De Architectura

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De architectura

De architectura (en français « au sujet de l’architecture ») est le traité


d'architecture en latin de Vitruve, écrit vers -151, et dédié à l’empereur
Auguste.

Ce traité expose le principe de la superposition vitruvienne des trois ordres


classiques, celui des trois qualités d'un bâtiment rmitas, utilitas et venustas
– solidité (force ou pérennité), utilité et beauté – et celui selon lequel
l’architecture est une imitation de la nature. Ces principes formeront ce que
l’on appellera par la suite la conception classique de l’architecture.

Description
Il s’agit d’une des plus importantes sources de la connaissance moderne des
méthodes et des techniques constructives des Romains, de leur conception
des ouvrages d’une part, aqueducs, palais, thermes, ports, etc., comme des
machines, outils et autres instruments de mesure. Il est également la
principale source de la célèbre histoire d’Archimède et sa baignoire.

À l’origine, le traité était probablement accompagné d’illustrations. Il se


présente comme une encyclopédie des techniques de l’Antiquité romaine, et
fait l’éloge à son dédicataire de la fonction d’architectus, intermédiaire entre
celle de l’architecte grec et de l’ingénieur militaire romain — éloge fort
nécessaire, puisqu’il semble qu’à Rome, ce métier ne fût pas beaucoup
mieux considéré que celui de simple artisan. Or, selon Vitruve, l’architecture
est « science qui s’acquiert par la pratique et la théorie ». L’architecte doit
avoir de nombreuses connaissances en géométrie, en dessin, en histoire, en
mathématiques, en optique.

Unique texte concernant l’architecture qui nous soit parvenu de l’Antiquité, il


occupe une place prééminente dans le fondement théorique de l’architecture
occidentale, depuis la Renaissance et jusqu’à la n du xixe siècle. Ainsi les
architectes de la Renaissance comme les italiens Sebastiano Serlio et
Palladio s’en inspirèrent beaucoup. Il continua d’exercer une in uence
majeure jusqu’à l’avènement de l’architecture classique et baroque, où
Claude Perrault (1613-1688) commença à remettre en question
l’interprétation de ses principes.

Le Moyen Âge a connu Vitruve mais souvent de façon indirecte, malgré


l’existence de quelques manuscrits : ainsi l'épisode d’Archimède et la
couronne du roi Hiéron II nous sont-ils transmis par Vitruve2. C’est à l'érudit
Leone Battista Alberti que l’on doit le regain de faveur du De architectura,
dans les années 1420. Pour établir le texte de la première édition imprimée
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(Rome, 1486, impr. G. Herolt, 2 volumes in-folio), Sulpizio da Veroli dut
collationner plusieurs manuscrits puisqu’aucun ne comportait le texte
complet, mais s’appuya essentiellement sur le manuscrit de l’Escurial (daté
du xie siècle).

Vitruve est connu pour son étude des proportions anatomiques de l’homme,
reprise par Léonard de Vinci dans l’« homme de Vitruve » représentant un
homme à quatre bras et quatre jambes inscrit dans un cercle.

En France, Guillaume Philandrier est l’auteur de la première édition critique


du texte latin (Lyon, 1552, impr. Jean de Tournes).

Le traité à travers les siècles

Miniature de Jean Le Tavernier représentant Jean Miélot (mort en 1472) écrivant, sans
doute dans sa bibliothèque.
Le traité a probablement été écrit vers -251, durant les années où l'empereur
Auguste, à qui il était dédié, ambitionnait une rénovation générale des
édi ces et des embellissements publics. L'in uence de Vitruve sur son
époque semble toutefois avoir été très limitée3 au regard des œuvres
réalisées par lui — il ne s'attribue lui-même, dans le traité, que la paternité de
la basilique de Fano (it).
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Une autre tradition du traité est parvenue, d'un certain Cetius Faventinus, qui
abrège et synthétise le traité de Vitruve pour les lecteurs ordinaires,
notamment les propriétaires privés, que la longueur de l'ouvrage peut rebuter.
Des termes techniques sont remplacées par un vocabulaire plus simple, et
certains bâtiments massifs (temples, théâtres) ne sont pas abordés. Ce n'est
pas un manuel de construction mais il permet aux propriétaires de mieux
contrôler les choix durant les travaux. Il fut écrit sous l'empire, avant Palladius
qui s'en sert comme source. Plusieurs données diffèrent de Vitruve,
notamment dans les statistiques, ces modi cations sont dues à l'expérience
des travaux ou au progrès technique même s'il est dif cilement datable4.

Le traité nous est parvenu grâce à une seule copie, dépourvue d'illustration,
provenant des îles Britanniques (ms. Harleian 2767, VIIIe s., British Museum,
Londres)5 et rapportée par Alcuin à la cour de Charlemagne où elle suscita
un intérêt exclusivement philologique, comme chez Eginhard. Reproduit en
plusieurs exemplaires à partir de la copie originale aujourd'hui perdue, il ne
semble pas avoir exercé une quelconque in uence sur l'architecture durant
tout le Moyen Âge, même si un manuscrit du De architectura à Oxford est
émargé d'une glose de la main de Petrarque et que Boccace en possédait
une copie. D'autres copies sont attestées, également en Italie, à la n du
xive siècle.

Aussi le mythe de sa redécouverte en 1414 à Mont-Cassin par Poggio


Bracciolini n'est pas crédible. Celui-ci en aura retrouvé une copie à travers
ses recherches (peut-être dans l'aire germanique), ce qui contribua
effectivement à sa diffusion3.
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L'« homme vitruvien », illustration de l'édition du De achitectura de Vitruve par Cesare
Cesariano (1521).
Au cours du xve siècle, la connaissance et l'intérêt pour Vitruve iront
croissant, au mérite de Lorenzo Ghiberti, Leon Battista Alberti, Francesco di
Giorgio Martini auteur de la première traduction, partielle, en langue vulgaire
(manuscrite)6, Raphaël (qui le t traduire à Fabio Calvo a n de pouvoir
l'étudier directement)7.

Du xve au xvie siècle, le traité est maintes fois publié, avec notamment l'édition
« reine » revue par Giovanni Sulpizio da Veroli (en) dite Sulpiciana (1490).
La qualité exceptionnelle de cette édition, outre l'attention philologique et
technique dont seul Giovanni Giocondo, littéraire et technicien à la fois, était
capable, est due à l'appareil iconographique qui en devenait la clef de lecture
principale de l'œuvre vitruvienne.

L'édition de Giovanni Giocondo, publiée en 1511 à Venise, avec les


caractères de Giovanni Tacuino (it), revêt une importance majeure car elle
constitue la première édition illustrée du traité, qui sera réimprimée
successivement. Giocondo ajoute 136 dessins reproduits par xylographie,
ayant trait aussi bien aux aspects architectoniques que techniques, comme
les machines de construction, tentant de restituer les illustrations qui devaient
vraisemblablement renforcer l'œuvre originale, et qui s'avèrent utiles à la
compréhension du sens même de nombreux passages du traité.

L'édition corrigée de Cesare Cesariano est la première parue en langue


vulgaire italienne (1521)6. Une autre édition majeure est celle de 1556, revue
par Daniele Barbaro et illustrée par Andrea Palladio. Le xvie siècle ne compte
pas moins de quatre éditions en latin et neuf en italien. En 1547 paraît la
première traduction en français par Jean Martin.

Argument
Dans ce traité, si Vitruve donne à l’architecture le terme de
science[précision nécessaire], il ne la limite pas à un domaine restreint : en effet, il
l’élève au rang de primauté par le fait qu’elle contient pratiquement toutes les
autres formes de connaissance. En l'espèce, l’architecte doit avoir des
notions de :

• géométrie : il doit connaître les formes avec lesquelles il travaille ;


• mathématique : l’édi ce doit rester stable, ce pour quoi des calculs
spéci ques sont nécessaires ;
• anatomie et médecine : construire des lieux pour la vie de l’homme,
pour cela il doit connaître les proportions humaines, doit être attentif à
l’éclairement, à l’aération et à la salubrité des villes et des édi ces ;
• optique et acoustique : il suf t de penser aux théâtres ;
• droit : de toute évidence, la construction doit suivre des règles bien
précises ;
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• théologie : dans le cas de l’édi cation des temples, ceux-ci devaient
être agréables aux dieux ;
• astronomie : certains types de bâtiments, en particulier lieux de culte,
doivent tenir compte de la position des étoiles ;
• météorologie : le microclimat du lieu de construction de l’édi ce est
fondamental pour les caractéristiques qu’il doit avoir.
L’architecture est imitation de la nature, l’édi ce doit s’insérer
harmonieusement dans l’environnement naturel. L’architecte doit posséder
une culture générale[style à revoir] vaste, également philosophique — le modèle du
De oratore de Cicéron est présent chez Vitruve, outre la connaissance de
l’acoustique pour la construction des théâtres et des édi ces semblables, de
l’optique pour l’éclairement naturel des édi ces, de la médecine pour
l’hygiène des aires constructibles.

« L’architecture est une science qui embrasse une grande variété d’études et
de connaissances ; elle connaît et juge de toutes les productions des autres
arts. Elle est le fruit de la pratique et de la théorie. La pratique est la
conception même, continuée et travaillée par l’exercice, qui se réalise par
l’acte donnant à la matière destinée à un ouvrage quelconque, la forme que
présente un dessin. La théorie, au contraire, consiste à démontrer, à
expliquer la justesse, la convenance des proportions des objets travaillés.
Aussi les architectes qui, au mépris de la théorie, ne se sont livrés qu’à la
pratique, n’ont pu arriver à une réputation proportionnée à leurs efforts. Quant
à ceux qui ont cru avoir assez du raisonnement et de la science littéraire,
c’est l’ombre et non la réalité qu’ils ont poursuivie. Celui-là seul, qui,
semblable au guerrier armé de toutes pièces, sait joindre la théorie à la
pratique, atteint son but avec autant de succès que de promptitude. »
— Vitruve, De l’architecture8, livre i.
Vitruve, dans la préface, vise aussi à conférer à l’architecte un prestige
culturel et social fortement ancré dans les techniques anciennes.

Structure du traité
L’ouvrage est subdivisé en dix livres dont chacun est précédé d’un
préambule :

• Livre i : organisation urbaine, architecture en général, formation et


compétences de l'architecte ;
• Livre ii : techniques d’édi cations et matériaux, origine de
l’architecture ;
• Livres iii et iv : temples et ordres architecturaux ;
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• Livre v : édi ces publics avec une référence particulière au forum, à la
basilique et aux théâtres ;
• Livre vi : édi ces privés (lieu, types, plâtres, pavements) ;
• Livre vii : parements et décoration ;
• Livre viii : hydraulique ;
• Livre ix : cadrans solaires, digression astronomiques et astrologiques ;
• Livre x : mécanique (construction de grues, machines hydrauliques et
de guerre).
Les dessins qui accompagnaient vraisemblablement le traité sont perdus.

Table des matières (traduction de Maufras, 1847)


Cette section a besoin d'être
recyclée (juin 2022).
Une réorganisation et une clari cation
du contenu sont nécessaires. Améliorez-
la ou discutez des points à améliorer.
LIVRE I
1. De l’architecture ; qualités de l’architecte
2. En quoi consiste l’architecture
3. Des parties dont se compose l’architecture
4. Sur le choix d'un lieu qui soit sain
5. Des fondements des murs et des tours
6. De la distribution des bâtiments, et de la place qu'ils doivent occuper
dans l'enceinte des murailles
7. Du choix des lieux destinés aux usages de tous les citoyens
LIVRE II
1. De la manière de vivre des premiers hommes ; des commencements
de la société humaine ; des premières constructions et de leurs
développements
2. Des principes des choses, selon l’opinion des philosophes
3. Des briques
4. Du sable
5. De la chaux
6. De la pouzzolane
7. Des carrières de pierres
8. Des différentes espèces de maçonnerie
9. Des bois de construction
10. Du sapin supernas et de l'infernas, avec la description de l'Apennin
LIVRE III
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1. D’après quel modèle on a établi les proportions des temples
2. Plan et proportions des temples
3. Des cinq espèces de temples
4. Des fondements à faire, soit dans des terrains solides, soit dans des
terres rapportées
5. Des colonnes ioniques et de leurs ornements
LIVRE IV
1. Des trois ordres de colonnes, de leur origine et de la proportion du
chapiteau corinthien
2. Des ornements des colonnes
3. De l’ordre dorique
4. De l’intérieur des cella, et de la distribution du pronaos
5. De l'orientation des temples
6. Portes et chambranles des temples ; leurs proportions
7. De l’ordre toscan
8. Des temples ronds et de ceux qui présentent d'autres dispositions
9. De la disposition des autels des dieux
LIVRE V
1. Du forum et des basiliques
2. De la disposition du trésor public, de la prison et de l’hôtel de ville
3. Des théâtres et du choix d'un endroit sain pour les y placer
4. De la musique harmonique
5. Des vases du théâtre
6. De la forme à donner aux théâtres
7. Du plafond du portique des théâtres
8. Des théâtres des Grecs
9. Des portiques qui sont derrière la scène, et des promenoirs
10. Les bains ; leur disposition et leurs différentes parties
11. De la construction des palestres ; des xystes
12. Des ports, et des constructions qui doivent se faire dans l’eau
LIVRE VI
1. De la disposition des maisons appropriées aux localités
2. Des proportions et des mesures que doivent avoir les édi ces des
particuliers, suivant la nature des lieux
3. Des cavaedium, ou atrium, et de leurs ailes ; du cabinet d'étude et du
péristyle ; des salles à manger, des salons, des exèdres ; des galeries
de tableaux, et de leurs dimensions ; des salons in la manière des
Grecs
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4. Vers quelle partie du ciel doit être tournée chaque espèce d'édi ces,
pour qu’ils soient commodes et sains
5. Des édi ces considérés sous le rapport de leur disposition particulière,
relativement à la qualité des personnes qui doivent les habiter
6. De la disposition des maisons à la campagne
7. De la disposition des édi ces grecs, et des parties qui les composent
8. De la solidité et des fondements des édi ces
LIVRE VII
1. De la rudération
2. De la préparation de la chaux pour faire le stuc
3. De la disposition des planchers en forme de voûte ; du stuc et du crépi
4. Des enduits qu'il faut faire dans les lieux humides
5. De la manière de peindre les murailles
6. De la manière de préparer le marbre pour de faire du stuc
7. Des couleurs naturelles
8. Du cinabre et du vif-argent
9. De la préparation du cinabre
10. Des couleurs arti cielles
11. Du bleu d'azur et de l'ocre brûlée
12. De la céruse, du vert-de-gris et du minium
13. De la pourpre
14. Des couleurs qui imitent la pourpre
LIVRE VIII
1. De la manière de trouver l'eau
2. De l’eau de pluie
3. Des eaux chaudes, et de la nature de plusieurs fontaines, euves et
lacs
4. Des qualités particulières à certains lieux et à certaines fontaines
5. Moyen de connaître la qualité des eaux
6. De la manière de niveler les eaux, et des instruments qu'on doit
employer
7. De la manière de conduire les eaux, de creuser les puits, de faire les
citernes, et autres ouvrages maçonnés à chaux et à ciment
LIVRE IX
1. Des douze signes du zodiaque, et des sept astres qui ont un
mouvement contraire à celui de ces signes
2. Du croissant et du décours de la lune
3. Comment le soleil, parcourant les douze signes du zodiaque, allonge
ou diminue les jours et les heures
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4. Des constellations qui sont placées à la droite de l’orient, entre le
zodiaque et le septentrion
5. Des constellations qui sont placées à la gauche de l’orient, entre le
zodiaque et le midi
6. De l’astronomie employée pour prédire les changements de temps, et
ce qui doit arriver aux hommes, d'après l’aspect des astres au moment
de leur naissance
7. Manière de faire un analème
8. De l’invention des horloges d'été ou cadrans solaires ; des clepsydres
et des horloges d'hiver ou anaphoriques
LIVRE X
1. Des machines ; en quoi elles diffèrent des organa
2. Des machines qui servent à tirer
3. De la ligne droite et de la ligne circulaire, principes de tout mouvement
4. Des différentes espèces de machines destinées in tirer l'eau
5. Des roues que l'eau met en jeu, et des moulins à eau
6. De la limace qui donne une grande quantité d'eau sans l'élever bien
haut
7. De la machine de Ctesibius qui élève l’eau très-haut
8. Des orgues hydrauliques
9. Du moyen de connaitre combien l'eau a fait de chemin, dans une
voiture ou sur un bateau
10. Des proportions des catapultes et des scorpions
11. Des proportions des balistes
12. De la manière de bander avec justesse les catapultes et les balistes
Style
Dans la préface, Vitruve est un écrivain élégant et rhétorique. Dans les
parties suivantes, c’est une langue didactique, sans oritures, ef cace, et
usant de techniques d’origine grecque. Ce livre est le premier exemple de
traitement systématique de la materia giuntaci.

L’emprunt à Vitruve du classicisme


« Dans tous ces différents travaux, on doit avoir égard à la solidité, à l’utilité,
à l’agrément : à la solidité, en creusant les fondements jusqu’aux parties les
plus fermes du terrain, et en choisissant avec soin et sans rien épargner, les
meilleurs matériaux ; à l’utilité, en disposant les lieux de manière qu’on puisse
s’en servir aisément, sans embarras, et en distribuant chaque chose d’une
manière convenable et commode ; à l’agrément, en donnant à l’ouvrage une
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forme agréable et élégante qui atte l’œil par la justesse et la beauté des
proportions. »
— Vitruve, De l’architecture9, livre i.
Du livre premier du traité, Claude Perrault tira au xviie siècle, ce passage
célèbre à partir duquel il formula la triade vitruvienne à laquelle l’architecture
doit satisfaire :

• rmitas (solidité, ou robustesse) ;


• utilitas (commodité, ou utilité) ;
• venustas (beauté, ou volupté).
Cette triade condense éloquemment le traité de Vitruve, mais celui-ci contient
une vision théorique plus complexe et n’est pas aussi strictement cohérent.

Premières et principales traductions en Europe


En italien
• 1521 : Côme, Cesare Cesariano, éd.Gottardo da Ponte (en
ligne [archive]).
• 1524 : Venise, éd. Durantino (en ligne [archive]).
• 1536 : Pérouse, éd. Caporali (en ligne [archive]).
• 1556 : Venise, éd. Daniel Barbaro (en ligne [archive]).
En allemand
• 1548 : Vitruvius Teutsch Nuremberg, éd. Gualerius Rivius (Walter Ryff)
(en ligne [archive]).
• 1796 : August Rode, Leipzig (?).
En français
• 1547 : Paris, Jean Martin, ill. de Jean Goujon10 (en ligne [archive].)
• 1556-1559 : Epitome (abrégé), Toulouse, Jean Gardet, ill. de
Dominique Bertin, annotations de Jean Gardet sur les trois premiers
volumes (en ligne [archive]).
• 1572 : Paris, Jean Martin, Marnef et Cavellat (en ligne [archive]).
• 1673 : Paris, trad. Claude Perrault, éd. J.-B. Coignard (en ligne [archive]).
• 1816 : Bruxelles, De Bioul.
• 1837 : Paris, trad. Claude Perrault, éd. E. Tardieu et A. Coussin Fils,
avec toutes les notes de Perrault (en ligne [archive]).
• 1847 : Paris, trad. Ch.-L. de Maufras, éd. Panckoucke, avec les textes
en latin et en français en vis-à-vis (en ligne [archive]).
• 1857 : Paris trad. Claude Perrault, éd. M. Nisard, Collection des auteurs
latins avec la traduction en français.
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• 2015 : De l'architecture, édition dirigée par Pierre Gros, Paris, Les
Belles Lettres.
Autres éditions, voir le site Architectura du CESR11.

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