Rapport ch2
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Rapport ch2
Ce type de " juste à temps " est basé sur le fait que le stockage de matières premières, d’en-
cours et de produits finis entraîne des coûts, affecte la qualité et allonge les délais de fabrication,
et cela n’est qu’un flagrant gaspillage.
II/ Le kanban
Ce mot serait apparu dans les chantiers navals japonais qui, dans les années 60, demandaient
aux aciéries des livraisons tous les 3 jours au lieu d’une fois par mois. La méthode industrielle
a été mise au point plus récemment chez Toyota avec le concours de Taichi Ohno, qui avait
observé dans les supermarchés les employés renouveler sur les présentoirs, les denrées
périssables au fur et à mesure de la demande.
En japonais Kanban signifie étiquette, fiche, carte. L’outil appelé «Kanban» a pour but de
définir les modalités de mise en route d’une production en flux tiré, c’est à dire dans laquelle
ce sont les commandes-clients qui déclenchent automatiquement la fabrication par remontée
des ordres depuis la sortie des produits.
C’est une gestion de production à stock zéro, mise au point au Japon par les usines Toyota.
• La qualité du personnel.
• La gestion centralisée.
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Le Kanban a pour but de définir les modalités de mise en route d’une production en flux tiré,
c’est-à-dire dans laquelle ce sont les commandes-clients qui déclenchent automatiquement la
fabrication par remontée des ordres depuis la sortie des produits.
La méthode Kanban est applicable à des productions de type «masse» pour lesquelles le nombre
de références n’est pas trop élevé et la demande régulière ou à faibles variations.
Elle implique, des temps opératoires sur tous les postes de travail, une maintenance préventive
et efficace des équipements, un contrôle qualité performant et des opérateurs responsables et
polyvalents. C’est à dire que l’implantation d’un système Kanban est pour l’entreprise
l’aboutissement d’une réforme des méthodes de travail, réforme inspirée par la philosophie du
juste à temps.
3) Méthodologie
Pour chaque référence travaillée et pour chaque chaînon concerné du processus, la mise en route
d’un enchaînement Kanban s’établit de la manière suivante :
- Caractéristiques du flux.
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c. Mettre en œuvre
d. Affiner le planning
e. Instructions
_ Le Kanban s’applique sur des produits où les flux sont simples et à faible intensité
capitalistique (quantité d'immobilisations nécessaires pour produire : machines, bâtiments,...) :
– dégager du temps à l’encadrement pour mener des actions de progrès telles que Kaizen,
SMED, 5S, …
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-- C’est un système de communication visuel et manuel, pour toutes les personnes intervenant
sur le processus de fabrication, qui permet de contrôler la fabrication des produits demandés
dans les quantités demandées au moment demandé entre deux étapes du flux.
+Comportement traditionnel :
– “Je produis des pièces chaque fois qu’il y a de la matière brute disponible et / ou que mon
chef me l’indique”.
+Nouveau paradigme :
– “Même si j’ai de la matière, je ne produis pas tant que je ne reçois pas un signal de
consommation de mon client”.
+ Dans le Kanban on parle de flux tirés par opposition aux flux poussés :
– flux tirés : la production d'un poste est dictée par la demande exprimée par les postes en aval,
– flux poussés :
• la production d'un poste est déterminée par les lots arrivant du poste en amont.
• on peut également dire que les flux poussés sont des flux programmés : on a tenté
d'ordonnancer les différentes opérations en les échelonnant dans le temps.
Remarques :
– par effet de mode (le Kanban), les flux tirés sont considérés comme meilleurs que les flux
poussés, pourtant cela n'est vrai que dans certaines typologies d'industries (demande répétitive
et équipements flexibles).
_ Désorganisation des ateliers / machines pas mises en ligne ou lignes de fabrication pas
totalement automatisées.
_ Expéditions en urgence.
_ Planification conflictuelle.
Seuls les matières premières, les pièces, les composantes ou les produits standards peuvent être
gérés à l’aide d’un système Kanban. Dans le cas des matières premières, il s’agit généralement
de réserver un espace ou un contenant pour chacune des matières premières ou des produits
conservés en stock et d’y placer une petite carte (le Kanban) qui signalera qu’il faut procéder
à une commande du produit ou de la matière tout en maintenant un stock de sécurité. Par
exemple, dans le cas d’un espace alloué à un certain type de feuilles d’acier, à supposer un stock
de sécurité de 10 unités, la carte pourrait être placée entre la dixième et la onzième feuille de
manière à ce qu’un employé prenne la carte au moment de puiser dans le stock de sécurité.
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Mieux encore, on pourrait peindre une bande rouge à l’endroit où se trouve le stock de sécurité
afin que l’employé constate visuellement qu’il a atteint celui-ci. De même, lorsqu’un produit
prend peu d’espaces, on pourrait utiliser deux contenants l’un derrière l’autre servant de stock
de sécurité et d’insérer la carte entre les deux. Lorsque le stock est inférieur à la quantité
minimale indiquée sur la carte (correspondant généralement à la quantité requise pour répondre
aux besoins pendant la période de réapprovisionnement), l’employé prend cette carte et la fait
parvenir à la personne responsable des achats. Celle-ci passe alors une commande d’une
quantité égale au seuil minimal indiqué sur la carte Kanban.
Le système Kanban peut aussi être utilisé pour contrôler la production sur demande (flux de
production tiré). Dans le cas d’un flux tiré, c’est le procédé client, en aval, qui contrôle le débit
de production du procédé fournisseur, en amont. Souvent, à la sortie du procédé fournisseur, on
trouve un dépôt de stockage avec des emplacements ou des contenants standardisés pour les
pièces où une carte (le Kanban) leur est associée. Sur les cartes, on retrouve les renseignements
du produit, tels que le nom du produit, le code du produit, la quantité par contenant, le procédé
fournisseur et le procédé client.
Lorsque le client vient de prélever un contenant dans le dépôt, il retire la carte associée au
contenant et la place dans un poste Kanban indiquant au procédé fournisseur ce qu’il faut
produire et en quelle quantité. Le déclencheur du procédé fournisseur (signal) peut être aussi
simple qu’un échange de contenants (le client rapporte des contenants vides et repart avec des
contenants pleins). Par conséquent, on ne fabrique les pièces dans le procédé fournisseur qu’au
signal représenté dans le schéma de fonctionnement ci-dessous.
De plus, lorsqu’un produit a besoin d’être assemblé et emballé ou de se déplacer entre plusieurs
postes de travail, on peut procéder sur la base «premier arrivé, premier sorti». Par exemple, les
employés commencent par les cartes arrivées au dépôt Kanban en premier.
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Figure 2 : passage des étiquettes kanbans entre le poste amont et le poste aval
Renseignements du KANBAN :
• Imposer la rigueur.
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• Standardiser le travail.
• Entretenir la polyvalence.
Comment ça marche ?
• Chaque fois qu’il utilise un container de pièces il détache une carte kanban qu’il renvoie au
fournisseur.
• Pour le fournisseur cette carte constitue un ordre de fabrication d’un container de pièces.
• Le client consomme…..etc.
• Un kanban particulier (par exemple pour une référence de produit) ne circule qu’entre le
fournisseur et le client. Les kanbans sont donc :
-Soit sur le «planning à kanbans» du fournisseur soit attaché à des containers pleins en attente
d’utilisation chez le client soit sur des containers plein en cours de livraison.
• Pour le fournisseur cette carte constitue un ordre de production à intégrer dans son planning.
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Un problème important quand on met en place un système Kanban dans un atelier est de
déterminer le nombre de Kanbans à mettre en circulation. Il n'existe pas de formule miracle.
Deux méthodes peuvent être utilisées : méthode empirique et méthode de calcul analytique.
1) Méthode empirique
Pour avoir une idée du nombre de kanbans à utiliser, certains spécialistes de gestion de
production proposent le calcul suivant :
Soit :
D : La demande moyenne de pièces par unité de temps (heure, jour, semaine, mois, etc).
L : Délai de mise à disposition d'un container de pièces (qui est en particulier fonction de la
cadence du poste considéré).
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N = (D.L+G)/C
L’objectif est de chercher le nombre minimum de kanbans à mettre en place pour éviter une
rupture créé sans provoquer de rupture de production. Cet optimum (N) est obtenu en appliquant
la formule ci- après :
N=D.d.(1+K)/C
Où :
d : La durée d’un cycle correspondant au retour au point de départ du kanban (d est la somme
de plusieurs délais) :
K : Coefficient de sécurité.
- a = coefficient de sécurité
- C = taille du lot
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Soit :
Par expérience on calcule le nombre de kanbans à mettre dans la boucle, on déduit par
calcul le temps de survie (taille de la boucle) correspondant et on considère les résultats
avec prudence.
On compare le nombre de kanbans calculé avec le nombre de contenants existants. Si
«on vit bien avec les contenants existants» le nombre de Kanbans ne doit pas être
supérieur au nombre de contenants.
On en discute avec le Service planning et on aligne au moins le nombre de kanbans sur
le nombre de contenants.
NB : S’il y a plusieurs références on vérifie que pour chaque référence le nombre de
kanbans calculé est au prorata des consommations des différentes références.
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Où :
Y = nombre de cartes.
C'est la traduction en jours, de la série dite économique, la plus longue, pour l'un des deux
ateliers concernés, client ou fournisseur.
Exprimé en jours, c'est le temps nécessaire pour fabriquer et acheminer le (ou les) kanban(s)
chez le client.
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Exprimé en jours, c'est le stock minimum que l'on veut avoir dans le service aval (client).
"1" :
Dès la consommation de la première pièce d'un lot de marchandises, matérialisé par un kanban,
celui-ci est immédiatement retourné au fournisseur : Information en temps réel.
Exprimée en quantité, cette valeur sera la plus faible possible en tenant compte de certaines
contraintes : volume, temps de transport, stockage, etc.
La Limite d'Engagement :
Elle est exprimée en nombre de kanbans. Cette méthode détermine à quel moment le fournisseur
doit produire pour son client.
La formule :
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La quantité économique flottante est la valeur Qé qui rend minimal le coût global de gestion
par unité achetée soit :
Où :
N : La consommation annuelle.
Pu : Le prix unitaire.
- Etre informé des problèmes du poste aval (par exemple : non-retour de kanbans).
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• Les kanbans de prélèvements qui circulent dans la boucle de prélèvement entre le client et le
stock pied de ligne.
• Les kanbans de production qui circulent dans la boucle de production, entre le fournisseur et
le stock pied de ligne.
• Le kanban de prélèvement est le ticket avec lequel le client vient prélever dans le stock pied
de ligne du fournisseur.
• A l’arrivée dans le stock pied de ligne, l’opérateur du client met son ticket de prélèvement à
la place du ticket de production porté par le container qu’il va emmener.
• Le ticket de production ainsi libéré est amené chez le fournisseur pour être mis au planning.
• Après prélèvement, le kanban de prélèvement est sur le container plein qui est amené chez le
client.
• Il sera réutilisé pour prélèvement lorsque le container plein qu’il a accompagné aura été
consommé.…
• Tout ce qui s’applique à la boucle (de production) du kanban à 1 boucle s’applique à la boucle
de production du kanban à 2 boucles.
• Le kanban de production est sorti du planning pour être placé sur le container qui vient d’être
rempli. Le container plein et son kanban de production sont mis en stock dans le stock pied de
ligne.
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1) Flux poussés
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2) Flux tirés
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a. Le Fill up Pull
Principe de fonctionnement :
Avantage :
Inconvénient :
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b. Le Sequential Pull
Principe de fonctionnement :
Dans ce type toutes les références sont gérées par « un buffer » qui désigne une zone de
stockage temporaire d’une quantité de PF en attente d’un traitement ultérieur
(expédition).
Inconvénient :
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c. Le Mixed Pull
Principe de fonctionnement :
Il est utilisé si la loi 20/80 (loi de pareto : les 20% à fort impact ou vital few et les
80% restant ou trivial many) s’applique, elle se base sur la classification des articles
en trois catégories A, B, C Les high runner A et B sont gérés en pull alors que les
low runner C sont gérés en push.
Avantage :
Optimisation d’espace.
Les High runner ont gérés en pull.
Diminution du stock au niveau du shop stock.
Une maitrise des stocks meilleure.
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Selon cette idée : l’ensemble du flux industriel est décomposé en relations Client-
Fournisseur. Les tickets KANBAN sont la matérialisation de ces relations.
Méthone KANBAN : véritable outil de terrain pour gérer les flux de production.
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Il s’agit d’un tableau mural, qui sera placé au poste amont et sur lequel seront rangés les kanbans
quand ils ne seront pas sur les conteneurs. Les résultats de l’étape précédente nous donnent :
Total = 10 kanbans.
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Le Kanban est à la fois le support et le véhicule des informations échangées entre deux postes
de travail consécutifs. Ces informations sont données d’une part par les renseignements inscrits
sur le Kanban, d’autre part ; par la circulation des kanbans entre les postes de travail.
La liste minimale des informations à porter sur chaque Kanban est la suivante :
1. La référence de l’article.
2. L’état de la matière.
Les kanbans accompagnent toujours les matières du poste amont appelé « fournisseur » au poste
aval appelé «client». Voici une liste des règles parmi les sont plus couramment édictées :
2. Dès qu’un conteneur est entamé au poste aval, son kanban doit être détaché et recyclé vers
le planning du poste amont auquel il appartient.
3. Chaque kanban recyclé demeurera sur le planning du poste amont jusqu’à la fin du
remplissage du conteneur sur lequel il sera fixé.
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Il existe d’autres règles : On peut décider que le retrait du Kanban du conteneur se fasse après
la sortie au poste aval de la dernière pièce qu’il contenait. Au poste amont, la règle peut être de
fixer le Kanban avec la première pièce travaillée.
1- Le lancement devient obligatoire lorsque la pile atteint l’index rouge car on risque une
rupture d’approvisionnement au poste aval.
2- Le lancement est autorisé lorsque la pile s’arrête entre deux index.
3- Le lancement est interdit lorsque la pile de kanbans rangés sur le planning n’atteint pas
l’index vert.
La modulation du flux s’opère donc par le contrôle du nombre de kanbans sur le planning.
Attention, il faut bien comprendre la signification de l’index vert. Cela ne veut pas dire, pour
notre exemple, que le lot de fabrication doit obligatoirement être de 3 conteneurs.
Cela signifie simplement que l’autorisation de lancer un lot en fabrication ne peut avoir lieu
qu’à partir du moment où le nombre minimal de kanbans au planning est au moins de 3.
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– Le client prélève dans le stock de la référence qui prélève dans le stock de l’injection
pour pouvoir produire.
– L’atelier injection doit produire pour compenser le prélèvement de l’atelier assemblage.
– Pour ce faire le client prélève dans le stock de fournisseur.
– Et ainsi de suite il produit pour compenser le prélèvement.
– Ensuite l’injection devra recevoir des MP…
Objectifs :
• Comprendre le fonctionnement :
– En régime normal.
– Et avec aléas : retards, non-respect des règles,…etc.
• Comprendre les notions : taille de boucle (temps de survie), taille de lot (≠ UM).
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– Ordonnancement :
• Retraitements de lots.
• Pannes exceptionnelles.
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– Responsabilité et rôles des différents intervenants : règles de communication sur les états de
production, rôle des chefs d’ateliers et des opérateurs sur le respect des règles Kanban.
1er cas :
– Soit elles sont sur des contenants en cours consommation par le poste aval.
2éme cas :
– Il n'y a plus devant la machine aval ou en cours de production qu'un minimum d'encours.
– Si je ne produis pas, la machine aval ne va plus être alimentée, et toute la ligne va peu à peu
se trouver en rupture.
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Kanban signifie étiquette (ou carte visible). A cette étiquette indiquant la référence du produit
et un nombre d’unités fabriquées est associé un conteneur standard de manutention servant à
transporter les pièces de l’unité de production (P2) à l’unité consommatrice du produit (P1).
Le Kanban sert à transmettre les ordres de fabrication d’un centre (P1) à l’autre (P2).
Les articles fabriqués dans le centre (P2), avant d’être stockés, sont alors rangés dans les
conteneurs auxquels on a attaché un Kanban.
Si le centre P1 a encore besoin d’unités fabriquées dans le centre P2, il renvoie le kanban qui,
accroché sur un tableau en P2, déclenchera la production de l’article souhaité. Dans le cas
contraire, le kanban n’est pas envoyé au centre P2 qui ne lance pas la production de l’article
considéré.
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Il y a une parfaite synchronisation, par la circulation des kanbans, entre l’offre et la demande
de production. Les stocks tampons sont alors réduits au minimum.
Le système kanban de fabrication présenté précédemment peut être adapté lorsque le centre de
production alimente plusieurs centres de consommation ou lorsqu’il s’agit d’une source
d’approvisionnement. Le dispositif est alors complété soit par des kanbans de transfert, soit par
des kanbans de transport.
Le comptage rapide des compteurs (par exemple à l’aide des codes à barre) facilite l’inventaire
physique des stocks. Le nombre de conteneur détermine le niveau des stocks et encours, et
permet donc une maîtrise assez aisée.
Le nombre de conteneur détermine le niveau des stocks et encours, et permet donc une maîtrise
assez aisée.
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Etat initial :
1er action :
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2éme action :
3éme action :
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4éme action :
Figure 26 : Entré d’un lot plein a l’atelier de consommation car le conteneur précèdent a était
consommer sinon rupture de matiére
5éme action :
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1) Le takt time :
2) Besoins du client
Ligne 8 :
AW1082 : 6500/semaine.
CMF1 : 7000/semaine.
Figure 29 : Poste d’étiquettes kanbans avec les références des produits finis
Le poste kanban ci-dessus contient les différents produits à fabriquer mais avec les anciens
références car il n’ont pas fait la mise à jour des étiquettes kanbans c’est pour cela ils ont
abandonnés et on peut distinguer chaque emplacement des étiquettes dans la partie lanceur et
les emplacements indique les alertes que ce soit panne machine, alerte qualité ou rupture
produit.
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Voici le tableau ci-dessous qui contient les nouveaux références pour chaque produit :
Part Number
Coq sup 0B VPFR1F-14B128-AA
Sup 2B VPFR1F-14B128-BA
Sup 3B VPFR1F-14B128-CA
B2T² 2174013
B3T VPGR1F-10838-AA
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LB1A VPFR1F-14B128-JA
B6T 2520511
Figure 31 : Figure explicatif présentant le nombre d’étiquettes qui indique l’état du stock
Avec l’utilisation du tableau kanban sur excel (voir annexes 3 et 4) on détermine le nombre à
utiliser et le nombre du boucle kanban pour chaque référence.
Figure 32 : semaine 1
Figure 33 : semaine 2
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Figure 34 : semaine 3
Figure 35 : semaine 4
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Explication : Au cours des semaines l’état du stock des produits finis varie selon le besoin mais
on a pu les maitrisés en tenant compte du seuil min (prévision pour la semaine prochaine) et
seuil max (selon la capacité du supermarché).
Figure 36 : semaine 1
Figure 37 : semaine 2
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Figure 38 : semaine 3
Figure 39 : semaine 4
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Figure 40 : semaine 5
Figure 41 : semaine 6
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Figure 42 : semaine 7
VI/ Conclusion :
Le système kanban intervient en second lieu dans la philosophie juste à temps et permet
d’effectuer des prévisions pour l’optimisation des stocks de produits finis.
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