Pragmática Bueno
Pragmática Bueno
Pragmática Bueno
1. La communication
a. Définition
La compétence de communication est définie par un linguiste appelé Hymes comme la capacité
d’un locuteur à se servir du système linguistique en fonction du contexte social. La
communication concerne à qui on parle, de quelle façon, de quoi on parle… C’est une notion
complexe, mais essentielle dans la dialectique (ou didactique ???) des langues (= on y trouve la
base de la communication).
b. Différents composants
i. Compétence linguistique
La compétence linguistique est la connaissance et l’apprentissage des modèles lexicaux,
grammaticaux et tout ce qui a avec les textes de la langue. Le lexique est l’ensemble complet des
mots de notre langue, alors que le vocabulaire est la somme de vocabulaire utilisé en thèmes.
Les habiletés non-verbales et verbales pour maintenir le contact avec les interlocuteurs et gérer
l’acte de communication (acte de parole) qu’il existe. Exemple : gestes.
Exemples :
À partir d’une image, l’élève va raconter ses sentiments, ce qu’il voit...
On donne une définition aux élèves pour voir s’ils la savent ou pas.
La philosophie est très importante car elle nous donne une autre vision du monde. Elle est la
base de tout.
La psychosociologie est l’analyse psychologique de la société, c’est-à-dire, la relation qu’on a
dans un groupe.
La psychanalyse, fondée par Freud. On se trouve à la fin du XIXe siècle, elle va renouveler la
conception du sujet humain. Pour Freud, la personnalité́ se forme à partir de refoulement dans la
conscience des situations vécues, notamment dans l’enfance, exemple : l’enfance comme source
de culpabilité́ ... Pour Freud, la sexualité́ est aussi un aspect assez important. Il y a le conscient,
le préconscient et l’inconscient. Un ouvrage, Le Moi et le ça (1923), c’est ici qu’on trouve le
surmoi, le moi et le ça:
• Le surmoi est la voix intérieure qui va nous dire: “tu n’aurais pas dû faire ça / je suis
nulle...”. Dans un examen, “si j’avais su que cette partie entrait dans l’examen, je
m’aurais levée à 4h du matin”.
• Le ça est guidé par le principe des désirs, que nous allons réfuter.
• Le moi est le médiateur entre le ça et le surmoi, il est conduit par le fil de la réalité; il
est le siège entre le désir et les pulsions.
L’intraphysique est en relation directe avec le surmoi, le moi et le ça. Il appartient à l’appareil
psychique.
V. Compétence orthographique
Elle suppose une connaissance de la perception et de la production des symboles qui composent
les textes écrits et l’habilité correspondante. Pour les systèmes alphabétiques, les apprenants
devront connaitre et être capables de percevoir et de produire la forme des lettres, une orthographe
correcte…
Compétence sociolinguistique
Expressions de la sagesse populaire : ce sont toutes les expressions familières, expressions
idiomatiques, proverbes… On trouve aussi les panneaux, les graffitis.
Différences de registre : officiel, formel, neutre… L’intonation est très importante dans ce cas. Si
on ne connait pas bien la langue, cela peut poser problème. Ex : le tutoiement.
Dialecte et accent : le patois = los dialectos. La compétence sociolinguistique recouvre également
la capacité de reconnaître les marques linguistiques de, par exemple : la classe sociale, l’origine
régionale, l’origine nationale, le groupe professionnel. Ex : sur un chantier.
Compétence pragmatique
La compétence discursive : cela permet d’organiser le discours à l’écrit ou à l’oral. Cohérence,
cohésion, connecteurs… Ex : pour argumenter, j’utilise les connecteurs permettant de lier les
différents éléments de mon plan (introduction, arguments, conclusion).
- Les mots pour argumenter : « il faut souligner que … »
▪ Commencer le texte : « on parle beaucoup de… », « certains affirment
que… », « on dit que… », « dans une étude sur… », « l’auteur affirme
que… »
▪ Introduire un exemple : « par exemple… », « ainsi… », « comme
l’indique… », « si l’on prend le cas de… », « l’exemple de… confirme
que… », « cette situation prouve/montre… », « l’exemple le plus
significatif nous est fourni par… »
▪ Marquer une transition : « venons-en à présent à… », « passons à… »
(plutôt à l’oral), « après avoir traité la question de… »
▪ Énumérer/classer : « tout d’abord », « ensuite », « enfin »,
« premièrement », « deuxièmement », « d’une part… d’autre part », « on
sait déjà que… plus important encore »
▪ Insister/mettre en valeur : « il faut souligner que… », « n’est-il pas vrai
que… », « rappelons que… », « au premier chef… », « non seulement…
mais aussi », « non seulement… mais encore » « à plus forte raison… »
▪ Récapituler/résumer : « en somme… », « en fin de compte… »,
« finalement… », « toute réflexion faite… », « après tout… », « bref… »
(à éviter dans les travaux écrits), « pour résumer… », « en résumé… »,
« en un mot… » (oral)
▪ Exprimer un point de vue personnel : « il me semble que… », « à mon
sens… », « en ce qui me concerne… », « j’avoue que… » (confirmer)
▪ Exprimer la certitude : « il est certain/évident/incontestable… », « il va
de soi que… », « je ne doute pas que… » [espagnol : « es indiscutible »]
▪ Exprimer le doute : « il est peu probable que… », « on doit s’interroger
sur… », « je ne suis pas tout à fait convaincu.e que… », « je doute
que… », « on doit s’interroger sur… »
▪ Exprimer la probabilité : « on pourrait envisager que… », « il est
possible/probable que… », « il se peut que… », « il semblerait que… »,
« on pourrait envisager que… »
▪ Exprimer la similitude : « il en va de même pour… », « également »,
« de la même façon… », « de la même manière… »
▪ Associer le destinataire : « nous savons tous que… »
▪ Terminer un exposé : « il apparait bien que… », « nous avons dons vu
que… »
2. La pragmatique
La pragmatique
Le domaine de la pragmatique recouvre un ensemble très diversifié de travaux :
Sur les déictiques (« Je »), « tu », « ici », « hier »…)
▪ Cela nous permet de situer l’énoncé.
▪ Les pronoms renvoient à la position spatiale (« ce », « ceci »,
« cela »…).
▪ Les adverbes comme « aujourd’hui » ou « hier » sont en lien avec le
moment de la narration.
▪ On doit savoir la différence existante entre contexte et cotexte :
• Le contexte est toujours en relation avec la sémantique [sens].
• Le contexte est lui en relation directe avec la syntaxe.
• Par exemple, dans « Elle le lui donna » (pronom COD et pronom
COI qui font perdre du sens) ou « Elle, la voisine de pierre, prit
le jus de fruit » (explication du contexte).
i. Maxime de quantité
Ce que je dis doit être aussi informatif que nécessaire et ce que je dis, ma contribution, ne doit
pas être plus informatif que nécessaire.
Exemple :
- Y a-t-il une station d’essence pas loin d’ici ?
- Oui, il y a une station d’essence à cinq minutes d’ici et elle est fermée le vendredi
=> respect de la quantité d’informations.
Soyez clair. Évitez de s’exprimer de façon obscure et évitez de s’exprimer de façon ambigüe.
Il faut être ordonné et bref.
Exemple : J’ai rencontré Paul et Pierre qui m’a invité à la fête. À qui fait-on référence ?
Il faut respecter les quatre maximes pour se comprendre correctement, mais parfois on
peut transgresser ces règles ! En effet, aucun sujet ne se conforme strictement à ces
règles ! La dynamique communicationnelle repose sur l’aléa.
Exemple : métaphore, ironie, litote : « Va, je ne te hais point » (Racine), « Ça ne sent pas la
rose… », « Il n’est pas bien courageux » (+ ironie).
Exemple 2 : Qui a remporté les dernières élections ? Prends le journal.
Le terme « pragmatique » lui-même est issu des travaux d’un philosophe et logicien américain,
Ch. Morris, qui en 1938 a distingué trois domaines dans l’appréhension de toute langue, qu’elle
soit formelle ou naturelle.
Mais la pragmatique ne constitue pas une discipline homogène. Il s’agit plutôt d’un espace où se
croisent divers courants :
Quand on parle il y a une partie du discours qui peut être directe ou indirect,
libre, etc. dans la deuxième phrase on trouve le contexte.
- Toutes les énonciations ont une force illocutoire = actes de langage (affirmer,
ordonner, suggérer, etc.).
- 1º exemple : Pour promettre quelque chose à quelqu’un : il faut que ce que l’on
promet ne se produise pas nécessairement. Que le locuteur ait le pouvoir d’agir
sur l’évènement. Que celui à qui on promet soit intéressé à la réalisation de cet
évènement…
- 2eme exemple : Pour affirmer quelque chose : le locuteur qui affirme doit avoir
accès à l’information qu’il délivre. Il doit être sincère. Il doit transmettre des
informations qui concerne son destinataire.
En somme :
- En produisant un acte illocutoire le locuteur « montre » qu’il a le droit de parler
comme on le fait.
- Accomplir tel ou tel acte de langage : c’est se conférer un certain statut,
conférer le statut corrélatif au destinataire, poser son énonciation comme
légitime dans le contexte.
2.3 L’IMPLICITE
L’implicite est omniprésent dans le discours, sous la forme de :
- Présupposés
- Sous-entendus
« Nous refusons la décadence de notre pays »
A. Présupposés
On peut distinguer deux registres distincts :
- « Le refus de la décadence” : le premier contenu dit « posé »
- « Le pays est décadent » « présupposé » présenté comme « allant de soi »,
c’est-à-dire, un « non-dit ».
B. Sous-entendu :
Il permet également de dire sans dire explicitement, en laissant au destinataire le soin de
tirer du conteste une proposition implicite une inférence. Pour ce faire, il doit mobiliser
certaines règles du jeu conversationnel, dites « maximes conversationnelles » (P. Grice,
Logic and Conversation, 1975).
2.4 L’ARGUMENTATION
Les travaux de Ch. Perelman (Traité de l’argumentation. La nouvelle rhétorique, 1958) ont
renouvelé la rhétorique traditionnelle issue de l’Antiquité grecque.
Celle-ci s’efforce d’étudier « Les techniques discursives permettant de provoquer ou d’accroître
l’adhésion des esprits aux thèses qu’on présente à leur assentiment » (Perelman).
Un autre courant important est celui initié par S.E Toulmin (The Uses of Argument, 1958). Il
cherche à saisir les pratiques argumentatives dans l’usage ordinaire de la langue.
Il prendra en compte la diversité des domaines, scientifiques ou non, dans lesquels on
argumente.
La perspective d’O.Ducrot et J.-C Anscombre (L’Argumentation dans la langue, 1983) est très
différente, car strictement linguistique. Voici un exemple :
- « Paul n’a pas lu tous les dialogues de Platon » = Paul n’est pas compétent
(conclusion négative).
- « Jean a lu beaucoup de dialogues de Platon » = Il est compétent (conclusion
positive).
Des éléments linguistiques comme « ne..pas » ou « beaucoup » décident l’orientation
argumentative, et non la réalité.
Il existe également des courants qui mettent l’accent sur la dimension normative de
l’argumentation.
À quelles conditions doit se soumettre un « bon » raisonnement ?
On citera les travaux de Charles Hamblin (Fallacies, 1970) et « l’école d’Amsterdam » (F. van
Eemeren et R. Grootendorst, La Nouvelle Dialectique, trad.Fr., 1996).
« La pragmatique étant l’étude de l’utilisation du langage, l’analyse de l’argumentation peut être
conçue comme une « pragmatique normative » ou convergeraient idéalisation normative et
description empirique » (van Eemeren et Grootendorst, 1996, p.10).
2.5 LES MICRO-FONCTIONS ET LE MACRO-FOCNTIONS
Ces fonctions appartiennent à la compétence fonctionnelle.
A. Les macro-fonctions : catégories servant à définir l’utilisation de cette compétence
fonctionnelle du discours oral et écrit. Ces macro-fonctions consistent en une suite des
phrases, par exemple : des descriptions, narrations, commentaires, exposés, une
explication, une démonstration, une instruction, une argumentation, une
persuasion, etc.
Par exemple, dans une narration on peut trouver des descriptions, c’est-à-dire des types
de discours différents dans un même paragraphe.
Le cadre reprend des classements, cela correspond à des schémas d’instruction comme :
- Demander des informations, des réponses, identifier, exprimer notre opinion,
l’accord et le désaccord, exprimer notre connaissance sur un concept, les
modalités (l’obligation, la nécessité, la capacité). Volonté, désir, sentiments
personnels (plaisir, goût, surprise), faire faire à quelqu’un ou suggérer une
action à qqn (encourager, demander, conseiller), établir des relations sociales,
structurer le discours (comment je dois ouvrir un débat), la médiation.
Un texte peut être un macro-fonction et à l’intérieur du texte on peut trouver, par exemple, le
style indirect et ça serait la micro-fonction.
3. L’énonciation
3.1 LES FONCTIONS DU LANGAGE (Jakobson) (examen)
- À partir de ce travail,
Maingueneau (1993)
propose une opposition entre
:
- Plan d'énonciation
“embrayé” marqué
par la deixis,
signalant sa
présence en tant que
locuteur
- Plan d'énonciation
“non embrayé” sans
marques déictiques,
où sa présence en tant que locuteur n’est pas explicite dans l’énoncé.
Benveniste Maingueneau
Pour Benveniste, le discours c’est la langue assumée par l’être qui parle et qui rend possible la
communication linguistique.
Le discours est lié aux fonctions de Jakobson, aux trois niveaux de langues :
- Phonétique
- Morphosyntaxique
- Sémantique
Bally établit la distinction latine entre modus (manière de dire) et dictum (ce qui est dit). Selon
Bally, la modalité est la forme linguistique d’un jugement intellectuel, affectif, ou d’une volonté
qu’un sujet pensant énonce à propos d’une perception ou d’une représentation de son esprit”
(1942:3). En somme, la modalité est l’attitude du locuteur par rapport à son énoncé.
3.1.2 Types de modalités
- Il existe de nombreuses modalités qui correspondent aux dispositions
psychologiques du locuteur.
- Elles peuvent être marquées explicitement dans le discours ou de manière
implicite
- D’un point de vue grammaticale de la phrase, on distingue 4 modalités à la
phrase française :
a. Assertive
b. Interrogative
c. Exclamative
d. jussive (phrase impérative)
VERBES D’OBLIGATION
- Acte élocutif : C’est le locuteur qui situe ses propos, ses paroles par rapport à lui-
même : il révèle son appréciation, son opinion, sa promesse, des savoirs, des
connaissances, des périphrases verbales, les pronoms (je/nous).
« Je veux que tu assistes à la cérémonie ».
VERBES DE VOLONTÉ
- Acte délocutif : Formes impersonnelles, une troisième personne qui parle (elle a…), on
pense que…
A l’acte délocutif correspondent les catégories de l’assertion et de discours rapporté.
« Il faut que tu assistes à la cérémonie ».
4 Le texte et le contexte
Pour Bajtin, apprendre à parler, c’est apprendre à structurer les énoncés. Les genres du discours
organisent notre parole. Cette réflexion nous amène à poser la question : “qu’est -ce qu'un texte?”
“et un contexte ?”
Exemple : modalisateurs (connecteurs, exprimer notre avis/ notre opinion/ nos sentiments…)
Définition de texte:
- Selon H.Weinrich, le texte est “une suite signifiante (jugée cohérente) de signes entre
deux interrogations marquées de la communication”.
- Selon Brown et Yule le définissent comme “l’enregistrement verbal d’un acte de
communication”
Le texte est employé souvent comme un équivalent d'énoncé. Le texte est de nature pluri
sémiotique. En grammaire générative, un texte est: une unité linguistique supérieure à la phrase
ou à la proposition.
Définition d’iconotexte: quand un texte associe image et énoncé verbal. Comme exemple: les
textes publicitaires.
Le discours peut être explicite ou implicite. Le discours implicite où le locuteur ne dit pas ce qu’il
pense, par exemple, proverbes / ironie → “il fait un froid de canard”, on va comprendre qu’il a
très froid.
Définition de contexte:
- Le contexte correspond à la réalité linguistique + les conditions de cette réalité
linguistique (entourage).
- la deixis
- la cohérence / la cohésion
- la subjectivité: la position du locuteur (les modalisateurs)
- les conditions socio-discursives
Définition de cotexte:
Les linguistes Maingueneau, Michel Hallyday et Carter-Thomas vont étudier ces thèmes.
Maingueneau tire des traits essentiels du discours qui nous permet de bien structurer le thème.
Le discours est:
- Une organisation transphrastique (au delà de la phrase, quand on parle du discours,
une phrase est plus simple que le discours)
- Interactif (interaction orale ou écrite à l’aide d’un discours explicite ou implicite)
- Contextualisé (si on établit un discours dehors du contexte, on n’a pas de sens: hors-
sujet)
- Une forme d’action (toute énonciation constitue un acte de langage, cet acte de langage
peut être publicitaire, littéraire, scientifique..)
- Pris en charge par le sujet énonciateur (le locuteur dirige son discours)
- Est régi par des normes linguistiques ou socioculturelles
- Orienté (doit avoir une finalité, et qu'elle soit choisi par le locuteur)
- Est pris dans un “interdiscours” (les relations entre style directe, style indirecte ou style
indirecte libre)
Jean Michel Adam définit le discours comme un énoncé caractérisable par des propriétés
textuelles + actes de discours dans une situation (contexte).
Hallyday définit la composante textuelle de la langue comme : l’ensemble des opérations grâce
auxquelles un locuteur peut créer des textes dans un échange social de sens.
Eddy Roulet insiste sur la nature du discours qui est liée aux fonctions de Jakobson. Il distingue
trois points dans l’articulation du discours : Phonique, morphosyntaxique et sémantique.
Le discours est :
- Une unité complexe avec une composante linguistique (lexico-syntaxique).
- Une composante textuelle (l’organisation du discours).
- Une composante situationnelle (la référence interactionnelle).
Selon Mª José Fernández, le discours est : « un ensemble formé d’une ou plusieurs phrases
unies par un réseau de conférences ».
Ce réseau est évident. Il forme une unité totale de communication orale et écrite qui est à la base
de 3 concepts :
- Grammaticalité
- Acceptabilité communautaire.
- Adoptabilité (adéquation textuelle).
Adam affirme :
Le discours = texte + conditions de production.
Le texte = le discours – conditions de production.
Mais actuellement, la distinction entre le texte et le discours est devenue très floue dans les
études de pédagogie.
4.1 Types de texte
Le discours en tant qu’unité plus large que le texte :
- Relève de la notion du genre
- Correspond dans la langue a une situation réelle avec différents types de discours.
Adam récuse la typologie traditionnelle des textes.
Adam préfère parler de séquences (plus fin comme analyse) « suprastructure ».
- Texte narratif
- Texte discursif
- Texte explicatif
- Texte dialogal
- Texte argumentatif.
Et finalement, Adam insiste sur l’intention, c’est-á-dire :
- Explicatif ou informatif
- Persuasif
- Injonctif
- Poétique
- Fonctionnel
Alors que Charaudeau distingue 4 ordres de discours :
1. Discours énonciatifs
2. Discours discutifs
3. Discours argumentatifs
4. Discours narratifs
Voici les modes d’organisation du discours :
- Composantes du discours qui servent à nommer : les inventaires, les textes, les listes.
- Une constatation objective du monde : des textes didactiques, des textes sociologiques,
- Une composante plus subjective : des textes littéraires, les annonces.
A partir de là, on peut faire une typologie (voir photocopie « moodle »).
4.2 Classement textuel et ses critères :
Mª José Fernandez va s’appuyer de Robert de Beaugrande et Dressle en affirmant que le texte
doit répondre à 7 critères interdépendants :
- Cohésion
- Cohérence
- Intentionnalité
- Acceptabilité
- Informativité
Puis en rapport avec le contexte 8le monde extérieur).
- La situationnalité
- L’intertextualité
Finalement, le texte reproduit un acte de communication avec un support à l’oral et à l’écrit
dans une situation réelle.
Selon Beaugrande et W.U Dressler définissent le texte comme « une occurrence
communicationnelle » qui satisfait à des critères interdépendants (1981 : chap. I).
- Un critère de cohésion
- Un critère de cohérence
Deux autres critères concernent la relation entre les participants de l’acte de communication :
- Un critère d’intentionnalité, l’énonciateur vise à produire un texte susceptible d’avoir un
effet déterminé sur le destinataire.
- Un critère d’acceptabilité, le destinataire s’attend à interpréter un texte qui vienne
s’inscrire dans son monde.
Vers une conclusion :
- Les textes ont tous un support : écrit/oral.
- Ces textes peuvent être véhiculer par n’importe quel canal : écrit/oral.
- Oral : prosodie (accent, pauses, intonation…)
- Il n’y a pas d’actes de communication sans les textes ou discours.