Le Frere de Ma Coloc - Alison McNamara PDF
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LE FRERE DE
MA COLOC
Copyright © Alison McNamara 2015
Tous droits réservés. Cet e-book contient
des scènes de sexe torrides entre
adultes consentants et sans
liens de parenté. Pour un public averti.
Bonjour, je m’appelle Clara, et je suis une française de 18 ans partie étudier
le droit dans une fac de New York. J’ai toujours aimé la Big Apple, c’est
pourquoi j’ai décidé de vivre dans cette ville tellement excitante.
Une ville excitante, oui, mais aussi très chère. Je suis obligée de vivre au
sein du campus universitaire, car c’est beaucoup moins onéreux que de louer
un appartement à Manhattan. Je partage ma chambre avec Jessica, une petite
brune piquante de mon âge qui étudie la psycho et avec qui je m’entends très
bien.
Tout de même, elle m’énerve un peu parfois. Surtout quand elle décide
d’inviter des gens sans me demander la permission.
-Clara ? me dit-elle un beau matin. J’ai invité mon frère, il arrive ce soir
tout droit de l’Ohio. Ca t’embête s’il dort ici ?
-Ca reste un mec. Et puis en plus, je ne suis pas sûre que la fac accepte
qu’il dorme ici.
-Bon, très bien, mais ne compte pas sur moi pour faire la causette avec ton
frangin ! J’ai des cours à réviser !
-Merci Clara, me dit-elle en français.
Le soir venu, quelqu’un frappe à la porte. Jessica se lève pour ouvrir, et là,
je tombe des nues. Son frère est là, sur le pas de la porte, grand, musclé, avec
des cheveux blonds cendrés coupés à la brosse et des yeux bleus à tomber par
terre. Il ressemble à Brad Pitt quand il était plus jeune, à l’époque de Thelma
et Louise…
-Hi…
Ma voix est peu assurée. Pendant qu’il me serre la main, je lève les yeux
pour admirer son beau visage. Il porte une veste de football américain bleu
marine, mais rien en-dessous. Ses pectoraux bronzés et surpuissants
apparaissent sous la veste. Ils sont une invitation à la luxure…
-Je m’appelle John. Merci de m’avoir permis de passer la soirée ici, me dit-
il tandis que Jessica me fait un petit clin d’œil.
John pose ses affaires près du lit de Jessica, puis il retire sa veste. Je rougis
en le voyant torse nu. J’admire son torse musclé, ses abdominaux en tablette
de chocolat, ses biceps à l’arrondi parfait… Je n’ai jamais vu un garçon avec
un corps aussi beau…
-Si vous voulez, je peux aller chercher à dîner au resto chinois en bas,
propose John.
-Bonne idée !
-Tu m’avais pas dit que ton frère était aussi canon !
-Héhé, à chaque fois que je le présente à mes copines, il leur fait de l’effet !
C’est drôle, ça…
-Oui, c’est vrai. Mais pas touche ! Il a une petite amie en Ohio, et il compte
bien l’épouser d’ici quelques années. Et puis, sauf ton respect, Clara, je ne
sais pas si tu serais son genre.
Je dévisage Jessica d’un air mauvais. Est-elle en train de dire que ma peau
café au lait et mes longs cheveux noirs et frisés sont trop exotiques pour son
frère ?
-Non, ne te méprends pas ! C’est juste qu’il a toujours aimé les filles
blondes aux yeux bleu, des nanas élevées au maïs, des américaines pur jus,
quoi !
Mon visage se décrispe peu à peu. Après tout, chacun ses goûts…
John revient et nous offre à chacune une petite boîte en papier remplie de
riz au poulet délicieux. Nous mangeons en discutant de nos études
respectives, de l’Amérique, de la France. John est le capitaine de l’équipe de
foot de sa fac, mais c’est aussi un garçon très intelligent et sa culture générale
m’impressionne grandement. Parfois, pendant que Jessica nous raconte sa
vie, il plonge ses beaux yeux bleus dans les miens et il me regarde avec un
petit sourire mystérieux. Je baisse alors mes yeux, car je me sens gênée…
Que signifient ces coups d’œil ? Sont-il seulement amicaux ?
Et puis minuit sonne, et c’est l’heure de se coucher. Je suis gênée d’aller
dans la salle de bain pour me démaquiller, enfiler ma chemise de nuit rose et
même faire pipi. Mais John me met à l’aise.
-Fais comme si je n’étais pas là, Jessica ! Encore une fois, merci mille fois
d’avoir accepté que je dorme ici.
Une fois en chemise de nuit, je cours vers mon lit pour me faufiler sous ma
couette. De l’autre côté de la chambre, Jessica et son frère se couchent eux
aussi, puis ils éteignent la lumière.
-Bonne nuit !
-Clara ? dit-il dans mon oreille. J’ai envie de m’allonger près de toi.
Il se serre un peu plus fort contre moi. Je sens ses pectoraux contre mon
dos, et son sexe très dur sur mes fesses. Je ne peux m’empêcher de mouiller,
à présent…
Sa voix rauque et virile m’excite comme une folle. Il pose sa grande main
chaude sur mon sein, et il commence à le caresser. Je me retourne alors
légèrement vers lui et le regarde sans rien dire. Il m’embrasse. Ses lèvres sont
tellement pulpeuses et brûlantes… et sa langue glisse dans ma bouche afin
d’en explorer le moindre recoin… Je suis émoustillée comme une folle…
Je pose ma main sur ma bouche pour ne pas faire de bruit pendant que ses
doigts entrent dans ma petite culotte.
Il commence à caresser les lèvres de mon sexe et mon clitoris. Et puis il fait
glisser les bretelles de ma chemise de nuit le long de mes épaules, révélant
ainsi mes seins menus et caramel à son regard. Il penche son visage vers ma
poitrine et dépose des baisers brûlants sur mes seins…
-Tu sais, j’ai toujours rêvé de faire l’amour avec une jolie métisse, glisse-t-
il dans mon oreille. Il n’y a que des blondes ennuyeuses dans ma ville de
l’Ohio.
-Et… et ta copine ?
Il embrasse mes seins, puis il fait glisser sa langue sur mes tétons durcis par
le désir. En même temps, je sens son doigt s’enfoncer dans mon vagin
humide. Il commence à me masturber lentement, doucement, et je dois faire
un effort surhumain pour ne pas crier de plaisir.
Jessica se retourne alors dans son lit. Je lui jette un coup d’œil affolé.
Fausse alerte… Elle dort toujours à poings fermés.
Il baisse un peu plus la couette, révélant ainsi son sexe en érection. Il est
gonflé, massif et appétissant. Je descends plus bas et dépose des baisers sur
son pénis, et je le sens trembler de tous ses membres.
-Je vois que les françaises méritent leur réputation, dit-il en caressant mes
cheveux frisés.
Ma langue titille son gland, puis je lèche le manche de son pénis. J’ouvre
alors la bouche et commence à sucer ses bourses. Sa respiration s’accélère
au-dessus de moi. Je remonte alors et mes lèvres enserrent son pénis. Je
commence à le sucer très doucement, tout en faisant tourner ma langue autour
de son gland. Je l’excite comme un fou, et je sens qu’il a beaucoup de mal à
se retenir de gémir.
Je continue à le sucer, et lui enfonce son index dans mon vagin pour me
doigter. S’il continue comme ça, je vais jouir sur le champ… J’arrête alors de
le sucer et je plonge mon regard dans le sien.
Il glisse sous ma couette et ses grandes mains puissantes se posent sur mes
cuisses. Il les écarte, et je sens son souffle chaud sur ma chatte excitée. Il
embrasse la peau douce de mes cuisses… Je pose une main sur ma bouche
pour ne pas crier et réveiller Jessica, et je caresse mes seins de l’autre…
Sa langue brûlante glisse sur mes cuisses, puis il la pose sur mon sexe. Il
goûte alors à ma chatte comme un fruit mûr… La sensation de plaisir que je
ressens est incroyable… Je n’ai jamais connu quelque chose d’aussi délicieux
de toute ma vie… Mes membres se raidissent… J’ai l’impression que tout
mon corps n’est plus que plaisir…
-John… Je ne prends pas la pilule… dis-je tandis qu’il frotte son pénis en
érection contre ma fente humide.
Je gémis dans son oreille… J’aime sentir ses pectoraux contre mes seins, et
son sexe massif sur ma chatte frémissante…
Il commence à me sucer les seins tout en enfonçant un peu plus son pénis
dans mon vagin… Son sexe massif écarte peu à peu les parois de mon
intimité… Mais il ne me pénètre pas totalement… Il me titille…
-Je veux te faire tomber enceinte, Clara, dit-il en léchant le lobe de mon
oreille. Je veux te féconder… Je veux avoir un enfant métisse avec toi…
-John… dis-je dans un souffle. On ne peut pas faire ça… Que diraient nos
proches ? Ta copine ? Et Jessica ?
John suce ma langue comme une friandise, puis il dépose des baisers
torrides sur mon cou. Je sens alors ses dents enserrer ma gorge. Il me mord
doucement tout en enfonçant encore plus son pénis en moi.
Il commence à aller et venir dans mon intimité, et je sens que son pénis
écarte à fond les parois de mon fourreau.
-J’adore ton corps, Clara. Est-ce que toutes les françaises sont aussi douées
que toi ?
-Oui, les françaises sont très douées au lit, surtout les métisses…
Mes mains enserrent son cul musclé, et il s’enfonce de plus en plus fort en
moi. Il me baise puissamment maintenant, et les ressorts du lit font beaucoup
de bruit. Jessica se retourne une nouvelle fois… Elle est à deux doigts de se
réveiller…
C’est comme si nos corps avaient été faits pour faire l’amour… Comme si
le destin avait voulu que nous nous rencontrions…
-Merci, murmure-t-il.
Je sais déjà que je vais porter l’enfant de John, et cette idée me remplit de
joie.
SACRIFIEE A
SES DESIRS
Lorsque quelqu’un frappa à la porte de l’appartement de la famille
Lamparelli à 20h00 ce soir-là, Annie su immédiatement qu’il s’agissait de
l’huissier.
Annie avait choisi de rester avec son père, car elle s’entendait mieux avec
lui qu’avec sa mère. Dans leur petit une pièce du 15e arrondissement, ils
cohabitaient de façon harmonieuse. Marc Lamparelli laissait beaucoup de
liberté à sa fille de 18 ans. De temps en temps, elle pouvait inviter ses amies à
la maison, et c’est elle qui choisissait ce qu’ils regardaient à la télévision le
soir.
Son père était vraiment un homme bien, c’est pourquoi elle était chagrinée
de voir sa mine défaite tandis qu’il allait ouvrir la porte.
C’était un grand homme d’environ 35 ans, mince mais robuste, avec des
cheveux bruns peignés en arrière, des yeux gris acier et un air déterminé. Les
traits acérés de son visage légèrement halé évoquaient plus un soldat ou un
aventurier qu’un huissier, mais son costume de marque prouvait qu’il gagnait
un salaire conséquent.
-Vous avez déjà bénéficié de beaucoup de temps. A présent, il est trop tard.
Vous êtes fiché à la banque de France, et je vais devoir faire un inventaire de
vos biens afin de les saisir. Bien entendu, je vais également devoir vous
expulser de cet appartement.
L’huissier le regarda d’un air sévère ; ses yeux gris étaient aussi froids que
de la glace.
-Je veux dire… continua monsieur Lamparelli. Je suis sûr que nous
pouvons conclure un accord ? On peut peut-être s’arranger ?
L’huissier la regarda d’un air curieux. L’adolescente vit alors ses yeux se
promener sur les courbes gracieuses de son corps, comme s’ils caressaient à
distance ses seins et ses cuisses nues sous sa nuisette.
Elle rougit alors, et elle porta machinalement ses mains sur ses cuisses afin
de les dissimuler au regard inquisiteur de l’huissier.
Marc Lamparelli regarda la scène d’un air étrange. Il avait compris que
l’huissier appréciait le corps de sa fille.
Il sourit pour la première fois, dévoilant ainsi des dents blanches toutes
plus régulières les unes que les autres. Il ressemblait vraiment à un jeune
premier au cinéma, ou bien à un golden boy de Wall Street.
-Vraiment ? Que voulez-vous dire ? Que dois-je faire pour que vous
annuliez la saisie de mes biens ?
Elle regarda à tour de rôle l’huissier et son père. Le premier ne s’était pas
départi de son sourire de prédateur, tandis que le second semblait perdre toute
contenance.
Les mots de son père s’enfoncèrent comme des poignards dans le cœur
d’Annie.
Annie couru vers sa chambre tandis que l’huissier avançait vers elle à
grandes enjambées. Elle ouvrit la porte, mais il la poussa avant qu’elle n’ait
le temps de la fermer à clé. Il la ferma alors derrière lui, restant seul dans la
pièce avec l’adolescente.
-Tu as entendu ton père, dit-il en posant son chapeau sur le lit aux draps
roses d’Annie. Il m’a donné la permission de m’amuser avec toi.
-Dégagez de ma chambre ! vociféra-t-elle. Je sais me défendre !
Le jeune huissier rit doucement, puis il retira sa veste noire et la posa près
de son chapeau. Il avança alors vers Annie, sans se presser, et il s’arrêta juste
devant elle avant de saisir ses poignets de ses mains puissantes.
Il plongea ses yeux gris acier dans les siens, et l’adolescente se calma
soudain. C’était comme s’il était en train de l’hypnotiser avec ses beaux yeux
glacés.
-Pense à ton père, Annie. Tu veux vraiment qu’il perde tout ce qu’il a
construis dans la vie ? Tu veux vraiment te retrouver sans abri ?
-Je… je…
Il avança son visage halé près du sien, et il déposa alors un baiser sur ses
lèvres frémissantes. Annie ferma les yeux, et elle sentit une vague de plaisir
intense gagner tout son corps.
Il retira ses lèvres des siennes, puis il la regarda avec autorité. Il approcha
alors ses mains des bretelles de sa nuisette blanche, et il les baissa sur ses
épaules sans même lui demander la permission. Ses seins ronds à la
blancheur laiteuse apparurent à son regard. Annie plaqua ses mains sur sa
poitrine, mais il les retira de force.
-J’ai dit non, dit-elle en repoussant ses mains sans grande conviction.
Il la poussa sur le lit, forçant ses bras au-dessus de sa tête. Des larmes
coulèrent le long des joues d’Annie, mais il n’en avait que faire…
Il lécha soudain ses tétons roses qui ressemblaient à des framboises. Puis il
les pinça cruellement entre ses doigts. Annie ne pu s’empêcher de gémir…
Ce qu’il lui faisait était à la fois cruel et délicieux…
-Il n’y a pas de pitié qui tienne ! N’oublie pas que le futur de ton père
dépend de ce que tu vas faire. Tu sais qu’il risque la prison ?
Elle regarda ses yeux gris ; elle y vit un feu ardent. Elle savait qu’il était
prêt à tout pour s’amuser avec son corps d’adolescente, et qu’elle ne pourrait
rien dire ni faire pour l’amadouer…
-Déshabille-toi, ordonna-t-il.
Annie le regarda sans rien dire, puis elle saisit le bas de sa nuisette blanche
et la releva délicatement au-dessus de sa tête afin de la retirer.
Nue et vulnérable.
-Quels jolis petits seins, dit-il en caressant sa poitrine. Et que dire de tes
fesses… On en mangerait…
Son regard se porta alors sur son jeune sexe totalement épilé.
-Oui…
Il attacha ses mains et ses pieds aux quatre barreaux du lit avec les
foulards. A présent, elle était écartelée comme si elle était la victime d’une
torture médiévale…
-Qu’est-ce que vous allez me faire ? demanda-t-elle en haletant.
Elle était à la fois terrorisée, et surexcitée par ce qu’il était en train de lui
faire… C’était la première fois de sa vie qu’elle se sentait aussi vulnérable et
humiliée.
-Je vais utiliser ton corps pour mon plaisir. Tu es mon esclave sexuelle, à
présent.
Annie ne voyait plus rien. Mais soudain, elle sentit la langue chaude et
avide de l’huissier se poser sur ses seins. Il les lécha alors goulument, puis il
descendit le long de son ventre jusqu’au nombril, envoyant des frissons
d’extase insoutenable dans le corps de l’adolescente.
-Tais-toi, Annie.
Il descendit encore plus bas, et cette fois, ses lèvres charnues déposèrent
des baisers sensuels sur sa jeune chatte aussi chaude que la braise. Elle
mouillait abondamment, et il lapa ses jus féminins afin de s’en délecter.
-Tu es absolument délicieuse, commenta-t-il. Je suis ravi que ton père ait
accepté de m’offrir ton corps. Je n’ai jamais connu une aussi jolie fille que
toi. Si je le pouvais, je m’amuserais avec toi tous les jours de la semaine…
Il enfonça sa langue dans son vagin, et il la fit aller et venir en elle sans se
soucier des gémissements d’Annie. Puis soudain, il suça le clitoris de
l’adolescente qui poussa des petits cris de plaisir.
-Ton père risque de t’entendre, Annie, lui dit-il en lui faisant un clin d’œil.
Tu ne voudrais pas qu’il pense que tu es une dévergondée, n’est-ce pas ?
Il frappa alors ses seins avec la ceinture en cuir, et Annie cria de douleur et
de plaisir. Il ne la frappait ni trop fort, ni trop doucement. En tout cas, avec
assez de puissance pour satisfaire ses désirs masochistes… Il frappa ensuite
son ventre à la chair si douce, puis sa petite chatte humide… La lanière en
cuir marquait cruellement la peau douce de l’adolescente qui en
redemandait…
Il frappa à nouveau ses seins rougis par les coups, puis il souleva ses deux
jambes afin d’exposer ses jolies fesses à son regard. Il les frappa alors elles
aussi, deux fois, quatre fois, huit fois, ignorant les cris de douleur et de
jouissance d’Annie.
Elle continuait de crier tout en se léchant les lèvres… Même dans ses rêves
les plus fous, elle n’aurait jamais imaginé, ni même espéré, connaître une
telle volupté.
Il donna un dernier coup de ceinture sur les seins d’Annie, puis il s’arrêta.
Elle l’entendit aller chercher son iPhone, puis il revint près d’elle.
Lentement, il le fit glisser le long de sa fente humide pour la masturber avec.
-Tu t’es déjà branlée avec ton téléphone ? demanda-t-il d’un air narquois.
-Non… Jamais…
Elle lui dicta son numéro en haletant, et elle l’entendit le composer sur son
propre téléphone portable. L’iPhone de l’adolescente vibra alors dans sa
chatte, envoyant des ondes de plaisir torride dans son sexe en chaleur.
Elle cria de plaisir, sans plus se soucier de savoir si son père pouvait
l’entendre. Elle haïssait cet huissier de tout son cœur, mais les sensations
qu’il lui prodiguait étaient plus fortes et intenses que tout ce qu’elle avait
connu jusqu’à ce jour…
-Je n’ai jamais fait ça… répondit-elle en raidissant son corps écartelé par
les foulards.
-Je t’ai dit d’ouvrir la bouche ! Ne me fais pas répéter mes ordres, Annie.
Elle s’exécuta, et elle sentit alors son pénis pénétrer entre ses lèvres. Elle
les referma en gémissant, puis elle caressa son gland de sa langue. Elle
l’entendit gémir au-dessus d’elle.
Elle continua à le sucer, tandis qu’il malaxait ses seins ronds d’une main et
qu’il caressait les lèvres de son sexe de l’autre. Annie gémit et se cambra…
C’était trop intense, trop obscène, trop délicieux… Elle savait que ce qu’elle
faisait était mal. Elle était en train de sucer l’homme qui voulait détruire la
vie de son père, et elle y prenait du plaisir.
Lorsqu’il enfonça un doigt en elle, elle fit aller son bassin de haut en bas
afin qu’il l’enfonce plus profondément dans son intimité trempée de désir.
-Oui, monsieur…
Annie eu la nausée et s’étouffa sur son gros sexe lorsqu’il toucha sa glotte.
-C’est trop bon… souffla-t-elle. Je… je crois que je vais encore jouir…
je…
Annie explosa sur les doigts de son bourreau, les recouvrant de ses jus
féminins. A présent, elle était persuadée que son père l’avait entendue
prendre du plaisir…
Il retira ensuite son pantalon, puis son caleçon. Annie n’avait jamais vu de
sexe d’homme de toute sa vie. Il bandait, et son pénis légèrement incurvé
vers la gauche était massif et violacé.
Lorsqu’il s’allongea sur Annie, elle sentit son eau de Cologne enivrante et
son parfum de male viril. Elle aimait la sensation de son grand corps chaud
contre le sien, de ses pectoraux sur ses seins, de son pénis se frottant contre sa
fente humide… Il darda sa langue dans sa bouche, puis il suça ses lèvres
avant d’embrasser et de mordiller son cou.
Soudain, elle le sentit déchirer son hymen, et elle poussa un petit cri aigu.
Mais il continua à la pénétrer, lentement, profondément, profitant de sa jeune
chatte rasée selon son bon plaisir…
-Tu es tellement bonne, dit-il en plongeant ses yeux gris dans les siens.
Annie soutint son regard tout en léchant les lèvres de son bourreau.
-Je vois que tu es très exigeante. Que dirait ton père s’il t’entendait
réclamer du sexe ?
-Mon père ne dirait rien. C’est un loser qui m’a sacrifiée à votre vice. Mais
finalement, je suis ravie qu’il ait agi ainsi.
Elle jouit une nouvelle fois, explosant sur le pénis de son bourreau tout en
hurlant son bonheur. Il vint en même temps qu’elle, et elle sentit son sperme
brûlant se déverser au fond de son vagin tandis qu’ils s’embrassaient
passionnément.
C’était un véritable feu d’artifice sensuel, une communion entre leurs deux
êtres. Leurs corps ne faisaient plus qu’un, comme si ils étaient nés pour faire
l’amour ensemble.
-Ton père est tiré d’affaire, grâce à toi, dit-il en sortant de la chambre.
Annie s’en alla avec un seul but : retrouver le jeune huissier et vivre à
nouveau le plaisir ultime avec lui. Y est-elle parvenue ? Personne ne le sait.
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