ITSBMath 2004 C
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AVRIL 2004
Exercice 1
1) f (t) est continûment infiniment différentiable sur R\{0}. Comme sin(t) =
t + O(t2 ) pour t → 0, f (t) peut se prolonger par continuité en 0 en posant f (0) =
1. Ainsi définie f (t) est continue dérivable sur R de dérivée
t cos(t) − sin(t)
f (1) (t) = , t ∈ R\{0}
t2
f (1) (0) = 0
f (t) est paire donc il suffit de l’étudier sur[0, 2π]. Sur [0, 2π], t cos(t)−sin(t) s’annule
pour t = 0 et de façon unique sur ]0, 2π] en t0 6= 0 tel que tan(t0 ) = t0 (t0 ≃
4.49) d’où le tableau de variation
t −2π − t0 0 t0 2π
f (1) (t) − 0 + 0 − 0 +
f (t) 0 ց cos(t0 ) ր 1 ց cos(t0 ) ր0
Z x2
|g(x)| = | f (t)dt| ≤ x2 + |x| → 0 quand x → 0.
x
x2 x2
sin(t) cos(t)
Z Z
2
dt = [− cos(t)/t]xx − dt
x t x t2
1
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On en déduit
x2 Z x2
sin(t) 1 1 cos(t)
Z
| dt| ≤ + 2 + | |dt
x t x x x t2
1 1
= + 2 + |h(x)|
x x
Z x2
1 1 | cos(t)|
≤ + 2+ dt
x x x t2
Z x2
1 1 1
≤ + 2+ dt
x x x t2
2
= .
x
On en conclue que limx→∞ (g(x)) = 0.
c) Par composition, la dérivée de g(x) vaut
sin(x2 ) sin(x) 1
g (1) (x) = 2x − = (2 sin(x2 ) − sin(x)).
x2 x x
Pour x → 0, on a g (1) (x) → −1 et g (1) se prolonge par continuité en 0.
Exercice 2
a) On a par un développement limité élémentaire pour u petit positif
tan(u) ≤ u + u3
d’où le résultat.
b) On a
φ(1) (x) = tan(x)2 ≥ 0
et φ(1) (x) = 0 seulement en x = 0. On en déduit que φ est continue, strictement
croissante de ] − π/2, −π/2[ dans ] − ∞, ∞[ . Comme limx→π/2 (φ(x)) = +∞ et
lim x→−π/2 (φ(x)) = −∞, φ est bijective d’où l’existence de ψ(x) = φ−1 (x), qui de
plus est continue.
c) On remarque que φ est impaire donc ψ est impaire. Par ailleurs ψ est crois-
sante nulle en 0. On en déduit que
1
un = (−1)n ψ( )
n
où ψ( n1 ) est une suite décroissante vers 0. Par continuité de ψ, nulle en 0, un et
vn convergent vers 0. P∞
d) D’après c) et le théorème sur les suites alternées, la série n=1 un est con-
vergente.
D’après a) on a
φ(x) ≤ x3
Donc par croissance de ψ,
x ≤ ψ(x3 )
On en déduit que
1
vn ≥
P∞ n
donc la série n=1 vn est divergente.
e) Un contre-exemple montrant qu’il ne faut pas permuter les sommes doubles!!!
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Pour n ≥ 1 fixe on a d’après les résultats classiques sur les séries géométriques
∞ ∞ ∞
X 1 X n m 1 X n+1 m
un,m = ( ) − ( )
m=1
n + 1 m=1 n + 1 n + 2 m=1 n + 2
1 n 1 1 n+1 1
= n − n+1
n + 1 n + 1 1 − n+1 n + 2 n + 2 1 − n+2
n n+1
= −
n+1 n+2
On en déduit que pour tout N > 0
N
X n n+1 1 N +1
− = −
n=1
n+1 n+2 2 N +2
P∞ P∞
Donc la série n=1 m=1 un,m est convergente et vaut 21 − 1 = − 12 .
Maintenant, à m fixe on a pour tout N > 0,
N
X 1 1 m 1 N +1 m
un,m = ( ) − ( )
n=1
2 2 N +2 N +2
d’où
∞
X 1
un,m =
n=1
2m+1
On en déduit toujours en utilisant les propriétés des suites géométriques
∞ X ∞ ∞
X X 1 1 1 1
un,m = m+1
= 1 = 2.
m=1 n=1 m=1
2 4 1− 2
D’où
∞
∞ X ∞
∞ X
X X 1
un,m = − un,m = .
m=1 n=1 n=1 m=1
2
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Problème
Préliminaire :
L’inégalité est clairement vraie pour n = 0!
Maintenant supposons qu’elle est vraie pour n, on a
| sin((n + 1)t)| ≤ | sin(nt)|| cos(t)| + | sin(t)|| cos(nt|
≤ | sin(nt)| + | sin(t)|
soit en utilisant la relation pour n,
| sin((n + 1)t)| ≤ n| sin(t)| + | sin(t)| = (n + 1)| sin(t)|.
On note également que l’inégalité est stricte pour n ≥ 2 et pour t ∈]0, π/2[.
π
Pour x = 2n on obtient
π π π
1 = | sin(n )| ≤ n| sin( )| = n sin( )
2n 2n 2n
d’où l’inégalité
π 1
sin( ) ≥ .
2n n
Première partie
1) a) On a de façon évidente sur [−1, 1]
T0 (x) = cos(0) = 1 et
T1 (x) = cos(arccos(x)) = x.
b) Posons t = arccos(x) alors x = cos(t).
On a alors
Tn+2 (x) + Tn (x) = cos((n + 2)t) + cos(nt)
= 2 cos((n + 1)t) cos(t)
= 2xTn+1 (x)
et la relation de récurrence
(I) Tn+2 (x) = 2xTn+1 (x) − Tn (x)
s’ensuit.
c) On en déduit immédiatement par récurrence que Tn est dans Pn . De même, soit
l’hypothèse H(n): Tn est un polynôme de degré n ayant pour coefficient dominant
2n−1 .
On a clairement H(1). Par ailleurs en utilisant (I), T2 (x) = 2x2 −1 donc H(2) est
vérifiée, supposant H(n) et H(n + 1), on déduit de la relation de récurrence (I) ,
que Tn+2 est un polynôme de degré n + 1 et de coefficient dominant 2.2n−1 = 2n.
d) On a par un calcul immédiat
T0 (x) = 1
T1 (x) = x U0 (x) = 1
T2 (x) = 2x2 − 1 U1 (x) = 2x
.
T3 (x) = 4x3 − 3x U2 (x) = 4x2 − 1
T4 (x) = 8x4 − 8x2 + 1 U3 (x) = 8x3 − 4x
T5 (x) = 16x5 − 20x3 + 5x U4 (x) = 16x4 − 12x2 + 1
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donc Ik,l = lim α→0 Ik,l (α, β) est parfaitement définie et vaut
β→π
Z π
Ik,l = cos(kt) cos(lt)dt.
0
Maintenant pour k = l 6= 0, on a
Z π
1 π π
Z
Ik,k = cos(kt)2 dt = (1 + cos(2kt))dt = .
0 2 0 2
Enfin
I0,0 = π.
On en déduit que tous les polynômes sont orthogonaux pour ce produit scalaire.
6) Si, l’on pose
T0 (x)
E0 (x) =
π
et
Tk (x)
Ek (x) = 2 , k = 1, ..., n,
π
(E0 , E1 , ....En ) est alors une base orthonormée de Pn0 pour < ., . >M .
Deuxième partie
1) Par définition, on a pour tout n,
|Tn (x)| ≤ 1
et Tn (1) = 1 donc ||Tn || = 1. Pour n ≥ 1, cette valeur est atteinte ssi
π 2π
n arccos(x) ∈ πZ ∩ [0, nπ] ⇐⇒ arc cos(x) ∈ {0, , , ...., π}
n n
π kπ
⇐⇒ x ∈ {1, cos( ), ..., cos( ), ..., −1}
n n
D’après 3) on a
sin((n + 1)t)
Un (cos(t)) =
sin(t)
donc en utilisant le préliminaire
||Un || ≤ (n + 1)
et on note que |Un (1)| = |Un (−1)| = (n + 1) donc
||Un || = (n + 1).
En utilisant la remarque que l’inégalité du préliminaire est stricte en dehors des
point terminaux, on en déduit que les seuls points atteignant le maximum sont
{−1, 1}.
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et par dérivation
(1) n−1
Tn (x) X 1
=
Tn (x) x − αk,n
k=0
d’où
n−1
X Tn (x)
= nUn−1 .
x − αk,n
k=0
Cette égalité est vrai pour tout x ∈ [−1, 1] par prolongement par continuité aux
points αk,n . On en déduit
n−1
X Tn (x)
| | ≤ n||Un−1 || = n2 .
x − αk,n
k=0
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donc
Tn(1) (αk,n ) = λk,n Lk,n−1 (αk,n ) + 0
= λk,n
ce qui prouve la première égalité.
Par ailleurs par définition de Tn
Tn(1) (cos(x)) sin(x) = n sin(nx),
soit d’après I.2 pour αk,n = cos( n1 ( π2 + (n − 1 − k)π) ( en posant x = n1 ( π2 + (n −
1 − k)π),
1 π
Tn(1) (αk,n ) sin( ( + (n − 1 − k)π)
n 2
π
= n sin( + (n − 1 − k)π) = n(−1)k−n+1 .
2
Par ailleurs comme sin( n1 ( π2 + (n − 1 − k)π)2 + cos( n1 ( π2 + (n − 1 − k)π)2 = 1 et
1 π
n ( 2 + (n − 1 − k)π ∈ [0, π] on a
1 π q
2
sin( ( + (n − 1 − k)π) = 1 − αk,n
n 2
et on en déduit
n(−1)k−n+1
Tn(1) (αk,n ) = q .
2
1 − αk,n
0.
5) Soit P une polynôme dans Pn−1 . D’après 3) il se décompose dans la base des
polynômes d’interpolation de Lagrange sous la forme,
n−1
X
P (x) = aj Lj,n−1 (x),
j=0
Pn−1
avec P (αk,n ) = k=0 aj Lj,n−1 (αk,n ) = ak .
On déduit de 3) que
n−1
X Tn (x)
P (x) = P (αk,n )λ−1
k,n
j=0
(x − αk,n )
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Tn (x)
Il suffit cependant de remarquer que si x ∈]αn−1,n , 1] alors (x−αk,n ) ≥ 0 (car
π
alors x ≥ cos( 2n )) donc
n−1
1 X Tn (x) 1
|P (x)| ≤ ≤ n2 = n,
n (x − αk,n ) n
k=0
d’après l’inégalité 2).
Tn (x)
De même pour x ∈ [−1, α0,n ] on a également (x−α k,n )
≥ 0 et la même inégalité
s’ensuit.
Enfin pour x ∈ [α0,n , αn−1,n ] on a par définition de α0,n , αn−1,n ,
p π
1 − x2 ≥ sin( ),
2n
soit en utilisant l’inégalité du préliminaire
p π 2 1
1 − x2 ≥ = ,
2n π n
donc par hypothèse sur P
1
|P (x)| ≤ √ ≤ n.
1 − x2
D’où l’inégalité voulue en recollant les intervalles.
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AVRIL 2004
Problème 1
Préliminaire :
< :; : > D est clairement bilinéaire symétrique. Comme D est dé…nie positive
toutes ses valeurs propres sont positives et donc
jjY jjD =< Y; Y >D ¸ 0;
nulle ssi Y = 0. L’inégalité est une conséquence directe de Cauchy-Schwartz. On
peut la véri…er en posant D = diag(¸ i)1·i·n : Si on pose Y = (y 1 ; :::; y n )¤ et
Z = (z1 ; :::; zn )¤ l’inégalité devient
à n ! à n !
X X p p
< Y; Z >D = ¸i yi zi = ( ¸ iyi )( ¸i zi)
i=1 i=1
à n ! 1=2 à n !1=2
X p X p
· ( ¸ iy i)2 ( ¸i zi) 2 = jjY jjD jjZjjD
i=1 i=1
par Cauchy-Schwarz.
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donc
Y ¤ XX ¤ Y Y ¤ BAXX ¤ ABY Y ¤ XX ¤ Y
Y ¤ BY + ¤
¡ ¤
¸ Y ¤ BY + ¡ Y ¤ BY ¤
X AX X ABAX X ¤ AX
Y ¤ XX ¤ Y
= ¸ 0:
X ¤ AX
C est donc positive. L’égalité à 0 impose l’égalité dans (1) ainsi que Y ¤ XX ¤ Y =
0 donc d’après ce qui précède que 0 = (Z1¤ DZ1 )(Y1¤ DY1 ). Comme D est dé…nie
positive, on a jjZ1 jjD > 0 et donc nécessairement (Y 1¤ DY 1 ) = 0 d’où Y1¤ = 0 et
donc A étant dé…nie positive (donc étant inversible) Y = 0. C est donc dé…nie
positive.
2) En utilisant le résultat précédent, on obtient immédiatement par récurrence
que chaque Hk+1 est dans SDP n (R) et Xk 6= 0:
¤
On pose H(k) :8 j 2 f0; :::; kg; Hk+1 AXj = Xj et Xk+1 AXj = 0:
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donc
H n A = In
A étant dé…nie positive, ceci implique que Hn = A¡1 :
Problème 2
1) Mn;n (C) est bien un espace vectoriel...
On a clairement la linéarité en A et l’antilinéarité en B. Pour(¸; ¹) 2 C 2 ; A; B; C
dans Mn; n (C);
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On a donc directement
jjU Ajj2 = tr(U AA¤ U ¤ ) = tr(AA¤ UU ¤ )
= tr(AA¤ ) = jjAjj2 ;
jjAUjj2 = tr(AUU ¤ A) = tr(AA¤ ) = jjAjj2 :
3) Posons A = diag(¸ i )1·i·n et B = (bi;j ) 1·i·n : On a alors
1· j·n
0 1
0 (¸1 ¡ ¸2 )b1;2 (¸ 1 ¡ ¸ 3 )b 1;3 (¸1 ¡ ¸ n )b1;n
B (¸ 2 ¡ ¸ 1 )b 2;1 0 (¸ 2 ¡ ¸ 3 )b 2;3 (¸ 2 ¡ ¸ n )b 1;2 C
B C
AB¡BA = B
B Â C:
C
@ Â A
(¸ n ¡ ¸ 1 )b n;1 0
On en déduit que
n
X
jjAB ¡ BAjj2 = j¸ i ¡ ¸j j2 jb i;j j2 :
i;j=1
On a par ailleurs
n
X n
X
jjAjj2 = j¸ ij2 etjjBjj2 = jbi;j j2 :
i= i;j= 1
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Maintenant on a
jjI ¡ Bk+1 jj = jjI ¡ ABk A¡ 1 B¡ 1
k jj
donc
ci;j = 0 si i 6= j
ci;i = a¾ (i) ;¾(i) = a¾(i) pour i = j.
D’où le résultat.
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10) D’après 4) on peut construire une suite de la forme Bk qui converge et même
stationne en I: Eliminons d’abord le cas trivial B = I auquel cas A et B commutent.
Il existe alors d’après 4) k 2 N tel que Bk 6= I et tel que Bk+1 = I
Supposons que k ¸ 1 alors on a d’après 4)
1
jjI ¡ Bk¡1 jj · ak¡ 1 jjI ¡ Bjj · jjI ¡ Bjj < p < 2
2
Donc si on pose C = ABk¡ 1 AB¡ 1
k¡1 on a
¡1 ¡1
C A ¡ AC = (ABk¡1 ABk¡1 )A ¡ A(ABk¡1 ABk¡1 )
= Bk A ¡ ABk = (I ¡ ABk A¡1 Bk¡1 )Bk A
= (I ¡ Bk+1 )B k A
=0
par dé…nition de k.
On en déduit que A et C commutent mais d’après les résultats de 7) et 9) on en
déduit que [A; Bk¡ 1 ] = 0 ce qui implique B k = I; ce qui est contraire à la dé…nition
de k.
On en déduit donc que forcément k = 1 ce qui signi…e B1 = I soit AB = BA:
11) Tout élément de Vn (C) s’écrit sous la forme d’un produit …ni de la forme
A1 A2::::Ap
avec jjI ¡ Aj jj < p12 ; j = 1; :::p: Si on prend deux matrices quelconques intervenant
dans de telles décompositions, elles engendrent un sous-groupe …ni par hypothèse
donc d’après 10) elles commutent. On en déduit de manière itérative que toutes les
matrice intervenant dans la décomposition des éléments du groupe commutent et
donc que tout élément commute.
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AVRIL 2004
Exercice n° 1
a) C110 =10
b) C18
2
=153
c) C222 = 231
d) C330 = 4060
e) 1.434.925.800 = 10 x 153 x 231 x 4060
Exercice n° 2
3
Un équivalent de la fonction f en + ∞ est (1 - m)x 2 lorsque m est différent de 1.
On en déduit que si m < 1, la limite cherchée est + ∞ et que si m > 1, la limite cherchée est - ∞
p 21
Lorsque m est égal à 1, un équivalent de la fonction f en + ∞ est (1 - )x lorsque p est différent
2
de la valeur 2.
On en déduit que si p > 2, la limite cherchée est - ∞ et que si p < 2, la limite cherchée est + ∞
3 −23
Dernier cas : m = 1 et p = 2 . L' équivalent de la fonction f en + ∞ est x .
2
On trouve alors une limite nulle.
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Exercice n° 3
a) Soit g le taux de variation entre 1982 et 2002, alors on a par définition de celui-ci :
3 = 1 (1 + g)
D’où g = 200 %
b) Soit g m le taux moyen annuel de variation entre 1982 et 2002, on doit avoir :
(1 + g m)20 = 3
D’où g m = 5,647 %
c) De la même façon qu’au a) , on trouve 6,67 %
d) Soit n le nombre d’années cherché, on a : 3,2 x (1 + g m)n = 5
D’où n = 8,26 soit 9 ans.
Exercice n° 4
Exercice n° 5
(4i 22 − i) 2 13 84
a) En utilisant le fait que i 2 = -1, on trouve z = =− − i
(1+2i) 2 25 25
b) D’après la formule de Moivre, on a :
(cos a + i sin a)3 = cos 3a + isin 3a
D’où cos 3a = 4 cos3 a – 3 cos a et sin 3a = - 4 sin3 a + 3 sin a
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Exercice n° 6
Exercice n° 7
Pour déterminer a et b tels que le premier terme non nul soit le terme en x3 , il faut que
(1+b-a) soit nul ainsi que (1/2-b2+ab). La résolution de ce système de deux équations à
deux inconnues donne comme résultat a=1/2 et b=-1/2
Pour conclure, il faut vérifier que le terme en x3 ne soit pas nul. Ceci est vérifié puisque
l’on trouve –1/12.
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