Introduction

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REPLULIQUE DU CAMEROUN REPUBLIC OF CAMEROON

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PAIX – TRAVAIL – PATRIE PEACE – WORK – FATHERLAND

INSTITUT SUPERIEUR DALE


KIETZMAN

TD DE DEVELOPPEMENT PERSONNEL

GROUPE 2

SUJET : << CHANGE TOI ET LE MONDE CHANGERA>>

MEMBRES DU GROUPE :
 AFANE JENNIFER LEOLA
 DONGMO LINE
 ASSIENE
 NGANGOUM
 BADAWE
 NGO NDJENG
 NDOUTA KABONGO

NOM DU PROFESSEUR :
DR SIMO MARCELLE
INTRODUCTION

Dans un monde emprunt a des perpétuelles mutations {sociales, politiques,


économiques, technologiques et même géographiques} ou les frontières sont de plus en plus
volatile les individus sont appelés à s’adapter ou a s’arrimer au changement. Récemment, le
magazine Tine a publié un article intitule : « qu’est ce qui ne tourne pas rond dans le monde
aujourd’hui ? » et la réponse la plus brève qui fut publiée a été : « C’est moi » ; cette réponse
nous amène à comprendre que chaque situation de vie est souhaitée par nous. La chance on
la construit progressivement ce qui suppose que le moi est responsable de ce qui nous
arrive. Ainsi, nous devons changer pour changer le monde, et pour que ce changement soit
effectif, nous devons d’abord nous connaitre nous-mêmes c’est dans cette optique que
Socrate parle de « connais-toi toi-même ». En d’autre terme nous devons nous améliorer,
nous remettre en question, repenser au quotidien, notre environnement vers le meilleur
pour que des autre nous accompagne dans cette quête du parfait et de la satisfaction.
A cet effet, au sujet qui nous a été soumis à savoir :<<change toi et le monde changera>>
nous sommes en droit de se poser la question du comment changer afin que le monde
change ? la réponse a cette question s’article au tour des interrogations suivantes QUI SUIS-
JE ? comment s’améliorer pour que le monde change ?
Nous sommes convaincus qu’en permettant à chacun de découvrir leur potentiel et
devenir des citoyennes du monde, conscients de leurs responsabilités, nous pouvons avoir
un impact sur le monde et l’arranger. En se connaissant soi-même nous pourrons
développer pleinement notre plein potentiel de citoyennes du monde conscients de nos
responsabilités, s’engager et acquérir des compétences, de développer une attitude et une
perspective positive, de prendre des initiatives pour susciter le changement social et le
réaliser.
I-LA PRISE DE CONSCIENCE DE SOI

La conscience de soi est votre capacité à percevoir avec précision vos propres états
intérieurs et vos émotions et à en rester conscient lorsqu'elles se produisent et reconnaître
leur impact sur votre vie.
En bref : c’est la capacité de se connaître, de connaître ce que nous ressentons et
pourquoi.
Les recherches de Tasha Eurich (2017) lui ont permis de constater que « si 95% des gens
pensent qu’ils sont conscients de soi, le chiffre réel est plus proche de 10 à 15% ». Selon
elle : « Non seulement nos évaluations sont souvent erronées, mais nous sommes
généralement de terribles juges de nos propres performances et capacités. »

A-LES TYPES SPECIFIQUES DE CONFIANCE DE SOI

 Conscience interne de soi – La façon dont nous nous connaissons : une


compréhension intérieure de nos passions et aspirations, forces et faiblesses, nos
valeurs, etc.
 Conscience externe de soi – Comprendre comment les autres nous perçoivent avec
ces mêmes facteurs et se comprendre de l'extérieur.

B-IMPORTANCE DE LA PRISE DE CONFIANCE EN SOI

Le Dr Travis Bradberry, auteur d'emotional Intelligence 2.0, décrit la conscience de


soi comme l'une des principales composantes de l'intelligence émotionnelle. La conscience
de soi est « autonomisante » car elle vous arme de connaissances et vous permet de faire de
meilleurs choix – de changer ou de grandir.
Daniel Goleman, l'auteur du livre Emotional Intelligence, l'a identifiée comme la première
des cinq compétences qui composent l'intelligence émotionnelle. Sans conscience et
compréhension de nous-mêmes, et un sens de soi enraciné dans nos propres valeurs, il est
difficile, voire impossible, d'être conscient et de réagir aux émotions des autres.
La conscience de soi aide à…
 Identifier les lacunes dans nos compétences professionnelles, ce qui favorise leur
développement
 Trouver les situations dans lesquelles nous serons les plus efficaces
 Prendre des décisions
Faciliter la gestion du stress et la motivation de soi et des autres
La conscience de soi est importante : en ayant une meilleure compréhension de nous-
mêmes, nous sommes capables de nous identifier et nous affirmer en tant qu'individus
uniques et séparés. Nous sommes ensuite autorisés à apporter des changements et à tirer
parti de nos forces ainsi qu'à identifier les domaines dans lesquels nous aimerions apporter
des améliorations.

II-LA DECOUVERTE OU LA CONNAISSANCE DE SOI

La connaissance de soi est le socle sur lequel toute votre personne repose. Enlevez-y
quelques prières et votre édifice intérieur peut vite devenir bancal, voire s’enfoncer comme
un château de cartes ! en réalité, partout où il y a des lacunes dans la connaissance de soi, la
porte ouverte aux émotions négatives et inhibitrices, telles que le doute de soi-même, le
manque de confiance en soi et d’estime de soi, la peur de ne pas réussir, ou la confusion.
Pourquoi ? parce que s’ignorer, c’est ignorer ce dont on est capable, ce qui peut mener, peu
à peu, a la sensation erronée de ne plus être capable de rien. Mal se connaitre, c’est ignorer
toutes les ressources qui sont en nous pour faire face à de multiple situations. De même,
manquer de connaissance de soi, c’est aussi méconnaitre ses propres limites et
potentiellement se sous-estimer, ou au contraire, se surestimer.
Par conséquent, sans une profonde connaissance de soi, chacun se heurte à deux
mécanismes limitants, destructeurs. Soit il est difficile, voire impossible de pouvoir déployer
son identité et ses spécificités, soit la confiance en soi devient dangereuse car fondée sur de
fausses certitudes. Celui ou celle qui verse dans l’excès de confiance en soi, sans
véritablement se connaitre, finit tôt ou tard par tomber de haut, très haut !
Retrouver confiance en soi, de manière saine et authentique, passe donc inévitablement par
une bonne connaissance de soi. Lorsque l’on sait profondément qui l’on est, on est serein,
sure de ses forces comme de ses faiblesses, dans la maitrise de soi.
Déjà, il faut connaitre son plein potentiel qui est caractérise par : la perception des choses,
l’apprentissage et l’intelligence et d’autre part : « Moi » en tant que responsable qui se
caractérise par les qualités d’un leader et la prise d’initiative.

A-DEVELOPPER SON PLEIN POTENTIEL


Notre potentiel correspond aux aptitudes naturelles ou aux qualités qui peuvent être
développées en nous.

1-L’APPRENTISSAGE
Aussi, au niveau de l’apprentissage, notre mode d’apprentissage est lié à notre perception
des choses. Tout au long de notre vie nous continuons d’apprendre d’autant plus que c’est
l’une des caractéristiques majeures d’un leader. Pour montrer l’importance de
l’apprentissage, un auteur disait : « On ne peut pas apprendre à l’autre, on peut simplement
l’aider à découvrir par lui-même » c’est-à-dire que même en situation d’apprentissage
l’individu doit avoir l’envie d’apprendre par lui-même, on aide simplement à découvrir.

2-L’INTELLIGENCE

Parlant de la connaissance de soi, nous avons l’intelligence qui peut être définie comme
l’ensemble des facultés mentales permettant de comprendre les faits et les choses. Il existe
plusieurs types d’intelligence parmi lesquelles : l’intelligence linguistique, musicale et
corporelle.

B-LA REALISATION DE SOI ET LE DEPASSEMENT DE SOI

Ainsi, on peut observer une graduation entre  la realisation de soi et le depassement de soi

1-LA REALISATION DE SOI

Encore appelée le Renforcement de soi : « Devenir le meilleur de soi-meme » comme


l’exprimait MASLOW , « Devenir de plus en plus ce que l’on est, devenir tout ce que l’on est
capable d’être »
La réalisation de soi consiste à atteindre les objectifs ou les aspirations que quelqu'un
a en tête. Lorsqu'il est atteint, une grande satisfaction est obtenue pour tout ce qui a été
réalisé au cours de ce processus . Ainsi, pour atteinte la realisation de soi, il y’a quelques
etapes à suivre :
o Définissez vos propres objectifs: Ceci est essentiel pour atteindre la réalisation de
soi. Connaître les objectifs et le chemin à suivre pour les atteindre sera quelque
chose qui doit être clair dès le départ.
o Atteindre ces objectifs : C'est une priorité de s'engager sur les objectifs que l'on a.
C'est très bien de les écrire et d'élaborer un plan pour les atteindre, mais sans
engagement il est difficile de les réaliser.
o Établir des relations sociales : Vous n'avez pas besoin de vous laisser emporter par
les autres pour atteindre vos propres objectifs, mais il est clair que si des relations
positives sont établies, et qu'une série de connexions sont faites par rapport aux
objectifs que l'on a, elles peuvent être très fructueuses.

o La valeur des sacrifices : Il faut savoir que pour atteindre des objectifs et
certaines choses, il faut faire des sacrifices. Peut-être que si ce que vous
voulez, c'est être approuvé pour une opposition, vous devrez sortir
moins, et vous concentrer davantage sur les études, par exemple. Vous
devez apprécier les sacrifices que vous devez faire et être prêt à les faire
se sentir épanouis.
o Objectifs réalistes: L'important est d'être heureux de la réalisation de
vos objectifs, mais vous devez avoir une attitude et une mentalité
réalistes, faire de petites choses pour atteindre l'objectif

2-LE DEPASSEMENT DE SOI


Le dépassement de soi ou dépassement personnel peut grandement améliorer
votre quotidien et votre confiance en vous. Découvrez les clés qui vous
permettront d'atteindre vos objectifs !

Il s’agit de mettre en œuvre les forces mentales permettant de surmonter ses propres
limites, physiques, culturelles ou éducationnelles. Le dépassement de soi est une compétition
envers soi-même, ses propres limites, elle n’engendre pas de vaincu et ne se fait pas au
détriment d’autrui. Il s’agit d’explorer son propre champ des possibles, aller au-delà de sa
zone de confort.

Ces limites autodictées sont imposées principalement par 2 explications modernes : l’habitude
de son confort quotidien, et la « conscience collective », comme le fait que certains efforts
sont réservés à une minorité (gravir un sommet, par exemple).

III-« MOI » EN TANT QUE RESPONSABLE

L’idée du « moi » repose sur la perception que nous avons de nos qualites personnelles.

1-NOTION DE RESPONSABILITE

La responsabilité est l’obligation qu’a une personne de répondre de ses actes, les
assumer, d’en supporter les conséquences du fait de sa position.
Huit principes clés peuvent être identifiés ou développés les qualités d’un bon responsable :

 La vision
 La participation
 La diversité
 La confiance
 L’apprentissage
 La créativité
 L’intégrité
 La communauté
Aussi nous avons la prise d’initiative qui est la capacité de se prendre en main, de prendre
des risques calcules et d’être proactif. En anticipant ; les besoins de façon autonome, sans
avoir reçu de consignes ni de directives, afin de faire évoluer une situation.

2-LA PRISE D’INITIATIVE

La prise d'initiative est la capacité de se prendre en main, de prendre des


risques calculés et d'être proactif.ve en anticipant les besoins et les demandes de
façon autonome, sans avoir reçu de consignes ni de directives, afin de faire évoluer
une situation.
La prise d’initiative est synonyme de créativité, de recherches de nouvelles
solutions. La susciter sera un gage d’amélioration pour votre entreprise. … Les
appréhensions pourront être dépassées et vos collaborateurs oseront s’ouvrir,
affirmer leur point de vue et ainsi faire preuve de créativité.

IV-L’ESTIME DE SOI ET L’AMOUR DE SOI

A. L’ESTIME DE SOI

Les expériences vécues par un individu durant sa vie développent son estime de soi. Des
expériences positives peuvent favoriser un regard positif porté sur soi-même, et
inversement. Durant les premières années de la vie d'un enfant, les parents influencent
significativement le développement de son estime de soi, que ce soit en positif ou en
négatif. Un amour inconditionnel, selon les ouvrages sur la parentalité, est d'une influence
notable pour un développement émotionnel stable. Ces émotions affectent l'estime de soi
de l'enfant lorsqu'il grandit.
Pendant les périodes scolaires, les notes représentent un facteur contribuant à l'estime de
soi. Un élève qui réussit ou échoue constamment affecte son estime de soi. Les expériences
en société sont un autre facteur qui influe significativement. Un enfant, à l'école, peut
commencer à se comparer à ses camarades de classe. Ces comparaisons jouent un rôle
important dans l'estime de soi de l'enfant et influencent l'avis négatif ou positif qu'il a de lui.
À l'adolescence, l'opinion sur l'estime de soi et le regard sur soi deviennent plus importants,
car les adolescents se comparent en fonction de leurs relations avec leurs proches amis. Une
relation aisée avec des amis est très importante pour le développement de l'estime de soi
chez les enfants. L'acceptation sociale amène également une forte estime de soi, tandis que
le rejet et la solitude amènent le doute et favorisent le développement d'une faible estime
de soi.
L'attitude parentale et le style parental jouent un rôle crucial dans le développement de
l'estime de soi. Une éducation basée sur l'attention et l'encouragement conduit les enfants à
avoir une forte estime de soi, ce qui leur permet de prendre des décisions plus rapidement.
Des études rapportent un lien positif entre un style parental autoritatif et le développement
de l'estime de soi, comparé aux styles parentaux dits autoritaire, indulgent ou négligent. Les
bonnes expériences vécues durant l'enfance qui contribuent au développement d'une bonne estime
de soi impliquent l'attention des autres, des paroles respectueuses, une attention et une affection
appropriées, ainsi que la reconnaissance de tâches effectuées avec succès. Les mauvaises
expériences qui contribuent au développement d'une faible estime de soi impliquent de fortes
critiques, du harcèlement ou abus physique, moral ou sexuel, être ignoré, ridiculisé ou intimidé.

1-Faible estime

Une faible de soi peut impliquer les caractéristiques suivantes :


 Autocritique importante, créant un état habituel d'insatisfaction de soi ;
 Hypersensibilité aux critiques ; un individu ayant une estime de soi basse se sent
facil1ement attaqué et éprouve de façon permanente des ressentiments face aux
critiques ;
 Indécision chronique, souvent à la suite d'une peur exagérée de faire une erreur ;
 Perfectionnisme, qui conduit à vouloir faire quelque chose parfaitement ou sans
erreur, (il se trouve inquiet), au risque notamment de causer une frustration ;
 culpabilité, qui mène à des ruminations des erreurs faites dans le passé ;
 Irritabilité, ou constamment sur la défensive même sans raison apparente ;
 Pessimisme, point de vue négatif généralisé ;
 envies.

2-Forte estime
Une forte estime de soi peut impliquer les caractéristiques suivantes13 :

 Croyance ferme en ses propos et principes, toujours prêt à se défendre face à


l'adversité, et confiance en soi ;
 Capacité à faire les choix qui semblent corrects, sans culpabilité vis-à-vis des autres14
;
 Capacité à aller de l'avant, sans se préoccuper des événements passés ou à venir14 ;
 Capacité à résoudre pleinement un problème, sans hésitation ni difficultés ; il peut
demander l'avis des autres ;
 Considération, ne se sent ni inférieur ni supérieur aux autres, et accepte les
différences propres aux autres ;
 Résistance à la manipulation, collaboration avec les autres ;
 Admission et acceptation des opinions et avis partagés, qu'ils soient positifs ou
négatifs ;
Capacité à apprécier pleinement toute une variété d’activités ;
Sensibilité aux besoins des autres ; respect général des lois sociales.

B- L’AMOUR DE SOI

L'amour de soi est au fondement de notre rapport à nous-même et détermine


profondément nos relations aux autres. À la base de l'estime de soi, qui soutient la confiance
en soi et la capacité de s'affirmer dans l'interaction, il arrive cependant que certaines
personnes n'arrivent pas à s'aimer. Comment faire dans ce cas-là, pour apprendre à s'aimer,
pour retrouver ou développer l'amour-propre si essentiel à notre construction personnelle ?

Où que vous en soyez dans votre parcours de vie, il n'est jamais trop tard pour développer et
renforcer cet amour de soi. Il vous permettra de vivre un rapport à vous-même et aux autres
plus équilibré. Le manque de confiance en soi pouvant être un indicateur, n'hésitez pas à
réaliser le test suivant qui vous permettra d'obtenir de nombreuses informations quant à
votre capacité à vous aimer.
L'amour de soi correspond à la capacité à s'aimer inconditionnellement. Il renvoie à cette
possibilité de s'auto-apaiser et de prendre soin de soi, indépendamment des circonstances.
Quoiqu'il puisse se passer, si l'amour de soi est bien développé, vous serez toujours en
mesure de poser des actes visant au respect de soi, et aurez intrinsèquement la capacité de
vous positionner et de vous percevoir comme suffisamment « bon » et « valable » pour ne
pas vous laisser vivre des situations susceptibles de nuire à votre intégrité ou de vous
dégrader.
En ce sens, l'amour-propre est la composante fondamentale d'une personnalité
affectivement autonome, c'est-à-dire capable d'agir efficacement et de gérer sainement ses
émotions, en vue de son propre bien-être.
V- CHANGEMENT DE LE PERCEPTION QUE NOUS AVONS DU MONDE

Cette citation de Philippe BOUVARD : « Faute d'avoir pu changer le monde, j'ai modifié
ma façon de le considérer » nous démontre encore que nous ne percevons pas le monde de
la même manière mais nous le percevons tel que nous sommes. C’est à dire que lorsqu’on
regarde le monde positif il sera positif et lorsqu’on le regarde négatif il sera négatif pour
nous. Nous devons changer l’idée que nous nous faisons du monde.
Les individus sont différents non seulement dans leurs comportements mais aussi dans
leur manière dont ils expriment ce comportement. Ils observent et perçoivent et pensent
différemment. Et c’est là ou réside essentiellement les différents mode d’expressions.

A-LA PENSEE POSTIVE


"La pensée positive permet de se focaliser sur le moment présent, de ne plus anticiper les
problèmes, et de lutter contre ces ruminations. On apprend à lâcher. Par la force des
choses, on est obligé d'être dans l'acceptation", affirme Antoine Pelissolo. Cette dernière
s'avère essentielle : "Il faut accepter ses propres échecs et déceptions, et ne surtout pas essayer
de masquer sa tristesse ou sa souffrance. C'est grâce à cette étape que l'on peut devenir plus
apaisé", insiste Phillipe Gabilliet.

B- L’IMAGE QU’ON A DE SOI ET D’AUTRUI

L'image de soi est la représentation mentale qu'un individu se fait de lui-même,


décrivant sa personnalité physique (taille, genre...) et psychologique (caractère, comportement...).
C'est tout à la fois la façon dont on se voit, ce que nous voulons être, ce que nous croyons être...
L'image de soi est changeante suite à des événements, des propos, une évolution de carrière...
L'image de soi dans le monde professionnel peut être différente de l'image de soi dans d'autres
sphères de vie.
Selon la tradition philosophique, « penser » se déploie exclusivement selon la
double dimension morale et spéculative. En effet, la pensée ainsi conçue implique une
ouverture à autrui. Cette ouverture est en effet ce qui rend possible la morale, définie de
manière large comme le domaine du devoir. Le devoir est en effet un motif autre que mon
intérêt particulier immédiat, et sa simple présence révèle la possibilité pour moi d’envisager
un motif qui ne m’est pas particulier, c’est-à-dire qui peut être un motif pour d’autres, et
donc la possibilité d’envisager d’autres perspectives que la mienne, la perspective d’autrui.
Elle est aussi ce qui rend possible la connaissance en ceci que le vrai est ce qui doit donner
lieu à un accord de toutes les perspectives
CONCLUSION
Parvenus au terme analyse il était question de parler du changement de soi, de
comment améliorer le monde. Ainsi, nous avons montré que pour que l’homme change le
monde, il faut que celui-ci prenne conscience de lui-même c’est-à-dire avoir une image de
soi même qui est réaliste, qu’il se connaisse lui-même c’est à dire son plein potentiel, qu’il
soit responsable, qu’il ait l’estime de soi, l’amour de soi c’est dans cette lancée que Whitney
Houston disait : « Apprendre à s’aimer c’est le plus grand bonheur »
En conclusion, nous ne pouvons pas toujours changer le monde, mais nous pouvons
changer d’idée. Faute d’avoir pu changer le monde, je peux modifier ma façon de le
considérer.
Ainsi, même après notre changement, le monde pourrait-il radicalement changer ?

BIBILIOGRAPHIE :
-Le magazine tine
-Les recherche de TASHA EURICH (2017)
- Emotional intelligence 2.0 (Dr TRAVIS BRADBERRY
-Emotional intelligence (DANIEL GOLEMAN)

ANNEXES :
Cahier de cours
Google
Nos propres connaissances

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