KontIgnácPetite Grammaire Hongroise - II
KontIgnácPetite Grammaire Hongroise - II
KontIgnácPetite Grammaire Hongroise - II
CORRIGÉ DES
VERSIONS E T TH ÈM ES
DE LA
I. KONT,
CHARGÉ DE COURS A LA FACULTÉ DE8 LETTRES DE PARIS.
TRADUITS
PAR
B. DE LA BUSSIÈRE,
OFFICIER DE L’INSTRUCTION PUBLIQUE
ET
DR- PHILIPP KÁLMÁN,
PROFESSEUR AU LYCÉE ROYAL DE KÖRMÖCZBÁNY A (HONGRIE).
CORRIGÉ
DES
VERSIONS ET THÈMES
DE L A
I. KONT,
CHARGÉ DE COURS A L A FA CU L TÉ D ES LETTRES DE PARIS.
TRADUITS
PAR
B. DE L A B USSIÈR E,
O FFICIER DE L’ INSTRUCTION PUBLIQUE
ET
D K- PHILIPP KÁLMÁN,
PRO FESSEU R AU LYCÉE ROYAL DE KÖRMÖCZBÁNYA (H O N G R IE).
Questionnaire.
Comment est la tour? Comment est le Danube? Com
ment est le lac Balaton? Comment est l’élève?
Que fait le père? la mête? le garçon? la fille? etc.
Thème.
A város nagy és szép. — A Duna mély. — Mély-e a
Balaton? A ház nem magas. — Az Alföld nagy. — Ma
gas-e az ablak? Nem, az ablak nem magas. — Milyen a
Tisza? A Tisza nagy. — Nagy-e a város? Igen, a város
nagy és gazdag. — Mit csinál a tanuló? Olvas és ír. —
Mit csinál az apa? Dolgozik.
Deuxième leçon.
Le snbstantif.
Version.
L ’école est grande. — Les écoles sont grandes. — Le
banc est bas. — Les bancs sont bas. — La plume
est pointue. — Les plumes sont pointues. — Les élèves
lisent et écrivent. — Les livres sont-ils utiles? — Oui, les.
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Questionnaire.
Comment sont les écoles? les bancs? les chaises? les
tableaux? les plumes? etc.
Qu’est-ce qui est utile? étroit? commode? blanc? noir?
Que font les maîtres? les élèves? les garçons? les jeunes
filles? etc.
Thème.
Az iskola magas és széles. — Az iskolák magasak és
szélesek. — Alacsony-e a pad? Alacsonyak-e a padok?
Hegyesek-e a czeruzák (irónok)? — A falak magasak. — A
halak úsznak a vizben. — A kutak mélyek. — A tollak
hasznosak. — A kosarak fehérek. — A kezek fehérek. —
Mit csinálnak a tanulók? A tanulók olvasnak és Írnak. —
Mit csinálnak a madarak? A madarak énekelnek.
Troisième leçon.
Singulier et pluriel (suite).
Version.
Les lèvres sont roses. — Les fossés sont profonds. —
Les hiboux et les singes vivent dans la forêt. — Les braves
n’ont pas peur. — Les vers sont petits. — Les petits
oiseaux vivent dans les nids. — Les perdrix sont des
oiseaux. — Les fosses sont profondes. — Les bœufs et les
vaches sont des animaux domestiques. — Les moulins sont-
ils utiles? — Les statues sont-elles belles? — Les salles
sont-elles commodes? — Les tours sont-elles hautes? — Les
herbes sont quelquefois utiles. — En Suisse les lacs ne sont
pas rares. — Les tuyaux sont étroits. — Dans les villages,
il y a des chiens, des chèvres, des porcs et des chevaux.
Questionnaire.
Comment sont les lèvres? les fossés? les herbes? les tuyaux?
Où vivent les bœufs? les hiboux? les singes?
Où vivent les animaux domestiques?
Comment sont les statues? les herbes? etc.
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Thème.
Az árkok mélyek. — Az ökrök, a tehenek, a lovak
és a szamarak házi állatok. — Hasznosak. — A madarak
énekelnek az erdőben. — A halmok zöldek. — A kutyák
és a macskák a házban élnek. — Bizonyos füvek haszno
sak. — Magasak-e a tornyok? — A szobrok szépek. — A
tavak néha (némelykor) mélyek. — A városok nagyok, a
falvak (faluk) kicsinyek. — A fenyvek az erdőben vannak.
— A ténta nem fekete és a czeruza nem hegyes.
Quatrième leçon.
Complément direct. — Le présent du verbe.
Version.
Je lis un livre. — Je lis le livre. — J’apprends une
leçon. — J’apprends la leçon. — Je vois un cheval. — Je
vois le cheval. — Que veux-tu? Je veux lire et écrire. —
Vois-tu Béla? Je ne vois pas Béla, mais je vois Jean. —
Entends-tu les oiseaux chanter? Je (les) entends. — Qui
apprend la leçon? L ’ élève apprend la leçon. — Aimes-tu
le village? J’aime seulement la ville. — Le garçon dessine
un cheval. — Tout le monde aime l’élève appliqué. — Que
faites-vous? Nous apprenons la leçon. — Je te vois; je
t’attends; je t’aime; je te bats. — Que fait Paul? Il écrit
une lettre. — Les chats prennent des souris. — Les garçons
apprennent des leçons. — Les jeunes filles écrivent les de
voirs. — Nous lisons de belles œuvres.
Questionnaire.
Qu’apprends-tu? que lis-tu? qu’écris-tu?
Qu’apprend, que lit, qu’écrit le garçon? la fille?
Qui frappe le chien? Qui prend la souris? Qui chante?
Qui dessine? Qui répond?
Qu’entendons-nous? que voyons-nous? qu’écrivons-nous?
que lisons-nous? etc.
Thème.
Iskolát látok. — Látom az iskolát. — Madarat énekelni
hallok. — A madarat énekelni hallom. — Mit ír János?
Feladatot ír. — Ki üti a kutyát? — Ki látja a magas tornyot?
— Szeretem a szép könyveket. — Nem szereti a macskákat. —
A macskák fogják az egereket. — Kenyeret kér. — A tanuló
tollat kér. — Leveleket rajzol. — Látod az ökröket? — A ta-
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Cinquième leçon.
La désinence possessive.
Version.
Notre école est grande. — Ma plume est pointue. —
Son crayon est noir. — Notre encre et notre tableau sont
noirs aussi. — Notre fenêtre est haute. — Mon père tra
vaille, ma mère coud, mon frère ainé écrit, ma sœur ainée
lit. — Mon gant est blanc, ma chemise aussi est blanche
et propre. — Mon cheval et ma vache sont utiles. —
Le tailleur fait mon vêtement, la couturière coud ma che
mise. — Sa redingote est toujours propre, mais sa poche
est parfois vide. — Emeric frappe notre chien. — Notre
chat prend une souris. — Mon garçon apprend sa leçon,
ma fille écrit son devoir. — Je lis ton ouvrage. — Son
vêtement est cher.
Questionnaire.
Comment est ton papier? ton livre? ton vêtement? ta
chemise? ta bottine?
Comment sont vos livres? vos vêtements? vos gants?
Où est ton frère cadet? ton frère ainé? ta sœur ainée?
Que fait son père? sa mère? son frère ainé? sa sœur ainée?
Qui coud notre vêtement? notre chemise? etc.
Thème.
Kalapom fekete. — Kuhád tiszta. — Zsebe üres. —
Inge és mellénye fehérek. — Könyvem olcsó, de hasznos. —
Czeruzája nem hegyes. — Fehér vagy fekete-e a kutyátok?
Kutyánk fekete. — Lovunk, ökrünk és tehenünk hasznosak.
— Kabátja hosszú, mellénye szűk. — Városunk szép és
gazdag. — Házuk nem magas. — Fiúnk az iskolában ol
vasni és írni tanul. — Atyánk tanitó. — Néném varróné,
öcsém szabó.
Sixième leçon.
La désinence possessive (suite).
Version.
Nos écoles sont grandes. — Mes plumes sont pointues.
— Nos chevaux et nos vaches sont utiles. — Mes garçons
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Questionnaire.
A qui est le cheval? la vache? le bœuf?
A qui sont les chevaux? les vaches? les bœufs?
Comment sont tes plumes?
Comment est son sabre?
Qu’ écrivent tes filles?
Qu’apprennent tes garçons?
Que font vos chats? etc.
Thème.
Tanitóink jók, de szigorúak. — Iskoláink nagyok és
magasak. — Könyveid hasznosak. — Füzetei tiszták. —
Kutyáink sohasem ugatnak. — Macskáik egereket fognak. —
Fivéreim az iskolában, nővéreim a kertben vannak. — Cze-
ruzája nem hegyes. — Katonáink bátran harczolnak. —
Kiéi a rózsák? A nővéreimé-e? — Kiéi a könyvek és a
füzetek? Az enyéim. — Kié a ház? Szomszédunké. — Kié
a kabát? Atyánké. — Kié ez a toll? Az enyém; a fivé
remé; a mienk. — Kiéi a tehenek és az Ökrök? A szom
szédé. — Szeretjük a mieinket.
Septième leçon.
La désinence possessive (suite et fin).
Version.
Les livres de l’élève sont chers. — Les feuilles de la
rose sont rouges. — Le frère ainé de la jeune fille est
soldat. — Le frère cadet de mon père est lieutenant. —
Les fenêtres de la maison sont hautes. — Les oreilles de
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Huitième leçon»
Les suffixes de rapport.
Version.
Le maître donne un livre à l’élève appliqué. — Le ca
pitaine commande aux soldats. — Les soldats obéissent au
lieutenant. — Souvent nous nous promenons dans le jardin.
— Souvent nous allons dans le jardin. — Mon frère apprend
à l’école; tous les jours il va à l’école; il rentre de l’école.
— Mon ami demeure près de l’école. — Le poisson nage
dans l’eau. — Nous avons confiance dans nos amis. — Com
bien a coûté le livre? Le livre a coûté deux couronnes. —
La porte cochère est en fer. — Il descend d’une famille
noble. — Dans le puits il y a de l’eau. — La domestique
va au puits; elle se tient près du puits. — Toujours il a
été bon pour mon frère. — Le bon enfant s’attache à ses
maîtres. — La fille ressemble à sa mère. — Le garçon
était chez le maître. — Mon frère cadet est chez le jardi
nier. — Le soldat était chez le capitaine. — La plume est
plus pointue que le crayon. — Le raisin est meilleur que
la fraise. — La prune est plus petite que la pomme.
Questionnaire.
A qui donnes-tu le livre? le crayon?* l’encre?
A qui apportes-tu la pomme? la poire? les fraises?
A qui obéit le garçon?
Qu’y a-t-il dans la chambre? dans le jardin? dans
le puits?
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Neuvième leçon.
Les suffixes (suite).
Version.
La livre est sur la table. — Le tableau est suspendu
au mur. — Beaucoup d’hommes vivent sur la terre. —
Des étoiles brillent au ciel. — Des navires vont sur la mer.
— Dans le monde il y a beaucoup d’hommes malheureux.
— Tout le monde s’étonne de la bonne fortune de notre
voisin. — L ’enfant s’asseoit sur le banc. — Le garçon met
un bouquet à son chapeau. — La mouche se pose sur la
fenêtre. — Le chat grimpe au grenier. — Il n’ est pas
digne de notre affection. — Qui enseigne le hongrois au
garçon? Qui enseigne le français à la fille? — Le hussard
descend de son cheval. — L’ouvrier est tombé du toit sur la
terre. — Le garçon descend en courant de la montagne.
— Jean Arany a chanté les actions héroïques de Toldi. —
Homère parle de la guerre de Troie, de la colère des dieux,
de la mort d’Hector. — Le journal parle-t-il de l’événement
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Thème.
A tábla a falon függ. — Az emberek a földön élnek.
— A huszár lován van. — A légy a tükrön van. — 0
könyörül a szegényeken. — A tanulók a táblára írnak. —
Barátaink a fára másztak. — Miről beszél? A tegnapi ese
ményekről beszél. — Kiről beszélt? Szomszédjáról beszélt.
— A lovas leszállt a lováról. — Királyunk lemondott a
trónról. — Atyám szomszédunktól jön. — Anyám az orvostól
jön. — Hallottuk az újságot barátunktól. — A vitéz ka
tonák nem félnek a haláltól.
Lecture.
La Hongrie (suite et fin).
La capitale de la Hongrie est Budapest sur les deux
rives du Danube. Près de Budapest est située l’ ile Sainte-
Marguerite. Parmi les rues de Budapest, la plus belle est
la rue Andrássy. Sur la rive du Danube, en face de la
citadelle de Buda, s’étend le magnifique quai du Danube.
Près du quai du Danube se trouvent les monuments de
François Deák et d’Alexandre Petőfi.
Notre patrie est habitée par beaucoup de peuples diffé
rents, savoir: les Hongrois, les Allemands, les Saxons, les
Slovaques, les Serbes, les Croates, les Roumains, les Ruthènes,
les Arméniens et les Tsiganes. Tous ces peuples sont chrétiens.
En outre de ceux-ci, des Israélites aussi habitent notre pays.
Notre patrie est une contrée bénie et belle. Les fleu
ves abondent en poissons, les montagnes en or, en argent,
en fer, en houille et en sel. Sur les coteaux on récolte le
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meilleur vin ; dans les plaines croît aussi le plus beau blé.
Célèbres sont le vin de Tokai et le blé 'de la Basse-Hongrie.
Notre patrie est notre mère à tous, et c’est pourquoi
il faut que nous l’aimions, quelle que soit la langue que
nous parlions et quelle que soit l’église où nous adorions Dieu.
Dixième leçon.
Les suffixes (suite et fin).
Version.
Je vais à l’école avec mon frère. — Il coupe du pain
avec le couteau. — L’homme ne vit pas seulement de pain.
— Nous mangeons la soupe avec la cuiller; nous mangeons
les légumes avec la fourchette. — Il est venu en ville dans
une grande voiture. — Un homme pauvre fait la cuisine
avec de l’eau. — Déjà il s’est réconcilié avec son ennemi.
— Souvent il se bat avec ses camarades. — Il ne se soucie
pas de ses devoirs. L ’un gagne son pain avec son esprit,
l’autre avec ses mains. — Le hussard est tombé dans l’eau
avec son cheval. — Le roi nomma Jean Hunyadi général
en chef. — Le garçon rend ses parents heureux, s’il est
appliqué. — La fille a rendu sa mère malheureuse. — J’ai
accompagné le soldat jusqu’à la porte de la caserne. — Je
resterai ici jusqu’à demain. — Jusqu’à l’après-midi je ne
travaille pas. — Nous nous sommes promenés jusqu’à la
montagne. — On ne peut avoir le livre même pour de l’argent.
— Il a reçu des éloges pour son travail. — On loue le soldat
pour sa bravoure. — Le nom du poète brille comme un
astre. — Deux fois par semaine nous apprenons le hongrois.
— Quatre fois par mois je prends une leçon de danse. —
J’ai reçu de ma mère la bague en cadeau. — Le méchant
garçon souffleta son voisin. — Il a fini courageusement
son ouvrage. — Je ne parle pas encore bien le hongrois. — 1
A quelle heure te lèves-tu? Je me lève à six heures et je
me couche à dix heures. — En automne, le temps est couvert.
Questionnaire.
Avec qui vas-tu à l’école?
De quoi t ’occupes-tu?
De quoi vit l’homme?
Avec quoi coupons-nous le pain?
Qu’est-ce qui rend ses parents heureux?
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Thème.
A levest kanállal, a húst villával esszük. — A ke
nyeret késsel vágom. — A kezekkel dolgozunk. — Füleinkkel
hallunk és lábainkkal járunk. — Sétáltam atyámmal. —
Fivéremmel utaztam. — Nem törődik kötelességeivel. —
Mindig czivakodnak szomszédjaikkal. — A gyermek szeren
csétlenné tette szüleit. — Barátjaikat a város kapujáig el
kísérték. — Budapestig jöttünk. — A hazáért halt meg. —
A tanító a tanulót hanyagsága miatt megbüntette. — A
pék kenyerét naponként kétszer süti. — Szüleim könyvet
adtak ajándékul. — Magyarul tanulok. — Nem beszél jól
francziául. — A francziák németül tanulnak az iskolában. —
Nyáron öt órakor, télen hatkor kelek fel.
Onzième leçon.
Suffixes des noms géographiques.
Version.
Paris est la capitale de la France. — Il a déjà sou
vent été à Paris. — Je voudrais aller à Paris. — Mon
frère est revenu de Paris. — A Budapest, il y a de belles
rues et de belles places. — Il vient beaucoup de monde
de province à Budapest. — Michel Vörösmarty naquit à
Nyék, Alexandre Petőfi à Kis-Körös, Jean Arany à Nagy-
Szalonta. — Louis Kossuth alla en Turquie, de là en An
gleterre et en Amérique ; finalement il se fixa en Italie et y
mourut. — Demain j ’irai à Arad. — Mon père était hier
à Sopron, demain il sera à Pozsony et à Vienne. — Que
disent les journaux de Paris? — A l’Université d'e Buda
pest il y a beaucoup d’étudiants. — Nous avons appris
l ’histoire romaine à l’école. — On parle croate à Zágráb. —
Il apprendra toujours bien ses leçons. — J’écrirai une lettre
à mes parents.
Questionnaire.
Où est le palais du roi de Hongrie?
Dans quelles villes y a-t-il des universités?
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Où est la Sorbonne?
Où est né Petőfi?
Où mourut Arany?
Quel journal lis-tu?
Quels gants as-tu achetés?
Où vas-tu? D’où viens-tu? etc.
Thème.
Francziaországban sok szép város van. — Párisban
egyetem és számos iskola van. — Nemsokára Magyarországba
megyek; egy évig maradok Budapesten ; ott magyarul fogok
tanulni. — Budapesten és Kolozsvárott egyetem van. —
Szabadka Budapesttől délre fekszik. — A bécsi hírlapok
német hírlapok (újságok), a budapesti újságok magyar újsá
gok. — A párisi színházak szépek. — A budapesti Opera
nagy. — A tanuló írni fogja feladatát és tanulni fogja
leczkéjét. — Nemsokái’a magyarul fog beszélni. — Szüleim
Nagyváradon laktak, nemsokára a fővárosban fognak lakni.
— Volt már Rómában? Nem voltam még Rómában, de
voltam Bécsben.
Lecture.
Mon pays natal.
Belle frontière de mon pays natal, te reverrai-je ja
mais? Partout où je réside, partout où je suis, partout
c’est seulement vers toi que je regarde.
S’il vient un oiseau, je lui demande: Ma patrie, es-tu
encore prospère? Je le demande aux nuages, je le demande
aux vents murmurants.
Mais ceux-ci ne me consolent pas, ils me laissent seul
avec mon cœur triste; je vis seul avec mon cœur affligé,
comme le brin d’herbe qui pousse sur un rocher.
Petite demeure où je naquis, hélas, je suis tombé loin
de toi! je suis tombé loin, comme la feuille qu’arrache le
tourbillon de vent. Charles Kisfaludy (1788—1830).
Douzième leçon.
L ’ adjectif.
Version.
La rose est une belle fleur. — La pomme rouge est
savoureuse. — Les méchants garçons ont battu le chien
fidèle. — Les pauvres enfants n’ont pas de beaux vête-
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Questionnaire.
Qui est appliqué? Quels sont ceux qui sont appliqués?
Qui est brave? Quels sont ceux qui sont braves?
Qu’est-ce qui est utile? Quelles sont les choses qui
sont utiles?
Qu’est-ce qui est profond? pointu? rond? bas? haut?
Comment est le couteau? la plume? le papier? le
tableau noir? la craie?
Comment sont les pères? les mères? les garçons? les
filles? etc.
Thème.
A kutya nagy, a macska kicsiny. — A kutyák nagyok,
a macskák kicsinyek. — Az ökrök lassúak. — A tehén és
a ló hasznosak. — Az udvarok tágasak. — A kutak mélyek.
— Szeretem a zöld erdőt és a kék eget. — A szorgalmas
tanulók sokat tanulnak az iskolában. — A jó katonák en
gedelmeskednek kapitányuknak. — Bátrak-e a katonák?
— Az éles kések jól vágnak. — Élesek-e a kések? —
Milyen füzetet akarsz? Az újat és a tisztát. — A jókat
megjutalmazzák, a gonoszokat megbüntetik. — Kihez men
tél? — Jó barátomhoz mentem. — A fiatal emberek nem
mindig szerények. — Nagy Sándor vitéz hadvezér volt. —
Nagy Károlyt Aachenben temették el. — Milyen széket
akarsz? A magasat-e vagy az alacsonyát? — Milyen virá-
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Treizième leçon.
La comparaison.
Version.
La maison est haute. — L’ école est plus haute que la
maison. — L’église est le bâtiment le plus haut. — Paul
est appliqué, André plus appliqué, Pierre le plus appliqué.
-— Je donne le livre au meilleur garçon. —- Le plus pré
cieux trésor est la santé. — Le puits est profond, le fleuve
est plus profond. — Les plus longs jours sont en été, les
plus courts en hiver. — Notre cuisine est plus petite que
notre chambre. — J’ai deux frères: Pierre le plus âgé, Paul
le plus jeune. — En automne les jours deviennent plus
courts, et les nuits plus longues. — La plus belle fleur est
le rose. — Le meilleur fruit est le raisin. — Plus une langue
est ancienne, plus elle est simple. — La jeune fille apprend
beaucoup, mais le garçon plus encore. — Mon pantalon est
plus large que le tien. — Le lion est plus fort que l’ours. —
Le renard est l’animal le plus rusé. — L’aigle est plus beau
que le hibou.
Questionnaire.
Quand les jours sont-ils les plus longs?
Quand les nuits sont-elles les plus longues?
Qu’est-ce qui est le plus haut, la maison ou la tour?
Quel est l’ animal le plus rusé?
De qui est le meilleur devoir?
Qui est le plus sévère, le père ou la mère?
Quelle est la plus belle, Marguerite ou Jeannette?
Où trouvons-nous les plus belles fleurs? le meilleur
fruit? etc.
Thème.
A fiatal fiú erősebb mint a fiatal leány. — A város
nagyobb mint a falu. — Páris nagyobb és népesebb mint
Budapest. — Magyarország termékenyebb Ausztriánál. —
Tanítóitok szigorúabbak mint a mieink. — Az oroszlán erősebb
a tigrisnél. — Két fivérem van, az egyik szorgalmasabb
mint a másik. — A tenger mélyebb a folyóknál. — Nyáron
a nappalok hosszabbak és az éjjelek rövidebbek. — A legjobb
gyümölcs a körte és a szőlő. — A legerősebb állat az
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Lecture.
L'automne.
L’automne s’approche. De jour en jour nous voyons
le soleil se lever plus tard. Les jours deviennent de plus
en plus courts et les nuits de plus en plus longues. La
journée est encore assez chaude, mais les matinées, les soirées
et les nuits sont déjà très fraiches. Les fleurs, dont le dé
licieux parfum remplissait l’air pendant l’été, se fanent et se
dessèchent. Le feuillage des arbres jaunit et tombe à terre.
Voici le temps de la récolte. En automne nous cueil
lons les pommes rouges et les poires; d’autres fruits
mûrissent aussi maintenant, tels que les noix, les noisettes,
les pèches et les prunes. Nous mettons de côté pour l’hiver
les fruits récoltés.
Voici aussi la joyeuse vendange; les raisins ont mûri.
Maintenant on fait les tonneaux et les cuves, et grands et
petits s’en vont aux vignes. Les laborieux ouvriers rem
plissent de grappes les hottes et les seilles. Ils foulent les
grappes de raisin récoltées dans une cuve et ensuite les écra
sent au pressoir. Quelle joie procurent la récolte et la ven
dange aux petits et aux grands!
Les champs et les bois sont muets et déserts. Les
oiseaux de passage sont allés dans les contrées plus chaudes;
on n entend plus les joyeuses chansons dans la forêt. De temps
en temps seulement on entend le croassement d’ une corneille
ou d’un corbeau. Ici et là encore, un cultivateur laboure
ses terres et sème du blé pour l’année suivante.
Quatorzième leçon.
Les noms de nombre.
Version.
L’élève a dix livres, cinq cahiers et trois plumes. —
Combien Paul a-t-il de livres? Treize. — Dix et sept font
dix-sept. — Vingt-cinq et huit font trente-trois. — Qua
rante-deux et neuf font cinquante et un. — Trois de huit
restent cinq. — La chambre est longue de quatre mètres et
Corrigé de la petite grammaire hongroise. 2
18
Questionnaire.
Combien font 5 et 7? 9 et 8? 25 et 30?
Combien reste-t-il si de 19 on soustrait 8?
Combien font cinq fois six? six multiplié par 9?
Quatorze divisé par deux?
Quel âge as-tu?
Quel âge a ta sœur?
A quelle heure te lèves-tu?
A quelle heure commence l’école? etc.
Thème.
Kilencz és nyolcz az tizenhét. — Tizenhét és nyolcz az
huszonöt. — Negyvenből tizennyolcz az huszonkettő. —
Hatszor hét az negyvenkettő. — Nyolczszor kilencz az het
venkettő. — Kilenczszer tíz az kilenczven. — Francziaország-
nak harminczkilencz millió lakosa van, Magyarországnak
tizenkilencz. — Ez a tíz könyv harminczöt frankba kerüL
— Hány éves vagy? Tizenöt éves vagyok. — És bátyád?
Huszonhárom éves. — Hány éves nagyatyád? Nagyatyám
hetvenöt éves. — Hány órakor jött? Hat órakor jött.
— Hány órakor fogunk az iskolába menni? Két órakor. —
Három év óta vagyok Francziaországban. — A magyarok
ezer év előtt Európába jöttek. — Eötvös József született
1813-ban és meghalt 1871-ben. — A magyarban kétféle
igefaj van. — Kertünkben négyféle almafajunk van.
— 19 —
Quinzième leçon.
Les noms de nombre (suite).
Version.
Béla est le premier, André le quatrième et Paul le
dixième dans la classe. — Béla IV régna de 1235 à 1270.
— Mathias Premier régna de 1458 à 1490. — Le 15 Mars
1848 est un jour mémorable dans l’histoire des Hongrois.
— Quand a-t-on couronné roi François Joseph? -— Le
8 Juin 1867. — Quelle heure est-il? Neuf heures et demie;
midi moins le quart; neuf heures moins cinq minutes. —
Quand es-tu né? Le 27 Octobre 1856. — Un quart et deux
quarts font trois quarts. — Quatre quarts font un entier.
— Noël est le 25 Décembre. — Déjà pour la deuxième
fois il a été chez mon père. — Tout homme est mortel. —
Tout le monde sait bien la leçon. — Il a acheté beaucoup
delivres. — U y a quelques poissonsdans l’ étang. — Il a
reçu peu d’argent de ses parents; moi, j ’en ai reçu encore
moins. — Tu as déjà mangé assez de pommes.
Questionnaire.
Quel est le quantième d’aujourdhui ?
Quel était le quantième d’hier?
A quelle heure te promènes-tu?
A quelle heure travailles-tu?
Combien font trois quarts et cinq quarts?
Combien de dixièmes y a-t-il dans un entier?
Quand commence le printemps? l’été? l’automne?
l’hiver? etc.
Thème.
Bátyám harmadik az osztályban. — Henrik mindig az
utolsó. — Február a második hónap; huszonnyolcz napja
van és szökőévben huszonkilencz. — Tizennegyedik Lajos
1643-tól 1715-ig uralkodott. — Harmadik Nápoleon meg
halt 1873-ban. — Deák Ferencz született 1803-ban októ
ber 17.-én. — Arany János meghalt 1882-ben október 22.-én.
Hány órakor jött? Félháromkor jö tt; háromnegyed három
kor; félegykor. — Hány órakor indul a vonat? A vonat
kilencz óra húsz perczkor indul. — Négy ötöd és hat ötöd
az kettő. — Január elseje Újév napja. — Mindegyik évszak
nak három hónapja van. — Az összes tanulók nem dolgoz
nak az iskolában. — Több szegény mint gazdag van. —
2*
20
Lecture.
Le moineau et le cheval.
Le Moineau: Tu as beaucoup d’avoine, tu es bien rassasié,
à ce que je vois; ne voudrais-tu pas m’en donner,
mon bon ami? Deux ou trois grains ne font pas
beaucoup, et il t’en restera encore assez pour demain.
Le Cheval: Je le veux bien, approche; dans la mangeoire,
il y en a assez pour toi et pour moi.
Le petit moineau. y vole et tous deux gaîment
mangent et vivent en paix.
Mais vient l’été, les mouches et les abeilles bour
donnent en foule; leurs piqûres laissent au cheval à peine
un instant de repos. Mais le moineau savait ce que c’est
que le savoir-vivre: il soulageait le cheval en prenant
toutes les mouches. Paul Gyulai (né en 1826).
Seizième leçon.
Le pronom.
Pronoms personnels et réfléchis.
Version.
Moi, j ’écris, toi, tu lis. — Nous, nous apprenons, vous,
vous jouez. — Lui aussi chante. — Nous aussi, nous dessi
nons. — Oh, malheureux que vous êtes ! — Le facteur lui
a apporté quatre lettres. — Tu ne me commandes pas. —
Ce n’est pas à nous qu’il a apporté des livres, mais à eux.
— Te connait-il? Il ne me connaît pas, mais il connaît
mon frère. — Connais-toi toi-même! a dit un sage de la Grèce.
— J’apporte moi-même le livre. — J’apporte le livre pour
moi. — Mon ami hier s’est refroidi. — Les vêtements de
ma mère sont toujours simples, comme elle Test elle-même.
— Nous nous regardons dans le miroir des eaux de l’étang.
— Je dépense plutôt mon propre argent que celui des autres.
— A-t-il apporté le livre avec lui? — Souvent nous nous
nuisons à nous-mêmes. — Moi avec un autre, nous avons
regardé le jardin. — Regardez-vous dans la glace. — Faites-
vous vos devoirs seul? Je les fais toujours seul. — Beau
coup de gens n’ aiment à parler que d’eux-mêmes. — Mon
21
Dix-septième leçon.
Pronoms démonstratifs.
Version.
Ce maître enseigne bien. — Cette école-là est grande.
— Cette chaise-ci n’est pas haute. — Ces livres-ci sont
chers. — Ces gants-là sont beaux. — Nous ne jouons pas
avec ces garçons-ci. — Ces élèves-ci apprennent dans le
22
Dix-huitième leçon.
Pronoms interrogatifs et relatifs.
Version.
Qui est dans l’école? Qui a écrit cette lettre? A qui
donnes-tu le livre? Qui le soldat sert-il? Qui vois-tu? Je
vois mon ami. — De qui as-tu reçu cet anneau? Mon
grand-père me l’a donné. — Qu’y a-t-il au grenier? Du
foin et de la paille. — Qu’y a-t-il dans la terre? Dans
la terre il y a de l’or, de l’argent, du fer et du charbon.
— Qu’écris-tu? J’écris mon devoir. — J’ai deux livres:
lequel veux-tu? — Comment est le lion? Le lion est brave
et fort. — De quelle maladie souffre-t-il? Il souffre de la
goutte. — Quel morceau de pain faut-il? Un morceau
aussi gros que celui que tu as donné à Jean. — Comment
vous sentez-vous? Bien, je vous remercie; mieux qu’hier.
— Où coule la Tisza? Où se jette le Danube? Dans quelle
direction est Vienne? A l’orient de Paris. — Le garçon
que le maître a puni, s’est mal conduit. — Le mendiant
à qui ma mère faisait si souvent l’aumône est mort. — La
tour dont le coq est de métal est la plus haute de la con
trée. — On récompense les soldats qui combattent brave
ment. — Combien de livres as-tu achetés? Autant que j ’en
avais besoin. — As-tu retrouvé le cahier que tu as tant
cherché?
Questionnaire.
Où est Debreczen?
Quelle est la ville la plus grande, Budapest ou Ko
lozsvár?
Quel est le lac le plus profond, le Balaton ou le Fertő?
D’où viens-tu? Où es-tu né? Où demeurent tes pa
rents?
Qui est appliqué? Qui est paresseux? etc.
Version.
Ki megy az iskolába? Ki vagy? Barátjának fivére
vagyok. — Kicsoda ez az ember? Kit látott? Kinek adta
ezt a czeruzát. — Kié ez a ház? — Mit akar? — Mit ír?
Levelet irok apámnak. — Két könyvem van; melyiket akarod
olvasni? — Milyen szép ez a város! — Mitől félsz? — A
gyermekek, kik jól dolgoznak, meg vannak jutalmazva. —
A házak, melyeket ott lent látsz, szomszédságunkban vannak.
24
Dix-neuvième leçon.
Pronoms indéfinis.
Version.
On ne bavarde pas à l’école. — On se bat dans la rue.
— On joue bien dans ce théâtre. — On applaudit les bons
acteurs. — On rit à la comédie. — Souvent on pleure au
théâtre. — On croirait qu’il est malade. — J1 n’est pas
bon de jouer avec le feu. — Il a dit quelque chose, mais
je n’ai pas compris. — N’importe quand vous veniez, nous
vous verrons toujours avec plaisir. — Quelqu’ un frappe à
la porte. — J’entends du bruit. — Personne ne joue avec
lui. — Cet homme ne nuit à personne. — 11 n’a rien dit.
— Je n’ai rien dit non plus. — Nous savons tous que la
terre tourne. — Il voit tout, il entend tout. — Il nous
aime tous. — 11 les a tous reçus avec plaisir. — Jamais
je n’ai vu un tel homme. — N’importe où tu le cherches,
tu ne le trouveras pas. — Tout garçon appliqué aime à
apprendre. — Avec qui que ce soit que vous parliez, par
lez à haute voix. — Je n’aime ni l’un ni l’autre. — L’un
est beau, l’ autre est laid.
Questionnaire.
Quand viennent-ils tous?
Les vois-tu tous?
Vois-tu tout? A-t-il tout avoué?
N’est-il nulle part?
Où rit-on? où pleure-t-on? où joue-t-on?
Avec quoi n’est-il pas bon de jouer?
Thème.
Jól mulatnak ebben a szinházban. — Sokat nevetnek
ebben a darabban. — Ez a szinész Cidnek a szerepét ját
szotta, ez a színésznő Chimenenek a szerepét játszotta. —
Ha a színházba megyünk, mulatunk. — Ott szép darabokat
látunk. — Sohasem tudunk mindent. — Valaki jött; leve
let hagyott. — Senkisem tudja a leczkéjét. — Senkisem
csinálta feladatát. — Megirod-e a leveledet? Nem irom meg.
— Én sem. — Szomszédod sem jött. — Sem én, sem te
25
Vingtième leçon.
Le verbe.
Version.
Qu’est-ce que ton père donne au mendiant? Mon père
donne du pain au mendiant. — Le maître te fait cadeau
de ce livre. — Quel cadeau as-tu fait à ton ami? J’ai
donné à mon ami pour sa fête quelques beaux livres. —
Qui écrira une lettre? Paul écrira une lettre. — Qui écrira
les deux lettres? Pierre écrira l’une, Paul écrira l’autre.
— Qu’est-ce que tu as perdu? J’ai perdu mon couteau et
ma montre. — Pourquoi n’as-tu pas répondu à ma question?
Je n’ai pas répondu, parce que je n’ai pas compris la
question. — Qu’est-ce qui lit le journal? Ma mère le lit
maintenant, mon père l’a déjà lu, mon frère le lira ce soir.
— Les oiseaux ont chanté dans la forêt. — Le rossignol
a bien chanté, mais maintenant il ne chante plus. — Quelle
chanson ont chantée les garçons? Les garçons ont chanté
l’ Appel de Vörösmarty. — Qu’ordonnez-vous? — Que dessi
nez-vous? Je dessine ces fleurs. — Qui cherches-tu? C’est
toi que je cherche. — Qui aimes-tu? Je t’aime, mais j ’aime
aussi mes parents. — Il apprend aussi celui qui instruit
les autres.
Questionnaire.
Qui est-ce qui lit? Qui est-ce qui lit le livre?
Qui est-ce qui écrit? Qui est-ce qui écrit le devoir?
Qui est-ce qui creuse? Qui est-ce qui creuse la fosse?
Qui est-ce qui répond? Qu’a-t-il répondu? Que ré
pond ra-t-il?
Qui est-ce qui a perdu son couteau?
Qui est-ce qui lui a nui?
Où vit le moineau, l’alouette? etc.
Thème.
A madár repül. — A madarak repülnek. — A fecske
fészkét tavaszkor rakja. — A csalogányok az erdőben énekel
nek. — Atyám szép könyveket adott nekem ; órát is ajándé
kozott. — A kertész mély árkot ásott. — Leveleket írt
27
Vingt-unième leçon.
Version.
Au commencement Dieu créa le ciel et la terre. — Et
Dieu dit : que la lumière soit et la lumière fut. — Et Dieu
vit que la lumière était bonne et Dieu sépara la lumière et
les ténèbres. — Et Dieu nomma la lumière jour et les
ténèbres nuit. — Et Dieu acheva le septième jour l’œuvre
qu’il fit, et il bénit le septième jour et le sanctifia parce
qu après cela il cessa tout son ouvrage. — Les ténèbres
avaient duré trois jours. — Au temps de Noé l’eau couvrit
toute la terre.
J’ai noté tout ce que j ’avais vu. — J’ai brûlé tout
ce que tu avais vu autrefois. — Le peintre avait fait un beau
tableau.
Questionnaire.
Que Dieu créa-t-il au commencement?
Que Dieu dit-il?
Comment Dieu nomma-t-il la lumière?
Comment nomma-t-il les ténèbres?
Pourquoi Dieu bénit-il le septième jour? etc.
Thème.
Hét nap alatt teremté Isten a világot. — Isten látá,
hogy a világosság jó volt; elkülönité a világosságot a sötét
ségtől. — Isten nevezé a világosságot napnak; és nevezé a
sötétséget éjnek. — A madarak röpülének. — A fecskék
tavaszkor építék fészkeiket. — A kertész mély árkot ásott
vala. — Leveleket írt vala barátjainak. — Jól felelt vala
kérdéseimre. — Sok szerencsétlenséget tapasztalt vala. — Ez
a festő sok képet festett vala, de nem adta el vala őket.
— Megértette vala ezt a kérdést? Én nem értettem vala
meg. — Mindig megtanulta vala leczkéit. — Csodáltam
vala ezen franczia festőnek szép képeit.
28
Lecture.
Chant patriotique.
1. Je suis à toi, à toi, ma patrie! Cœur et âme; Qui
aimerais-je, si je ue t’aimais pas?
2. Mais je ne le dis à personne, je ne le crie pas: que
tu es ce que j ’ai de plus cher dans le monde entier.
3. En cachette je suis tes pas, toujours fidèlement; non
pas, comme l’ombre suit le voyageur, seulement par
le beau temps.
4. Mais comme l’ombre grandit quand le soir s’approche:
mon chagrin grandit quand il commence à faire nuit
au dessus de toi, ma patrie.
Alexandre Petőfi (1823— 1849).
Vingt-deuxième leçon.
Le présent du subjonctif et l’impératif.
Version.
Vive le roi! — Mon père a dit que j ’attende mon
frère. — Le maître veut que nous parlions toujours à haute
voix. — Ne bâtissons pas des châteaux en Espagne. — Le
maître a commandé que le domestique se lève. — Le père
désire que ses enfants ne lisent que de bons livres. —
Apportez une cruche de vin, du pain et des fruits. — Que
la servante allume la lampe. — Que Dieu le frappe! —
Courez à la poste et rapportez deux timbres. — Ecrivez
l’adresse sur l ’enveloppe. — Conduisez-nous au bois de la
ville. — Donnez un morceau de savon et une serviette. —
Donne ici la craie. — Ecris bien tes devoirs! — Ne ré
pondez pas à ces garçons. — Permettez que nous vous
fassions une visite demain matin. — Donne la main droite.
— Parlez-vous hongrois? J’en sais assez pour me faire com
prendre d’ une façon intelligible. — Parlez hongrois avec
moi. — Comment dois-je prononcer ce mot? — Ouvre la
fenêtre, que je puisse moi aussi regarder au dehors. — Que
le monde voie que nous pouvons nous tenir sur nos pieds. —
Essayons, nous aussi. — Donne ici le livre; que je le lise
aussi. — Il désirait que je me hâte dans mon travail. —
Faites le lit et allumez le feu dans le poêle. — Dis tou
jours la vérité. — Ne bavardez pas à l’école. — Faites
attention à nos paroles. — Oh, laisse-moi aller au combat.
Questionnaire.
Que veut le maître?
Que désire le père?
29
Thème.
A képviselők kiáltották: éljen Magyarország! éljen a
király! — A tanító akarja, liogy fennhangon olvassunk. —
Ne beszélj oly hangosan! — Ne fecsegjen az óra alatt, ha
nem figyeljen! — Ne nézzen ki az ablakon! — Nyisd ki
az ajtót és csukd be az ablakot. — Apám akarja, hogy
magyarul tanuljak. — A tanár mondta, hogy fivérem neked
adja a könyvet. — Anyám akarja, hogy nővérem 7-kor fel
keljen és 9 órakor lefeküdjön. — Mit kell, hogy kérdezzek
tőle? Mit kell, hogy írjak? Mit kell, hogy feleljünk. —
Add nekem a könyvet, hadd olvassak én is. — Hadd lássa
Európa, hogy mi is előre haladunk. — Akarja, hogy elkísér
jem és megmutassam Önnek házunkat? — Mondja a szol
gának, hogy hozzon kenyeret, bort és gyümölcsöt. — Fuss
a postára és hozzál nekem néhány bélyeget.
Vingt-troisième leçon.
L ’ imparfait, le parfait indéfini et le plus-que-parfait
du subjonctif.
Version.
Si je savais le hongrois, je lirais les poésies de Petőfi
et d’Arany. — S’il se levait de bonne heure, il apprendrait
mieux ses leçons. — Si je savais que son frère est chez lui,
je lui ferais dire qu’il vienne me voir demain. — S’il
parlait à haute voix, nous le comprendrions. — J ’écrirais
volontiers la lettre, si tu me donnais une plume et du pa
pier. — Si nous l’avions su, nous aurions agi autrement.
— Plus de travail n’aurait pas nui. — J’aimerais à lire
cette poésie. — Ce poète a écrit beaucoup de beaux vers;
si j ’avais le temps, je les lirais. — Si l’orateur avait parlé
plus haut, toute la Chambre l’aurait compris. — Je voudrais
bien lire ce journal tous les jours, mais je n’ai pas le
temps. — Mon père aussi aurait écrit, mais il n’était pas
avec nous. — Pourriez-vous me dire quel chemin conduit
à la ville? — Je pourrais le dire, si je voulais. — Je
serais heureux si l’élève apprenait bien. — Je ne crois pas
30
Vingt-quatrième leçon.
Infinitif, participes et gérondifs.
Version.
Il n’est pas beau de crier dans la rue. — Savoir des
langues étrangères est utile. — Entendre de bonne musique
est agréable. — Tout le monde aime les fleurs qui répan
dent un parfum. — L ’eau stagnante n’ est pas bonne. —
Le garçon eut peur du train qui roulait avec fracas. —
Nous vîmes le soleil qui se levait avec des rayons d’or. —
L’hôte attendu est venu. — J’attends demain des amis que
j ’aime. -— Mon ami est un homme très expérimenté. —
32
Questionnaire.
Comment dansent les jeunes filles?
Comment as-tu signé cet écrit?
Comment est venu le garçon?
Pourquoi le magasin est-il fermé?
Pourquoi la note n’est-elle pas payée?
Comment est le soleil couchant?
Comment est le soleil levant?
Comment est l’eau stagnante?
A combien monte la somme à payer? etc.
Thème.
Szégyen nem tudni hazájának nyelvét. — Az álló víz
egészségtelen. — A lenyugvó nap bíborvörös volt. — Heggel
négy órakor néztük a felkelő napot. — Igen szeretett ba
rátaim hozzánk jöttek ; két hétig fognak maradni. — A
magyar korona féltett kincs. — Ez hamisított levél. —
Három ajánlott levelet kaptam. — Ebben a házban három
bútorozott szoba kiadandó. — Barátomnak a kölcsönzött köny
veket vissza adtam. — Ezek a levelek másolandók. — Ezek a
leczkék megtanulandók. — Ez a megtanulandó leczke. —
— Fivérem nevetve lépett a szobába. — A gyermek futva
33
Vingt-cinquième leçon.
L’auxiliaire lenni.
Version.
L’ élève a dix cahiers. — Paul avait cent livres. —
Mon frère aura une belle maison. — Athènes eut son apo
gée au 5e siècle. — Au 17e siècle il y eut beaucoup de
guerres. — Bientôt on aura la paix. — Si j ’avais beau
coup d’argent, je ferais beaucoup de bien. — Je ne veux
pas que mon fils ait beaucoup d’argent. — Ma mère
s’est trouvée mal ce matin. — Si vous êtes soldat, soyez
brave! — Je ne suis pas content de toi parce que tu n’as
pas appris tes leçons et qu’il y a beaucoup de fautes dans
tes devoirs. — J’étais heureux quand je vivais dans la mai
son de mes parents. — Mon frère deviendra soldat. — Le
papillon sort d’une chenille. — Ne sois pas envieux. —
Plût à Dieu que tu ne fusses pas si sot. — Le bois se
réduit en cendres s’il brûle. — Que Dieu soit avec nous!
— En 1841, la langue hongroise devint la langue officielle
à la place de la langue latine. — Es-tu malade depuis déjà
longtemps? — La semaine passée j ’étais déjà malade. — Y
aura-t-il un hôte à table? — Quand dois-je être ici? —
Je ne fus jamais fier et ne le deviendrai jamais. — Si je
devenais riche, je ferais souvent l’aumône aux pauvres. —
Si tu es vertueux, tu seras heureux. — J’ attends avec
peine que le printemps arrive; l’hiver a été très dur. —
Qu’il y ait eu de tout temps des plaintes, qu’il y en ait et
qu’il doive encore y en avoir, cela est naturel. — Alors il
n’y avait pas encore d’hommes en Hongrie! — Ce qui est
vaut mieux que ce qui sera. — C’est notre futur serviteur.
— La contrée étant marécageuse, nous ne resterons pas plus
longtemps. — Nous ne connaissons pas les choses passées,
comment voulons-nous connaître celles qui se feront! — La
pluie passée, on n’a plus besoin de manteau. — Dieu dit;
Que la lumière soit et la lumière fut.
Corrigé de la petite grammaire hongroise. 3
34
Questionnaire.
Combien de livres auras-tu?
Que me donnerais-tu si tu étais riche?
Qu’est devenu le garçon?
Qu’est-il advenu de lui?
Qu’est-ce qui a été appliqué?
Que devint Mathias?
Quand as-tu été malade?
Qui doit être avec nous?
Quand deviendras-tu appliqué?
Qu’est ce qui doit être général?
Qui doit être notre député?
Qui serait si sot? etc.
Thème.
Ez a tanuló nem szorgalmas; sohasem volt és nem is
lesz az. — Ha könyveink volnának, minden nap olvasnánk..
Apánk nem akarja, hogy sok pénzünk legyen. — Két hónap
óta beteg vagyok. — Január 15.-kén lesz az évfordulóm. —
Mi lett belőle? — Katona lett, de még nem kapitány. —
Alig várjuk, hogy jó idő legyen. — Ha szorgalmasabb vol
nál, szüleid megelégedettebbek volnának. — Az ókorban nagy
írók és nagy művészek voltak. — Ha mindig okosak lennénk,,
tanítóink megdicsérnének bennünket. — Boldog lennél, ha
megmondanám neked ezt az újságot. — . Olyan boldogtalan
volt, hogy megkönyörültünk rajta. — Kövessük az erény
útjait, hogy boldogok legyünk. — Nehéz koldulni, amikor
gazdagok voltunk. — Bánffy úr legyen a mi követünk!
— Ha képviselő lenne, nemsokára miniszter lenne. — Le
gyünk okosak! Legyetek bölcsek! Legyetek jók a kicsinyek
és gyengék iránt! — Igazságtalanok voltunk ezen ember
iránt. — Ha nagy leszel, meg fogsz érteni engem.
Vingt-sixième leçon.
Les verbes en ik.
Version.
Déjà depuis 10 ans j ’habite Budapest. — Où demeurez-
vous? Dans la rue Rákóczi. — Où demeurent vos parents?
Mes parents habitent Kolozsvár. — Ce garçon travaille
beaucoup, mais son frère joue toujours. — Que celui qui a
faim travaille! — Il n’y a qu’un niais qui se vante de&
35
Questionnaire.
Où demeure ton beau-frère? ton oncle? ton grand-
père?
Où demeurent tes parents?
Quand arrive le train?
Quand ton frère est-il arrivé?
Qui a faim? Qui a soif?
En quoi ce pays est-il riche?
De quoi s’étonne-t-il?
Qu’est-ce qui travaille avec application?
Quand la pluie tombe-t-elle fréquemment?
Quand la jeune fille se peigne-t-elle?
De quoi se réjouissent les parents?
Avec quoi l’enfant joue-t-il? etc.
Thème.
A Rivoli utczában lakom, nagybátyám á Lafayette ut-
czában lakik 68. szám alatt és unokafivérem a Henri-Martin
úton. — Ha ebben a negyedben laknék, gyakran megláto
gatnám. — A vonat 10 óra 40 perczkor érkezik. — A hajó
3/4 három órakor érkezett. — A gyermek 7 órakor öltöz
ködik és 8 órakor az iskolába megy. — Bízzunk igéreté-
8*
36
Vingt-septième leçon.
Le verbe passif et factitif.
Version.
De mauvais élèves ne sont pas loués. — Hier, toute
la journée, j ’ai fait chercher mon livre, mais on ne l ’a pas
trouvé. — Dieu soit loué, qui nous donne notre pain quo
tidien. — Mon frère serait loué, s’il était plus appliqué. —
Si vous êtes aimables envers tout le monde, vous serez aimés
et estimés de tout le monde. — Auparavant on se plaignait
du système d’éducation existant, parce que les enfants n’ap
prenaient pas assez; maintenant nous pouvons dire le con
traire, que nos enfants apprennent plus qu’ils ne peuvent com
prendre (Eötvös). — La ville avait un juge inique, qui faisait
amener devant lui par ses haïdouks tous les pauvres gens et,
là, les faisait travailler pour rien. — On cherche pour une
famille un maitre qui sache bien le français et l’allemand.
— Quand on demanda à Socrate: Que mérites-tu? Je
mérite, dit il, d’être entretenu aux frais de la nation. —
Le roi Béla IV est surnommé le second fondateur de la Hongrie.
— Il semble que le garçon mérita la punition. — Daignez vous
asseoir, on ne vous fera pas attendre longtemps. — Pro
fitez du temps, parce qu’il passe vite. — On s’habitue à
tout. — On a habitué mon frère à se lever tous les jours
à cinq heures. — L ’homme nait, travaille, manque souvent
du nécessaire, se plaint quelquefois, jusqu’à ce qu’enfin il
meure. — Il a séjourné trois mois à Venise. — Il arrive
que déjà à quatre heures il commence à faire nuit. — Le
poisson nage dans l’ eau. — La température change sans
cesse; tantôt il pleut, tantôt il fait des éclairs.
Questionnaire.
Qui est loué? qui est frappé? qui est attendu? qui
fait attendre?
Qu’as-tu fait chercher? qu’as-tu fait écrire? Qu’as-tu
fait faire au tailleur?
Comment est surnommé Árpád? Béla IV ? Coloman I
(le bibliophile)? Mathias Ier (le juste)? etc.
38
Thème.
Dicsértetem, ha jól dolgozom. — Dicsértessék az Úristen!
Házitanítót keresnek tízéves fiúhoz. — Bútorozott szobát
keresnek külön bejárattal. — A katona megsebeztetvén, a
kórházba vitteték. — Negyedik Béla a magyarok által máso
dik honalapítónak neveztetik. — Az athéni Aristides igaz
ságosnak neveztetett. — I. Lajos az Anjou-házból a magyar
történetíróktól Nagynak neveztetik. — A házba visszatérek,
mert váratom. — A várt vendég tárt karokkal fogadtatik.
— A lusta tanuló atyjától megbüntetteték. — A tolvaj a
bíró elé vezettetett, elítéltetett és börtönbe vettetett. — Ügy
látszik, mindig panaszkodik. — Hol van atyád? Pihen. —
A jóléthez könnyen szokunk. — Tetszik Önnek ez a ruha?
Nagyon tetszik nekem. — Gyakran történik, hogy a jók
megbüntettetnek és a rosszak megjutalmaztatnak. — Nem
megyek ki most, mert esik és villámlik. — Felmondattam
vele leczkéjét, hogy jól tudja. — Mindenütt kerestettem,
de nem találták. — Öltözetet csináltattam magamnak; nem
drága.
Vingt-huitième leçon.
Verbes pronominaux. — Verbes impersonnels.
Version.
Le mendiant se tient devant la porte. — Le maître
était debout auprès du tableau noir. — Nos chevaux ne se
fatiguent pas vite. — Il a à peine travaillé un peu qu’il
est déjà fatigué. — La feuille est immobile si le vent ne
l’agite pas. — Pierre, l’ année dernière, était un mauvais
élève, mais maintenant il se corrige. — Il n’est pas permis
en classe de toujours se retourner. — Il se prépare à la
carrière du professorat. — Les parents sont heureux si
leurs enfants étudient bien. — Non loin de la ville s’élève
une haute montagne. — Pendant toute sa vie il s’est occupé
de la langue et de la littérature hongroises. — Le peuple
se rassemble déjà. — Les garçons se lavent souvent en
été. — Ici tout le monde se plaint. — Les oiseaux s’éloi
gnent déjà parce qu’il fait froid. — Il ne se souvient ni de
ses parents, ni de ses amis. — La pluie tombe, les nuages
•descendent. — En été il fait souvent des éclairs et du
tonnerre. — Il fait déjà nuit; rentrons à la maison. —
Quand le jour commence à poindre, les oiseaux chantent. —
Il fait de la rosée; il y a des gouttes de rosée sur les
39
Questionnaire.
Qu’est-ce qui se fatigue vite? Qu’ est-ce qui se corrige?
Qu’ est-ce qui se meut? De quoi t ’es-tu réjoui?
Pourquoi ne faut-il pas se dépêcher?
Qu’est-ce qui s’élève hors de la ville?
Qui se souvient de nous?
De quoi s’occupe le garçon?
Qu’est-ce qui se lave?
Pourquoi se plaint-il ?
Quand le roi s’éloigne-t-il?
Quand pleut-il souvent?
Quand commence-t-il à faire nuit?
Quand fait-il nuit de bonne heure?
Qu’arrive-t-il si les garçons n’obéissent pas? etc.
Thème.
Fivérem gyorsan kifárad. — A tanító nem akarja, hogy
a tanulók hátraforduljanak. — Ez a tanuló nagyon rosszul
viselte magát, de most javul. — A kö nem mozdul, ha va
laki nem mozdítja. — Örül, hogy a vakáczióban szép utat
tesz. — Ha nagyon sietnek, hibákat ejtenek. — Minden
nap ugyanarra a padra ül. — Budapest napról-napra szé
pül. — Mivel foglalkozik? — Természetrajzzal foglalkozik.
— Mindig panaszkodik, de ok nélkül. — Távozom, de nem
sokára vissza fogok térni. — Őszkor gyakran esik az esső.
— Télen négy órakor sötétedik. — El fogunk utazni, ami
kor hajnalod ni fog. — Mondanák, hogy nincsen megelégedve.
— Majdnem minden nap menydörög.
Lecture.
En haut et en bas.
L’aigle, de son nid qu’il avait posé au sommet d’un
chêne qui s’élevait jusqu’aux nuages, regardait avec pitié
comme le nid du petit rossignol pliait à la moindre brise
sur un buisson bas et comme la mère soucieuse tremblait
à ce moment. — Petit fou, lui dit-il, pourquoi ne viens-tu
pas dans mon voisinage? Ici, tu pourrais être en sûreté.
40
Saine philosophie.
C’était un jour serein d’été et l’hirondelle, gazouillant
gaîment, volait haut dans l’air plein de douceur. Mais
bientôt au loin le ciel tonna et à mesure que les nuages
s’approchèrent, l’hirondelle vola de plus en plus bas, jusqu’à
ce que, à la fin, elle toucha presque la terre. — Petite
âme, lui dit le moineau, que le mauvais temps peut amener
à une telle humiliation et à un tel changement! Tandis
que le philosophe reste le même par tous les temps! Mon
ami, répondit l’hirondelle, c’est un faux philosophe et un
sot que celui-là; savoir s’adapter au temps et aux circon
stances, voilà la première philosophie. André Fày (1786— 1864).
Vingt-neuvième leçon.
Les particules.
Version.
Les chevaux ont traversé le fleuve à la nage. — Nous
avons traversé la forêt. — Regarde dans la maison et dis
à ton ami que nous l’attendons ce soir. — Je reconnais
ma faute, mais il est déjà trop tard. — Il ne veut jamais
reconnaître ses fautes. — On a recouvert notre maison avec
des tuiles. — Avec quoi recouvrira-t-on l’église? — Pierre
a déjà attelé les chevaux: nous allons partir à l’instant. —
Il a fermé la porte et ouvert la fenêtre. — Ouvre la
fenêtre et ferme la porte. — Il ne consent pas au marché.
— Il a beaucoup travaillé dans sa vie, mais maintenant il est
fatigué. — Hier Pierre et Marie se sont mariés. — Cette maison
n’est pas à vendre. — Qui a vendu sa maison et son jar
din? Notre voisin. — Qu’est-ce que l’avare a enfoui dans
le jardin? Il a enfoui de l’argent, mais les voleurs l’ont
vu et, pendant la nuit, ont déterré le trésor. — Quel crime
a-t-il commis? — Il a déchargé son fusil, mais il n’a pas
atteint le gibier. — Lève-toi et mets tes bottes! — Ce pays
s’est révolté. — Que reste-t-il encore? — Il a laissé une
grande fortune. — Je ne sais pas comment il est arrivé à
41
Questionnaire.
Qui a traversé le fleuve à la nage?
Qui a traversé la forêt?
Qui a regardé dans la maison ?
Qui reconnait ses fautes?
Avec quoi a-t-on couvert la maison ?
Qui a attelé les chevaux?
Qui s’est fatigué au travail?
Qui vendra la maison?
Qu’est-ce que l’avare a enfoui?
Qui a déchargé son fusil?
Qu’a-t-il laissé en mourant? etc.
Thème.
Kocsisunk már befogta a lovakat, azonnal elutazunk. —
— Add vissza nekem a könyvet, amelyet neked kölcsönöz
tem. — Vissza fogom neked adni holnap. — Atyám eladta
házát és kertjét. — Elismerte hibáit. — Nyisd ki az ajtót
és csukd be az ablakot. — Fivérem tegnap kelt egybe ba
rátom nővérével. — A fösvény elásta kincseit. — Atyám
lőtt a nyúlra, de elhibázta. — Nagy vagyont hagyott hátra.
— Megtanulod leczkédet, de nem tanulod alaposan. —
Dobd ki ezt a követ az ablakon. — Gazdagon megajándé
kozta. — A tanító megdicsérte tanítványait, mert jól meg
tanulták leczkéiket. — Megengedi, hogy elmenjek? — Meg
kapta már könyveit? — A tanító mindent jól megmagyaráz,
de a tanulók gyakran nem hallgatják. — Elérte czélját. —
Atyánk megtiltja nekünk, hogy virágokat szakítsunk ker
tünkben. — Ne jer többé vissza! — Hol szállunk át más
vonatra? írd le ezt az oldalt! — Le fogom másolni holnap.
Bocsáss meg ellenségeidnek! — Összecsapta kezeit.
42
Trentième leçon.
Auxiliaires de mode.
Version.
Le garçon ne veut pas obéir. — Je voulais aller chez
mon ami, mais mes parents ne l’ont pas permis. — Si Paul
voulait se promener, je l’accompagnerais. — Ne voudriez-
vous pas me dire le secret? — Lui aussi voudrait ap
prendre le français. — Si j ’avais voulu, j ’aurais pu avoir
le livre. — Le prisonnier voulut se sauver, mais on le
rattrapa. — M’est-il permis de vous demander quelle heure
il est? — Il n’est pas permis au garçon de jouer, s’il doit
étudier. — Puis-je écrire? — Il faut que tu gagnes de
l’argent, si tu veux vivre. — Mon père a dû partir, mais
ma mère est à la maison. — Puis-je vous demander ce jour
nal? — J’ai besoin d’un livre, de papier et d’une plume.
— 11 aurait fallu que tu le dises plus tôt. — Il te faut
montrer bon visage. — C’est vous, et non pas moi, qui
auriez besoin de savoir cela. — Il ne convient pas à un
homme comme il faut de crier dans la rue. — Il convient
de ne dire toujours que du bien des autres. -— Qu’il vous
suffise de savoir que nos amis ont toujours été des hommes
honorables. — Je vois avec peine que ton fils ne s’est pas
encore corrigé. — Aujourd’ hui je ne peux pas encore écrire
les lettres, parce que je suis occupé. — Je ne peux plus
lire, parce qu’il commence à faire nuit. — Je n’ai pas pu
voir mon ami. — Je n’ai pas pu lui dire que demain nous
ne pouvions pas partir. — Nous n’avons pas pu lui parler,
parce qu’il n’était pas encore chez lui. — Je ne peux pas croire
que les dieux soient jamais venus sous figure humaine parmi
les hommes. — Le pouvoir peut nous corrompre, le men
songe peut nous calomnier. — Nous ne pouvons pas arriver
à Budapest avant sept heures. — Pouvez-vous nous montrer
maintenant le musée de peinture? — Je ne peux pas voir
eet homme. — Si ses parents n’ étaient pas riches, il pour
rait demander l’aumône. — Le bruit a été perceptible. —
Etant encore jeune, il peut encore se corriger. — Le maître
peut l’avertir, il n’y fait pas attention. — Tout citoyen peut
être élu député. — Veuillez prendre patience!
Questionnaire.
Que veux-tu écrire?
Que veut-il lire?
43
Trente-deuxième leçon.
Yerbes irréguliers (suite).
Version.
Le chasseur tire sur le gibier. — Mon frère a tué cet
animal. — Faire une sottise n’est pas difficile. — J’ai fait
une grande sottise en lui confiant le secret. — Les vête
ments chauds préservent notre corps du froid. — La loi
présérve l’homme de beaucoup de maux. — On a blâmé l ’élève
à cause de sa mauvaise conduite. — Où Pierre s’est-il
caché? Au grenier. — Le vent souffle de l’est. — Depuis
longtemps déjà il n’a pas soufflé un vent aussi fort qu’au-
jourd’hui. — Il tourne son manteau du côté d’où souffle le
vent. — Ce garçon a beaucoup grandi en deux ans. — Ces
plantes ne croissent que sous des climats chauds. — Les
saules croissent très rapidement. — Comment vous appelez-
vous? On m’appelle Etienne. — Comment appelle-t-on
cela en hongrois? — Si vous fumez beaucoup de cigares,
vous aurez bientôt le vertige. — Pourquoi ne viennent-ils
pas chez nous? Aujourd’hui ils ne le peuvent pas, parce
qu’ils ont beaucoup à faire. — Déjà depuis longtemps je
ne suis pas venu dans ce village; on m’a à peine reconnu.
— L ’enfant pleure, si on lui fait du mal. — On tisse ce
drap dans une fabrique hongroise. — Le chasseur décharge son
fusil, le tisserand tisse, le soldat combat. — Ce soldat a
déjà eu beaucoup de duels. — Il appelle un maître, il vient
un serviteur. — Si je t’appelle, tu ne viens pas. — Venez
jouer ! Viens avec moi à la ville ! — Advienne que pourra.
— La feuille ne remue pas s’ il n’y a pas de . vent. —
Il tourne comme la roue, il grogne comme l’ ours. —
Si je tourne beaucoup, j ’ai le vertige. — La douleur
martyrise le corps. — Pourquoi tourmentes-tu le chien?
— Comment va ta mère? Je te remercie, elle va déjà
mieux. — Je te conseille de lire attentivement les œuvres
47
Thème.
A nyúlra lőtt. — A vadászok gyakran lőnek a va
dászat alatt. — Apám több madarat lőtt. — Ez a katona
jól lő. — A tanító megrótta a tanulót, mert nem csinálta
meg a feladatát. — Hol bújtak el Péter és János? — A
konyhában bújtak el. — Ez a kapitány vitézül harczolt. —
A szél északról fúj; hideg van. — Kell, hogy védekezzünk
a szél ellen. — A levélhordó még nem jött. — Nemsokára
megérkezik a tavasz és mehetünk a falura. — Jöjj velem t
— Jöjjön ebbe a terembe ! — Cézár mondta : Jöttem,
láttam, győztem. — A szúnyogok szívják a vért. — Sziva
rokat vagy szivarkákat szí? — Ez a gyermek sír, mert
megverték. — Ebben a gyárban vásznat és gyapjút szőnek.
— Hogy hívnak? Péternek hívnak. — Az orvost kell hi
vatni. — Nyáron csépelnek. — Tanácslom, hogy sokat olvass.
— A szolgák söprik a szobákat. — Sohasem kell kínozni
az állatokat, mert úgy éreznek, mint mi. — Hogy érzi
magát ma nagyapád? Köszönöm, jobban érzi magát, mint
tegnap. — Végezd előbb ezt a munkát, azután elmehetsz.
— Add kölcsön nekem ezt a könyvet! — Nem adhatom
kölcsön, mert szükségem van rá. — Pénzt kölcsönöz
barátjaitól. — Ez a tiszt minden nap lovagol a Városliget
ben. — Az emberek letérdepelnek a templomokban. — Ne
térdepelj ezen ember előtt.
Lecture.
Appel.
A ta patrie sois fidèle inébranlablement, ô Magyar;
elle est le berceau qui t’a soigné, elle sera le tombeau qui
te couvrira.
En dehors d’elle, il n’est pas de place pour toi dans
ce grand monde ; que la main du sort te bénisse ou te
frappe, tu dois y vivre, tu dois y mourir.
C’est la terre où tant de fois a coulé le sang de tes
pères; c’ est la terre à laquelle dix siècles ont attaché tous
les noms sacrés pour nous.
Ici luttèrent pour la patrie les héroïques soldats d’Á r
pád; ici les bras d’Hunyade ont brisé le joug de l’esclavage.
Liberté! Ici on a agité tes drapeaux ensanglantés; ici
sont tombés les meilleurs d’entre nous pendant les longs
combats.
Et au milieu de tant de désastres, après tant de dis
cordes, une nation, diminuée mais non brisée, vit dans ce pays.
Et, c’est à toi, grand monde, patrie des peuples, quelle
crie bravement : «Mille ans de souffrances demandent la vie
ou la mort».
Il n’est pas possible que tant de cœurs aient versé leur
sang en vain et que tant d’âmes fidèles se soient brisées dans
la détresse pour la patrie.
Il n’est pas possible que la raison, la force et une vo
lonté si sainte se consument en vain sous un poids de ma
lédiction.
11 doit encore venir, il viendra un temps meilleur,
après lequel soupire une fervente prière sur les lèvres de
milliers d’hommes.
Sinon, elle viendra, si elle doit venir, la mort majes
tueuse, où, lors des funérailles, une contrée nage dans le sang.
Et des peuples environneront la fosse où cette nation
sera engloutie, et des yeux de millions d’hommes des larmes
de deuil jailliront.
A ta patrie sois fidèle inébranlablement, ô Magyar!
C’ est elle qui te donnes la vie, et si tu tombes, elle te
couvrira de ses mottes de terre.
En dehors d’elle, il n’ est pas de place pour toi dans le
grand monde; que la main du sort te bénisse ou te frappe,
c’est ici que tu dois vivre, c’est ici que tu dois mourir.
Michel Vörösmarty (1 800— 1855).
49
Trente-troisième leçon.
Verbes irréguliers en ik.
Version.
Cet homme ne fait que manger, boire et ne fait rien.
— Mon frère hier a peu mangé. — Que l’homme mange,
boive, mais seulement avec mesure. — Depuis longtemps
déjà je n’ai pas mangé une aussi bonne viande. — Les en
fants mangent volontiers la pâtisserie. — Quand il fait
chaud, je bois beaucoup d’eau. — Paul a bu tout le vin.
Pourquoi bois-tu cette mauvaise eau, quand tu as du bon
vin devant toi? — Buvons à ta santé! — Je mangerais
bien quelque chose, parce que j ’ai faim. — Le garçon
boirait du vin, si on lui en donnait. — Manger beaucoup,
boire beaucoup, fait mal. — Le cocher fait manger et boire
les chevaux. — Mon père a ordonné qu’il fasse immédiate
ment manger et boire les chevaux. — Celui qui ne tra
vaille pas ne doit pas manger. — Mange cette soupe ; si tu
ne la manges pas, tu n’ auras pas autre chose. — Cet
homme a gaspillé toute sa fortune à boire. — Ce soir je
ne mangerai pas beaucoup. — Quand nous jeûnons, nous
mangeons ordinairement du poisson. — La paysan qui est
à son aise, mange un poulet tous les dimanches. — Ces
garçons ont mangé des fruits qui n’étaient pas mûrs; main
tenant ils sont malades. — Je regrette que vous mangiez
si peu. — Je prévoyais qu’il boirait toute sa fortune, car
déjà, dans sa jeunesse, il aimait le vin. — J ’ai cueilli des
fleurs dans le jardin. — L ’oiseau vole de branche en branche,
la chanson vole de bouche en bouche. — On a livré du
bois. — Je ne peux pas manger plus, mais je peux encore
boire. — Il faut que tu manges encore cela. — Il faut
que vous buviez ce verre de vin. — Il faut que le malade
boive souvent de l’eau amère. — Bois, le monde ne durera
pas éternellement.
Questionnaire.
Que mange le garçon? Que mangez-vous?
Quand mangez-vous?
Combien de litres de vin ont-ils bu?
Quand mangeront-ils?
Qui doit manger cette viande ?
Qui aurait mangé cette pomme?
Corrigé de la petite gram m aire hongroise. 4
50
Thème.
Egész nap semmit sem evett. — A gyermek keveset
eszik. — Edd ezt az almát és ezt a körtét. — A gyerme
kek szeretik a kalácsokat. — Nővérem szereti a czuk-
rot. — Megette az egész vagyonát. — Ritkán isznak vizet
ebben a városban, mert egészségtelen. — A munkások sok
pálinkát isznak. — Ez a koldus semmit sem evett két nap
óta. — Igyunk barátunk egészségére. — Atyám megtiltotta
nekem, hogy igyam ebből a borból. — Innék bort, ha volna.
— A bor nagyon drága ebben az országban; mindenki sört
iszik. — Egyék még egy keveset ebből a sültből. — Nem
élünk, hogy együnk, hanem eszünk, hogy éljünk. — A
gyermek sír, mert nem adnak neki semmit sem enni. —
Sajnálom, hogy nem ihatik ebből a borból. — Az ember
nek kell enni és inni, de mértékletesen. — Kell, hogy ezt
a vizet igyad. — Kell, hogy a gyermek megegye levesét.
— Kell, hogy siessek, nehogy elkéssem. — Vannak em
berek, kik egész vagyonukat elisszák. — Ha éhes vagy,
egyél, ha szomjas vagy, igyál! — Etetik a teheneket és az
ökröket. — A lovakat naponként itatják. — Akarnék enni
és inni.
Trente-quatrième leçon.
Yerbes irréguliers en (suite et fin).
Version.
Enfants, ne dormez pas trop, car trop de sommeil fait
du mal. — Il faut réveiller les dormeurs. — Renard dor
mant ne prend pas de poulets. — Quelques animaux dor
ment tout rhiver. — Depuis longtemps déjà je n’avais pas
si bien dormi. — Mon père malade est dans son lit. —
Hier, je ne me suis couché qu’à minuit. — La ville
d’ Eger est située dans l’une des vallées de la Mátra. —
Budapest est situé sur le Danube. — Couche-toi à temps,
parce que celui qui se couche tard, se lève tard. — Cet
avare marchande toujours. — Je jure par le ciel, par lo
Dieu du ciel, que je ne te maltraiterai pas. — Le roi a
juré de défendre la constitutijjgggJ^Je ne sais pas pourquoi
51
Questionnaire.
Qu’est-ce qui dort longtemps?
Qu’est-ce qui marchande toujours?
Qu’est-ce qui jure?
Pourquoi ne se couche-t-il pas?
Pourquoi est-il fâché contre toi?
Pourquoi ne veut-il pas se reposer?
Quand agissons-nous bien?
De quoi cet homme peut-il-se vanter ?
A quoi s’efforce-t-il?
Pourquoi ne se contente-t-il pas de ce qu’on lui a
donné?
Qu’est-ce qui s’enrichit? Qui soupçonne-t-il?
Pourquoi cette ville n’augmente-t-elle pas?
Qu’a-t-il l’intention de faire?
De quoi se souvient-il? etc.
4*
52
Thème.
Nem alszom soha nappal. — Feküdj le és aludj, mert
fáradt vagy. — Atyám nem tudott aludni ma éjjel. —
Aludj gyermekem és ne sírj. — Ez a fösvény mindig al
kuszik. — Esküszöm, hogy az igazat mondom. — Becsüle
tére esküdött. — Miért haragszik barátod rám? — Harag
szik, mert rosszul cselekedtél. — A természet soha sem
nyugszik. — Ez az ember nem nyugodhatik. — Ma dé
lután nyugodni fogunk. — Dicsekszik vagyonával. — Soha
sem kell dicsekedned pénzeddel. — Törekszik, hogy osz
tályának első tanulója legyen. — Ha törekedtél volna, meg
gazdagodtál volna. — Evek óta betegszik. — Szomszédunk
nem elégszik meg avval, amije van, pedig meggazdagodott
nehány év óta. — Gyanakszom Péterre. — Melegedjünk a
tűz mellett. — Nagyapám nagyon megöregedett két év óta.
— Mit szándékozott tenni ma délután? — Szándékszom
sétálni az erdőben. — Emlékszik-e ezen város szépségeire?
— Emlékezzél a jótéteményekre. — Szíveskedjék elvenni
ezt a könyvet. — Tessék széket venni és leülni. — Tessék
nekem egy pohár vizet adni.
Lecture.
Chant national.
Debout, hongrois, la patrie t’appelle! C’est le moment
maintenant, ou jamais! Devous-nous être esclaves ou libres?
C’est la question, choisissez! Par le Dieu des Hongrois
nous jurons, nous jurons de ne plus être esclaves!
Jusqu’à présent nous fûmes esclaves, nos ancêtres nous
ont damnés; eux qui ont vécu et sont morts en hommes libres,
ils ne peuvent reposer tranquillement dans une terre asser
vie. Par le Dieu des Hongrois nous jurons, nous jurons de
ne plus être esclaves.
C’est un vaurien, un misérable celui qui, maintenant,
s’il le faut, n’ose pas mourir, pour qui une vie de misère
est plus précieuse que T honneur de la patrie. Par le Dieu
des Hongrois, nous jurons, nous jurons de ne plus être
esclaves.
L ’épée est plus brillante que la chaîne, elle orne mieux
le bras, et nous pourtant, nous avons porté la chaîne!
Viens à nous, notre vieille épée. Par le Dieu des Hongrois,
nous jurons, nous jurons de ne plus être esclaves.
53
Trente-cinquième leçon.
Les Prépositions (Postpositions).
Version.
La racine de l’arbre est sous terre. — Le garçon s’est
caché sous la table. — Il est sorti de dessous la table. —
La suspension n’est pas encore accrochée au dessus de la
table. — Qu’y a-t-il là au dessus de la glace? — Il n’y
a rien au dessus, il y a quelque chose en dessous. — Qui
vient là du côté du jardin? — Mon père vient avec un de
ses amis. — Pourquoi ne t’en vas-tu pas d’auprès du puits?
— Je ne veux pas m’asseoir près de Pierre, parce qu’il rit
toujours. — Le ruisseau coule près de notre jardin. — Pour
quoi te sauves-tu de moi? — Je me sauve parce que j ’ai
peur de toi. — Connaissez-vous cet homme qui marche de
vant nous? — Oui sans doute je le connais; il demeure au
dessus de nous au deuxième étage. — La route du côté
de Pozsony est meilleure que du côté de Vienne. — Paul
est au milieu des garçons; il est allé auprès d’eux, parce
qu’ il veut jouer. — Vous regardez de derrière le mur. —
L ’ennemi s’est retiré devant notre armée. — De grands
arbres s’élèvent autour de nos maisons. — Ils se sont assis
autour du poêle, pour se chauffer. — Derrière notre mai
son il y a le jardin. — Szeged est la plus grande ville
après Budapest. — Au bout de trois ans vous saurez bien
le hongrois. — Pendant l’année scolaire, nous n’ allons pas
à la campagne, mais nous y passons les vacances. — Mon
père est à Paris depuis quelques semaines. — Cette cou
tume est en vigueur depuis des siècles. — Sans livre je ne
peux pas apprendre. — D’après l’inscription, l’ école a été
construite au 18e siècle. — Sous la grande Révolution plu
sieurs Etats ont combattu contre la France. — Soyons
miséricordieux envers les pauvres. — A cause de l ’abon-
54
Questionnaire.
Qu’y a-t-il sous la table? sur la table?
Qui est devant la porte? Qui vient devant la porte?
Qui est derrière le poêle?
Qu’y a-t-il à côté de la maison?
Qui veut venir près de moi?
Dans combien de temps viendras-tu?
Depuis combien d’années habite-t-il Paris?
Sans quoi l’homme ne peut-il pas vivre?
Contre qui combattons-nous?
Pour quelle raison est-il venu ici? etc.
Thème.
Nem látják a fák gyökerét, mert a föld alatt van. —
Búj el az asztal alá. — A lámpát az asztal fölött fel
függesztették. — Fivérem iskolatársaival játszik. — Ezt a
tollat választottam több közül. — A régi népek között a
görögök voltak a legműveltebbek. — Elbújt a fal mögött.
— A ház mellett van a kert. — Mellettem állt. — Mellém
állt, de nem maradt sokáig. — A vadászok menekültek az
oroszlán elől. — Három nap múlva elutazott. — A táncz
közben rosszul lett. — Ez a tanár sok kisérletet tett három
év óta. — Tegnap óta beteg. — Megkaptad a levelet,
amelyet elküldtem barátommal. — Nem élhetünk levegő
nélkül. — Ez a katona megbüntettetett a kapitány parancsa
szerint. — A magyarok századokon át harczoltak a törö
kök ellen. — Barátaink mindig jóakaróak voltak irán
tunk. — Barátunk nem jött betegsége miatt. — Fivérem
helyett jöttem. — Elhoztam a franczia könyvet a német
könyv helyett. — Győr városa Dunántúl fekszik. — Nem
gazdag fivéréhez képest.
Trente-sixième leçon.
Les adverbes.
Version.
Le maître a richement gratifié son fidèle domestique.
— Tu as agi très prudemment. — Mon ami habite mainte-
55
Questionnaire.
Qui est ici? Qu’y a-t-il là?
Qui vient ici? Qui va là?
Quel temps fait-il dehors?
Que faisons-nous dans la journée?
Que faisons-nous à midi? Qu’est-ce qui se lève de
bonne heure?
Que devons-nous toujours faire?
Qui s’est comporté bravement?
Comment écrit cet écrivain?
Qui sait le mieux la leçon, toi ou lui?
Qu’est-ce qui vole haut? etc.
56
Thème.
Péter jól ír, Pál jobban ír, de Ernő legjobban ír. —
Fivéred nagyon okosan cselekedett. — A szolga gazdagon
megjutalmaztatott gazdája által. — Az aggastyán lassan ha
lad, a fiatal ember gyorsan halad. — A sas nagyon magasra
repült. — Jól rajzoltad ezt az arczképet. — Vitézül visel
kedett a veszély pillanatában. — Menjünk lassabban, a gyer
mek nem követhet bennünket. — A golyó szörnyen meg
sebezte. — Barátom németül és angolul beszél; Budapestre
utazott, hogy megtanuljon magyarul. — Oly szerencsétlenül
esett, hogy eltörte karját. — Nagybátyám mindig apánként
bánt velem. — Figyelmeztesd barátságosan és mondd neki,
hogy illedelmesen viselkedjék. — Sehogysem vagyok mege
légedve vele. — Holnap valószínűleg falura megyünk. —
Nézz keveset feljebb. — Ez a város jobban bent fekszik. —
Keresték mindenütt és nem találták seholsem. — Délelőtt
dolgozunk, délután sétálunk. — Ritkán jön hozzánk. —*
Rendesen délben jön és gyakran estig marad. — A magyar
közmondás így szól: aki korán kel, aranyat lel.
Lecture.
A ma patrie.
Je n’ai plus de nouvelles de toi, ô ma belle patrie,
couverte de forêts et de vallons. — Maintenant que
je suis loin de toi, maintenant je t’aime vraiment. Jamais
je ne peux oublier cette vallée, cette montagne et dans mon
cœur surgit le désir languissant: de pleurer dans ton sein!
Rien, rien ne remplace ni n’ efface ton image, Je de
mande au fleuve rapide: Pourquoi t’a-t-il quittée? Je de
mande à l’oiseau qui s’élève dans les airs: Le bocage est-il
peut-être desséché qu’il te quitte aussi, comme les hommes
infidèles?
Je songe: Le nuage pesant est le voile de deuil de ton
visage: je songe: le souffle plaintif est une flûte champêtre
connue. Je songe: le parfum de fleurs est peut-être ton
soupir qui implore; et le feu des pâtres cette petite étoile
sur le côté de ton glacier bleu . . .
Je te vois dans toutes les images qui de loin volent
vers moi; sur la plaine unie, à tous les pas, l’ombre de tes
cimes flotte autour de moi. Une mère, faisant ses adieux,
57
Trente-huitième leçon.
Titres. Formules de politesse. Abréviations.
Version.
Sa Majesté le Roi viendra à Budapest le 19 du mois
courant. — La Reine Elisabeth était née en Bavière et
mourut en Suisse. — L ’archiduc Joseph a organisé l’armée
nationale hongroise. — Le roi a reçu les Membres de la
Chambre des Seigneurs et ceux de la Chambre des Dépu
59
Questionnaire.
A qui donne-t-on le titre de N agy méltóságos? de
Méltóságos ?
Qui appelle-t-on Nagyságos?
Que fut le comte Széchenyi?
Que fut le baron Eötvös?
Qu’ était Madame Petőfi?
Comment appelait-on le premier empereur romain?
Qui fut le premier roi de Hongrie? etc.
Thème.
0 Felsége a király f. h. 15.-én a fővarosba érkezett.
A királyné és a herczegnők a színházba mentek, ahol Szig
ligeti egy darabját játszották. — A nagyherczegek elki-
sérték a királyt a hadgyakorlatokra. — A herczegnők lovon
mentek Gödöllőig. — Széchenyi István gr. Bécsben született
1791 szept. 27.-én. — Eötvös József br. kétszer volt vallás-
és közoktatásügyi miniszter; először 1848-ban és másodszor
1867-től haláláig (1871). — Néhány híres regényt írt. —
A Zichy grófok családja nagyon régi. — Andrássy Gyula
60
Lecture.
A mon fils.
Dieu soit loué! le soir est revenu, avec la journée
d’aujourd’hui a diminué la misère terrestre. Au dedans
brûle une bougie solitaire, orpheline; au dehors l’obscurité
nous guette. Pourquoi si longtemps, mon fils, restes-tu
éveillé? Ton lit mou et chaud est fait; croisant bien tes
deux petites mains, fais ta prière, mon cher enfant.
Tu le vois, je suis un pauvre poète: je ne te laisserai
donc pas beaucoup en héritage, mais, au moins, un nom sans
tache, un mérite sans valeur auprès de la foule. Dans le
jardin printanier de ton cœur innocent je veux, à cause de
cela, cultiver la religion. Croisant bien tes deux petites
mains, fais ta prière, mon cher enfant.
Car la foi est un trésor précieux pour le pauvre, elle
lui apprend à souffrir et à espérer: et, jusqu’à ce que la
tombe le recouvre, il doit toujours souffrir et espérer. Oh,
si en moi aussi, comme autrefois, vivait la foi dans toute sa
pureté, ce serait une consolation pour moi. Croisant tes
deux petites mains, fais ta prière, mon cher enfant.
Bientôt, si le travail t’appelle, au milieu de tes com
pagnons de jeu . . . . cela peut être de bonne heure . . . .
et que tu serves d’instrument à un étranger, qui peut-
être t’aimera . . . . mais comme une marâtre! que la
grâce de la foi soit un baume au milieu de tes larmes
muettes et cachées. Croisant bien tes deux petites mains,
fais ta prière, mon cher enfant.
Quand tu verras et quand tu sentiras le malheur que
porte l’épaule de l’homme honnête, la vertu, la raison foulées
61
Trente-neuvième leçon.
Formation des substantifs et des adjectifs.
Version.
Il faut que nous aimions, que nous cultivions et que
nous honorions notre langue maternelle. — L ’amour d’une
mère ne connait pas d’obstacles. — La clé de la porte cochère
est dans ma poche. — Au parlement on a délibéré long
temps sur ce projet de loi. — Nous ne pouvions assez
admirer ce beau paysage d’automne. — Mon anniversaire
tombe le 27 octobre. — Mon père, le jour de son anni
versaire, a reçu de ses enfants, comme souvenir, un bel en
crier. — Le lion a une crinière. — La liqjine est plus pe
tite que le lion. — Le pêcheur, de sa barque, jette le
filet dans l’eau; quelquefois, il pêche à la ligne. — Il y
eut un empereur allemand que l’on appela Henri l’ Oiseleur.
— L ’imprimeur imprime les livres que les auteurs écrivent.
— Le jardinier plante des arbres fruitiers qui donnent des
fruits savoureux. — Le forestier s’ est promené dans la forêt
avec son fusil. — Ce petit arbre est frêle, il a besoin d’un
tuteur. — Dans les flots du Balaton beaucoup d’hommes
ont déjà péri. — La récompense sera au plus digne. —
L’empire austro-hongrois a deux résidences: Vienne et Bu
dapest. — On appelle l ’infanterie la reine des batailles. —
La beauté de ce pays nous a ravis. — Je n’aime pas à
■être dérangé pendant ma lecture. — On ne peut enchaîner
62
Questionnaire.
Que fait le pêcheur? le mineur? le jardinier?
Que fait l’écrivain? lé maître? le critique?
Comment Homère appelle-t-il Héra? Eos? Achille?
Comment appelle-t-on les habitants de Kolozsvár?
les feuilles qui paraissent à Paris, à Londres, à
Budapest?
Quand tombe le jour de ta fête? Quand tombe l’anni
versaire de naissance de ta mère? etc.
Thème.
Az anyai szeretet nem engedi, hogy lássa gyermekei
hibáit. — Csodáltuk ezen festő őszi tájképeit. — Születésem
napja június 8.-án van. — Atyám nevenapja e hónap 15.-én
van. — Az oroszlánnak hatalmas sörénye van. — Láttunk
egy nőstényoroszlánt és magzatait. — A bányászok éjjel
nappal dolgoznak a bányákban. — Az erdőőr őrzi az erdőt
és a vadat. — Széchenyi István gr. egyik müvének a czíme:
Hitel. — A halált a tenger hullámaiban találta. — Ez az
asszony kiváló szépségű. — A könnyülábú Achilles legyőzte
Hectort. — A fehérkarú Júnó a trójaiak ellensége volt. —
A kékszemü istennő segítette Ulyssest. — A nagylelkű király
megbocsátott ellenségeinek. — A szerencsétlen embereknek
nincsenek barátjaik. — Minden elemi iskolában olvasni, írni,
számolni tanítanak. — A négylábú állatok a földön élnek;
a halak a vizben élnek. — A párisi újságok ritkán beszélnek
Magyarország ügyeiről. — A tokaji bor általánosan ismere
tes. — Ezt a gyermeket atyai gonddal nevelte fel. — Fi
vérem sokáig beteg volt; meggyógyult, de erőtlen. — Ez a
körte jóizü, de ez a szőllő még jobbizűbb. — Minden mon-
63
Thème.
Ez a gyermek könnyen megijed, a legkisebb zaj megi
jeszti. — Az emberek gyakran csalódnak. — Az ágak lesza
kadnak a fákról. — Szakitsunk néhány virágot, hogy csokrot
■csináljunk belőlük. — A Tisza a Kárpátokban ered. — Ez
a tanuló nagyon javult ebben az évben. — A tanár heten
ként javítja feladatainkat. — Mindig hátra fordul. — A
franczia szerzőket magyarra fordítjuk. — Több magyar író
lefordította Molière vígjátékáit és Hugo Victor költemé
nyeit. — A gyermek alszik most; az anyja elaltatta. —
Jó ágyba fektették a hol majd pihenhet, mert nagyon fáradt.
— A nagy út fárasztotta ki. — Mindig van valami keresni
valója; majd könyv, majd füzet az. — Sokáig ülve maradt
az ajtó előtt. — A vonat 12 óra tiz perczkor indul. — Ez
a város évről évre szépül. — Nem ébredek könnyen, kell,
hogy ébresszenek. — Ez az ember nem fut soha, lépdel. —
Két nap óta haldokol a nagy államférfiu; halála az egész
országra nézve gyász lesz. — Megszomorította szülei életét.
— Ezt a tanulót bátorítani kell, hogy dolgozzék. — Ebben
a csatában sok katona a lovaktól agyontapostatok. — A
rétek zöldülnek, a fák leveleket hajtanak; minden hirdeti a
tavaszt.
65
Lecture.
Proverbes.
Tout ce qui brille n’ est pas or.
Le nain n’ est toujours qu’ un nain, même s’il est monté sur
une montagne.
Va lentement, tu iras plus loin.
L’œil du maître engraisse le troupeau.
L’ bôte qui n’est pas invité, a sa place derrière la porte.
Il est beau de donner là où personne ne demande.
Le bon domestique trouve toujours quelque chose à faire.
Il est pins facile de faire une blessure que de la guérir.
Il vaut mieux questionner deux fois que se tromper une
fois.
Celui qui pose trop de questions ne donne pas volontiers.
Même le magasin rempli s’épuise peu à peu.
Il ne faut pas avoir peur, mais il est nécessaire de faire
attention.
On reconnaît l’oiseau à ses plumes, l’homme à ses amis.
Que celui qui n’a pas d’argent n’aille pas au marché.
La mauvaise renommée a des ailes pour voler, la bonne
trotte à peine.
Ne coupe pas l’arbre à l’ombre duquel tu reposes.
Celui qui creuse une fosse pour un autre y tombe lui-même.
Qui respecte les autres se respecte soi-même.
Un moineau aujourd’hui vaut mieux qu’ une outarde de
main.
A moi aujourd’hui,, à toi demain.
Le vent renverse le chêne, mais ne peut briser le roseau.
Ce à quoi Jeannot est habitué, Jean le fera aussi.
Un dommage éprouvé rend ordinairement les gens prudents.
Mieux vaut ce qui est que ce qui n’est pas.
Telle mère, telle fille.
Chacun est maître chez soi.
Une brebis n’est pas un troupeau.
On peut bien reposer à l’ ombre d’un vieil arbre.
Le secret renvoyé là où les verres s’entrechoquent.
Ne grimpe pas sur l’arbre et tu ne tomberas pas.
Une joie chèrement acquise se change vite en amertume.
Un serviteur échappé ne dit pas de bien de son maître.
Ne te fie pas à l’eau stagnante, à l’homme taciturne.
En visant le pigeon d’autrui, il a tiré sur le sien.
Corrigé de la petite grammaire hongroise. 5
66
J u le s G roos à P a ris .
Fcs. Cts.
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pour l’étude des langues modernes.
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Grammaire allemand© par Otto-Nicolas. 17. Éd......................................... 4 50
Corrigé des thèmes de la grammaire allemande par Otto-Nicolas. 6. Éd. 2 —
Petite grammaire allemande par Otto-Verrier. 9. Ed. . . . . . 2 50
Lectures allém, par Otto. I. p. 7. Éd.; II. p. 5. Éd.; III. p. 2. Éd. a 2 50
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Petite grammaire anglaise par Mauron. 6. Éd.................................. 2 50
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Conversations anglaises par Corkran-Bénassy. 2. Éd.......................... 2 25
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Corrigé des thèmes de la grammaire arabe par Armez...................................................... 3 50
Grammaire esp agn ole par Sauer-Serrano. 5. Éd.......................................... 5 —
Corrigé des thèmes de la grammaire espagnole par Sauer-Serrano. 4. Éd. 2 —
Petite grammaire espagnole par Tanty. 2. Éd.................................................... 2 50
Lectures espagnoles par Sauer-Rëhrich. 2. Éd................................................... 4 50
Grammaire g recq u e par C a p o s ................................................................................. 7 50
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Grammaire de la langue haoussa par S e id e l ................................................ 5 —
(Aussi s. 1. t. : Die Haussasprache. — The Hausa language.)
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Grammaire Italienne par Sauer-Tozza. 11. Éd.............................................. 4 50
Corrigé des thèmes de la grammaire italienne par Sauer-Tozza. 7. Éd. 2
Petite grammaire italienne par Motti. 4. Éd...................................................... 2 50
Chrestomathie italienne par Cattaneo. 2. Éd..................................... 2 50
Conversations italiennes par M o t t i ................................................... 2 25
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Lectures néerlandaises par Valette. 2. Éd......................................... 3 50
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Grammaire russe par Fuchs-Nicolas. 4. Éd..................................... 6 25
Corrigé des thèmes de la grammaire russe par Fuchs-Nicolas. 4. Éd. . 2 50
Petite grammaire russe par Motti. 2. Éd.......................................... 2 50
Corrigé des thèmes de la petite grammaire russe par Motti. 2. Éd................. 1
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Chinesisehe Konversations-Grammatik v. Seidel............................ 10 _
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Éditions A llem andes:
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Éditions Anglaises:
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French Conversation-Grammar by Otto-Onions. 13. Ed........................... 5 _
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Materials for transi. Engl. i. Germ. I. part by Otto-Wright. 7. Ed. 3 —
Key to Materials f. transi. Engl. i. Germ. I. b y Otto. 3. E d ..................................... 2 —
Germán Dialogues by Otto. 5. Ed................................................................................. 1 90
Accidence of the Germán language by Otto-Wright. 2. Ed. . . . 1 50
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Italian Dialogues by M o t t i ............................................................................................... 2 25
Japanese Conversation-Grammar by P la u t ...................................................... 7 50
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Russian Conversation-Grammar by Motti. 3. Ed.......................................... 7 50
Key to the Russian Convers.-Grammar by M otti. 8. E d.............................................. 2
Elementary Russian Grammar by Motti. 2. Ed................................................. 2 50
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Letture tedesche di Otto. 5. Ed......................................................... 2 50
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Chave da Grammatica francesa por Tanty-Vasconcellos. 2. Ed ..................... 2 —
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Cheea gramaticii francese de L e i s t ........................................................... 2 —
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Conversajpunï francese de Leist. 3. Ed.............................................. 2 25
J u les G roos à P a ris.
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Méthode Gaspey-Otto-Sauer
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Éditions R usses:
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Grammaire anglaise par H a u ff.................. ! 4 50
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Petite grammaire française pour Serbes par Petrovitcb . 3 —
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Éditions Espagnoles:
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Deutsch-Englisch 2 50 English-Russian . . 3 75
Deutsch-Italienisch 2 50 English-Spanish . . 2 50
Deutsch-Niederlândisch . . | 2 50 English-Swedish . . 2 50
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en 4 langues :
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