Expose Mpata
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0. Introduction générale
I. La pollution de l’air II. Les substances polluantes (différents types de polluants) III.
Conséquence
Conclusion
0. INTRODUCTION GENERALE
-Les hydrocarbures liquides : Les détersifs et tensioactifs, Les plastifiants, les phtalates, Les
pesticides, Les matières eutrophisantes , Les métaux lourds , Les médicaments et cosmétiques
I. LA POLLUTION DE L’AIR
Les polluants atmosphériques peuvent aussi avoir une origine naturelle. Ils sont émis
: par les éruptions volcaniques qui envoient dans l’atmosphère d’énormes quantités de gaz
(SO2), de particules ; par des plantes qui produisent des pollens, dont certains sont
responsables d’allergies respiratoires, et des substances organiques volatiles qui contribuent à
la formation de l’ozone troposphérique ; par la foudre qui émet des oxydes d’azote et de
l’ozone ; par les incendies qui produisent des particules fines et des gaz (NOx, CO, CO2…) ;
par l’érosion qui produit des poussières minérales reprises par le vent et déposées quelquefois
très loin de leur lieu
Les éléments traces métalliques désignent en général les métaux dont le poids
atomique est supérieur à celui du fer. Ces métaux sont parfois également désignés par le terme
de métaux traces ou métaux lourds. On distingue en Particulier : - Mercure: est le seul métal
liquide à température ambiante. IL se combine très aisément avec d’autres composés et a une
volatilité importante. - Plomb: une source importante des émissions de plomb dans
l’atmosphère - Cadmium: il provient surtout de l’incinération des déchets, ainsi que de
procédés industriels (métallurgie..).
II.3 Les particules Les particules regroupent également une variété importante de
substances, sont classées en fonction de leur granulométrie.
- Particules en suspension (TSP): masse totale de particules. - PM10: masse des particules
dont le diamètre aérodynamique moyen est inférieur à 10 μm. - PM2.5: masse des particules
dont le diamètre aérodynamique moyen est inférieur à 2.5 μm.
Echelle mondiale L’effet de serre est un phénomène avant tout naturel de piégeage
par l’atmosphère du rayonnement de chaleur émis par la terre sous l’effet des rayons solaires.
Il permet une température sur Terre bien supérieure à celle qui régnerait en son absence; il
s’agit, pour l’essentiel, de la vapeur d’eau, du gaz carbonique (CO2), du méthane (CH4) et du
protoxyde d’azote (N2O).
Echelle régionale/continentale a. Les pluies acides "Les pluies acides" est un terme
utilisé pour décrire toute forme de précipitation acide (pluies, neige, grêles, brouillard). Le
dioxyde de soufre et les oxydes d’azote sont les principales causes des pluies acides. Ces
polluants s’oxydent dans l’air pour former de l’acide sulfurique et de l’acide nitrique, ou des
sels. On les retrouve dans les nuages et les précipitations parfois à des milliers de kilomètres
de leur point d’émission, (pollution transfrontière à longue distance).
III.4. Effets sur les matériaux Les matériaux
Sont essentiellement affectés par la pollution acide (surtout liées au SO2) qui
entraîne une dégradation des édifices, monuments ou façades d’immeubles. Il s’agit bien
souvent de la décomposition de certaines pierres calcaires sous l’effet des acides.
Les particules interviennent plutôt sur les aspects de salissures des bâtiments. La
pollution atmosphérique met en danger notre patrimoine culturel et occasionne d’onéreux
travaux de ravalement de façades ou de restauration des monuments.
Forêt, réserve d’eau douce Les arbres vivent et dépérissent pour des causes naturelles
très variées ne serait-ce que l’âge. Les responsables considèrent que la pollution
atmosphérique est l’un des nombreux éléments participant aux dépérissements forestiers.
Des recherches en laboratoires ont montré que les causes du dépérissement forestier
sont très complexes : sols de mauvaise qualité, sécheresses anormales, présence de polluants
dans l’atmosphère principalement la pollution acide et l’ozone. Mais à proximité de certains
sites générateurs de pollution (site industriel, grosses infrastructures routières), on observe
également des baisses de rendements des terres agricoles.
Pour certaines substances, il n’existe pas de seuil au sens médical du terme, mais il
existe des seuils réglementaires (niveau de pollution acceptable, mais non dénué de
conséquences). Les effets sur la santé ayant été le plus étudiés sont les effets à court terme liés
à des concentrations élevées.
CONCLUSION