2018 Evcp
2018 Evcp
2018 Evcp
Question N°1
Décrivez la prise en charge du prélèvement, de l’enregistrement au
rendu des lames.
Question N°2
De quels éléments morphologiques et immunohistochimiques vous
servez-vous pour classer ce carcinome ?
Question N°3
Quels biomarqueurs à visée théranostique doivent être recherchés dans
les deux types histologiques les plus fréquents de carcinome broncho-
pulmonaire primitif ?
Sujet : N°2
Vous recevez une pièce de duodénopancréatectomie céphalique pour
cancer du pancréas, adressée fraiche pour examen extemporané de la
tranche de section pancréatique.
Question N°1
Décrivez les modalités de réalisation de l’examen extemporané et du
rendu de son résultat.
Question N°3
Décrivez la prise en charge de la pièce opératoire après l’examen
extemporané, jusqu’à la mise en cassette des prélèvements.
Question N°4
Enumérez les items qui doivent figurer dans votre compte-rendu
anatomo-pathologique.
Sujet :
Vous voyez en consultation pré anesthésique un homme de 70 ans,
adressé pour colectomie gauche par voie coelioscopique pour cancer.
Les antécédents associent : cardiopathie ischémique avec stent actif
datant de mars 2016, hypertension artérielle, fibrillation atriale
paroxystique et diabète type 2. Le patient a été vu en consultation par
son cardiologue en avril 2017.
Son traitement associe : rivaroxaban (Xarelto), bisoprolol (Bisoce),
Kardegic 75 mg, atorvastatine (Tahor), metformine (Glucophage),
ramipril (Triatec).
A l’examen clinique, vous notez un poids de 75 kg pour 175 cm, avec
une perte récente de 10 kg en 3 mois. La pression artérielle mesurée est
130/70 mmHg, la fréquence cardiaque est à 72 bpm. Il n’existe pas de
tabagisme actif et l’auscultation cardio-respiratoire est normale. Le
patient vous indique qu’il peut monter 2 étages.
Question N°1
Quel bilan sanguin prescrivez-vous à la consultation?
Question N°2
Interprétez l’électrocardiogramme suivant :
TSVP
Sujet : 1
Question N° 1 :
Quels sont les arguments en faveur de l’origine bactérienne de cette
méningite ?
Question N° 2 :
Existe-t-il des arguments en faveur d’une infection à méningocoque ou à
pneumocoque ?
Si oui, lesquels ?
Question N° 3 :
Qu’attendez-vous de la coloration de Gram s’il s’agit d’un méningocoque
ou d’un pneumocoque ?
Question N° 4 :
Quels milieux de culture ensemencerez-vous ?
Quelles conditions de culture appliquerez-vous ?
Comment ferez-vous l’identification ?
Question N°1 :
Identifier et décrire les cellules ci-dessus. Quelle est la pathologie la
plus probable au vu de ces éléments clinico-biologiques ?
Question N°2 :
Quelle est l’hypothèse la plus probable pour expliquer les troubles de
la coagulation ?
Question N°3 :
Quels sont les critères biologiques de gravité ?
Question N°4 :
Quelles analyses complémentaires (cytologique(s) et d’hémostase)
conseillez-vous au clinicien ?
Question N°1 :
Commenter les résultats du bilan biologique et calculer le cholestérol-
LDL.
Question N°2 :
Quel type de dyslipidémie est observé (classification de Fredrickson)
et à quel profil peut-on s’attendre si on effectue un lipidogramme sur
le sérum du patient ?
Question N°3:
Quels examens permettront d’évaluer l’efficacité du traitement ?
Sujet : 4
Question N° 3 :
Quel est votre diagnostic et sur quels critères microscopiques ?
Question N° 4 :
Quels sont les critères biologiques de gravité d’un accès palustre ?
Question N° 5 :
Sujet : N°1
Cancer de la prostate
Question N° 1
Quelles sont les prises en charge possibles pour ce patient ?
Question N°2
Après prise en charge locale, le patient a un PSA nadir à 0,2 ng/ml à 3
mois. A six mois le PSA remonte à 5,2 ng/ml.
Expliquez votre démarche diagnostique.
Question N°3
Le bilan d’extension est négatif. Que faites-vous ?
Sujet : N°2
Cancer du colon
Question N°1
Quel est votre bilan d’extension morphologique ?
Question N°2
Le bilan d’extension est négatif. Avez-vous besoin d’examen(s)
moléculaire(s) pour décider de la suite de la prise en charge immédiate ?
Question N°4
La lésion est classée pT3N1 (1N+/12N). Quel traitement proposez-
vous et précisez les modalités ?
Question N°5
Dans le cadre du suivi, des métastases hépatiques et pulmonaires
diffuses non résécables sont mises en évidence. Le patient reste en état
général satisfaisant compatible avec une prise en charge thérapeutique.
Décrivez les principales options thérapeutiques possibles en première
intention ?
Sujet : N°3
Cancer pulmonaire
Une femme de 47 ans vous est adressée pour découverte d’un cancer
bronchique.
Elle a comme antécédent principal une salpingectomie.
Elle est divorcée, a deux filles dont une mineure à charge. Elle est
conductrice de bus, non exposée à l’amiante. Le tabagisme est estimé à
35 paquets-année.
Des douleurs thoraciques ont conduits à la prescription d’un scanner
thoracique et à la découverte d’une lésion primitive bronchique d’allure
suspecte.
Question N°1
Le diagnostic d’adénocarcinome TTF1+ et PDL1 à 90% est posé. Quel
bilan d’extension demandez vous ?
Question N°2
Quels sont les marqueurs théranostiques que vous devez demander en
première intention ?
Question N°4
3 ans plus tard, la patiente présente une évolution métastatique
surrénalienne et osseuse lombaire hyperalgique non menaçante.
Quels sont les traitements systémiques anti-tumoraux que l’on peut
proposer ?
Question N°5
Quels seront les autres éléments de la prise en charge ?
Sujet : N°4
Cancer de Sein
Question N°1
Quels facteurs pronostiques péjoratifs cette patiente présente-t-elle?
Question N°2
Quel élément décisionnel capital manque ici ?
Que prescrire pour y remédier ?
Question N°4
Vous retenez une indication de radiothérapie; quel(s) volume(s)-cible(s)
traitez-vous chez cette patiente ?
Quel(s) effet(s) secondaire(s) précoce(s) annoncez-vous à la patiente ?
Question N°5
Un traitement oral au long cours a nettement contribué à améliorer la
survie sans récidive dans ce type de cancer : lequel ?
Quelle classe thérapeutique prescririez-vous en première intention chez
cette patiente en l’absence de contre-indication (détailler son mode
d’action).
Sujet :
Question N°1
A ce stade, quel diagnostic évoquez-vous et sur quels arguments ?
Question N°2
Quel traitement pharmacologique débutez-vous immédiatement ?
Question N°3
Considérez-vous que cette patiente présente un risque faible, modéré,
élevé, ou très élevé de décès ou d’infarctus grave? Sur quels
arguments ? Faut-il faire une coronarographie et dans quel délai ?
Question N°5
La patiente a eu une angioplastie de l’IVA avec implantation d’un stent
actif de seconde génération. Elle avait par ailleurs des sténoses
tritronculaires non revascularisables. Sa fraction d’éjection ventriculaire
gauche est à 40%. Elle est asymptomatique. Sous la forme d’une liste,
quelles mesures générales lui recommandez-vous et quelles classes
médicamenteuses doivent apparaître en première intention pendant la
première année.
Question N°6
Une semaine plus tard, la patiente se présente de nouveau aux
urgences de votre hôpital en raison de l’apparition d’un essoufflement
tenace, même au repos, sans douleur thoracique. Son ECG s’inscrit en
fibrillation atriale à 130/min, sans trouble de la repolarisation. Sa
pression artérielle est à 100/70 mmHg, la saturation en O2 est à 90%, on
entend des râles crépitants aux deux bases pulmonaires. Son bilan
biologique indique que la troponine ultrasensible est négative. Le DFG
est à 66 ml/min. Quel diagnostic évoquez-vous? L’échographie
cardiaque montre une aggravation de la dysfonction ventriculaire
gauche (fraction d’éjection à 25%). Quel traitement proposez-vous dans
les 48 premières heures?
Question N°8
Quel score vous permet d’évaluer le risque thrombo-embolique de cette
patiente ? De quels critères ce score est-il composé ? Quel est le score
de cette patiente ? Citez un score qui permet d’évaluer son risque
hémorragique ?
Question N°9
Suite à votre prise en charge, un rythme sinusal a été rétabli et la
patiente redevient asymptomatique. Quel traitement antithrombotique lui
prescrivez-vous et pour quelle durée ?
Question N°10
Quels autres traitements médicamenteux lui prescrivez-vous à la sortie?
Question N°11
Citez 10 éléments de surveillance clinique et para-clinique chez cette
patiente.
Question N°12
Malgré votre traitement, la patiente présente des récidives de fibrillation
atriale paroxystique, elle a une dyspnée classe 3 de la NYHA et sa
fraction d’éjection ventriculaire gauche est à 25% et la durée des QRS
est de 10/100ème de seconde. Quelles options thérapeutiques, autres,
que celles déjà mises en place, peuvent être discutées chez cette
patiente ?
Sujet : 1
Question N°1
Quel examen d’imagerie prescrivez vous en urgence de première
intention? (1 point)
Question N°2
Vous avez demandé un scanner injecté. Quels renseignements espérez-
vous en obtenir ? (4 points)
Question N°3
Décrivez le scanner thoracique suivant : (4 points)
Question N°5
Citez 3 signes cliniques d’un syndrome cave supérieur ? (3 points)
Question N°6
Quel diagnostic suspectez-vous en premier ? (4 points)
Question N°7
Quelle est votre attitude thérapeutique ? (6 points)
SUJET N°2
Cas clinique 2 / (50 points)
Question N°2
Quel examen d’imagerie doit être prescrit ? (2 points)
Question N°3
Décrivez le scanner thoracique (5 points)
Question N°4
Quel diagnostic évoquez vous en premier ? (7 points)
Question N°5
Quels autres diagnostics sont possibles ? (10 points)
Question N°6
Quels prélèvements biologiques demandez vous ? (4 points)
Question N°8
Quel bilan pré-opératoire réalisez vous ? (3 points)
Question N°9
Quelles sont les précautions pré-opératoires a prendre ? (6 points)
Question N°10
Quelle est votre attitude thérapeutique ? (8 points)
Sujet : 3
Cas Clinique 3 : (25 points)
Question N°1
Quel est le diagnostic à évoquer en priorité ? (5 points)
Question N°2
Quels sont les 2 diagnostics différentiels à évoquer ? (2 points)
Question N°4
Un protocole de prise en charge d’une cardiopathie ischémique aigue est
débuté en préhospitalier en perspective d’une exploration et un
traitement endovasculaire. Une dose de charge d’antiagrégant
plaquettaire est donnée au patient, il est transporté en urgence extrême
vers les Urgences Cardiologiques.
Confirmez-vous cette attitude thérapeutique. Pour quelle raison? (2
points)
Question N°5
Dans le camion du SAMU la situation clinique s’aggrave, les douleurs
abdominales s’aggravent et irradient au membre inferieur droit.
Quel est le diagnostic le plus probable? (2 points)
Question N°6
Le patient arrive à la salle de cathétérisme cardiaque pour une
coronarographie. L’angioplasticien essaie un cathétérisme artériel et
constate l’absence de pouls radial droit et fémoral droit.
Quelles sont les structures anatomiques atteintes? (5 points)
Question N°8
Quelle autre exploration radiologique préconisez-vous? (2 points)
Question N°9
La situation clinique s’aggrave dans la salle de cathétérisme. Le patient
est en état de choc. Une échocardiographie de débrouillage est
pratiquée.
Quel est votre diagnostic ? (1 point)
Question N°10
Quel geste pouvez-vous pratiquer en urgence ? (1 point)
Question N°11
Quelle mesure de réanimation préconisez-vous, en attendant votre
geste? (1 point)
Question N°12
Votre geste thérapeutique a été efficace, le patient est transféré au bloc
opératoire de chirurgie cardiaque. Quel le principe de votre traitement
chirurgical ? (1 point)
Sujet : 1
Question N° 1 :
Quel diagnostic évoquez-vous en premier devant ce tableau ?
Question N° 2 :
Comment confirmez-vous ce diagnostic ?
Question N° 3 :
Citez au moins quatre autres agents infectieux à rechercher dans ce
contexte ?
Question N° 4 :
Votre diagnostic principal est confirmé mais le reste du bilan est négatif,
quelle ordonnance de première intention proposez-vous ?
Quelle réaction générale spécifique associée à ce traitement dans la
pathologie peut-on craindre ?
Question N° 5 :
Votre patient vous informe qu’il a déjà eu une réaction « allergique » à ce
traitement, quelle ordonnance alternative réalisez-vous ?
Question N° 6 :
Vous recevez en consultation la femme du patient pour des lésions
condylomateuses péri-anales, quels examens réalisez-vous ?
Question N° 7 :
Quel agent pathogène est responsable de ces lésions ?
Question N° 9 :
Quels types de traitement peuvent être proposés ?
Sujet : N° 2
Question N° 1 :
Quel diagnostic évoquez-vous en priorité devant l’aspect de cette
lésion ?
Question N° 2 :
Comment confirmer le diagnostic ?
Question N° 3 :
Quel élément de l’histologie est important dans la prise en charge
thérapeutique ?
Question N° 4 :
Quels sont les facteurs cliniques de mauvais pronostic de ce type de
tumeur ?
Question N° 5 :
Quel bilan d’extension réalisez-vous ?
Question N° 6 :
Vous confirmez votre première impression diagnostique, et le reste des
examens confirme l’absence de facteurs de gravité, quel traitement et
selon quelles modalités proposez-vous ?
Question N° 8 :
Quel est le gène impliqué et quel est son mode de transmission ?
Question N° 9 :
Que recherchez-vous dans ce contexte à l’examen clinique ?
Question N° 10 :
Quelles explorations paracliniques demandez-vous ?
Question N° 11 :
Vous remarquez chez la maman de cette patiente une volumineuse
lésion infiltrée du canthus externe dont la biopsie confirme qu’il s’agit du
même type de tumeur que celle de sa fille. Le cas de cette patiente (la
maman) est discutée en RCP qui réfute la chirurgie, quelle seule
alternative thérapeutique est envisageable ?
Sujet : N° 3
Vous êtes appelé aux urgences pour un enfant de 12 ans qui présente
depuis quelques jours un purpura des membres inférieurs remontant
jusqu’aux cuisses.
Question N° 1 :
Quels éléments cliniques recherchez-vous en priorité pour éliminer ou
confirmer une cause grave ?
Question N° 2 :
Vous éliminiez une cause grave, que recherchez-vous à l’interrogatoire
pour vous orienter dans votre diagnostic (5 signes) ?
Question N° 3 :
Quel examen paraclinique est indispensable dans le bilan initial ?
Question N° 5 :
Ce purpura est infiltré, quel est le diagnostic le plus probable chez cet
enfant ?
Question N° 6 :
Quels autres examens complémentaires demandez-vous ?
Justifiez-les à chaque fois.
Question N° 7 :
Le bilan complémentaire est rassurant, quel traitement proposez-vous ?
Question N° 8 :
Vous revoyez l’enfant une semaine plus tard, les lésions cutanées
s’améliorent mais vous constatez des œdèmes des membres inférieurs,
quelle complication évoquez-vous en priorité ?
Comment la confirmer ?
Sujet : N° 4
Question N° 1 :
Donnez 5 diagnostics à évoquer devant un prurit vulvaire ?
Question N° 2 :
À l’examen vulvaire, vous constatez un aspect blanc nacré et érosif de la
vulve, quel est votre diagnostic principal ?
Question N° 3 :
Que recherchez-vous à l’examen clinique ?
Question N° 4 :
Quelle est votre ordonnance type pour les 3 mois à venir ?
Question N° 5 :
Quelle complication majeure craignez-vous ?
Sujet : 1
Une patiente de 25 ans, diabétique de type 1 depuis l’âge de 15 ans,
traitée par pompe à insuline est adressée aux urgences pour des
douleurs abdominales et des vomissements. Le dernier bilan fait il y a 6
mois ne retrouvait pas de complication. L’interrogatoire retrouve une
asthénie majeure depuis plusieurs jours et une soif intense. On note un
amaigrissement de 7 kgs depuis 3 mois avec un poids actuel de 53 kgs
pour 1,69m. Ses dernières règles datent de 2 mois. La température est à
37,2 °C, la pression artérielle à 95/55 mmHG, la fréquence cardiaque à
120/min. La SaO2 est à 99%. L’examen clinique retrouve un pli cutané et
une polypnée à 28/min. La palpation de l’abdomen retrouve une douleur
diffuse. La glycémie capillaire à l’entrée est à 3,40 g/l. La cétonémie est
à 3 mmol/l.
Question N°1.
Quel est votre diagnostic ?
Question N°2.
Quels examens complémentaires demandez vous en urgence ?
Question N°3.
Quelle est votre prise en charge thérapeutique immédiate ?
Question N°4.
Quelles seraient les indications à une hospitalisation en réanimation pour
cette patiente ?
Question N°5.
Quel bilan étiologique de cet épisode aigu demandez-vous ?
Question N°6.
Quelles sont les étiologies possibles de l’aménorrhée chez cette
patiente ?
Question N°7
Après l’épisode aigu, quelle contraception pouvez-vous proposer à cette
patiente ?
Question N°1 :
Dans le texte quels sont les signes cliniques en faveur d’un
hypogonadisme ?
Question N°2 :
Quel bilan hormonal demandez- vous pour le diagnostic positif d’un
d’hypogonadisme clinique?
Question N°3 :
Quels dosages plasmatiques demandez- vous pour confirmer une
origine hypothalamo-hypophysaire à visée étiologique de cet
hypogonadisme ?
Question N°4 :
Comment complétez-vous le bilan biologique ?
Question N°5 :
Une IRM hypophysaire est réalisée. Compléter les légendes
C.
A.
B.
C.
D.
Question N°6 :
Décrivez l’image pathologique.
Question N°7 :
Quel élément de la triade radiologique manquerait sur cette imagerie
pour évoquer un craniopharyngiome et quel examen complémentaire
d’imagerie permettrait de confirmer ce diagnostic ?
Question N°8 :
A quel spécialiste adressez vous le patient en pré opératoire et pour quel
bilan ?
Question N°10 :
Quels sont les gènes les plus fréquemment impliqués dans les
macroadénomes d’origine génétique ? .
Question N°11 :
Si le taux de prolactine était à 1500 ng/ml, quel traitement de première
intention proposez vous ?
Sujet : N°1
Question n° 1
Quel premier diagnostic devez-vous évoquer?
Question n° 2
Que recherchez-vous à l’examen clinique après avoir éliminé ce premier
diagnostic?
Question n° 3
Quels examens biologiques prescrivez-vous pour préciser votre
diagnostic?
Question n°4
Quel diagnostic est le plus probable ?
Elle revient vous voir 2 mois après. Ses règles n’étant pas revenues
depuis la prise de la contraception d’urgence, elle a fait un test urinaire
de grossesse qui est positif. Elle envisage une interruption de grossesse.
Question n° 5
Expliquez-lui les modalités de la contraception hormonale d’urgence.
Question n°7
Expliquez les modalités du dépistage du diabète gestationnel tel qu’il est
recommandé actuellement en France ?
SUJET N°2
Une patiente de 42 ans vient vous voir pour la première fois dans le
cadre de son suivi gynécologique annuel. Elle a eu 3 enfants (1 fausse
couche spontanée et 3 accouchements par voie basse) et elle n’a pas
été vue depuis la naissance de son fils il y a un peu plus de 3 ans, son
dernier frottis cervico vaginal date de cette période.
Question 1 :
Quelles sont les modalités du dépistage du cancer du col de l’utérus en
France ?
Vous avez décidé de lui faire son frottis dont voici les résultats :
Question 2 :
Quelle prise en charge proposez-vous à partir des résultats de ce
frottis ?
Question 3 :
Que proposez-vous ?
La patiente revient 5 ans après. Ses frottis se sont normalisés. Elle n’a
pas de contraception. Elle présente des règles très abondantes depuis
quelques mois et elle a fait un épisode de métrorragie récemment.
Question 4 :
Quelles sont les principales étiologies possibles de ces méno-
métrorragies ?
Question 5 :
Quelles investigations complémentaires allez-vous demander devant ce
tableau ?
Question n°6 :
Précisez à quoi correspond un fibrome de type 1 ?
Question n°7 :
Quel traitement proposez-vous ?
La patiente revient vous voir 5 ans plus tard. Elle est désormais
ménopausée. Elle présente des métrorragies.
Question n°8 :
Quel est le diagnostic à évoquer et quelle stratégie d’investigation devez-
vous mener ?
Question N°1
L’échographie montre qu’il s’agit d’une grossesse gémellaire. Précisez la
chorionicité par rapport au cliché suivant ? Quel est le signe
échographique ici présent évocateur de ce type de placentation ?
Question N°2
Précisez le rythme de la surveillance clinique avec le gynécologue-
obstétricien ainsi que le rythme des échographies obstétricales pour ce
type de grossesse gémellaire ?
Question N°3
Décrivez votre examen clinique aux urgences obstétricales ?
Question N°4
Quels examens paracliniques demandez-vous d'emblée ?
Question N°5
Quelle est votre prise en charge ?
Question N°6
A quel âge gestationnel, faut-il programmer l’accouchement dans ce type
de grossesse gémellaire (voir réponse question 1) ?
Question N°7
Quelle voie d’accouchement proposez-vous ?
Question N°8
Si une césarienne était programmée, quelles mesures thérapeutiques
prophylactiques per-opératoires prenez vous ?
Question N°9
Décrivez les conditions générales de l’accouchement si la voie basse est
retenue.
Question N°10
Après l’accouchement du premier jumeau que faites-vous ?
Question N°11
Que faites-vous pour l’accouchement du deuxième jumeau ?
Sujet : N°2
Une patiente de 51 ans consulte pour des métrorragies évoluant depuis
quelques semaines. Elle vous parle de sa mère décédée d'un cancer du
sein et d’une sœur chez qui a été diagnostiqué un cancer du sein à 45
ans, mais elle ne déclare aucun antécédent personnel particulier hormis
une consommation régulière de tabac. Elle est ménopausée depuis 3
ans. Elle a 4 enfants de 3 pères différents, elle a eu son premier fils à 17
ans, et n'a pas vu de gynécologue depuis la naissance de sa dernière
fille. Mais elle s'est fait prescrire par son médecin traitant une
mammographie, qu'elle n'a toujours pas réalisée.
Question N°1
L’interrogatoire vous indique des saignements faibles mais récidivants
depuis plusieurs mois survenant souvent après un rapport sexuel. Quelle
est votre hypothèse diagnostique privilégiée ?
Question N°2
L’absence de frottis depuis plus de dix ans vous parait anormale. Quelle
(s) est (sont) la (les) recommandation(s) actuelle(s) en France en
matière de dépistage du cancer du col ?
Question N°3
Si vous aviez été le destinataire des résultats de ce frottis, qu’auriez-
vous fait et argumentez ?
Question N°5
Que proposez-vous de faire à la patiente ?
Question N°6
Pouvez-vous préciser les deux types histologiques les plus fréquents de
cancer du col utérin et leur proportion respective ?
Question N°7
La présence du virus HPV (papillomavirus) est indispensable mais non
suffisante pour induire un cancer du col. Citez 5 cofacteurs de risque de
cancer du col de l'utérus ?
Question N°8
Quel est l’examen complémentaire prescrit en première intention afin
d’apprécier l’extension loco-régionale de la maladie ? Quelles
informations attendez-vous ?
Question N°10
Quelle prise en charge thérapeutique proposez-vous ?
Sa fille de 40 ans vient vous voir, inquiète, car elle a peur pour sa
fille de 13 ans. Elle vous interroge sur la possibilité de prévention
du cancer du col utérin.
Question N°11
Que lui dites-vous sur la prévention du cancer du col ?
Question N°1
Quelles sont dans cette observation, les éléments en faveurs d’une
déshydratation extra-cellulaire ?
Question N°2
Quelles sont les indications à réaliser des examens microbiologiques en
cas de diarrhée aiguë?
Question N°5
Quelle est votre prise en charge initiale thérapeutique?
Question N°6
Quels examens paracliniques réalisez-vous?
Question N°7
Question N°8
Donnez 4 hypothèses diagnostiques?
Question N°1
Quelles sont les 5 principales causes d’hémorragie digestive haute ?
Commencez par les 2 plus fréquentes
Question N°2
Quelle est votre prise en charge initiale thérapeutique ?
Question N°3
L’endoscopie retrouve
Question N°4
Quelle est votre prise en charge endoscopique pour stopper
l’hémorragie ?
Question N°5
Quels sont les scores et les paramètres clinico-biologiques pour les
calculer.
Question N°6
Que demandez-vous sur le plan clinique, biologique et morphologique
pour compléter le bilan étiologique et la recherche de complications de
cette cirrhose ?
Question N°7
L’échographie retrouve un foie hétérogène avec des vaisseaux
perméables, elle est complétée par une imagerie en coupes dont voici
une image.
SUJET N° 3
Question N°1
Vous suspectez une pancréatite aiguë d’origine biliaire.
Quels examens de première intention allez-vous réaliser pour confirmer
l’origine biliaire ?
Question N°2
Quels facteurs de risque de maladie lithiasique identifiez vous dans cette
observation ?
Question N°3
Comment évaluez-vous la gravité de cette pancréatite ?
Question N°4 :
Donnez les principales mesures thérapeutiques à mettre en place dans
les 6 premières heures.
Question N°5 :
La vésicule est lithiasique. Le bilan hépatique à 48 heures est normal.
Il n’y a pas de critère de gravité de la pancréatite aiguë. Demandez-vous
une écho endoscopie ? Justifiez.
Question N°7 :
Au cours d’une pancréatite aiguë biliaire, quelles sont les indications
d’une Cholangio-pancréatographie rétrograde endoscopique en
urgence ?
Question N°8 :
La patiente sort contre avis médical à J2 avant le traitement que vous
aviez envisagé. Elle revient aux Urgences un mois après, avec des
douleurs épigastriques transfixiantes (EVA 8/10) évoluant depuis 10
jours et l’apparition récente d’une fièvre à 39°C. Le bilan hépatique est
normal. Le scanner montre des coulées de nécrose, sans dilatation des
voies biliaires. Quelle est votre attitude thérapeutique ?
Question N°9 :
Que proposez-vous sur le plan nutritionnel ? Justifiez.
Sujet :
Mme T., 75 ans, est hospitalisée pour toux fébrile. Ses principaux
antécédents sont une cholécystectomie sur lithiase, ancienne, une
hypertension artérielle traitée par bisoprolol, une arythmie complète par
fibrillation auriculaire sous warfarine. Elle ne fume pas et ne boit pas
d’alcool. Elle présente depuis 24 heures une fièvre à 40°C d’apparition
brutale, associée à une douleur thoracique droite, une toux sèche et une
dyspnée d’effort. À l’examen clinique : éruption vésiculeuse sur la lèvre
supérieure, foyer de condensation pulmonaire droit avec souffle tubaire.
PA 120/70, FC 100/min, FR 25/min, SpO2 93% en air ambiant,
température 40°C. Radiographie de thorax : condensation du lobe
moyen avec bronchogramme aérien.
Bilan sanguin : GB 25.000/mm3, PNN 14.000/mm3, PNE 300/mm3, PNB
0/mm3, lymphocytes 10.000/mm3, monocytes 700/mm3, Hb 12 g/dL,
VGM 82 fL, plaquettes 550.000/mm3. Frottis sanguin : petits lymphocytes
d’aspect mature, monomorphes. CRP 200 mg/L. Clairance de la
créatinine 60 ml/min. INR 2.5.
Question 1 :
Quel est votre diagnostic clinique ?
Question 2 :
Interprétez l’hémogramme.
Question 3 :
Après traitement adapté, vous revoyez la patiente qui va beaucoup
mieux. L’hémogramme est à ce moment le suivant : GB 16.000/mm3,
PNN 5.500/mm3, PNE 200/mm3, PNB 0/mm3, lymphocytes 9.800/mm3,
monocytes 500/mm3, Hb 12 g/dL, VGM 82 fL, plaquettes 350.000/mm3,
réticulocytes 80.000/mm3. Frottis sanguin : petits lymphocytes d’aspect
mature, monomorphes.
Quelle pathologie hématologique évoquez-vous en premier lieu par ordre
de fréquence (une seule réponse).
Question 5 :
Votre diagnostic est confirmé. Que recherchez-vous à l’examen
clinique ?
Question 6 :
L’examen clinique est normal. Quel est le stade de la maladie ?
Question 7 :
Comment complétez-vous le bilan biologique et que recherchez-vous en
particulier ?
Question 8 :
A posteriori, quel était l’agent probablement en cause pour expliquer
l’épisode aigu initial ? Dans le contexte, quel élément biologique a pu
favoriser sa survenue ?
Question 9 :
Quelle est votre attitude thérapeutique concernant la pathologie
diagnostiquée à la question 5 ?
Question 10 :
Vous revoyez la patiente un an plus tard. Son traitement personnel est
inchangé. Elle est fatiguée. À l’examen, vous notez des adénopathies
cervicales bilatérales de 30 mm, axillaires bilatérales de 30 mm, et une
splénomégalie avec débord sous-costal de 50 mm.
Le bilan sanguin est le suivant : GB 50.000/mm3, PNN 3.500/mm3, PNE
100/mm3, PNB 0/mm3, lymphocytes 46.000/mm3, monocytes 400/mm3,
Hb 11 g/dL, VGM 85 fL, plaquettes 300.000/mm3. Frottis sanguin : petits
lymphocytes d’aspect mature, monomorphes. CRP 5 mg/L, clairance de
la créatinine 60 mL/min, bilan hépatique normal, LDH normales,
sérologies hépatites B, C et VIH négatives.
Quel est le stade de la maladie (justifiez) ?
Question 12 :
Quelles sont les différentes options thérapeutiques, en fonction de ces
éléments pronostiques, pour la patiente (justifiez) ?
Question 13 :
Quelles prophylaxies anti-infectieuses associez-vous et contre quels
agents pathogènes ?
Question 14 :
La patiente a été traitée pendant 6 mois et a obtenu une très bonne
réponse. Vous la revoyez 2 ans plus tard. Elle est fatiguée et essoufflée
à l’effort. À l’examen, vous notez un subictère conjonctival et une
splénomégalie avec débord sous-costal de 30 mm. Température 37°C,
PA 100/60, FC 90/min.
L’hémogramme est le suivant : GB 8.000/mm3, PNN 5000/mm3, PNE
300/mm3, PNB 0/mm3, lymphocytes 2.000/mm3, monocytes 700/mm3, Hb
9,5 g/dL, VGM 103 fL, plaquettes 400.000/mm3.
Quelle complication suspectez-vous (une seule réponse ; justifiez) ?
Question 15 :
Quels examens demandez-vous pour le confirmer ?
Sujet :1
Vous recevez Mme A., âgée de 58 ans qui présente une
bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) . Elle a fumé 20
cigarettes/jour de l’âge de 20 ans jusqu’à 50 ans. A la suite d’une
récente consultation chez son pneumologue, ce dernier lui a indiqué qu’il
avait vu des anomalies sur son scanner thoracique et il lui aurait dit de
venir vous consulter car il pense qu’elle a été exposée à l’amiante. Mme
A est aide soignante en clinique depuis 1981. Auparavant, elle a travaillé
comme ouvrière salariée dans l’industrie textile et indique qu’elle a
effectué la découpe de tissus anti-feu de 1978 à 1981.
Elle vous présente les résultats du scanner thoracique:
Image A Image B
Question 1 :
Quelle(s) anomalie(s) diagnostiquez-vous sur les images A et B ?
Question 2 :
Vous considérez que Mme A. peut être reconnue en maladie
professionnelle. Décrire brièvement les démarches à effectuer pour la
déclaration.
Question 4 :
Selon quelle(s) modalité(s) l’anomalie de l’image B peut-elle être
reconnue en maladie professionnelle?
Justifiez votre réponse.
Question 6 :
Quelle(s) autre(s) mesure(s) médico-sociale(s) pouvez-vous conseiller à
Mme A. ? Justifiez votre réponse
Question 7 :
La BPCO de madame A peut-elle être due à son travail dans l’ industrie
textile ?
Si oui, peut-elle être reconnue en maladie professionnelle ?
Justifiez votre réponse
Sujet :2
Question N°1 :
A l’examen clinique, quelles sont les 2 manœuvres qui permettront de
confirmer cette hypothèse ?
Décrivez la réalisation de chacun des tests et les signes attendus.
Question N°2 :
Quel examen complémentaire permet de confirmer le diagnostic ?
Quels sont les principaux paramètres mesurés ?
Quelles informations apporte-t-il ?
Question N°3 :
Afin de faciliter sa reprise quelle démarche le médecin traitant doit-il
conseiller à sa patiente?
Quel en est le but ?
Quelles pourraient être les préconisations à l’issue de cette démarche ?
Question N°4 :
Quels sont les objectifs de cette visite médicale ?
Question N°5 :
Chez madame N, des facteurs extra professionnels peuvent-ils
s’opposer à une reconnaissance en maladie professionnelle ?
Justifiez votre réponse.
Sujet : N°1
Question N°1
Quel diagnostic évoquez-vous pour rendre compte de la
symptomatologie articulaire ? Justifiez.
Question N°2
Quels sont les 3 examens complémentaires biologiques que vous
réalisez afin de confirmer ce diagnostic ?
Question N°3
Comment interprétez-vous le bilan de coagulation réalisé il y a 3 mois ?
Quel diagnostic suspectez-vous ? Justifiez. Quels examens biologiques
demandez-vous pour le confirmer ?
Question N°5
Un traitement de fond est débuté. Quels sont les mesures non
médicamenteuses associées à ce traitement (hors surveillance) ?
Question N°6
La patiente vous indique qu’un confrère lui a dit qu’elle pourrait
remplacer le traitement par Préviscan par un traitement par
anticoagulant oral direct. Que lui répondez-vous ?
Question N°7
Douze mois après, cette patiente souhaite une grossesse quelle est
votre réponse ?
Question N°8
Décrivez les principes de votre prise en charge thérapeutique en cas de
grossesse.
SUJET N°2
Question n° 1
Quels éléments de l’observation ne sont pas compatibles avec une
simple tendinopathie de la coiffe des rotateurs ?
Question n° 2
Analysez les données de l’hémogramme. Quelles étiologies peuvent
rendre compte de telles anomalies ?
Question n° 3
Trois principales hypothèses diagnostiques peuvent être évoquées
devant ce tableau clinico-biologique. Lesquelles ? Laquelle vous parait la
plus probable ? Citez les éléments cliniques ou para cliniques de
première intention, les plus discriminants, qui plaident en faveur de
chacune de ces hypothèses (maximum 4 éléments par hypothèse).
Question n° 4
Vous instaurez une corticothérapie. À quelle posologie initiez-vous ce
traitement ? Qu’expliquez-vous à la patiente quant aux modalités de
prise de ce traitement ? Quels conseils diététiques allez-vous lui
prodiguer ?
Question n° 5
Une densitométrie osseuse a été réalisée, les résultats sont les
suivants :
- Rachis lombaire : Tscore : -2,2DS Zscore : -0,9DS
- Hanche : Tscore : -2,4DS Zscore : -1,3DS
La patiente n’a jamais présenté de fracture, elle a été ménopausée à
l’âge de 48 ans. La réalisation de cet examen était-elle justifiée ? Ces
résultats vous font-ils envisager des mesures complémentaires à visée
osseuse ? Justifiez votre réponse.
Question n° 7
Une radiographie pulmonaire est réalisée (cliché ci-joint). Quel
diagnostic est le plus probable ?
Quelles sont les mesures à mettre en place dans l’immédiat ?
Quelle est votre attitude vis-à-vis de la corticothérapie ?
Question N°1 :
Patiente de 67 ans, scintigraphie osseuse pour bilan d’extension initial
d’une néoplasie pulmonaire.
Sujet : N°2
Question 1
A partir de quel(s) paramètre(s) déterminez-vous l’activité à injecter ?
Question 2
Selon quelle référence ?
Question 3
Les images ci-dessous sont des acquisitions précoce (temps tissulaire)
et tardive (temps osseux).
Au vu de ces images, quelle est votre première hypothèse
diagnostique ?
Question 4
Expliquer les fixations linéaires de part et d’autre des genoux.
Question 5
Donner une estimation de la dose équivalente.
Une patiente de 39 ans vous est adressée pour bilan d’extension initial
d’un adénocarcinome mammaire droit T3 N+.
L’examen est réalisé avant la chirurgie. La glycémie est normale lors de
l’injection du 18FDG.
Question 1
Indiquez la préparation de la patiente avant l’injection.
Question 2
Décrivez le déroulement de l’examen après l’injection.
Question 3
Décrivez les anomalies visualisées sur l’image.
Question 4
Les SUVmax relevées sur les foyers pathologiques des images en
coupes ci dessous sont :
Image 1 : SUVmax 15.3
Image 2 : SUVmax 8.3
Image 3 : SUVmax 3.3
Quel est le facteur expliquant le plus probablement les différences de
SUVmax entre les 3 lésions ?
Question 5
Quelles sont les précautions à prendre vis à vis de l’entourage de la
patiente après l’examen ?
Image 2
Image 3
Question 1
Quelles sont les différentes manières de déterminer les fonctions
relatives lors d’une scintigraphie au DMSA ?
Question 2
Quelles sont les valeurs normales de fonctions rénales relatives ?
Question 3
A partir de quelle différence de fonction relative sur deux examens
successifs parlez-vous de variation significative ?
Question 4
De quelle information manquez-vous pour conclure ici à une évolutivité
des résultats ?
Question 5
Quel est l'ordre de grandeur de la fréquence des cicatrices après
pyélonéphrite ?
Question N°1
De quel syndrome rénal souffre cette patiente? Justifiez.
Question N°2
Quels autres signes cliniques doit-on rechercher pour guider le
diagnostic étiologique ?
-cutanés
-articulaires
-ORL
-Neurologiques
Question N°3
Quels examens biologiques complémentaires à visée étiologique
prescrivez-vous en urgence ?
Question N°5
L’immunofluorescence sur la biopsie rénale avec les sérums anti
Immunoglobulines et complément est négative, en dehors du sérum anti-
fibrine qui marque quelques glomérules.
5.a) quel est votre diagnostic ?
5.b) quel type d’anticorps circulant est retrouvé le plus souvent
dans ce cas ?
Question N°6
6.a) Quelle atteinte spécifique de cette maladie doit faire
rechercher l'anémie associée ?
6.b) Par quel examen ?
Question N°7
Quel est le risque évolutif au plan rénal et dans quel délai en l’absence
de traitement ?
Question N°8
Quelles sont les bases du traitement d’attaque ?
Question N°1
Estimer la fonction rénale pré-opératoire en pourcentage de la fonction
rénale normale à 10% près.
Question N°2
Quel est le type de l'insuffisance rénale post-opératoire ? Donner les
arguments cliniques et biologiques en faveur de votre diagnostic.
Quel(les) exploration(s) simple(s) vous paraissent nécessaire(s) et qu'en
attendez-vous ?
Question N°3
Citer les principes des thérapeutiques que vous mettez en œuvre pour
améliorer l'état du patient ?
Question N°4
Quelle est l'évolution de l'insuffisance rénale ? Donner les arguments
cliniques et biologiques en faveur de votre diagnostic.
Question N°5
Quelles complications de l'insuffisance rénale peut-on redouter chez ce
patient, avec quelles conséquences ?
Question N°6
Quel traitement est nécessaire à court terme et selon quelles modalités ?
Sujet : N°3
Un patient de 68 ans greffé en janvier 2018 pour polykystose
hépatorénale se présente à la consultation de suivi habituel de mi-
octobre. Il est revenu de vacances du Canada depuis une semaine. Son
poids est de 72kg. Son traitement immunosuppresseur comporte :
tacrolimus 5mg x2/j, mycophénolate mofétil 500mg x2/j. On lui trouve
une température à 38.1°C sans frissons. La pression artérielle est à
136/74mmHg, fréquence cardiaque 94/min. Il n’y a pas de
symptomatologie fonctionnelle urinaire. Il décrit une légère toux sèche
depuis une quinzaine de jours rapportée à la climatisation des hôtels et
une dyspnée d’effort depuis quelques jours. L’auscultation pulmonaire ne
permet pas de trouver de bruits surajoutés. Le greffon est indolore.
La biologie réalisée le jour de la consultation révèle : Hb 13.2g/dl,
leucocytes 12.3G/l, plaquettes 350000G/l, créatininémie 168µmol/l (DFG
selon CKD-EPI 35ml/min/1.73m2) (nadir : 124µmol/l), Na 136mmol/l, K
4.8mmol/l, bicarbonates 24mmol/l, calcémie 2.56mmol/l, protides 63g/l,
CRP 30mg/l.
Question N°1
Quel(s) examen(s) complémentaire(s) demandez-vous ?
Question N°2
Quelle cause non infectieuse devez-vous évoquer et pour quelle(s)
raison(s) ?
Question N°4
Quelle(s) est(sont) votre(vos) hypothèse(s) diagnostique(s) ?
Question N°5
Quel examen allez-vous demander pour confirmer votre diagnostic ?
Question N°6
Quel(s) traitement(s) débutez-vous avant d’avoir les résultats de
l’examen demandé ci-dessus ?
Question N°7
Le traitement spécifique est débuté en hospitalisation. Il n’a pas de
doléances. La dyspnée s’améliore. Au cours de l’hospitalisation, la
fonction rénale se dégrade (créatininémie à 230µmol/l). Quel(s) est(sont)
les premiers examens que vous allez demander ?
Sujet : N°4
Un homme de 55 ans est suivi pour une insuffisance rénale chronique
compliquant une maladie de Berger. Il est enseignant. Il pèse 77 kgs,
taille 1,72 m.
En consultation, la pression artérielle est à 145/88 mmHg. Il se décrit
fatigué.
Son traitement associe :
Ramipril 10 mg/j, atenolol 50 mg/j, furosémide 80 mg/j, carbonate de
calcium 4,5 g/j, Kayexalate 1 c-m 1j/2
Question N°1
Quel projet thérapeutique devez-vous envisager à moyen terme ?
Question N°2
Quelles sont les contre-indications médicales à la dialyse péritonéale ?
Question N°4
2 ans plus tard, il pèse 80 kg. Il a eu au total 3 épisodes d’infection
péritonéale à cocci gram+. La diurèse est de 0,4 L/J, l’ultrafiltration
quotidienne est de 400 ml/J.
Il a des oedèmes des chevilles en dépit d’un échange hypertonique.
Quels examens demandez-vous pour expliquer la perte d’efficacité de la
méthode ?
Question N°5
Le patient refuse le passage en DPA qui lui est proposé. Le transfert en
hémodialyse est envisagé. Comment allez-vous l’organiser en pratique ?
Question N°6
3 mois plus tard, il est hémodialysé sans difficulté. Il souhaite poursuivre
son activité professionnelle.
Vers quelles modalités d’hémodialyse l’orientez-vous de préférence ?
Sujet :
Question n° 1
Quelles sont les informations importantes qu’il faut obtenir auprès du
régulateur avant le transfert du patient ?
Question n° 2
Après 30 minutes il arrive aux urgences. Le patient est alors
parfaitement orienté dans le temps et l’espace, la famille rapporte depuis
deux mois des "oublis", des idées de persécution et des troubles de
l'humeur. La glycémie est normale ainsi que l'examen général.
Question n° 5
L’EEG met en évidence des pointe-ondes prédominant en temporal droit
au cours de la veille. Aucune autre anomalie n'est observée sur les
résultats des examens complémentaires obtenus en urgence.
Question n° 6
Vous retenez un diagnostic, quels traitements mettez-vous en place
rapidement.
Sujet : N°2
Figure 1
Question N°2 :
Quel(s) examen(s) complémentaire(s) demandez-vous en urgence ?
Question N°3 :
Sa femme arrive aux urgences entre temps, que lui demandez-vous ?
Question N°4 :
Quelle orientation et prise en charge proposez-vous ?
Question N°5 :
Si le patient est sous AVK avec un INR à 2.5, que faites-vous ?
Question N°6 :
Si le patient n’est pas sous AVK et que le scanner a permis d’objectiver
une thrombose veineuse cérébrale du sinus latéral gauche, quelle est le
traitement à mettre en route ?
Question N°7 :
Concernant le diagnostic retenu à la question 1, citez 5 autres étiologies
en rapport avec ce diagnostic.
Question N°1
Quels sont les critères locaux ?
Question N°2
Quels sont les critères évolutifs ou associés ?
Question N°3
Quels sont les critères généraux ?
Sujet : N°2
Conduite à tenir chez un patient présentant une cataracte évolutive et
une cornea guttata.
Question N°1
Quels sont les signes fonctionnels d’un œdème cornéen ?
Question N°2
Quels sont les signes de l’examen cornéen à la lampe à fente d’une
dystrophie cornéenne endothéliale de Fuchs.
Question N°3
Quelles sont les explorations complémentaires cornéennes à réaliser
avant la chirurgie de la cataracte en cas de cornea guttata ?
Sujet : N°3
Une mère consulte avec son enfant de 15 mois car elle a l’impression
qu’il louche par intermittence depuis quelques semaines .
Question N°1
Quels facteurs personnels de risque de strabisme recherchez vous à
l’interrogatoire ?
Question N°2
Quels facteurs familiaux de risque de strabisme recherchez vous à
l’interrogatoire ?
Question N°3
Comment recherchez vous un strabisme chez cet enfant de 15 mois ?
Question N°4
Comment recherchez vous une amblyopie chez cet enfant de 15 mois ?
Question N°5
Vous diagnostiquez un strabisme convergent avec amblyopie droite.
Que réalisez vous en consultation ?
Question N°6
Vous mesurez la réfraction suivante : OD : +5 et OG : +3 (+1) 90°
Que prescrivez-vous ?
Question N°1
Décrivez les signes que vous recherchez en tomographie en cohérence
optique (oct).
Question N°2
Décrivez l’angiographie.
Question N°3
Quel est votre diagnostic ?
Question N°4
Décrivez la thérapeutique en 1ère intention.
Question N°5
Décrivez les modalités pratiques de la conduite thérapeutique.
Question N°1
Quelle est votre hypothèse diagnostique principale?
Question N°2
Quel est le type de déficit campimétrique le plus souvent rencontré dans
cette pathologie ?
Question N°3
Quelle étiologie faut-il évoquer en urgence?
Question N°4
Quels sont les signes cliniques de cette pathologie qu’il faudra
rechercher à l’interrogatoire ?
Question N°5
Quels sont les 3 examens biologiques qu’il faudra demander en
urgence ?
Question N°6
Le bilan est finalement entièrement négatif .
Quelles sont les autres mécanismes possibles du tableau clinique ?
Sujet : 1
Question N° 1 :
Quels examens complémentaires demandez-vous devant ce tableau
clinique ?
Question N° 2 :
Quelles sont les séquences nécessaires à la caractérisation de la lésion
tumorale en IRM ?
1 2
3 4
Question N° 4 :
L’IRM de la patiente vous est présentée ci-dessous. Décrivez les
anomalies (repérées par des flèches de couleur) que vous observez sur
cette imagerie (A gauche, coupe coronale et à droite coupe axiale).
Question N° 6 :
Dans le cas où ce type de lésion tumorale n’atteint que le ganglion
géniculé, quel est le diagnostic différentiel le plus fréquent ?
Comment peut-on les différencier sur un scanner du rocher ?
Question N° 7 :
Quelles sont les options de suivi ou de traitement que vous pouvez
proposer à cette patiente ?
Question N° 8 :
La patiente a été perdue de vue et vous consulte de nouveau 3 ans plus
tard avec une paralysie faciale gauche complète datant de 18 mois. Elle
souhaite désormais l’ablation de sa lésion en raison du déficit
cosmétique induit par la masse parotidienne et la paralysie faciale.
Sujet : 2
Question N° 2 :
Si Mathéo présentait une conjonctivite associée, quel germe vous
paraîtrait le plus probable pour expliquer sa pathologie ?
Ce germe possède t-il un mécanisme de résistance à certains
antibiotiques ?
Lequel ?
Question N° 3 :
Citez 5 facteurs de risque d’otite moyenne aiguë à répétition.
Question N° 4 :
Vous revoyez mathéo, trois mois plus tard.
Que constatez-vous à l’otoscopie ?
Quel serait le résultat de l’audiométrie tonale et de la tympanométrie ?
Question N° 5 :
Citez 3 indications de pose d’aérateurs trans-tympaniques chez un
enfant.
Question N° 7 :
L’occlusion du conduit auditif externe par votre doigt lors de l’examen
clinique déclenche un vertige. Quel est ce signe ? Que suspectez-vous
pour expliquer le vertige ?
Question N° 8 :
Quels examens complémentaires préconisez-vous pour prendre en
charge Mathéo ?
Que peuvent-ils vous montrer ?
Question N° 9 :
Le scanner de Mathéo vous est présenté ci-dessous. Décrivez les
anomalies fléchées sur cette imagerie.
A B C
Question N° 11 :
Vous revoyez Mathéo avec retard seulement 2 ans après l’intervention. Il
va bien et son audiogramme montre une surdité de transmission de 15
dB de moyenne. Il vous apporte son IRM.
Quelle séquence vous est présentée ci-dessous ?
Qu’en pensez-vous ?
Sujet : 3
Question N° 2 :
En dehors de la trachéotomie chirurgicale pour laquelle vous avez été
sollicité, quelle est l'autre méthode de trachéotomie que vous
connaissez ?
Question N° 3 :
Citez 3 contre-indications de cette autre technique de trachéotomie ?
Question N° 4 :
Vous prenez le patient au bloc opératoire, la dissection vous amène
malgré quelques difficultés à exposer les trois ou quatre premiers
anneaux trachéaux partiellement ossifiés.
A quel niveau de la trachée est-il recommandé de faire la trachéotomie ?
Question N° 5 :
Citez deux principaux risques d'une trachéotomie trop haute ?
Question N° 6 :
Citez le principal risque d'une trachéotomie faite après le 4ème anneau
trachéal ?
Question N° 7 :
Citez trois complications possibles périopératoires d'une trachéotomie.
Question N° 8 :
Vous devez changer la canule en y mettant une plus adaptée au
morphotype du patient. Vous gonflez le ballonnet.
Comment évaluez- vous la pression du ballonnet et quels sont les 2
risques si ce dernier est trop gonflé ?
Question N° 9 :
Cinq jours après la trachéotomie, le réanimateur vous sollicite pour un
avis téléphonique. Le patient doit avoir un transport par hélicoptère aller-
retour dans la même journée pour une exploration cardio-vasculaire
dans un autre Centre Hospitalier. Il vous demande si le ballonnet peut
être gonflé à l'eau.
Que lui répondez-vous ?
Justifiez votre réponse en une phrase.
Le petit Michael, 5 ans, est amené aux urgences par ses parents en
raison d’une éruption cutanée pétéchiale depuis 24 heures, non
prurigineuse, disséminée. Il n’a pas d’antécédents familiaux particuliers,
son frère et sa sœur sont en bonne santé. Il est apyrétique.
Question N°1
Quelles sont les questions les plus importantes que vous posez pour
orienter le diagnostic?
Question N°2
Que recherchez vous à l’examen clinique ?
Question N°3
Quels sont les 5 examens complémentaires que vous demandez en
priorité ?
Question N°4
Quel est le diagnostic définitif retenu ?
Question N°5
Quelle score utilisez vous pour évaluer la gravité des signes
hémorragiques ?
Question N°7
Quelle classe de médicaments contre-indiquez vous ?
Sujet : N° 2
Question N°1
Quels symptômes associés recherchez vous à l’interrogatoire ?
Question N°2
Quelles sont les caractéristiques de ces céphalées à rechercher pour
orienter votre diagnostic ?
Question N°3
Citez au moins 5 éléments de l’examen clinique à rechercher et qui
orientent vers des examens complémentaires en urgence
Question N°4
Devant des signes d’hypertension intracrânienne, vous réalisez une IRM
cérébrale. Quelles sont vos orientations étiologiques et que recherchez
vous sur cet examen ?
Question N°5
Malgré les signes d'hypertension intracranienne, l’IRM est normale.
Quels 2 examens proposez vous chez cette adolescente non fébrile à la
recherche de quelle étiologie ?
Paul est le deuxième enfant d’une mère de 33 ans, né par voie basse
suite à un accouchement spontané à 36 semaines d’aménorrhée avec
extraction instrumentale. Le liquide amniotique est teinté. La mère a reçu
une dose d’amoxicilline 1 h avant l’accouchement. Il pèse 2kg500.
Question N°1
Quels sont les facteurs de risque d’infection néonatale bactérienne
précoce présentés dans l’énoncé ou à rechercher ?
Question N°2
Il est hospitalisé en unité Kangourou en maternité. Vous êtes appelé à
J1 car Paul est geignard, polypnéique et ictérique. Quel est le premier
diagnostic à évoquer ?
Question N°3
Quels sont les 6 éléments paracliniques à demander en priorité ?
Question N°4
Quelle est votre prise en charge thérapeutique en première intention, les
doses et le mode d’administration ?
Question N°5
La maman demande si elle peut poursuivre son allaitement, l'autorisez-
vous ?
Question N°6
Après 48h, l’évolution est défavorable. Vous contrôlez le bilan biologique
dont une ponction lombaire qui retrouve 150 leucocytes/mm3 à
prédominance de polynucléaires. L’examen direct retrouve de nombreux
bacilles à Gram négatif.
Question N°3
Par quels moyens médicamenteux traitez-vous la douleur persistante
sévère de cet enfant ?
Question N°4
Quels sont les axes de surveillance de cet enfant ?
Sujet : N°5
Question N°1
Quelles questions lui posez-vous ?
Question N°2
Quel test faites-vous en urgence ?
Question N°3
Quel est votre diagnostic ?
Question N°4
Quel bilan biologique restreint faites-vous ?
Question N°5
Quels sont les critères biologiques de gravité ?
Question N°6
Son examen clinique retrouve un pli cutané, des muqueuses sèches,
une Tension artérielle à 70 /40, une fréquence cardiaque à 180, teint
gris, temps de coloration cutané à 4 Secondes
Que prescrivez-vous en première intention ?
Question N°8
Elle se plaint de céphalées : à quoi pensez-vous et comment le
confirmez-vous ?
Question N°9
Que faites-vous si des troubles de conscience apparaissent ?
Question N°10
Le lendemain l’enfant va cliniquement mieux, le bilan biologique s’est
normalisé, quel relais de traitement proposez-vous, à à quelle dose ?
Sujet : N°1
Un patient de 57 ans vient vous voir en consultation pour une douleur
latéro-thoracique droite évoluant depuis environ deux mois. Il se plaint
également d’un essoufflement d’apparition progressive sur les deux
dernières semaines, actuellement au moindre effort. Il présente
également une toux désagréable aux changements de position,
particulièrement lors du passage en position allongée. Il ne se sent pas
fatigué. Son poids est stable à 72 kg pour 180 cm.
Parmi ses antécédents, on retrouve un tabagisme estimé à 25 paquets
années sevré depuis 17 ans et une allergie à la ceftriaxone. Il travaille
comme chauffagiste.
A l’examen clinique vous retrouvez: fréquence respiratoire à 20/min,
température à 37.3°C, SpO2 93% en air ambiant. A l’examen
pulmonaire, il existe une diminution du murmure vésiculaire et une matité
à droite.
Question N°1
Quelle est votre hypothèse principale ? Quel examen réalisez-vous en
1ere intention pour confirmer votre hypothèse ?
Question N°2
Cet examen confirme votre hypothèse. Décrivez l’examen que vous
réaliserez ensuite pour préciser votre diagnostic étiologique ? Précisez
les bonnes pratiques nécessaires à son déroulement.
Question N°3
Cet examen montre des protides à 40 g/L. Citez les trois principales
étiologies à évoquer dans ce contexte.
Question N°4
La cytologie retrouve des cellules malignes en faveur d’un
adénocarcinome TTF1+. Quels sont les examens indispensables à votre
bilan d’extension ?
Question N°6
Si la cytologie de votre prélèvement n’avait pas retrouvé de cellules
malignes quel(s) autre(s) prélèvement(s) auriez-vous pu réaliser ?
Question N°7
Quelles analyses complémentaires demandez-vous sur cette cytologie ?
Question N°8
Vous décidez de proposer au patient une chimiothérapie par cisplatine et
pemetrexed. D’après le plan cancer, quelles sont les étapes à respecter
avant de débuter ce traitement ?
Valeur
HEMOGLOBINE (g/100ml) 11,1
LEUCOCYTES (G/L) 0,931
POLYNUCLEAIRES 0,009
NEUTROPHILES (G/L)
POLYNUCLEAIRES 0,001
EOSINOPHILES (G/L)
POLYNUCLEAIRES 0,001
BASOPHILES (G/L)
LYMPHOCYTES (G/L) 0,900
MONOCYTES (G/L) 0,02
PLAQUETTE (G/L) 170
Question N°10
Quelle est votre prise en charge diagnostique et thérapeutique ?
Sujet : N°2
Question N°1
Quelles sont vos hypothèses diagnostiques et sur quels arguments ?
Question N°2
Question N°3
Quel(s) autre(s) examen(s) demandez-vous ?
Question N°5
Quels sont les critères de gravité de cette maladie respiratoire ?
Question N°6
Quel(s) traitement(s) instaurez vous et quelle(s) mesure(s)
thérapeutique(s) proposez-vous lors de cette première consultation ?
Donnez les grandes lignes thérapeutiques.
Question N°8
Existe-t-il une indication sur ce résultat à une oxygénothérapie de longue
durée ?
Question N°9
Quel(s) facteur(s) déclenchant(s) évoquez-vous dans ce contexte
d’exacerbation ?
Question N°10
Quel(s) examen(s) complémentaire(s) prescrivez-vous en première
intention ?
Question N°11
Vous obtenez les résultats des gaz du sang artériels prélevés à votre
patient à son arrivée sous 3L d’oxygène: pH 7,25, PaO2 63 mmHg,
PaCO2 68 mmHg, CO2total 31mEq/l, SaO2 93%.
Quel traitement mettez-vous en œuvre immédiatement ?
Question N°12
Quel(s) élément(s) justifie(nt) formellement de recourir à la ventilation
mécanique non invasive dans une telle situation ?
Question N°1
Question N°2
La fonction respiratoire est la suivante :
Question N°4
Sur la base de l’imagerie, quels examens permettraient une confirmation
diagnostique ?
Question N°5
Quelle lésion anatomopathologique recherchez-vous ?
Question N°6
Peut-on confirmer ce diagnostic en temps réel ?
Question N°7
Quelle est votre conduite à tenir immédiate ?
Question N°8
Quelles atteintes extra-respiratoires viscérales justifiant un traitement
systémique de cette maladie recherchez-vous ?
Question N°9
Sur l’atteinte respiratoire radiologique et fonctionnelle, existe-t-il une
indication à un traitement systémique ?
Sujet : N°1
Question n° 1 :
Quel est le mode de transmission de cette maladie et le risque théorique
pour sa descendance ?
Question n° 2 :
Quel(s) examen(s) proposez-vous pour préciser le conseil génétique de
cette femme ?
Question n° 3 :
Il s’avère que cette femme est hétérozygote pour la mutation de son
oncle. Elle souhaite un diagnostic prénatal. Expliquez-lui les principales
étapes de cette procédure.
Question n° 4 :
Lors d’un futur projet de grossesse, quelle autre alternative pourriez-
vous lui proposer ?
Quels en seraient les avantages et inconvénients ?
Question n° 5 :
Concernant la transmission de l’information génétique à sa famille, que
proposez-vous ?
Question n°1 :
Quelles sont les premières étapes de la démarche de diagnostic clinique ?
Question n° 2 :
Quels sont les examens de diagnostic génétique et non génétique que
vous proposerez en première intention ?
Question n° 3 :
Vous revoyez la patiente pour le rendu des résultats qui sont normaux.
Que proposez-vous comme examens supplémentaires ?
Question n° 4 :
L’un de ces examens met en évidence une variation de séquence jamais
décrite dans la littérature. Citer les critères cliniques et biologiques
d’interprétation de ce variant.
Sujet : 1
Question N° 1 :
Quelles hypothèses diagnostiques pouvez vous évoquer
Question N° 2 :
Quels sont les différents examens qui peuvent orienter le diagnostic ?
Quels sont les avantages de chaque technique / inconvénients ?
Question N° 3 :
Question N° 4 :
Quelles sont les complications à rechercher ?
Fi 1
Fi 2
Sujet : 2
Question n°1 :
Quel examen d’imagerie demandez-vous chez un patient
hémodynamiquement instable ?
Question n°2 :
Quel examen d’imagerie demandez-vous chez un patient
hémodynamiquement stable ?
Précisez la technique d’exploration.
Question n°3 :
Préciser en quelques mots l’aspect sémiologique de ces lésions
élémentaires possiblement observées sur un scanner dans ce contexte :
a) hémopéritoine
b) contusion
c) lacération
d) fracture
e) hématome
f) hémorragie active
g) Perforation digestive en précisant la(les) principales localisations
Question n°5 :
Donnez la Classification AAST pour les lésions spléniques.
Sujet : 3
Question 1 :
Quelle est l’imagerie à demander rapidement ?
Question n°2 :
Décrivez les anomalies.
Question n°4 :
Quelles lésions osseuses sont fortement évocatrices de maltraitance
parmi les 4 propositions suivantes?
A. Epiphyso métaphysaires des os longs
B. Arcs antérieurs de côtes
C. Clavicule
D. Doigts
Sujet : 4
Question N° 1 :
Décrire la technique d’acquisition tomodensitométrique que vous
prescrivez à vos manipulateurs.
Question N° 2 :
Vous identifiez un syndrome occlusif du grêle, que vous attribuez à une
bride.
Quels sont les signes de gravité en TDM ?
Question N° 1 :
Quel est votre principal diagnostic ?
Question N° 2 :
Vous avez demandé une échographie abdominale. Parmi les éléments
échographiques suivants, lesquels sont en faveur du diagnostic?
Question N° 3 :
Parmi les attitudes suivantes, laquelle retenez vous ?
A. Vous répétez l’échographie car l’hypertrophie peut mettre quelques
jours à « s’installer »
B. Vous faites un transit œsogastroduodénal à la recherche d’une
hernie hiatale
C. Vous concluez que Nathan a un reflux gastro-œsophagien
D. Vous demandez une fibroscopie en urgence
E. Toutes les réponses sont fausses
Vous explorez une jeune femme de 24 ans par scanner pour explorer un
tableau clinique typique de colique néphrétique droite.
Question 1 :
Quel protocole donnez-vous à votre manipulateur ?
Question 2 :
Quelle contre indication à cet examen devez-vous impérativement
rechercher à l'interrogatoire ?
Question 3 :
Quelles données dosimétriques devez-vous transcrire obligatoirement
dans votre compte-rendu chez cette patiente ?
Précisez les unités.
Question 4 :
Quels examens devez-vous privilégier dans ce contexte de première et
de seconde intentions ?
Sur cet examen, vous trouvez une franche dilatation des cavités pyélo
calicielles droites et de l'uretère lombaire droit.
Question 5 :
Quels sont les deux hypothèses diagnostiques à privilégier ?
Sujet : 7
Question N° 1 :
Quels sont les signes cliniques faisant évoquer une embolie
pulmonaire ?
Question N° 2 :
Vous devez réaliser un angio-scanner pulmonaire à la recherche d’une
embolie pulmonaire. Détaillez sa réalisation technique.
Sujet : 8
Question N° 3 :
Quels sont les critères sémiologiques qui conduisent à la réalisation
d’une IRM pelvienne dans le bilan d’une masse ovarienne?
Sujet : 9
Un patient de 66 ans, suivi pour une cirrhose virale C, vous est adressé
pour la réalisation d’une biopsie dirigée sur un nodule non caractérisé en
imagerie diagnostique.
Question N° 1 :
Quelles précautions prenez-vous avant la réalisation du geste ?
Question N° 12:
Décrivez la réalisation de ce geste sous échographie
Question 1 :
Quel diagnostic suspectez vous ?
Question 2 :
Quel examen d'imagerie vous semble le plus adapté chez ce patient
pour décider de la prise en charge thérapeutique à suivre, et quelle zone
anatomique explorez vous ?
Question 3 :
Quel protocole d'exploration donnez vous à votre manipulateur ?
Question 4 :
Quels sont les éléments sémiologiques qui vous permettent de faire ce
diagnostic ?
Question N°1
Quel(s) élément(s) de l’observation justifie(nt) l’attitude de l’IAO ?
Question N°2
Quelle est votre attitude immédiate ?
Question N°3
Quels autres signes cliniques de gravité recherchez-vous?
Question N°4
Calculez le trou anionique. Interprétez les gaz du sang.
Question N°5
Quels diagnostics évoquez-vous?
Question N°6
Citer les principes de la prise en charge thérapeutique (sans la
surveillance) de ce patient pour les prochaines 24 heures ?
Sujet : N°2
Une patiente de 56 ans se présente aux urgences pour diarrhées et
asthénie profonde. Elle n’a pas d’autres antécédents qu’une
hypertension artérielle traitée par linisopril. Elle a un suivi régulier et vous
dit que la dernière prise de sang était « normale ». Elle a 3 enfants et
travaille comme secrétaire. Les diarrhées sont abondantes depuis 5
jours. Elle a progressivement ressenti une fatigue importante. La
pression artérielle est à 98/60 mmHg, fréquence cardiaque 130
battements par minute. La température est de 38°5. Les urines sont
rares et foncées. L’examen neurologique est normal. Il n’y a pas de
symptômes respiratoire en dehors d’une polypnée à 28/minutes. La
saturation de pouls en oxygène est à 98% en air ambiant. L’abdomen est
sensible dans son ensemble à la palpation. Il y a de discrètes marbrures
sur les genoux.
Question N°2
Vous observez des signes de déshydratation extra cellulaire. Quelles
sont vos mesures thérapeutiques immédiates aux urgences ?
Question N°3
Quels examens biologiques demandez-vous aux urgences ?
Question N°4
Le ionogramme montre Na 122 mmol/L, K 5 mmol/L, Bicarbonates 16
mmol/L, Urée 16 mmol/L, Créatinine 168 µmol/L. Le ionogramme
urinaire montre Na 10 mmol/L, K 54 mmol/L, Urée 200 mmol/L,
Créatinine 15 mmol/L. Quel est le mécanisme probable de
l’hyponatrémie ?Quels sont vos arguments ?
Question N°5
Quel est le mécanisme probable de l’insuffisance rénale aigue. Quels
sont vos arguments ?
Question N°6
La numération formule sanguine montre Hb 9 g/dL, Leucocytes 12
000/mm3, polynucléaires neutrophiles 80%, lymphocytes 20%,
Plaquettes 70 G/L. Le bilan d’hémostase est normal. Quel(s) autre(s)
diagnostic(s) évoquez vous à l’origine de l’insuffisance rénale et quel
bilan diagnostique demandez vous pour confirmer cette suspicion ?
Question N°7
Au cours de l’hospitalisation, l’insuffisance rénale persiste et vous êtes
appelé car la kaliémie prélevée 20 minutes avant est à 7 mmol/L. L’ECG
est le suivant. La patiente est oligurique depuis 48 heures. Quel
traitement entreprenez vous ?
Sujet : N°1
Question N°1
Quel diagnostic évoquez-vous en premier lieu ?
Question N°2
Quels signes de gravité cherchez vous ?
Question N°3
En l’absence de ces signes de gravité, quels traitements prescrivez-
vous ?
Question N°4
Quelle est la systématisation neurologique de ce déficit ?
Question N°5
Quel type de prise en charge proposez-vous pour les douleurs
lombaires?
Question N°6
Déclinez vos objectifs selon le concept bio-psycho-social.
Question N°7
Quelles anomalies de marche pensez-vous observer chez cette
patiente ? Décrivez les.
Question N°8
Quel dispositif vous semble le mieux adapté pour compenser ces
anomalies de marche ?
Question N°9
Quelles prises en charge de première ligne proposez-vous pour les
douleurs radiculaires persistantes ?
Question N°10
Dans sa situation quelles mesures vous semblent adaptées ?
Sujet : N°2
Mr G. 55ans, présentant des signes extra-pyramidaux évoluant depuis
12 mois, vous est adressé en consultation par son neurologue.
Question N°1
Citez les principaux signes du syndrome extra-pyramidal.
Question N°3
Quelles sont les caractéristiques habituelles de la marche du
parkinsonien ?
Question N°4
Quelle modalité de prise en charge proposez-vous compte-tenu des
déficiences et limitations d’activités présentes ? Une seule réponse
possible.
Question N°5
Quels professionnels peuvent intervenir dans sa prise en charge ?
Question N°6
Quelles modalités de travail musculaire privilégiez-vous ?
Question N°7
Quels sont les objectifs en orthophonie ?
Question N°8
Quels sont les objectifs en ergothérapie ?
Vous avez continué le suivi et maintenant, il a 65 ans. Il est devenu veuf.
Son autonomie s’est réduite. Il marche avec un déambulateur sur 10 m.
Il bénéficie de soins infirmiers quotidiens au domicile. Il a chuté 4 fois au
cours du dernier mois dont 3 fois durant la nuit. Il fait des fausses-routes
régulières en buvant son café.
Vous le voyez à la consultation de suivi, en présence de sa fille.
Question N°9
Quels facteurs favorisants extrinsèques de chute recherchez-vous ?
Madame B.61 ans a des douleurs des mains et des pieds évoluant
depuis 1 an avec réveils nocturnes et dérouillage matinal d’une heure.
Elle consulte car elle a les doigts et les orteils « qui gonflent » depuis
plus de 2 mois. Elle a été obligée d’enlever ses bagues. Elle a pris des
traitements anti-inflammatoires non stéroïdiens qui la soulagent
partiellement. Elle n’a pas d’antécédents médicaux particuliers en dehors
d’une infection tuberculeuse à l’âge de 10 ans et l’interrogatoire ne
retrouve pas de signes extra-articulaires. L’EVA activité est évaluée à
56/100.
A l’examen, elle a 18 articulations douloureuses et on note un
gonflement des 2eme 3eme, 4eme et 5eme interphalangiennes
proximales droites et gauches, des 2eme et 3eme métacarpo-
phalangiennes (MCP) droites et 1ere et 2eme MCP gauches et des deux
poignets ; la pression transverse des 2 avant pieds est très douloureuse
et les métatarso-phalangiennes vous paraissent tuméfiées. Le reste de
l’examen clinique est normal.
Le bilan biologique est le suivant: VS = 35 mm à la 1ère heure, CRP = 20
mg/l, hémoglobine = 11,8 g/dl, anticorps anti-CCP > 250UI et FR
134UI/ml. Radiographies des mains, des pieds et du thorax normales
Question N°1
Quel est votre diagnostic ? Sur quels critères internationaux les plus
récents pouvez vous supporter ce diagnostic ? Décrivez les?
Question N°2
Quel est dans le bilan biologique, le marqueur le plus spécifique du
diagnostic évoqué?
Question N°3
Comment mesurez vous l’activité de la maladie chez cette patiente ?
Question N°5
Prescrivez ce traitement sur une ordonnance ?
Question N°6
Donnez les éléments de la surveillance clinique et biologique.
Question N°7
La patiente est revue 2 ans plus tard. Le methotrexate a bien amélioré la
symptomatologie mais depuis quelques mois elle semble échapper au
traitement car son rhumatisme est à nouveau actif. De plus il existe une
évolution radiologique sur les pieds et les mains et une coxite droite sur
la radio du bassin actuellement peu douloureuse. Un traitement anti-TNF
en association au méthotrexate est envisagé. Quel est le risque pour
cette patiente en particulier si un anti-TNF est prescrit ? Comment le
prévenir ?
Question N°8
Au bout 2 ans de traitement par un traitement associant methotrexate et
(anti TNF), la patiente a un excellent résultat. Les signes cliniques et
biologiques d’activité se sont nettement améliorés. Elle est considérée
en rémission de sa maladie, mais sa hanche droite lui fait de plus en
plus mal. Quel type d’intervention chirurgicale peut être proposé ? Quelle
est la conduite à tenir vis à vis du traitement par anti-TNF à proposer
avant l’intervention chirurgicale ?
Une patiente de 70 ans vous consulte pour une douleur du pli de l’aine
droite irradiant à la face antérieure de la cuisse évoluant depuis 6 mois.
Dans ses antécédents on retient une hypertension artérielle traitée par
enalapril et un diabète non insulino-requérant traité par metformine.
L’examen clinique retrouve un poids à 82 kgs, une taille d’1m60. La
marche est normale, le rachis est souple et indolore, la manœuvre du
Léri est négative. Les mobilités des hanches sont les suivantes : flexion
à 100° bilatérale, rotation externe à 30° bilatérale, rotation interne et
abduction à 20° à droite contre 30° à gauche, adduction à 30° bilatérale.
L’examen neurologique est normal.
Son bilan biologique montre une numération-formule sanguine normale,
une VS à 16 mm la première heure, une CRP à 4 mg/l, une
créatininémie à 90 µmol/l soit une clairance à 57,2 ml/min/m2.
Question N°1
Interprétez la mobilité articulaire.
Question N°2
Interprétez la radiographie. Complétez le bilan radiographique.
Question N°3
Quel est votre diagnostic ? Justifiez.
Question N°4
Comment pouvez vous coter le handicap que peut entraîner cette
pathologie ?
Question N°5
Quels traitements pouvez-vous envisagez ou non pour cette patiente ?
Argumentez.
Question N°6
Finalement, vous décidez de lui prescrire de la kinésithérapie. Rédigez
son ordonnance.
Sujet :
Question N° 1 :
Traitement recommandé en cas de cystite aigue communautaire chez la
femme jeune sans facteur de risque de complication
Question N° 2 :
Décrire les grands principes de la prise en charge d’une colique
néphrétique aigue droite fébrile (39°) pour laquelle le scanner montre
une lithiase de 6 mm de l’uretère lombaire droit chez un patient de 35
ans sans signe de choc septique et sans risque de BLSE.
Question N° 3 :
Vous voyez un patient de 25 ans avec une masse testiculaire droite
indolore évoluant depuis 6 mois. L’échographie confirme une tumeur
solide de 30 mm intratesticulaire. Donnez les grandes lignes de votre
prise en charge sur les deux premières semaines.
Question N° 4 :
Un patient de 42 ans sans antécédents et sans traitement, non
toxicomane, arrive aux urgences avec une érection douloureuse
évoluant depuis 4 heures. Donnez les grandes lignes de votre prise en
charge dans les 6 premières heures.
Question N° 5 :
Un patient de 19 ans tombe en ski sur le flanc gauche. Le bilan en
urgence retrouve :
Question N° 6 :
Décrivez la prise en charge d’une lithiase pyélique de 2 cm, décrite au
scanner comme ayant une densité de 300 unités hounsfield (UH), non
symptomatique, chez une patiente de 47 ans sans co morbidité.
Question N° 7 :
Une femme de 56 ans, sans antécédents, consulte pour une boule
extériorisée par le vagin gênante et des fuites d’urine à l’effort,
nécessitant le port d’une protection par jour. L’examen retrouve une
colpocèle antérieure avec cystocèle de grade 3. A la poussée vessie
pleine, on visualise une fuite d’urine par l’urètre disparaissant lors de la
manœuvre de soutènement urétral. Une rééducation est un échec.
Question N° 10 :
Un patient de 46 ans vous consulte en raison de douleurs en érection
évoluant depuis 2 mois en regard du 1/3 moyen de la verge. Il constate
par ailleurs une courbure de 20 à 30° de la verge sur la gauche en
érection objectivée par une photographie. Il peut encore avoir des
rapports sexuels avec pénétration, mais qui sont de plus en plus gênés
par les douleurs.
Sujet : N°1
Un homme de 25 ans est ramené par les pompiers aux urgences suite à
un accident de moto pour la prise en charge d’un traumatisme fermé
isolé du membre supérieur droit. Il présente des paresthésies digitales.
Une radiographie du poignet a été réalisée.
Question 2
Rappelez l’innervation sensitive de la main
Quel nerf est le plus probablement atteint ?
Question 3
Quel(s) est (sont) le(s) examen(s) complémentaire(s) d’imagerie que
vous demandez ? Justifiez.
Question 4
Principes de la charge thérapeutique.
Question N°5
Quelles sont les complications prévisibles de ce traumatisme à moyen et
long terme ?
Sujet : N°2
Question N°2
Quel(s) est (sont) le(s) mécanisme(s) lésionnel(s) de ce traumatisme ?
Question N°3
Classification des fractures ouvertes.
Question N°4
Conduite à tenir en urgence.
Question N°5
Principes du traitement.
Question N°6
L’évolution est compliquée par la survenue d’un écoulement suppuré de
la cicatrice médiale au 10ème jour post opératoire, température à 37,8°C.
Quel est votre diagnostic et votre prise en charge?
Question N°2
Quelles sont options chirurgicales ? Discutez chacune d’elles au décours
du bilan d’imagerie.
Question N°3
A l’examen clinique que recherchez-vous qui déterminera votre choix
définitif ?
Question N°4
Au troisième jour le patient présente une dyspnée. Quel diagnostic
évoquez-vous en priorité ? Comment le confirmer ?
Sujet : N°4
Question N°1
Décrivez votre examen clinique de l’épaule hors interrogatoire.
Question N°2
Décrivez l’imagerie en précisant le type d’examen, le plan visualisé et les
lésions éventuelles.
Question N°4
La patiente a finalement été opérée. A trois semaines, apparaissent des
douleurs de la main avec difficultés à enrouler les doigts. Quel diagnostic
évoquez-vous ?
Sujet :
Dossier 1.
Un pharmacien suspecte un effet indésirable médicamenteux chez un
patient qu’il voit dans son officine. Cet effet, qui amène à une
hospitalisation, est mentionné dans le RCP du produit suspecté.
Question N°1 :
Le pharmacien doit-il effectuer une déclaration de pharmacovigilance ?
Question N°2 :
Justifier (une phrase)
Question N°3 :
A qui doivent être adressées les déclarations de pharmacovigilance ?
(quelques mots)
Question N°4 :
Comment expliquez-vous (en moins de 10 mots) que les effets
indésirables médicamenteux ne soient pas tous détectés lors des études
pré-AMM ?
Dossier 2.
Afin de déterminer la relation entre la consommation de statines et la
survenue de cancer du côlon dans la population française, une étude a
été mise en place. Au total, 100 000 patients âgés de plus de 60 ans,
tirés au sort dans la population générale, ont été suivis pendant 15 ans.
Pour chaque patient(e), une visite annuelle avait lieu dans un centre de
santé. L’exposition était définie par la prescription de statine, mesurée au
début du suivi. Le diagnostic de cancer était défini par la confirmation
histologique.
Question N°1 :
Quel est le type d’étude ?
Question N°3 :
Quels sont les avantages et inconvénients de cet autre type d’étude par
rapport à celle réalisée ?
Question N°6 :
En conséquence, quel type d’analyse statistique envisagez-vous ? Dans
le cadre d’une analyse de survie, quel modèle statistique utilisez-vous ?
Question N°8 :
Quel type de biais vous suggère cette discussion ?
Question N°9 :
Quelle conséquence ce biais pourrait-il entrainer sur l’estimation du
risque ?
Dossier 3.
Vous êtes médecin de santé publique dans un centre hospitalier
disposant d’un service d’accueil d’urgences.
Vous êtes interpelé par le chef de service des urgences qui ne comprend
pas les résultats financiers du service.
A la lecture des données, c’est l’activité relevant d’hospitalisation qui
semble poser question : on observe une hausse des dépenses directes
du service, sans augmentation des recettes.
Question N°1 :
Quelles sont les recettes d’un service d’urgence pour son activité (soins
externes et hospitalisation) ?
Question N°2 :
Quels sont les étapes d’une étude de pertinence ?
Question N°6 :
Le président de CME vous demande, si l’établissement est le seul à
rencontrer ce type d’évènement et comment il peut être positionné par
rapport à l’autre établissement réalisant une activité d’orthopédie situé à
40 kms, à partir de données accessibles au public.
Sujet : 1
Question N° 1 :
Quel bilan d’imagerie proposez-vous et qu’en attendez-vous ?
Question N° 2 :
Concernant les anévrismes poplités, citez et argumentez les indications
opératoires
Question N° 3 :
Citez et décrivez en quelques mots les stratégies thérapeutiques
possibles
Question N° 4 :
Le bilan montre un anévrisme de 30 mm de diamètre étendu depuis la
jonction fémoro-poplitée jusqu’à 1 cm en amont du trépied jambier. Trois
axes de jambes sont présents. Décrivez précisément votre prise en
charge opératoire
Question N° 5 :
Quelles sont vos prescriptions post opératoires et vos modalités de
surveillance à court et moyen termes ?
Question N° 2 :
Quels examens morphologiques prescrivez-vous et qu’en attendez-
vous ?
Question N° 3 :
Citez et décrivez les stratégies thérapeutiques possibles.
Question N° 4 :
Sur quels arguments établirez-vous votre choix thérapeutique.
Question N° 5 :
Décrivez la réalisation technique d’un pontage aorto-bifémoral.
Sujet : 1
Question N° 1 :
Citez les en les classant selon ces quatre items.
Clinique :
Biologique :
Endoscopique :
Radiologique :
Question N° 2 :
Quel examen allez-vous rajouter dans ce bilan d’évaluation de
l’extension de la maladie ?
Question N° 3 :
Quelles sont les deux formes héréditaires de cancer gastrique que vous
connaissez ?
Question N° 4 :
Quelles sont les stratégies possibles de traitements et leurs critères de
choix :
Question N° 5 :
La lésion est localisée, juste avant le pylore, quel type de gastrectomie
réalisez vous ?
Question N° 6 :
Dans cette chirurgie réalisez vous l’ablation des ganglion le long de la
petite courbure gastrique ?
Question N° 7 :
Dans cette chirurgie vous allez réaliser une exérèse partielle de
l’épiploon ?
Question N° 8 :
Dans cette chirurgie réalisez vous un curage de long de l’artère rénale ?
Question N° 9 :
Quelle structure anatomique risquez vous de léser en la prenant dans
votre suture ?
Question N° 10 :
Vous découvrez un envahissement isolé du colon transverse. Décidez
vous de poursuivre la chirurgie d’éxérèse ?
Question N° 11 :
Vous découvrez un envahissement du pédicule hépatique. Décidez vous
de poursuivre la chirurgie ?
Question N° 12 :
A quelle(s) complication(s) tardive ce montage expose t-il ?
Au niveau de l’œsophage ?
Au niveau de l’estomac ?
Question N° 13 :
Quel geste chirurgical peut permettre de limiter ces complications ?
Question N° 15 :
En post opératoire devant un hoquet persistant quelle(s) complication(s)
recherchez vous et comment ?
Question N° 16 :
Quel risque oncologique spécifique existe t-il chez ce patient dans son
évolution ?
Question N° 17 :
Sur cet examen il existe deux ganglions envahis sur les six ganglions
examinés. Cette examen répond t-il aux critères de qualité de la
chirurgie et de l’anatomopathologie, pourquoi ?
Sujet : 2
Question N°1
Quel (s) diagnostic (s) évoquez-vous ?
Question N°2
Sur quels arguments ?
Question N°3
Citer deux diagnostics différentiels.
Question N°5
Quels sont les critères de gravité dans cette situation ?
Question N°6
Quel examen demandez vous en première intention pour confirmer le
diagnostic étiologique en urgence et que recherchez vous?
Question N°7
La patiente présente des signes de gravité quel traitement
complémentaire proposez-vous ?
Question N°8
Quelles sont les complications du traitement endoscopique ?
Question N°9
La patiente évolue bien, que proposez-vous secondairement ?
Question N°10
Que recherchez-vous à la cholangiographie ?
Question N°11
Que vérifiez vous sur la pièce opératoire de cholécystectomie ?
Sujet : N°1
Question 1 :
Quelles sont vos 2 principales hypothèses diagnostiques ?
Question 2 :
A l’examen clinique on observe une fièvre à 39°C, un oedème du
membre inférieur droit remontant jusqu’à mi-cuisse, douloureux, un
placard inflammatoire de la face interne du 1/3 inférieur de la jambe
évoluant depuis 24 heures. Quels signes cliniques complémentaires
recherchez-vous pour orienter le diagnostic ?
Question 3 :
Quels examens complémentaires utiles à votre diagnostic demandez-
vous ?
Question 4 :
Détaillez votre prise en charge thérapeutique et générale de la patiente
en fonction des résultats des examens complémentaires et selon vos
hypothèses diagnostiques retenues :
Question 5 :
Citez 5 complications pouvant survenir dans les premières heures de la
prise en charge ?
Question N°1 :
Quel diagnostic évoquez-vous ?
Question N°2 :
Quel examen complémentaire indispensable demandez-vous en 1ère
intention ? (une seule réponse acceptée)
Question N°3 :
Quel traitement curatif prescrivez-vous à l’issue de la consultation ?
Deux jours plus tard, le patient revient en raison d’une douleur lombaire
droite et de la persistance de la fièvre. Une échographie montre une
dilatation des cavités pyélocalicielles du rein droit. La créatininémie est
à 280 micromol/L (32 mg/L). L’indication d’un uro-scanner est posée.
Question N°5 :
Quelles modifications proposez-vous à son traitement ?
Sujet : N°3
Question N°1 :
Quel est le principal diagnostic à évoquer ?
Question N°2 :
Quels sont les principaux éléments de l’anamnèse et de l’examen
clinique à rechercher rapidement ?
Question N°3 :
Quel est l’examen complémentaire à pratiquer en urgence pour
confirmer le diagnostic ?
Question N°4 :
En l’absence de lésion hémorragique, quelle prise en charge proposez-
vous ?
Question N°5 :
Lors de la consultation de médecine générale deux mois plus tard, quels
sont les éléments à surveiller ?
Question N°1 :
Quelles sont les 4 principales hypothèses diagnostiques que vous devez
évoquer dans l’urgence ?
Question N°2
Quels sont les signes de gravité à rechercher dans l’immédiat à
l’examen clinique ?
Question N°3
Quels sont les antécédents et éléments à rechercher à l’interrogatoire en
faveur d’une pathologie coronarienne.
Question N°4
L’ensemble des éléments à votre disposition évoque un syndrome
coronarien. Que faites-vous dans l’urgence ?
Question N°5
Quels sont les 2 examens paracliniques simples indispensables pour le
diagnostic de douleur coronarienne ?
Question N°6
Vous revoyez le malade à l’issue de charge hospitalière. Quelles sont les
familles de médicaments que vous vous attendez à trouver sur son
ordonnance, pour la prévention secondaire ?
Sujet : 1
A l'examen clinique, Marine est pâle et maigre. Ses mains sont froides et
bleutées, sa peau sèche et légèrement duveteuse. Sa tension artérielle
est à 75/55 mmHg et son pouls à 40/min, sa température rectale à 35°C.
Elle n'a plus ses règles depuis quatre mois.
Question N° 1:
Faites l'analyse sémiologique de ce cas clinique, sur le plan
psychologique et somatique.
Question N° 3:
Quels sont les critères somatiques d'hospitalisation à temps plein chez
cette adolescente?
Question N° 4:
Citez les mesures thérapeutiques que vous mettez en place?
Question N° 5:
Quels est sont les évolutions possibles du trouble présenté par Marine?
Sujet : 2
Question N° 1:
Quel est le premier diagnostic à évoquer ?
Question N° 2:
Sur quels éléments cliniques retrouvés dans le texte fondez-vous cette
hypothèse diagnostique (symptômes CIM-10 ou équivalent) ?
Question N° 3:
Quel(s) antécédent(s) psychiatrique(s) personnel(s) de troubles de
l’humeur recherchez-vous ?
Question N° 6:
Quel est le risque évolutif majeur à court terme de cette situation
clinique ? Concernant ce risque, pouvez-vous citer un facteur
augmentant ce risque et un facteur le réduisant, parmi les
caractéristiques démographiques et sociales de ce patient ?
Question N° 7:
Quels sont les points clés de la prise en charge de ce patient, dans
l’hypothèse du diagnostic principal évoqué à la question 1 ?
Sujet : 1
Elle vous est adressée par son médecin pour une asthénie. La patiente
présente une diarrhée fécale, non glairo-sanglante et des douleurs
abdominales péri-ombilicales. Il existe un amaigrissement de 5 kg durant
les six derniers mois.
Le traitement comporte : ranipril (2,5 mg/j), aténolol (1,25 mg/j),
simvastatine (20 mg/j), tramadol (50 mg x 3 /j), paracétamol (2 gr/j) et
kétoprofène (100 mg/j).
La patiente est veuve depuis 6 mois et vit seule en appartement au 1er
étage. Son ADL (Activity Daily Life) est à 6/6 et l’IADL (Instrument Activity
Daily Life) à 3/8.
À l'examen clinique :
* Le poids est à 42 kg pour 1,58 m, sa pression artérielle à 120/80 mmHg,
* il existe une pâleur cutanéo-muqueuse et des douleurs abdominales
provoquées par la palpation de la région péri-ombilicale, sans contracture
ni défense.
Question N°1 :
Interprétez les résultats de l’hémogramme :
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Question N°2 :
Au vu des résultats biologiques, quels sont les 2 examens biologiques que
vous demandez ?
Question N°3 :
Calculez l’Indice de masse corporelle (IMC) et comment l’interprétez-
vous ?
Question N°4 :
Comment évaluez-vous l’état nutritionnel, sur le plan clinique, de cette
patiente ?
Question N°5 :
Quels sont les 2 principaux signes à l’examen clinique que vous
recherchez en faveur d’une dénutrition ?
Question N°6 :
Quels sont les 4 signes de gravité biologiques de dénutrition que vous
recherchez chez votre patiente ?
Question N°7 :
Quels sont les 8 facteurs de risque de dénutrition à rechercher chez cette
patiente ?
Question N°8 :
Parmi les médicaments pris par la patiente, quels sont les 2 potentiellement
responsables d’un amaigrissement ?
Question N°9 :
Votre bilan comportant scanner thoraco-abdomino-pelvien, gastroscopie et
colonoscopie (avec biopsies étagées), coproculture et examen
parasitologique des selles et bilan endocrinien, s’est révélé normal. Vous
reprenez l’interrogatoire de la patiente qui indique la présence de myalgies
depuis plus d’un an. Quel médicament suspectez-vous ?
Question N°10 :
Lors de son retour à domicile, quels sont les 5 propositions que vous
préconisez à votre patiente pour améliorer son état nutritionnel, en accord
avec les recommandations de l’HAS (Haute Autorité de Santé) ?
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Sujet : 2
Une femme de 85 ans, vivant seule, habituellement autonome est amenée
au SAU par sa fille Cette dernière signale une agitation inhabituelle, elle ne
la reconnait plus, tient des propos incohérents et elle est désorientée.
L’IDE d’accueil retrouve une fièvre à 38°5, la patient est normotendue,
présente un dextro à 3 g/l, une bonne saturation pulpaire. Il y a de vagues
douleurs abdominales signalées.
Antécédents :
ACFA anticoagulée
Diabète non insulinodépendant
Cancer du sein en rémission
Polyarthrose
Traitement:
PREVISCAN (FLUINDIONE)
BISOCE 5 mg (BISOPROLOL)
EFFERALGAN (PARACETAMOL) CODEINE 500 mgX3/j
LEXOMIL (BROMAZEPAM): ¼ de cp au coucher et si besoin en journée
METFORMINE (GLUCOPHAGE) 500 mg: 1-1-1
Question N° 1 :
Dans les données du cas clinique, quelles sont celles qui évoquent une
confusion ?
Question N° 2 :
Citez 2 éléments d’anamnèse complémentaires à rechercher par
l’interrogatoire de la fille?
Question N° 3 :
Citez 6 éléments cliniques connus ou à rechercher pouvant être à l’origine
du syndrome confusionnel ?
Question N° 4 :
On retrouve une bandelette urinaire positive, la NFS montre 17000
GB/mm3 et une CRP à 200 mg/l
On évoque en priorité une infection urinaire fébrile.
Vous souhaitez néanmoins éliminer une autre cause à la confusion. Quels
examens biologiques et radiologiques sont nécessaires (maximum 10)?
Question N° 5 :
Quelle classe d’antibiotiques prescrivez-vous ?
Question N° 6 :
Concernant le traitement du domicile, quelles modifications s’imposent
d’emblée ?
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Sujet : 3
Monsieur T. 92 ans est adressé par son médecin traitant pour douleur du
membre inférieur droit dans un contexte d’alitement depuis 3 jours pour des
lombalgies mécaniques.
Ses antécédents comprennent une insuffisance rénale chronique (clairance
de Cockroft à 14 ml/mn), hypertension artérielle, tabagisme sevré.
Le traitement habituel comprend Amlodipine 10 mg (1 cp par jour).
Aux urgences : température 37,8°C, TA 110/60 mmHg, pouls 102/mn,
SaO2 = 95%, poids 63 kg.
A l’examen clinique, il existe un œdème du membre inférieur droit, les
pouls périphériques sont perçus, l’auscultation cardiopulmonaire est
normale.
Question N° 1 :
Quel est le diagnostic le plus probable ?
Question N° 2 :
Quel examen complémentaire demandez-vous pour confirmer le
diagnostic ?
Question N° 3 :
Quel bilan biologique minimal ( 4 examens maximum) prescrivez-vous
avant de débuter le traitement ?
Question N° 4 :
Quelle prise en charge immédiate préconisez-vous ?
Question N° 5 :
Quels sont les trois principaux paramètres bioloiques à surveiller durant la
première semaine ?
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Sujet : 4
Madame G. 87 ans, veuve, vivant seule sans enfant, retrouvée au sol le
matin par son aide ménagère à 10heures. Elle est adressée aux urgences.
Antécédents :
Chutes à répétition
Diabète de type 2
Hypertension artérielle
Cataracte non opérée
Prothèse totale de genou
Dyslipidémie
Traitement actuel :
Bisoprolol 5 mg x1
Nicardipine 20 mgx1
Rilmenidine 1 mgx1
Metformine 1000 mgx3
Repaglinide 1 mgx3
Zopliclone 7,5 mg le soir
Atorvastatine 40 mgx1
La patiente explique qu’elle est tombée, vers 2 heures du matin en se
levant du lit en se rendant aux toilettes.
A l’examen clinique, elle présente une impotence fonctionnelle et une
douleur du poignet gauche. Le reste de l’examen clinique est normal.
Température corporelle 35,8°C, TA=100/60 mmHg, pouls 55/mn, poids 51
kg.
Question N° 1 :
Quelle est la définition de la chute à répétition ?
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Question N° 2 :
Quels sont les 3 éléments en faveur d’une chute grave chez cette
patiente ?
Question N° 3 :
Quels sont les 3 examens paracliniques à prescrire en 1ère intention (hors
biologie) ?
Question N° 4 :
Sur le plan biologique, on constate : CPK = 12 x N , clairance de la
créatinine= 35 ml/mn (Cockroft), NFS normale, natrémie=146 mmol/l, urée
= 0,6 g/l, glycémie = 0,6 g/l, albuminémie = 30 g/l, CRP= 5 mg/l.
Quelles sont les anomalies dans ces examens biologiques ?
Question N° 5 :
Quels sont les médicaments à réévaluer chez cette patiente ? Justifiez.
Question N° 6 :
Quelle conséquence psychologique est à craindre ?
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MEDECINE D’URGENCE
Sujet :1
Question N° 1 :
Quels sont les éléments en faveur d'un problème coronarien identifiés
lors de cette régulation ?
Question N° 2 :
Quelle aurait dû être la réponse immédiate du médecin régulateur et
pour quelle(s) raison(s) ?
Question N° 3 :
Que doivent faire les sapeurs-pompiers lors de cette prise en charge en
attente d’une équipe médicalisée ?
Question N° 4 :
Décrivez ou dessinez le positionnement des électrodes pour réaliser cet
examen ECG :
Question N° 6 :
Quels éléments complémentaires, nécessaires pour une prise en charge
optimale, recherchez-vous à l'interrogatoire?
Question N° 7 :
Comment conditionnez-vous ce patient pour le transport ?
Question N° 8 :
Quels sont les horaires importants à prendre en considération pour une
démarche thérapeutique adaptée ?
Question N° 9 :
Le centre de cathétérisme cardiaque est à 45 mn de votre situation
actuelle. Quelle est la démarche thérapeutique en la justifiant ?
Question N° 10 :
Quels traitements mettez-vous en place dans l’intervalle ?
Question N° 11 :
Quelle doit être la surveillance clinique et paraclinique pendant le
transport ?
Question N° 12 :
Pendant le transport, le patient présente une crise convulsive et le tracé
ECG montre un aspect de fibrillation ventriculaire.
Quel est votre premier geste en le détaillant ?
Sujet :2
Question N° 1 :
Quelle constante vitale aurait dû être mesurée ?
Question N° 4 :
Quelle est votre principale hypothèse diagnostique ?
Question N° 5 :
Quels examens paracliniques demandez-vous en 1ère intention ?
L’infirmière vous appelle car la situation clinique est évolutive : la
patiente est agitée, un peu confuse, la tension artérielle est à 76/43 mm
Hg, la fréquence cardiaque à 132 bpm, la température à 40,1°C et la
fréquence respiratoire à 32 cycles par minute, la SpO2 à 94% en air
ambiant.
Question N° 6 :
Comment qualifiez-vous cet épisode infectieux ?
Question N° 7 :
Quelle est votre conditionnement et prise en charge thérapeutique ?
Question N° 8 :
Quel examen d’imagerie est nécessaire à ce stade et pour quelle
raison ?
Malgré votre traitement, le score de GCS est à 9 (Y : 2 V : 3 M : 4), la
tension artérielle est à 70/50 mmHg, la fréquence cardiaque à 125 bpm,
la SpO2 : 91% sous 3l par lunettes.
Question N° 9 :
Quel est votre diagnostic ?
Question N° 10 :
Décrivez la suite de votre prise en charge thérapeutique