TD1-Variateur de Scooter
TD1-Variateur de Scooter
TD1-Variateur de Scooter
Transmissions Mécaniques
Variateur de Scooter
I Etude des performances du variateur
Le deux-roues Burgman 650 de Suzuki comporte une transmission variable continue commandée électri-
quement désignée par SECVT (Voir DT1 à DT9). Ce contrôleur mesure la vitesse de rotation du moteur et
ajuste le rapport de réduction de la transmission à la vitesse du scooter suivant trois modes de commande
de puissance :
— le mode « normal ou économie » (ME) qui optimise le rapport de transmission pour réduire la
consommation de carburant ;
— le mode « puissance » (MP) qui calcule le rapport de transmission permettant de faire fonctionner le
moteur au régime de puissance maximum ;
— le mode « séquentiel ou manuel » (MS) qui permet de simuler le fonctionnement d’une boite séquen-
tielle.
La transmission entre le moteur et la roue comprend un réducteur primaire Red1, le variateur continu
de la transmission CVT, ainsi que deux réducteurs désignés par Red2 et Red3. Les caractéristiques de la
transmission sont données DT9.
L’objectif de cette partie est de déterminer la vitesse maximale du scooter et le mode de commande de
transmission qui permet d’atteindre cette vitesse avec une accélération optimisée.
En mode « puissance », la commande agit sur la transmission CVT pour atteindre la vitesse maximale
du véhicule de la manière suivante :
Au démarrage, le rapport de la transmission CVT est maintenu égal à la valeur KCV T,mini jusqu’à ce que
la puissance Pmax du moteur soit atteinte. La vitesse du deux-roues est alors égale à VM P,mini . Le régime
moteur est ensuite maintenu constant pour que le moteur fonctionne à la puissance maximale et c’est donc
le rapport de la transmission CVT KCV T qui varie de manière continue pour que le véhicule puisse atteindre
sa vitesse maximale VM P,maxi . À la vitesse maximale, le rapport de la transmission CVT est KCV T,maxi .
En mode « séquentiel », la commande agit sur la transmission CVT pour obtenir le fonctionnement d’une
boîte de vitesse traditionnelle :
Le démarrage s’effectue en première. La seconde vitesse est actionnée par le pilote (ou imposée par la com-
mande CVT pour ne pas imposer un surrégime au moteur) au régime moteur correspondant à la puissance
maximale délivrée. Pendant le changement de vitesse, on suppose que la vitesse du deux-roues est conser-
vée et par conséquent, le régime moteur s’adapte au nouveau rapport de transmission. Sur ce rapport de
transmission, la vitesse du deux-roues croit avec le régime moteur.
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La troisième vitesse est actionnée lorsque le régime moteur correspond à nouveau à la puissance maximale
délivrée. Ce cycle est enchaîné jusqu’à la vitesse maximale du véhicule obtenue sur le cinquième rapport.
La puissance du moteur, le couple moteur, la puissance simplifiée à l’entrée du variateur et le couple à
l’entrée du variateur sont fournis par le document DT10.
La puissance consommée par le véhicule est principalement due au rendement de la transmission de
puissance entre le moteur et la roue, aux actions aérodynamiques et à la résistance au roulement. La résis-
tance aérodynamique Ra dépend de la masse volumique ρ de l’air, la surface de traînée S · Cx déterminée
expérimentalement et la vitesse V du véhicule. La résistance au roulement Rr est la conséquence des divers
frottements qui apparaissent pendant le mouvement du véhicule.
Les valeurs numériques des paramètres sont données en document technique DT10. Pour estimer la vitesse
maximale du véhicule, la pente de la route est supposée nulle.
I.1.3 Questions
Question 3. – Calculer les rapports de réduction mini et maxi KT mini et KT maxi de la transmission complète
en mode puissance.
Question 4. – Déterminer les vitesses minimale et maximale du deux-roues VM P,mini et VM P,maxi (en km/h),
à partir de l’expression obtenue question 2.
Question 5. – Tracer en trait fort sur la figure 1 du document réponse DR1, l’évolution de la vitesse V du
deux-roues en fonction de la vitesse de rotation du moteur NM et ceci pour atteindre la vitesse VM P,maxi en
mode puissance
Question 8. – A partir de l’expression obtenue question 2, déterminer les vitesses maximales Vi (en km/h)
obtenues sur chaque rapport i, lorsque la vitesse de rotation du moteur atteint 5700 tr/min.
Question 9. – Tracer en trait mixte sur la figure 1 du document réponse DR1, l’évolution de la vitesse V
du deux-roues en fonction de la vitesse de rotation du moteur et ceci pour atteindre la vitesse maximale en
mode séquentiel. On suppose que le pilote change de vitesse lorsque le moteur atteint sa puissance maximale
et que la vitesse du véhicule reste constante pendant ce changement de vitesse.
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Nom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Prénom : ..................
Question 10. – Déduire du graphique précédent l’évolution de la puissance à la roue en mode séquentiel
(en prenant en compte le rendement de la transmission) en fonction de la vitesse du véhicule dans le cas de
l’utilisation du mode séquentiel. Tracez cette évolution en trait mixte fin sur la figure 2 du document réponse
DR1.
Etude de la puissance consommée
— La puissance consommée par la résistance aérodynamique est Paéro = 21 ρSCx V 3 .
— La puissance consommée par la résistance au roulement est Proul = mgkV .
Question 11. – Tracer en pointillés sur la figure 2 du document réponse DR 1 l’évolution de la puissance
consommée en fonction de la vitesse V du scooter.
Etude de l’accélération et de la vitesse maximale
Question 13. – Déduire des résultats précédents la vitesse maximale du scooter (les résultats tracés sur le
document réponse pourront être exploités graphiquement).
Question 14. – Calculer le temps nécessaire pour passer de 0 à 100 km/h en mode « puissance ». Afin de
simplifier les calculs on négligera les effets aérodynamiques et la résistance au roulement.
Question 15. – Calculer le temps nécessaire pour passer de 0 à 100 km/h en mode « séquentiel ». Afin de
simplifier les calculs on négligera les effets aérodynamiques et la résistance au roulement.
Question 16. – Déduire des résultats précédents le mode de transmission « séquentiel » ou « puissance »
le plus performant pour accélérer de 0 à 100 km/h. Vous argumenterez votre réponse en vous exploitant la
figure 2 du document réponse DR 1.
II Dimensionnement du variateur
Cette partie s’appuie fortement sur l’exploitation des documents techniques DT1 à DT8 qui définissent
le fonctionnement, une coupe longitudinale et la nomenclature du variateur SECVT.
L’objectif de cette partie est d’établir les relations entre les grandeurs géométriques utiles à la réduction
de vitesse entre les arbres d’entrée et de sortie du variateur.
On note :
— θ43 : l’angle d’enroulement de la courroie autour de la poulie motrice
— θ20 : l’angle d’enroulement de la courroie autour de la poulie réceptrice
— R13 : le rayon d’enroulement de la courroie autour de la poulie motrice
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ω20
Question 17. – Calculer le rapport de réduction du variateur KCV T = ω43
entre l’entrée et la sortie du
variateur en fonction des rayons primitifs R20 et R43 .
Question 18. – Déterminer les angles l’angle d’inclinaison des brins α et les angles d’enroulement θ43 et θ20
de la courroie autour des poulies en fonction des paramètres géométriques R20 et R43 et a.
Question 20. – A partir du document DT11, déterminer, pour les 5 rapports de réduction du mode «
séquentiel » définis dans le document DT9 et pour une longueur de courroie de 625 mm, les rayons primitifs
R20 et R43 . Compléter le tableau 1 du document réponse DR2 avec les valeurs obtenues.
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Question 21. – A partir du document DT11, déterminer, pour les 5 rapports de réduction du mode «
séquentiel » définis dans le document DT9 et pour une longueur de courroie de 625 mm, les rayons primitifs
R20 et R43 . Compléter le tableau 1 du document réponse DR2 avec les valeurs obtenues.
Question 22. – Calculer les angles manquants dans le document réponse (angles d’enroulement θ43 et θ20 ,
l’angle d’inclinaison des brins α ). Compléter le tableau 1 du document réponse DR2 avec ces angles.
Question 23. – Sur la poulie motrice, calculer le déplacement de la flasque mobile 3 par rapport à l’arbre
flasque primaire 43 en fonction du rayon d’enroulement de la courroie θ43 . Les références sont prises telle
que d = 0 pour R43 = R43mini .
L’objectif de cette partie est de déterminer les couples courroie, ainsi que les conditions du contact entre
la courroie et les poulies.
T − µV 2
= eai θi
t − µV 2
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II.2.3 Questions
Question 25. – Isoler la poulie motrice 43 et déterminer la relation entre le couple C43 exercé sur la poulie
motrice 43 et les tensions TA et TB dans les brins rectilignes de la courroie.
Question 26. – Isoler la poulie réceptrice 20 et déterminer la relation entre le couple C20 exercé sur la poulie
réceptrice et les tensions TA et TB dans les brins rectilignes de la courroie.
Question 27. – Appliquer la formule d’Euler sur les deux poulies en prenant en compte les effets d’inertie
sur la courroie et déterminer la relation entre les coefficients d’adhérence a43 et a20 , respectivement entre la
courroie et les poulies 43 et 20.
Question 28. – On se place à la limite du glissement. Donner ou calculer les coefficients d’adhérence a43 et
a20 en fonction du rapport de réduction. Compléter le tableau 1 document réponse DR2.
Question 29. – Donner l’expression des efforts TA et TB en fonction de C43 , R43 , θ43 et a43 .
avec
θ20
Si θ20 < θ43 alors a20 = f et a43 = f
θ43
θ43
Si θ20 > θ43 alors a43 = f et a20 =f
θ20
Question 30. – Compléter le tableau 1 du document réponse DR2 avec les valeurs manquantes
L’objectif de cette partie est de déterminer le pas de l’hélice de la came couple permettant d’exercer un
effort presseur sur la courroie proportionnel au couple à transmettre.
On conserve les notations précédentes et on définit un tronçon de courroie de centre O et limité par deux
sections droites repérées par les angles θ et T (θ + dθ).
On note :
— ρ : le rayon de base de l’hélice
— h : le pas de l’hélice
— Fp : l’effort presseur exercé par la came sur la courroie
— C : le couple à transmettre
−→
— dF : la résultante des efforts exercés par une flasque de poulie sur le tronçon de courroie
−→ −→
— dN : la composante normale au contact de dF
−→ −→
— dT : la composante tangentielle au contact de dF
— M : un point courant de la courroie
— T (θ + dθ) : la tension dans la section repérée par l’angle θ + dθ
— T (θ) : la tension dans la section repérée par l’angle θ
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On négligera l’action du ressort et les liaisons sont supposées parfaites dans cette partie.
II.3.3 Questions
Question 31. – Isoler le tronçon de courroie défini sur la figure précédente. Appliquer le principe fondamental
−→ − →
de la dynamique au tronçon de courroie et déterminer la relation entre dF et dT .
Question 32. – Déterminer l’action axiale exercée par la courroie sur la flasque mobile 1 de la poulie
−−−−−−−−−→
réceptrice dF acourroie−→1
Question 33. – Isoler la flasque mobile 1 de la poulie réceptrice et déterminer l’expression du pas de la
liaison hélicoïdale entre la flasque mobile 1 et l’arbre secondaire 20 de la poulie réceptrice. Un soin particulier
sera apporté à la mise en place du schéma de calcul (modélisation, figure, paramétrage, . . . )
On isole le flasque mobile 1.
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— Hélicoïdale
X
h20−1
Lh20−1
{Th20−1 } = Yh20−1 Mh20−1
Zh20−1 Nh20−1 (O
20 ,~
x,~
y ,~
z)
avec
pZh20−1
Nh20−1 =
2π
— action du ressort que l’on néglige dans un premier temps
Question 34. – Compléter le tableau 1 du document réponse DR2 avec les applications numériques de
l’effort axial manquant et du pas pour les 5 rapports
came couple
Question 35. – Expliquer le rôle du ressort situé entre la flasque mobile et la came couple.
L’objectif de cette partie est de dimensionner le moteur électrique permettant de piloter le changement
de rapport de réduction.
Cette partie s’appuie fortement sur le schéma cinématique et les caractéristiques de la commande de
rapport de réduction présentés sur le document technique DT12. La force axiale maximale Fmax exercée sur
la flasque mobile 3 est de 5800 N.
II.4.3 Questions
Question 36. – Déterminer le rapport de réduction K9/34 = N9/0/N34/0 entre le pignon 34 de l’arbre moteur
et la roue dentée 9. Faire l’application numérique.
Question 37. – Déterminer la relation entre la vitesse de rotation N34/0 (en tr/min) du moteur électrique
en fonction du module de la vitesse de déplacement −
v− −−→
(I∈9/0) (en mm/min) de la roue dentée 9 (suivant son
axe Ix).
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Question 39. – Déterminer la relation entre la force axiale à exercer sur la flasque mobile 3 et le couple
C du moteur électrique. Les frottements, les masses et les effets inertiels seront négligés. Calculer le couple
maximal Cmax moteur en fonction de Fmax .
La pièce 39 en nylon est montée sur un arbre métallique 46, lui-même en liaison pivot avec le carter
par l’intermédiaire de deux roulements. On considère que l’arbre métallique 46 reprend les sollicitations de
flexion et que la pièce 39 reprend intégralement les sollicitations de torsion. L’ensemble des calculs sera
effectué en statique. Cette partie s’appuie fortement sur le schéma cinématique présenté sur le document
technique DT13.
Par convention, le torseur des actions mécaniques d’une pièce 1 sur une pièce 0 au point A devra être
écrit sous la forme :
−−−→
R0−→1 = Rx · ~x + Ry · ~y + Rz · ~z
{T0−→1 } = −−−−→
0−→1 = MAx · ~
x + MAy · ~y + MAz · ~z A
M
Par exemple, le torseur des actions mécaniques du pignon 37 sur le pignon 39b au point C s’écrit, dans
le repère (O, ~x, ~y , ~z), :
−−−−−→
R37−→39b = YC · ~y + ZC · ~z
{T37−→39b } = −−−−−−→ ~
M37−→39b = 0
C
Les applications numériques seront effectuées en imposant une force axiale maximale Fmax = 5800 N sur
la flasque mobile 3.
Afin de déterminer la tenue mécanique de la pièce 39, un premier calcul est réalisé en appliquant la
théorie des poutres. Le risque de rupture de la pièce étant le plus élevé dans la partie [OO’] (figure DT13),
on considère donc cette partie de la pièce comme une poutre de longueur l2 et dont la section circulaire S est
caractérisée par un rayon extérieur Re et un rayon intérieur Ri . Le centre de section est noté G et appartient
à [OO’] (voir modèle simplifié de la pièce 39 en DT 14). Sa position est telle que :
OG = x~x
On note :
— Mt : le couple de torsion appliqué.
— τM : la contrainte tangentielle en un point M appartenant à la section S.
— γM : la déviation en un point M .
— θ : l’angle unitaire de torsion.
— G : le module de Coulomb.
Le matériau de la pièce 39 est un polyamide dont les caractéristiques mécaniques sont données en DT14.
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II.5.3 Questions
Question 40. – Proposer un schéma technologique pour la liaison pivot réalisée entre l’ensemble (39+46)
et le carter. Comparer votre schéma à celui proposé sur le document technique DT13.
Pour la suite des questions, les calculs s’appuieront sur le schéma proposé sur le document DT13.
Question 41. – Faire le bilan des actions mécaniques appliquées sur l’ensemble (39+46).
Question 42. – Déterminer les relations entre les composantes du torseur des actions mécaniques {T9−→39b }D
et les composantes Yc et Zc du torseur {T37−→39b }C .
Question 43. – Déterminer les actions mécaniques transmises aux roulements en A et B en fonction des
composantes Yc et Zc du torseur {T37−→39b }C .
Question 44. – Déterminer Zc (la composante suivant z de la force du torseur des efforts {T37−→39b }C
appliqués en C sur 39 par le pignon de la pièce 37) en fonction de la force axiale F exercée sur la flasque
mobile 3.
Question 45. – Déterminer le torseur des efforts intérieurs en G en fonction des composantes des torseurs
des actions mécaniques en A et C.
Question 46. – Déterminer le couple de torsion Mt appliqué sur le tronçon [OO’] en fonction de la force
axiale F exercée sur la flasque mobile 3.
Question 47. – Calculer la contrainte de cisaillement maximale τmax dans la section S en fonction du couple
de torsion Mt .
Question 48. – Indiquer le moment maximal admissible élastiquement par le tronçon [OO’] en fonction des
caractéristiques du matériau de la pièce (39) (voir document DT 14).
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DT 2 : Constitution du variateur
La poulie motrice est constituée de la flasque mobile 3 et de l’arbre flasque primaire 43. La flasque mobile
3 est en liaison glissière par rapport à l’arbre flasque primaire 43. La roue dentée 9 est en liaison hélicoïdale
par rapport à la vis de commande 47 qui est fixe par rapport au couvercle et en liaison pivot par rapport
à la flasque mobile primaire 43. La rotation de la roue 9 permet d’écarter ou rapprocher les deux flasques
permettant ainsi de faire varier le diamètre d’enroulement de la courroie et donc le rapport de réduction.
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DT 3 : Constitution du variateur
La poulie réceptrice
La poulie réceptrice est constituée de la
flasque mobile 1 et de l’arbre flasque secon-
daire 20. La flasque mobile 1 est en liaison
pivot glissant par rapport à l’arbre flasque
secondaire 20. La came couple 51 et la cible
40 sont fixes par rapport à l’arbre flasque
secondaire 20. Quand la came couple 6 et
la flasque mobile 1 sont en contact, la liai-
son correspondante peut être assimilée à
une liaison hélicoïdale. La vitesse de sortie
du variateur est donnée par l’association du
capteur 29 et de la cible 40.
La courroie
La courroie utilisée a été spécifiquement développée
pour ce variateur. C’est une courroie composite hy-
bride. Elle est constituée de 204 plaques d’aluminium
reliées à deux courroies de caoutchouc renforcées par
des fibres courtes et résistantes à la température. Le
tout est recouvert de résine. Cette courroie permet
d’assurer un rendement de 97
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La commande du rapport de
transmission
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DT 7 : Eclaté du variateur
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DT 8 : Nomenclature
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Schéma de la transmission
ωM ωev ωSV ω1 ωR
Moteur Réd 1 CVT Réd 2 Réd 3 Roue
Caractéristiques de la transmission
Réducteur Rapport
ωev 1
Red 1 ωm
= 1.13
Red 2 1/3.934
Red 3 1/1.58
Vitesse 1 2 3 4 5
Rapport 0.465 0.652 0.914 1.283 1.8
Puissance moteur :
La puissance et le couple ont été mesurés à
la roue puis ramenés au niveau du vilebre-
quin du moteur.
PM = 55cv(≈ 40.5kW )
Nmin = 1500tr/min
NP Mmax = 5700tr/min
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Puissance consommée Les grandeurs caractéristiques nécessaires pour calculer ces pertes sont :
— Rendement de la transmission : η = 0.9
— Masse volumique de l’air : ρ = 1.225 kg/m3
— Coefficient aérodynamique : SCx = 0.5 m2
— Coefficient de résistance au roulement : k = 0.02
— Masse du deux-roues et de son pilote : m = 320 kg
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Caractéristiques
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DT 14 : Dimensionnement de la pièce 39
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Paramètre Valeur
1
Kt = r 2 2 +1 (1)
1 1
0.26 Kp
+ 0.85 Kq
Avec #1/2
d
"
t D 1 D−d
Kp = · +1 − 1, Kq = q r , et t = . (2)
r 1 − Dd 2
t
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« Il existe une force motrice plus puissante que la vapeur, l’électricité et l’énergie atomique.
Cette force, c’est la volonté. »
— Albert Einstein
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