Punir Un Enfant À Cause de Ses Mauvaises Notes

Sujet : Votre voisine punit sévèrement son fils en
raison de ses mauvaises notes. Vous défendez

l’enfant. Rédigez un récit d’une vingtaine de lignes
dans lequel vous rapporterez le dialogue qui s’est
déroulé entre vous.
Méthode du récit intégrant un dialogue :
(Powerpoint sur J’excelle)
Recherche d’idées et ressources lexicales. (Livre
révision II)
- De la page 2 à la page 5
-De la page 16 à la page 27
Textes dans les annales sur les difficultés
scolaires :
-2006 (page 53)
-2010 (page 66) (Très intéressant !)
-2019 (page 100)
Réci Introduction générale : Elle n’est pas obligatoire
t1 1 Situation initiale
Prétexte au dialogue
Mes arguments : Les arguments de la
voisine
Je ne veux pas m’ingérer Si je le punis aussi
dans votre façon sévèrement c’est parce
d’éduquer votre fils mais que j’ai peur qu’il refasse
vous ne pouvez pas l’année et qu’il soit
2
résoudre ce problème en renvoyé/ qu’il ne
agissant ainsi/ en vous poursuive pas ses études/
comportant ainsi. Cela ne sa scolarité. Je ne veux
fera qu’aggraver la pas qu’il gâche son avenir.
3
situation parce que votre
fils pourra détester les
études.
Vous croyez qu’il n’est pas
conscient de cela ? A cause
de ses mauvaises notes, il
souffre autant que vous.
Pour un élève, l’échec
scolaire est un véritable
1
Pour le récit 1 et 2 , revenez au Powerpoint sur J’excelle
2
Dans le récit 1, vous devez parler de ce problème, nommez l’enfant et la voisine
3
La situation s’aggravera / empirera / ira de mal en pis
calvaire. 4
Au lieu de le punir, vous
devriez parler avec lui, Comme toutes les mères,
l’écouter et le comprendre. je tiens à ce qu’il
Ainsi, vous pourrez l’aider réussisse ses études.
à surmonter ses difficultés. Je voudrais qu’il ait un bel
Il faut lui prodiguer de avenir.
bons conseils et le
soutenir. Il est important
aussi de le rassurer et de
l’encourager afin qu’il
reprenne confiance en lui-
même. Il en a vraiment
besoin.
Récit 2
L’échec scolaire ne légitime / justifie pas les

sanctions sévères. Pourtant, certains parents infligent
les pires punitions à leurs enfants à cause de leurs
mauvaises notes. C’est le justement le cas de Mme Alia,
notre voisine, qui battait souvent son fils à cause de ses
résultats.
Un jour, j’entendis des sanglots et des
supplications5 qui provenaient de chez Mme Alia. Elle
venait de recevoir le bulletin scolaire de son fils. Pris de
compassion6 pour le petit Mohamed et révolté/ indigné
par la dureté7 de sa mère, j’allai chez elle pour lui en
parler. Je l’abordai en essayant d’apaiser les esprits/ les
tensions :
« Je ne veux pas m’ingérer dans votre façon d’éduquer
votre fils mais vous ne pouvez pas résoudre ce
problème8 en agissant ainsi/ en vous comportant ainsi.
Cela ne fera qu’aggraver la situation9parce que votre fils
pourra détester les études.
4
douleur, enfer, martyre, supplice, torture.
5
Vous pouvez parler aussi de « plaintes », de « gémissement ( plaintifs) »
6
Pris de pitié. Cela me fendit le cœur
7
La sévérité
8
9
- Si je le punis aussi sévèrement c’est parce que j’ai peur
qu’il refasse l’année et qu’il soit renvoyé/ qu’il ne
poursuive pas ses études/ sa scolarité. Je ne veux pas
qu’il gâche son avenir. Mais, il n’y pense même pas !
répondit Mme Alia soucieuse/ inquiète/ tourmentée.
-Vous avez tort de croire cela, objectai-je sur un ton
convaincant/ persuasif, je ne pense pas qu’il soit
conscient de cela. A cause de ses mauvaises notes, il
souffre autant que vous. Pour un élève, l’échec scolaire
est un véritable calvaire.
- Comme toutes les mères, je tiens à ce qu’il réussisse
ses études. Je voudrais qu’il ait un bel avenir. Je ne
demande rien de plus, reprit-elle, touchée par ce que je
venais de dire.
-Je vous comprends parfaitement mais au, lieu de le
punir, vous devriez parler avec lui, l’écouter et le
comprendre. Ainsi, vous pourrez l’aider à surmonter ses
difficultés. Il faut lui prodiguer de bons conseils et le
soutenir. Il est important aussi de le rassurer et de
l’encourager afin qu’il reprenne confiance en lui-même.
Il en a vraiment besoin. » lui proposai-je avec un sourire
engageant.
Mes paroles firent leur effet sur Mme Alia qui prit un
air méditatif/ songeur/ pensif. Je parvins/ réussis à la
convaincre. Désormais, elle changea de comportement
avec son fils 10 quant à ce dernier, ses notes
s’améliorèrent petit à petit.
Le récit intégrant un dialogue au présent de

narration
10
Elle devint moins dure/ rude/ sévère avec son fils.
notre voisine, qui bat souvent son fils à cause de ses
résultats.
Un jour, j’entends des sanglots et des
supplications11 qui proviennent de chez Mme Alia. Elle
vient de recevoir le bulletin scolaire de son fils. Pris de
compassion12 pour le petit Mohamed et révolté/ indigné
par la dureté13 de sa mère, je vais chez elle pour lui en
parler. Je l’aborde en essayant d’apaiser les esprits/ les
tensions :
Cela ne fera qu’aggraver la situation15parce que votre
fils pourra détester les études.
qu’il gâche son avenir. Mais, il n’y pense même pas !
répond Mme Alia soucieuse/ inquiète/ tourmentée.
-Vous avez tort de croire cela, objecté-je sur un ton
demande rien de plus, reprend-elle, touchée par ce que
je venais de dire.
11
12
13
La sévérité
14
15
Il en a vraiment besoin. » lui proposé-je avec un sourire
engageant.
Mes paroles font leur effet sur Mme Alia qui prend
un air méditatif/ songeur/ pensif. Je parviens / réussis à
la convaincre. Désormais, elle change de comportement
avec son fils 16 quant à ce dernier, ses notes
s’améliorent petit à petit.
Il est possible aussi de remplacer le

passé simple par le passé composé !
notre voisine, qui battait souvent son fils à cause de
ses résultats.
Un jour, j’ai entendu des sanglots et des
supplications17 qui provenaient de chez Mme Alia. Elle
venait de recevoir le bulletin scolaire de son fils. Pris
de compassion18 pour le petit Mohamed et révolté/
indigné par la dureté19 de sa mère, je suis allé chez elle
pour lui en parler. Je l’ai abordé en essayant d’apaiser
les esprits/ les tensions :
16
17
18
19
La sévérité
Cela ne fera qu’aggraver la situation21parce que votre
fils pourra détester les études.
qu’il gâche son avenir. Mais, il n’y pense même pas ! a
répondu Mme Alia soucieuse/ inquiète/ tourmentée.
-Vous avez tort de croire cela, ai-je objecté sur un ton
demande rien de plus, a-t-elle repris, touchée par ce que
je venais de dire.
Il en a vraiment besoin. » lui ai-je proposé avec un
sourire engageant.
Mes paroles ont fait leur effet sur Mme Alia qui a
pris un air méditatif/ songeur/ pensif. Je suis parvenu / ai
réussi à la convaincre. Désormais, elle a changé de
comportement avec son fils 22 quant à ce dernier, ses
notes se sont améliorées petit à petit.
20
21
22

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Sujet : Votre voisine punit sévèrement son fils en

raison de ses mauvaises notes. Vous défendez

L’échec scolaire ne légitime / justifie pas les

Le récit intégrant un dialogue au présent de

Il est possible aussi de remplacer le

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