de
L’équation de la droite (MN) est de la forme y = – x + p. d est égal à 1 donc m = 1 et l’ordonnée à l’origine p = 1,
17
Le point N appartient à la droite (MN) donc donc l’équation de (d) est y = x + 1.
14 Par lecture graphique, le coefficient directeur de d’ est
yN = – x +p
17 N égal à – 3 et l’ordonnée à l’origine p = 2, donc l’équation
14
–3=– ×4+p de d’ est y = – 3x + 2.
17
5
p= . Par lecture graphique, le coefficient directeur de d,
17
14 5 2 1
Donc la droite (MN) a pour équation y = – x+ . m= = ; donc l’équation de d est de la forme
17 17 4 2
4
1 b) • Calculons le coefficient directeur de (AC) :
y= x + p. De plus le point de coordonnées (3 ; 4) appar-
2 2 1 7
1 5 – – –
tient à d, donc 4 = × 3 + p d’où p = . yC – yA 3 2 6 7
2 2 m1 = = = = .
1 5 xC – xA 1 1 2
Donc d a pour équation y = x + . 0– –
2 2 3 3
Par lecture graphique, le coefficient directeur de d’, • Calculons le coefficient directeur de (BD) :
5 yD – yB 1–0 1 18
m = – , donc l’équation de d’ est de la forme m2 = = = =
2 xD – xB 5 1 7 7
5 –
y = – x + p. De plus le point de coordonnées (1 ; 4) 9 6 18
2 m1 ≠ m2 donc les droites (AC) et (BD) sont sécantes.
5 13
appartient à d’, donc 4 = – × 1 + p d’où p = .
2 2 a) • Calculons le coefficient directeur de la droite
5 13
Donc d’ a pour équation y = – x + . (AB) :
2 2
yB – yA 7–2 5
a) La droite d3 passe par l’origine du repère. m1 = = =
xB – xA 3–1 2
3 × x0 = 3 × 0 = 0 = y0 donc la droite d’équation y = 3x
passe par l’origine du repère. Calculons le coefficient directeur de la droite (CD) :
b) La droite d5 est parallèle à l’axe des abscisses. yD – yC 4 – (– 1) 5
m2 = = =
Toute droite d’équation y = a avec a ∈ ⺢ est une droite xD – xC 5 1 2
–
horizontale donc parallèle à l’axe des abscisses. 2 2
c) La droite d2 est parallèle à l’axe des ordonnées. m1 = m2 donc les droites (AB) et (CD) sont parallèles.
Toute droite d’équation x = a avec a ∈ ⺢ est une droite • Calculons le coefficient directeur de la droite (AC) :
verticale donc parallèle à l’axe des ordonnées. yC – yA –1–2 –3
m1 = = = =6
d) Les droites d3 et d4 sont parallèles. xC – xA 1 1
–1 –
Les deux droites ont le même coefficient directeur : 3. 2 2
Calculons le coefficient directeur de la droite (BD) :
e) Les droites d1, d3 et d5 passent par le point
yD – yB 4–7 –3
冢 7
A – ;2 .
2 冣 m2 =
xD – xB
=
5
–3
=
–
1
=6
1 1
– xA + = – × –
2 4
1
2 冢 冣 7
2
1
+ = 2 = yA donc A ∈ d1
4
2 2
m1 = m2 donc les droites (AC) et (BD) sont parallèles.
yA = 2 donc A ∈ d5. b) Dans le quadrilatère ABDC, les côtes opposés sont
7 parallèles deux à deux, ABDC est donc un parallélo-
xA = – donc A ∈ d3.
2 gramme.
a) m1 = 2 et m2 = 1 ; m1 ≠ m2 donc les droites sont a) Calculons le coefficient directeur de la droite
sécantes. y –y –2–6 –8
3 6 3 (AB) : m1 = B A = = =–2
b) m1 = – et m2 = – = – ; m1 = m2 donc les droites xB – xA 3+1 4
2 4 2 b) La droite (d) est parallèle à (AB), son coefficient direc-
sont parallèles. teur est – 2. L’équation de (d) est de la forme : y = – 2x + p.
4
c) m1 = = 0,8 et m2 = 0,8 ; m1 = m2 donc les droites Le point C appartient à (d). Ses coordonnées vérifient
5
sont parallèles. donc l’équation de (d) :
d) Les deux droites sont verticales donc parallèles. yC = – 2xC + p
e) m1 = 0 et m2 = 2 ; m1 ≠ m2 donc les droites sont 3 = – 2 × (– 5) + p donc p = – 7.
sécantes. L’équation de la droite d est y = – 2x – 7.
f) Les deux droites sont parallèles à l’axe des abscisses, xA + xB – 1 + 3
a) xI = = =1
elles sont donc parallèles. 2 2
y +y 2+7 9
a) • Calculons le coefficient directeur de (AB) : yI = A B = =
1 1 2 2 2
m1 =
yB – yA
=
0–
2
=
–
2
= 3. 冢
Donc I 1 ; .
9
2 冣
xB – xA 1 1 1
– – b) Calculons le coefficient directeur de la droite (BC) :
6 3 6
• Calculons le coefficient directeur de (CD) : y –y –1–7 –8
m1 = C B = = =–4
xC – xB 5–3 2
yD – yC
1– –冢 冣2
3
5
3 La droite d est parallèle à (BC) donc son équation est de
m2 = = = = 3. la forme y = – 4x + p.
xD – xC 5 5
–0 Le point I est sur la droite d donc ses coordonnées véri-
9 9
m1 = m2 donc les droites (AB) et (CD) sont parallèles. fient l’équation de d :
5
yI = – 4xI + p y = 3x + 5
9
= – 4 × 1 + p donc p =
17 a) Le système 冦 y = – 2x est équivalent aux
2 2 systèmes suivants :
17
L’équation de la droite d est y = – 4x + . y = – 2x y = – 2x
2
c) Calculons les coordonnées de J milieu de [AC] :
冦 – 2x = 3x + 5
donc 冦
– 5x = 5
y = – 2x y=2
x +x
xJ = A C =
2
–1+5
2
=2 冦 x=–1
c’est-à-dire
x=–1 冦
y +y 2–1 1 Ce système a pour solution (– 1 ; 2).
yJ = A C = = b) Interprétation graphique : traçons la droite d d’équation
2 2 2
y = – 2x et la droite d’ d’équation y = 3x + 5. Déterminons
冢
Donc J 2 ; . 冣
1
2 graphiquement les coordonnées du point d’intersection
Vérifions que d passe par le point J : de ces deux droites. On constate qu’il a pour coordon-
17 17 nées (– 1 ; 2).
– 4xJ + =–4×2+ d
2 2
17 1
– 4xJ + =
2 2
17
– 4xJ + = yJ 2
2
Les coordonnées de J vérifient l’équation de d donc d J
passe par J.
–1 O I
On retrouve une propriété donnée par le théorème des
d’
milieux : dans un triangle, si une droite est parallèle à un
1
冦
côté et passe par le milieu d’un second côté alors cette y=–
x+3
droite passe par le milieu du troisième côté. a) 2
x=–2
a) d a pour coefficient directeur 2. d’ a pour coef- Ce système a pour solution les coordonnées du point
ficient directeur 4. d’intersection des droites d1 et d2 soit (– 2 ; 4)
Les deux coefficients directeurs sont différents donc les y = 3x – 4
droites d et d’ sont sécantes.
b) L’abscisse du point A, intersection de d et d’, vérifie
b)
冦 1
y=– x+3
2
l’équation : Ce système a pour solution les coordonnées du point
4xA – 10 = 2xA + 4 d’intersection des droites d3 et d1 soit (2 ; 2).
2
冦
2xA = 14 donc xA = 7 y= x+3
yA = 4xA – 10 = 4 × 7 – 10 = 18 donc A(7 ; 18) c) 3
y = 3x – 4
a) Ce système a pour solution les coordonnées du point
d’ d’intersection des droites d4 et d3 soit (3 ; 5).
冦
2
y= x+3
d) 3
1
y=– x+3
2
A Ce système a pour solution les coordonnées du point
d’intersection des droites d4 et d1 soit (0 ; 3).
J
a) I milieu de [AB] donc
O I xA + xB 3 + (– 5)
xI = = =–1
2 2
y +y 4+2
d et yI = A B = =3
2 2
b) Par lecture graphique, A(3 ; 3). Donc I(– 1 ; 3)
c) 2xA – 3 = – 2xA + 9 J milieu de [AC] donc
x +x 3+1
4xA = 12 xJ = A C = =2
2 2
xA = 3 y +y 4 + (– 4)
yA = 2xA – 3 = 2 × 3 – 3 = 3 et yJ = A B = =0
2 2
on retrouve bien A(3 ; 3) Donc J(2 ; 0)
6
b) • Calcul du coefficient directeur de la droite (CI) : b) • A point d’intersection de d1 et d2 :
y –y 3 – (– 4) 7 L’abscisse de A vérifie l’équation :
m= I C = =–
xI – xC –1–1 2 2 3
7 x = x – 10
L’équation de la droite (CI) est de la forme y = – x + p. 3 A 2 A
2
C ∈ (CI) donc : 2 3
7 x – x = – 10
yC = – xC + p 3 A 2 A
2 5
7 1 – xA = – 10
– 4 = – × 1 + p d’où p = – 6
2 2 xA = 12
7 1
donc (CI) a pour équation : y = – x – . Calculons l’ordonnée de A :
2 2
• Calcul du coefficient directeur de la droite (BJ) : 2 2
yA = × xA = × 12 = 8
y –y 0–2 2 3 3
m= J B = =– donc A(12 ; 8)
xJ – xB 2 – (– 5) 7
2
L’équation de la droite (BJ) est de la forme y = – x + p. • B point d’intersection de d1 et d3 :
7 2
B ∈ (BJ) donc : L’abscisse de B vérifie l’équation xB = 2, donc xB = 3
2 3
yB = – xB + p
7 D’autre part B ∈ d3 donc yB = 2, d’où B(3 ; 2).
2 4 • C point d’intersection de d2 et d3 :
2 = – × (– 5) + p d’où p =
7 7 L’abscisse de C vérifie l’équation :
2 4
donc (BJ) a pour équation y = – x + . 3
7 7 x – 10 = 2
c) L’abscisse du point M vérifie l’équation : 2 C
7 1 2 4 3
– xM – = – xM + x = 12
2 2 7 7 2 C
2 7 1 4 donc xC = 8
x – x = + D’autre part C ∈ d3, donc yC = 2, d’où C(8 ; 2).
7 M 2 M 2 7
45 15 a)
– x =
14 M 14
1
xM = –
3
Calcul de l’ordonnée de M :
2
yM = – × –
7 冢 冣 1
3
+ =
4 2
7 3
Les droites (BJ) et (CI) sont deux médianes du triangle
b) G-Solv donne (2,75 ; 2,5)
ABC.
c) Retrouvons ce résultat par le calcul.
Leur intersection M est donc le centre de gravité du
L’abscisse de A vérifie l’équation :
triangle ABC.
2xA – 3 = – 2xA + 8
a) et c) 4xA = 11
11
8 donc xA = = 2,75
A 4
Calculons l’ordonnée de A :
11
yA = 2xA – 3 = 2 × –3
4
5
donc yA = = 2,5
d3 2 B C 2
冢
M ;
1 1
2 2 冣 冢 ;N ;0
1
3 冣 axes gradués en cm on a : A(0 ; 0), B(3,5 ; 3), C(4,5 ; 4).
Soit m1 le coefficient directeur de (AB) :
b) • Calcul du coefficient directeur de (MN) : y –y 3 6
1 1 m1 = B A = =
0– – xB – xA 3,5 7
yN – yM 2 2
m= = = =3 Soit m2 le coefficient directeur de (AC) :
xN – xM 1 1 1
– – y –y 4 8
3 2 6 m2 = C A = =
L’équation de la droite (MN) est de la forme y = 3x + p. xC – xA 4,5 9
m1 ≠ m2 donc les points A, B et C ne sont pas alignés.
Le point N appartient à la droite (MN) donc yN = 3xN + p ;
1 a) Calculons m1 le coefficient directeur de la droite
0 = 3 × + p donc p = – 1.
3 (AB) :
La droite (MN) a pour équation y = 3x – 1.
yB – yA – 4 – 2 3
P appartient à (BC) donc xP = 0 et P appartient à (MN) m1 = = =
xB – xA – 5 – 3 4
donc yP = 3xP – 1 = – 1
Calculons m2 le coefficient directeur de la droite (AC) :
Soit P(0 ; – 1)
y –y 5–2 1
Cherchons les coordonnées du milieu de [BP] : m2 = C A = =–
xC – xA – 3 – 3 2
xB + xP 0 + 0
= =0 m1 ≠ m2 donc les points A, B et C ne sont pas alignés et
2 2
forment un triangle non aplati.
yB + yP 1 – 1
= =0 b) La médiane issue du point C est la droite (CI), I étant
2 2
donc C(0 ; 0) est bien le milieu de [BP]. le milieu de [AB].
2. a) Dans le triangle ABC, puisque M est le milieu de [AB], Déterminons les coordonnées de I :
E est le milieu [AC]. x +x 3 + (– 5)
xI = A B = =–1
Alors d’après le théorème des milieux, (ME) // (BC) et 2 2
BC y +y 2 + (– 4)
ME = . yI = A B = =–1
2 2 2
(ME) // (BC) et les points B, C et P sont alignés, donc les I(– 1 ; – 1)
droites (EM) et (CP) sont parallèles. Calculons le coefficient directeur de la droite (CI) :
b) On peut donc appliquer le théorème de Thalès aux y –y –1–5
NE ME m1 = I C = =–3
triangles NEM et CPN, on obtient alors : = . xI – xC – 1 – (– 3)
NC CP Calculons le coefficient directeur de la droite (CG) :
Or A, N et E sont alignés, donc NE = AN – AE
y –y 0,8 – 5 – 4,2
2 1 m2 = G C = = =–3
NE = AC – AC xG – xC – 1,6 – (– 3) 1,4
3 2
m1 = m2 ; on en déduit que les points C, G et I sont alignés,
1 1
NE = AC et NC = AC donc la médiane du triangle ABC issue du point C passe
6 3
NE 1 ME 1 1 par le point G.
On en déduit que = , donc = , soit ME = CP c) La médiane issue du point B est la droite (BJ), J étant
NC 2 CP 2 2
1 le milieu de [AC].
or au 2. a) on a montré que ME = BC
2 Déterminons les coordonnées de J :
on en déduit que CP = BC et comme C, P et B sont alignés x +x 3 + (– 3)
cela signifie que C est le milieu de [BP]. xJ = A C = =0
2 2
a) • En choisissant un repère orthogonal : y +y 2+5 7
yJ = A C = =
1re méthode : on peut comparer les coefficients directeurs 2 2 2
des droites (AB) et (AC). 冢
J 0;
7
2 冣
2e méthode : on peut comparer AB + BC et AC.
Calculons le coefficient directeur de la droite (BJ) :
• En utilisant la trigonométrie : 7
3e méthode : on peut comparer les angles gIAB et hCAJ. yJ – yB – (– 4) 3
m1 = = 2 =
xJ – xB 0 – (– 5) 2
B C
Calculons le coefficient directeur de la droite (BG) :
y –y 0,8 – (– 4) 4,8 24
m2 = G B = = =
xG – xB – 1,6 – (– 5) 3,4 17
I J
A m1 ≠ m2 donc la médiane du triangle ABC issue du point B
ne passe pas par le point G.
d) La médiane issue de A est la droite (AK), K étant le
milieu de [BC].
11
Déterminons les coordonnées de K : Les droites (BC) et (AD) sont toutes deux parallèles à
x +x (– 5) + (– 3) l’axe des abscisses. Elles sont donc parallèles entre elles.
xK = B C = =–4
2 2
y +y (– 4) + 5 1 1. a) et b)
yK = B C = =
2 2 2 E B C
50
冢
K – 4;
1
2 冣 46 Automobiliste
Calculons le coefficient directeur de la droite (AK) :
1
yK – yA –2 3
m1 = = 2 =
xK – xA –4–3 14 23 Cycliste
Calculons le coefficient directeur de la droite (AG) :
y –y 0,8 – 2 – 1,2 1
m2 = G A = = =
xG – xA – 1,6 – 3 – 4,8 3
m1 ≠ m2 donc la médiane du triangle ABC issue du point A A D F
ne passe pas par le point G. 30 60 90 120 150 180 210
a) c) L’automobiliste et le cycliste se croisent à environ
8 h 45 min. Ils sont alors à environ 46 km de A.
B C Puis l’automobiliste va doubler le cycliste à environ
10 h 17 min. Ils sont alors à 23 km de A.
R
2. L’automobiliste part du point A(0 ; 0) pour aller au
point B(50 ; 50).
L’équation de la droite qui passe par ces deux points
J A D est y = x.
O I Ensuite il va du point B(50 ; 50) au point C(110 ; 50).
L’équation de la droite qui passe par ces deux points
b) Si ABCD est un parallélogramme de centre R alors R
est le milieu de [AC] et de [BD]. est y = 50.
• R est le milieu de [AC] donc Puis il va du point C(110 ; 50) au point D(160 ; 0).
x +x y +y Calculons le coefficient directeur de la droite (CD) :
xR = A C et yR = A C yD – yC 0 – 50
2 2 = =–1
2 + xC 1 + yC xD – xC 160 – 110
4= et 3 = La droite (CD) a pour coefficient directeur – 1, son équa-
2 2
8 = 2 + xC et 6 = 1 + yC tion est de la forme y = – x + p
xC = 6 et yC = 5 yD = – xD + p
C(6 ; 5) 0 = – 160 + p, donc p = 160
• R est le milieu de [BD] donc Donc (CD) a pour équation : y = – x + 160.
x +x y +y Les équations de droite correspondant au trajet de l’au-
xR = B D et yR = B D
2 2 tomobiliste sont, avec x représentant la durée du trajet
3 + xD 5 + yD en minutes et y représentant la distance qui sépare de
4= et 3 =
2 2 A en km :
8 = 3 + xD et 6 = 5 + yD
si 0 ⭐ x ⭐ 50
冦
y=x
xD = 5 et yD = 1
y = 50 si 50 ⭐ x ⭐ 110
D(5 ; 1)
y = – x + 160 si 110 ⭐ x ⭐ 160
c) • Vérifions par le calcul le parallélisme des droites
Le cycliste part du point E(30 ; 50) au point F(230 ; 0).
(AB) et (CD) :
Le coefficient directeur de la droite (AB) : Calculons le coefficient directeur de la droite (EF) :
y –y 5–1 y –y 0 – 50 1
m1 = B A = =4 m= F E = =–
xB – xA 3 – 2 xF – xE 230 – 30 4
1
Le coefficient directeur de la droite (CD) : La droite (EF) a une équation de la forme y = – x + p.
4
y –y 1–5 1
m2 = D C = =4 yF = – xF + p
xD – xC 5 – 6 4
230 115
m1 = m2 donc les droites (AB) et (CD) sont parallèles. 0=– + p, soit p = .
4 2
• Vérifions par le calcul le parallélisme des droites (BC) 1 115
La droite (EF) a une équation de la forme y = – x + .
et (AD) : 4 2
yB = yC = 5, donc la droite (BC) a pour équation y = 5. b) • Recherchons le point d’intersection des droites (EF)
yA = yD = 1, donc la droite (AD) a pour équation y = 1. et (AB) :
12
y=x d) Graphiquement, on trouve que pour un périmètre de
冦 y=– x+
1
4
115
2
7,6 cm, AM doit être égal à 1,2.
Par le calcul, la valeur x recherchée est solution de
L’abscisse du point d’intersection est solution de l’équa- 1
l’équation : – x + 8 = 7,6
1 115 3
tion x = – x + x = 3 × 0,4 = 1,2
4 2
5 115 115 4 a)
x= , donc x = × = 46, et donc y = 46. d3
4 2 2 5
Le croisement a donc lieu à 8 h 46 min à 46 km de A.
d2
• Recherchons le point d’intersection des droites (CD) C
et (EF).
y = – x + 160 A J G
冦
N
1 115 O I
y=– x+ M
4 2
L’abscisse du point d’intersection est solution de l’équa- d1 B
tion :
1 115
– x + 160 = – x + b) • A est le point d’intersection de d1 et de d2, donc
4 2
l’abscisse du point A est solution de l’équation :
3 205 410 2
– x=– , donc x = ≈ 137 xA + 2 = – xA – 1
4 2 3 3
L’automobiliste va doubler le cycliste à environ 10 h 17 min 5 9
à 23 km de A. x = – 3, donc xA = – .
3 A 5
9 1
a) C yA = xA + 2 = – + 2 donc yA = .
5 5
P 冢
A– ;
9 1
5 5 冣
Q
• B est le point d’intersection de d2 et de d3, donc l’abs-
cisse de B est solution de l’équation :
2
A x M 6–x B – xB – 1 = – 4xB + 5
M est un point de [AB] donc 0 ⭐ AM ⭐ AB, soit 0 ⭐ x ⭐ 6. 3
10 9
b) Soit y le périmètre du parallélogramme MPCQ. x = 6, donc xB = .
3 B 5
y = QM + QC + CP + MP, or QM = CP et QC = MP, d’après 9 11
la propriété des côtés opposés d’un parallélogramme. yB = – 4xB + 5 = – 4 × + 5, donc yB = – .
5 5
Donc y = 2(QM + MP)
Déterminons QM en utilisant le théorème de Thalès dans
冢 9 11
B ;–
5 5 冣
AQ AM QM • C est le point d’intersection de d1 et de d, donc l’abscisse
les triangles AQM et ACB : = = ; du point C est solution de l’équation :
AC AB CB
AM QM xC + 2 = – 4xC + 5
on considère = 3
AB CB 5xC = 3, donc xC = .
AM × CB 3 1 5
QM = , donc QM = x = x. 3 13
AB 6 2 yC = xC + 2 = + 2, donc yC = .
Déterminons MP en utilisant le théorème de Thalès dans 5 5
O I 6 donc N ;冢 6 1
5 5 冣
13
• Déterminons les coordonnées de P milieu de [AC] : • Calcul de CG :
9 3 CG = 0(xG – xC)2 + (yG – yC)2
xA + xC – 5 + 5 3
0冢 15 – 35 冣 + 冢 15 – 135冣
xP = = =– 2 2
2 2 5 CG =
1 13
CG = 6
yA + yC + 7 148
yP = = 5 5 =
2 2 5 25
Calcul de CM :
冢
donc P – ;
3 7
5 5 冣 CM = 0(xM – xC)2 + (yM – yC)2
c) Les trois médianes sont concourantes en G. Pour
0冢0 – 35 冣 + 冢– 1 – 135冣
2 2
CM =
déterminer les coordonnées de G, il suffit de calculer
CM = 6
l’équation de deux médianes du triangle ABC. 333
• Équation de la médiane (AN) : 25
CM 9 25 333 3 9 3
1 1 1 CG 148 25 4 2
yA = et yN = , donc (AN) a pour équation y = . Donc = × = =
5 5 5
• Équation de la médiane (CM) : On retrouve ainsi une propriété connue : le centre de
13
–1– gravité se trouve aux deux-tiers de chaque médiane en
yM – yC 5
Coefficient directeur : = =6 partant du sommet.
xM – xC 3
0–
5 a) La longueur du rectangle devient 38 + x et sa lar-
La droite (CM) a une équation de la forme y = 6x + p. geur devient 25 + y. Le périmètre du nouveau rectangle
M(0 ; – 1) appartient à cette droite donc p = – 1. est de 164 mm donc :
Donc (CM) a pour équation : y = 6x – 1. 2 × (38 + x + 25 + y) = 164
• Calcul des coordonnées de G : x + y + 63 = 82
G est le point d’intersection de (CM) et de (AN), donc son y = – x + 19.
1 1 b) Si l’on obtient un carré, la longueur est égale à la
abscisse est solution de l’équation : 6xG – 1 = ; xG = .
1 5 5 largeur, on obtient l’équation : 25 + y = 38 + x
De plus G ∈ (AN), donc yG = .
5 y = x + 13
Donc G ; 冢1 1
5 5 冣 c)
d) • Calcul de BG :
BG = 0(xG – xB)2 + (yG – yB)2
16
0冢1 9 2
冣 冢 1 11
冣
2
BG = – + +
5 5 5 5
BG = 6
208
25
Calcul de BP :
BP = 0(xP – xB)2 + (yP – yB)2
0冢– 35 – 95 冣 + 冢 75 + 115冣
2 2
BP =
BP = 6
468
25
BP 9 25 468 3 9 3
BG 208 25 4 2
Donc = × = =
• Calcul de AG :
J
AG = 0(xG – xA)2 + (yG – yA)2
0冢 15 + 95 冣 + 冢 15 – 15 冣
2 2 O I 3
AG = d) Si on obtient un carré de périmètre 164 mm, a) et b)
AG = 2 sont réalisés, et on a donc
冦
Calcul de AN : y = – x + 19
AN = 0(xN – xA)2 + (yN – yA)2 y = x + 13.
0冢 65 + 95 冣 + 冢 15 – 15 冣
2 2 Le couple solution est le couple de coordonnées du
AN = point d’intersection des droites d’équation y = x + 13
AN = 3 et y = – x + 19.
AG 2 On obtient graphiquement les coordonnées de ce point :
Donc =
AN 3 (3 ; 16), donc x = 3 et y = 16.
14
On retrouve ce résultat par le calcul en résolvant le La solution de ce système est le couple de coordonnées
système : du point d’intersection de la droite d’équation y = – x + 45
y = x + 13 x=3 2
冦 2y = 32
⇔ 冦
y = 16
(représentée en bleu) et de la droite y = –
(représentée en rouge).
5
x + 30
冦
y = – x + 45
elles sont donc parallèles. Ceci est contradictoire avec le
2
y = – x + 30 fait que les médianes d’un triangle sont concourantes.
5
15
Il y a bien eu erreur dans le calcul des équations des d) Si P = Q
médianes. alors A, B et C sont alignés
sinon
a) La fenêtre utilisée ne permet pas d’émettre une
A, B et C ne sont pas alignés
conjecture.
Fin si
b) 20 ≠ (– 18) donc les deux droites sont bien sécantes.
e) Le rôle de cet algorithme est de savoir si trois points
L’abscisse de leur point d’intersection vérifie l’équation
sont alignés.
20x + 15 = – 18x + 50
f) ➀ Cas xA = xB = xC, alors A, B et C sont alignés sur une
35
x = , soit 0 ⭐ x ⭐ 2. droite parallèle à l’axe des ordonnées.
38
35 ➁ On suppose A, B et C distincts et xA ≠ xB ≠ xC.
L’ordonnée de ce point est y = 20 × + 15
38 y –y y –y
635 Dans ce cas, P = Q ⇔ B A = C A .
y= , soit 0 ⭐ y ⭐ 40. xB – xA xC – xA
19
Les droites (AB) et (AC) ont même coefficient directeur
On peut proposer la fenêtre suivante :
donc les points A, B et C sont alignés.
View Window
Xmin : 0 2. • P = (yF – yA) × (xO – xA) =
6
5 冢
– 6 × (– 2) =冣 48
5
Xmax : 2
scale : 1 Q = (yO – yA) × (xF – xA) = (– 6) ×
2
5 冢
–2 =
48
5 冣
Ymin : 0 P = Q donc A, F et O sont alignés.
Ymax : 40
scale : 5
• P = (yF – yD) × (xG – xD) =
6
5冢–0 × 冣 冢
19
5
+3 =
204
25 冣
a) Le programme sert à savoir si un point donné
Q = (yE – yD) × (xF – xD) = 冢12
5
–0 × 冣 冢
2
5
+3 =
204
25 冣
appartient ou n’appartient pas à une droite donnée. P = Q donc D, F et E sont alignés.
b) Casio • P = (yE – yA) × (xC – xA) = 冢12
5 冣
– 6 × (5 – 2) = –
54
5
« Entrer le coefficient directeur » : ? → M
« Entrer l’ordonnée à l’origine » : ? → P Q = (yC – yA) × (xE – xA) = (0 – 6) ×
19
5 冢
–2 =–
54
5 冣
« Entrer l’abscisse du point » : ? → X P = Q donc A, E et C sont alignés.
« Entrer l’ordonnée du point » : ? → Y
a) L’affirmation a) est vraie.
Y – (MX + P) → D x(3x – 2)
If D = 0 y= . Si x ≠ 0 alors y = 3x – 2.
x
Then « Le point appartient à la droite » Donc tous les points de appartiennent à .
Else « Le point n’appartient pas à la droite » b) Faux, car le point de coordonnées (0 ; – 2) est sur d.
Stop 3x2 – 2x
Mais il ne peut pas être sur C car la fonction : x
x
1. a) b) P = (yB – yA) × (xC – xA) n’est pas définie pour x = 0.
8 C
= (– 1 – 5) × (2 – 1) = – 6
Q = (yC – yA) × (xB – xA) 5. Se préparer au contrôle
5 A = (8 – 5) × (– 1 – 1) = – 6 • QCM
1. a) Faux. En effet, si f : x – x + 1, alors f (2) = – 2 + 1
= – 1 et f (2) ≠ – 3.
1
J b) Faux. En effet, si g : x x – 2,
–1 I 2
1
alors g(2) = × 2 – 2 = – 1 et g(2) ≠ – 3.
B –1 2
c) Vrai. En effet, si h : x 15x – 33,
c) C P = (yB – yA) (xC – xA) alors h(2) = 15 × 2 – 33 = – 3.
= (– 1 – 5) (3 – 1) = – 12 2. a) Faux. Erreur possible : on a calculé le quotient de
8
Q = (yC – yA) (xB – xA) yB – yA par xA – xB.
= (9 – 5) (– 1 – 1) = – 8 b) Faux. Erreur possible : on a calculé le quotient de
5 A xB – xA par yB – yA.
c) Vrai. En effet, le coefficient directeur est
y –y 1–4 –3 3
a= B A = = = .
xB – xA – 2 – 6 – 8 8
J
–1 3. a) Faux. En effet, la droite d’équation y = x + 2 passe
I bien par A mais n’a pas le même coefficient directeur
B
que d.
16
b) Faux. En effet, la droite d’équation y = 2x – 8 ne passe b) Vrai. En effet, la droite d a une équation de la forme
pas par A. 5 5
y = – x + p. Or A(4 ; 3) ∈ d, donc 3 = – × 4 + p et
c) Vrai. En effet, la droite d’équation y = 2x passe par A 4 4
et a le même coefficient directeur 2, que d. p = 8. Donc l’ordonnée à l’origine de d est 8.
5
1. a) b) Faux. Il suffit de placer les trois points c) Faux. En effet, l’équation de d est y = – x + 8. Or,
4
dans un repère pour conjecturer que le triangle ABC est pour x = 7,
« aplati » et donc n’est ni rectangle, ni isocèle. 5 3 3
y = – × 7 + 8 = – et – ≠ – 0,7.
c) Vrai. En effet, les droites (AB) et (AC) ont le même 4 4 4
coefficient directeur : • Pour réviser
– 1 – (– 9) 8
• droite (AB) : m = = = 2; a) d4 d1 d2
2 – (– 2) 4
5 – (– 9) 14 A
• droite (AC) : m’ = = = 2.
5 – (– 2) 7
Les droites (AB) et (AC) sont parallèles et ont le point A
en commun, donc elles sont confondues et les points
A, B, C sont alignés.
2. a) Faux. En effet, le point A(– 3 ; 5) n’appartient pas à
la droite d’équation y = 3x – 5. d3
B
b) Vrai. En effet soit on vérifie que le point A appartient
1
à chacune des deux droites, soit on résout le système
O 1
冦
y = 2x + 11
, c’est-à-dire b) Les droites d1 et d4 se croisent en A(3 ; 14).
y=5
c) Les droites d1 et d3 se croisent en B(– 1 ; 2).
冦 y = 5 , soit 冦 y = 5
2x + 11 = 5 x = – 3.
a) Le coefficient directeur de la droite (AB) se
c) Faux. En effet, le point A(– 3 ; 5) n’appartient pas à la 1–4 –3
calcule par = , et celui de la droite (AC) se calcule
droite d’équation y = – 2x + 1. 5–1 4
3. a) Vrai. En effet, le symétrique par rapport à l’axe –3–4 7
par = .
des ordonnées d’un point M(α ; mα + p) est le point –1–1 2
Les coefficients directeurs des droites (AB) et (AC) sont
M’(– α ; mα + p). On vérifie que ce point M’ appartient à
la droite d’équation y = mx + p. différents, donc les points A, B et C ne sont pas alignés
b) c) Faux. En effet, si une droite coupe l’axe des ordon- et forment un triangle.
nées en B(0 ; p), alors sa symétrique par rapport à l’axe b) A d
des ordonnées coupe aussi cet axe en B (et non pas au
point C(0 ; – p)).
• Vrai – Faux B
1
a) Faux. En effet, une droite parallèle à l’axe des
O 1
ordonnées n’a pas une équation de la forme y = mx + p,
I
mais une équation de la forme x = a.
b) Vrai. En effet, la droite d’équation y = 3 est parallèle
C
à l’axe des abscisses et la droite d’équation x = – 3 est
parallèle à l’axe des ordonnées.
c) Faux. En effet, une droite parallèle à l’axe des ordon-
I 冢– 12+ 5 ; – 32+ 1冣, soit I(2 ; – 1).
–1–4
nées n’a pas de coefficient directeur. c) Le coefficient directeur de la droite (AI) = = – 5.
2–1
d) Vrai. En effet, cette droite passe par A(0 ; 3) et B(1 ; – 1),
d) La droite d a une équation de la forme y = – 5x + p, or
–1–3
donc son coefficient directeur est m = = – 4. yB = – 5xB + p, soit 1 = – 5 × 5 + p = – 25 + p.
1–0
e) Faux. En effet, l’ordonnée à l’origine de la droite d Donc p = 26 et d : y = – 5x + 26.
est 3, donc son équation est y = – 4x + 3. Or – 4(– 3) + 3
–2–3 5
= 15 et 15 ≠14. a) m(AB) = = .
–3+1 2
a) Faux. En effet, d passe par les points A(4 ; 3) 5–1 4
m(CD) = =– .
et B(8 ; – 2), donc son coefficient directeur est 1–4 3
3 – (– 2) 5 Les coefficients directeurs des droites (AB) et (CD) sont
m= =– .
4–8 4 différents, donc (AB) et (CD) sont sécantes.
17
5 a)
b) La droite (AB) a une équation de la forme y = x + p,
2
5 d3
or yB = xB + p
2 d2 d4
5
soit – 2 = (– 3) + p
2
11
= p. A
2
5 11
Donc (AB) : y = x + .
2 2 4
La droite (CD) a une équation de la forme y = – x + p, D
3 d1
4 4
or yD = – xD + p soit 5 = – + p. 1
3 3
19 4 19
Donc p = et (CD) : y = – x + . O 1
3 3 3 B
c) L’abscisse du point d’intersection des droites (AB) et
(CD) est solution de l’équation :
C
5 11 4 19
x+ =– x+
2 2 3 3
5 4 19 11 b) Les droites d1 et d4 ont le même coefficient directeur
x+ x= –
2 3 3 2 0,5, donc elles sont parallèles.
23x = 5 De même, d2 et d3 ont pour coefficient directeur 3, donc
5 elles sont parallèles.
x= .
23 Ainsi, ABCD est un parallélogramme.
On calcule maintenant y = 冢 冣5 5
2 23
+
11
2
=
278 6. Exercices d’approfondissement
46
a) AM2 = (x – xA)2 + (y – yA)2
139
= . = (x – 3)2 + (y – 1)2
23
= x2 – 6x + 9 + y2 – 2y + 1
Le point d’intersection des deux droites est
= x2 – 6x + y2 – 2y + 10
E冢 5 139
;
23 23 冣 . BM = (x – xB) + (y – yB)2
2 2
= (x – 2)2 + (y – 2)2
1. a) yA = 310 + 40x = x2 – 4x + 4 + y2 – 4y + 4
yB = 80x. = x2 – 4x + y2 – 4y + 8
b) AM – BM2 = (x2 – 6x + y2 – 2y + 10) – (x2 – 4x + y2 – 4y + 8)
2
= – 2x + 2y + 2.
B b) M est un point de la médiatrice de AB si AM = BM,
avec AM ⭓ 0 et BM ⭓ 0, donc si AM2 = BM2, c’est-à-dire
A
si AM2 – BM2 = 0.
1 000 L’équation de la médiatrice de [AB] est – 2x + 2y + 2 = 0,
soit y = x – 1.
O
c) Vérification graphique :
200 B
O 2 8 A
2. a) On lit sur le graphique que x ≈ 8, c’est-à-dire que
l’ouvrier agricole a ramassé à peu près 8 tonnes de
pommes à l’issue du mois de septembre.
La droite d’équation y = x – 1 est bien la médiatrice de [AB].
b) Pour déterminer la valeur exacte de x0, on résout :
310 + 40x = 80x a) (x + y)2 = x2 + y2. Cette équation est équivalente
310 = 40x aux équations suivantes :
310 (x + y)2 – x2 – y2 = 0
x= = 7,75.
40 x2 + 2xy + y2 – x2 – y2 = 0
On en déduit que x0 = 7,75 (tonnes). 2xy = 0
18
D’après la règle du produit nul : ou bien x = 0 ou bien E n’est pas pour autant une droite. Choisissons le point
y = 0. D(1 ; 0) : xD3 – 1 = 1 – 1 = 0 = yD. Ce point appartient à E.
Donc les points M recherchés appartiennent soit à l’axe Calculons m3 le coefficient directeur de la droite (AE) :
des ordonnées soit à l’axe des abscisses. y –y 0–7
m3 = E A = = 7.
L’ensemble des points solutions est donc la réunion de xE – xA 1 – 2
l’axe des abscisses et de l’axe des ordonnées. m3 ≠ m1 donc D n’est pas aligné avec A, B et C. L’en-
semble E n’est donc pas une droite.
1. a) A(3 ; 2) et B(4 ; – 1) : xA ≠ xB donc (AB) admet
J une équation de la forme y = mx + p
O I A(3 ; 5) et B(3 ; – 1) : xA = xB donc (AB) admet une équation
de la forme x = c.
b) Cet algorithme donne la forme de l’équation de (AB)
b) (x + y)3 = x3 + y3. Cette équation est équivalente aux
en fonction de xA et xB.
équations suivantes :
2. a) Si R = T, alors « la droite (AB) est parallèle à l’axe
(x + y)3 – x3 – y3 = 0 (on utilise le guide de résolution) U–S
3xy(x + y) = 0. des abscisses ». Sinon → M est le coefficient direc-
T–R
D’après la règle du produit nul : ou bien x = 0 ou bien teur de la droite (AB).
y = 0 ou bien x + y = 0. a) En traçant ces droites à l’écran de la calculatrice
L’ensemble des points solutions est donc la réunion de on peut conjecturer qu’elles sont concourantes.
l’axe des abscisses, de l’axe des ordonnées et de la droite b) On recherche le point d’intersection de d1 et de d2 :
d’équation y = – x. (3 + 12)x – 12 – 1 = 1,248x + 0,75
(1,752 + 12)x = 1,75 + 12
1,75 + 12
J x=
1,752 + 12
O I On recherche le point d’intersection de d1 et de d3 :
3 11
(3 + 12)x – 12 – 1 = x +
7 7
c) (x + y)4 = x4 + y4
(x + y)4 – x4 – y4 = 0
冢18
7 冣
+ 12 x =
18
7
+ 12, donc x = 1.
Ce système est équivalent aux systèmes suivants : Donc la droite (BC) a une équation de la forme : y = 5x + p.
B appartient à cette droite donc p = 1
y = 27x
冦27x = 7x + 120
La droite (BC) a pour équation y = 5x + 1.
b) Ω est le point d’intersection de (AD) et (BC). Son abs-
y = 27x
冦
cisse vérifie donc l’équation :
20x = 120 5xΩ + 1 = xΩ + 5
y = 27x 4xΩ = 4
冦x=6 xΩ = 1
x=6 yΩ = xΩ + 5
冦y = 162
yΩ = 1 + 5 = 6, donc Ω(1 ; 6).
3. Équation de la droite (AC) :
b) x = 6 représente la hauteur de la pyramide et celle du xA = xC = – 2 donc la droite (AC) a pour équation x = – 2.
parallélépipède pour laquelle les deux presse-papiers • Équation de la droite (BD) :
ont le même volume, et y = 162 représente la valeur de Calcul du coefficient directeur :
ce volume commun. y –y –3–1 1
m= D B = =
c) Les coordonnées du point d’intersection de d1 et de d2 xD – xB – 8 – 0 2
1
donc (BD) a une équation de la forme y = x + p.
sont bien (6 ; 162). 2
20
B(0 ; 1) appartient à cette droite donc p = 1. On lit graphiquement que leur point d’intersection est
1 le point de coordonnées (2 ; 3).
La droite (BD) a donc pour équation y = x + 1.
2 On vérifie par le calcul :
Ω’ est le point d’intersection de (AC) et (BD). Ses coor-
A est le point d’intersection de Δ et de Δ’, donc son
données sont solutions du système :
abscisse vérifie l’équation :
冦 冦
x=–2 x=–2
xA + 1 = – 2xA + 7
1 1
y= x+1 y= x–2+1=0 3xA = 6
2 2
Ω’(– 2 ; 0) xA = 2
4. a) I milieu de [AB] yA = xA + 1
x +x –2+0 yA = 3
xI = A B = =–1
2 2 Donc A(2 ; 3)
y +y 3+1 c) Pour tout point de l’axe des ordonnées, l’abscisse est
yI = A B = =2
2 2 nulle donc D(0 ; 1) et B(0 ; 7).
K milieu de [CD] d) Recherchons K le milieu de [BD] :
x +x (– 2) + (– 8) x +x
xK = C D = =–5 xK = D B = 0
2 2 2
y +y (– 9) + (– 3) yD + yB
yK = C D = =–6 et yK = =4
2 2 2
K(– 5 ; – 6) K(0 ; 4)
b) On calcule le coefficient directeur de la droite (IK) : Si ABCD est un parallélogramme alors K est aussi le milieu
y –y –6–2
m= K I = = 2. de [AC], donc :
xK – xI – 5 – (– 1)
x +x
La droite (IK) a une équation de la forme y = x + p. xK = A C
2
I appartient à cette droite donc yI = 2xI + p 2 + xC
2 = 2 × – 1 + p, 0=
2
donc p = 4. xC = – 2
La droite (IK) a donc pour équation y = 2x + 4. y +y
c) On applique l’équation de (IK) au point Ω : et yK = A C
2
2xΩ + 4 = 2 × 1 + 4 3 + yC
4=
2xΩ + 4 = 6 2
2xΩ + 4 = yΩ, donc Ω est sur (IK). yC = 8 – 3 = 5
On applique l’équation de (IK) au point Ω’ : C(– 2 ; 5)
2xΩ’ + 4 = 2 × (– 2) + 4 ABCD = 2 × ABD
2xΩ’ + 4 = 0 BD × AH
=2×
2xΩ’ + 4 = yΩ’, donc Ω’ est sur (IK). 2
On en conclut que Ω et Ω’ sont alignés avec I et K. = BD × AH
= 6 × 2 = 12
a) Δ’
1. a) B B’
B
Δ
C
K
J K A’
3H A
O I A
J
D
O I 2 b) La droite (JK) est parallèle à l’axe des abscisses, elle a
pour équation y = 1.
b) La droite Δ a pour coefficient directeur : 1. La droite (AA’) est parallèle à l’axe des ordonnées, elle a
La droite Δ’ a pour coefficient directeur : – 2. pour équation x = 3. Les coordonnées de A’ sont (3 ; 1).
1 ≠ – 2 donc les droites Δ et Δ’ sont sécantes. De même les coordonnées de B’ sont (1 ; 5).
21
c) Équation de la droite (AB’) : 1. et 2. a)
calcul du coefficient directeur :
E A B
y –y 5–0 5
m1 = B’ A = =– .
xB’ – xA 1 – 3 2
5 G
La droite (AB’) a pour équation : y = – x + p
2 H C
5 15 15
yA = – xA + p, donc 0 = – + p, soit p = D
2 2 2
5 15
La droite (AB’) a pour équation : y = – x + .
2 2 F
Équation de la droite (BA’) :
calcul du coefficient directeur :
y –y 1–5 4 b) Les droites (EG) et (FH) semblent parallèles.
m2 = A’ B = =– .
xA’ – xB 3 – 0 3 c) • Équation de la droite (BG)
De plus B(0 ; 5) appartient à cette droite donc p = 5. La Coefficient directeur de (BG) :
4 y –y 2–5 3
droite (BA’) a pour équation : y = – x + 5. m= G B = = .
3 xG – xB 1 – 8 7
3
m1 ≠ m2 donc les droites (AB’) et (A’B) sont sécantes. Soit L La droite (BG) a pour équation : y = x + p.
7
leur point d’intersection. Son abscisse vérifie l’équation : G appartient à cette droite, donc :
5 15 4 3
– xL + = – xL + 5 yG = xG + p.
2 2 3 7
5 4 15 3 11
– xL + xL = 5 – 2 = + p, donc p = .
2 3 2 7 7
3 11
7 5 5 6 15 La droite (BG) a pour équation y = x + .
– xL = – , donc xL = × = . 7 7
6 2 2 7 7 La droite (CD) a pour équation y = 1, donc yH = 1.
5 15 5 15 15 15 3 11 3 11
De plus yL = – xL + =– × + = . H est sur (BG), donc yH = xH + , soit 1 = xH + .
2 2 2 7 2 7 7 7 7 7
Donc L 冢15 15
;
7 7 冣 . 4
冢
donc xH = – , on obtient donc H – ; 1 .
3
4
3冣
d) La droite (OK) a une équation de la forme y = mx : • Équation de la droite (EG)
y –y 1–0
m= K O = = 1. La droite (OK) admet donc y = 2 Calcul du coefficient directeur de (EG) :
xK – xO 1 – 0
yG – yE 2–5 3
pour équation. Comme y = xL, alors L appartient bien à = =– .
xG – xE 1 – (– 6) 7
la droite (OK). La droite (EG) a donc une équation de la forme
2. 3
y = – x + p.
7
G est un point de cette droite, donc :
J K A’ 3
yG = – xG + p
O I 7
3 17
A 2 = – + p, donc p = .
7 7
3 17
L’équation de la droite (EG) est y = – x + .
B B’ 7 7
• Équation de la droite (HF)
Calcul du coefficient directeur de (HF) :
yF – yH –3–1 3
a) A’ est inchangé donc A’(3 ; 1) et B’(1 ; – 2) = =– .
b) Calculons m1 le coefficient directeur de (AB’) :
xF – xH
冢 冣
8– –
4
3
7
Vecteurs
A B
b) D C
A B
E ⌬
E'
G G'
F F'
f) On conjecture que : ARS(– 3 ; 10).
A(6 ; 2), B(– 3 ; – 3), C(4 ; – 2).
40 12
Non, car ≠
100 40
. Exercices de base
4 2 y a) C
D
= =
10 x 3
donc 4x = 20 d’où x = 5
et 10y = 12 d’où y = 1,2. A B
1
b) E ABCD est un parallélogramme donc A E B=D E C, ABEF
C
est un parallélogramme donc A Z B = FA E. Ainsi, D
E C = FA E, ce
qui prouve que CDFE est un parallélogramme.
B D C
J
A
(On remarque que D = E).
a) Par la translation de vecteur ZAB : I
A B
A 哫 B et E 哫 F. I est le symétrique de B par rapport à A donc EAB = oIA ;
b) Par la translation de vecteur AGI : J est le symétrique de D par rapport à C donc EDC = ACJ ;
A 哫 D et E 哫 G. or ABCD est un parallélogramme donc ZAB = EDC, ainsi
c) Par la translation de vecteur RDH : Io A = C
A J ; ce qui prouve que AICJ est un parallélogramme.
A 哫 F et E 哫 I.
Puisque ACE = ABA, on en déduit que ABCE est un
a) A A' = B B' parallélogramme et donc AAE = ZBC.
O O' Or AFB = ZBC, donc ZFB = AAE, ce qui prouve que AEBF est
un parallélogramme.
D C tEAB : A 哫 A’ ABCD est un parallélogramme donc ZAB = EDC ;
B 哫 B’ ABDE est un parallélogramme donc ZAB = ZED ;
O 哫 O’ ACDF est un parallélogramme donc ZDC = AFA.
b) A B Ainsi, ZED = AFA, ce qui prouve que ADEF est un parallé-
O logramme.
A xI = A C xI =
2 2
, .
A' y +y 1
yI = A C yI =
2 2
a) TDD’ est le représentant d’origine D du vecteur TAD. 7 1
b) TA’A est le représentant d’extrémité A du vecteur EBC.
Le point I a pour coordonnées
; .
2 2
a) B
1. a) Faux ; b) Vrai ; c) Faux.
2. a) Faux ; b) Faux ; c) Vrai.
A C
j
a) AFE ; b) oEI ; c) EDB. i
O
a) EKG = END = ALF.
D
b) AOL = EGH = uIJ.
2
b) ZAB(4 ; 2) ; EDC(4 ; 2). Or t0(0 ; 0) et EMA + RMB + RMC = t0,
Donc ZAB = EDC, ce qui prouve que ABCD est un parallé- – 3xM = 0 xM = 0
logramme.
c) On note I le point d’intersection de [AC] et [BD],
donc
5 – 3yM = 0
ainsi
yM =
5.
3
5
xI =
xA + xC
2
y +y
= 0 et yI = A C = 1.
2
Le point M a pour coordonnées 0 ; . 3
Les coordonnées de I sont (0 ; 1). a) iF1(– 2 ; 1) ; iF2(2 ; 3) ; iF3(0 ; – 4).
b) iF1 + iF2(0 ; 4).
a) ZAB(4 ; 1) ; ECD(4 ; 1).
c) iF1 + iF2 = – iF3, donc iF1 + iF2 + iF3 = t0,
Donc ZAB = ECD, ce qui prouve que ABDC est un parallé-
ce qui prouve que le système est en équilibre.
logramme.
b) AB = 942 + 12 = 417 a) EAD = ZAB + ZBC = ZAC (relation de Chasles) donc
AC = 0(– 2 + 1)2 + (5 – 1)2 = 812 + 42 = 417. D = C.
Donc AB = AC, ce qui prouve que ABDC est un losange car b) ZAB + ZAC = ZAE (règle du parallélogramme).
c’est un parallélogramme ayant deux côtés consécutifs c) ZBF = ZBA + ZCA + ZCB = ZCB + ZBA + ZCA = ZCA + ZCA = 2ZCA.
de même longueur.
A
BC = 0(– 2 – 3)2 + (5 – 2)2 = 9(– 5)2 + 32 = 434 C=D
AD = 0(2 + 1)2 + (6 – 1)2 = 932 + 52 = 434. F
Donc BC = AD, ce qui prouve que ABDC est un carré
car c’est un losange dont les diagonales ont même B E
longueur.
Tous ces vecteurs sont égaux au vecteur nul, en
ZAB(– 1 ; – 4) ; ZAC(2 ; 1) effet :
donc ZAB + ZAC(1 ; – 3). a) ZAD + RMB + ZNA = ZAD + RDN + ZNA = ZAA = t0.
xD – 3 = 1 b) ZAB + RMD + RCM = ZAB + ZBN + ZNA = ZAA = t0.
Or RAD(xD – 3 ; yD – 3), donc yD
–3=–3
.
R M+M
c) C R A+MR D+A E N=C R M+M R A+A R M+M R C=C
Z C=0
t .
xD = 4 d) RCM + EDN + EAD = RCM + RMB + ZBC = ZCC = t0.
Ainsi y =0
.
D
a) ZAB = ZAC + ZCB ; b) ZAB = ZAE + ZEB ;
Le point D a pour coordonnées (4 ; 0).
c) ZAB = RAM + RMN + ZNB ; d) ZAB + ZCD + ZBC = ZAD.
a) ZAB(– 1 ; 1) ; EDC(xC – 4 ; yC – 6). ZAB = EDC,
1) a) uJI = ZJO + AOI ; b) RAC = pAI + oIC ;
xC – 4 = – 1 xC = 3
donc yC – 6 = 1
ainsi yC = 7
. c) ZDB = ZDK + ZKB.
2) a) ZAB + ZAD = ZAC ; b) ZAJ + AAI = EAO ;
Le point C a pour coordonnées (3 ; 7).
c) ZBK + ABJ = ZBD.
b) ZAB(– 1 ; 1) ; EAD(6 ; 2) donc ZAB + EAD(5 ; 3) ;
EAC(xC + 2 ; yC – 4). EAC = EAB + EAD, t = ZAC + ZBA + ZCB
u
xC + 2 = 5 xC = 3 tu = ZAC + ZCB + ZBA
donc yC – 4 = 3
ainsi yC = 7
.
tu = ZAB + ZBA
Le point C a pour coordonnées (3 ; 7). tu = ZAA
tu = t0.
a) AEF(4 ; – 2) ; ZEG(5 ; 9)
donc AEF + ZEG(9 ; 7). a) ZBA + ZDA = ZCD + ZDA = ZCA.
b) D’après la règle de parallélogramme, EFHG est un b) ZAD + ZCB = ZAD + ZDA = ZAA = t0.
parallélogramme si et seulement si ZEH = AEF + ZEG. c) ZDC + ZBC = ZAB + ZBC = ZAC.
Or ZEH(xH + 1 ; yH + 2) et AEF + ZEG(9 ; 7),
Z C + ZBD + ZCE + ZDA + ZEB =
A
xH + 1 = 9 xH = 8
donc yH + 2 = 7
ainsi
yH = 5
. ZAC + ZCE + AEB + ZBD + ZDA =
ZAE + AEB + ZBA =
Le point H a pour coordonnées (8 ; 5).
ZAB + ZBA = t0.
E A(2 – xM ; – 1 – yM) ; RMB(3 – xM ; 4 – yM) ;
M
a) tu(4 ; 1) ; b) 2tu(8 ; 2) ; c) – 3tu(– 12 ; – 3) ;
RMC(– 5 – xM ; 2 – yM), donc
1 1
RMA + RMB + RMC(2 – xM + 3 – xM + (– 5 – xM) ; d) u
4
t 1; 4
; e) vt (3 ; – 4) ; f) 5tv(15 ; – 20) ;
(– 1 – yM) + 4 – yM + 2 – yM) 2 8 1 3
EMA + RMB + RMC(– 3xM ; 5 – 3yM). 3
g) tv 2 ; –
3
; h) – vt – ; 1 ; i) 4tu – 3tv(7 ; 16).
4 4
3
a) EBC(1 ; 5) et EAD(xD + 2 ; yD – 5) 2 1
a) RAG = pAI ; b) pGI = AAI ;
xD + 2 = 1 xD = – 1 3 3
donc yD – 5 = 5
ainsi
yD = 10
. c) RGA = – 2 AGI.
Le point D a pour coordonnées (– 1 ; 10). TAM = tu – tv = tu + (– tv).
2 8
b) ZBE(xE – 1 ; yE + 3) et EAC
3 3 ;–2 a) c)
8 11 M
xE – 1 = xE = –v
3 3
donc ainsi . M
yE + 3 = – 2 yE = – 5 v
u –v
11 A
v
Le point E a pour coordonnées ;–5 . A
3 u–v u
c) 2ZFA(2(– 2 – xF) ; 2(5 – yF)) et
3ZFB(3(1 – xF) ; 3(– 3 – yF)) b)
M A
2(– 2 – xF) = 3(1 – xF) – 4 – 2xF = 3 – 3xF
donc
2(5 – yF) = 3(– 3 – yF)
ainsi
10 – 2yF = – 9 – 3yF
.
–v v
xF = 7
d’où
yF = – 19.
u
B
A
C
A B
RAD = ZAB – ZAC = ZAB + ZCA = ZCA + ZAB = ZCB.
N O ZAD = ZCB donc ADBC est un parallélogramme.
b) B
A
D C
C
E A C B F D M
RBM = ZBC – ZCA
= ZBC + ZAC.
a) E
N A PB M
R A + 3RMB = 0
a) M t est successivement équivalent à C
RMA + 3(RMA + ZAB) = t0 ; RMA + 3RMA + 3ZAB = t0 ;
4RMA + 3EAB = t0.
b) 4RMA + 3ZAB = t0 donc 4RMA = 3ZBA A B
3
donc 4RAM = 3ZAB, enfin RAM = EAB. b) F C
4
A M B
1 3 A B
a) λ = – ; λ’ = – .
2 4 c) G
1
b) • EMA = ME B • EBM = – 3 EMA
3
7 4
• ENC = ENA • EAC = ENA.
3 3
1 1 C
a) λ = ; b) λ = 1 ; c) λ = – .
2 2
2 1
a) λ = ; b) λ = – ; c) λ = 3
3 2 A B
4
d) H C Le point A a pour coordonnées (3 ; 6).
b) 3 TMQ(– 3 ; 6) et RMB(xB ; yB + 3),
xB = – 3 xB = – 3
A B donc yB + 3 = 6
ainsi
yB = 3
.
– 3 – 4x = 0 x=– I
4
d’où
3
– 3 – 4y = 0 y=–
4
3 3
Les coordonnées de G sont – ; – .
4 4
b) On note (x’ ; y’) les coordonnées de D.
L’égalité EBD = ABA + EBC se traduit par :
x’ + 1 = 2 + (– 1) x’ = 0 F B
y’ + 2 = 1 + 4
d’où
y’ = 3
.
Les coordonnées de D sont (0 ; 3).
c)
D
a) B J C
C
K
j
G O i
A
B I
On conjecture que les points B, G, D sont alignés. A D
L
Démonstration :
1 1 1 4
Z G ;
B
1 5
4 4 et B
Z D(1 ; 5) donc B
Z D=4BZ G, ces vecteurs sont b) I 0 ;
5
et J
3
; 1 donc yIJ 3 ; 5 .
2 4 1 4
colinéaires donc les points B, G et D sont alignés.
L ; 0 et K 1 ;
3 5
donc ZLK 3 ; 5 .
a) Soit I le milieu de [AB].
c) D’après le b), iIJ = ALK donc IJKL est un parallélo-
xA + xB
xI = xI = 3 gramme.
2
d) • On note M le milieu de [IK] :
y +y
yI = A B yI = – 3 xI + xK 1
2 xM = xM =
2 2
AB = 0(xB – xA)2 + (yB – yA)2 d’où
y +y 1
AB = 982 + (– 10)2 yM = I K yM =
2 2
AB = 6164
1 1
AB = 2441. Le milieu M de [IK] a pour coordonnées 2 ; 2 .
Donc le cercle Ꮿ est de centre I et de rayon 441.
• Le centre N du rectangle est aussi le milieu de [AC].
E ∈ Ꮿ si et seulement si IE = 441.
xA + xC 1
Or IE = 842 + 52 = 441 donc E ∈ Ꮿ. xN = xN =
b) F est le symétrique de E par rapport à I, donc uIF = iEI 2 2
d’où
ce qui se traduit par : y +y 1
yN = A C yN =
xF – 3 = 3 – 7 xF = – 1 2 2
yF + 3 = – 3 – 2
donc
yF = – 8
.
Ainsi M = N, donc le centre du rectangle est aussi le
Les coordonnées de F sont (– 1 ; – 8). milieu de [IK].
8
a) A'' Z C(– 3 ; 10) et B
•B R ’C’(– 3 ; 10), donc B
Z C=B
R ’C’ ce qui prouve
que (BC) // (B’C’).
a)
F
A
K
I
j
B
O
i
A'
A E
C
b) tv = EAB – EAC + EBC – EBA x=y+1 x=y+1 x=
tv = EAB + ECA + EBC + EAB 3
; ;
tv = EAB + EBC + ECA + EAB 2 2
y + 1 + 2y – 3 = 0 y= y=
tv = EAB. 3 3
5 2
c) ow = EAB – EAC + EDC – EDB
ow = EAB + ECA + EDC + EBD
Les coordonnées de M sont
; .
3 3
b)
ow = EDC + ECA + EAB + EBD C A
ow = t0.
EMA + EMC = EMO + EOA + EMO + EOC M
= 2 EMO + EOA + EOC j i
= 2 TMO car O est le milieu de [AC]. O D
EMB + TMD = EMO + EOB + TMO + EOD
= 2 TMO + EOB + EOD
= 2 TMO car O est le milieu de [BD]. B
D’où EMA + EMC = EMB + RMD.
On conjecture que M est le point d’intersection des
a) D F C diagonales.
• On cherche l’équation de la droite (AB) :
O y –y
(AB) : y = ax + b avec a = B A = 1,
xB – xA
d’où yA = 1. xA + b donc b = – 1.
E
A B L’équation de la droite (AB) est y = x – 1.
• On cherche l’équation de la droite (CD) :
b) ABCD est un parallélogramme donc EAB = EDC. y –y 1
1 1 1 (CD) : y = a’x + b’ avec a’ = D C = –
Or EAE = EAB donc EAE = EDC = – ECD = – ACF. xD – xC 2
3 3 3 1 3
D’où EAE = EFC. d’où yC = – xC + b’ donc b’ = .
2 2
c) EAE = EFC donc AECF est un parallélogramme et le 1 3
L’équation de la droite (CD) est y = – x + .
milieu O de [AC] est aussi le milieu de [EF], ce qui prouve 2 2
que E, O, F sont alignés. • On vérifie que M appartient aux deux droites :
5 2
EAB(3 ; 2) ; ECD(– 15 ; – 10) donc ECD = – 5 EAB. Ces xM – 1 = – 1 = = yM donc M ∈ (AB).
3 3
vecteurs sont colinéaires donc les droites (AB) et (CD)
1 3 1 5 3 2
sont parallèles. – xM + = – × + = = yM donc M ∈ (CD).
2 2 2 3 2 3
Ainsi, M est le point d’intersection des diagonales [AB]
et [CD].
Exercices d’approfondissement
Démontrer la colinéarité de vecteurs
Avec un système • Dans le repère (B ; EBA, EBC),
a) On note (x ; y) les coordonnées de M. 1 1 1 1
• RMA(3 – x ; 2 – y) et RMB(– 1 – x ; – 2 – y).
A(1 ; 0) ; C(0 ; 1) ; I ;
2 2
;J ; .
2 4
R A et M
M R B sont colinéaires si et seulement si leurs coordon- • On note (x ; y) les coordonnées de K.
nées sont proportionnelles, ce qui peut se traduire par : 1 1
xRMA × yRMB = xRMB × yRMA c’est-à-dire (3 – x)(– 2 – y) = (– 1 – x)
ABJ ;
2 4 ; ABK(x ; y). ABJ et ABK sont colinéaires
(2 – y) ou encore 2x – 3y + xy – 6 = – 2x + y + xy – 2 d’où 1 1
donc × y = × x d’où x = 2y.
4x – 4y – 4 = 0 enfin x – y – 1 = 0. 2 4
11
AAK(x – 1 ; y) ; EAC(– 1 ; 1). EAK et EAC sont colinéaires donc 5
(x – 1) × 1 = – 1 × y d’où x = 1 – y.
4
x = 2y x = 2y x = 2y
Ainsi donc d’où 1
x=1–y 2y = 1 – y y=
3
2
x=
3
finalement 1.
y=
3
2 1
Les coordonnées de K sont 3 3
; . 16
– –––
5
–2
–1
1 2 4 26
–––
5
1 1 1 1 1
• EAK – ;
3 3
et EAC – ; ,
3 3 3 –2
1
ainsi EAK = EAC. Une propriété des parallélogrammes
3
1
Tracé d’un vecteur dans une fenêtre adaptée
E B, A
1. a) • Dans le repère (A ; A
E D), I ; 1 , donc la droite
2
a) xA = 1, yA = 6 et xB = 2, yB = 4 (AI) a pour équation y = 2x ; de plus, la droite (DB) a pour
• xA < xB donc xmin = 1 et xmax = 2. équation y = – x + 1.
• yB < yA donc ymin = 4 et ymax = 6. Or M appartient à ces deux droites donc ces coordonnées
1 2 vérifient le système :
• dx = et dy = .
5 5 y = 2x y = 2x y = 2x
1 4 1 11 donc d’où 1
• xmin = 1 – = ; xmax = 2 + = . y=–x+1 2x = – x + 1 x=
5 5 5 5 3
2
2 18 2 32 y=
• ymin = 4 – = ;y =6+ = . 3
5 5 max 5 5
finalement 1.
x=
3
1 2
32
–––
5
Les coordonnées de M sont
3 3
; .
6 • On procède de même avec le point N.
1
K ; 0 . La droite (KC) a pour équation y = 2x – 1,
2
4 N appartient à (KC) et à (DB), on résout alors le système :
2
18
––– y=–x+1 x=
5 3
ce qui donne 1
y = 2x – 1 y=
3
2 1
Les coordonnées de N sont ; .
3 3
1 1 1 1
41
––
11
2 ––– • Ainsi, AMI ;
6 3
et AKN ;
6 3
, donc AMI = AKN ce qui
5 5
prouve que MINK est un parallélogramme.
1 1 1 1 1 1
xA = 4, yA = – 1 et xB = – 2, yB = 4 b) DR M ;–
3 3
;M
R N ;–
3 3 Z B ;–
;N
3
3
d’où l’égalité.
• xB < xA donc xmin = – 2 et xmax = 4. 2. • On montre que MINK est un parallélogramme.
• yA < yB donc ymin = – 1 et ymax = 4. On note O le centre du parallélogramme ABCD.
6 La symétrie centrale de centre O transforme :
• dx = et dy = 1.
5 I en K ;
6 16 6 26
• xmin = – 2 – = – ;x =4+ = . A en C ;
5 5 max 5 5
• ymin = – 1 – 1 = – 2 ; ymax = 4 + 1 = 5. D en B ;
b) Les tests calculent le minimum et le maximum des B en D.
abscisses de A et B ainsi que le minimum et le maximum Donc cette symétrie transforme l’intersection des droites
des ordonnées de A et B. (AI) et (DB) (le point M), en l’intersection des droites (KC)
c) La fenêtre n’est pas cadrée sur le vecteur, on l’agrandit et (BD) (le point N).
de dx à droite et à gauche, de dy en haut et en bas. Ainsi, cette symétrie de centre O transforme M en N et
On peut modifier ces valeurs si l’on souhaite changer I en K. Donc [MN] et [IK] ont même milieu (le point O)
de fenêtre. donc MINK est un parallélogramme.
12
• On démontre que RDM = RMN = RNB. Les coordonnées de K sont (5 ; 3).
• Les triangles MID et MAB sont en configuration de b) IK = 0(5 – 6)2 + (3 – 1)2 = 9(– 1)2 + 22 = 15.
MD ID 1 1
Thalès donc = or ID = AB donc MD = MB 5) b) Il semble que C ∈ Ꮿ et que D ∉ Ꮿ.
MB AB 2 2
1 c) KC = 0(3 – 5)2 + (4 – 3)2 = 9(– 2)2 + 12 = 15 donc C ∈ Ꮿ.
d’où RDM = RDB.
3
• Les triangles NKB et NCD sont en configuration de
NB KB 1 1
KD = 0194 – 5 + 34 – 3 = 0 –41 + –49 = 4822 ≠ 15
2 2 2 2
Les coordonnées de I sont (6 ; 1). colinéaires donc les points F, I et E sont alignés, ce qui
3. a) AJA(– 6 – xJ ; – 5 – yJ) et AJC(3 – xJ ; 4 – yJ) prouve que (FE) passe par I.
donc AJA – 10 AJC(– 36 + 9xJ ; – 45 + 9yJ). La roue de loterie
Donc, de AJA – 10 AJC = t0, on déduit que
ZGA + ZGB + ZGC + ZGD + ZGE = t0 est successivement équi-
– 36 + 9xJ = 0 xJ = 4
– 45 + 9yJ = 0
d’où yJ = 5
. valent à :
Les coordonnées de J sont (4 ; 5). ZGA + ZGA + ZAB + ZGA + ZAC + ZGA + ZAD + ZGA + ZAE = t0 ;
x +x
4. a) xK = I J xK = 5 5 ZGA + ZAB + ZAC + ZAD + ZAE = t0
2 1
d’où ZAG = (ZAB + ZAC + ZAD + ZAE).
y +y 5
yK = I J yK = 3
2 Voir la figure ci-dessous.
u3
E D u2
G
C u1
A B
13
1
Centre de gravité xM =
Le centre de gravité G vérifie ZGA + ZGB + ZGC = t0, ce qui 2
d’où 3.
se traduit en terme de coordonnées par yM =
(– 3 – xG) + (6 – xG) + (3 – xG) = 0 2
(2 – yG) + (5 – yG) + (– 1 – yG) = 0
donc
Les coordonnées de M sont
1 3
2 ; 2 .
6 – 3xG = 0 xG = 2
6 – 3yG = 0
d’où yG = 2
. • Le point P est le milieu de [MN]
x +x
Les coordonnées de G sont (2 ; 2). xP = M N
2
donc
Alignement dans un trapèze yM + yN
yP =
1 2
On note E le point tel que ZAE = ZAB. 3
Dans le repère (A ; ZAE, ZAD),
3 xP =
d’où 4
3 1 yP = 1
I ; 0 ; B(3 ; 0) ; D(0 ; 1) ; C(1 ; 1) ; K ; 1 . 3
2 2
Les coordonnées de P sont ;1 .
• Les points D, M, B sont alignés donc les vecteurs RDM 4
et ZDB sont colinéaires. Or TDM(xM ; yM – 1) et ZDB(3 ; – 1), 3 3
leurs coordonnées sont proportionnelles donc 3(yM – 1)
•A
Z P ; 0 et B
4
E C(1 ; 0) donc A
Z P= B
4
Z C, ces vecteurs sont
= – 1 × xM d’où xM + 3yM – 3 = 0. colinéaires donc les droites (AP) et (BC) sont parallèles.
• Les points A, M, C sont alignés donc les vecteurs
TAM et ZAC sont colinéaires. Or RAM(xM ; yM) et ZAC(1 ; 1),
leurs coordonnées sont proportionnelles donc 1 × xM Des défis
= 1 × yM d’où xM – yM = 0.
Un pavage
• Ainsi, les coordonnées de M vérifient
xM + 3yM – 3 = 0 4yM – 3 = 0 On peut paver le plan à partir
xM – yM = 0
donc
xM = yM
.
u
du dessin de base (hachuré),
3 3 en utilisant, par exemple la
yM = yM =
4 4 symétrie d’axe Δ et la trans-
d’où finalement 3. lation de vecteur tu.
xM = yM xM =
4
3 3
Les coordonnées de M sont
4 4
; .
• Le point N est situé sur l’axe (AD), donc xN = 0.
• Les points B, C, N sont alignés donc les vecteurs ZBC et
ZBN sont colinéaires. Or ZBC(– 2 ; 1) et ZBN(– 3 ; yN), leurs
coordonnées sont proportionnelles donc – 2 yN = – 3 × 1, Les éléments effacés
3 • D’après le théorème des milieux, dans les triangles AIL
donc yN = . 1 1
2 et ABD, iIL = BD ; on montre de même que iIJ = ZAC,
3
Les coordonnées du point N sont 0 ; . 2 1
2
1
2
1 1 3 3 3 AJK = ZBD, pKL = ZCA.
• ZN K ; –
2 2
et RNM ; –
4 4 donc RNM =
2
ZNK, 2 2
• Placer un point, par exemple A, à l’extérieur du parallé-
ces vecteurs sont colinéaires donc les points N, K et M logramme « à gauche » de (IL) ; cela détermine l’empla-
sont alignés. cement des points B, C et D.
1 1 3 3
•N
Z K ;–
2
2
et N
o I ;–
2 2
donc N o I=3N Z K, ces vecteurs I
B
J
C
sont colinéaires donc les points N, K et I sont alignés. A
Parallélisme
1
1 1 1
• Dans le repère (B ; ZBC, ZBA), B(0 ; 0), C(1 ; 0), N 1 ;
2
;
I 0;
2
; A(0 ; 1) ; J ; .
2 2 L K
Puisque ABJM est un parallélogramme RAM = oBJ
1
xM =
2
donc 1 D
yM – 1 =
2 Le quadrilatère ABCD n’est pas unique.
14
11
Chapitre
Statistique descriptive.
Analyse de données
55 + 56
• Énigme 1 Me =
2
= 55,5.
On note x le prix au kg du produit. Ainsi, au moins 50 % des résultats des élèves sont infé-
• 15 % de remise en caisse : le prix au kg devient rieurs ou égaux à 55,5 et au moins 50 % sont supérieurs
15 ou égaux à 55,5.
x– × x = 0,85x.
100
• + 15 % de produit gratuit : le prix au kg devient Les valeurs sont rangées par ordre croissant.
1
x x L’effectif total est 100. × 100 = 25. Le premier quartile
= ≈ 0,87x. 4
1 + 0,15 1,15 q1 correspond à la 25e valeur.
La promotion la plus avantageuse est la remise en caisse. q1 = 5.
• Énigme 2 Ainsi, au moins un quart de ces anacondas mesure 5 m
ou moins.
On note d le nombre de dessinateurs et j le nombre de
journalistes :
30d + 48j
d+j
= 35 2. Activités d’approche
30d + 48j = 35(d + j) ; • Activité 1
30d + 48j = 35d + 35j ; a) Voir fichiers complémentaires sur le site compagnon.
13j = 5d b) Thonier 1 : B7 = MOYENNE(A2:E5)
13 d Moyenne : 39,65
= .
5 j Thonier 2 : H7 = MOYENNE(G2:K5)
Le rapport entre le nombre de dessinateurs et celui Moyenne : 39,65
13
de journalistes est de , soit 13 dessinateurs pour c) Cela ne suffit pas car les deux thoniers ont une
5
5 journalistes. moyenne de pêche supérieure à la masse minimale
autorisée.
d) Thonier 1 : B8 = QUARTILE(A2:E5;1)
1. Vérifier les acquis Premier quartile : 27,75
162 Thonier 2 : H8 = QUARTILE(G2:K5;1)
a) f1 = = 0,648 Premier quartile : 36,5
250
88 Puisqu’au moins un quart des valeurs d’une série sta-
b) P2 = f2 × 100 = × 100 = 35,2
250 tistique sont inférieures ou égales au premier quartile,
a) 4 élèves ont reçu exactement 4 spams les autorités de pêche savent qu’au moins un quart
aujourd’hui. des thons pêchés par le thonier 1 ont une masse très
b) 3 + 0 + 1 + 4 + 4 + 2 + 1 + 5 + 3 + 1 + 1 = 25 inférieure à la masse minimale autorisée. Ce thonier
La classe compte 25 élèves. sera sanctionné.
• Activité 2
Nombre a) B4 = SOMMEPROD(B2:M2*B3:M3)/SOMME(B3:M3)
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
de spams
b)
Effectif 3 0 1 4 4 2 1 5 3 1 1
3 × 0 + 0 × 1 + 1 × 2 + … + 1 × 10
wx = ≈ 4,64.
25
Ainsi, en moyenne, un élève de cette classe a reçu environ
5 spams aujourd’hui.
a) e = 83 – 18 = 65.
b) Les valeurs sont rangées par ordre croissant.
L’effectif total est 14 donc la médiane est la demi-somme
des valeurs de rang 7 et de rang 8.
1
c) La population moyenne exacte des régions est environ a) et b) En Cellule E5, saisir la formule
2 459 115 habitants.
=SOMME(D$5:D5)/100 afin d’obtenir le tableau ci-
dessous.
3. Exercices de base
a) 471 236 élèves sont concernés par cette étude.
260 233
b) Pourcentage de filles : × 100 ≈ 55,22.
471 236
Pourcentage de garçons : 44,78 environ.
c) En séries technologiques :
82 619
Fréquence des filles : f = ≈ 0,514.
160 714
Fréquence des garçons : g = 1 – 0,514 ≈ 0,486.
Donc f > g.
d) c) Fréquences cumulées croissantes
Filles Garçons 1
Littéraire 0,80 0,20
Sc. Éco. et Sociales 0,63 0,37
Scientifique 0,46 0,54
0,5
a)
0,1 Âge
40
0 15 25 35 45 55 65 75 85
« 50 % de la population a un âge inférieur à 40 ans ».
a)
Masse (en g) [79 ; 82[ [82 ; 85[ [85 ; 88[ [88 ; 91[
Fréquence 0,27 0,36 0,3 0,07
b)
FCD 1 0,73 0,37 0,07
Nombre
8 10 12 14 16 18 20 22 24 b) Fréquences cumulées décroissantes
de papillons
Effectifs cumulés 1
croissants 5 13 23 39 43 43 43 49 61
0,75
(en jours) 0,6
c) Il y a eu 23 jours avec 12 papillons au moins dans le 0,4
pré, donc 61 – 23 = 38 jours avec plus de 12 papillons 0,2 poids
(en kg)
dans le pré.
79 82 85 88 91
a) Taille supérieure à 180 190 200 210 220
c) « 75 % des expressos contiennent plus de 81,5 g de café ».
ECD 125 123 102 67 7
b) E.C.D. Effectif 71
120 70
100 60
80 50 42
60 40
50
40 30 24
20 20
Taille 12
10
180 190 200 210 220 230
c) « Les 50 plus grands basketteurs de NBA mesurent 0 30 60 90 120
plus de 2,14 m environ ». Dépenses (en euros)
2
a) Histogramme 57,9 + … + 4 505
b) Distance moyenne : = 1 265,237 5.
8
Fréquence (en %) La distance moyenne entre le Soleil et ses planètes est
de 1 265 237 500 km.
30
La distance médiane est inférieure à la distance moyenne
entre le Soleil et ses planètes.
20
a) • Les valeurs sont rangées par ordre croissant.
Le magasin compte 43 ordinateurs. N = 43 est impair,
10
soit 43 = 21 + 1 + 21, donc la médiane est la 22e valeur.
Me = 250.
16 17 18 19 20 21 22 • 2 + 9 = 11
Tranche horaire (en h) 11
× 100 ≈ 25,6
43
b) Diagramme circulaire 25,6 % des ordinateurs ont une capacité strictement
inférieure à Me.
Tranche Fréquence Nombre 20-21 h 21-22 h
horaire (en %) de degrés 43
b) • = 10,75, donc Q1 est le 11e ordinateur.
16-17 h 17,2 62
4
17-18 h 31,3 113 16-17 h Q1 = 160.
18-19 h 25 90 3
19-20 h × 43 = 32,25, donc Q3 est le 33e ordinateur.
19-20 h 14 50 4
20-21 h 7 25 17-18 h Q3 = 500.
18-19 h
21-22 h 5,5 20 • [Q1 ; Q3] = [160 ; 500]. D’après le tableau, 9 + 11 + 7 + 5 = 34
34
360 ordinateurs sont situés dans cet intervalle. × 100 ≈ 79.
—— 43
100 Donc environ 79 % des ordinateurs sont situés entre
267 × 0 + 3 402 × 1 + 19 203 × 2 + 20 471 × 3 + 1 657 × 4 Q1 et Q3.
a) xx =
267 + 3 402 + 19 203 + 20 471 + 1 657 a) 69 % des familles se connectent 4 h par jour ou
xx ≈ 2,44. moins ; 83 % des familles se connectent 5 h par jour ou
Le nombre moyen de véhicules par foyer est environ 2,44. moins.
b) 267 + 3 402 + 19 203 + 20 471 = 43 343. Or 83 – 69 = 14, donc 14 % des familles se connectent
43 343 foyers possèdent 3 véhicules ou moins. entre 4 et 5 h par jour.
b) Par lecture graphique : Me ≈ 3,2 h ; Q1 ≈ 2,1 h ; Q3 ≈ 4,5 h ;
donc Me ≈ 3 h 12 min ; Q1 ≈ 2 h 6 min ; Q3 ≈ 4 h 30 min.
a)
Nombre de matchs
15
Joueur 1
14
Joueur 2
12
10
8
6
4
2 Distance
(en km)
8 8,5 9 9,5 10 10,5 11
a) On range les données par ordre croissant : b) • Joueur 1 :
57,9 ; 108,2 ; 149,6 ; 227,9 ; 778,3 ; 1 427 ; 2 868 ; 4 505. 8 × 8 + … + 8 × 10,5
Moyenne : xx = ≈ 9,2
Il y a 8 données, la médiane est donc la demi-somme de 38
1
la 4e et de la 5e valeur. Premier quartile : × 38 = 9,5 ; Q1 est donc égal à la
4
227,9 + 778,3 10e valeur ; Q1 = 8,5.
Me = = 503,1.
2 3
La distance médiane entre le Soleil et ses planètes est Troisième quartile : × 38 = 28,5 ; Q3 est donc égal à la
4
de 503 100 000 km. 29e valeur ; Q3 = 10.
3
Écart interquartile : 1,5. 2. a) xS ≈ 1 968 ; Me = 1 700 ; Q1 = 1 300 ; Q3 = 2 500.
• Joueur 2 : Écart interquartile : 1 200 ; e = 2 800.
0 × 8 + … + 1 × 10,5
Moyenne : xx ’ = = 9,2. b) xS = 2 009 ; Me = 1 700 ; Q1 = 1 500 ; Q3 = 2 500.
38
1 Écart-interquartile : 1 000 ; e = 3 600.
Premier quartile : × 38 = 9,5 ; Q’1 est donc égal à la c) À partir de la série initiale, choisir 19 salaires inférieurs
4
10e valeur ; Q’1 = 9. à 1 700 et les répartir en 19 salaires supérieurs à 1 700.
3
Troisième quartile : × 38 = 28,5 ; Q’3 est donc égal à la M1 × x1 + … + Mp × xp
4
29e valeur ; Q’3 = 9,5. 1. a) xx =
M1 + … + Mp
Écart interquartile : 0,5. M
c) En moyenne, ils parcourent le même nombre de b) Pour tout i allant de 1 à P : fi = i où N = M1 + … + Mp.
N
kilomètres par match, mais le joueur 2 est plus régulier M1 × x1 + … + Mp × xp
que le joueur 1 car son écart interquartile est plus faible. On part de la formule xx =
N
M ×x M × x
xx = 1 1 + … + p p
N N
4. Exercices d’entraînement M M
xx = 1 × x1 + … + p × xp
N N
1. a) et b) et 2. a) et b) xx = f1 × x1 + … + fp × xp.
2. On utilise la deuxième formule en transformant les
pourcentages en fréquences.
xx = 0,45 × 0,98 + 0,22 × 0,99 + 0,27 × 1 + 0,06 × 1,01
xx = 0,989 4.
1. c) L’écart interquartile est très faible, ce qui montre a) Puisque xx = 7,5, la valeur oubliée est supérieure
une grande régularité dans les temps de course. à 6.
2. c) Pour 8 des 10 dernières années, le temps de course 6×7+x
appartenait à I. On peut donc prévoir un temps de course b) = 7,5 donc 42 + x = 60 ; x = 18.
8
situé entre 2 h 04 min 52 s et 2 h 08 min 52 s, avec un
risque d’erreur. M1 × x1 + M2 × x2 + M3 × x3
1. a) xx =
M1 + M2 + M3
12 × 900 + … + 1 × 4 500
1. a) xS = ≈ 1 986. M × y + M2 × y2 + M3 × y3
139 b) yx = 1 1
b) M1 + M2 + M3
Salaire 900 1 100 1 300 1 500 1 700 1 900 2 100 M × ax1 + M2 × ax2 + M3 × ax3
yx = 1
M1 + M2 + M3
E.C.C. 12 22 42 60 72 85 90
M × x + M2 × x2 + M3 × x3
yx = a 1 1
Salaire 2 300 2 500 2 700 2 900 3 100 3 300 3 500 M1 + M2 + M3
E.C.C. 93 105 110 117 127 127 133 yx = axx .
4 × 4 + 8 × 5,5 + 3 × 7,5
2. a) xx = = 5,5.
Salaire 3 700 3 900 4 100 4 300 4 500 4+8+3
Le prix moyen de ces entrées est 5,5 €.
E.C.C. 138 138 138 138 139
b) On note x l’ancien prix et y le nouveau.
• Les valeurs sont rangées par ordre croissant et il y en 10
y=x+ × x = 1,1x
a 139 = 69 + 1 + 69. 100
La médiane est la 70e valeur : Me = 1 700. En appliquant la formule du 1. b) avec a = 1,1, on obtient
1 yx = 1,1 × 5,5 = 6,05.
• × 139 = 34,75.
4 Le prix moyen de ces entrées est maintenant de 6,05 €.
Le premier quartile est la 35e valeur : Q1 = 1 300.
3 a) ORANGES : xx = 91,775
• × 139 = 104,25. CAFÉ VERT : xx ’ = 165,414
4
Le troisième quartile est la 105e valeur : Q3 = 2 500. b) Il faut au préalable ranger les valeurs par ordre crois-
c) Étendue des salaires : e = 4 500 – 900 = 3 600. sant :
d) Point de vue du directeur : « Médiane – Écart inter- ORANGES : 78,6 ; 85,8 ; 87,6 ; 87,9 ; 88,7 ; 89,6 ; 90,4 ; 92,6 ;
quartile ». 95,8 ; 100 ; 102,3 ; 102,4.
Point de vue d’observateur impartial : « Moyenne – CAFÉ VERT : 150,76 ; 151,6 ; 155,51 ; 162,21 ; 163,53 ;
Étendue ». 164,58 ; 165,37 ; 167,75 ; 169,43 ; 171,17 ; 179,75 ; 183,31.
4
1
Il y a 12 valeurs ; × 12 = 3. Donc, pour les deux séries,
4
le premier quartile est la 3e valeur.
ORANGES : Q1 = 87,6 CAFÉ VERT : Q’1 = 155,51
3
× 12 = 9. Donc, pour les deux séries, le troisième
4
quartile est la 9e valeur.
ORANGES : Q1 = 95,8 CAFÉ VERT : Q3 = 169,43.
c) Écart interquartile : ORANGES : 8,2 et CAFÉ VERT : 13,92. Alors que les données semblent différentes, les gra-
Les prix des oranges sont plus stables. phiques sont assez similaires. Cela signifie que la répar-
On a demandé à Virginie de calculer la moyenne tition des catégories de blessés a peu changé, si ce
n’est pour les « conducteurs et passagers de cycles avec
des naissances par jour, entre le 1er et le 7 août 2009,
moteur » pour lesquels la proportion s’est accrue en 2007
dans cette clinique.
par rapport à 1985.
Elle a considéré les jours comme des effectifs.
En réalité, durant cette semaine, en moyenne, a) Les valeurs sont très regroupées autour de 9, ce
20,7 enfants sont nés par jour. qui explique la valeur médiane ; la valeur minimale est
proche de 9 tandis que la valeur maximale est éloignée
Ce graphique ne peut pas correspondre à l’écran de 9, ce qui explique que xx > Me.
de la calculatrice parce que, sur le graphique, le troisième b) La médiane est comprise entre 18 et 19 ; la moyenne
quartile vaut 5. est égale à 16,6, donc xx < Me.
Le premier patient parle du médecin 1 ; et le 6 × 8,5 + 16 × 9,5 + … + 8 × 18,5
c) • xx = ≈ 12,9
100
deuxième patient du médecin 2.
• Il y a 100 valeurs (puisque les données sont en pour-
On peut reproduire le tableau comme ci-dessous. centage) rangées par ordre croissant.
Entre 1999 et 2009 : La classe médiane est située entre la 50e classe et la
51e classe.
Vitesse des
[63 ; 89[ [89 ; 118[ [118 ; 166[ [166 ; 212[ [212 ; 258[ La classe médiane est [11 ; 12[.
vents (km/h)
• Utiliser les quartiles eut été plus judicieux qu’utiliser
Centre de ces deux couples.
76 103,5 142 189 235
la classe
a) À la sortie de l’algorithme :
Effectif 17 26 16 24 3 N = n1 + n2 + … + np
Les calculs permettent d’obtenir les indicateurs suivants : et S = n1 x1 + n2 x2 + … + np xp.
S
Moyenne : 133,67 km/h ; Médiane : 122,75 km/h ; b) L’algorithme calcule et affiche , qui est la moyenne
N
Écart interquartile : [103,5 ; 189]. de la série statistique.
Saison 2008-2009 a) Cette affirmation est fausse. D’une part, plus de
Vitesse des personnes atteignent 80 ans que 90 ans, d’autre part,
[63 ; 89[ [89 ; 118[ [118 ; 166[ [166 ; 212[ [212 ; 258[ lorsqu’on vieillit les risques de mourir sont évidemment
vents (km/h)
plus élevés.
Centre de
76 103,5 142 189 235 Il faut raisonner avec des phrases du type « 80 ans ou
la classe
moins ».
Effectif 3 4 1 1 0 b) L’affirmation du géologue est fausse.
Le chiffre de 2 000 000 est, à l’origine, une approximation.
Les calculs permettent d’obtenir les indicateurs suivants :
Y ajouter 4 ans n’a pas de sens.
Moyenne : 108,11 km/h ; Médiane : 103,5 km/h ;
c) Cette affirmation est fausse.
Écart interquartile : [76 ; 103,5].
Ce chiffre de 90 % est dû au fait que la grande majorité
Tous les indicateurs montrent que la saison 2008-2009
des trajets sont situés dans un rayon de 5 km du domicile.
a été très calme.
a)
Q1 = 4,5 donc au moins un quart des appareils
tombe en panne avant 4 ans et demi.
La publicité est mensongère.
b) Il faut saisir =MOYENNE(B18:X18) en cellule Y1.
c) et d)
5
b) Dans le pays 1 et dans le pays 2, le médicament est b) Faux. Erreur possible : mauvaise lecture du graphique
plus efficace que le placebo. qui comporte trois informations et non deux comme
c) dans le tableau.
c) Vrai. En effet, il suffit de vérifier que chaque point
du tableau, de coordonnées (Valeur ; Effectif), se trouve
sur la courbe.
1. a) Faux. Erreur possible : calculer la moyenne
de la liste 2, 3, 4, 5, 8, 10, 12.
b) Faux. Erreur possible : calculer la moyenne de la liste
4, 2, 1, 6, 3, 1, 1.
4 × 2 + … + 1 × 12 47
c) Vrai. En effet : xx = =
4+…+1 9
soit xx ≈ 5,22.
2. a) Vrai. En effet : l’effectif total est 18, donc la médiane
est la demi-somme de la neuvième et de la dixième
valeur qui sont toutes deux égales à 5.
Pour les deux pays pris ensemble, le médicament est b) Faux. Erreur possible : avoir considéré la valeur cen-
moins efficace que le placebo. trale de la ligne des effectifs (nombre de matchs).
c) Faux. Erreur possible : erreur de calcul.
a) Faux. Contre-exemple :
Série 1 : 1 – 2 – 3 ; Me1 = 2 ; xx 1 = 2 3. a) Faux. Erreur possible : n’avoir calculé que le troi-
Série 2 : 1 – 2 – 9 ; Me2 = 2 ; xx 2 = 6 sième quartile.
Ces séries ont la même médiane mais des moyennes b) Vrai. En effet : Q1 est la cinquième valeur donc Q1 = 3,
différentes. Q3 est la quatorzième valeur, donc Q3 = 8, ainsi l’écart
b) Faux. Contre-exemple : interquartile est 8 – 3 = 5.
Série 1 : 1 – 2 – 3 ; Me1 = 2 ; xx 1 = 2. c) Faux. Erreur possible : avoir pris la quatrième et non
Série 2 : 0 – 1 – 5 ; Me2 = 1 ; xx 2 = 2. la cinquième valeur pour Q1.
Ces séries ont la même moyenne bien qu’elles n’aient
pas la même médiane. • Vrai – Faux
a) Faux. Contre-exemple : 3 ; 3 ; 12 ; pour cette série a) Faux. En effet, c’est un indicateur de position :
statistique, la moyenne est 6 et la médiane est 3. revoir le cours paragraphe 1 page 226.
b) Vrai. Par exemple la série : 1 – 2 – 3 possède une b) Vrai. En effet, il suffit de multiplier par 100.
moyenne égale à sa médiane : 2. c) Vrai. Revoir le graphique du cours, paragraphe 1
c) Faux. Contre-exemple : – 6 ; 1 ; 1 ; 2 ; 2 page 226.
Q1 = 1 ; Q3 = 2 ; xx = 0. Donc xx ∉ [Q1 ; Q3]. d) Faux. Erreur possible : confusion entre « 50 % des
données » et « Au moins 50 % des données ». Voir le
graphique du cours, paragraphe 1 page 226.
5. Se préparer au contrôle e) Faux. Erreur possible : ne songer qu’à des séries quan-
• QCM titatives et oublier qu’il peut y en avoir des qualitatives.
f) Faux. Dans le cas d’un nombre pair de valeurs, la
1. a) Faux. Erreur possible : confusion entre les médiane peut être située entre deux données.
valeurs et les effectifs.
b) Faux. Avec cette formule, on calcule bien la fréquence a) Faux. Erreur possible : avoir calculé la moyenne
de la cellule B3, mais en l’étirant vers la droite, on ne des effectifs.
calcule pas la fréquence de la cellule C3 ; en effet, la b) Faux. Erreur possible : confondre effectif et valeurs.
formule devient =C2/SOMME(C2:H2). Ici, l’étendue est : 19 – 0 = 19.
c) Vrai. En effet, « SOMME($B2:$G2) » est l’effectif total c) Vrai. En effet, il y a 28 valeurs, donc la médiane est
de la série, et les dollars permettent de faire glisser cette située entre la quatorzième et la quinzième valeurs qui
formule vers la droite sans modifier l’effectif total. sont toutes deux situées dans la classe « 5 à 9 ».
2. a) Faux. Erreur possible : oublier que sur la courbe, il d) Vrai. En effet, 7 + 4 + 8 + 6 = 25, donc 25 élèves ont
y a des points intermédiaires. Par exemple, le point de reçu moins de 15 SMS, ce qui représente environ 89 %
coordonnées (10 ; 40) qui est sur la courbe ne correspond 25
à aucun point du tableau.
des élèves 冢 28
× 100 ≈ 89 .冣
6
• Pour réviser
a)
Longueur 74 76 78 80 82 84 86
Fréquence 0,1 0,15 0,21 0,2 0,17 0,13 0,04
F.C.D. 1 0,9 0,75 0,54 0,34 0,17 0,04
Fréquence
0,25 La moyenne est wx = 22,5.
0,20 La médiane est Me = 25.
0,15
a) Il faut commencer par ranger les valeurs par
0,10
ordre croissant :
0,05
Longueur 40 – 42 – 43 – 45 – 48 – 48 – 49 – 50 – 56
0
74 76 78 80 82 84 86 Il y a 9 valeurs, 9 = 4 + 1 + 4 la médiane est donc située
b) 34 % des pantalons vendus mesurent 82 cm ou plus à la 5e valeur.
de long. Me = 48.
Ce qui signifie qu’au moins 50 % des marguerites
a)
effeuillées comptaient 48 pétales au moins et au moins
Effectifs
50 % comptaient 48 pétales ou plus.
123 b) Il faut commencer par ranger les valeurs par ordre
116
croissant :
102
37 – 38 – 39 – 39 – 42 – 43 – 43 – 43 – 44 – 46
Il y a 10 valeurs.
77
1
× 10 = 2,5 donc Q1 est situé à la 3e valeur. Q1 = 39.
4
3
× 10 = 7,5 donc Q3 est situé à la 8e valeur. Q3 = 43.
30 4
23 21 Ce qui signifie qu’au moins un quart des marguerites
10 3 3
2 effeuillées (25 %) comptaient 39 pétales ou moins ; et
0
30 32 34 36 38 40 42 44 46 48 50 Longueur
au moins trois quarts des marguerites effeuillées (75 %)
b) comptaient 43 pétales ou moins.
Longueur [30 ; 32[ [32 ; 34[ [34 ; 36[ [36 ; 38[ [38 ; 40[ 1. a) Mexico : e = 18,4 – 12 = 6,4 ;
E.C.C 3 5 28 58 160 Barcelone : e’ = 24,3 – 9,5 = 14,8.
b) Mexico : wx ≈ 15,6 ; Barcelone : wx’ ≈ 16,5.
Longueur [40 ; 42[ [42 ; 44[ [44 ; 46[ [46 ; 48[ [48 ; 50[
16,2 + 16,3
E.C.C 276 399 476 497 500 c) Mexico : Me = = 16,25 ;
2
399 noix mesurent moins de 44 mm. 14,6 + 17,6
Barcelone : Me’ = = 16,1.
2
d) Mexico : Q1 = 13,9 ; Q3 = 16,8 ;
Barcelone : Q1’ = 10,3 ; Q3’ = 21,5.
2. a) Le calcul de la moyenne.
b) Les calculs de l’étendue (ou de l’écart interquartile).
c) Le calcul de la médiane.
d) Le calcul de l’intervalle interquartile de Mexico.
6. Exercices d’approfondissement
a) Cette classe compte 32 élèves.
17 élèves mettent plus de 12 min et 10 élèves mettent
entre 7 et 12 min.
7
b) Il y a 32 élèves. 2. b) Fréquence
• La médiane est située entre la 16e et la 17e valeur, donc, 0,12
graphiquement, Me ≈ 12,5. 0,11
1 0,10
• × 32 = 8. Le premier quartile est la 8e valeur : Q1 = 8. 0,09
4
3 0,08
• × 32 = 24. Le troisième quartile est la 24e valeur : 0,07
4
0,06
Q3 = 20.
0,05
c) 0,04
Durée (en min) 1 3 7 12 17 22 27 0,03
Effectif 2 3 10 5 6 6 0 0,02
0,01 Longueur
2 × 1 + … + 0 × 27 0
wx = ≈ 11,72. 1 6 8 10 12 15 18 24 30
32
La durée moyenne des trajets est de 11,72 min environ, c)
soit 11 min et 43 s. Centre
3,5 7 9 11 13,5 16,5 21 27
des classes
Beaucoup Assez Peu ou pas du tout
Fréquence 0,476 0,239 0,144 0,092 0,042 0,006 0,001 0
Les sorties :
wx = 0,476 × 3,5 + … + 0 × 27 ≈ 6,33
Les sujets de société :
Ces voiliers mesurent, en moyenne, 6,33 m environ.
L’international :
Le sport : 1. a) Peugeot-Citroën : 646 milliers de véhicules ;
L’environnement : Renault : 548,4 milliers de véhicules ;
L’économie : Ford : 110,4 milliers de véhicules ;
La politique : Mercedes : 50,5 milliers de véhicules.
b) Dans chacune des séries il y a 10 valeurs qu’il faut
ranger par ordre croissant. La médiane est alors la demi-
somme de la 5e et de la 6e valeur.
627 + 633
Peugeot-Citroën : Me = = 630.
2
549 + 564
Renault : M’e = = 556,5.
2
c) Chez Renault, les années 2003 à 2007 correspondent
à des valeurs inférieures à la médiane.
2. a) Les premier et troisième quartiles correspondent
respectivement à la 3e et à la 8e valeur.
Peugeot-Citroën : Q1 = 620 ; Q3 = 659
Écart interquartile : [620 ; 659]
Renault : Q’1 = 524, Q’3 = 600
1. Écart interquartile : [524 ; 600].
b) • Les quatre constructeurs restent globalement dans
Longueur L Fréquence Hauteur
des nombres d’immatriculations analogues aux 5 der-
L<6m 0,476 0,095 2 nières années. On ne peut pas parler de crise.
6m⭐L<8m 0,239 0,119 5 • Ford réalise la plus grosse augmentation par rapport
à 2007 avec + 8,74 %.
8 m ⭐ L < 10 m 0,144 0,072
10 m ⭐ L < 12 m 0,092 0,046 a)
12 m ⭐ L < 15 m 0,042 0,014 i 1 1 1 1 2 2 2 3 3
15 m ⭐ L < 18 m 0,006 0,002 j 4 3 2 1 4 3 2 4 3
18 m ⭐ L < 24 m 0,001 0,000 1 Liste 7 316 7 136 1 736 1 736 1 736 1 376 1 376 1 367 1 367
L ⭓ 24 m 0 0
b) L’algorithme trie la liste dans l’ordre croissant.
8
冦 冦
Valeur –1 0 1 3 5 Total c = 43 a=8
b = 36 ; b = 36.
Effectif 2 5 6 7 5 25 a + 36 = 44 c = 43
On note x la somme disponible pour Pierre cette
Diverses réponses peuvent être apportées. année. Il a dépensé, cette année, 0,4x pour le sport ;
• Âge moyen : 0,2x pour le cinéma ; 0,3x pour la musique et 0,1x pour
Guadeloupe : 40,1 ans France : 38 ans la lecture.
• Dans les deux cas, les hommes sont plus touchés ; les Il dépensera l’année prochaine :
personnes entre 30 et 39 ans sont les plus touchées. 50
pour le sport : 0,4x + × 0,4x = 0,6x
100
5
pour le cinéma : 0,2x + × 0,2x = 0,21x
100
10
pour la musique : 0,3x + × 0,3x = 0,33x
100
5
pour la lecture : 0,1x + × 0,1x = 0,105x
100
Ainsi, sa dépense l’année prochaine sera :
0,6x + 0,21x + 0,33x + 0,105x = 1,245x.
Répartition des dépenses de loisirs pour l’année pro-
chaine :
0,6x
Sport : × 100 ≈ 48,2 %
1,245x
0,21x
Cinéma : × 100 ≈ 16,9 %
1,245x
0,33x
Musique : × 100 ≈ 26,5 %
1,245x
冦
a+b+c
= 29 0,105x
3 Lecture : × 100 ≈ 8,4 %
1,245x
a+b
= 22 Ce système est équivalent à
2
Nombre de candidats présents : 64 + 95 + 160 = 319
b+c
= 39,5 Nombre de candidats reçus :
2
75 80 85
a + b + c = 87 44 + c = 87 c = 43 × 64 + × 95 + × 160 = 260
冦 冦 冦
100 100 100
a + b = 44 ; a + b = 44 ; a + b = 44; 260
Taux de réussite global du lycée : ≈ 0,815.
b + c = 79 b + c = 79 b + 43 = 79 319
9
12
Chapitre
Probabilités et problèmes
1 2 3 4
2 3 4 5
• Activité 2
3 4 5 6 1.
E E
Les issues sont 1, 2, 3, 4, 5 et 6.
b) La probabilité d’obtenir une somme égale à 2 est B B
2 1 A A
= , et celle d’obtenir une somme égale à 4 est
12 6
3 1 Ensemble des ménages Ensemble des ménages
= . Ce dernier événement est donc le plus probable. qui possèdent les qui possèdent l’un au moins
12 4
deux équipements de ces équipements
a) Vert Rouge Bleu Issue
2. a) P(A) = 0,48 et P(B) = 0,65.
O LPO
P b) P(A ∩ B) = 0,35 et P(A ∪ B) = 0,78.
U LPU
L c) P(A ∪ B) = P(A) + P(B) – P(A ∩ B).
O LIO
I U LIU
O CPO
P U CPU
C O CIO
3. Exercices de base
I U CIU a) Il semble que ce soit le modèle 2.
O PPO b)
P U PPU R 1 2 3 4 5 6
P O PIO
I S 2 4 6 8 10 12
U PIU
1
On est en situation d’équiprobabilité : le modèle 2
Face 1 2 3 4 5 6
convient.
Probabilité 0,14 0,14 0,14 0,14 0,14 0,3
a)
Issue B R N 5p + 0,3 = 1, donc p = 0,14.
Probabilité 0,6 0,1 0,3
Le tirage est fait au hasard donc chaque boule a la
b) La calculatrice (avec la fonction Random) donne un même chance d’être tirée.
nombre entier aléatoire x compris entre 1 et 100. Il y a 20 % de boules rouges et donc 80 % de boules
Si x ⭐ 60, on convient que cela équivaut au tirage d’une noires. Ainsi, il y a 4 fois plus de chances de tirer une
boule blanche. Si 61 ⭐ x ⭐ 70, au tirage d’une boule boule noire qu’une boule rouge.
rouge et si 71 ⭐ x, au tirage d’une boule noire. On choisit donc la loi de probabilité suivante :
c) Par exemple une simulation 500 fois donne :
Couleur N R
Issue B R N
Probabilité 0,8 0,2
Fréquence 0,592 0,12 0,288
a) Période 1 2
Issue 1 2 3 Total
125 161
1 1 5 1 Probabilité
Probabilité 286 286
4 3 12
b)
Quart
Issue A B 1 2 3 4 5 6 7 8
d’heure
1 2 109 37 71 13 47 24 149 49
Probabilité Probabilité
3 3 858 286 429 858 286 143 858 858
a) Issue 1 2 3 4
dé A
1 2 3 4 5 6
dé B 1 1 3 2
Probabilité
1 1 2 3 4 5 6 10 5 10 5
2 2 2 3 4 5 6 1 3 2 3 2 7
b) P(A) = + = ; P(B) = + = .
10 10 5 10 5 10
3 3 3 3 4 5 6
4 4 4 4 4 5 6 P(A) = 0,45 ; P(RH+) = 0,85 et P(AB–) = 0,01.
5 5 5 5 5 5 6 8 1
a) P(A) ==
32 4
6 6 6 6 6 6 6 4 1
b) P(B) = = .
32 8
Issue 1 2 3 4 5 6
1
a) La probabilité d’obtenir chaque nombre est .
1 1 5 7 1 11 10
Probabilité
36 12 36 36 4 36 b) La probabilité de l’événement « le nombre est multiple
3
de 3 » est : = 0,3 car les multiples de 3 sont 3 ; 6 et 9.
2 (1 ; 2) 10
1 3 (1 ; 3)
4 (1 ; 4) a) Issue
1 (2 ; 1) P PPP
2 3 (2 ; 3)
P F PPF
4 (2 ; 4)
1 (3 ; 1) P PFP
3 2 (3 ; 2) P
F F PFF
4 (3 ; 4)
1 (4 ; 1) P FPP
4 2 (4 ; 2) F P
3 (4 ; 3)
F FPF
F P FFP
1
Chaque issue a pour probabilité .
12 F FFF
2
b) La loi de probabilité sur E est la loi équirépartie. 16 1 8 1
3 3 1 2. P(A) = = ; P(B) = = ;
32 2 32 4
c) P(A) = ; P(B) = ; P(C) = .
8 8 8 4 1 2 1
P(C) = = ; P(A ∩ C) = = ;
15 5 45 15 5 32 8 32 16
P(A) = = ; P(B) = = ; P(C) = ; 1 1
102 34 102 34 102 P(B ∩ C) = ; P(A ∪ B) = P(A) = .
73 8 4 1 32 2
P(D) = ; P(E) = = ; P(F) = . a)
102 102 51 102 Issue
2 (1 ; 2)
Issue
1 3 (1 ; 3)
P M SPM
4 (1 ; 4)
S
M P SMP 1 (2 ; 1)
2 3 (2 ; 3)
S M PSM 4 (2 ; 4)
P
1 (3 ; 1)
M S PMS
3 2 (3 ; 2)
S P MSP 4 (3 ; 4)
M 1 (4 ; 1)
P S MPS
4 2 (4 ; 2)
Deux issues réalisent l’événement, la probabilité est 3 (4 ; 3)
2 1
= . b) A = {(2 ; 1) ; (2 ; 3) ; (2 ; 4)}
6 3
B = {(1 ; 4) ; (2 ; 3) ; (3 ; 2) ; (4 ; 1)}
Il y a 25 issues possibles dont 5 réalisent l’événe- c) A ∩ B = {(2 ; 3)}
5 1 3 1 4 1 1
ment étudié. Sa probabilité est = . d) P(A) = = ; P(B) = = ; P(A ∩ B) =
25 5 12 4 12 3 12
6 1
15 5 21 7 e) • P(A ∪ B) = P(A) + P(B) – P(A ∩ B) = =
P(A) = = ; P(B) = P(A) ; P(C) = = . 12 2
36 12 36 12
• A ∪ B = {(2 ; 1) ; (2 ; 3) ; (2 ; 4) ; (1 ; 4) ; (3 ; 2) ; (4 ; 1)}
a) A = {1} ; B = {3 ; 4 ; 5 ; 6} ; C = {2 ; 4 ; 6}. 6 1
P(A ∪ B) = = .
12 2
B
E a)
A 1 2 3 4 5 6
+3 +4 +2
+6 1 (1 ; 1) (1 ; 2) (1 ; 3) (1 ; 4) (1 ; 5) (1 ; 6)
+1 +5
2 (2 ; 1) (2 ; 2) (2 ; 3) (2 ; 4) (2 ; 5) (2 ; 6)
C 3 (3 ; 1) (3 ; 2) (3 ; 3) (3 ; 4) (3 ; 5) (3 ; 6)
b) A ∪ B = {1 ; 3 ; 5 ; 4 ; 6}, B ∩ C = {4 ; 6}. 4 (4 ; 1) (4 ; 2) (4 ; 3) (4 ; 4) (4 ; 5) (4 ; 6)
1 4 2 3 1
P(A) = ; P(B) = = ; P(C) = = ; 5 (5 ; 1) (5 ; 2) (5 ; 3) (5 ; 4) (5 ; 5) (5 ; 6)
6 6 3 6 2
5 2 1 6 (6 ; 1) (6 ; 2) (6 ; 3) (6 ; 4) (6 ; 5) (6 ; 6)
P(A ∪ B) = ; P(B ∩ C) = = .
6 6 3 6 1 15 5 3 1
b) P(A) = = ; P(B) = = ; P(A ∩ B) = = .
1. a) A ∩ C est réalisé par roi de trèfle et roi de 36 6 36 12 36 12
pique. 18 1
c) • P(A ∪ B) = P(A) + P(B) – P(A ∩ B) = = .
B ∩ C est réalisé par la seule issue roi de trèfle. 36 2
18 1
b) B est un sous-ensemble de A : B ⊂ A. A ∪ B est formée de 18 issues donc P(A ∪ B) = = .
36 2
c) B
a) A : « La personne s’intéresse à la pêche »
E
B : « La personne s’intéresse à la lecture ».
10 1 8 2 5 1
P(A) = = ; P(B) = = et P(cA ∪ B) = = .
20 2 20 5 20 4
3
C P(A ∪ B) = 1 – P(cA ∪ B) = .
4
3
A RT RP b) P(A ∩ B) = P(A) + P(B) – P(A ∪ B)= .
20
3
a) P(A) = 0,19 ; P(B) = 0,19 S représente la somme des chiffres obtenus.
b) A ∩ B est réalisé par les issues : 09 et 90. i est le compteur et varie de 1 à 4 car on lance le jeton
quatre fois.
P(A ∩ B) = 0,02.
r est le chiffre obtenu, 0 ou 1, à chaque lancer.
c) P(A ∪ B) = P(A) + P(B) – P(A ∩ B)
L’algorithme permet de simuler l’expérience, calcule
= 0,36.
S et teste si S est égale à 0 ou non. Si S = 0, le pion est
11 10 5 resté sur la case A.
a) P(A) = ; P(B) = = .
16 16 8 1 11
9 b) P(X) = ; P(Y) = (on considère l’événement
P(A ∩ B) = . 16 16
16 1
12 3 contraire) ; P(Z) = .
b) • P(A ∪ B) = P(A) + P(B) – P(A ∩ B) = = . 16
16 4
12 3 1. a) Par définition, A1 et B sont incompatibles.
• A ∪ B est réalisée par 12 issues, P(A ∪ B) = = .
16 4 A ∪ B = A1 ∪ B donc :
c) cA : « La rangée compte au plus un pion » P(A ∪ B) = P(A1 ∪ B) = P(A1) + P(B).
cB : « Il n’y a pas de pion noir sur la rangée » b) A1 et A ∩ B sont incompatibles. A = A1 ∪ (A ∩ B) donc :
5 P(A) = P(A1) + P(A ∩ B).
P(cA) = 1 – P(A) = .
16 c) P(A ∪ B) + P(A ∩ B) = P(A1) + P(B) + P(A1) – P(A1)
3 = P(A) + P(B).
P(cB) = 1 – P(B) = .
8 2. La probabilité qu’un individu possède l’un au moins
des deux caractères est :
0,8 + 0,6 – 0,45 = 0,95.
4. Exercices d’entraînement
1 2 1
1. a) b) c)
A 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 6 11 3
20 1
R 1 2 0 1 2 0 1 2 0 1 2. = . Le conseil n’est pas pertinent.
120 6
1. 8 cartes ne sont pas des rois donc la valeur de n
R 0 1 2
la plus grande est 9, ainsi n ⭐ 9.
3 4 3 2.
Probabilité
10 10 10
n 1 2 3 4 5 6 7 8 9
Il s’agit du modèle 5. Fréquence 0,335 0,247 3 0,166 3 0,112 4 0,068 3 0,041 4 0,020 3 0,007 0,002
1. La taille de l’échantillon est réduite. On ne peut 3. a) P(A) = 0,748 6 ; P(B) = 0,002.
pas répondre de façon sûre à la question. b) P(C) = 0,861 et P(D) = 0,070 7.
Il faudrait par exemple simuler 1 000 fois, répéter cette L’événement C est le plus probable.
simulation et comparer les fréquences des événements
1. a) E = {0 ; 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5}.
S = 9 et S = 10.
4 1 b)
2. La probabilité que la somme soit égale à 9 est : = ; Distance 0 1 2 3 4 5
36 9
3 1 6 10 8 6 4 2
celle que la somme soit égale à 10 est : = . Probabilité
36 12 36 36 36 36 36 36
Ces probabilités sont donc différentes.
12 1 20 5
c) P(A) = = ; P(B) = = .
36 3 36 9
Initialisation 1
2. Dans les deux situations, la probabilité est égale à .
S prend la valeur 0 6
Traitement a) Issue
Pour i de 1 jusqu’à 4
B C ABC
r prend la valeur 0 ou 1 A
S prend la valeur S + r C B ACB
Fin Pour A C BAC
Sortie B
Si S = 0 alors C A BCA
Afficher « A » A B CAB
Fin Si C
B A CBA
4
2 1 4 13 9
b) P(U) = = . a) P(A) = ; b) P(B) = ; c) P(C) = .
6 3 25 25 25
c) cU : « Au moins un jeton est resté à sa place ».
a) P(A) = 0,312 ; P(B) = 0,834 ; P(C) = 0,166.
2
• P(cU) = 1 – P(U) = b) P(F) = 0,188.
3
c) P(G) = 0,141.
• cU est réalisé par les issues : ABC, ACB, BAC, CBA, donc
4 2 Le journal 3 fournit probablement le résultat le
P(cU) = = .
6 3 plus fiable, car le sondage est plus récent, la taille de
A : « La première salle S1 est occupée » l’échantillon est plus importante, l’échantillon a été tiré
B : « La deuxième salle S2 est occupée » au hasard, et les électeurs ont été interrogés.
P(A) = P(B) ; P(A ∪ B) = 0,9 ; P(A ∩ B) = 0,5. 20 033
a) P(A) + P(B) = P(A ∪ B) + P(A ∩ B) a) P(A) = soit P(A) ≈ 0,04.
570 059
= 1,4 2 281
donc P(A) = P(B) = 0,7. Alors P(cA) = 0,3. b) P(B) = soit P(B) ≈ 0,11.
19 879
b) P(cA ∩ cB) = P(cA ∪ B) = 1 – P(A ∪ B) = 0,1. 54 214
c) P(C) = soit P(C) ≈ 0,13.
c) P(cA ∪ cB) = P(cA ∩ B) = 1 – P(A ∩ B) = 0,5. 422 129
d) P(cA ∩ B) + P(cB ∩ A) = 0,2 + 0,2 = 0,4. 56 495
d) P(D) = soit P(D) ≈ 0,13.
442 008
1. H D D D
2 281
e) P(E) = soit P(E) ≈ 0,04.
56 495
H D D 54 214
H P(F) = soit P(F) ≈ 0,96.
56 495
D H D 11 341
D f) P(E’) = soit P(E’) ≈ 0,05.
214 005
D H 202 664
H P(F’) = soit P(F’) ≈ 0,95.
214 005
H D D
Partie A
1
H H D 1. a) et b) La probabilité de chaque issue est .
D 36
D 9 1
D H c) La probabilité d’avoir deux boules vertes est : = .
36 4
D H D
2. a) et b) Issue Probabilité
H
D
D H 1/2 V (V ; V) 1/4
1/3
D H H V R (V ; R) 1/6
1/2 1/6
Il y a donc 20 chemins de A vers B. B (V ; B) 1/12
2. a) X : « Le chemin passe par M »
Y : « Le chemin passe par N » V (R ; V) 1/6
1 12 3 1/3
P(X) = et P(Y) = = . R R (R ; R) 1/9
2 20 5
6 3 B (R ; B) 1/18
b) P(X ∩ Y) = = . 1/6
20 10
c) P(X ∪ Y) = P(X) + P(Y) – P(X ∩ Y) V (B ; V) 1/12
16 4
= = . B R (B ; R) 1/18
20 5
1. On peut former 28 = 256 octets différents. B (B ; B) 1/36
1 1 c) La probabilité d’une issue est obtenue en effectuant
2. a) P(A) = ; P(B) = .
4 2 le produit des probabilités inscrites sur les branches qui
1
b) P(A ∩ B) = . conduisent à cette issue.
8
c) P(A ∪ B) = P(A) + P(B) – P(A ∩ B) Partie B
5 1 1
= . 1. a) P(C) = et P(D) = .
8 2 6
5
b) Les événements C et D sont incompatibles. c) Faux. Erreur possible : mauvaise idée de l’événement
2 A ∪ B.
c) P(C ∪ D) = P(C) + P(D) = .
3 3. a) Faux. Revoir la définition de l’événement contraire.
2. wE : « Le tirage est formé de deux boules rouges ». b) Vrai. En effet, l’événement wA est réalisé par les issues
1 8 4 1
P(wE) = . Or P(E) = 1 – P(wE) donc P(wE) = . 1, 2, 3, 4 ; sa probabilité est donc égale à = .
9 9 8 2
w ; penser
c) Faux. Erreur possible : quatre issues réalisent A
1. Non, un seul remplaçant rentrera en jeu. que sa probabilité est de « une chance sur quatre ».
2. a) Oui, Fabrice bénéficie d’une réduction à l’entrée
du musée. 1. a) Faux. Erreur possible : penser que p(A ∪ B)
9 1 5 3 1 11 est égal au produit de p(A) et p(B).
b) P(A) = = ; P(B) = ; P(C) = = ; P(D) = . b) Vrai. En effet, A et B étant incompatibles, la probabilité
36 4 36 36 12 36
c) L’effectif de ce groupe est 11. de l’événement A ∪ B est égale à la somme des probabi-
lités de A et B, on trouve : 0,43 + 0,15 = 0,58.
1. a) Si B contient toutes les issues de A alors
c) Faux. Erreur possible : penser que p(A ∪ B) est égal à
P(A) ⭐ P(B).
la différence de p(A) et p(B).
b) La réciproque est fausse : A = {x1}, B = {x2 ; x3}.
2. a) Faux. Erreur possible : trois issues réalisent cet
On a P(A) ⭐ P(B) et A n’est pas inclus dans B.
événement ; penser que la probabilité demandée est
2. a) F ⊂ E donc P(F) ⭐ P(E)
de « une chance sur trois ».
E ⊂ D donc P(E) ⭐ P(D)
b) Faux. Erreur possible : confondre avec l’événement
30 18
b) P(D) = 1 ; P(E) = = 0,3 ; P(F) = = 0,18. « obtenir une fois Pile exactement ».
100 100
10 10 70 c) Vrai. En effet, il y a quatre issues à l’expérience et l’évé-
c) P(A) = = 0,1 ; P(B) = = 0,1 ; P(C) = = 0,7. nement « Obtenir au moins une fois Pile » est réalisé par
100 100 100
3
1. a) {Roi Cœur ; As Pique} : non les issues PP, PF, FP. Sa probabilité est donc égale à .
4
{Roi Carreau ; 7 Carreau} : oui 3. a) Vrai. En effet, p(A ∪ B) + p(A ∩ B) = p(A) + p(B), or
{7 Cœur ; 8 Cœur} : non p(A) = 0,6, p(B) = 0,3 et p(A ∪ B) = 0,8 donc p(A ∩ B) = 0,1.
Une autre main possible est : {Roi Pique ; 10 Trèfle} b) Faux. Erreur possible : confondre p(B) et p(wB), puis
b) {Roi Cœur ; As Pique} : non effectuer 0,6 + 0,7 – 0,8.
{Roi Carreau ; Roi Trèfle} : oui c) Faux. Erreur possible : penser que p(A ∩ B) est égal à
{7 Cœur ; 8 Carreau} : oui p(A ∪ B) – p(A) – p(B) et trouver un résultat négatif.
Une autre main possible est : {Roi Cœur ; Roi Pique}
1 9 1 9 1 • Vrai – Faux
2. P(A) = ; P(B) = = ; P(C) = = .
36 36 4 36 4
a) Vrai. En effet, la somme des numéros pour le
premier tétraèdre est 4 ou 5, et celle pour le deuxième
tétraèdre est 30, 35, 40 ou 45. Les sommes possibles
5. Se préparer au contrôle
des six faces visibles sont donc 34, 35, 39, 44, 49, 35, 40,
• QCM 45 et 50.
1
1. a) Faux. Erreur possible : quatre issues réalisent b) Vrai. Chaque issue a la même probabilité .
8
A et quatre issues réalisent B ; penser que la probabilité c) Vrai, car aucune issue ne réalise les événements D et R.
demandée est de « une chance sur huit ». d) Faux, car l’issue 35 ne réalise ni D, ni Z.
b) Vrai. En effet, l’événement A ∩ B est réalisé par les a) Faux, car les deux billets achetés par Marine
2 1
issues 5 et 7, sa probabilité est donc égale à = . peuvent être tous les deux perdants.
8 4
c) Faux. Erreur possible : penser que le nombre de cas b) Faux, car certains élèves peuvent aimer la lecture et
possibles sont les quatre issues qui réalisent A, et dire le cinéma et d’autres ni l’un, ni l’autre.
que parmi celles-ci, deux (5 et 7) sont des cas favorables. c) Faux, car l’expérience a pour issues équiprobables
2. a) Vrai. Erreur possible : penser que A ∪ B est réalisé FF, FP, PF et PP. La probabilité de n’obtenir aucun Pile
par les issues 1, 3, 5, 6, 7, 8 ; sa probabilité est donc égale 1
est donc .
6 3 4
à = . d) Faux, car p(wA ∩ wB) = p(wA ∪ B) = 1 – p(A ∪ B).
8 4
b) Faux. En effet, l’événement : penser que A ∪ B est e) Faux. Les deux issues n’ont pas nécessairement la
réalisé uniquement par les issues 5, 6, 7, 8. même probabilité.
6
• Pour réviser 6. Exercices d’approfondissement
1. C ABC
B D ABD a) Issue Produit
C B ACB 1 (1 ; 1) 1
A D ACD 2 (1 ; 2) 2
B ADB 3 (1 ; 3) 3
D C ADC 1
4 (1 ; 4) 4
A C BAC 5 (1 ; 5) 5
D BAD 6 (1 ; 6) 6
A BCA 1 (2 ; 1) 2
B C D BCD 2 (2 ; 2) 4
A BDA 3 (2 ; 3) 6
D C BDC 2
4 (2 ; 4) 8
B CAB 5 (2 ; 5) 10
A D CAD 6 (2 ; 6) 12
A CBA 1 (3 ; 1) 3
C B D CBD 2 (3 ; 2) 6
A CDA 3 (3 ; 3) 9
D B CDB 3
4 (3 ; 4) 12
B DAB
A 5 (3 ; 5) 15
C DAC
6 (3 ; 6) 18
A DBA
D B 1 (4 ; 1) 4
C DBC
2 (4 ; 2) 8
A DCA
C 3 (4 ; 3) 12
B DCB 4
4 (4 ; 4) 16
6 1 5 (4 ; 5) 20
2. P(E) = = ;
24 4 6 (4 ; 6) 24
6 1 1 (5 ; 1) 5
P(F) = = . 2 (5 ; 2) 10
24 4
3. a) E ∩ F est réalisé par les issues : BAD, BDA. 3 (5 ; 3) 15
5
2 1 4 (5 ; 4) 20
b) Donc P(E ∩ F) = = . 5 (5 ; 5) 25
24 12 6 (5 ; 6) 30
5
4. P(E ∪ F) = P(E) + P(F) – P(E ∩ F) = . 1 (6 ; 1) 6
12
2 (6 ; 2) 12
a) Chacune des faces peut être coloriée de deux 3 (6 ; 3) 18
façons différentes. Le nombre de coloriages possibles 6
4 (6 ; 4) 24
est donc 26 = 64. 5 (6 ; 5) 30
b) wU : « le cube est colorié d’une seule couleur ». 6 (6 ; 6) 36
2 1 b) La probabilité que le joueur perde la partie est :
P(wU) = = . 27 3 1
64 32 = et qu’il la gagne : .
c) P(U) = 1 – P(wU) 36 4 4
31 1. On choisit de façon aléatoire 0 ou 1 successive-
= .
32 ment jusqu’à ce que les deux chiffres aient été tirés ; le
a) On note (2 ; 3) l’issue telle que le joueur A montre nombre de tirages nécessaires est le nombre d’enfants
deux doigts et le joueur B, trois doigts. de la famille.
E est formé des issues : (1 ; 1), (1 ; 2), (1 ; 3), (2 ; 1), (2 ; 2), 2. a)
Nombre d’enfants 2 3 4 5 6 7 8
(2 ; 3), (3 ; 1), (3 ; 2), (3 ; 3).
Effectif 48 20 13 8 5 4 2
b) On choisit la loi équirépartie sur l’ensemble E, donc
1 b) Pour l’échantillon, le nombre moyen d’enfants par
chaque issue a une probabilité de . famille est 3,22.
9
5
c) La probabilité est . Lorsqu’il lance les deux dés tétraédriques, la pro-
9
4 1
20 4 7 1 12 babilité d’obtenir une somme de 6 est : = . Lorsqu’il
P(C) = = , P(F) = = et P(wC ∪ F) = . 16 4
35 7 35 5 35 3
a) P(C ∪ F) = 1 – P(wC ∪ F) lance le dé octaédrique, la probabilité est : , elle est
8
23 donc plus forte dans ce cas.
= .
35 a) f est la face obtenue à chaque lancer, S est la
b) P(C ∩ F) = P(C) + P(F) – P(C ∪ F) somme des forces obtenues.
4 4 1
= . b) P(S = 5) = = .
35 36 9
7
1. a) La probabilité que la tortue gagne est :
Personne X Personne Y Personne Z
冢 56 冣 ≈ 0,33 ; et celle que le lièvre gagne est :
6
1 1
1– 冢 冣 ≈ 0,67.
5 6
2 1 6
2 3 2 b)
Initialisations
4 3
L prend la valeur 0
5 4
3 k prend la valeur 0
5 Traitement
Tant que L = 0 et k < 6
4
alea prend une valeur entière aléatoire de 1 à 6
Si alea = 6 alors
5 L prend la valeur 1
5 1 Fin Si
2. a) P(A) = = . k prend la valeur k + 1
125 25
b) Ac : « Les trois personnes ne descendent pas au même Fin tant que
étage ». Sorties
24 Si L = 0 alors
P(cA) = 1 – P(A) = .
25 Afficher « La tortue gagne »
3. cB : « Personne ne sort au 5e étage ». Sinon
64 61 Afficher « Le lièvre gagne »
P(cB) = et donc P(cB) = .
125 125 Fin Si
a) Il semble que l’événement An soit impossible
lorsque n est impair. On peut imaginer un arbre :
1 6 3 20 5 1re personne 2e personne .......
b) P(A2) = ; P(A4) = = ; P(A6) = = .
2 16 8 64 16 C1
On obtient ces probabilités à l’aide d’un arbre. C1
c) C2
Initialisation C1
S prend la valeur 0 C2
Traitement C2
Pour k de 1 jusqu’à 10
où C1, C2 désignent les deux candidats.
a prend la valeur 1 ou – 1 aléatoirement
Il y a 210 = 1 024 issues possibles.
S prend la valeur S + a
Il y a ballotage lorsque C1 et C2 obtiennent chacun 5 voix ;
Sortie
252 issues réalisent cet énénement.
Afficher S
La probabilité qu’il y ait ballottage est donc
Fin Pour
252 63
= ≈ 0,25.
1 024 256
2. a) Dé 1 Dé 2 Issue
On peut réaliser un arbre : O est la cassette qui
1/2 I (I ; I) Bleue contient des pièces d’or, C1, C2 les deux autres.
1/2 I 1/2 Choix de Sir Cassette Cassette
P (I ; P) Verte Geoffroy ouverte restante
par le fou
1/2
1/2 I (P ; I) Verte C1 C2
P
1/2
P (P ; P) Jaune 1/3 O C2 C1
1
La probabilité de chaque issue est : . O C2
4 1/3
C2
b) La probabilité que les enfants collent une gommette C2 O
1 1 1/3
bleue est , une gommette verte et une gommette
4 2
1 O C1
jaune . C2
4
C1 O
8
La probabilité que Sir Geoffroy choisisse la cassette de Si elle tire n fois, la probabilité qu’elle n’atteigne
1
pièces d’or est .
3 pas la cible est 冢 冣1 n
2
, la probabilité qu’elle atteigne au
La probabilité que la dernière cassette contienne les
1 1 1 1 1
moins une fois la cible est donc 1 – 冢 冣1 n
2
.
pièces d’or est : × + × = .
3 2 3 2 3 On résout 1 – 冢 冣1 n
2 冢 冣
艌 0,99 ;
1 n
2
⭐ 0,01. On obtient n 艌 7.
Les probabilités sont les mêmes.
9 droites sont possibles et 5 passent par trois points
a) Les issues qui réalisent A sont (1 ; 1), (2 ; 2), du nuage : y = 0, y = 1, y = 2, y = x et y = – x + 2.
(2 ; 3), (3 ; 2), (3 ; 3), (3 ; 4), (3 ; 5), (4 ; 3), (4 ; 4), (4 ; 5), (5 ; 3), 5
(5 ; 4), (5 ; 5). La probabilité est : .
9
13 1
P(A) =
36
b) La probabilité est égale
1 1/2
à l’aire hachurée : .
2
O 1/2 1
9
13
Chapitre
Échantillonage et simulation
b) Pile Face
21 29
Fréquence
50 50
a) p = 0,31 ; n = 50 donc l’intervalle de fluctuation
1 1
a) Un réel aléatoire de l’intervalle [0 ; 1[. 冤
au seuil de 95 % est 0,31 –
450
; 0,31 +
450 冥
≈ [0,17 ; 0,45].
2
b) f =
15
= 0,3. Donc f ∈ [0,17 ; 0,45], 4. Exercices d’entraînement
50
l’échantillon est représentatif de la population. 1. a) Ce tableau indique, pour chacun des 50 échan-
Nombre d’élèves aux yeux bleus tillons de taille 200, la fréquence de sortie de « pile ».
c) f ’ = .
Nombre d’élèves dans la classe b) Intervalle de fluctuation au seuil de 95 % :
1 1
Vérifier ensuite si f ’ ∈ [0,17 ; 0,45].
冤0,5 –
5200
; 0,5 + 冥
5200
≈ [0,429 ; 0,571].
p = 0,59 On représente les droites : Y1 = 0,429 et Y2 = 0,571.
a) n = 50, l’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est c) Sur les 50 échantillons, on compte le nombre de
I = [0,449 ; 0,731]. points situés hors de la bande, et on s’assure que cela
f = 0,67 ∈ I, on ne peut pas affirmer que c’est la nouvelle correspond environ à 5 %.
exposition qui a eu un impact sur la fréquentation. 2. a) Changer 200 en 20 dans les programmes.
b) n = 500, l’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est Le nouvel intervalle de fluctuation au seuil de 95 %
I = [0,545 ; 0,634]. est : [0,276 ; 0,724].
f = 0,67 ∉ I, la fréquence de cet échantillon « s’écarte b) Dans certains cas on s’écarte des 95 % énoncés. On
trop » de p, ce qui ne peut pas être attribué aux fluctua- conjecture que la propriété P n’est plus vraie.
tions d’échantillonnage. Il est probable que la nouvelle 3. a) Changer 0,5 en 0,1 (puis en 0,9) dans les pro-
exposition ait eu un impact sur la fréquentation des
grammes.
français.
Les nouveaux intervalles de fluctuation au seuil de 95 %
1. Pourcentage de garçons à Xicun : 80 % ; à sont respectivement :
Aamjiwnaag : 34,8 % environ. [0,029 ; 0,171] et [0,829 ; 0,971].
2. b) Cette formule calcule la fréquence d’apparition des b) Même conclusion qu’au 2. b).
garçons sur 20 naissances. 40 2
1. Fréquence du feu rouge ou orange : = .
c) • Intervalle de fluctuation au seuil de 95 % : 60 3
1 1 2. a) et b)
冤
I = 0,5 –
420
; 0,5 + 冥
420
≈ [0,27 ; 0,73].
• 0,8 ∉ I, on en déduit que les naissances de garçons à
Xicun sont anormalement élevées.
d) • Intervalle de fluctuation au seuil de 95 % :
1 1
冤
I = 0,5 –
5132
; 0,5 +
5132 冥≈ [0,41 ; 0,59].
• 0,348 ∉ I, on en déduit que les naissances de garçons
à Aamjiwnaag sont anormalement basses.
a) Fourchette de sondage au niveau 0,95 :
1 1 1 1
冤
I= f–
1n
;f+
1n 冥 冤
≈ 0,54 –
5350
; 0,54 +
5350 冥
≈ [0,486 ; 0,593].
c) Les fréquences se stabilisent autour de f ≈ 0,35.
b) On ne peut rien affirmer, si ce n’est que, dans 95 %
L’intervalle de confiance au niveau 0,95 est [0,28 ; 0,42].
des cas, il aurait obtenu un score p ∈ I.
On peut affirmer que P appartient à cet intervalle avec
a) Les fréquences se stabilisent autour de f ≈ 0,2. un risque d’erreur de 5 %.
b) f ≈ 0,2 ; n = 160 donc la fourchette de sondage au
1 1 a) Échantillon 1 : intervalle de fluctuation au seuil
1
冤
niveau 0,95 est 0,2 –
5160
; 0,2 + 冥
5160
≈ [0,12 ; 0,28]. de 95 % : I = [0,337 ; 0,703], donc f ∈ I.
∉ [0,12 ; 0,28], donc la direction n’embauchera pas de Échantillon 2 : intervalle de fluctuation au seuil de
3 95 % : I’ = [0,350 ; 0,689], donc f ’ ∉ I’.
personne supplémentaire au « S.A.V. », avec un risque
d’erreur de 5 %. b)
Intervalle I Fréquence f
Taille de f∈I
de fl uctuation dans
a) Taille de l’échantillon : n = 200. l’échantillon au seuil de 95 % l’échantillon oui ou non
Fourchette de sondage au niveau 0,95 :
1 1 30 [0,337 ; 0,703] 0,6 Oui
冤0,88 –
5200
; 0,88 +
5200 冥
≈ [0,80 ; 0,95].
35 [0,350 ; 0,689] 0,3 Non
La proportion p des années à au moins 5 accidents sur 40 [0,361 ; 0,678] 0,5 Oui
22 jours est comprise dans l’intervalle [0,80 ; 0,95] avec
45 [0,371 ; 0,669] 0,6 Oui
un risque d’erreur de 5 %.
b) Cette série est donc le fait du hasard. 50 [0,379 ; 0,661] 0,3 Non
3
a) Intervalles de fluctuation au seuil de 95 % : Avec un risque d’erreur de 5 %, on peut estimer que p
• À pied ou à vélo : I = [0,188 ; 0,412]. appartient à l’intervalle [0,12 ; 0,25].
f = 0,35 ∈ I donc l’échantillon est représentatif du dépar- a) Cela dépend de la taille de la population, ce n’est
tement pour ce mode de transport. pas le cas dès que n 10 000. En effet, dans le cas où
• En transports publics : I’ = [0,188 ; 0,412]. n = 20 000, par exemple, l’intervalle de fluctuation au
f ’ = 0,4 ∈ I donc l’échantillon est représentatif du dépar- seuil de 95 % est I = [0,353 ; 0,367] et 0,35 ∉ I.
tement pour ce mode de transport. 1 1
b) Faux, il l’est dès que 0,55 – 0,35 donc 1n
• En voiture avec un proche : I“ = [0,288 ; 0,512]. 1n 0,2
soit 1n 5 c’est-à-dire n 25.
f “ = 0,25 ∉ I donc l’échantillon n’est pas représentatif du 2
c) Faux, plus la taille de l’échantillon est grande, plus
département pour ce mode de transport. 1n
b) Pour n = 40 : I = I’ = [0,142 ; 0,458] est petit, donc l’amplitude de l’intervalle de fluctuation
et I“ = [0,242 ; 0,558]. au seuil de 95 % est petit.
Dans ce cas, f ∈ I, f ’ ∈ I’, f “ ∈ I“ donc l’échantillon est 1.
représentatif du département pour les trois modes de Si a = 2 et b = 6 alors
transport. p prend la valeur p + 1
1 1 2 FinSi
0,04 =
1n 冢
– – 冣
1n
= .
1n 2. Par exemple :
Donc 1n = 50, ainsi n = 2 500.
Cet institut de sondage a interrogé 2 500 personnes.
Dans les deux cas, la taille de l’échantillon est
n = 200.
Graphique A : f s’approche de 0,21, la fourchette de
sondage au niveau 0,95 est : [0,14 ; 0,28] = I
0,20 ∈ I. 1
3. a) La probabilité est .
L’affirmation du fabricant ne peut pas être contredite 36
b) L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % pour un
avec un risque d’erreur de 5 %.
échantillon de taille 100 est donc :
Graphique B : f s’approche de 0,30, la fourchette de
冤 冥
13 23
sondage au niveau 0,95 est : [0,23 ; 0,37] = I – ;
180 180
0,20 ∉ I’. c) La fréquence 0,2 n’est pas dans l’intervalle précédent.
L’affirmation du fabricant peut être contredite, avec un Seulement 5 % des simulations donnent une fréquence
risque d’erreur de 5 %. en dehors de l’intervalle.
On détermine les fourchettes de sondage au seuil
0,95 pour chacun des deux groupes. 5. Se préparer au contrôle
1 1
冤 冥
75 75
• Groupe A : – ; + = [0,65 ; 0,85]. • QCM
100 5100 100 5100
1 1
冤 冥
65 65 1. a) Faux. Revoir la synthèse de l’activité 2,
• Groupe B : – ; + = [0,55 ; 0,75].
100 5100 100 5100 page 264.
On ne peut rien affirmer car ces deux intervalles ne sont b) Faux. Erreur possible : confusion entre f et p, entre
pas disjoints. Il se peut, par exemple, que pA = 0,6 et intervalle de fluctuation et intervalle de confiance.
pB = 0,7. c) Vrai. Revoir la synthèse de l’activité 2, page 264.
260 2. a) Faux. En effet, cette formule affiche un nombre
f= ≈ 0,26.
1 000 entier aléatoire entre 0 et 6.
On détermine l’intervalle de confiance au niveau b) Vrai. En effet, la formule « =ALEA.ENTRE.BORNES(a;b) »
1 1
冤
seuil 0,95 : 0,26 –
71 000
; 0,26 +
71 000 冥
≈ [0,23 ; 0,29]. affiche un nombre entier aléatoire entre a et b.
c) Faux. Erreur possible : penser que « ALEA() » donne un
On peut donc estimer, avec un risque d’erreur de 5 %,
nombre entier, alors qu’il affiche un nombre aléatoire
que la proportion p de CD défectueux sur l’ensemble des
réel de l’intervalle [0 ; 1[.
achats de l’entreprise est comprise entre 0,23 et 0,29.
3. a) b) Faux. Erreur possible : ne pas tenir compte du
46 fait qu’il n’y a pas le même nombre de boules rouges et
f= ≈ 0,184.
250 de boules vertes.
Intervalle de confiance au seuil 0,95 : c) Vrai. En effet, les proportions de boules rouges
1 1
冤 冥 冢 冣 冢 冣
2 3
0,184 – ; 0,184 + ≈ [0,12 ; 0,25]. = 0,4 et de boules vertes = 0,6 sont les mêmes
5250 5250 5 5
4
que les amplitudes de l’intervalle [0 ; 0,4[ (0,4 – 0 = 0,4) b) Une simulation pourraît être : 7 – 3 – 1 – 2 – 4 – 1 – 3 –
et de l’intervalle [0,4 ; 1[ (1 – 0,4 = 0,6). 7–2–2–1–4–2–1–6–7–7–3–2–7–5–1–4–
1. a) Faux. Erreur possible : penser que l’amplitude 7 – 1 – 4 –6 – 6 – 3 – 3 – 7 – 4 – 5 – 6 – 6 – 2 – 3 – 1 – 4 –
1 1 6 – 6 – 3 – 3 – 7 – 4 – 6 – 7 – 2 – 5.
de cet intervalle est et utiliser le fait que = 0,1, alors
n 10
1 a) [0,36 ; 0,6].
que l’amplitude de cet intervalle est 2 × .
1n 1
b) [0,634 ; 0,766].
b) Faux. Erreur possible : confondre l’amplitude 2 × 58
1 450 p = 0,24 ; n = 200 ; f = = 0,29.
avec . 200
92 × 50 1 1
c) Vrai. En effet, 2 × =2× = 0,1. L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est I = [0,17 ; 0,31].
5400 20 f ∉ I donc l’échantillon prélevé n’est pas « anormalement »
2. a) Faux. Erreur possible : déterminer l’intervalle de
dangereux.
confiance au niveau 0,95 de p,
1 1 p = 0,4 ; n = 200 ; f = 0,48.
冤
à savoir 0,26 –
450
; 0,26 +
450 冥 , au lieu de l’intervalle
L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est I = [0,33 ; 0,47].
de fluctuation au seuil de 95 %.
f ∉ I, f est supérieure à la valeur maximale de I, on peut
b) Vrai. En effet, l’intervalle de fluctuation au seuil de
1 1 considérer que la publicité a porté ses fruits.
95 % est p – 冤 450
;p+
450 冥, soit approximativement
a) Fourchette de sondage au niveau 0,95 :
[0,058 ; 0,342]. • Candidat A : [0,3 ; 0,36].
1
c) Faux. Erreur possible : erreur dans le calcul de .
450 • Candidat B : [0,35 ; 0,41].
3. a) Vrai. En effet, f = 0,26 et 0,26 ∈ [0,058 ; 0,342]. • Candidat C : [0,26 ; 0,32].
b) Faux. Erreur possible : mauvaise lecture de l’intitulé Les électeurs maintenant leurs intentions de vote, on
de la question. peut conserver ces fourchettes pour évaluer leur score
c) Faux. Erreur possible : mauvaise compréhension de à l’élection.
la synthèse de l’activité 2, page 264. b) • CAB : Oui.
• ACB : Oui.
• Vrai – Faux
• CBA : Oui.
a) Vrai. Revoir la synthèse de l’activité 1, page 263. • BAC : Non.
b) Vrai. En effet, si f ∉ I, alors on peut rejeter l’hypothèse c) Soit n la taille de l’échantillon, il faut que
que l’échantillon soit compatible avec le modèle, c’est-à- 1 1 1 1
0,29 + < 0,33 – et que 0,33 + < 0,38 – .
dire avec la fréquence p du caractère dans la population. 1n 1n 1n 1n
c) Faux. Erreur possible : on ne peut en déduire que des 1 1 2
• 0,29 + < 0,33 – donne successivement < 0,04 ;
fréquences théoriques possibles dans un intervalle, pas 1n 1n 1n
de fréquence théorique exacte. 2 2
冢 冣
2
1 < 1n ; < n ; 2 500 < n ;
d) Vrai. En effet, l’amplitude de l’intervalle est 2 × , 0,04 0,04
1n 1 1 2
donc plus n est grand, plus cette amplitude est petite. • 0,33 + < 0,38 – donne successivement <0,05 ;
1n 1n 1n
2 2
冢 冣
a) Vrai. En effet, 0,54 ∉ [0,3 ; 0,5], or il n’y a que 2
< 1n ; < n ; 1 600 < n.
5 % des échantillons dont les fréquences ne sont pas 0,05 0,05
dans cet intervalle. Il faut donc n > 2 500 et n > 1 600. Ainsi, pour être certain
1 1 1 1
冤
b) Vrai. En effet, f – ; f +
1n 1n 冥 冤
= 0,37 –
460
; 0,37 +
460 冥 que le résultat soit CAB, il aurait fallu obtenir les mêmes
fA, fB et fC avec un échantillon de taille n = 2 501 (ou plus).
soit environ [0,24 ; 0,5].
b) Situation A : 9 cas
1. a) • = ALEA.ENTRE.BORNES (1 ; 100)
Situation B : 9 cas
• = ALEA.ENTRE.BORNES (1 ; 40)
Situation C : 12 cas
9 9 12 b) • Cette formule permet d’indiquer VRAI dans la cellule
c) fA = = 0,3 ; fB = = 0,3 ; fC = = 0,4. C1 lorsque la condition A1 < 5 est vraie ou que la condi-
30 30 30
d) Intervalle de confiance au niveau 0,95 : tion B1 = 7 est vraie.
Situation A : IA = [0,117 ; 0,482] • C2 : FAUX ; C3 : VRAI ; C4 : VRAI
2. a) En cellule B2, saisir la formule :
Situation B : IB = [0,127 ; 0,482]
= ALEA.ENTRE.BORNES (1 ; 100)
Situation C : IC = [0,217 ; 0,582]
En cellule C2, saisir la formule :
1 1
2. a) p(A) = p(B) = ; p(C) = . = SI (B2 < = 1 ; OUI ; NON)
4 2
b) Ces résultats sont cohérents car : En cellule D2, saisir la formule :
p(A) ∈ IA ; p(B) ∈ IB ; p(C) ∈ IC. = ALEA.ENTRE.BORNES (1 ; 40)
En cellule E2, saisir la formule :
1. a) Par exemple = SI (D2 < = 1 ; OUI ; NON)
En cellule F2, saisir la formule :
i 1 2 3 4 5 = OU (C2 = OUI ; E2 = OUI)
x 0 0 1 1 0 c) • Cette formule compte la fréquence d’apparition des
p 0 1 2 2 2 3 « VRAI » dans la colonne F.
• G10 = NB.SI(F$2:F10 ; VRAI)/A10
À la sortie de la boucle p = 3 et la fréquence affichée
3 2. a)
est = 0,6.
5
b) p est le nombre d’apparitions de « pile » lors des
n lancers.
x est le résultat du lancer de la pièce :
x = 0 pour « pile » et x = 1 pour « face ».
c) Si x = 0, c’est-à-dire que l’on obtient « pile », alors la
valeur de la variable p est augmentée de 1, sinon on
obtient « face » et la valeur de p reste inchangée.
d) Exemple de nuage obtenu.
2. Par exemple :
冢 冣
2
enfin n = ≈ 41,35 ≈ 41.
est diminuée. 0,311
En conséquence, l’estimation de p est plus précise. Cet échantillon est de taille n = 41.
7
Algorithmique et fonctions
n Entrée
a) La variable y prend la valeur Saisir x (x réel de l’intervalle [0 ; 6])
2
n n
lorsque floor 冢2冣 = 2 , et elle prend la valeur 3n + 1 lorsque Traitement
Si x ⭐ 3 alors
n n
floor 冢2冣 ≠ 2 . 1
y prend la valeur x2
2
b) sinon
1
y prend la valeur – x2 + 6x – 9
n 0 1 2 3 4 5 50 51 2
FinSi
f(n) 0 4 1 10 2 16 25 154
Sortie
c) Saisie et test d’un programme écrit avec la calculatrice. Afficher y
c) Avec AlgoBox
a)
1 7
x – 2 – 1,5 0 2 3 3,1
2 2
3
f(x) –1 0 2 0 – 1 – 1,8 – 1
2
b)
y
3
a)
2 x –2 0 0,4 1 2
x
2
4 0 0,16 1 4
1 x
3
–8 0 0,064 1 8
b) Avec AlgoBox
–3 –2 –1 O 1 2 3 4 x
–1
–2
1
a) Pour x ∈ [0 ; 3], f(x) = x × x
2
1
= x2.
2
1
Pour x ∈ [3 ; 6], f(x) = 9 – (6 – x)2 c) Pour tout réel x, x3 – x2 = x2(x – 1). x2 ⭓ 0, donc le signe
2
1 2 de x3 – x2 est celui de x – 1.
= – x + 6x – 9.
2 Si x ⭐ 1, alors x3 ⭐ x2 ; si x ⭓ 1, alors x3 ⭓ x2.
2
1 1 5 b) Saisie et exécution du programme.
a) f(2) = (3 × 2) – = ;
2 2 2
1 1 23 a) La boucle est gérée par la condition : F1(x) < k.
f(4) = (3 × 4) – = ;
2 4 4 On sort de la boucle lorsque F1(x) ⭓ k.
1 1 1 b)
f(– 1) = (3 × (– 1)) – =– ;
2 (– 1) 2
x 0 1 2 3 4
1 1 73
f(– 5) = (3 × (– 5)) – =– . F1(x) 7 14 25 40 59
2 (– 5) 10
b) L’inverse de 0 n’est pas défini, donc la fonction f n’est La valeur affichée par le programme est x = 4.
pas définie en 0. c) k étant donné, le programme affiche le premier entier
c) Pour x réel non nul, naturel x pour lequel F1(x) ⭓ k.
1 1 3x 1 Par exemple, pour k = 50, x = 4 est le premier entier
f(x) = (3x) – = – .
2 x 2 x naturel pour lequel F(x) ⭓ 50.
d) • Algorithme d) On saisit le programme à l’ordinateur ou à la calcu-
Entrée latrice. On obtient :
Saisir x – pour k = 100, x = 6 ;
Traitement – pour k = 500, x = 15 ;
Si x = 0 alors – pour k = 1 000, x = 22.
Sortie
a) Avec AlgoBox
Afficher « f n’est pas définie en 0 »
sinon
3x 1
y prend la valeur –
2 x
Sortie
Afficher y
FinSi
• Avec AlgoBox
Thème 3
1. a) On saisit le programme et on b) On teste alors le programme avec différentes valeurs
lance son exécution ; on construit ainsi à l’écran, dans de a, b, c, u et v. On vérifie les propriétés de la parabole
le repère défini, quatre points successifs de la courbe vues en cours.
représentative de la fonction F1.
b) En poursuivant de la même façon, on construirait
21 points pour obtenir le résultat escompté.
Thème 4
2. a) a)
i 0 1 2 … 20 i 1 2 3 4 5
Point x 1 2 3 5 8 13
(0 ; F1(0)) (0,1 ; F(0,1)) (0,2 ; F(0,2)) … (2 ; F(2))
construit y 2 3 5 8 13 21
x 0 0,1 0,2 0,3 … 2,1 z 3 5 8 13 21
3
b) Pour n = 8, les nombres affichés par l’algorithme sont : b)
3 ; 5 ; 8 ; 13 ; 21 ; 34 ; 55 ; 89. a 0 0,5 0,5 0,625
c) Avec AlgoBox
b 1 1 0,75 0,75
m 0,5 0,75 0,625 0,687 5
F1(m) 0,62 1,17 0,86 1,01
Valeur approchée
Valeur exacte
avec 8 décimales
3
a2 1,5
2
17
a3 1,416 666 67
12
577
a4 1,414 215 69
408
665 857
a5 1,414 213 56
470 832
c) L’exécution du programme permet de vérifier les 2. a)
valeurs trouvées à la question a).
Entrée
Saisir p (p entier, p ⭓ 2)
a) Saisir n (n entier, n ⭓ 2)
Initialisation
a prend la valeur p
Traitement
Pour i de 2 jusqu’à n
p
冢 冣
1
a prend la valeur a +
2 a
Sortie
Afficher a
FinPour
4
b) • Avec AlgoBox • Avec le tableur
=C1
=(A1+C$1/A1)/2
5
Algorithmique et géométrie
x +x y +y
ment [AB] sont données par la formule A B ; A B .
2 2
2–1 3+7 1
On obtient I ; , autrement dit I ; 5 .
2 2 2
b) Les variables sont xA, xB, xI.
c) L’algorithme conduit au calcul de l’abscisse du point I :
x +x
xI = A B . Cette abscisse est affectée à la variable xI.
2
d) Les variables utilisées dans chacun des programmes
sont les variables P, Q et T qui stockent respectivement c) • Avec une calculatrice Casio
les abscisses des points A, B et I.
e) • Avec AlgoBox
Entrées
Saisir les coordonnées xA, yA du point A
Saisir le coefficient directeur m de la droite d
Traitement
Affecter à la variable p la valeur yA– m × xA
Sortie
Afficher p
• Avec AlgoBox
• Algorithme
Entrées
t
Saisir les coordonnées (xU, yU) du vecteur u
Saisir le nombre réel k
Traitement
d) Avec une calculatrice Casio
Calculer kxU, abscisse du vecteur ktu
Affecter cette abscisse à la variable xP
Calculer kyU, ordonnée du vecteur ku t
Affecter cette ordonnée à la variable yP
Sortie
e) Avec les données de la question a), le résultat obtenu Afficher xP et yP
pour l’ordonnée à l’origine de la droite d est – 1, avec le
programme AlgoBox. • Avec AlgoBox
• Algorithme
Entrées
Saisir les coordonnées (xU, yU) du premier vecteur
Saisir les coordonnées (xV, yV) du second vecteur
Traitement a) Avec GeoGebra
Calculer xU + xV , abscisse du vecteur somme
Affecter cette abscisse à la variable xS
Calculer yU + yV , ordonnée du vecteur somme
Affecter cette ordonnée à la variable yS
Sortie
Afficher xS et yS
2
AM = 9(2 – 3,w2)2 + (4 – 0,6)2 = 413
BM = 9(2 – (–w 1))2 + (4 – 2)2 = 413.
Donc M appartient à la médiatrice du segment [AB].
De la même manière, pour savoir si le point N appar-
tient à la médiatrice du segment [AB], on compare les
longueurs AN et BN.
AN = 9(3,3 – w3,2)2 + (8 – 0,w6)2 = 854,77
BN = 9(3,3 – w(– 1))2 + (8 – w2)2 = 854,49.
AN ≠ BN, donc N n’appartient pas à la médiatrice du
BAES est un parallélogramme, donc ZAS = ZAB + ZAE. En
segment [AB].
outre, AZ B(– 2 ; – 3) et A
Z E(3 ; – 1), donc A
Z S(– 2 + 3 ; – 3 – 1).
b) Il suffit de comparer les longueurs AM et BM.
Ainsi, ZAS(1 ; – 4).
AM = 9(0 – 3,w2)2 + (– 2 – 0,w6)2 = 417
x –x =1
On en déduit le système S A ,
yS – yA = – 4 BM = 9(0 – (–w 1))2 + (– 2 – w2)2 = 417.
Donc M appartient à la médiatrice du segment [AB].
y = – 4 + y = – 4 + 2 = – 2 .
xS = 1 + xA = 1 + 1 = 2
puis
S A
De la même manière,
Donc S(2 ; – 2). AN = 9(12 – w3,2)2 + (2,242w – 0,6)2 ≈ 5,885 1
b) On sait que ZAB(xB – xA ; yB – yA), ZAE(xE – xA ; yE – yA), BN = 9(12 – (w– 1))2 + (2,24w2 – 2)2 ≈ 5,886 99.
ZAS(xS – xA ; yS – yA) et ZAS = ZAB + ZAE. AN ≠ BN, donc N n’appartient pas à la médiatrice du
x –x =x –x +x –x segment [AB].
Donc S A B A E A ,
yS – yA = yB – yA + yE – yA 2. Les variables utilisées sont x, y, d1 et d2, toutes du
y = y + y – y .
xS = xB + xE – xA type nombre.
autrement dit
S B E A 3. d1 = AM2.pow (nombre,2) est la syntaxe AlgoBox
c) permettant le calcul du nombre au carré.
Entrées 4. d2 = BM2.
Saisir les coordonnées xA, yA, xB, yB, xE, yE des points 5. M appartient à la médiatrice du segment [AB] si et
A, B et E seulement si AM2 = BM2, autrement dit si et seulement
Traitement si d1 = d2.
Calculer xB + xE – xA 6. « Texte 1 » peut être remplacé par « oui, le point testé
Affecter cette abscisse à la variable xS appartient à la médiatrice du segment [AB] » ; « Texte 2 »
Calculer yB + yE – yA sera remplacé par « non, le point testé n’appartient pas
Affecter cette ordonnée à la variable yS à la médiatrice du segment [AB] ».
Sortie
Afficher xS et yS
d) Avec une calculatrice Casio
Thème 2
1. a) Pour savoir si le point M appartient
à la médiatrice du segment [AB], il suffit de comparer les
longueurs AM et BM.
3
a) – 3,25 × (– 2,25) + 4,005 = 11,317 5 d) Voici deux exemples d’algorithme programmés avec
– 3,25 × (– 1,25) + 4,005 = 8,067 5 AlgoBox.
• La fonction est définie dans l’onglet « Utiliser une fonc-
– 3,25 × (1,55) + 4,005 = – 1,032 5
tion numérique ».
– 3,25 × (– 0,05) + 4,005 = 4,167 5
325 801
– 3,25 × 12 + 4,005 = – 12 + .
100 200
Abscisse
du point – 2,25 – 1,25 1,55 – 0,05 12
M
Ordonnée
801 32512
du point 11,3 8,067 5 1,032 5 4,15 –
200 1 000
M
Le point M
appartient-il Non Oui Non Non Non
à la droite d ?
b) Un exemple d’algorithme
Entrées
Saisir les coordonnées x et y du point M
Traitement
I prend la valeur – 3,25 × x + 4,005
Si I = = y alors
Message prend la valeur « Vrai »
Sinon
Message prend la valeur « Faux »
FinSi • Variante, sans utiliser l’onglet « Utiliser une fonction
numérique ».
Sortie
Afficher Message
c) Avec AlgoBox
• Avec Xcas
La copie d’écran suivante attire l’attention de l’élève sur
les problèmes d’arrondis et l’invite à porter un regard
critique sur les résultats retournés par le logiciel.
4
Les coordonnées de I1 sont (8 ; 0).
Les coordonnées de I2 sont (4 ; 0).
Les coordonnées de I3 sont (2 ; 0).
Les coordonnées de I4 sont (1 ; 0).
d) Pour construire ces quatre milieux,
(1 + 4) + (2 + 2 × 4) = 15 lignes de code ont été utilisées.
Pour construire 10 milieux, (1 + 10) + (2 + 2 × 10) = 33
lignes de code seraient nécessaires, et 1 + 10 = 11 variables
seraient utilisées.
Pour construire 100 milieux, (1 + 100) + (2 + 2 × 100) = 303
lignes de code seraient nécessaires, et 1 + 100 = 101
variables seraient utilisées.
e) Avec une boucle « pour », 9 lignes de code sont néces-
saires pour construire 4 milieux.
Il faut également 9 lignes de code pour construire 10 milieux
ou 100 milieux.
Deux variables sont utilisées, quel que soit le nombre
1. a) ZAB(– 1 – 2 ; 2 – 1), donc ZAB(– 3 ; 1).
de milieux à construire.
EDC(1,5 – 1 ; – 0,5 – 0,5), donc EDC(0,5 ; – 1).
f) Dans l’algorithme suivant, l’utilisateur peut choisir le
ZAB ≠ EDC, donc ABCD n’est pas un parallélogramme.
nombre de constructions et l’abscisse du point A.
b) ZAB(– 3 ; 1) et EDC(3 ; – 1), donc ABCD n’est pas un
parallélogramme.
2. ABCD est un parallélogramme si les coordonnées des
vecteurs ZAB et EDC sont égales.
3. Un exemple d’algorithme
Entrées
Saisir les coordonnées xA, yA du point A
Saisir les coordonnées xB, yB du point B
Saisir les coordonnées xC, yC du point C
Saisir les coordonnées xD, yD du point D
Traitement
xAB prend la valeur xB – xA
yAB prend la valeur yB – yA
xDC prend la valeur xC – xD
yDC prend la valeur yC – yD
Si (xAB = xDC et yAB = yDC), alors
g) L’utilisateur peut choisir le nombre de constructions, la
Message prend la valeur « ABCD est
un parallélogramme » variable associée est N. En revanche, il ne peut pas choisir
Sinon l’abscisse du point A, celle-ci étant fixée à 16 (variable X).
Message prend la valeur « ABCD n’est pas Le compteur de boucle est la variable C qui varie de 1 à N.
un parallélogramme » h) L’abscisse du dernier point construit est 0,062 5, elle
FinSi est donc supérieure à 10– 2.
11 tours sont nécessaires pour obtenir une abscisse
Sortie Afficher Message
x ⭐ 10– 2. On obtient alors x = 0,007 812 5.
xA + xB yA + yB 1 7
a) I ; , donc I – ; .
2 2 2 2
yB – yA 3 + 3 6
1. = = = 2;
xB – xA 2 + 1 3
yC – yA 11 + 3 14
= = ≠ 2,
xC – xA 5 + 1 6
donc les points A, B et C ne sont pas alignés.
List 4[1] – List 2[1] y –y
2. a) représente B A pour les
Liste 3[1] – List 1[1] xB – xA
points A et B de la ligne 1.
b) Supposons le résultat du dé rouge égal à 3 et le résultat
du dé vert égal à 2. Alors H(3 ; 2), donc les points A, B, H b) Avec une calculatrice Casio
sont alignés, puisque f(3) = 2.
c) Les points A(6 ; 5), B(2 ; 1) et H(x ; y) sont alignés si et
seulement si y = x – 1,
soit y – x = – 1. c) Les points A, B et C sont alignés si et seulement si
d) Le résultat est aléatoire. M = N.
Le feuille de calcul suivante permet de préciser la loi de
d) Avec une calculatrice Casio
probabilité de l’expérience aléatoire.
3.
e) Avec AlgoBox
4.
Les points
A B C A, B et C
sont-ils alignés ?
(– 1 ; – 3) (2 ; 3) (5 ; 11) Non
(0 ; 2) (3 ; – 7) (– 4 ; 14) Oui
(2 ; 5) (– 2 ; 3) (4 ; 6) Oui
• Avec la calculatrice TI
Exemple d’utilisation
c) • Avec la calculatrice Casio
7
Premiers pas en algorithmique
Activités d’approche
Thème 1 d) f 冢3冣 = 2
1
e) f 冢– 冣 =
1 5
Des calculs d’hypoténuses
2 2
1. a) BC = 5 cm. b) BC = 6 cm. 2. Saisie du programme à l’ordinateur ou à la calculatrice.
c) BC ≈ 9,6 cm. d) BC ≈ 10,1 cm. 3. On vérifie le programme avec les nombres de la
2. Saisie de l’un des programmes proposés. question 1.
3. On peut exécuter le programme saisi avec les valeurs
de la question 1. et en vérifier ainsi le fonctionnement. Un tarif de photocopies
1. Pour 10 photocopies, le montant à payer est 1,5 € ;
Un programme de calcul pour 50 photocopies, il est de 7,5 € et pour 100 photo-
1. On obtient les résultats suivants : copies, de 12,5 €.
a) 140 b) 3 458 c) 50 300 2. Le programme complété est le suivant.
2. a)
N 17 18 19 20 21 22 23 24
S 7 001 7 141 7 284 7 429 7 578 7 729 7 884 8 042
b) Paul a placé la somme de 5 000 €, la banque rémunère
son placement au taux de 2 % par semestre. L’algorithme
Thème 3 calcule et affiche la somme détenue par Paul chaque
semestre du placement jusqu’à ce que cette somme
Calcul d’une somme dépasse 8 000 €.
1. a) • n = 1, S = 1. 2. a) • Avec AlgoBox
• n = 2, S = 3.
• n = 3, S = 6.
• n = 4, S = 10.
• n = 5, S = 15.
b)
i 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
S 0 1 3 6 10 15 21 28 36 45 55
Pour n = 10, on obtient S = 55.
2. a) • Avec AlgoBox
2
On vérifie que les résultats affichés sont bien ceux Entrées
obtenus à la question 1. a). Saisir S, t, F
b) Afin que ce programme soit d’une portée plus géné- Initialisations
rale, on peut prévoir de saisir la somme initiale détenue N prend la valeur 0
par Paul, le taux d’intérêt semestriel t (en %) et la valeur Traitement
F maximale. Tant que S < F
冢 冣
t
S prend la valeur S × 1 +
100
N prend la valeur N + 1
Sorties
Afficher N et S
FinTantque
3
Algorithmique, statistiques
et probabilités
Thème 1 b) On peut récupérer la feuille de calcul sur la page web
http://www.insee.fr/fr/ppp/bases-de-donnees/recen-
a) Me = 5, Q1 = 2, Q3 = 6. sement/populations-legales/pages2009/xls/dep62.xls.
b) Il y a cinq variables de type nombre : Min, Max, Q1, On saisit =SI(J9<500;017*45029,8;”>10000” dans la co-
Q3 et Me. lonne K.
d) Exécution en mode pas à pas. On saisit ensuite =NB.SI(K9:K903;7655,066) dans la case
K904 du tableur. On obtient la valeur 472.
Le nombre de maires percevant une indemnité annuelle
inférieure à 10 000 € est donc égal à 472.
1
• Avec une calculatrice Casio b)
1 1 Next End
est donc p – ;p+ ,
1n 1n Xcas Open Office
1 1 pour C de 1 jusque 20 pas 1 For C = 1To 20 Step 1
où – ≈ 0,52 – ≈ 0,350 9,
1n 435 faire …
1 1 …; Next C
p+ ≈ 0,52 + ≈ 0,689.
1n 435 fpour ;
Donc la fréquence f n’appartient pas à cet intervalle.
1. Il suffit d’expérimenter en lançant deux dés à 20
• Dans le département B, on a étudié un échantillon de 40
reprises et de comptabiliser le nombre de « doubles ».
véhicules. L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est
Le bilan financier est égal à 15,5 € si le nombre de
1 1
donc p – ; p + ,
1n 1n « doubles » est égal à 3.
1 1 2. a) Avec une calculatrice Casio
où – ≈ 0,361 9, p + ≈ 0,678 1,
1n 1n
donc la fréquence f appartient à cet intervalle.
• Dans le département C, on a étudié un échantillon de 45
véhicules. L’intervalle de fluctuation au seuil de 95 % est
1 1
donc p – ; p + ,
1n 1n
1 1 b) Une première simulation de taille 20 conduit à :
où p – ≈ 0,370 9, p + ≈ 0,669 1,
1n 1n
donc la fréquence f appartient à cet intervalle. Issue –1 0,5 Total
Effectif 15 5 20
Bilan financier – 15 2,5 – 12,5
– p + 2f = 8
On peut aussi résoudre le système pour
p + f = 10
répondre à cette question.
e) Lilian a d’abord obtenu 2 puis 5, et enfin 8. Il a fallu
jouer 3 fois pour obtenir 8.
f) On a joué 25 fois et obtenu les résultats suivants :
8 ; 8 ; 5 ; – 1 ; 8 ; 11 ; 8 ; 5 ; – 1 ; 17 ; – 1 ; 14 ; 11 ; 2 ; 5 ; 5 ; 11 ;
8 ; 8 ; – 7 ; 11 ; 2 ; – 1 ; 14 ; 11. Le score moyen est donc
égal à 6,44.
g) • Il est possible de gagner en 5 pas, il suffit d’obtenir
une seule fois pile sur les cinq lancers.
Thème 4
a) On pose f(x) = mx + p. On cherche m et p tels
que f(0) = – 1 et f(1) = 2. Soit d la droite représentative
de la fonction affine f. L’ordonnée à l’origine de d est – 1
• Il est possible de gagner en 7 pas, il suffit d’obtenir une
puisque f(0) = – 1.
ou deux fois pile sur les 7 lancers.
Le coefficient directeur de la droite d est
2 – (– 1)
m= = 3.
1–0
On en déduit que, pour tout réel x,
f(x) = 3x – 1.
b) Jouer permet de mieux appréhender le jeu. • Il est possible de gagner en plus de 20 pas, comme le
c) • Un exemple d’algorithme montrent les écrans de calculatrice ci-après.
4
b)
6
1. La loi est équirépartie, donc p = .
10
2. Avec une calculatrice Casio
1 1 1 1
p– ;p+ , où p – = 0,6 – = 0,4 et
1n 1n 1n 425
1
p+ = 0,8. Donc la fréquence f = 0,32 n’appartient
1n
pas à cet intervalle.
4. a)
1 1
appartenant à l’intervalle p – ;p+ .
1n 1n