Le Sud-Ouest de Madagascar Etude Géodynamique
Le Sud-Ouest de Madagascar Etude Géodynamique
Le Sud-Ouest de Madagascar Etude Géodynamique
e
RÉSUMÉ
1 Situation 1 tzj / &$~ZoZo S
e
La région étudiée occupe la partie méridionale
du versant occidental de Madagascar. Elle est cons-
tituée de terrains sédimentaires et volcaniques, étalés Mananjary ... . Côte Est 6 2 799 209
Fianarantsoa .... Hautes Terres 1 106 1 221 167
en contrebas des Hautes Terres Centrales qui cor-
Ranohira ....... Versant Ouest . 833 912 80
respondent à nn socle granito-gneissique. Son climat, Sakaraha .. ... - - 460 733 63
tropical à saisons contrastkes, est affecté, de par la Vineta .. ....... - - 430 685
situation sous k vent Ides alizks, d’un fort gradient Tulear .......... Côte Sud-Ouest 9 341 74
Anakao ... .... - - 6 235 -
d’aridité, croissant selon un axe NE-SW (tabl. 1).
SAKARAHA
RANoIH’RA
dépression
sakamenienne
dômes reliefs II
SOCLE
PLAINE PLATEAUX KARSTIQUES REGION DE L’ISALO
COTIERE F F
wsw ENE
200 km
El dunes aepyorniennes
cm
calcaires marneux jurassiques
F .faille
- Elle monte par paliliers, du niveau de la mer vée avec le Flandrien sans que l’on puisse affirmer
à celui des Hautes Terres, voisin de 1 100 m, et qu’elle coïncide exactement avec le Quaternaire.
contourne deux sommets de plus d,e 1 300 m. Ces séquences étant portées dans les colonnes 1
- Elle recoupe les principaux affleurements sédi- et 2 d’une grille (tabl. II), celle-ci fait apparaître
mentaires et les émissions basaltiques intercalées de façon schbmatique certaines relations de causes
dont la disposition générale est sub-méridienne. à effets et certaines coïncidences chronologiques qui
- Son otientation SW-NE comcide avec celle pourraient #êtrecontestées. Elles s’appuient néanmoins
du gradient climatique et recoupe Qes courbes d’iso- sur des considérations théoriques développées par
valeur de la m&orologie. Tricart (1966), et sur de nombreuses observations
- Elle traverse une succession ordonnée de locales (Bourgeat et Ratsimbazafy, 1975).
paysages contras&, caractirisés par diverses combi- - Aux transgressions correspondent le3 plu-
naisons des facteurs de situation, ,de structure, de viaux, ce qui favorise la stabilisation Ides modelés,
substrat et de climat. l’altération des roches et l’approfondissement des
sols dans un contexte de biostasie.
Ces paysages peuvent être regroupes en trois
grands domaines naturels que nous nommerons - Aux kgressions correspondent les displuviaux,
le domaine côtier, le domaine calcaro-basaltique ce qui favorise l’érosion, la ‘troncature des sols et
et le domaine gréseux. l’e ,renouvellement des matiriaux originels ‘dans un
contexte de rh,existasie.
Leur inventaire conduit à trois constatations.
D’une part, des sols bisiallitiques, monosiallitiques, L’étude ,de quelques associations morpho-pédo-
g&r&iques des trois grands domaines du Sud-Ouest
allitiques et podzoliques, rubéfiés ou non, y sont
va nous permettre ‘de vérifier, compléter et généra-
représentés - c’est-à-dire toute la gamme crist,dlo-
chimique de sol définie par Pedro ,(19!68) à l’échelle liser ces ,donnkes.
de l’univers - bien que la genèse de certains d’entre
eux puissent paraître incompatible avec les caracté- Les formations dunaires proches de Tuléar cons-
ristiques actuelles des ,olimats locaux, arides ou sub- tituent le paysage le plus reprksentatif du domaine
arides ; d’où l’idée de phases ~d’évolution anciermes côtier. Il s’agit rde sbdiments plio-aepyorniens d’alti-
qui auraient ét& favorisées par ‘des climats plus tude inférieure à 35 m. Le olimat est actuellement
humides. mdgathermique et aride.
D’autre part, ces sols qui témoignent de processus D’Ouest en Est à partir du rivage, on observe
génétiques et de Idegr& d%volution très dissemblables successivement un cordon dunaire beige (10 YR
se rencontrent, superposés ou juxtapos&, à l’intérieur Munsell), un massif Idunaire roux clair (7,5 YR), une
de mêmes domaines ; ,d’où l’idée ld’une évolution nappe de sables roux foncés (5 YR) et des gisements
cyolique qui aurait favorisé alternativement, soit sporadiques de sables roux-rouges (25 YR), associés
l’altération des roches et la différenciation de plu- à un petit relief de grès dunaire encroûté par le
sieurs générations de sols, soit le dkcapage glus ou calcaire.
moins ‘total de ces sols et la &gén&ation des maté- Les diverses formation3 de sables roux repré-
riaux originels. sentent les horizons supérieurs #décarbonatés et plus
Enfin, les mêmes sols étant associés aux mêmes ou moins ruMfiés de profils pédologiques dont les
modelés, il semble que la pédogenèse et la morpho- horizons inférieurs, beiges et cakaires, sont sem-
genèse se sont exprimées dialectiquement de manière blables.
cyalique, selon des modalitis bien déterminkes. Or, ces formations se fossilisent partiellement
Cette hypothèse n’est pas nouvelle, à Madagascar l’unle l’autre : ainsi, des sables roux clair dkarbonatés
notamment. Les travaux antérieurement effectués ont été retrouvés par Isondage à quelque3 mètre3
dans l’extrême-sud l(Battistini, 19,64), sur les Hautes sous les matériaux beiges et calcaires du premier
Terres (Bourgeat, 1’972) et à TuIéar même (Sourdat cordon ,dunaire ; les sables roux foncks décarbonatés
et Gense, 1969) ont mis en évSdence le3 traces ont été retrouvés sous les matériaux originels, cal-
morpho-pédo&n&iques de séquenlces eustatiques et caires et beiges, de la formation roux olair et de
climatiques : 4 transgressions et 4 d’ispluviaux ont même les sables roux-rouges sous les matériaux
rythmé la chronologie d’une période dite aepyor- originels beiges et calcaires ‘de la formation roux
nienne, période qui a suivi le Pliocène et s’est ache- fonaé (fig. 2).
Mathaux calcaires
beiges
FIG.2.- Stratification
des solssur dune du domaine côtier.
De plus, l’étuIde minéralogique montre que les sivement d’un glacis d’épandage pliocène ldont témoi-
sables beiges des matériaux originels et du premier gnent quelques ,buttes #de sables grossiers rubéfiés
cordon ldunaire sont de constitution semblable : et une contamination superficielle diffuse.
quartz, calcite, kaolinite, attapulgite, chlorite, itllite, Par la granulométrie et la teneur en midraux
montmorillonite... que les sables roux clair sont lourds, les matériaux issus de la ldécarbonatation
caractérisés, outre la disparition ‘de la calcite, par du substrat ‘diffèrent de ceux qui héritent de la
une moindre proportion d’attapulgite de chlorite couverture sableuse (Sourdat et Mahé, 1975 ; Sourdat,
et ‘de montmorillonite ainsi que Ipar la présence de Delaune et Mahié, 1975). Selon la prédominance
fer apparemment amorphe... que les sables roux des uns ou des autres, des sols sur calcaires se
foncés sont reduits au quartz, à Ila kaolinite et au distinguent des sols associés aux Cal!caires. Il existe
fer amorphe... que les sables roux-rouges enfin ne par ai#leurs des relations constantes entre la lithologie
renferment plus guère que du quartz et des particules du substrat, le modelé et les sols.
de fer amorphe. Il s’agit ,donc lde matériaux bien
différenciés, bisiahhtiques ou monosiallitiques, plus Ainsi, sur les affleurements de calcai,res impurs
ou moins rubéfiés. et lit& non kartiques, se sont développ&s deux
types de sols : les uns peu profonds, limono-calcaires,
Ces observations prouvent qu’à quatre reprises, riches ‘en montmorillonite et bruns ; les autres moyen-
à la faveur sans doute d’un retrait de la mer en nement profonds, argileux, non calcaires, moins
phase aride, Ides sédiments sableux calcaires se sont riches en montmorillonite et rouges. 11 s’agit de
d6pos6s sur la côte ; qu’à trois reprises, à la faveur sols bisiallitiques, rubéfiés ou non.
de phases relativement humides mais d’efficiences
pédog&r&iques ‘décroissantes, accompagnant sans Aux affleurements ‘de calcaires (durs et massifs,
doute un retour de la mer, ces dépôts ont été modelés en lapiaz, sont associ& le plus souvent
décarbonatés et rubéfiés à (divers degrés ; quant à des sols profonds, ,sablo-argileux, non calcaires et
la quatrième phase climatique, elle fut impuissante rouges, constitués de quartz, de kaolinite et Nd’oxydes
à modifier significativement le taux ,de calcaire et ‘de fer partiellement amorphes. Il s’agit de sols mono-
la couleur du ‘dernierdépôt. sidllitiques rubéfi&.
Reportant ,ces cons6quences kdimentaires et p&lo- En outre, aux abords Idu liewdit Tranokaky, on
génétiques dans la colonne 3 ldu tableau II, nous peut observer, associ& à des lapiaz de calcaires
constatons que les phénomènes observés dans un durs et massifs deux types de sols, argileux, non
paysage typique idu (domaine côtier ,sont parfaitement cal,caires et riches en gibbsite : l’un est rouge et
compatibles avec la grille de référence. semble ,s’être d&eloppé puis conserv6 en place ;
l’autre est jaune et provient (de s6diments d’origine
basaltique piégés ‘dans les Ilapiaz comme le prouve
Le plateau de Vineta représente un paysage sa teneur en minéraux lourds et en minéraux magné-
typique du domaine calcaro-basaltique. 11 repose sur tiques. Il s’agit lde sols allitiques, rubéfiés ou hydratés.
des calcaires cr&acés, à l’altitude de 450 m et sous Le plateau de Vineta est encadré par deux crêtes
climat mégathermique sub-humide. Son modelé plus basaltiques de structure identique mais d’altitudes
ou moins nettement karstique s’est ,dégagé progres- très différentes : l’Analavelona, culminant à 1 343 m
et ,l’Andrambo à ,649 m. Leur érosion a donné sols rouges sur calcaires comme on peut le voir
naissance à des épandages de matériaux finement dans la coupe de la rivière Siva.
,divisés qui ont fossilise le plateau calcaire en contre- Des sols peu profonds, riches en pseudo-particules,
bas. Plusieurs sols sur basaltes ou sédiments basal- rouges, riches en métahalloysite et en oxydes de fer
tiques peuvent être distingués. amorphes ~(solsmonosiallitiques rouges) peuvent éga-
lement être observés sur basaltes. De plus un sol
Des vertisols (sols bisidlitiques non rubéfiés) cou- profond, riche en pseudo-particules, rouge, riche
vrent certains affleurements de basaltes. D’autres, en gibbsite, se trouve conserd au sommet de l’Ana-
devdoppés sur s&diments basaltiques, fossilisent les lavelona (sol a!llitique rouge) (fig. 3).
Ainsi donc, de’s morpho-séquences de sols alli- Le domaine d’affleurement des grès grossiers à
tiques, monosiallitiques, bisiallitiques, rubéfiés ou galets quartzitiques de 1’Isalo a été nivelU par un
non, s’observent parallèlement sur calcaires ou sur cycle ,d’érosion méso-tertiaire, dont témoigne un
basaltes. Certains déphasages chronologiques sont ensemble tabulaire disséqué, à l’altitude de 1 100 m
évildents : piégeage de matériaux allochtones dans environ, sous climat mégathermique sub-humide.
des lapiaz pré-existants ; évolution inégale ‘de &di-
ments basalltiques d’origines identiques mais d’âge Tous les Gléments résiduels ‘de cette surface an-
très différents ; fossilisation d’un sol rouge sur cal- cienne sont couverts par un même sol, profond de
caire par le ,dernier sédiment basaltique... plus de 20 m, {dont l’horizon superficiel rouge,
argilo-sableux, riche en pseudo-particules, contient
Par analogie avec ce qui a été constaté dans le de la kaolinite, du quartz, de la gibbsite, et des
domaine côtier, on peut admettre qu’à quatre repri- oxydes de fer ; il ‘s’agit d’un sol allitique rubéfié.
ses au cours de phases biostasiques, ‘des sols se sont Cet horizon se prolonge en profondeur par des
différenciés, sur basaltes ou sur calcaires, à des horizons gravillonnaires et altéritiques polychromes ;
degrés divers et décroissants dans lie temps, tandis à la périphérie Id#esplateaux, ceux-ci affleurent et
qu’à quatre reprises les phases rhexistasiques avaient se consolident sous forme de cuirasse ferrugineuse
simultanément isolé quelques témoins des sols anciens oo-pisolithique.
et ramené en surface les matériaux originels des sols
récents. Les quatre générations de sols trouvent place En contre-‘bas #du paysage tabmaire s’étend un
‘dans la colonne 4 du tabl,eau II. paysage de glacis coalescents ; les dômes sableux.
TABLEAU II
D’un glacis à Il’autre, Iles coupes observ6es diffèrent matériau argilo-sablo-gravilonnaire, rouge piqueté
beaucoup mais U’observation d’une centaine d’entre de blanc, rarement allitique et dont l’organisation
elles permet de reconstituer une coupe typique dont pédo-plasmatique semble avoir été perturbée.
les autres Idérivent par différents types de tronca-
tures. La coupe ‘typique (dont un exemple au moins Au-dessus s’observe une seconde stone-line et
a été réellement observé comporte 4 niveaux de sols un matériau argilo-sableux, rouge, souvent alllitique,
superpoués, YéparG par de fortes .discontinuit& fortement organisé en micro-agdgats. En outre, des
(fig. 4). macro-agrégats d’origine illuviale ‘s’individualisent au
sommet de ce niveau.
A la base, se trouvent les grès dtérés, baridés,
sous un aspect semb’lable à celui de I’altérite du sol Après une discontinuité, fortement marquée par
ferrallitique des taMes. le rassemblement des macro-agrégats sous forme
Au-dessus s’étend une épaisse stone-line (1 mètre) d’une mince stone-line, on trouve un autre niveau
de galets et (de débris de cuirasse, surmontée d’un de sol rouge semblable au précédent.
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CI
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M. SOURDAT
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profil lessivé (A = a + b -l-x - B = y), à la faveur
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d’une modification du régime hydrique ,d’origine
climatique.
A ces profils originaux sont associés <des podzols,
les premiers sous savanes et les seconds sous forêts.
11 semble que les profils lessivés (AB) et les podzols
se soient id&eloppes simultan&ment, la podzolisation
se substituant au lessivage sous l’action d’un humus
forestier, là où le matériau sableux est le plus gros-
Y niveau M4 sier ou encore là où une forte discontinuité de
régime hydrique correspond à la troncature plus
stone-line brutale du niveau sous-jacent.
de macro-agrégats
Les diverses phases de dépôt, d’altération, d’orga-
nisation, de troncature ou de remaniement des
niveau M3 niveaux de sols qui constituent 110scoupes de glacis
de 1’Isalo s’inscrivent aisément dans la grille de
stone-line ref&ence. Quant au sol des tables, il la déborde
de macro-agrégats car son alt&ation est forcément antérieure à la
première phase de demantèlement ,de la cuirasse.
niveau M 2
riaux Idéjà 6puids par une longue histoire qui ont sont figés et les modelés décents ‘qui sont vuldrables,
éd périodiquement recyclés. C’est pourquoi Iles qua- d’autre part entre les matériaux anciens qui sont
tre générations de sols de I’Isalo sont assez peu stabilisés par épuisement ou forte organisation pédo-
diftirenciées entre elles (ellitiques, monosialllitiques plasmatique, et les matériaux récents qui sont miné-
ou exceptionnellement podozoliques, mais de mor- ralogiquement riches et par condquent fertiles. Cette
phologies très semblables) tandis que les sols sur opposition illustre admirablement la théorie bio-
dunes, sur calcaires ou sur basaltes sont très diver- rhexistasique Id’Erhart et la dialectique de stabilité-
sifiés, et nettement distincts. instabilité morpho-dynamique de Tricart.
Il n’existe pas dans le Sud-Ouest de topodquences I;l eut été difficile de n%oudre les problèmes
comparables à celles qui ont étk si souvent (décrites pédologiques qui se trouvent ‘posés ‘dans le Sud-Ouest
en Afrique parce que 8es divers milieux que nous de Madagascar sans replacer leur étude dans le
avons étudiés sont excessivement perméables et fort cadre plus vaste de l’évolution géomorphologique
bien drainés. Il n’existe que très exceptionnellement qui commande la pédogenèse. Cette voie féconde
des bassins (de réception où les éléments issus de avait été ouverte par nos prédécesseurs et collègues,
l’amont pourraient se rassembler et se recombiner. géographes et ,pédologues du Centre ORSTOM de
Par contre, les relations constantes établies entre Tananarive auxquels les résultats acquis rendent
les sols et le modelé constituent des morpho- hommage.
séquences.
Les paysages sont caractérisés par une opposition
constante, ‘d’une ,part entre Iles mod&s anciens qui Manuscrit reçu arrS.C.D. de I’ORSTOM le 13 octobre 1976.
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