AES L1 S1-Mathématiques

Michelle Nourigat

michele.nourigat@univ-montp3.fr

Année universitaire 2013-2014 - Premier semestre

Michelle Nourigat
AES L1 S1-Mathématiques
 Equations du premier degré
Soit a 6= 0 et b deux réels donnés,
Toute équation de la forme ax = b ( équation dite du premier
degré) où a, b sont des nombres réels donnés , a 6= 0 et x est
b
l’inconnue, admet une unique solution x = .
a

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 Equations du premier degré
Soit a 6= 0 et b deux réels donnés,
Toute équation de la forme ax = b ( équation dite du premier
degré) où a, b sont des nombres réels donnés , a 6= 0 et x est
b
l’inconnue, admet une unique solution x = .
a
Donnons des exemples :
x + 6 = 0 donc x = ..., x − 7 = 0 donc x = ....

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AES L1 S1-Mathématiques
 Equations du premier degré
Soit a 6= 0 et b deux réels donnés,
Toute équation de la forme ax = b ( équation dite du premier
degré) où a, b sont des nombres réels donnés , a 6= 0 et x est
b
l’inconnue, admet une unique solution x = .
a
Donnons des exemples :
x + 6 = 0 donc x = ..., x − 7 = 0 donc x = ....
2x + 3 = 0 donc 2x = ... d’où x = − ...
... ,

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 Equations du premier degré
Soit a 6= 0 et b deux réels donnés,
Toute équation de la forme ax = b ( équation dite du premier
degré) où a, b sont des nombres réels donnés , a 6= 0 et x est
b
l’inconnue, admet une unique solution x = .
a
Donnons des exemples :
x + 6 = 0 donc x = ..., x − 7 = 0 donc x = ....
2x + 3 = 0 donc 2x = ... d’où x = − ...
... ,
−3x − 7 = 0 donc −3x = ... d’où x = − ...
... ,

Michelle Nourigat
AES L1 S1-Mathématiques
 Equations du premier degré
Soit a 6= 0 et b deux réels donnés,
Toute équation de la forme ax = b ( équation dite du premier
degré) où a, b sont des nombres réels donnés , a 6= 0 et x est
b
l’inconnue, admet une unique solution x = .
a
Donnons des exemples :
x + 6 = 0 donc x = ..., x − 7 = 0 donc x = ....
2x + 3 = 0 donc 2x = ... d’où x = − ...
... ,
−3x − 7 = 0 donc −3x = ... d’où x = − ...
... ,
2x + 3 = x − 4 donc 2x − x = −4 − 3 alors x = −7.

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 Exemple en micro-économie
L’offre et la demande d’un bien dépendent du prix. Les relations en
libre concurrence sont ;
S = 2P + 1 et D = −4P + 4.
Pour quel prix le marché est-il en équilibre ?

Michelle Nourigat
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 Exemple en micro-économie
L’offre et la demande d’un bien dépendent du prix. Les relations en
libre concurrence sont ;
S = 2P + 1 et D = −4P + 4.
Pour quel prix le marché est-il en équilibre ?
On doit donc résoudre l’équation 2P + 1 = −4P + 4 ce qui donne
2P + 4P = 4 − 1 donc 6P = 3 et donc un prix de 12 = 0, 5.

Michelle Nourigat
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 Exemple en micro-économie
L’offre et la demande d’un bien dépendent du prix. Les relations en
libre concurrence sont ;
S = 2P + 1 et D = −4P + 4.
Pour quel prix le marché est-il en équilibre ?
On doit donc résoudre l’équation 2P + 1 = −4P + 4 ce qui donne
2P + 4P = 4 − 1 donc 6P = 3 et donc un prix de 12 = 0, 5.
Alors S = D = 2.

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 Inéquations du premier degré
Une inéquation du premier degré est du type ax + b > 0.
−b
On écrit alors ax > −b et si a > 0 on a x >
a
−b
et si a < 0 on a x < .
a

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 Inéquations du premier degré
Une inéquation du premier degré est du type ax + b > 0.
−b
On écrit alors ax > −b et si a > 0 on a x >
a
−b
et si a < 0 on a x < .
a
Deux exemples :
2x + 3 < 0 donc 2x < −3 d’où x < − 23 ,

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 Inéquations du premier degré
Une inéquation du premier degré est du type ax + b > 0.
−b
On écrit alors ax > −b et si a > 0 on a x >
a
−b
et si a < 0 on a x < .
a
Deux exemples :
2x + 3 < 0 donc 2x < −3 d’où x < − 23 ,
−3x − 7 > 0 donc −3x > 7 d’où x < − 73 .

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 Exemple en micro-économie
On donne l’offre S = 3P − 10 et la demande D = −5P + 30. P est
le prix.
Déterminer l’intervalle de prix pour lequel il y a un marché.

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 Exemple en micro-économie
On donne l’offre S = 3P − 10 et la demande D = −5P + 30. P est
le prix.
Déterminer l’intervalle de prix pour lequel il y a un marché.
10
On doit résoudre 3P − 10 > 0 c’est à dire 3P > 10 et P > 3 .

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 Exemple en micro-économie
On donne l’offre S = 3P − 10 et la demande D = −5P + 30. P est
le prix.
Déterminer l’intervalle de prix pour lequel il y a un marché.
10
On doit résoudre 3P − 10 > 0 c’est à dire 3P > 10 et P > 3 .
−30
et −5P + 30 > 0 c’est à dire −5P > −30 soit P < −5 = 6.

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 Exemple en micro-économie
On donne l’offre S = 3P − 10 et la demande D = −5P + 30. P est
le prix.
Déterminer l’intervalle de prix pour lequel il y a un marché.
10
On doit résoudre 3P − 10 > 0 c’est à dire 3P > 10 et P > 3 .
−30
et −5P + 30 > 0 c’est à dire −5P > −30 soit P < −5 = 6.
L’intervalle de validité du marché est donc [ 10
3 , 6].

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 Equations du second degré
Soit une équation du second degré : ax 2 + bx + c = 0 où a 6= 0.

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 Equations du second degré
Soit une équation du second degré : ax 2 + bx + c = 0 où a 6= 0.
On calcule alors ∆ = b2 − 4ac et suivant le signe de ∆ on a les
trois cas suivants :

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 Equations du second degré
Soit une équation du second degré : ax 2 + bx + c = 0 où a 6= 0.
On calcule alors ∆ = b2 − 4ac et suivant le signe de ∆ on a les
trois cas suivants :
Si ∆ < 0, il n’y a pas de solution.

Michelle Nourigat
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 Equations du second degré
Soit une équation du second degré : ax 2 + bx + c = 0 où a 6= 0.
On calcule alors ∆ = b2 − 4ac et suivant le signe de ∆ on a les
trois cas suivants :
Si ∆ < 0, il n’y a pas de solution.
b
Si ∆ = 0, l’équation admet une unique solution x0 = − 2a .

Michelle Nourigat
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 Equations du second degré
Soit une équation du second degré : ax 2 + bx + c = 0 où a 6= 0.
On calcule alors ∆ = b2 − 4ac et suivant le signe de ∆ on a les
trois cas suivants :
Si ∆ < 0, il n’y a pas de solution.
b
Si ∆ = 0, l’équation admet une unique solution x0 = − 2a .
Si ∆ > 0 alors l’équation admet deux solutions distinctes
√ √
−b+ ∆ −b− ∆
x1 = 2a et x2 = 2a .

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 Exemples :
1) Soit l’équation x 2 + x + 1 = 0.

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 Exemples :
1) Soit l’équation x 2 + x + 1 = 0.
∆ = b2 − 4ac = 12 − 4 × 1 × 1 = −3 < 0 donc pas de solution
c’est à dire qu’aucune valeur de R ne vérifie x 2 + x + 1 = 0.
On dit : S = ∅.

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 Exemples :
1) Soit l’équation x 2 + x + 1 = 0.
∆ = b2 − 4ac = 12 − 4 × 1 × 1 = −3 < 0 donc pas de solution
c’est à dire qu’aucune valeur de R ne vérifie x 2 + x + 1 = 0.
On dit : S = ∅.

2) Soit l’équation 3x 2 + 6x + 3 = 0.
∆ = b2 − 4ac = 62 − 4 × 3 × 3 = ... donc une seule solution
6
x == − 2×3 = −1. On a S = {−1}.

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 3) Soit l’équation 3x 2 − 2x − 1 = 0.

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 3) Soit l’équation 3x 2 − 2x − 1 = 0.
∆ = b2 − 4ac = (−2)2 − 4 × 3 × (−1) = 4 + 12 = 16 donc

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 3) Soit l’équation 3x 2 − 2x − 1 = 0.
∆ = b2 − 4ac = (−2)2 − 4 × 3 × (−1) = 4 + 12 = 16 donc
√
−b+ ∆
deux solutions x1 = 2a = 2+4
2×3 = 6
6
= 1 et
√
−b− ∆ 2−4 −2 1
x2 = 2a = 2×3 = 6 = − 3 . On a S = {− 13 , 1}.

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 3) Soit l’équation 3x 2 − 2x − 1 = 0.
∆ = b2 − 4ac = (−2)2 − 4 × 3 × (−1) = 4 + 12 = 16 donc
√
−b+ ∆
deux solutions x1 = 2a = 2+4
2×3 = 6
6
= 1 et
√
−b− ∆ 2−4 −2 1
x2 = 2a = 2×3 = 6 = − 3 . On a S = {− 13 , 1}.

4) Soit l’équation x 2 − 5x + 3 = 0.
∆ = b2 − 4ac = (−5)2 − 4 × 1 × 3 = 25 − 12 = 13 donc

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 3) Soit l’équation 3x 2 − 2x − 1 = 0.
∆ = b2 − 4ac = (−2)2 − 4 × 3 × (−1) = 4 + 12 = 16 donc
√
−b+ ∆
deux solutions x1 = 2a = 2+4
2×3 = 6
6
= 1 et
√
−b− ∆ 2−4 −2 1
x2 = 2a = 2×3 = 6 = − 3 . On a S = {− 13 , 1}.

4) Soit l’équation x 2 − 5x + 3 = 0.
∆ = b2 − 4ac = (−5)2 − 4 × 1 × 3 = 25 − 12 = 13 donc
√ √ √ √
−b+ ∆ 5+ 13 −b− ∆ 5− 13
deux solutions x1 = 2a = 2 et x2 = 2a = 2 .
√ √
On a S = { 5−2 13 , 5+2 13 }.

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 Exemple en micro-économie
Le coût moyen dépend de la quantité produite Q par la relation :
CM = 5Q 2 − 20Q + 45.
Vérifier que ce coût n’est jamais nul.
On calcule ∆ = (−20)2 − 4 × 5 × 45 = 400 − 900 = −500 < 0
donc CM = 0 n’a pas de solution.

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 Inéquations du second degré
Soit une inéquation du second degré : ax 2 + bx + c > 0 où a 6= 0.

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 Inéquations du second degré
Soit une inéquation du second degré : ax 2 + bx + c > 0 où a 6= 0.
On calcule alors ∆ = b2 − 4ac et suivant le signe de ∆ on a les
trois cas suivants :

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 Inéquations du second degré
Soit une inéquation du second degré : ax 2 + bx + c > 0 où a 6= 0.
On calcule alors ∆ = b2 − 4ac et suivant le signe de ∆ on a les
trois cas suivants :
Si ∆ < 0, l’expression est toujours du signe de a donc deux cas pas
de solution ou R tout entier.

x −∞ +∞
Signe de ax 2 + bx + c signe de a

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 Inéquations du second degré
Soit une inéquation du second degré : ax 2 + bx + c > 0 où a 6= 0.
On calcule alors ∆ = b2 − 4ac et suivant le signe de ∆ on a les
trois cas suivants :
Si ∆ < 0, l’expression est toujours du signe de a donc deux cas pas
de solution ou R tout entier.

x −∞ +∞
Signe de ax 2 + bx + c signe de a

Exemple :
Soit à résoudre x 2 + x + 1 > 0. Ici ∆ < 0 et a > 0. Donc S = R.

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 Inéquations du second degré
Soit une inéquation du second degré : ax 2 + bx + c > 0 où a 6= 0.
On calcule alors ∆ = b2 − 4ac et suivant le signe de ∆ on a les
trois cas suivants :
Si ∆ < 0, l’expression est toujours du signe de a donc deux cas pas
de solution ou R tout entier.

x −∞ +∞
Signe de ax 2 + bx + c signe de a

Exemple :
Soit à résoudre x 2 + x + 1 > 0. Ici ∆ < 0 et a > 0. Donc S = R.
Si on pose x 2 + x + 1 < 0 alors S = ∅.

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 Exemple en micro-économie
Reprenons l’exemple du coût moyen qui dépend de la quantité
produite Q par la relation :
CM = 5Q 2 − 20Q + 45.

Michelle Nourigat
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 Exemple en micro-économie
Reprenons l’exemple du coût moyen qui dépend de la quantité
produite Q par la relation :
CM = 5Q 2 − 20Q + 45.
On a calculé ∆ = (−20)2 − 4 × 5 × 45 = 400 − 900 = −500 < 0
donc CM = 0 n’a pas de solution.
CM est toujours du signe de a (ici 5) donc toujours positif ce qui
est rassurant pour un coût.

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 Si ∆ = 0, l’expression est toujours du signe de a sauf pour
b
x0 = − 2a où elle vaut 0.

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 Si ∆ = 0, l’expression est toujours du signe de a sauf pour
b
x0 = − 2a où elle vaut 0.
Si ∆ = 0 on a
b
x −∞ − +∞
2a
Signe de ax 2 + bx + c signe de a 0 signe de a

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 Si ∆ = 0, l’expression est toujours du signe de a sauf pour
b
x0 = − 2a où elle vaut 0.
Si ∆ = 0 on a
b
x −∞ − +∞
2a
Signe de ax 2 + bx + c signe de a 0 signe de a

Soit à résoudre 3x 2 + 6x + 3 > 0 , la seule valeur à exclure est −1.

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 Si ∆ = 0, l’expression est toujours du signe de a sauf pour
b
x0 = − 2a où elle vaut 0.
Si ∆ = 0 on a
b
x −∞ − +∞
2a
Signe de ax 2 + bx + c signe de a 0 signe de a

Soit à résoudre 3x 2 + 6x + 3 > 0 , la seule valeur à exclure est −1.

Soit à résoudre 3x 2 + 6x + 3 ≥ 0 , alors S = R.

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 Si ∆ = 0, l’expression est toujours du signe de a sauf pour
b
x0 = − 2a où elle vaut 0.
Si ∆ = 0 on a
b
x −∞ − +∞
2a
Signe de ax 2 + bx + c signe de a 0 signe de a

Soit à résoudre 3x 2 + 6x + 3 > 0 , la seule valeur à exclure est −1.

Soit à résoudre 3x 2 + 6x + 3 ≥ 0 , alors S = R.
Soit à résoudre 3x 2 + 6x + 3 ≤ 0 , alors S = {−1}.

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 √
−b+ ∆
Si ∆ > 0 alors l’expression change de signe pour x1 = 2a et
√
−b− ∆
pour x2 = 2a . Elle est du signe de a à l’extérieur des valeurs
x1 et x2 .

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 √
−b+ ∆
Si ∆ > 0 alors l’expression change de signe pour x1 = 2a et
√
−b− ∆
pour x2 = 2a . Elle est du signe de a à l’extérieur des valeurs
x1 et x2 .
x −∞ x1 x2 +∞
ax 2 + bx + c signe de a 0 signe de -a 0 signe de a

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 √
−b+ ∆
Si ∆ > 0 alors l’expression change de signe pour x1 = 2a et
√
−b− ∆
pour x2 = 2a . Elle est du signe de a à l’extérieur des valeurs
x1 et x2 .
x −∞ x1 x2 +∞
ax 2 + bx + c signe de a 0 signe de -a 0 signe de a
Soit à résoudre 3x 2 − 2x − 1 > 0 , alors S =] − ∞, − 13 [∪]1, +∞[.

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 √
−b+ ∆
Si ∆ > 0 alors l’expression change de signe pour x1 = 2a et
√
−b− ∆
pour x2 = 2a . Elle est du signe de a à l’extérieur des valeurs
x1 et x2 .
x −∞ x1 x2 +∞
ax 2 + bx + c signe de a 0 signe de -a 0 signe de a
Soit à résoudre 3x 2 − 2x − 1 > 0 , alors S =] − ∞, − 13 [∪]1, +∞[.
Soit à résoudre 3x 2 − 2x − 1 ≤ 0 ,

Michelle Nourigat
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 √
−b+ ∆
Si ∆ > 0 alors l’expression change de signe pour x1 = 2a et
√
−b− ∆
pour x2 = 2a . Elle est du signe de a à l’extérieur des valeurs
x1 et x2 .
x −∞ x1 x2 +∞
ax 2 + bx + c signe de a 0 signe de -a 0 signe de a
Soit à résoudre 3x 2 − 2x − 1 > 0 , alors S =] − ∞, − 13 [∪]1, +∞[.
Soit à résoudre 3x 2 − 2x − 1 ≤ 0 ,
alors S = [− 13 , 1].

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 Le bénéfice d’une entreprise dépend du nombre d’unités vendues x
par la formule :

B(x) = 11x − x 2 − 10
Pour quelles valeurs de x le bénéfice est nul ? Pour quelles valeurs
de x y a-t-il réellement bénéfice ?

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 Le bénéfice d’une entreprise dépend du nombre d’unités vendues x
par la formule :

B(x) = 11x − x 2 − 10
Pour quelles valeurs de x le bénéfice est nul ? Pour quelles valeurs
de x y a-t-il réellement bénéfice ?
On résout 11x − x 2 − 10 = 0 soit une équation du second degré
avec a = −1 , b = 11 et c = −10.
On obtient ∆ = 112 − 4 × (−1) √
× (−10) √= 121 − 40 = 81 > 0
donc deux solutions x1 = 2a = −11+
−b+ ∆
2(−1)
81
= 1 et
√ √
−b− ∆ −11− 81
x2 = 2a = 2(−1) = 10.

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 On en déduit que le bénéfice est nul pour une production de 1 unité
ou de 10 unités et au niveau des signes :

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 On en déduit que le bénéfice est nul pour une production de 1 unité
ou de 10 unités et au niveau des signes :
x . 1 10 .
11x − x 2 − 10 sig. de a ici - 0 sig. de -a ici + 0 sig. de a ici -

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 On en déduit que le bénéfice est nul pour une production de 1 unité
ou de 10 unités et au niveau des signes :
x . 1 10 .
11x − x 2 − 10 sig. de a ici - 0 sig. de -a ici + 0 sig. de a ici -

Donc il y a réellement bénéfice pour x compris entre 1 et 10.

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