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NAÏLA HAHEK
PHILIPPE PILIBOSSIAN
ANALYSE
QCM et
QCM et exercices
exercices corrigés
corrigés
10 sujets
10 sujets d’examen
d’examencorrigés
corrigés
Rappels
Avec de cours
rappels de cours
6e ÉDITION
© Dunod, 2017
11 rue Paul Bert, 92240 Malakoff
www.dunod.com
ISBN 978-2-10-075924-8
Sommaire
Avant-propos V
TD 2 Dérivées et différentielles 22
L’essentiel 22
QCM 25
Réflexion 25
Entraînement 26
Solutions 31
Index 296
Avant-propos
COURS
On trouvera dans ce chapitre la définition et les principales
caractérisations d’une fonction numérique d’une variable réelle.
L’étude d’une fonction commence par la détermination de son
ensemble de définition, formé par un ou plusieurs intervalles. On
cherche ensuite à réduire l’ensemble d’étude en examinant si la
fonction est périodique, paire ou impaire. On introduit alors la
notion très importante de continuité. La recherche de points de
discontinuité éventuels consiste à examiner la limite de la fonction
en certains points particuliers. Dans de très nombreux cas, c’est
l’utilisation des équivalents qui permet de calculer simplement
cette limite. On complète l’étude par la mise en évidence des inter-
valles où cette fonction est monotone, croissante ou décrois-
sante et par la recherche des limites aux bornes des intervalles qui
constituent l’ensemble de définition ou de monotonie. Parmi les
résultats importants de ce chapitre, on doit noter que l’image d’un
intervalle fermé, par une fonction continue, est un intervalle fermé.
De plus, toutes les valeurs de cet intervalle image sont atteintes par
cette fonction. Dans le cas où elle est strictement monotone sur cet
intervalle, elle admet alors une fonction réciproque. Notons que
© Dunod – Toute reproduction non autorisée est un délit.
2 Composition d’applications
Si f est une fonction définie sur E et g une fonction définie sur F, avec
F ⊃ f ( E) , on peut définir la fonction composée de f par g, notée g f , et qui
associe à tout x ∈ E le nombre réel g [ f ( x ) ].
Il faut souligner que la composition des applications n’est pas une opéra-
tion commutative, c’est-à-dire qu’en général g f est différente de f g .
3 Continuité
Définition. Une fonction numérique f définie sur un intervalle I de est
continue en un point x0 de I si :
lim f ( x ) existe avec lim f ( x ) = f ( x0 )
x → x0 x → x0
f ( x0 + 0) = lim
x → x0 , x > x0
f ( x ) = f ( x0 ) (resp. f (x − 0) =
0 lim
x → x 0 , x < x0
f ( x ) = f ( x0 ) )
TD 1 Fonction numérique d’une variable réelle 3
Une fonction est continue sur un intervalle fermé [ a, b ] si elle est continue
en tout point de l’ouvert ]a, b[ et si elle est continue à gauche en a et à droite
en b.
Théorème. Si une fonction f est continue sur un intervalle I, alors l’ensemble
image f ( I ) est lui aussi un intervalle.
Théorème des valeurs intermédiaires. L’image d’un intervalle fermé [ a, b ]
par une fonction continue f est un intervalle fermé [α,β] avec :
α = min f ( x ) et β = max f ( x )
COURS
a≤ x ≤b a≤ x ≤b
La fonction f est bornée et elle atteint ses bornes, ainsi que toutes les
valeurs intermédiaires comprises entre ses bornes.
Théorème. Si f est une fonction continue en un point a et g une fonction
continue en f ( a) , alors la fonction composée g f est continue en a.
4 Application réciproque
Définition. Une application f de E dans F admet une application réciproque,
notée f −1 , si, et seulement si, f est une bijection de E dans F. Pour tout y fixé
dans F, l’équation f ( x ) = y admet alors une solution unique x dans E, notée
x = f −1 ( y) .
Théorème. Une fonction continue sur un intervalle I admet une application
réciproque sur I si, et seulement si, elle est strictement monotone sur I.
6 Fonctions équivalentes
Deux fonctions numériques f et g définies sur un intervalle I de sont
dites équivalentes quand x tend vers a, avec a ∈ I , s’il existe une fonction ε
définie sur un voisinage V ( a) de a telle que :
f ( x ) = g ( x ) [1 + ε ( χx ) ] avec lim ε ( χx ) = 0
x→ a
Vrai Faux
EXERCICES
même intervalle.
5. La réciproque d’une application continue et stric-
tement croissante sur un intervalle est aussi continue et
strictement croissante.
6. Si la fonction f admet une limite finie l, non nulle,
quand x tend vers a, alors f ( x ) l .
7. Si on a les équivalences f1 g1 et f 2 g2 , alors on
a aussi l’équivalence f1 f 2 g1 g2 .
8. Si f et g sont deux fonctions équivalentes quand la
variable x tend vers +∞ , alors f ( x ) − g ( x ) tend vers 0.
© Dunod – Toute reproduction non autorisée est un délit.
{
0 si x ≤ 2
b
f (x) = a − si 2 < x ≤ 4
x
1 si 4 < x
Déterminer les paramètres réels a et b pour que f soit continue partout.
Intervalles de
13. Déterminer les intervalles de définis par les conditions suivantes sur x :
5x + 2 ≥ −3 x2 + 1 ≤ 1 x −1 ≤ 4 2 2x − x 2 < 1 x+ x ≥2
An = 0,[ ] 1
n
, Bn = 0,
1
n[ [ 1
[ [
et Cn = − , 0 .
n
Déterminer les ensembles :
p p p p
E p = Ak , Fp = Ak , G p = Bk et H p = Ck .
k =1 k =1 k =1 k =1
Ensemble de définition
17. Les expressions f ( x ) ci-après définissent une fonction f sur un ensemble
D que l’on demande de déterminer à chaque fois :
EXERCICES
x 2 + 3x + 2
a) 2 ; b) x 3 − 1 ;
x − 2x − 3
c) 3 1 − x 2 ; d) x2 + x − 2 ;
x +1 x +1
e) ; f) ;
x −1 x −1
Composition d’applications
20. Déterminer l’application composée f g , avec :
f (x) = 1 − x2 et g ( x ) = x 2 − 3x + 2
Application réciproque
21. Déterminer la réciproque des fonctions f définies par les expressions f ( x)
ci-après :
a) 2 x + 1 ; b) 3 1 − x 3 ;
x −1
c) ln ; d) f ( x ) = x pour x ≤ 0 et f ( x ) = x 2 pour x > 0 .
x +1
Calcul de limites
22. Déterminer les limites des expressions f ( x ) suivantes, sans utiliser de
fonctions équivalentes :
x 4 + x2 + 1 x 3 + 3x 2 − 3x − 1
a) , x → +∞ ; b) , x →1 ;
x3 − 2 x2 + x − 2
x2 x x+x
c) x + 1 + , x→0 ; d) , x → +∞ ;
x x2 + 4x + 1
x
e) x − x 2 − x , x → +∞ ; f) , x → +∞ ;
x+ x+ x
1 3 1+ x −1
g) − , x →1 ; h) , x→0 ;
1 − x 1 − x3 3
1+ x −1
x− a
EXERCICES
i) , x → a , avec a > 0 ; j) x ( x + a) − x, x → +∞ , avec a
x−a
réel quelconque ;
Fonctions équivalentes
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a)
(x 2 (
+ 3x 3 (2x + 1)
, x → +∞ ; b)
( 2x 2 (
+ x 4 (2 + x )
, x→0 ;
2x + x 4 x + 2x 3
1 x2 − x − 2
c) x3 + x + 2 − x x + , x → +∞ ; d) , x→2
x x−2
10 TD Analyse
Continuité
24. Les expressions f ( x) ci-après définissent une fonction f dont on demande
de déterminer l’ensemble de continuité et la nature des points de discontinuité
éventuels.
2x 2 + x − 1 2x 3 + 2x 2 − x − 1
a) ; b) ;
x +1 | x +1|
x2 + x
c) pour x ≠ 0 et f (0) = 0 ;
2 x2
x2 − x
d) pour x ≠ 1 et f (1) = 1 .
x 2 − 2x + 1
Analyse de l’énoncé et conseils. Après avoir déterminé l’ensemble de défi-
nition de la fonction f, on étudie sa continuité aux bornes finies des intervalles
qui composent cet ensemble. Si une fonction n’est pas définie en un point a,
mais avec des limites à gauche et à droite de ce point égales à , on peut pro-
longer cette fonction par continuité en définissant f ( a) = .
TD 1 Fonction numérique d’une variable réelle 11
(
x +1 (
3
1 1 1 x2 1
( f1 f2 ) ( x) = 3 + et ( g1 g2 ) ( x) = 3 3.
x +1
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x x x x
8. Faux. Soit, par exemple, f ( x ) = x 2 et g ( x ) = x 2 − x ; ces deux polynômes
sont équivalents, quand x → +∞ , à leur terme de plus haut degré qui est x2.
Cependant, f ( x ) − g ( x ) = x tend vers plus l’infini avec x.
9. Les applications f et g paraissent réciproques l’une de l’autre, puisqu’elles
associent le carré ou la racine carrée d’un nombre. On a d’ailleurs
2
( g f ) (x) = ( (
x = x , mais g f n’est pas l’application identique sur , car
f n’est définie que sur + . D’autre part, pour tout x réel, ( f g ) ( x ) = x 2 = | x |.
12 TD Analyse
Ces deux applications ne sont donc pas réciproques l’une de l’autre ; elles le
seraient si elles étaient restreintes à + .
10. Pour m > 0 , le théorème des croissances comparées permet d’affirmer que
f ( x ) est un infiniment grand par rapport à g ( x ) . Pour m = 0 , on a f ( x ) = 1
et g ( x ) x , donc h( x ) → +∞ . Il reste à étudier le cas m < 0 où f ( x ) est un
infiniment petit, h( x ) ayant donc même limite que g ( x ) , qui est équivalent
à ( m + 1) x pour m ≠ −1 . Dans ce dernier cas, h( x ) est un infiniment grand.
Enfin, pour m = −1 on obtient :
− x 2 − 2x + 2 2 –xx −1
h( x ) = + − e → −1
x2 + x + 1 x
C’est donc uniquement pour m = −1 que h( x ) admet une limite finie.
11. L’expression f ( x) n’est pas définie pour x = 0 . Pour x → 0 , le dénomi-
nateur est équivalent à x donc f ( x ) tend vers 1. Il suffit de poser alors f (0) = 1
et de conserver l’expression de f ( x ) pour x ≠ 0 , afin d’obtenir une fonction f
qui soit définie et continue partout. C’est ce qu’on appelle un prolongement par
continuité, où on a défini la valeur f (0) à partir de la limite de l’expression de
f ( x ) qui n’était pas définie pour x = 0 .
12. C’est aux points x = 2 et x = 4 où l’expression de f ( x ) change, que se
pose le problème de la continuité de f. On calcule la limite à droite
f (2 + 0) = a − b/2 qui doit être égale à f (2) = 0 . De même, f (4 + 0) = 1 doit
être égale à f (4) = a − b/ 4 . Ces deux conditions de continuité permettent
d’obtenir b = 4 et a = 2 , soit f ( x ) = 2 − 4 /x pour 2 < x ≤ 4 .
13. On remplace la condition initiale par une condition équivalente portant
sur x :
5x + 2 ≥ –3 ⇔ 5x ≥ –5 ⇔ x ≥ –1
ce qui correspond à l’intervalle [ −1, +∞[ . La condition x 2 + 1 ≤ 1 n’est réalisée
que pour x = 0 , soit l’intervalle [0, 0] . On obtient les équivalences :
1 x –11 ≤ 4 ⇔ –4 ≤ x –1 ≤ 4 ⇔ –3 ≤ x ≤ 5
soit l’intervalle [ −3, 5] . Le terme sous radical doit être positif, d’où les
équivalences :
1 1
2 2x − x 2 < 1 ⇔ 0 ≤ 2x – x2< ⇔ 0 ≤ x (2 – x) et 0 < x2 –2x +
4 4
la première condition est vérifiée pour 0 ≤ x ≤ 2 et la seconde s’écrit
3 3
( x − 1)2 − > 0 , soit x − 1 > . Ces conditions réunies définissent les inter-
4 23
[
valles 0,1 −
2
3
[ [
et 1 +
2
3
,2 .
[
TD 1 Fonction numérique d’une variable réelle 13
[
Ak+1 = 0,
1
k +1
[1
[
⊂ 0, = Ak
[
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k
L’intersection de ces deux ensembles se réduit donc au plus petit et l’union
au plus gros, soit :
E p = Ap = 0, [ 1
p
[ et Fp = A1 = [0,1]
Comme 0 appartient à Ap pour tout entier p, cela reste vrai à la limite, donc :
∞ ∞
E = Ak = {0} et F = Ak = A1 = [0,1]
k =1 k =1
14 TD Analyse
encore 0 qui appartient à Bp pour tout entier p, donc même si tend vers zéro
p
ce point est encore dans l’ensemble limite, soit :
∞
G = Bk = {0}
k =1
[ [
1
En raison de l’inclusion Ck +1 ⊂ CKk , on a H p = C p = − , 0 . Cette fois
p
par contre le point 0 est exclu de tous les intervalles Hp, donc il en est de même
à la limite et :
∞
H = Ck = ∅
k =1
(x 2
)
− 3x + 2 ( x + 1) = ( x − 1) ( x − 2)( x + 1)
f (− x) = 1 − x + x2 − 1 + x + x2 = − f (x)
donc f est impaire.
c) Comme f ( − x ) = x 2 + x ne peut pas s’exprimer à l’aide de f ( x ) , on en
conclut que f n’est ni paire ni impaire.
d) On a :
f (− x) = − x + 1 − − x − 1 = x − 1 − x + 1 = − f (x)
donc f est impaire.
e) Pour x non nul :
− x + 1/x x − 1/x
f (− x) = = = f ( x)
− x − 1/x x + 1/x
donc f est paire.
f) Pour −1 < x < 1 :
1− x 1+ x SOLUTIONS
f ( − x ) = ln = − ln = − f (x)
1+ x 1− x
donc f est impaire.
Vous avez compris ?
Déterminer si les expressions ci-après définissent une fonction paire ou impaire sur
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19. a) La fonction partie entière, notée E, est définie partout. Elle est
constante sur tout intervalle de la forme [ k, k + 1[ , de valeur E( x ) = k sur cet
intervalle, avec un saut pour tout entier relatif k. Elle est croissante au sens
large sur tout , donc elle ne peut pas être périodique. Pour tout entier
positif k, on a E( x ) = k pour x dans l’intervalle ]k, k + 1[ et E( − x ) = − k − 1
16 TD Analyse
Figure 1.1
( ( 2
3 5
x − 3x + 1 ≤ 0 , condition qui est équivalente à
2
x− − ≤ 0 ou
2 4
3 5
x− ≤ . Le domaine de définition de f g est donc l’intersection de D1
2 2
et de
[ 3− 5 3+ 5
2
,
2
[
, soit
2[
3− 5
,1 ∪ 2,
[
3+ 5
2 [ [
. Sur cet ensemble :
TD 1 Fonction numérique d’une variable réelle 17
( f g ) ( x) = f [ g( x)] = 1 − [ g ( x ) ] = − x 2 + 3x − 1
2
21. a) La fonction f est croissante sur et son image est . Pour tout réel y,
1
on écrit l’équation y = 2x + 1, qui admet la solution x = ( y − 1) . La réci-
2
−1 1
proque de f est donc définie pour tout réel x par f ( x ) = ( x +
– 1) .
2
b) La fonction f est décroissante sur tout et l’équation y = 3 1 − x 3
admet pour solution x = 3 1 − y3 , donc f −1 = f . Ainsi, f f = f f −1 = i ,
application identique sur .
c) Cette fonction f est définie et monotone croissante sur chacun des inter-
valles ]−∞, −1[ et ]1, +∞[ , qui ont comme intervalles images respectifs
]0, +∞[ et ]−∞, 0[ . Pour y ≠ 0 , l’équation y = f ( x ) s’écrit :
x −1 x −1 1+ ey
y = ln ⇔
⇐ e = y
⇔ x=
x +1 x +1 1− ey
La réciproque f −1 est donc définie pour x différent de zéro par :
−1 1 + ex
f (x) =
1 − ex
d) La fonction f est la fonction identité sur − , donc il en est de même
pour sa réciproque. Pour x positif, cette fonction est croissante et a pour image
∗+ , l’équation y = x 2 admettant la solution unique x = y . La réciproque est
donc :
{ x si x ∈ − SOLUTIONS
f −1 : x
x si x ∈ ∗+
22. a) Comme il s’agit d’une fraction rationnelle avec la forme indéterminée
∞ , on divise numérateur et dénominateur par x 3 pour obtenir :
∞
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x + 1/x + 1/x 3
f (x) = → +∞
1 − 2/ x 3
résultat prévisible car le polynôme numérateur est de degré plus élevé que le
polynôme dénominateur.
0
b) Nous obtenons la forme indéterminée , c’est-à-dire que 1 est racine
0
( )
du numérateur qui se factorise par ( x − 1) x 2 + 4 x + 1) et du dénominateur
qui se factorise par ( x − 1) ( x + 2) . Pour x différent de 1, cette fraction se sim-
plifie donc par :
18 TD Analyse
x2 + 4x + 1 6
f (x) = → =2
x+2 3
c) Comme x 2 = x , il va falloir étudier deux cas selon le signe de x.
Pour x > 0 :
x
f (x) = x + 1 +
→2
x
quand x tend vers zéro par valeurs positives.
Pour x < 0 :
x
f (x) = x + 1 −
→0
x
quand x tend vers zéro par valeurs négatives. Ces deux limites étant distinctes,
on en conclut que f ( x ) n’admet pas de limite quand x tend vers zéro.
d) On divise le numérateur et le dénominateur de cette forme indéter-
0
minée par x 2 , soit :
0
1/ x + 1/x
f (x) = →0
1 + 4 /x + 1/x 2
e) On résout cette forme indéterminée ∞ − ∞ en multipliant par la quan-
tité conjuguée pour faire disparaître le radical :
f (x) =
(x− ( (
x2 − x x + x2 − x
(
=
x
=
1
→
1
x + x2 − x x + x2 − x 1 + 1 − 1/x 2
x2 + x − 2
f (x) =
1 − x3
Comme numérateur et dénominateur s’annulent pour x = 1, on peut sim-
plifier cette fraction par x − 1 , avec pour x ≠ 1 :
( x − 1) ( x + 2) x+2
f (x) = =− 2 → −1
(1 − x ) 1 + x + x ) x + x +1
) 2
TD 1 Fonction numérique d’une variable réelle 19
h) On peut poser 1 + x = u 6 , avec u qui tend vers 1 quand x tend vers zéro :
f (x) = 2 =
( =
)
u3 − 1 ( u − 1) u + u + 1 u 2 + u + 1 3
2
→
u −1 ( u − 1)( u + 1) u +1 2
i) On factorise le dénominateur, puis on simplifie par x− a
pour x ≠ a :
x− a 1 1
f (x) = = →
( x− a )( x+ a ) x+ a 2 a
f (x) = 4x
x
donc f ( x ) tend vers 0 quand x tend vers 0.
c) Chacun des termes de la différence est équivalent à x x , donc ces
termes disparaissent. Nous allons multiplier par la quantité conjuguée :
x 3 + x + 2 − x 2 ( x + 1/x )
f (x) =
x 3 + x + 2 + x x + 1/x
2 2
= = x −3 / 2
x + x + 2 + x 1 + 1/x
3
2x x