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FIN D’ETUDE
LICENCE FONDAMENTALE
EN GESTION
Sous le thème
Digitalisation bancaire
Science économique et gestion
Remerciement
Nous tenons à remercier Dieu.
Nous remercions également les membres de jury d'avoir porté d’intérêts pour cette étude et
qui nous ont accordé l’honneur de juger ce travail.
Nous remercie enfin toutes les personnes ayant consacré du temps pour répondre à nos
questionnaires, et toutes les personnes qui nous ont aidés de près ou de loin.
Merci infiniment
GAFA: Les "Big Four" inclut Google, Amazon, Facebook, and Apple
Liste
des figures
Liste de
tableaux
Tableau 1Le pourcentage et l'effectif des opinions des personnes à propos de la modification
de relation client........................................................................................................................41
Tableau 2 Le pourcentage des personnes qui voit qui voient que le contact humains est
essentiel.....................................................................................................................................45
Sommaire
Section 3 : Conclusion………………………………………………………………..45
Introduction
Selon ‘’ (Alphalives, 2001)’’La digitalisation est le procédé qui vise à transformer un objet,
un outil, un process ou un métier en un code informatique afin de le remplacer et le rendre
plus performant. La transformation digitale a commencé dès les débuts d'internet, le courrier a
été remplacé par les emails, les salons par des forums web, les magasins par des sites
ecommerce. Désormais nous connaissons la digitalisation plus large et plus performante
comme les caisses automatiques, les répondeurs automatisés, la communication via les
réseaux sociaux. La digitalisation est devenue un phénomène naturel qui combine l'apparition
d'internet et les avancées quotidiennes informatiques.
Il est difficile donc de voir le monde évoluer et se transformer sans les banques. Dans cette
optique, ce premier a vu l’émergence des banques qui se dématérialisent et connaissent un
bouleversement conséquent avec le temps. La transformation digitale est accompagnée par
des changements au niveau de la création, la transformation et la conservation des données en
format électronique.
De nos jours, il est difficile pour une banque de survivre face à l’évolution technologique que
le monde connait, et face la défiance que les clients portent envers le secteur bancaires pour
cela on doit construire la banque de demain on se basant sur les nouvelles technologies, les
banques sont obligées alors de réagir et donc de chercher de nouveaux outils pour réduire
leurs coûts et moderniser leur relation client afin de ne pas disparaitre (Se digitaliser ou
mourir) .
Actuellement, nous remarquons que le service bancaire est plus digitalisé que jamais,
comment se présente donc cette digitalisation des banques ? , quel sont les avantages qu’elle
apporte à ces dernières ? Existe-t-il des inconvénients à ce phénomène en parallèle ? Et face à
tout ça quels sont les enjeux que la banque est obligée à dépasser ?
Par conséquent le business model a connu des changements radicaux suite à cette
digitalisation.
Nous avons concentrés notre travail sur les métiers bancaires, la relation client et produits et
services bancaire, et comment ces derniers sont impactés par la digitalisation.
Nous cherchons donc dans notre travail à répondre à la problématique bien précise à savoir ‘’
Quel est l’impact de la transformation digital sur le business model bancaire’’
La structure du projet :
Nous allons ainsi travailler sur deux parties dans notre projet, la première se concentrera sur le
côté théorique et la deuxième traitera la partie pratique.
La première partie qui fait référence au cadre théorique, consistera en deux chapitres ; le
premier va traiter les généralités de la banque digitalisé : les avantages, inconvénients et
enjeux ; revue littérature. Le deuxième s’articule autour de l’impact de la digitalisation sur le
business model où nous nous sommes concentrés sur la relation client, les métiers bancaires,
et les services.
La seconde partie qui traite le cadre pratique du projet, traitera en parallèle deux chapitres ;
le premier qui traite l’étude quantitative divisé en trois sections : la méthodologie de
recherche, l’analyse des résultats et la conclusion. Le deuxième chapitre va traiter l’approche
qualitative de même divisé en trois sections : la méthodologie de recherche, l’analyse des
résultats et la conclusion.
Partie 1:FONDEMENT
THEORIQUE DE LA
DIGITALISATION
BANCAIRE
1-Définition : La banque digitalisé selon (Choukri, 2017) est définit comme suit ‘’ la
technique qui permet de passage de l’information analogique au numérique au moyens des
technologies de l’information, de sorte qu’elle puisse faire l’objet de traitements et d’échange
8
entre systèmes d’information via les réseaux numériques dans la banque et dans son système
d’informations, mais aussi avec les équipements personnels des clients’’
2-Aperçu historique : (Livre blanc, 2017) cite que ‘’Dès le début des années soixante-dix,
d’éminent professeures avaient déjà remarqué la standardisation des opérations bancaires et
l’automatisation de leur traitements. Ils avaient également observé qu’une part de plus en plus
importante des opérations bancaires revêtait une dimension internationale ce qui est expliqué
avec l’apparition du réseau SWIFT en 1977 jusqu’à l’arrivé de l’internet, et ce qu’il
aujourd’hui.’
Le même livre blanc annonce que ‘’Lorsque l’internet est apparu à la fin des années 90, il était
difficile d’imaginer à quel point l’internet allait bouleverser en profondeur l’écosystème des
entreprises et les habitudes des consommateurs. En quelques années, les banques – comme
d’autre industrie – ont vu leur ‘’business model’ ’être fortement impacté.
L’adjectif DIJITAL signifie ‘’qui se rapporte aux doigts’’. Il vient du latin digitus. ’’Doigt’’
(académie française). Au début, c’était le terme ‘’électronique’’ qui était fréquemment utilisé
pour désigner les nouveaux services liés à internet. On parlait donc de e-business pour
électronique business (e-travel, e-agence…) A partir de 2007 et le lancement du 1er IPHONE,
notre quotidienne devient ‘’digital’’. Le web franchit alors une nouvelle étape, avec l’arrivée
notamment des applications mobiles.’’
(Choukri, 2017) Ajoute ‘’On ne doit pas se contenter dans la définition de la banque digitale de
retenir l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (équipements et
connexions aux réseaux numériques); il faut y ajouter les usages en constante évolution,
notamment ceux issus de ce qu’il est désormais courant d’appeler les ‘’Fintechs’’ ou les
‘’Regtech’’. Des caractéristiques découlent de ces nouveaux usages : interactivités, agilité,
mobilité, collaboration, partage (sont notamment utilisées les techniques de BIG-DATA, les
medias sociaux). La relation sort des lieux clos habituels ou l’on contracte avec sa banque
pour s’effectuer à distance, à partir de chez soi ou de n’importe quel lieu ou la connexion est
possible, n’importe quand ! Mais ce n’est pas pour autant que les relations par voies
électronique sont exclusives de toutes présences physiques ; bien au contraire, elles se
développent de façons complémentaires. Ce qu’on l’appelle le digital tend vers le tout
numérique même si, pour l’instant, il faut parfois utiliser les canaux traditionnels comme
l’envoi postal ou la remise de documents sur support papier. La transition va encore durer
quelque année.’’
Revenons au document publié par (Livre blanc, 2017) Tout ça nous conduit à la définition de
la banque digitale qu’on a déjà insérer au-dessus.
Le digital a fait donc émerger un nouveau model bancaire : la banque C.I.A.S
Connectée
En donnant une liberté d’accès aux utilisateurs pour certaines opérations en ligne les banques
ont supprimé du temps qui coute pour libérer du temps qui coute pour libérer du temps qui
9
rapporte. Le conseiller peut ainsi se consacrer à des missions de conseils et de relation de
proximité. L’agence devient le lieu des services à valeur ajoutée
Intelligence
La menace de l’utilisation hyper-connecté et hyper-informé devient une opportunité pour les
banques qui détiennent beaucoup d’infos sur leurs clients. (BIG DATA) est un enjeu majeur.
Le but : cibler les besoins des utilisateurs pour leurs proposer les bons produits et générer des
revenus supplémentaires.
Agile
La digitalisation entraine des gains de productivité et une baisse des couts significative,
notamment par la mise en place de nouveaux moyens de paiement 100 % digitaux ou encore
la dématérialisation de certains documents. S’il fallait autrefois parapher et signer un dossier
de plusieurs dizaines de pages lors d’un crédit, aujourd’hui un seul clic suffit
Social
La crise financière de 2007 a accentué le manque de capital sympathie pour le secteur. Les
banques ont investi massivement les réseaux sociaux avec un enjeu simple, mais fort redorer
un blason quelque peu terni pour (re)conquérir les clients et collaborateurs de demain
Section 2: Avantages, inconvénients et enjeux de la digitalisation bancaire :
Afin de mieux améliorer nos connaissances dans ce sujet, il est important d’étudier ces
avantages, et inconvénients même s’il est difficile d’accepter que la digitalisation bancaire
avait des inconvénients, on va finir cette partie par l’étude des enjeux de la digitalisation
bancaire.
1-1 Gain de temps : les banques digitales assurent un gain de temps important. Avec un tel
établissement nous n’avons pas besoin de regarder les horaires d’ouverture des banques, ou de
faire la que aux guichets. En journée, en soirée, les weekends et même les jours fériés, nous
pouvons effectuer toute les opérations que nous souhaitons n’importe où (depuis le domicile,
le travail …) et dès que nous le souhaitons. Une banque digitale allie donc la rapidité et la
simplicité. Et tout cela parce-que le temps c’est de l’argent pour l’Homme.
1-2Frais bancaires réduits : Les frais bancaires des banques digitales sont beaucoup moins
importants que les banques traditionnelles, et certaines affichent même des frais nuls (frais de
gestion, de virement, de découvert …). Les banques digitales proposent des tarifs beaucoup
10
plus intéressants grâce à l’absence des agences physiques et permet d'avoir une remise jusqu’à
trois fois moins de frais que les banques classiques.
1-3Gestion simplifiée : Les banques en digitales misent sur une gestion 100% dématérialisée.
Cette gestion sur internet signifie donc que toute demande doit se faire directement en un
simple clic. Pour cela, les banques sur internet mettent à disposition de leurs clients des outils
simples à utiliser comme un espace personnel. Ce dernier est l’élément central depuis lequel
chaque client peut contrôler et gérer son compte bancaire à tout moment et de manière
totalement autonome. Les différentes opérations courantes (impression de RIB, historique des
opérations, commande de chéquiers…) peuvent également se faire depuis cet espace
personnel.
1-4Services uniques : En fonction de votre profil, budget et de la banque en ligne, nous
pourrons profiter des services supplémentaires : application pour smartphone, signature
électronique des documents, enregistrement des chèques en ligne…
Ces différents outils offrent une souplesse supplémentaire lors de la gestion des comptes en
banque. Ces services sont également un excellent moyen de comparer entre les différentes
banques digitales.
3-Enjeux : La banque est posée devant plusieurs défis afin de répondre aux attentes
clients.
11
3-1Penser client et non produit : chaque banque a dorénavant l’obligation de se positionner
comme un partenaire qui accompagne tout au long de la vie (événements familiaux, études,
projets, création de société, etc. …)
Dans cette relation, il faut penser au " client " et non au ‘’produit’’. L’objectif est de fidéliser
la clientèle en étant l’interlocuteur privilégie à chaque étape de son existence. Le conseiller
reprend alors toute sa place, avec un rôle accentué d’écoute et de conseil.
3-2Accès aux données : le deuxième enjeu est celui de l’accès aux données depuis n’importe
périphérique. De tels services supposent une profonde transformation des infrastructures
informatiques. Les données doivent être convertibles sous un format unique et accessible. 3-
3Cybersécurité : le rapport PWC sur la sécurité des données est explicite, les échanges des
données, l’évolution rapide des technologies et l’usage des téléphones mobiles par les clients
sont des défis majeurs pour la sécurité des services bancaires. Si le secteur n’investit pas
encore suffisamment pour se prémunir des risques, la situation est tout de même en phase de
changement.
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2-Deloitte : Julien Maldonato, Directeur Conseil Industrie Financière chez Deloitte France, en
charge des de l’offre de transformation digitale auprès des institutions financières explique
dans un revue de détails (ITESOFT) la transformation numérique au sein d’une banque doit
s’inscrire dans un plan stratégique plus large. Il ne faut pas faire du numérique pour du
numérique, le cabinet explique à ses clients que la transformation numérique n’est pas
suffisante cette dernière doit être accompagné des axes d’évolution stratégique à titre
d’exemple de la création de nouvelles activités, du lancement de nouvelles offres ou de la
refonte de modèle de distribution, la transformation numérique va épaler ces évolutions
stratégiques en apportant de nouveaux outils internes aux collaborateurs mais aussi de
nouveaux outils externes aux clients. La rapidité de la mise en place est très importante au
niveau de la pertinence, aujourd’hui il est raisonnable d’établir un plan en six semaines avec
une mise en place dans les 18 mois cela permet de bouleverser la manière de faire de la
relation client, ou un nouveau texte réglementaire qui va ouvrir ou fermer un marché. Après
que ce plan est établi, le cabinet recommande une démarche classique commençant par la
réalisation d’un diagnostic, le diagnostic permet d’établir avec précision ce que veut faire
l’entreprise, fixer les objectifs et de mesurer le chemin qu’elle aura à parcourir pour les
atteindre. Il permet de générer de nombreuses idées et peut être ouvert à l’ensemble des
collaborateurs de l’entreprise. C’est ce que le cabinet à fait avec une grande banque française
dans des séances de brainstorming autour de sa transformation numérique à tous les niveaux
de la hiérarchie.
La réalisation d’un diagnostic et suivi par des recommandations que le cabinet fait à ses
clients et enfin par un suivi de la mise en œuvre de ces recommandations.
Pour sélectionner les bonnes idées, concentrons sur ce qui n’est pas réalisable, en fonction du
cadre réglementaire, écartons ensuite celles offrant le plus de potentiel, selon différents
critères, comme coût/bénéfice cela est complexe en matière du numérique car il y a le coût de
développement du produit et services, mais aussi l’évolution qu’il requiert sur le système
d’information. Et les bénéfices ne sont pas toujours facile à évaluer, car le rythme d’évolution
technique du numérique est très rapide. Le cabinet conseille ses clients de prendre des risques,
il faut de temps en temps entrer dans des projets qui ont une chance d’échouer.
Une étape incontournable la dématérialisation des documents ces derniers ne sont pas des
documents à exploiter. Ensuite, il y a le ‘’ré-enchantement des interfaces ‘’. Il s’agit ici de
faire évoluer les outils en mettant de points d’honneurs à travailler sur l’ergonomie et la
valeur ajoutée de ses fonctionnalités. Dans ce domaine, l’une des grandes évolutions est
d’intégrer plus d’intelligence artificielle dans les services proposés aux clients. Cette IA va
par exemple être capable des conseiller sur tel ou tel produit, en fonction de leurs demandes.
Ce conseil ‘’automatisé’’ devrait prendre de l’essor et représente déjà une demande forte de
nos clients.
3-ITESOFT : Selon le même revue ‘’Devant un environnement changeant, et les exigences
qui s’accroissent et se différencier d’un client à un autre, les institutions financières reçoivent
toujours de document et d’information qui se porte utile d’obtenir une manière de gérer et
conserver ses documents afin de prendre des décisions éclairées. Pour ce faire, elles doivent
extraire toutes les données quel que soit le format t la source, immédiatement et sans erreur.
13
Le fonctionnement et les services des banques impliquent toujours plus d’intervenants et
d’interactions qu’il est nécessaire de fluidifier et de gérer en temps réel. Les parties prenantes
métier doivent ainsi traiter sans délai documents et données conformément aux règles de
gestion.
Entre le front-office (qui a fait l’objet d’importants investissements ces dernières années) et le
back-office subsistent encore des activités non numérisées et de nombreuses tâches
chronophages et à faible valeur ajoutée (comme la manipulation de justificatifs clients ou les
ressaisies d’informations entre applicatifs). Or l’expérience client ne sera meilleure que si les
collaborateurs disposent d’outils efficaces les accompagnants dans leurs métiers. La
suppression des tâches répétitives doit par ailleurs permettre de repositionner les gestionnaires
sur des activités à plus forte valeur ajoutée (relation client, réglementaire…).ces dernières
nécessitent le contrôle pour sécuriser les opérations et garantir le plus haut niveau de
conformité et de détection des risques.
La mission d’ITESOFT est de fournir les solutions et les technologies les plus automatiques
pour la transformation digitale sécurisée des processus ‘’data intensive’’ (caractérisés par une
masse croissante de document, d’informations et de données de tous types) et ‘’human
centric’’ (les collaborateurs étant au centre de sec processus).
C’est la raison pour laquelle Itesoft a développé des technologies de rupture intégrées dans
une plateforme sans équivalent qui apporte le plus haut niveau d’automatisation,
d’adaptabilité t de sécurité grâce à les trois piliers illustré au-dessous, cette plateforme
d’automatisation des processus digitaux constitue le socle d’applications métiers faciles à
développer et permettant de rendre plus intelligents, plus rapides et plus sécurisés des
processus .’’
Conclusion
14
La digitalisation bancaire est un processus qui permet aux clients de consulter leurs comptes
de manière sécurisée, de réaliser toutes les opérations bancaires quotidiennes telles que les
virements bancaires, paiement des factures à distance, etc. avec un simple clic et octroie aux
banques des chances d’élargissement des services proposés aux clients.
L’adoption du numérique ouvre de nouveaux horizons aux banques qui peuvent les aider à
innover leurs opérations , produits et services pour répondre aux exigences et aux conditions
de développement durable aussi pour répondre aux besoins des clients pour construire une
forte et solide relation banque client .
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Chapitre 2 : Transformation digital un véritable impact sur le
business model bancaire
Timmer à définie dans (Jean-Michel Sahut) le business model comme une ‘’structure pour les
flux de produits, services et informations incluant une description des différents acteurs du
modèle et de leurs rôles’’
(Tchibozo, 2017) Ajoute Le progrès technique qui inclut le business model à deux effets
conjugués:
– sur la façon de distribuer et de produire les services et d’organiser la relation client ;
– sur les possibilités d’accès du client aux services et aux marchés qui accélère
ladésintermédiation du secteur et
Ces progrès dont les premières formes remontent au tout début des années 2000 modifient
profondément les conditions de marché et l’exercice des métiers bancaires.
Le même ouvrage déclare que le progrès technique des business model se manifeste dans :
– l’émergence et le développement des banques en ligne ;
– le développement des services en ligne proposés par les banques traditionnelles ; – le
développement des acteurs non bancaires, Fintech et autres acteurs, proposant des services
et solutions bancaires innovantes. Re le marché à des acteurs non bancaires
Donc on va voir dans cette partie dans un premier temps les principes de la digitalisation des
documents qui repose principalement sur la signature électronique. Deuxièmement, on va
voir les opérations de paiement et la fonctionnalité de la banque en ligne. On va parler ensuite
des Fintechs ces derniers fait parties des nouveaux services digitaux.
1-Signature électronique
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pour chacune des actions critiques (y compris l’accès à la plateforme), une demande textuelle
est créée et signée à la volée par son acteur puis persistée par la plateforme pour parer à toute
future répudiation (en cas de litige).
Notons aussi que, sans la signature numérique, la dématérialisation perdra toute sa pertinence,
puisqu’on ne pourra alors dématérialiser que des documents sans valeur juridique.
Comment ça marche ?
Le mécanisme de la signature électronique repose essentiellement sur le principe du certificat
électronique. Cette dernière est composée d’un ensemble de fichiers dont une partie est
public, l’autre partie est privée.
La partie publique contient les éléments d’identification, Clé publique associée au certificat
ceci est utiliser pour décrypter la signature et la signature de ces éléments par l’autorité qui a
émis le certificat.
La partie publique du certificat est incorporée dans toutes les signatures numériques apposées
par ces certificats. C’est ce qui permet de vérifier les signatures numériques indépendamment
de leurs certificats.
La partie privée est destinée essentiellement à la création de la signature, cette ci n’est pas
transmise avec la signature, en fait elle doit être gardée secrète et protégée par le porteur du
certificat ?
Ces deux parties jouent des rôles complémentaires dans la génération et la vérification de
signature.
Selon (Karyotis, 2015) les banques sont tenues d'assurer un service de caisse à leurs clients
qui consiste à assurer la conservation des fonds déposés et le retrait des espèces, faciliter les
dépenses et l'encaissement des fonds et délivrer des moyens de paiement.
Revenons à (Tchibozo, 2017) qui ajoute que la banque a adopté afin d’harmoniser les règles
en matière de paiement électronique, en vue de garantir un accès équitable et ouvert au
marché des payements. Ces dispositions ont pour objectif affiché de permettre la mise en
place de services de paiement modernes, efficaces et bon marché et de renforcer la protection
des entreprises et des consommateurs dans le cadre d’un marché unique des services de
paiement. Selon le Parlement européen, cette directive bénéficiera aux consommateurs et aux
entreprises, notamment parce qu’elle:
– constitue un pas en avant sur la voie d’un marché unique numérique ;
– garantit des paiements en ligne plus sûrs et plus pratiques ;
– facilite l’arrivée de nouveaux acteurs ;
– permet l’entrée sur le marché de nouveaux services
L’objectif du service bancaire est d’encadrer les nouveaux acteurs déjà présents sur le marché.
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2-1 Prestataires de service d’information sur les comptes selon (Tchibozo, 2017) 13
C’est par exemple le cas des agrégateurs de données, qui sont des applications permettant
d’analyser, de centraliser et d’avoir accès partout et tout le temps à l’ensemble de ses comptes
bancaires. Ces applications ont besoin d’un accès aux comptes des utilisateurs.
2-3 Prérequis pour l’accès aux systèmes de paiement selon (Tchibozo, 2017) 13
La sécurité des paiements électroniques est fondamentale pour favoriser le commerce
électronique et rassurer les consommateurs. Le principe majeur est l’exigence de
proportionnalité entre les mesures de sécurité et le niveau de risque associé au service de
paiement. La sécurité est associée au souci de renforcer la protection des consommateurs.
L’utilisateur doit pouvoir choisir quel instrument de paiement il souhaite utiliser sans avoir de
frais associés à ce choix avec une responsabilité accrue du prestataire en cas d’opérations de
paiement non autorisées
Ajouter à cela l’émergence des acteurs non bancaire comme les Fintechs (on va parler d’elle
après) et les GAFA : Dans ce contexte, les nouveaux acteurs Gafas et autres acteurs de
l’internet comme Orange, maîtrisent avec une certaine avance la collecte de données et la
connaissance de leurs clients. Si l’on combine l’avantage que constitue leur base client, la
connaissance qu’ils en ont, à la force de frappe financière qu’ils représentent, il paraît clair
que les services bancaires sont largement à la portée de ces nouveaux acteurs de très grande
18
taille (la capitalisation boursière de Google ou Apple leur permettraient d’acquérir d’un seul
coup les 10 plus grandes banques européennes). Certains envisagent ou achètent des banques
ou des opérateurs bancaires, comme c’est le cas d’Orange qui se lance dans les services
financiers avec l’acquisition de Groupama banque. C’est une petite acquisition mais qui
permet de disposer d’une première plateforme technique indispensable et qui n’est pas facile à
créer de toutes pièces même pour un opérateur puissant.13
Selon (Tchibozo, 2017)La banque en ligne est conçue pour fonctionner par le biais de
smartphones et tablettes au moyen d’une application ou d’une interface internet.
Depuis quelque année, les opérateurs mobiles ont commencé à investir en ce sens, on va par
exemple Orange avec ses services Orange Money et Orange Cash.
Le développement de la banque en ligne prend deux formes différentes, la première par la
création et le développement d’opérateurs entièrement en ligne et la seconde par le
développement de services en ligne proposés progressivement à la clientèle par les banques
traditionnelles dans une approche multicanal ou omnicanal. Les opérateurs développent des
produits diversifié dégage en parallèle des avantages concurrentiels avec le déploiement des
moyens de communication électronique, les outils nomades comme les tablettes ou les
smartphones afin de conquérir les parts de marché significatives dans les ouvertures de
compte et plus progressivement dans les services bancaires de base et plus récemment dans le
crédit immobilier. Le potentiel de croissance de la banque en ligne est très important car
toutes les possibilités techniques et juridiques sont disponibles pour développer une offre de
produits et de services complète en ligne, y compris le conseil.
On cite parmi les services de la banque en ligne bien précisé dans (Choukri, 2017)
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3-2 Mise à disposition pour impression de relevés d’identité bancaire
Le RIB permet aux titulaires de compte de dépôt de communication à des tiers leurs
coordonnées bancaires dans le cadre des avis de prélèvement, des virements, etc. Ce RIB
contient un numéro qui permet d’identifier aisément non seulement le client, mais
l’établissement de crédit et le guichet qui tient le compte et facilite les traitements
informatiques et les relations interbancaires.
Il a été jugé que le RIB est un simple instrument d’identification et qu’il n’implique aucune
garantie de la part de la banque quant à l’existence de la provision d’un chèque émis par
client.
A ce titre, on peut considérer que la délivrance des RIB ne semble pas être réglementée. Le
fait de les mettre à disposition par voie électronique est donc envisageable sous la réserve de
garantir l’intégrité des informations qu’ils contiennent (par le biais d’un cachet électronique
par exemple)
20
Cet espace sécurisé devra être :
-Couvert par une convention de preuve adaptée
-Fiable (C’est-à-dire que la compagnie devra démontrer devant les juges qu’il lui est
techniquement impossible de supprimer des messages ou de prendre connaissance des
courriers)
-Respecter les exigences formulées par le code monétaire et financière
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Définition: Start-up qui innove avec une nouvelle dans le secteur financier. Exemple
permettre de regarder tous les comptes dans une seul application : permettre de faire des
paiements mobile, comparer les tarifs, faire du crowdfunding (Financement sans banque)….
La technologie un élément essentiel de la Fintech: Plusieurs révolutions technologique qui
permet d’affecter les Fintech par exemple : d’abord la révolution d’internet et mobile, la
révolution aussi des méthodes de calcul et des masses de données qu’il se peut être traité avec
des algorithmes de plus en plus puissants, et aussi ce qu’on appelle le ‘’Cloud computing’’
qui met à la portée de beaucoup plus des gens des techniques superficiel qui repose sur ‘’ le
stockage et l’accès aux données par l’intermédiaire d’internet plutôt que via le disque dur
d’un ordinateur’’.
Quels changements pour le consommateur ? : Le consommateur va avoir de plus en plus
accès à des services qui sont plus fluides pour lui, ils sont plus proches
C’est moins cher ? Évidemment, pour entrer sur le marché il doit être moins cher.
Une grosse concurrence pour les banques ? C’est une énorme concurrence, mais c’est un
concurrence qui est émulation pour le secteur, toutes les banques ont une application mobile,
ils ont tous développé des outils qui rends la finance en ligne beaucoup plus simple
Fintech, une finance avec plus de robots et moins d’humains ? La technologie sa permet
d’être plus performent, il faut la rajouter à ses processus là, et ça c’est l’objet de la
gouvernance des banques et puis aussi de la régulation.
Donc Les Fintechs selon (Tchibozo, 2017) qui sont le plus souvent des start-up développent
des services qui s’insèrent entre le client et la banque, en proposant une relation nouvelle plus
simple plus rapide, plus attractive et en créant de la valeur dans la relation. Le danger pour les
banques est d’être cantonné dans la gestion et l’exécution de produits standardisés
nondifférenciant. Toutefois l’usage des Fintech reste encore limité, les clients privilégiant les
services qui renforcent la sécurité des transactions. Pour les services les plus populaires
comme les agrégateurs de comptes, ils représentent encore moins de 10 % de clients
utilisateurs (Source : Deloitte Conseil et Harris Interactive). Dans le domaine des robots
advisors et de l’épargne, malgré une forte visibilité de ces services le nombre de mentions
dans la presse reste supérieur au nombre de clients réels et les montants d’actifs sous gestion
sont très faibles encore. Le potentiel des Fintech et des nouveaux services qui s’installent
entre les clients et les banques est très élevé. Mais si les clients se disent globalement
intéressés, ils y recourent progressivement et aussi parce que ces services sont gratuits.
L’enjeu pour les banques étant de prendre à leur compte les innovations à plus forte valeur
ajoutée puis de les intégrer à leur offre et surtout conserver l’exclusivité de la relation client à
un moment où la DPS2 qui entre en vigueur ouvre l’accès à la concurrence des données des
clients. Elles multiplient ainsi les initiatives, par exemple pour contrôler les paiements à
distance sur les cartes (Crédit Mutuel), gérer les plafonds de paiements en temps réel (Crédit
Agricole), ou épargner (en un) clic sur son mobile (Banques Populaires) ou encore faire un
virement en temps réel. Ce contexte concurrentiel ouvre le champ à des acteurs nouveaux qui
disposent d’avantages compétitifs leur permettant de développer des solutions qui répondent
aux besoins et aux attentes des clients des banques
1-Applications bancaires :
Selon (Worldline, 2017) aussi les banques ont mis en place des applications bancaire pour
répondre aux besoins de mobilité et d’instantanéité, pour se faire la banque offre un accès
toujours plus facile à leurs comptes : Ouverture d’un compte bancaire, consulter le solde,
effectuer un virement le client peut aujourd’hui effectuer tous ces opérations ou plus dans un
seul clic, n’importe où et dans un accès de 24h/24. Les banques ont investi massivement dans
le déploiement de dispositifs et de services sur mobiles, pour satisfaire les besoins des clients
principalement dans trois domaines: la recherche d’information, le ‘’selfcare’’ et la
souscription de produits. Preuve de leurs succès et de leur intégration dans le quotidien. 19
Parlons des chiffres:
L’application de CIH Bank: CIH MOBILE a étais téléchargé plus d’un million fois sur
Play store d’après les données existé dans (CIH MOBILE), et plus que 500 000 fois
sur App store d’après (CIH MOBILE).
L’application de Attijariwafa Bank: Attijari Mobile a étais téléchargé plus d’un
million fois sur Play Store d’après (Attijari Mobile), et plus que 500 000 fois sur App
Store d’après (Attijari Mobile).
L’application de La société général: Société Générale Maroc a étais téléchargé plus
que100 000 fois sur Play Store d’après (Société Générale Maroc).
L’application de la banque populaire: Pocket Bank a étais téléchargé plus que 500
000fois sur Play Store d’après (Pocket Bank).
L’application de BMCE banque : BMCE Direct a étais téléchargé plus que 500 000
fois sur Play Store d’après (BMCE DIRECT), et plus que 100 000 fois sur App Store
d’après (BMCE Direct).
La confiance et la sécurité des fonds et des données des clients peuvent fonder une relation
durable, La cybersécurité comme on l’as déjà mentionné et l’un des grandes enjeux de la
banque, ces dernier travail avec les plus grands responsable du monde de la sécurité, alors les
moyens de paiement doivent être performants et sécurisés Garante de la sécurité des fonds et
des données personnelles de ses clients. Elles sont totalement engagées en parallèle dans le
développement et la promotion de ce mode de paiement simple, rapide et sécurisé et toujours
plus populaire.
3-Les banques chef de file de l’éco système numérique financier selon (Worldline, 2017)
23
Pour les banques, ce défi de l’innovation de rupture est d’autant plus grand qu’elles sont à la
fois objets et sujets de la transformation numérique. Elles-mêmes entreprises digitales, elles
fiancent aussi la digitalisation de leurs clients. Le financement de l’immatériel est ainsi l’un
des grands défis de la banque d’aujourd’hui
La profession bancaire met à profit sa position naturelle et stratégique au carrefour de
l’innovation afin de favoriser le dialogue entre tous les acteurs (dont les Fintech), valider les
innovations et construire, ensemble, la finance digitale de demain qui est l’une des grandes
forces de la Place de Paris. C’est le sens de notre investissement dans le pôle de compétitivité
Finance Innovation. 19
‘’L’humain’’ reste un canal essentiel dans cette transformation, le rôle de ce dernier évolue
pour se recentrer sur des prestations plus larges et de niveau supérieur pour le client car :
- La proximité reste un argument de poids dans le choix d’une banque.
- Le contact humain et la confiance sont déterminants
- L’agence reste le premier canal de vente de produits à haute valeur ajoutée
(assurancevie, titres, conseil patrimonial, etc.).
Pour adapter mieux encore – et en temps réel– leurs offres de services aux besoins de leurs
clients les plus connectés, les banques investissent massivement dans les nouvelles
technologies cognitives, notamment l’Intelligence Artificielle et le Machine Learning (qui
24
correspond au processus de fonctionnement d'un système d'intelligence artificielle doté de
capacités d'apprentissage), pour n’ajouté qu’elles.
Ces nouvelles technologies permettent d’améliorer la connaissance des clients et sont autant
de leviers vers le « conseiller augmenté »
25
à distance. Pour 58% des 100 établissements bancaires mondiaux interrogés au mois de
novembre 2016 par l'Efma et Infosys, le Big Data va jouer un rôle crucial dans l'amélioration
de la connaissance de leurs clients.
26
banques, c’est donc aux conseillers bancaires de s’adapter aux nouvelles habitudes des clients.
D’autre part, il faudrait aussi penser à une spécialisation beaucoup plus spécifique du métier
de conseiller clientèle, une spécialisation dans laquelle le conseiller client se doit d’être
polyvalent, ou spécialisé dans un canal de distribution voire dans un métier particulier. Le
métier de conseiller client de demain, se doit d’avoir accès à minima à autant d’informations
que ses clients et ce dans un court laps de temps, pour cela il faut absolument les codes et
outils utilisés par les clients.
3-Mutation du métier de Directeur d’agence :
Un directeur d’agence est un maillon crucial dans le succès de la distribution bancaire
d’agence qu’il a sous sa direction. Le directeur d’agence peut endosser plusieurs costumes
celui de financier, de commercial, de gestionnaire. Il est en charge du développement de
l’activité de son agence dans le secteur géographique dans lequel il se trouve.
Avec le développement du digital et au sens large du numérique le métier de directeur
d’agence peut bénéficier d’un pouvoir et d’une autonomie beaucoup plus importante, la
digitalisation lui permettra de mieux évaluer les performances de ses collaborateurs via des
outils d’indicateur de performance existant sur les tablettes au-delà des indicateurs
traditionnels de performances des salariés. Le digital devrait permettre de faciliter l’exercice
du métier et en particulier les opérations de contrôle à travers l’automatisation des opérations
de ces derniers. Les managers d’agences auront également plus un rôle de pilote de
satisfaction client tout en renforçant leurs compétences managériales.
27
Partie 2 : CADRE PRATIQUE
DE LA DIGITALISATION
BANCAIRE
INTRODUCTION
Nous avons adopté dans cette partie une étude qualitative et quantitative dans le cadre
pratique de notre projet, afin de répondre, développé et amélioré notre problématique:
Pour atteindre cet objectif on a mené une enquête d'un échantillon des agents bancaires
pour répondre à notre guide d'entretien, et un échantillon des clients pour le questionnaire.
Alors, dans un premier chapitre on va analyser notre questionnaire qui est destiné aux
clients des banques afin d'améliorer nos connaissances et chercher à mieux comprendre cette
relation client/banque, en s'appuyant sur le degré de satisfaction. En ce qui concerne l'objectif
du second chapitre, on va traiter les réponses de notre guide d’entretien, ce dernier étant
28
destiné aux employés des banques dans le but d'analyser plus cette relation et les métiers
bancaires après le bouleversement de la digitalisation.
INTRODUCTION :
Selon (Claude., 2019) L'étude quantitative est une méthode qui est destiné à répondre à la
question "combien», elle constitue un outil efficace pour savoir qui fait quoi et en quelle
quantité, qui est satisfait et sur quel sujet.
L'étude quantitative est donc une technique de collecte de données qui permet au chercheur
d'analyser des comportements , des opinions , ou même des attentes en quantité , et elle
permet de prouver ou démontre des faits en quantifiant un phénomène , alors que l'objectif est
souvent d'en déduire des conclusions mesurables statistiquement , contrairement à une étude
qualitative .
Pour mener une étude quantitative, l'enquêteur doit sélectionner avec précision un
échantillon représentatif de la population étudié, cette technique d'étude utilise le
questionnaire (pour poser plusieurs questions) ou le sondage (pour poser une question) auprès
d'un panel pour récolter des données à analyser.
Afin d'analyser les données récoltées après mener un questionnaire ou un sondage, il peut
être utile de suivre quelque étape importante:
29
Dans notre recherche quantitative, et dans le cadre d’analyser le niveau de satisfaction des
clients de la digitalisation bancaire, et la relation de ce dernier avec sa banque, nous avons
distribué des questionnaires auprès des clients de différents banques.
Notre recherche a étais effectué sur une population de 150 personnes, dont 62 % d’eux sont
des femmes, cette population est de différents tranches d’âges la plupart d’eux sont entre 18 et
25 ans, leur pourcentage arrive à 58%, puis ceux qui sont entre 25 et 35 ans d’un pourcentage
de 20,7%, proviennent après cette tranche d’âge ceux qui sont entre 35 et 45 ans et d’un
pourcentage de 14%, le reste de la population ont plus de 45 ans, notre échantillon est de
différents catégories socio professionnelle entre les professeurs, entrepreneurs, employés,
fonctionnaires, professions libérale et assimilés, chômages, etc…, la catégorie la plus
dominante ici, est celle des étudiants d’un pourcentage de 51,3% . A noter qu’il n’y a pas de
critères spécifiques qu’on a pris en considération dans le choix de la population.
Ajoutons qu’on a préparé ce questionnaire sur GOOGLE FORMS, et les résultats de l’enquête
sont saisis par le logiciel SPSS. ou bien (Excell)
Rappelons que nous cherchons dans notre projet à répondre à cette problématique ‘’Quel est
l’impact de la digitalisation sur le business model bancaire ?’’, ajoutons que nous sommes
concentrés essentiellement sur trois points :
Donc il est semblé intéressant d’analyser les réponses d’un questionnaire pareil, surtout qu’il
comprend des questions pour connaitre mieux la relation clients, les opérations les plus
effectué en ligne, et même le degré de satisfaction et de confiance ....
Section 2: Analyse des résultats
30
Figure 2 : Le Pourcentage des personnes qui ont déjà entendu parler de la banque en ligne face
aux personnes qui n'ont jamais le connu
31
Figure 3 Le pourcentage des personnes qui ont déjà ayant un compte bancaire face aux personnes
ayant un compte ordinaire
Ils nous apparaissent d’après le graphique que 55,3% des personnes ayant un compte bancaire
en ligne, ses personnes voulu peut-être gagner le temps, d’une autre coté on voit que 44,7% de
cette population, avait un compte ordinaire même ci que dans la première question on a
obtenu que 84% connaissent déjà, alors ce pourcentage est relativement faible par rapport au
nombre de personne qui sont au courant de la banque en ligne, on peut expliquer cela par la
méfiance qui porte les clients au digitalisation bancaire, surtout en ce qui concerne une
opération pareils, cette dernière constitues la principal opération au sein de la banque, c’est
elle qui constitue officiellement la relation avec le client, on peut dire aussi que le Maroc
autant qu’un pays en voie de développement, ne peut pas fournir un accès des différentes
catégories sociales. Cependant l’ouverture d’un compte bancaire s’effectue au niveau des sites
officiels banques seulement. Par contre les pays émergents, la France par exemple ou on peut
ouvrir un compte bancaire n’importe ou même dans les bureaux de tabac.
La question 3 : Avez-vous déjà effectué des opérations bancaires en ligne?
32
Figure 4 Le pourcentage des personnes qui effectue des opérations bancaire en ligne
Pour la troisième question qui porte sur la connaissance de la connaissance de la part des
clients de la banque qui bénéficient des services bancaires en ligne. On peut constater à
travers le graphique si dessus que le pourcentage de client qui a déjà effectué une opération
bancaire en ligne a dépassé la moitié pour atteindre 60,7% en 2020, peut-être cela revient la
pandémie (covid 19) qui a joué un rôle très important dans l'augmentation des opérations
bancaires effectuée en ligne, car pendant cette période de confinement il est devenu difficile
de se rendre à chaque fois à la banque afin d'effectuer une simple opération bancaire, donc et
pour éviter les encombrements dans les banque et les risque d' infection il est devenu
nécessaire d'effectuer les opération bancaire à distance
Mais malgré ce pourcentage que nous avons atteint pour les clients qui effectuent des
opérations bancaires en ligne, la proportion 39,3% reste un pourcentage important pour les
clients qui n’ont jamais effectué une opération bancaire en ligne, cela peut être expliqué par le
manque de confiance des clients aux opérations qui s'effectuer en ligne, et le taux
d'analphabétisme dans le Maroc.
Figure 6 Le pourcentage d'opinion des clients à propos de la digitalisation dans leurs établissements
33
- Notre principal objectif dans cette question est de mesurer le niveau de satisfaction des clients
dans leurs établissements, alors à travers ce graphique on a constaté que :
- La plupart de cette population trouve que le digital est un avantage, ce pourcentage arrive
jusqu’à 50,7%, dans le cadre ou il est plus fluide et rapide, on obtient tous ce qu’on a voulu
avec un seul clic.
- 22,7% de notre population pensent que le digital est une
, dans la mesure où il nous permet de réduire les frais.
- Parlons de la neutralité 8,7% des personnes sont indifférant, alors que cette catégorie de
personne peut privilégient n’importe quel canal, soit au sein de l’agence, soit à travers
l’internet ou autre canal.
- Cependant 11,3% de la population, trouvent la digitalisation comme une méfiance, dans la
mesure où l’internet n’est pas protégé. Mais cela reste seulement des idées de quelque
personnes, car la banque la banque fait attention à la sécurité des donnés et l’argent en
parallèle.
Question 6 : Trouvez-vous que le digital ait modifié la relation avec votre banque ?
valide
Tableau 1Le pourcentage et l'effectif des opinions des personnes à propos de la modification de
relation client
- Cette question est-il utile pour mieux comprendre la relation entre le client et sa banque après
l’apparition de digital, dans notre échantillon on remarque que :
- Tout d’abord 3,2 % de personnes trouvent que la digitalisation modifie un peu leurs relations
banque/client, peut-être parce qu’ils ne sont pas très satisfait envers les services en ligne, ou
bien leurs établissement ne fournit pas les services assez suffisantes.
34
- Ensuite viendrait la catégorie de personne qui pensent que le digital à modifient beaucoup
cette relation leur proportions atteint à 29,3%, on peut dire que ces personnes sont très satisfait
de cette relation.
- Puis a remarqué que 22,7% de personnes qui déclarent que cette relation est modifier
moyennement, il se peut qu’ils ne sont pas assez satisfait à propos des services proposé par la
banque.
- Et enfin, 16% des personnes voit que la digitalisation n’affectent pas leurs relation avec la
banque, peut-être parce qu’ils ne sont pas attiré aux banques à travers la digitalisation.
D’après les résultats obtenus de la part des 150 interrogés, on a constaté que 90% de cette
population pensent que la modification va vers un sens positif, donc ils sont complétement
satisfait des nouveaux services, et même de la valeur ajouté que ces dernier leur ajouté, par
contre 10 % de la population pensent le contraire, c’est-à-dire vers le négatifs sens, peut-être
que les services et les produits digitalisés ont étaient moins par rapport à leurs attentes.
Question 8 : Selon vous quels sont les avantages et les contraintes de l'intégration du
numérique ?
35
Figure 8 Le pourcentage d'opinion des clients à propos des avantages et contraintes
D’après les résultats portés sur les avantages et les contraintes de l’intégration de numérique,
on peut dire que la majorité parle du côté positif de la digitalisation bancaire, alors que 65,3%
la considèrent comme un gain de temps face à 23,33% qui la considèrent comme une
simplification des opérations, et certaines personnes la voient comme une réduction de frais.
Mais cette importante proportion, ne signifie pas qu’il n’y a personne qui voit les banques
numérique du côté négatif, et ils décrivent comme une perte de temps.
Question 9 : Faites-vous confiance aux banques qui opèrent exclusivement en ligne
(sans agence physique) ?
36
Figure 9 La fréquence du degré de confiance des clients sur les banques en lignes
37
Figure 10 L'effectif du degré de confiance des clients sur la sécurité des services bancaires
Tableau 2 Le pourcentage des personnes qui voit qui voient que le contact humains
est essentiel
38
Concernant les trois dernières questions on peut conclure qu’ils ont un point commun au
niveau de leurs objectifs. Alors les trois questions cherchent à mieux comprendre la pensée
des personnes de personnes interrogées sur la digitalisation et s’ils font confiance à cette
dernière.
A travers la première question et la deuxième, nous arrivons à une conclusion sur la confiance
de la population auprès les banques qui s’opèrent exclusivement en ligne, et la sécurité
informatique de ses services bancaire sur internet.
Alors que la troisième question porte sur l’importance des facteurs humains dans les relations
bancaires.
Donc on peut constater que 57,8% des personnes font confiance aux banques en ligne, parmi
les 73,3% font aussi confiance à la sécurité informatique des services opérant sur internet, et
25,5% voient que la présence du facteur humain n’est pas essentiel.
Par contre 42,2% ne font pas confiance aux banques qui s’opèrent exclusivement en ligne, et
entre eux on peut remarquer que 26,7%, ne font pas confiance à la sécurité informatique de
ces banques et 4,5% disent que la relation avec la banque nécessite essentiellement le facteur
humain.
Section 3 : Conclusion
En guise de conclusion, on peut dire que la digitalisation bancaire a connu un bon accueil
auprès des clients, dans la mesure où ces derniers commencent à ouvrir des comptes et même
à effectuer des services bancaires en ligne. Notons que la plupart d’entre eux ne peuvent se
dispenser complétement de contact humain au sein des agences, même s’ils font confiance à
la sécurité bancaire et aux agences qui n’ont pas d’existence physique. Il faut néanmoins
préciser que les clients choisissent les canaux pour effectuer l’opération voulu selon le degré
de complexité de l’opération. Ajoutons à cela, la plupart de la population vivent la
digitalisation comme un avantage dans leurs établissements et ressentent aussi que la
digitalisation a beaucoup modifié positivement leurs relations, ils ont aussi remarqué que le
gain du temps est l’avantage le plus attirant.
On peut dire enfin que le digital est un véritable changement auprès des relations clients et les
produits/services également.
INTRODUCTION
La recherche qualitative est donc une méthode qui vise à générer des idées et des hypothèses
pouvant contribuées à comprendre comment une question est perçue par la population cible et
permet de définir ou cerner les options liées à cette question, à travers l'aperçu du
comportement et des perceptions des gens.
Dans le cadre des études qualitatives le guide d'entretien est un document qui regroupe
l'ensemble de vos questions à poser ou vos thème à aborder lors d'une entrevus, il a pour but
de fournir un cadre général ordonné à l'entretien.
Le guide d'entretien est structuré selon le type d'entretien, mais il est surtout utilisé dans la
phase de préparation d'un entretien semi directif et directif ne nécessitent pas particulièrement
de guide d'entretien.
Guide d'entretien directif : le guide d'entretien est très détaillé (thèmes, sous thèmes …) et
avant de finir l'entretien il est nécessaire de vérifier que chaque thème a été abordé.
•Guide d'entretien semi - directif : Guide d'entretien est beaucoup moins détaillé et si
l'individu n'aborde pas tous les thèmes on ne les aborde pas non plus sauf s'il s'agit d'un thème
principal.
- Malgré la différence qui existe entre les trois types, il y a des similitudes entre eux :
40
•Liste de question : écrire les questions à poser et les thèmes auxquels celles-ci se réfèrent.
Dans notre recherche quantitative, et dans le cadre d’analyser le niveau de satisfaction des
clients de la digitalisation bancaire, et la relation de ce dernier avec sa banque, nous avons
distribué des questionnaires auprès des clients de différents banques.
Notons qu’on a posé un seul critère essentiel à propos de la population interrogés dans ce
questionnaire ‘’être un employé de la banque’’, notre échantillon est composé de 18
personnes, distribué sur ces quatre banques ‘’ CIH, La banque populaire, Attijariwafa Bank,
BMCE, 61,1 % sont des hommes et le reste sont des femmes, la plupart d’eux sont entre 30-
40 ans ce pourcentage arrive jusqu’à 38,9 %, ensuite viendrais la population dont leurs
tranche d’âge sont entre 20-30 ans d’un pourcentage de 27,8 %, ensuite la population qui ont
+50 ans d’un pourcentage de 22,2 %, enfin viendrai la catégories entre 40-50 ans d’un
pourcentage de 11,1 %, notons finalement que les postes de la population interrogé sont plus
au moins différent, cependant 38,9 % sont des caissiers,22,2% sont chargés de
clientèle,16,7% sont des directeurs d’agence, de responsable administratifs sont d’un
pourcentage de 11,2%, ainsi les directeurs ressources humains, est des chargés du
développement commerciales le pourcentage de chacune de ces derniers est 5,6% .
Ajoutons qu’on a préparé ce questionnaire sur Google Forms et les résultats de l’enquête sont
saisis par le logiciel Word STAT 8.
Rappelons encore que notre problématique est toujours ‘’Quel est l’impact de la digitalisation
sur le business model bancaire?’’, ajoutons que nous sommes concentrés essentiellement sur
trois points :
- La relation banque/client
Donc l’analyse d’un guide d’entretien pareil est intéressante car il touche des points essentiels
dans le cadre de notre problématique.
41
Q1 : L’objectif de la première question est de savoir l’affectation de la digitalisation sur la
relation client.
Q2 : la deuxième question a pour objectif de connaitre l’impact de digital sur les métiers
bancaires.
Q3 : l’objectif de cette question est de mettre la lumière sur les choses qui sont modifiées au
sein de la banque digital et attirent plus le client et en même temps les opérations en ligne par
les clients.
Q4 : Cette question a pour objectif de mesurer le degré d’audience des applications bancaires
en ligne.
42
D'après le secteur si dessus, on constate que la plupart des agents bancaires voient que le
digital a affecté positivement sur la relation entre la banque et ses clients.
Or, le gain de temps occupe la première place pour une proportion de 5,8%, puis on trouve
la valeur ajouté pour une proportion de 3,8%, et enfin le renforcement, l'amélioration, la
facilité, la proximité, la minimisation et connaissance des clients pour une proportion de
1,9%.
Donc, on remarque que la majorité focalise sur le temps gagné grâce à la digitalisation, dans
la mesure où les clients exécutent leurs opérations à distance, ce qui facilite un peu le travail
des employés, d'autre focalise sur la valeur ajouté que la digitalisation lui ont permet
d'acquérir avec leurs clients, dans la mesure où elle permet d’améliorer, de facilité et de
renforcer la relation banque/client et lui permet aussi de mieux connaître ses clients par
rapport au passé.
Figure 12: Graphique en batons sur l'impact de la digitalisation sur les métiers bancaires
Pour la deuxième question qui porte sur l'impact du digital sur les métiers bancaire, on peut
remarquer d'après les résultats illustrés que tous les agents bancaires se met d'accord sur
l'impact positif du digital sur leurs travail.
Etant donné qu'il facilite les tâches en réduisant la complexité des opérations qui nécessitent
un travail dur, et par conséquent il lui permet de gagné plus de temps et de réduire les charges.
43
Les employés sont satisfait aussi par la possibilité de se réunirent à distance à travers webiner.
Question 3 : D'après votre expérience, quel est la chose qui attire plus l'attention des
clients? Et quel sont les opérations les plus effectuer en ligne auprès des clients?)
En passant à la troisième question qui met la lumière sur la chose qui attire plus l'attention des
clients envers la banque , digitaliser et en même temps les opérations les plus effectuer en
ligne .
Alors que pour les opérations en ligne on constate que la plupart des agents affirment que
les virements, les paiements des factures, crédit, consultation des soldes, les achats et le
recharge sont les opérations les plus consulté auprès des clients.
44
Figure 14 Graphique en battons représente l'audience des applications bancaires
45
Figure 15 Graphique en battons représente l'importance de la présence physique
D’après l’analyse de la cinquième question, nous avons obtenu comme réponse à cette
question que le contact humain est essentiel dans la mesure où il permet d’améliorer la
confiance et l’accompagnement du client et de leur facilite leurs taches.
Notons qu’il y a des opérations qui s’effectuent seulement au niveau d’agence, ajoutons
qu’il y a des personnes qui ne se connectent jamais avec la banque en ligne.
46
Le client a le droit de connaître toutes ses opérations bancaires en facilitant cette numérisation
sans problème
C'est une valeur ajoutée pour nos relations
La digitalisation de la relation client implique le déploiement de solutions et méthodologies
adéquates et en cohérence avec le secteur d’activité
En matière d'accompagnement et de proximité : dans la mesure où la banque est de plus en
plus à l'écoute de la clientèle.
Bien
Positivement dans la mesure où le client n’a plus à se déplacer en agence
Cette relation client de digitaliser devient aujourd’hui nécessaire afin de répondre au mieux à
ces mutations et ainsi apporter une réelle valeur ajoutée.
Question 2 : Est-ce-que la digitalisation a eu un impact sur les métiers bancaires? Si oui
comment?
La digitalisation a eu un impact sur les métiers bancaires dans le sens où elle a permis
d'alléger du travail au niveau de la caisse et même au niveau de l'exploitation car le client peut
maintenant ouvrir un compte en ligne. La digitalisation a permis un gain de temps pour les
clients mais aussi pour les employés de la banque
Non
Rapidité. Moins de charge. Et facilite les opérations
La digitalisation a rendu souple la relation client et même a permis le gain du temps et même
la fiabilisation des informations
L’impact est positif qu’es basé sur la transparence.
Elle a facilité la tâche pour la banque, et a fait gagner du temps dans le traitement des
opérations bancaires
Au contraire, la numérisation n'a pas affecté ma carrière, mais nous a plutôt aidés dans notre
démarche professionnelle avec le client, même s'il était chez lui, il pouvait s'informer des
opérations en cours sur les téléphones portables.
Oui, la digitalisation nous a permis d’avoir plus de temps de se focaliser sur le volet
commercial que l'administratif
Non
Oui, ça a permis principalement de fluidifier les flux d'informations et de réduire les charges
de formations et de déplacements (webiner, meeting)
Oui
Impact positif dans la mesure où Elle a free de nouveau can emplois et Elle a permis l’Agence
de de consacrer davantage Si développement et à l’action commerciale
47
Oui. La digitalisation a une résonnance toute particulière dans le secteur bancaire.
En effet, cette dernière est particulièrement concerné par la transformation numérique du fait
de l’importance stratégique de son Système d’Information, mais aussi et du fait de ses
interactions, maintenant
Dans mon expérience bancaire, les clients apprécient tout d'abord la bonne réception. Quant à
Internet, le client surveille ses opérations bancaires en cours.
Le suivi des opérations bancaires. concernant les opérations les plus effectues sont les
recharges téléphones, cartes a dotation et les paiements des factures.
La chose qui attire plus l'attention des clients c'est la facilité et la simplicité. Et les opérations
les plus effectuer en ligne auprès des clients c'est les paiements de diverses factures
les simulations de crédits. /le téléchargement des relevé de comptes /la consultation en temps
réel des soldes. /les virements et transferts cash...
L'accélération de son service
Ouverture de compte et crédit
Facilitent la vie du client, et surtout les opérations qui prennent beaucoup de temps.
Maintenant avec un seul clic tout est possible. Les opérations les plus effectuer en ligne c les
règlements des factures.
48
Question 4 : Est-ce-que l'application de votre agence bancaire a connu certaine audience?
Votre réponse est basée sur quoi?
L'application CIH MOBILE a connu un grand succès parmi les clients CIH BANK et ce sont
les statistiques de la banque qui le révèlent. L'application CIH comparée à celle des banques
consœurs est la meilleure car elle permet non seulement la consultation mais aussi plusieurs
types d'opérations bancaires
Oui, le métier de la banque est basé sur la confiance instauré par le contact humain
Oui car le drh doit superviser les employés
Oui
Non
Pour bien avoir une panoplie d'information sur sa relation et bien la fidéliser au premier
contact
49
Bien sûr que c’est essentiel car l’utilisation des canaux autres que l’agence, facilite la tâche au
client (traitements des opérations chez soi avec rapidité et transparence) et aussi à l’agence
bancaire qui se décharge des flux importants pour se consacrer plus au volet commercial et
administratif.
Non
Oui dans la mesure où la relation client est plus baser sur la proximité et l’étude du Besoin
exacte du client
Évidemment oui. Parce que Certains opération il est obligé de de la présence des clients à leur
nom.
Section 3 : Conclusion
A travers les résultats obtenus du guide d’entretien, nous sommes arrivés à un ensemble de
résultats :
50
Conclusion général
Alors nous nous concentrons dans notre étude sur l’analyse de l’impact de la digitalisation sur
le business model bancaire, en se focalisant sur les opérations, produits et services, la relation
avec le client et enfin sur les métiers bancaires.
Avant de commencer notre projet, on a mis en évidence que la digitalisation a été un véritable
changement au sein de la banque, et on a voulu donc connaitre à quel point ce phénomène a
pu bouleverser cette dernière ? Et pour ce faire, on est amené à une étude profonde en se
basant essentiellement sur le fonctionnement de la banque.
Au sein de la partie théorique, on n’a constaté que le progrès technique du business model a
été accompagné par le développement de services bancaires, et l’émergence de la banque en
ligne en parallèle de même que celle des acteurs non bancaires Fintechs par exemple, la
digitalisation a permis en parallèle de dématérialiser la relation banque/client, le client est
devenu aujourd’hui plus proche de la banque grâce aux applications bancaires qui fournit des
services en ligne. La digitalisation à impacté également les métiers bancaires selon trois
domaines : gestionnaire back office, le conseiller clientèle et le directeur d’agence.
Tous sa nous renvoie de nouvelles questions : qu’elle va donc être la situation de la banque de
demain ? Est-ce-que cette dernière va connaitre une amélioration plus approfondie au niveau
de ses services ?
Bibliographie
51
Les ouvrages
Française, Fédération Bancaire. (s.d.). Banque & innovation. 2018. PARIS, FRANCE.
Webographie
(s.d.). Récupéré sur https://www.wafacash.com/jibi-0: https://www.wafacash.com/jibi-0
52
CIH MOBILE. (s.d.). Récupéré sur Google Play Store:
https://play.google.com/store/apps/details?id=com.b3g.cih.online&hl=en_US
Claude., G. (2019, Octobre 22). Étude qualitative : définition, techniques, étapes et analyse.
Récupéré sur Scribbr: https://www.scribbr.fr/methodologie/etude-qualitative/
Doguet, A. (s.d.). Les inconvénients de la banque en ligne. Récupéré sur Nouvelle banque :
https://www.blog.nouvelle-banque.fr/les-inconvenients-de-la-banque-en-ligne/
Flicher, O. (2018, 12 24). Fintech : la finance fait sa revolution. (F. 24, Intervieweur)
Jean-Michel Sahut, J.-S. L. (s.d.). Quel Business Model et performance pour les banques par
Internet ? Récupéré sur Cairn.info: https://www.cairn.info/revue-management-
etavenir-2011-2-page-232.htm
Marie, J.-F. (s.d.). Secteur bancaire : quels sont les enjeux de la transformation numérique ?
Récupéré sur Finyear: https://www.finyear.com/Secteur-bancaire-quels-sont-
lesenjeux-de-la-transformation-numerique_a37933.html
Mckinsey. (s.d.). Services finaciers . Consulté le 2020, sur Mckinsey & company:
https://www.mckinsey.com/fr/our-work/financial-services
53
Table des matières
Dédicace.............................................................................................................................................2
Remerciement....................................................................................................................................3
Liste des abréviations.........................................................................................................................4
Liste des figures.................................................................................................................................5
Liste de tableaux.................................................................................................................................6
Sommaire...........................................................................................................................................7
Introduction............................................................................................................................................8
Partie 1:FONDEMENT THEORIQUE DE LA DIGITALISATION BANCAIRE.................................................10
Chapitre 1 : Transformation digital au sein de la banque..................................................................11
55