Amdec Final
Amdec Final
Amdec Final
-Sécurité organisations.
QUAND ?
Cette méthode pouvant être mise en œuvre tout au long le cycle de vie du système :
Industrialisation, fabrication.
Exploitation et maintenance.
COMMENT ?
Et permettant :
3. Principes de L’AMDEC
Marche normale
Objectifs à atteindre
Obtenir au meilleur coût le rendement global maximum des équipements de production (tête
motrice) en maîtrisant les défaillances.
Image de marque.
5. Découpage fonctionnel
Climatiseur
ELEMENT FONCTION
transmettre impérativement
Évaporateur
l’énergie afin de permettre
un échange calorifique
parfaitement défini.
d'Aspirer; comprimer et
permet d'alimenter
correctement l'évaporateur
Détendeur :(le capillaire)
en fluide frigorigène
DEMARCHE PRATIQUE :
Evaluation de la criticité.
ventilateur Rôle très important pour ventilateur de Casse Effets sur le Visuel
le fonctionnement d'un l’évaporateur fonctionnement
compresseur et tourne à de l'évaporateur
évaporateur l’envers ou ne et compresseur
fonctionne
plus
ESTF-GTE AMDEC
Machine : climatiseur Phase de fonctionnement :
l’emplacement
du condenseur
Refroidir et changer la Condenseur est mal choisi Le condenseur Visuel
phase de fluide frigorigène de trop petit (une n’assurant plus
l'état vapeur à l'état liquide réduction un bon L’augmentation
les tubes et les de la HP
anormale de la refroidissement
Condenseur ailettes du
puissance du des vapeurs de
condenseur
condenseur) FF.
sont encrassés
la consommation
électrique du
la perte de compresseur est
charge plus importante
la courroie du Le compresseur
ventilo- aspirant moins de
condenseur FF qu’il en peut
patine ou est
cassée
le condenseur
est encrassé
la
consommat-
ion
électrique
du 1 3 5 15 MPT:
compresseur Contrôler le
le est plus condenseur
condens- importante
eur est
encrassé Le
compresseur
aspirant 1 3 4 12 MPH:
moins de FF Garantir le
le manque qu’il en peut débit d'air
de débit nécessaire
d’air sur
le
condens-
eur
AMDEC
Système : climatiseur Phase de Date de
Sous-système : détendeur fonctionnement : l’analyse:
Marche normale
Elément Fonction Mode de la Cause de Effet de la Détection Criticité Action corrective.
défaillance la défaillance F G N C
défaillanc
e
Détendeur C’est un Détendeur détendeur Le la température du 1 3 5 15 MR:
dispositif qui trop petit mal compresseur fluide à refroidir à Changement de
permet de sélectionn peut aspirer l’entrée de détendeur
détendre le é plus de l’évaporateur
fluide vapeurs que augmente
frigorigène de détendeur l’évaporateu
haute pression grippé r
à basse mécaniqu manque de
pression ement
FF dans 1 3 5 15 MPT:
l’évaporateu vérification.
r
la BP
filtre à devient
l’entrée du
détendeur
colmaté
anormaleme
nt faible 1 3 5 15 MPT:
Vérification
7. Eléments critiques
condenseur 15
évaporateur 12.
Couronne 15
Après avoir fixé un seuil de criticité c>=12 on a eu le tableau ci-dessous. Donc voici les Les
actions a entreprendre au niveau de :
Les politiques concernant le personnel de maintenance doivent porter sur les points suivants :
a) le nombre, rapporté à l'échelle des opérations.
b) les méthodes de choix, de formation et de promotion.
c) les aptitudes professionnelles.
d) le nombre de contrôleurs et les pratiques de contrôle.
e) l'échelle des salaires et les stimulants.
f) les programmes de sécurité.
Les conditions de travail et la sécurité ne peuvent être ignorées. La maintenance doit se
préoccuper des accidents possibles dans son personnel et de ceux occasionnés aux autres par
sa présence. Toute préparation de travail débutera par la rédaction de consignes (travaux
électriques, travaux au feu, risques de chutes, intoxication, contamination, explosion, etc.)
se terminera par une remise en état définitive (protections, consignes, etc.).Comme un
membre de l'entretien fait partie du comité Hygiène et Sécurité, il lui appartient d’étudie toute
modification, protection à effectuer sur les matériels pour éliminer les risques d'accidents.
Gestion politique de maintenance.
Les politiques d'entretien ou de maintenance vont de l'absence totale à des définitions très
élaborées. Souvent le responsable est abandonné à sa seule initiative, la consigne étant que les
machines tournent au moindre frais. La prévision est inconnue : on voit des révisions
générales stoppées parce qu'on remplace la machine, et des machines laissées à l'abandon
alors qu'elles vont être très sollicitées. Dans d'autres cas , la direction fixe à la maintenance et
en accord avec elle des objectifs précis ainsi que les moyens nécessaires, ceci pour un temps
déterminé. A échéance on fait le point et on révise les objectifs. Le responsable d'entretien
connaît donc la ligne à suivre et conserve le maximum de liberté dans les décisions d'action
prises à son niveau. Une véritable politique ou stratégie de maintenance doit combiner des
moyens d'intervention, techniques, économiques, financiers et humains. Elle est fondée sur la
rentabilité. Elle tient compte des moments. Tantôt on recherchera le coût minimum en période
d'austérité, tantôt le maximum de disponibilité en période de croissance. Des études de
fiabilité permettent de définir les probabilités de panne donc les moyens nécessaires. Un
contrôle de gestion permet de vérifier que la maintenance se trouve au voisinage de
l'optimum, et que les choix sont effectués en fonctions des gains escomptés : une dépense
importante peut être plus rentable qu’une dépense moindre s’il y a gain de délai, ou de durée
de vie, ou de disponibilité ou de qualité sur le produit.
Dans cette politique on doit s'attacher à la prévision des pannes aléatoires pour les études
d'inspection (entretien suivant diagnostic), faites à partir de relevés méthodiques et
périodiques. On étudie la vie du matériel sur plusieurs années. Ces études de fiabilité vont
servir à la détermination des probabilités de pannes, donc à la consommation des pièces
détachées et des différentes charges. Ce n'est qu’à partir de ces données qu'on peut élaborer
les prévisions et le budget de maintenance. Avec une politique de maintenance et une bonne
stratégie on ne subit plus la panne car elle est prévue et le contrôle budgétaire reste un
contrôle normal, car dans la stratégie, on aura à calculer la probabilité d'apparition des pannes
et leurs conséquences pour ne plus les subir et l'on cherchera à rentabiliser toute action
d'entretien. La maintenance sera donc amenée à considérer alors les :
Prévisions à long terme : liées à la politique de l'entreprise permettant l'ordonnancement
des charges, des stocks, des investissements en matériel.
Prévisions à moyen terme : la volonté de maintenir le potentiel d'activité de l'entreprise
conduit à veiller à l'immobilisation des matériels à des moments qui perturbent le moins
possible la programme de fabrication. Dès lors il faut fournir nécessairement et suffisamment
tôt le calendrier des interventions de maintenance. Celle-ci ayant une influence sur
l'ordonnancement des fabrications.
Prévisions à court terme : dans ce cas le service de maintenance s'efforcera à réduire les
durées d'immobilisation du matériel et les coûts de ses interventions. Sachant que les
réductions des coûts et d'immobilisation ne sont possibles que si le matériel et les
interventions ont fait l'objet d'une étude préalable, il est donc nécessaire de préparer le travail
et d'étudier les conditions de fonctionnement, les défaillances possibles et les conditions
d'exécution des interventions. Le service technique lié à cette fonction doit fournir toutes les
informations qualitatives et quantitatives susceptibles d'influencer les politiques particulières
de l'entreprise.